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Kylian Mbappé et Cristiano Ronaldo : Un rêve partagé au Real Madrid
Cet été, l’une des plus grandes sagas du football a trouvé son dénouement : Kylian Mbappé a finalement rejoint le Real Madrid, le club de ses rêves. Après des mois de spéculations et de rebondissements autour de son avenir, la star française a décidé de poser ses valises en Espagne, avec une ambition claire : marcher sur les traces de son idole, Cristiano Ronaldo. Mais alors que ses premiers pas à Madrid sont encore timides, un soutien de poids pourrait lui donner l’élan nécessaire pour briller sous les couleurs madrilènes. Cristiano Ronaldo à propos de Kylian Mbappé Kylian Mbappé n'a jamais caché son admiration pour Cristiano Ronaldo, l'une des plus grandes légendes du football. Le jeune joueur aspire à suivre le parcours de son idole, qui a marqué l'histoire du Real Madrid pendant près d'une décennie. Lors d'une récente interview avec Rio Ferdinand, Cristiano Ronaldo a évoqué la signature de Kylian Mbappé au sein du club madrilène, et reste optimiste quant à l'avenir du joueur français dans l'équipe. « Kylian a tout ce qu'il faut pour réussir au Real Madrid », a déclaré la star portugaise, avant d'ajouter que « le Real Madrid est un club exigeant, mais avec le bon encadrement, il pourra atteindre des sommets. » Ces paroles, venant de celui qui a fait vibrer les supporters madrilènes pendant des années, sont un véritable vote de confiance pour Kylian Mbappé. Lire aussi : Sans Mbappé, le PSG peut-il s'en sortir en Ligue 1 ? Un début timide, mais un potentiel immense Les débuts de Kylian Mbappé au Real Madrid sont pour l’instant jugés plutôt timides. Alors que beaucoup s’attendaient à des performances immédiates et éclatantes, l’attaquant français semble encore en période d’adaptation. Cette phase de transition est souvent nécessaire pour un joueur de son calibre, surtout lorsqu’il rejoint un club aussi prestigieux et exigeant que le Real Madrid. Cristiano Ronaldo, qui connaît bien la pression qui accompagne ce maillot, se montre rassurant. « Il faut du temps pour s’adapter, mais Kylian a le talent, l’énergie et l’ambition pour réussir. » Le soutien de l’ancien numéro 7 du Real Madrid pourrait bien aider Kylian Mbappé à surmonter cette période d’adaptation et à retrouver la confiance qui a fait de lui l'un des meilleurs joueurs du monde. L’importance de l’encadrement pour une réussite à Madrid Au-delà du talent individuel, Cristiano Ronaldo a insisté sur l'importance d'un bon environnement pour qu'un joueur puisse s'épanouir. « Un bon entraîneur et un président compétent sont essentiels pour qu’un joueur comme Kylian puisse montrer son meilleur niveau », a affirmé l’ancien joueur madrilène. Fort heureusement, le Real Madrid est dirigé par Florentino Pérez, l’un des présidents les plus influents du monde du football, et Carlo Ancelotti, un entraîneur de renommée mondiale qui sait comment gérer des talents de premier plan. Cristiano Ronaldo a également évoqué la nécessité pour Kylian Mbappé de se concentrer sur son jeu, malgré la pression médiatique constante. « Il faut savoir faire abstraction des distractions extérieures et se concentrer sur le terrain. Kylian a cette capacité à rester focalisé sur ses objectifs. » Ces conseils de la part de celui qui a dominé les terrains européens pendant plus d’une décennie sont une source d’inspiration pour Kylian Mbappé. Le soutien de Cristiano Ronaldo, un boost pour Kylian Mbappé Le soutien public de Cristiano Ronaldo est un véritable atout pour Kylian Mbappé. Non seulement il vient d'un joueur dont la carrière au Real Madrid a été exceptionnelle, mais il montre aussi la confiance que les grands noms du football placent en lui. Ce genre de reconnaissance peut servir de véritable moteur pour l’attaquant français, qui devra prouver qu’il peut non seulement marcher dans les pas de Cristiano Ronaldo, mais aussi forger sa propre légende à Madrid. Alors que les attentes des fans sont énormes, Cristiano Ronaldo est convaincu que Kylian Mbappé saura les combler : « Il a l'opportunité de devenir l’un des plus grands de l’histoire du club. Avec le temps, il montrera à tout le monde ce dont il est capable. » Ces paroles rassurantes pourraient bien apaiser les supporters madrilènes qui attendent avec impatience de voir leur nouvelle recrue briller. Kylian Mbappé au centre de toutes les attentions Aujourd’hui, Kylian Mbappé est non seulement une figure centrale du Real Madrid, mais aussi le capitaine de l’équipe de France, ce qui place sur ses épaules une pression considérable. Chaque geste, chaque performance est scrutée à la loupe, tant par les médias que par les fans. Pourtant, avec le soutien de figures comme Ronaldo et un environnement propice à sa progression, Kylian Mbappé a toutes les cartes en main pour réussir. Le Real Madrid a longtemps été le club de cœur du joueur, et il a désormais l’opportunité de marquer l’histoire de cette institution, comme son prédécesseur portugais. Si ses débuts ne sont pas encore éclatants, l’avenir semble prometteur. Cristiano Ronaldo, qui sait mieux que quiconque ce que signifie jouer pour le Real, a une vision positive du parcours de Kylian Mbappé et continue de croire en son potentiel. Voir également : Kylian Mbappé réclame 100 millions à son ancien club Un héritage à écrire Le Real Madrid, club mythique marqué par l'empreinte indélébile de Cristiano Ronaldo, voit en Kylian Mbappé une nouvelle figure capable de perpétuer cette tradition de succès. Avec des débuts encore hésitants, le chemin vers la gloire est loin d’être simple pour le jeune prodige, mais les encouragements de Cristiano Ronaldo et le soutien des fans pourraient bien faire la différence. Mbappé a devant lui une opportunité unique de laisser une trace dans l’histoire du football, et tout porte à croire qu’il saura saisir cette chance. Read the full article
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Really glad I left the BBS fandom four years ago
#like bro#I'm so happy i dont have twitter because that's gonna be horrible seeing drama that stirs up every five seconds#bbs is like a 'your fave is problematic' but it's everyone#like .. seriously do not get a fave. they will become problematic. its like a curse.#anyway since I've so graciously brought the bbs topic up here are some members/ex-members who i completely distrust#1. mini ladd. absolutely toxic and loves shading his 'friends' especially vanoss. also groomed teenagers in the past. gross.#2. lui calibre. also groomed teenagers in the past. holy shit what is wrong with these men.#3. ohmwrecker. ngl i was subbed to him and i liked him bc i thought he was genuine. turns out not having twitter made me blind!#if anyone wants to ask i can post sources for them (although i havent paid attention to them in years so i dont hace everything)#anyway now that that's out of the way support rynx and stream his music#and while you're at it just replace all your favourite gaming youtubers with minecraft youtubers instead#like go watch smallishbeans or something lmao#(also this is a little dumb but minecraft youtubers have such cool animated voices so really go check them out)#(i can give a list if you asked)#kjcl talking#rant#anyway if you've made it to the end here bbs refers to banana bus squad#YouTubers
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Shits and Giggles
Wildcat invaded Terroriser’s base and hack into his Twitter account.
Lui: Hey bitches what’s up? Brian, I found your potato supply through your Twitter account thanks man.
Terroriser: I told you I have ALTERNATIVES!
Lui: Anyway, I also saw that uh my... my friend fucked your husband that’s pre- that sucks a lot dude. Must be pretty uh, shaken up about that.
Terroriser: How do you think I feel being cucked by a WARHOG?!
Lui: Well, it might upset you to know that I ALSO fucked your husband.
Terroriser: And he had a DIAMOND in his ARSEHOLE?
In the recording room.
Maeve, trying not to laugh: Pause it! I hate you. Lui saying in his high pitched voice, “I FUCKED YOUR HUSBAND!”
Arcia: I think I did well on Lui’s voice. :D
Maeve: Oh god, I need water. It’s fucking dumb.
#practice ocs#bbs#i am wildcat mention#lui calibre#terroriser#the gaming terroriser#this is made for fun#it's just my ocs voice acting as the bbs bois#incorrect quotes#source: snapcube
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Lui: I’m willing to do a lot of things.
Lui: But admitting to Nogla that I’m cold after he told me to bring a jacket is not one of them.
