#soldat muller
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Frohe Weihnachten
by Ealasaid
Soldat Baumer and Soldat Muller celebrate the holidays.
[for the Officers' Club Christmas in the Trenches exchange!]
Words: 1366, Chapters: 1/1, Language: English
Fandoms: 1917 (Movie 2019)
Rating: Teen And Up Audiences
Warnings: No Archive Warnings Apply
Categories: M/M
Characters: Soldat Baumer (1917), Soldat Muller (1917)
Relationships: Soldat Baumer/Soldat Muller (1917)
Additional Tags: Slice of Life, Christmas Fluff, Canon Era
2023-12-26T18:09:36.000Z2023-12-21T01:17:10.000Z
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germans live au, that’s pretty much it. i just, i love it so much, i worked out most of a story and maybe one day i’ll actually post it if i get enough interest.
#1917#1917 film#my art#soldat muller#soldat baumer#german sniper#german pilot#baumer is just happy to be here#the story gets REALLY angsty cos you know i crave that mineral#thank you silven for naming my son warner#executive decision his last name is schröder now
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I’m calling you out guys for all those posts about Baumer being just young innocent soldier who did nothing wrong and how Muller was like dad to him!
#1917#1917 movie#1917 meme#william schofield#thomas blake#blakefield#joe blake#soldat baumer#soldat muller#lieutenant leslie#private kilgour#private rossi#private cook#actually everyone#wrong use of photoshop
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🇫🇷Le Père Louis DELARUE (1913-1998)⚜️
Il est l’aumônier de la 10e DP. Il a été breveté en 1954 en Indochine. Il rédige son texte sur la torture au lendemain des attentats des deux stades dans la banlieue d’Alger (10 février 1957), faisant 12 morts et 45 blessés dans la foule qui assiste aux matchs. D’abord destiné à quelques officiers de la 10e DP, le texte est repris par Massu pour qu’il bénéficie à toute la division.
« Nous nous trouvons en face d’une guerre d’un type nouveau, d’une guerre révolutionnaire. Nos défenses habituelles : supériorité d’armement, courage et savoir-faire au combat, ont été tournées. Nous sommes en face du terrorisme dans toute sa lâcheté, dans toute son horreur […].
Entre deux maux, faire souffrir passagèrement un terroriste pris sur le fait, et qui d’ailleurs mérite la mort, en venant à bout de son obstination criminelle par le moyen d’un interrogatoire obstiné, harassant, et d’autre part, laisser massacrer des innocents que l’on sauverait si, par les révélations du criminel, on parvenait à anéantir le gang, il faut sans hésiter choisir le moindre : un interrogatoire sans sadisme, mais efficace […].
L’horreur de ces assassinats de femmes, d’enfants, d’hommes dont le seul crime fut d’avoir voulu, par un bel après-midi de février, voir un beau match de football, nous autorise à faire sans joie, mais aussi sans honte, par seul souci du devoir, cette rude besogne si contraire à nos habitudes de soldats, de civilisés. »
Le texte de l’aumônier des parachutistes répond à une offensive médiatique coordonnée des alliés des terroristes : le 15 février Témoignage chrétien publie des lettres de Jean Muller dénonçant la torture ; le 29 mars L’Express publie la lettre de soutien à son directeur, Jean-Jacques Servan-Schreiber, du général de Bollardière ; en mars Pierre-Henri Simon publie Contre la torture.
Inspiré par les théoriciens de la guerre révolutionnaire que sont Lacheroy, Trinquier, Hogard, le dispositif mis en place par les parachutistes prend le contrôle de la casbah et neutralise les terroristes. De son côté, le texte de l’aumônier répond à la propagande médiatique alors que les autorités ecclésiastiques tardaient à fournir une position claire et que l’aumônerie militaire ira jusqu’à lui reprocher de ne pas avoir sollicité son avis, sans critiquer son texte sur le fond.
Son engagement auprès des parachutistes lui vaudra le non renouvellement de son contrat et son rapatriement en métropole en janvier 1961.
Le colonel Trinquier explique dans La Guerre moderne (p. 20) :
« À la lumière des événements actuels, nous pouvons sans difficulté prévoir dans les grandes lignes le déroulement d’une prochaine agression : quelques hommes de main organisés et bien entraînés feront régner la terreur dans les grandes villes ».
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“Listen, I seen my fair share of....everything really. But was putting a propeller engine on top of a man really needed?” Faking joining a cult, pretending to be some idiot villager with no sense of self preservation. Jake Muller is still thinking on that one soldat.
@firehills
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Novembre 2016, Donald Trump est élu Président des Etats-Unis à la surprise de tous les gens bien informés. De nombreuses tentatives de déstabilisation de sa campagne avaient eu lieu avant l’élection (Carter-Page, Papadopoulos, Malafort etc..), dont je ne vais pas parler, faute de place. En fait, je vais m’intéresser presque exclusivement au cas du général Flynn tant il me parait évident qu’il est l’homme qui devait être détruit car sans doute aucun il en savait trop.