#source: tumblr#bbs#bananabussquad#incorrect quotes#incorrect bbs quotes#Lui Calibre#daithi de nogla#daithi de calibre#youtube
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Secrets
[Marcel sitting on bed while noglas on a chair in front of him]
Marcel: okay let's tell each other secrets
Marcel: ill go first
Marcel: I really fucking hate you
#nogla#Marcel#basicallyidowrk#bbs#Vanoss#lui calibre#daithi de nogla#h2o delirious#terroriser#i_am_wildcat#miniladd#Smitty#fourzeroseven#Source: you know that one vine
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Mystery Kids and the Case of the Whispering Rock
Summary: Norman, Neil, Coraline, Wybie, Raz and Lili arrive at Grunkle Stan’s Summer Camp with the hope of having a summer of fun, or in the case of the two Psychonauts, with the intent of investigating a psychic disturbance. When they meet two twins that seem to be experts on the secrets of Gravity Falls, they find themselves reluctantly teaming up. But how much can they actually trust each other? There are secrets in this town, but more surprising are the secrets being kept from each other.
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Act 2
Chapter 24: The Right Tools
Thud!
“Oops.”
Tiny particles invade Wybie’s throat. He started coughing and found he couldn’t stop.
“I think you went overboard on the glitter…” Wybie managed to choke out.
“Nonsense! There’s no-” Mabel began to cough. “Such thing... as too much…” But she couldn’t finish her sentence, and instead, she doubled over with wheezing, hacking breaths.
“You were saying?” Wybie asked. It was becoming easier to breathe as the glitter began to settle on the floor of the attic bedroom around them. “Also… why did we need glitter again?”
“Neil, tell him,” Mabel said with a nod to the red-headed kid beside her.
"Glitter enhances everything," Neil informed him matter-of-factly. "It's called aesthetic."
"And more of a good thing is always a good thing!" Mabel added cheerily.
Wybie raised an eyebrow at her. "I'm not sure that's true." However, he didn't say anything more than that. Wybie had known the girl for only a few days, and he had already learned that arguing sense into her was pointless.
Wybie looked down at the square device on the ground which used to be black, but was now pink, had a collection of cupcake stickers, a cat made out of puff paint with big eyes, and rhinestones clustered in any additional left over space. With Mabel’s newest addition, the whole device was also now covered in glitter. As mismatched and horrible as the whole thing looked, he had to admit the cat was painted really well. After the mummy project, Wybie had no doubt that the girl was talented artistically, even if she did have… unusual tastes.
When Neil and Mabel said that they wanted to help Wybie fix the EMF meter, he expected that they would just help him find supplies. He didn’t expect… this kind of help.
“What’s wrong with how it looked before?” Wybie asked.
Mabel shook her head, as if he had just asked the silliest question she had ever heard. “If you were a ghost, what would you be drawn towards? A boring black square box? Or this work of art?”
“Definitely this,” Neil agreed. “It's a lot more fun and everyone likes cupcakes!”
“But the problem wasn’t about getting the ghost’s attention,” Wybie explained. “The problem was getting the device to work properly.”
After they got home from getting lost in the woods and finding the mysterious cabin, Wybie had started working on building the EMF meter while the rest of the kids finished the fake mummy for the shack. It wasn’t a very complicated device, and by the next day, Wybie had the device built. EMF readers detect electromagnetic fields that are given off by electronics, especially old electronics that don’t have their wires properly shielded. EMF fluctuations are also said to indicate ghostly activity. The idea was, even if they couldn’t see Luis themselves, the EMF meter should be able to pick up his ghostly energy… provided they were far enough away from any electronics that could set off the EMF meter. Wybye was still a little skeptical of the science, but he didn’t have a better idea.
Coraline and Norman had been eager to get back to the Cardinal’s old mansion to see if they could find Luis again as soon as possible. They wouldn’t be able to communicate with him if they couldn’t see or hear him, but at least the EMF reader would indicate if he was still around or not. Once they knew if Luis was still around, they could work on other ways of communicating with him.
When they arrived back at the old mansion, Wybie turned on the EMF meter and it immediately calibrated to the surrounding area. The device had an indicator needle that could swing between green, yellow and red; green indicating low electromagnetic energy, yellow indicating medium, and red indicating high levels.
At first, the device was reading green, but as they stepped further into the house, the needle swung to yellow, and the device started letting out a slow beeping noise. Excited, Wybie tried to find the source of the electromagnetic field disturbance by moving the EMF meter around. Coraline eagerly called Luis’s name, but she got no response.
As Wybie swung the device to his left, he noticed that the device started beeping louder as the needle detected more activity. He moved to the left and the beeping increased, the needle moving to red. Slowly, he seemed to be narrowing in on the location of the disturbance. He stopped in front of Norman, and Norman moved out of his way- only for the beeping to decrease again as the needle moved back down to yellow. Wybie adjusted his position, and he was able to pick up the trail again… only to find himself standing in front of Norman for a second time.
Norman’s eyes widened in surprise and the color seemed to drain from his already pale face.
“Wh-what does that mean?” Norman asked nervously as he eyed the EMF meter. “Why is it focusing on me?”
“I’m not sure,” Wybie said as he fiddled with some of the buttons on the meter. “Do you have your phone on you? You should give it to someone else. Maybe that’s what’s setting off the device.”
Norman did so, handing over his phone to Neil.
Norman stepped away from the EMF meter, but again, it focused in on Norman, beeping incessently.
Norman shifted uncomfortably as everyone stared in confusion at the device.
“Wait, I think I’ve seen this movie,” Raz exclaimed with a fake gasp. “Norman’s been dead the entire time!”.
A few lighthearted chuckles from the group eased the atmosphere, and Norman let out an awkward laugh himself.
“It’s probably because Norman was possessed by Luis,” Dipper suggested. Some of his ghostly energy must still be on him, which is messing with the EMF meter.
“Can you do something about that Wybie?” Coraline asked. “We aren’t going to be able to find Luis if the EMF reader keeps lighting up everytime Norman gets close, and I really don’t want to have to wait to find out how long ghost energy can last on a person.”
“I can probably make the device less sensitive,” Wybie said. “That should make it harder to detect Norman and more likely that it will detect a bigger electromagnetic disturbance, like a ghost… theoretically. That's assuming this is even a valid method of finding a ghost.”
“I can leave,” Norman suggested hesitantly. “Maybe that would make it easier for the EMF meter to work if I wasn’t here?”
Dipper shook his head. “No, you should stay. We want to make sure the instrument is actually reading a ghostly entity, not just left over energy. We can actually use you to make sure the calibration is correct.”
“The new calibration might take a while, but I think it will be ready by tomorrow,” Wybie said.
Coraline frowned impatiently, but nodded. “I guess we have no choice but to wait until then.”
“Oh! I can help you, Wybie!” Mabel said eagerly
“Me too!” Neil chimed in.
“Sure,” Wybie said with a shrug.
After all, how could more help be a bad thing?
Past Wybie had been so naive.
Well, Mabel and Neil hadn’t messed with the inside of the device, and as long as it was still functional, that was the most important part.
”You fixed the inside and we fixed the outside! We make a great team!” Mabel said, patting him on the back.
“The outside wasn’t broken-”
“Agree to disagree,” Mabel said flippantly.
“But I haven’t completely fixed it yet,” Wybie said. “I still need to screw this back panel on, but the screws I had to use for the back panel are a lot smaller.” It was a common occurrence when Wybie built things out of spare parts. No big deal. He just needed to use different tools. “I need to use something else. Neil, can you hand me that smaller screwdriver by your leg?”
“Sure!” Neil said and offered the screw driver to Wybie, who thanked him.
“I guess it’s time to find out if it works,” Wybie said as he finished tightening the last screw. “Coraline wanted to try the mansion again today as soon as this was done.”
“Didn’t Mr. Pines want us to work in the shack all day? Won’t he be mad if we all just left?” Neil asked.
“Raz and Lili left a few times yesterday and I think they were gone this morning and I don’t think Mr. Pines noticed. He was too busy with all the tourists,” Wybie said.
“Oh yeah… Why do you think Raz and Lili keep leaving without telling anyone?” Neil asked.
Mabel’s smile widened. "I bet Coraline’s right and they're sneaking away to make out!"
"But whenever they leave they are always really serious and determined. That’s not how people look on TV when they’re about to go kiss someone, or my brother with his boyfriend,” Neil said.
“Also if they are just sneaking off to kiss, why would they be gone for hours?” Wybie added.
“Because they are going on romantic dates, obviously!” Mabel insisted.
“Two to three times a day?” Wybie countered.
Mabel shrugged. “They’re in love!”
“Maybe.” Wybie said, but he suspected there was more to it. Perhaps they were trying to get out of doing work around the shack? Or maybe they had found something more interesting to do in Gravity Falls?
“Do you think your Grunkle would be okay if we left the shack early today to go to the mansion?” Neil asked.
“It depends,” Mabel said thoughtfully. “Grunkle Stan cares if it eats into the profits. With all the new customers we’ve been getting because of the mummy exhibit, he’s probably too happy to care. It’s also past the mid-day rush anyway. We probably won’t get another big batch of tourists until tomorrow.”
Wybie was glad he had been lucky enough to avoid the crowd of tourists that had come to the shop to see the grand reveal of the mummy. The reason Wybie had time to finish the EMF meter was because Coraline, Dipper and Norman were handling the gift shop so they weren’t needed downstairs.
Wybie looked over his EMF meter and turned it on. It hummed, but didn’t start beeping right away, which was a good sign unless the twins bedroom was hunted. In which case it should be beeping very incessantly…
Wybie sighed and turned off the device.
“What’s wrong?” Mabel asked.
“Machines I understand. I could tell you a hundred facts about the different spiders and slugs living in the Pacific Northwest. When I don’t know something, I can research it until I figure it out. But this… ghost stuff. I don’t understand it at all
Mabel cocked her head to the side. “And that’s… bad?”
“Yes!” Wybie said, throwing his hands into the air. “We spoke to a ghost, we found a cabin in the woods powered by magic! I’ve seen all this crazy stuff in the past two days and I don’t know how to make sense of it! How am I supposed to learn or study about something that just breaks the laws of physics? I know ghosts are real. I saw Louis with my own eyes and I’ve known monsters are real ever since… Well, that thing that Coraline doesn’t want to talk about. I can see it, and believe in it to a certain extent, but how am I supposed to understand it? What units of measurement do I even use for ectoplasmic energy or the amount of magic powering the cabin? How am I supposed to understand it, let alone build a device to detect it?” He held up the EMF reader in frustration.
To Wybie’s surprise, Mabel giggled. “You sound like my brother.”
“I do?”
“Dipper will go on and on and say that he loves mysteries, but that’s not true. It’s not the mystery he likes, it’s solving them. The truth is my brother hates mysteries. He can’t stand the uncertainty… he hates not knowing, it eats at him. What he really enjoys is putting the pieces together. You’re similar, you like taking things apart and then putting them back together, but better than before. But with this ghost and magic stuff you’re stuck.” She held up his discarded screwdriver. “Your usual tools aren’t going to help you understand.”
“So what I’m I supposed to do?”
Mabel shrugged. “I don’t know. I don’t know how that stuff works either. What do you usually do when you’re stuck and what you’re trying to do isn’t working?”
Wybie frowned. It wasn’t uncommon for him to get stuck with an engineering problem, but what did he do when he was completely out of his depth?
“You get better tools.” Neil said eagerly and Wybie looked up. “Just like you had me get a different screwdriver for the different sized screws.”
Wybie nodded slowly. “I improvise. But how am I supposed to get better tools to understand magic and ghost stuff?”
Mabel shrugged again. “I guess that’s just another mystery?”
Wybie groaned. “I hate when there are too many mysteries and not enough solutions.”
Mabel grinned. “Welcome to Gravity Falls.”
I'm finally back with the beginning of Act 2! I hope you liked it!
I've also been busy going back and editing this story. I haven't made any major changes so there is no need to reread the story since everything is mostly the same!
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“Head Over Heels” show #816
A couple of years ago, Head Over Heels received its pre-Broadway run in San Francisco and I was tempted to see it. However, in those pre-COVID days, free time was near-non-existent, so I chose to simply wait to see it, knowing it was headed to Broadway. In the 2018-2019 season it opened and, unfortunately, closed before my annual NYC trip, but I feared not. I remember telling whomever would listen, “I’m good; I know Selma’s gonna do it.” I was right, and I am happy that Selma Arts Center’s production, helmed by Michael Christopher Flores, was my first time seeing The Go-Go’s done theatrically. A production that is perfectly-suited for an outdoor venue, Selma’s Head Over Heels is the right dose of post(ish)-pandemic musical medicine we’ve been craving.
Loosely based on 16th century’s The Countess of Pembroke’s Arcadia by Sir Philip Sydney, the music of the Go-Go’s meets literature in the style of your basic jukebox musical. All the foundations are there: multiple love stories, mistaken identities/misunderstandings, a nerdy guy ya’ love to root for, and lots of dancing. Where Head Over Heels rises above most is that audiences aren’t wading through scenes just to get to the next song. Rather, the songs complement the depth of the character’s emotion(s), and, at times, forward the plot. Head Over Heels’ weakness is that its book, originally conceived by Jeff Whitty and then James Magruder, does nearly nothing to serve the production as a whole. And unless you’re a diehard fan of The Go-Go’s, you probably know about four-and-a-half of their hits, and you will find yourself muttering, “Oh! I didn’t know The Go-Go’s sang that!” However, in the exceptional hands of Flores’ direction and choreography, and Mindy Ramos’ stellar vocal direction, this production rises above the material in a way that will have you getting the beat from the show’s opening moments.
Flores astutely makes the show’s jokes and love plots clear, allowing the few gems in the book to come through to audiences. Where Flores’ direction shines is how he calibrates a heightened delivery of the scenes while taking the songs seriously, whether they be seriously-fun, seriously-romantic, seriously-comedic, etc. Troy Sloan delivers an affable Musidorus/Cleophila, whose fluid allure becomes the fixation of three different characters in the play. Sloan’s early solo, “Mad About You,” is a triumph and he never relinquishes the cheering we give him as an audience. Opposite Sloan is a pitch-perfect Annelise Escobedo Lyman as Philoclea, the true apple of Musidorus’ eye. Lyman shines in her leading of the trio, “Good Girl,” delivering innocence and genuine love for her beloved while giving dynamite vibrato. Her ongoing snippets of duet and solos are welcomed turns among a, honestly, fantastic vocal company. Playing Pamela, sister to Philoclea, is Julia Prieto, who gives not only a vocally dominating performance, but one which delivers on the comedy, romance, and drama the role requires. “Beautiful” is a wonderful solo turn for Prieto, and “How Much More,” is a gem. Prieto and Jessica Meredith, playing Pamela’s maid/eventual lover, deliver a show-stopping duet in “Automatic Rainy Day,” and nail the delivery of their romantic arc, the most solidly written in the show.
(Company of Head Over Heels; Photo credit: Kyle Lowe)
William Bishop, as King Basilius, and Ellie West, as Queen Gynecia, give wonderful, appropriately juxtaposing performances of royal buffoonery (the King) and royal intelligence and duty (the Queen). With solid vocal and acting work throughout, their highlight is in their act two duet, “This Old Feeling,” complete with a memorable comedic performance by Sloan, balancing the two’s source of affection. Both West and Bishop lead a wonderful “Heaven is a Place on Earth,” a nice upbeat moment amongst the act two drama. Nwachukwu is a dominating force, both vocally and physically, as the oracle-delivering Pythio. Partnered with I Adeficha’s Snake-puppetry/Pit singing, Nwachukwu gives the musical a grounded focus, a standout performance which truly benefits from their flawless execution of the old theatre note, “less is more.” With engaging crouching, a few sliding stair units, and featured choreography, Nwachukwu’s turns at “A Vision of Nowness,” a few reprises, and “Our Lips are Sealed” are gold. Juan Luis Guzman delivers a scene-stealing turn as Dametas, father to Mopsa. It’s never an easy job to be the comedic relief in a musical comedy, but with Guzman’s physical antics and eloquent delivery of several plot-serving asides, he comes through with aplomb.
(Front center-right: Nwachukwu (Pythio), Up on stairs: I Adeficha (Snake/Pit Singer); The Arcadian ensemble of Head Over Heels; Photo credit: Kyle Lowe)
Now, the Arcadian ensemble. For those who don’t know, “jukebox musical” almost never equates to “easy singing,” and this ensemble delivers on all fronts. The ensemble is truly a unit in voice and in movement. With Flores having a very specific storytelling style while still creating formations and aesthetics which don’t bore, the movement and dance breaks in the score are filled without overdoing. The ensemble is giving it all, in the heat, outside, on a not-cushy stage, and you would have no idea because their execution appears effortless and fun. Flores choreographs the entire company with intelligent vision, always serving the script. I found his (without spoiling it) context of a lift that Sloan receives in act one’s “Mad About You” to have a wonderfully tender meaning when reprised after act two’s “Here You Are.”
Within an intentionally stripped-down tech, it is Damen Pardo’s costume designs which take center focus, and rightly so. The entire company is dressed with enthusiasm in color palettes to complement the company numbers and individual journeys the principal characters take. Head Over Heels is a show that I never have to see again because I’ve seen a peak production. Many bravos and bravas to Flores, Ramos, team, and cast for putting on a highly entertaining show, one which is progressive in bringing to light the importance of understanding pronouns, gender fluidity, and societal norms. These topics are given discussion, and explored through question, in a responsible manner, both in the show and in Selma Arts Center’s program excerpt. It’s not often, or ever really, that one will receive entertainment and education at a jukebox musical. Selma Arts Center has nailed it, so head out and go see this show!
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Daithi: Where are you going?
Lui: To either get ice cream or commit a felony. I’ll decide in the car.
#daithi de nogla#lui calibre#daithi de calibre#banana bus squad#bbs#incorrect quotes#gta au#source: golden girls#I think#I saw it in a screen shot a while ago#and then again on another blog
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Kingsley Coman au PSG ? Le munichois l'envisage bien
Kingsley Coman, l'ailier du Bayern Munich, envisage un retour au Paris Saint-Germain lors de ce mercato estival. Séduit par l'idée de retrouver son club formateur, l'international français privilégie le PSG, bien que le club parisien se concentre actuellement sur d'autres priorités de recrutement. Le Bayern Munich et Kingsley Coman : le grand retour Kingsley Coman, l'ailier du Bayern Munich, semble être à un tournant décisif de sa carrière. À 28 ans, l'international français, auteur en 17 apparitions en Bundesliga de 3 buts (saison 2023-2024), pourrait bien faire ses adieux à la Bavière cet été. Alors que le club allemand envisage un remaniement de son effectif, plusieurs rumeurs circulent autour de l'avenir de Kingsley Coman. Beaucoup d'observateurs estiment que le joueur serait dans le viseur du FC Barcelone, du Manchester City, du Manchester United et surtout du PSG. Lire aussi : Bayern Munich veut bien initier le transfert de Kingsley Coman Paris Saint-Germain : Le choix du cœur pour Kingsley Coman Selon les récentes informations de Florian Plettenberg, journaliste de Sky Allemagne, Kingsley Coman aurait une préférence claire en cas de départ du Bayern : il souhaiterait revenir à Paris. Ce choix ne surprend guère, compte tenu du passé du joueur au sein du club parisien, où il a été formé avant de prendre son envol pour des aventures européennes. Retrouver Paris ne serait pas seulement un retour aux sources pour Kingsley Coman, mais aussi une opportunité de s’imposer dans un effectif renouvelé et ambitieux. Le PSG : entre Désiré Doué et l'hypothèse Kingsley Coman Bien que l'intérêt de Kingsley Coman pour un retour au PSG soit avéré, le club parisien semble pour l'instant avoir d'autres priorités. Actuellement, les dirigeants du Paris Saint-Germain concentrent leurs efforts sur le recrutement de Désiré Doué, milieu prometteur du Stade Rennais. Cette concentration sur Désiré Doué laisse le dossier Kingsley Coman en suspens. Le PSG n'a pas encore pris de décision concernant une potentielle offensive pour l'ailier du Bayern. Un retour à Paris : Un enjeu stratégique pour le PSG ? Le retour de Kingsley Coman à Paris pourrait être une opération stratégique majeure pour le club de la capitale. Avec l'incertitude qui entoure l'avenir de certains cadres offensifs du PSG, l'arrivée de Kingsley Coman apporterait non seulement de l'expérience, mais aussi une polyvalence précieuse sur les ailes. Le club devra évaluer les implications financières d'une telle opération, d'autant plus que le marché des transferts est marqué par une inflation des prix pour les joueurs de ce calibre. Du côté des supporters parisiens, l'éventualité d'un retour de Kingsley Coman suscite à la fois de l'enthousiasme et des interrogations. Si beaucoup voient en lui un joueur capable de renforcer significativement l'effectif, d'autres s'inquiètent de l'accumulation de talents offensifs et de la gestion de la concurrence au sein de l'équipe. Par ailleurs, le silence relatif du PSG sur ce dossier laisse planer le doute quant à la réelle volonté du club de concrétiser ce retour. Voir également : Désiré Doué au Bayern Munich ? L'avenir de Kingsley Coman, Un départ annoncé ? Si Kingsley Coman semble enclin à faire son retour au Paris Saint-Germain, rien n'est encore joué. Le Bayern Munich, tout comme le PSG, reste dans l'attente de développements concrets sur le marché des transferts. Une chose est certaine, l'avenir de Kingsley Coman, qu'il soit à Paris ou ailleurs, sera un des feuilletons à suivre de ce mercato estival. Le joueur et les clubs concernés devront rapidement clarifier leurs intentions pour éviter une situation de blocage, préjudiciable à toutes les parties. Read the full article
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Inkayacu paracasensis
By José Carlos Cortés
Etymology: King of the Water
First Described By: Clarke et al., 2010
Classification: Dinosauromorpha, Dinosauriformes, Dracohors, Dinosauria, Saurischia, Eusaurischia, Theropoda, Neotheropoda, Averostra, Tetanurae, Orionides, Avetheropoda, Coelurosauria, Tyrannoraptora, Maniraptoromorpha, Maniraptoriformes, Maniraptora, Pennaraptora, Paraves, Eumaniraptora, Averaptora, Avialae, Euavialae, Avebrevicauda, Pygostaylia, Ornithothoraces, Euornithes, Ornithuromorpha, Ornithurae, Neornithes, Neognathae, Neoaves, Aequorlitornithes, Ardeae, Aequornithes, Austrodyptornithes, Sphenisciformes, Spheniscidae
Status: Extinct
Time and Place: Between 37.2 and 33.9 million years ago, in the Priabonian age of the Eocene of the Paleogene
Inkayacu is known from Yumaque Point of the Otuma Formation in Ica, Peru
Physical Description: Inkayacu was an extinct penguin, and had a lot of similar traits to other extinct penguins - though resembling modern forms, extinct ones were unique in having extremely large bill size and just large body size in general. Inkayacu was about 1.5 meters long, which is a significant jump from the biggest living penguin (the Emperor Penguin at 1.2 meters long), and Inkayacu wasn’t even the biggest penguin at the time. It had a long, pointed bill, much longer than those seen on living members of the group. And - uniquely - we know the color of Inkayacu! Unlike living penguins, which are all varying shades of black and white with some splashes of other colors elsewhere, Inkayacu was grey and brown. We only known these colors form the flippers (wings), which show grey backs of the flipper and brown fronts, but it’s reasonable to suppose this pattern would follow the patterns of living penguins, where the color of the back of the flipper extends throughout the back of the animal, and the color of the front extends to the front. Thus, we depict Inkayacu with a grey back and a brown front, but this is still a conjecture. The melanosomes are similar to modern birds, long and narrow within the feathers - living penguins actually have wider ones. Other than that, the feathers of Inkayacu are similar to modern penguins in other ways, indicating that it had the same aquatic lifestyle. As such, it was flightless.
Diet: Inkayacu, like other penguins, would have fed on a wide variety of fish and aquatic invertebrates.
Icadyptes and Inkayacu by Apokryltaros, CC BY-SA 3.0
Behavior: Though shaped in a lot of ways like living penguins, Inkayacu was different in a number of ways. It had fewer melanosomes in its feathers than living penguins - and these melanosomes provide rigidity in modern penguin feathers that help with deep-sea diving. Without such melanosomes, Inkayacu might not have been as well adapted to deep diving. Still, it was clearly adapted for spending its life in the sea, diving and sea-flying all over its habitat. It would have used its long beak to stab and grab food, especially slippery food that might be hard to get a grip on. Using its flippers, it could propel itself through the water. Its feet were small and not good for moving, so on land it would probably waddle. This is not an uncommon bird to find, fossil-wise, and so it stands to reason that it would have been very social like living penguins. It would have probably laid its eggs on land, and took care of its young with mated partners. Given it lived in Peru, in the Eocene, it was more adapted for warm weather than cold, and wouldn’t have ventured very far south.
By Julio Lacerda, used with permission from Earth Archives
Ecosystem: Inkayacu lived along the Pervuian Priabonian coast, the Western coast of South America right as the global rainforest of the Eocene was collapsing and being replaced with more varying and arid climates. This was also a time of notable climate change and effects on the ocean, leading to a small mass extinction (especially in the oceans) at this time - killing off many iconic forms, including proto-whales. The conditions of this mass extinction actually allowed the penguins to flourish, and Inkayacu was a part of that flourishing. Inkayacu lived alongside proto-whales like Cynthiacetus and Mystacodon - a toothed baleen whale. Inkayacu wasn’t the only penguin in this area, but was joined by the larger and longer-beaked Icadyptes. As for proper fish, there were ray-finned fish like Engraulis and Sardinops, and unnamed sharks. There may have also been the marine snake Pterosphenus. There were many kinds of invertebrates as well. Inkayacu would probably have had to look out for the sharks and whales, though the fish would have had to look out for it! The coast that Inkayacu would have spent its time on would probably have been more rocky than sandy, though it’s uncertain either way.
By Ripley Cook
Other: Inkayacu is very closely related to living penguins and is just outside the group of modern penguins and their closest relatives, so it showcases the evolution of penguins towards what we’re familiar with today. It’s interesting to note that short beaks seem to be characteristic of the modern crown group of penguins, and that long beaks were found in penguins even as close to the crown group as Inkayacu.
~ By Meig Dickson
Sources under the Cut
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Clarke, J. A., D. T. Ksepka, R. Salas-Gismondi, A. J. Altamirano, M. D. Shawkey, L. D’Alba, J. Vinther, T. J. DeVries, and P. Baby. 2010. Fossil evidence for evolution of the shape and color of penguin feathers. Science 330
Hoffstetter, R. 1958. Un serpent marin du genre Pterosphenus (Pt. Sheppardi nov. sp.) dans L’Éocène supérieur de L’Équateur (Amérique de Sud). Bulletin de la Société Géologique de France 6:45-50
Hooker, J.J.; Collinson, M.E.; Sille, N.P. (2004). "Eocene-Oligocene mammalian faunal turnover in the Hampshire Basin, UK: calibration to the global time scale and the major cooling event". Journal of the Geological Society. 161 (2): 161–172.
Ivany, Linda C.; Patterson, William P.; Lohmann, Kyger C. (2000). "Cooler winters as a possible cause of mass extinctions at the Eocene/Oligocene boundary". Nature. 407 (6806): 887–890.
Köhler, M; Moyà-Solà, S (December 1999). "A finding of oligocene primates on the European continent". Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America. 96 (25): 14664–7.
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Préquels : Spécial Noël : Partie 2
Suite des préquels de Noël, (première partie ici) avec maintenant : Dan, Adia, Myriam, Martin, Maël et Marina. (si vous avez un doute sur quoi que ce soit, n’hésitez surtout pas à aller regarder dans les pages Personnages & Relations qui sont là pour ça). (encore pas de musique pour cause de capricieux tumblr) TW : Famille toxique / suggestion de TCAs / suggestion de dépression / veuvage / complexe sur l’intelligence / gens de droite / relations entre sœurs conflictuelles / mention de divorce
Dan finissait de mettre la table. La soirée de Noël l’angoissait un peu. Il aimait beaucoup sa famille, mais c’était toujours flippant de revoir ses cousins biens mieux que lui, son oncle et sa grand mère qui allaient lui faire mille remarques passives agressives, et sa mère qui allait lui supplier de sourire avec elle même une moue forcée. Il s’attendait déjà à certain lot de remarques. Son oncle allait demander si il allait bientôt ramener une copine et il était évidemment hors de question de lui répondre qu’il était bloqué sur son ami d’enfance depuis qu’il était en Ce2. Sa grand mère allait asséner à ses parents des “mais vous le nourrissez bien, au moins ? Il est tout maigre.”. Génial. Il avait eut la remarque contraire la moitié de son enfance et de son adolescence mais ça faisait trois Noël qu’elle répétait les mêmes choses, comme son poids s’était stabilisé. Il devait se saper aussi, et merde, c’était vraiment une source d’angoisse, encore une fois. Déjà parce que ses seuls trucs habillés étaient près du corps et qu’il détestait ça, et que sinon tout le monde allait lui dire qu’il ne savait pas choisir de fringues de fêtes. Quelle prise de tête. Il fixa la crèche, remettant en place l’âne en plastique tombé par les courants d’air. Voir ça le rendait un peu nostalgique. Petit, il avait fait la crèche plusieurs fois avec Martin, qui même si il était athé avait trouvé particulièrement drôle de placer des figurines en plastique dans une petite niche aménagée. Martin… Il avait envie de lui offrir un cadeau cette année en revenant en cours, mais il n’arrêtait pas de changer d’avis. Rien n’était encore assez bien. Ou peut être juste que Martin était trop bien pour tout. Il sentit une main glacée sur son épaule et eut un mouvement de recul. Sa mère, en robe blanche et maquillée en dorée lui souriait, l’air encore affairée.
“Désolé si ce soir c’est encore un peu le même cirque avec Mamie et tonton… Tu sais bien comment ils sont.”
Dan haussa les épaules et fit un demi sourire. Il commença à avoir l’habitude.
“Tu sais… j’ai réagis un peu à chaud avant hier, je comprenais pas trop. Mais à propos de notre discussion…”
Oh non, non, non. Si seulement elle avait pu oublier. Dan voulait juste qu’elle ne reparle plus jamais de leur échange durant lequel il avait fait un coming out peu assuré.
“Je veux que tu saches que je tiens à toi, d’accord. Et que en vrai, ça me regarde pas, le plus important c’est que tu sois heureux. Et je serais contente que tu ramènes une fille ou un garçon à maison. Ça changera rien, d’accord ?”
Une sensation de soulagement envahit Daniel. Il avait eut tellement peur quand elle avait commencé à en parler, mais si c’était pour lui dire ça, ça valait clairement le coup. Sa mère l’enlaça et il répondit à son embrassade. Ça faisait du bien, qu’elle sache. Il ne risquait pas de ramener grand monde pour l’instant, et surtout pas son “meilleur ami” hétéro, mais au moins, il n’avait plus l’impression de lui mentir à moitié. Ce Noël avait au moins quelques bons points.
“Maman rentrera vers 7h ce matin, on offrira les cadeaux à midi comme vous êtes grands toi et Naïm, d’accord ?”
Adia avait grimacé, alors qu’elle aidait son père à finir de nettoyer la maison de fond en combles. Oui, c’était logique, Dima travaillait comme chirurgienne, elle n’allait pas laisser une hernie discale ou une appendicite en plan car elle voulait aller boire du champagne en famille. Mais bon, c’était frustrant, de passer Noël en décalé, et de faire une demie fête le soir même sans sa mère. Alors qu’elle râlait silencieusement, son grand frère rentra, engoncé dans son manteau et les bras pleins de sacs de courses, suivit d’Hugo, son petit ami, lui aussi très chargé.
“Eh bah quand je vous demande de faire les courses, vous vous moquez pas de moi, les garçons”
Elle et son père était venus leur prêter main forte au couple, tentant de tout faire tenir dans le frigo. Alors que le couple sa taquinait, Adia faisait tout pour retarder ce qu’elle savait qu’elle devrait faire après. Elle n’avait pas envie de se confronter à ça.
“Adia… Tu penses que tu pourras aller chercher Mamie, après ? Elle dois encore dormir dans sa chambre.”
Et voilà. Son frère vient à la rescousse aussitôt.
“Je peux y aller, sinon ? Ça fait longtemps que j’ai pas vu Mamie.”
Merci Naïm, pensa Adia, et échangeant avec ce dernier un sourire tristement complice. C’était dur de se confronter pour elle à la détresse de sa grand mère, surtout qu’habitant encore ici, elle la voyait presque tout les jours. L’aïeule était déjà malheureuse avant d’être veuve, et la tragédie n’avait rien arrangé. Adia ne savait jamais comment se comporter face à elle, et n’en ressortait qu’avec une culpabilité tenace et une impression d’impuissance. Et elle se sentait si éloignée. C’était une impression réellement troublante, comme un mur de silence et d’incompréhension.
Heureusement, elle avait un chouette grand frère, se dit elle en rangeant le crémant. Là dessus, elle avait toute la chance du monde.
“C’est sûr que ce sera pas les mêmes cadeaux que l’an dernier…”
La voix d’Anne était douce et presque railleuse, mais Myriam préférait ça à tout ce qu’elle avait pu vivre avant. L’adolescente sourit et leva les yeux au ciel, avant de sortir une petite bûche glacée du frigidaire. C’était si étrangement calme pour un Noël. Pas de frères, sœurs, cousins pour mettre une certaine animation. Pas de déballage indécent de fric. Pas d’oncle aux pompes à un prix indécent. Tout était dans le petit salon d’Anne, dont la plante verte mourante avait été décorée de boules rouges et dorées, ainsi que d’une guirlande lumineuse clignotante. Myriam ferma les yeux une seconde, s'imprégnant des odeurs de bouffe et du fond musical doux. C’était son premier Noël sans réflexions de droite. Mais aussi son premier Noël sans ses parents. Sans Isaure et Médéric. Ne pas regretter, juste profiter. C’était Noël après tout. Elle s’assit en silence à côté d’Anne sur le canapé gris. Sa tante lui tendit un verre de vin blanc. Elle avait appris à en boire avec ses parents. Ce n’était plus le même calibre, mais elle appréciait ce genre d’alcool plus facilement que la plupart des adolescents de son âge. Alors qu’elle trinquait, elle pensa à la chance d’avoir pu partir. D’avoir eut cet échappatoire. D’avoir quelqu’un qui l’aimait et qui était prête à l’aider comme ça. Des larmes montèrent à ses yeux gris. Son regard sévère s’embua et elle déposa le verre pour prendre Anne dans ses bras.
“Merci… vraiment.”
Elle renifla bruyamment contre le dos de sa tante, étalant son fard à paupière bordeaux alors qu’elle s’essuyait les yeux. C’était puissant, c’était encore une nouvelle étape. Une nouvelle de ce nouveau départ.
Martin était debout sur la jetée, son appareil photo à la main. Il était tôt le matin, la brume enveloppait l’océan, mais pour l’adolescent c’était le temps idéal pour tester son cadeau de Noël, un FE2. Martin sentit le froid engourdir ses doigts minces alors qu’il soufflait dessus. Il adorait cette ambiance. Tout était désert, calme, avec une mélancolie et une douceur palpable. Presque impossible de discerner quoi que ce soit à quelque mètres, ce qui pouvait être chouette pour structurer ses photos. Il avança prudemment, le clapotis des vagues comme seul bruit environnant. Il fallait mieux qu’il profites des vacances pour faire ça, avec le Bac de français, il savait qu’il devrait turbiner. C’était tellement frustrant de voir la plupart de ses potes autour de lui ne pas en foutre une et s’en sortir quand même sans trop de problèmes. Mais pour lui c’était différent. Pourquoi il avait autant du mal ? Si au moins quelque chose compensait, mais non, il était aussi mal en point face aux relations sociales que face à des examens. Et ça, depuis toujours. Et il en avait toujours eut honte. Est ce que personne ne lui disait, mais qu’en vrai ils le considéraient tous comme stupide ? Ca ne l’aurait même pas étonné. Il ne leur aurait pas donné tort. Martin soupira, laissant échapper un peu de buée. Au moins ce matin, il avait l’océan pour lui. Autant en profiter.
“C’est Marina qui t’as mis ce genre de trucs en tête, hein ? J’ai rien contre cette gamine, mais elle a pas à te monter contre nous.”
Maël était allongé sur son lit. Oui c’était Marina, bien sûr que c’était Marina. Heureusement qu’il y avait Marina pour lui avoir montré une autre vision des choses. Et en même temps évidemment que ses parents prenait ça personnellement. Il n’avait pas trop su quoi leur répondre, se contentant d'acquiescer un peu fébrile. Génial, maintenant ses parents aussi allaient le prendre pour un idéaliste stupide, allait faire pleins de réflexions là dessus, et le reste de la famille allait suivre. Maël était fatigué d’avance pour le repas du midi qui allait arriver, et sur les débats politiques que ça allait mettre sur la table. Sa tante allait surement parler des “vilains casseurs”, et rapidement, toute sa famille serait au courant qu’il avait une opinion aux antipodes des leurs. Et là, il avait clairement pas envie de se battre en longs débats, notamment avec sa famille. Surtout avec sa famille.
“Maël, Nathalie est arrivée.”
Le répit était fini.
Marina fulminait. Le repas du 25 décembre venait de se clore et elle avait fusillé des yeux Ange. Ange, était le nouveau copain de sa sœur, qui avait tenue à ce qu’il soit invité au repas du lendemain du réveillon. La mère de Marina avait accepté, et tout le monde en était là. Alors qu’à leur habitude, après avoir passé un réveillon chez leur père et leur famille paternelle, les deux sœurs profitaient de leur mère pour les fête, le repas fut froid et gênant. Comment Denise avait pu dégoter un mec pareil ? Il était… de droite. Il était clairement de droite. Elle s’en était doutée quand elle l’avait croisé la première fois, quelques semaines avant (c’est vrai, en même temps, qui attache des chemises sur ses épaules ?), mais là. C’était le pompon. Des remarques sur les chômeurs, sur les SDFs et sur les pauvres patrons qu’on voulait trop cadrer. Elle avait sentit ses doigts se resserrer sur ses couverts, s’empêchant d’enfoncer sa fourchette dans le globe oculaire de son “beau frère”. Ce qu’il était con. Elle avait tenu tout le repas, essayant d’apprécier tant bien que mal le poulet rôtie aux haricots verts de sa mère, mais à fin, ce fut trop. Avant même le dessert, elle fit un sourire forcé et dit poliment :
“Je penses que je vais sortir de table.”
Dans le couloir, elle avait entendu sa mère dit à son gendre que leurs idées politiques étaient très différentes, et que ça pouvait être compliqué de parler de ça à table. Elle était restée d’un calme Olympien que Marina lui enviait. Si elle avait ouvert sa bouche là dessus, elle aurait tout bonnement incendié le petit ami de sa sœur. Alors qu’allongée sur son lit, elle faisait craquer ses phalanges, elle entendit toquer.
“Oui ? C’est qui ?
- C’est Denise.”
Merde. Elle allait lui faire la morale pour ne pas être restée tout le repas. Fallait pas sortir avec un facho, ce n’était pas sa faute, à elle, si il était aussi difficile de se retenir de lui en coller une.
“Marina… Je sais que c’est compliqué pour toi de parler avec Ange, mais… s’il te plaît, est ce que tu pourrais redescendre, au moins un peu ?
- Effectivement, c’est compliqué de ne pas répondre à toutes les conneries qu’il débite”, siffla Marina entre ses dents.
Denise lui lança un regard sévère. Génial. Elle n’avait pas le droit de critiquer son sacro saint petit copain, maintenant ?
“Écoutes, c’est Noël. J’aime vraiment Ange, et il a promit qu’il ne parlerais plus politique avec vous maintenant.
- C’est un peu tard, maintenant. Tu aurais pas pu briefer ton droitard pour qu’il évite d’aborder ce genre de sujets dans une maison de gauchos comme ici ? Il voulait, quoi, nous tester ?”
Le regard de Denise n’était plus sévère, il était brûlant.
“Mais merde, Marina, tu pourrais faire un effort ! J’amènes juste mon copain à la maison, et il faut forcément que tu en fasse une affaire politique !
- C’est lui qui a commencé à en parler ! Je peux pas faire semblant de rien avoir entendu ! Et vraiment, je suis désolé, oui, ça va être compliqué pour moi.
- Ce que tu peux être extrême.”
Les mots étaient tombés, et avaient pris à la gorge Marina. Alors voilà comment était devenue sa sœur. Elle s’était bien rendue compte que Denise changeait, qu’elle s’éloignait de ses idéaux politiques… mais à ce point ? Est ce qu’elle avait juste préféré ignorer ces changements, qu’elle avait fermé les yeux, et que maintenant un véritable fossé les séparait. Dur à dire. Elle devait en avoir le cœur net.
“Est ce que… tu penses comme lui ?
- Pas exactement. Enfin, c’est compliqué, j’ai pas envie d’en parler.”
Ça voulait dire oui dans la bouche de Denise. Marina eut envie de pleurer. Sa soeurette, sa Denise, était devenue comme ça. Merde. Comment elle avait pu se mentir tout ce temps ? Parce que ��a semblait improbable ? Est ce que ça l’était tant que ça ? Les questions se bousculaient dans la petite tête de la jeune femme. Elle n’avait jamais été tant fusionnelle avec Denise, mais… c’était quand même sa sœur, et sa seule sœur. Quand leurs parents s’étaient séparés, elles s’étaient raccrochées l’une à l’autre. Denise lui avait donné des conseils sur l’école, la lecture, les règles, et des manières à la con de draguer les garçons. Marina avait le sentiment d’être profondément trahie, et surtout, que plus rien ne serait comme avant entre elles. C’est comme si sa sœur de toujours était devenue une étrangère, de part ce changement. Elle eut envie de s’écrouler et de pleurer face à cette perte insidieuse, mais Marina ravala seulement ses larmes et suivit Denise dans le salon. Cet effort serait le dernier, plus jamais elle ne s’amuserait à parler sans reproches à Ange.
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Lui: Hi my name is Lui with a B, and I’ve been afraid of insects my whole life.
Nogla: stop, stop stop, where?
Lui: hm?
Nogla: Where’s the B?
Lui: tHERE’S A BEE?
#source: vine#daithi de nogla#daithi de calibre#Lui Calibre#bbs#bananabussquad#incorrect quotes#incorrect bbs quotes#youtube
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La collection Master Ultra Thin s’enrichit de trois nouveaux modèles
Ces tropis nouveaux modèles sont dotés de complications considérées parmi les plus emblématiques des savoir-faire horlogers – phases de lune, tourbillon date et calendrier perpétuel. Ces trois nouvelles pièces sont en édition limitées en or gris et émail bleu nuit.
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– Copie du communiqué de presse –
MASTER ULTRA THIN TOURBILLON ENAMEL
Nouveau tourbillon à 6 heures et compteur à date revisité à 12 heures forment un duo très équilibré sur cette nouvelle Master Ultra Thin Tourbillon Enamel, une pièce inédite éditée à 50 exemplaires. Dans un boîtier de 40 millimètres, son mouvement, le célèbre calibre Jaeger-LeCoultre 978, a été repensé à la fois techniquement et esthétiquement.
En termes de finitions, on notera les côtes soleillées ainsi qu’une masse oscillante en or qui gagne en grâce. Comme toujours, le regard reste captivé par le spectacle inlassablement fascinant de son tourbillon placé comme il se doit dans un guichet à 6 heures.
Il est là, sous nos yeux, parfaitement visible, presque palpable sous la transparence de sa glace saphir, ce tourbillon qui joue les équilibristes avec une rare précision dans un décor épuré de bleu et d’or gris. La Master Ultra Thin Tourbillon Enamel nous laisse entrevoir, à découvert, la quintessence des savoir-faire horlogers de la Manufacture. Dans son ballet incessant, l’emblématique tourbillon signé Jaeger-LeCoultre n’a pas fini de scander le temps de manière aussi précise que précieuse.
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Avec la Master Ultra Thin Tourbillon Enamel, la belle horlogerie franchit un nouveau cap en termes de raffinement. La flèche de la petite seconde indique une numération à 60 chiffres au fur et à mesure qu’elle parcourt le cadran, comme une manifestation de son excellence. Pour rendre hommage à ce condensé d’ingéniosité, un décor digne de ce nom, soit un cadran guilloché à la main en émail bleu, qui affiche une intensité tout en nuances. Pour les artisans et artistes des Métiers Rares® de la Manufacture, la ligne Master Ultra Thin reste une inépuisable source d’inspiration.
Sur ce modèle inédit qui saura séduire les hommes épris de précision, tous les détails sont magnifiés dans leur plus simple expression… de sophistication. Ainsi, le cadran guilloché à la main sur lequel vient se fondre un fond en émail bleu du plus bel effet, le boîtier en or gris de belle taille, qui se déploie sur un diamètre de 40 millimètres et les index longilignes qui ont été spécialement revisités pour cette édition limitée, comme un prolongement naturel des aiguilles dauphine d’une intemporelle sobriété.
MASTER ULTRA THIN PERPETUAL ENAMEL
Avec ses quatre guichets internes incarnant la maîtrise des complications horlogères dans un décor guilloché émaillé bleu, la nouvelle Master Ultra Thin Perpetual Enamel s’impose au premier regard. Ultraplat, son célèbre calibre Jaeger-LeCoultre 868, l’un des plus représentatifs de la Grande Maison, a également été remanié. À l’intérieur de son boîtier comme à l’extérieur, cette nouvelle interprétation affiche sa rareté, que vient attester le nombre de ses exemplaires. 100 pièces pour cette édition limitée.
Inédit, le nouvel affichage de son calendrier perpétuel (jour à 3 heures, quantième à 9 heures, mois et année à 12 heures) indique simultanément la phase de lune dans les deux hémisphères. Sur un ciel aux étoiles délicatement polies, sa phase de lune se loge dans un disque à 6 heures.
Sublimée par un nouveau design, dont un compteur gravé qui attire immédiatement l’attention, elle se meut avec grâce lors de ses différentes phases, croissante ou décroissante. Incarnant de façon exemplaire la maîtrise des Métiers Rares®, cette complication symbolique apporte à la Master Ultra Thin Perpetual Enamel une aura que les connaisseurs sauront apprécier.
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À l’instar des deux éditions limitées de même famille, la montre Master Ultra Thin Perpetual Enamel se distingue par ses index affinés qui gagnent en longueur. Leur silhouette étirée vient se fondre avec élégance dans le cadran guilloché émaillé bleu.
Réalisé à la main sous toit à la Manufacture, ce travail d’artiste vient magnifier les fonctions de ce modèle dans un souci d’ergonomie visible à l’oeil nu. Au bleu intense et lumineux de son nouveau cadran guilloché dans un souci de précision géométrique parfaite, répond le bleu profond de son bracelet en alligator assorti.
LA MASTER ULTRA THIN MOON ENAMEL
Éditée en 100 exemplaires, la nouvelle Master Ultra Thin Moon Enamel affiche fièrement ses codes dans un style horloger pur et raffiné. Nouveau cadran en émail bleu guilloché à la main. Nouveaux index. Nouvelle lune polie. Nouveau compteur gravé. Sous son boîtier en or blanc de belle finesse (10,04 mm), bat le coeur de son calibre Jaeger-LeCoultre 925, mouvement mécanique à remontage automatique avec une réserve de marche de 70 heures.
L’élégance de la nouvelle Master Ultra Thin Moon Enamel tient au caractère affirmé de son cadran guilloché émaillé bleu. Un bleu profond et envoûtant que viennent rehausser les motifs géométriques et l’effet de relief caractéristiques du guillochage, une technique de décoration traditionnelle plus que jamais au goût du jour. Réintroduit depuis 1996 au sein de la Manufacture, l’émaillage relève lui aussi d’un savoir-faire séculaire.
Réalisé à la main par quelques artisans qui sont formés en interne au sein même de la Manufacture, l’émaillage demande une concentration extrême, une infinie patience et une méticulosité sans faille. Des qualités nécessaires pour le travail du guillochage et l’application de la couche d’émail translucide bleu.
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Sur la Master Ultra Thin Moon Enamel, se détache une nouvelle mise en scène remarquée pour la phase de lune, qui a été redessinée avec un sens aigu du détail. Lorsque la lune est pleine, son disque parfaitement rond et poli se pose sur un fond étoilé de toute beauté. Outre la présence incontournable de sa phase de lune polie, cette édition limitée à 100 pièces revisite avec maestria les standards de la ligne Master Ultra Thin, devenue un classique horloger depuis plus de vingt ans.
Les connaisseurs remarqueront le design revu de ses index à la forme plus allongée qui se dédoublent à quatre temps, soit à 12, 3, 6 et 9 heures. Dans un guichet à 6 heures, le compteur qui abrite la phase de lune polie a été gravé, de façon à faire ressortir les chiffres du compteur à date, comme mis en exergue. Visuellement, l’effet se révèle aussi présent que discret.
-copie du communiqué de presse-
Jaeger-LeCoultre
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Caractéristiques techniques des nouvelles Jaeger-LeCoultre Master Ultra Thin
Master Ultra Thin Tourbillon Enamel Dimensions: 40 mm Epaisseur: 12.13 mm Calibre: 978F – Automatique Boitier: Or blanc Résistance à l’eau: 5 bar Fonctions: Heure/Minute/Seconde, Date, Tourbillon Puissance de réserve: 48 h Cadran: Email bleu guilloché, compteur à date gravé Fond: Ouvert Limitation: 50 pièces Référence: Q13234E1
Master Ultra Thin Perpetual Enamel Dimensions: 39 mm Epaisseur: 10.44 mm Calibre: 868A/2 – Automatique Boitier: Or blanc Résistance à l’eau: 5 bar Fonctions: Heure/Minute/Seconde, Quantième Perpétuel (Jour, Date, Phase de lune, Année, Mois, Zone rouge) Puissance de réserve: 70 h Cadran: Email bleu guilloché, compteur phase de lune gravé Fond: Ouvert Limitation: 100 pièces Référence: Q13035E1
Master Ultra Thin Moon Enamel Dimensions : 39 mm Epaisseur: 10.04 mm Calibre: 925/2 – Automatique Boitier: Or blanc Résistance à l’eau: 5 bar Fonctions: Heure/Minute/Seconde, Date, Phase de lune Puissance de réserve: 70 h Cadran: Email bleu guilloché Fond: Ouvert Limitation: 100 pièces Référence: Q13635E1
Jaeger-LeCoultre présente trois nouvelles Master Ultra Thin Enamel – SIHH 2019 La collection Master Ultra Thin s’enrichit de trois nouveaux modèles Ces tropis nouveaux modèles sont dotés de complications considérées parmi les plus emblématiques des savoir-faire horlogers – phases de lune, tourbillon date et calendrier perpétuel.
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Conversation
Terroriser: So. Who broke it? I’m not mad. I just want to know.
Moo: I did. I broke it…
Terroriser: No. No, you didn’t. Nogla?
Nogla: Don't look at me. Look at Lui
Lui: What?! I didn’t break it.
Nogla: Huh. That’s weird. How did you even know it was broken?
Lui: Because it’s sitting right in front of us and it’s broken!
Nogla: Suspicious.
Lui: No, it’s not!
Squirrel: If it matters, probably not… Bryce was the last one to use it.
Bryce: Liar! I don’t even drink that crap!
Squirrel: Oh really? Then what were you doing by the coffee cart earlier?
Bryce: I use the wooden stirrers to push back my cuticles. Everyone knows that, squirrel!
Moo: Alright let’s not fight. I broke it, let me pay for it, Brian.
Terroriser: No. Who broke it?
Mini: [whispering] Terroriser, Wildcat's been awfully quiet…
Wildcat: Really?!
Mini: Yeah, really!
...
Terroriser: I broke it. I burned my hand so I punched it. I predict ten minutes from now, they’ll be at each other’s throats with warpaint on their faces and a pig head on a stick. Good. It was getting a little chummy around here.
#the gaming terroriser#moo snuckel#daithi de nogla#lui calibre#ohmwrecker#bryce mcquaid#mini ladd#i am wildcat#terrornuckel#daithi de calibre#minicat#banana bus squad#bbs#incorrect quotes#source: the office#this took like 3 weeks#idk why#I need help#i'm binge watching#like 5 shows rn#omg#watching criminal minds was a mistake#i can't sleeeeeeeeeeeeeeep#sleep is for the week#or was it for the weak#i don't remember
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MARDI 15 NOVEMBRE 2022 (Billet 2 / 4)
Si JM croyait encore au Père Noël, il n’émettrait qu’un seul souhait dans la lettre qu’il lui aurait envoyée : une « Devialet Mania ».
Il a déjà 2 enceintes portables : une mini BOSE qu’il emporte avec lui quand il part en voyage (tellement plus agréable de se raser en écoutant de la musique…) et une HARMAN/KARDON pour la terrasse, beaucoup plus volumineuse, avec un excellent rendu musical, en particulier des graves. MALHEUREUSEMENT aucune des deux n’est encore tombée en panne.
De toutes façons, le Père Noël n’est pas bête, il ne comprendrait pas une telle demande. Et pourtant, Dieu qu’elle est belle cette enceinte ! Et quelle qualité sonore ! Waouh !!!
Snif…
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DEVIALET lance « MANIA », sa première enceinte portable… qui s’adapte à votre environnement.
La « Devialet Mania » est une enceinte portable compacte, mais puissante. Elle dispose d’interfaces Bluetooth et Wi-Fi. Elle offre selon le constructeur jusqu’à 10 heures d’autonomie.
Le célèbre constructeur Devialet est connu pour ses enceintes de salon haut de gamme « Phantom », mais il ne s’était pas encore aventuré dans le domaine des enceintes portables. C’est désormais chose faite avec la « Mania ». Ce modèle reprend le concept qui a fait le succès des « Phantom ». Il embarque quatre haut-parleurs large bande, ainsi que deux haut-parleurs latéraux pour les graves, dans un boîtier compact (17,6 x 19,3 x 13,9 cm), comme le montre la vidéo ci-dessous.
En outre, il bénéficie de la technologie ASC (« Active Stereo Calibration ») qui met en œuvre quatre micros pour modifier automatiquement le rendu sonore en fonction de l’espace dans lequel vous vous trouvez. De plus, l’architecture de l’enceinte permet d’obtenir une diffusion stéréo, quelle que soit la position de l’auditeur autour de l’appareil. Devialet annonce une puissance sonore de 95 dB SPL (à 1 m).
Vous pouvez la piloter grâce à l’application gratuite du constructeur, pour Android ou iOS. Elle se recharge en USB (l’adaptateur secteur est fourni) ou en sans-fil avec une station d’accueil. Vous pouvez l’utiliser en extérieur, même par temps pluvieux grâce à la certification IPX4.
La « Devialet Mania » est vendue 790 euros en version standard et 990 euros pour la version « Opéra de Paris ». Cette dernière inclut la station de charge sans-fil, qui est normalement proposée en option pour 79 euros.
(Source : « 01net.com »)
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REVUE DE LA MONTRE DE LUXE ROLEX SUBMARINER 116610LN REPLIQUE
En raison de son apparence stable et pratique, la réplique de sous-marinier Rolex est devenue le signe du modèle de réplique de montre de luxe dans l'industrie. C'est luxueux et parfait. Depuis 1953, date de sa première sortie, les répliques Rolex Submariner 116610 LN ont itéré plusieurs générations et ont été légèrement repensées en quelques décennies. Dans l'ensemble, chaque génération a suivi la conception comme la première version.
Acier inoxydable 904 L – réplique de luxe préférée de Rolex Nous savons tous que Rolex aime l'or et l'acier inoxydable 904 L comme matériau pour ses produits horlogers. L'or est le luxe de ne pas avoir besoin de s'attarder. Quant au 904L, il est principalement appliqué dans les domaines de la haute technologie aérospatiale et physique dans lesquels une température élevée et une résistance à la corrosion sont nécessaires. 904 L est extrêmement résistante et hautement personnalisable dans les conditions les plus sévères, et par conséquent, 904L est le meilleur choix pour les montres de luxe.
Cadran - Noir avec élégance Comme l'humain, le cadran est le visage caractéristique d'une réplique de montre Rolex. Identifiées par le cadran, les aurores émises par la surface du mouvement ont mis en valeur votre goût et votre mode. Chaque unité, chaque cadran, chaque pièce du composant est créée et assemblée à la main pour garantir l'exhaustivité.
Mouvement 3135 – le cœur de la montre de luxe Selon le site officiel des répliques Rolex, le calibre 3135 est un mouvement mécanique à remontage automatique entièrement conçu et construit par le géant lui-même. Le calibre 3135 est conçu avec un chronomètre de haute précision visant à répondre aux normes chronométriques suisses. Le spiral parachrom bleu, utilisant les chocs et la différence de température comme source d'énergie, 3135 vous permet de ne pas avoir besoin de remonter manuellement pour maintenir son utilisation quotidienne.
Lunette de table rotative unidirectionnelle - pour le comptage du temps
La principale caractéristique de la réplique de qualité Rolex Submariner 116610 LN est la lunette de table rotative. Décoré avec un étalonnage de 60 minutes, il offre au plongeur la possibilité de suivre avec précision et fiabilité la durée de la plongée. Un récipient lumineux sur les marqueurs de position à 12 heures garantit la lisibilité. Le bord rugueux de la lunette est particulièrement destiné à apporter une sensation agréable à saisir sous l'eau. Fabriquée en céramique solide, résistante à la corrosion et aux rayures, la lunette n'est qu'un bouclier fiable du corps de la montre pour empêcher l'eau salée. Acheter une réplique de montre Rolex Submariner pas chère Lors de l'achat d'une réplique Rolex Submariner, vous voulez vous assurer d'obtenir les meilleurs exemples et d'utiliser autant d'accessoires d'origine que possible. Sur montrereplique.co, vous pouvez découvrir la réplique Rolex Submariner Black Dial 116610LN de haute qualité à un prix abordable. Et peut comparer et acheter la copie de montre Ref 116610LN à petit prix.
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