Avant de présenter les faits et uniquement les faits, il me faut d’abord, comme dans une pièce de théâtre, répertorier les principaux acteurs ainsi que les fonctions qu’ils occupaient.
Tout le monde connait Obama et Trump, mais dans ce cas-là, les personnages secondaires sont tout aussi intéressants et je vais commencer par la constellation de ceux qui entouraient Obama.
En voici la liste, avec leurs fonctions. Jo Biden, Vice-Président des USA et candidat en 2020 contre Trump. Loretta Lynch, ministre de la Justice, secondée dans ses fonctions par Sally Yates, numéro deux du même ministère (le DOJ) qui a la tutelle sur le FBI, la police fédérale US, dont le patron était James Comey. La conseillère pour les affaires de sécurité (Nationale Security Advisor) était Susan Rice tandis que le chef de la CIA était John Brennan et le patron des organisations de sécurité James Clapper.
Venons-en au général Michael T Flynn. Démocrate, issu d’une famille démocrate, grand soldat s’il en fût, spécialiste du renseignement et de l’action psychologique, Lieutenant Général, c’est-à-dire général trois étoiles, il est nommé à la tête des services de renseignement de l’armée en Juillet 2012 par le Président Obama et donnera sa démission en Avril 2014, le pouvoir en place n’aimant guère ses discours sur les dangers que représentaient l’Islam militant ainsi que son apparente indifférence au danger Russe.
Il rejoint la campagne de Trump pour être nommé, après l’élection au poste prestigieux de « National Security Advisor », celui qui murmure à l’oreille du Président pour toutes les questions relatives à la défense et à la sécurité des USA. Inutile de dire qu’en tant que chef du service de renseignement de l’armée, il devait être au courant de l’endroit où tous les cadavres étaient enterrés en Lybie (Benghazi), en Ukraine, au Moyen-Orient, en Syrie avec le financement d’Isis par Hilary Clinton pour faire tomber Assad et que sais-je encore. Il était donc l’homme à abattre, car ses révélations auraient pu mettre en cause tout l’appareil du parti démocrate et en conduire un certain nombre en prison, pour corruption (voir le fils de Jo Biden en Ukraine et en Chine).
Et abattu, il le fut très vite, et voici la façon dont cela s’est passé.
Commençons par la version officielle.
En Décembre 2016, le parti Démocrate aux USA se rend compte que son ordinateur central a été « hacké « et fait savoir que les coupables sont les services secrets Russes, qui ont transmis les informations ensuite à Wikileaks, qui les publient, ce qui est bien sûr une preuve que les Russes cherchaient à faire élire Donald Trump. Notons que le FBI n’a jamais eu accès à cette machine pour vérifier ces affirmations, ce qui est …étonnant et sans précédent.
Le 12 Janvier 2017, après l’élection de Trump, Ignatius, grand reporter au New-York Times, sort un dossier extrêmement compromettant sur le futur Président Trump, qui, lors d’une visite antérieure en Russie, se serait livré à quelques fantaisies sexuelles à Moscou. Le message est clair. Poutine a suffisamment d’informations de ce type sur Trump pour forcer le nouveau Président des USA à faire ce qu’il lui dira de faire.
Le 24 Janvier, le général Flynn, qui a pris ses fonctions à la maison blanche le 20 janvier précèdent prend un coup de téléphone du numéro trois du FBI, Peter Stzrock lui demandant si lui et l’un de ses collègues peuvent passer le voir pour faire connaissance, ce qu’il accepte. Les deux compères arrivent et lui posent quelques questions sur un coup de téléphone qu’il a donné à l’ambassadeur Russe (sous écoute bien entendu, et dont le personnel du FBI avait les minutes), et dans lequel il demandait à l’ambassadeur de faire passer le message que Trump voulait revenir à de meilleures relations avec la Russie. Le général dit qu’il ne se souvient pas très bien, refusant ainsi de répondre aux questions du FBI, et tout le monde se sépare bons amis. Coup de tonnerre : Dans les jours qui suivent, le FBI met en accusation le général pour avoir refusé de répondre au FBI lors de son interview et notre homme est obligé de démissionner, pour être ensuite trainé devant les tribunaux, forcé de vendre sa maison pour payer sa défense et finir par se reconnaitre coupable d’un crime qu’il n’a pas commis lorsque le FBI lui dit que s’il continue à se défendre, ils vont s’en prendre à son fils.
Le cas Trump semble clos : Pénétration de l’ordinateur du parti Démocrate par des Russes, dossier salace prouvant que Trump était susceptible d’être la victime d’un chantage de la part de Moscou et principal conseiller faisant des offres d’apaisement à l’ambassadeur de Russie avant même d’être au pouvoir à Washington. La messe était dite, Trump était un agent au service de la Russie.
Une commission d’enquête est demandée contre Trump par les démocrates. Le ministre de la Justice de l’époque, choisi par Trump, monsieur Session, ancien Sénateur du Sud qui avait pris un verre avec l’ambassadeur Russe un an avant et dont nul ne saura jamais s’il était idiot, complice ou les deux à la fois, se désiste et confie le dossier au numéro deux du DOJ de l’époque, un monsieur Rosenstein, homme de l’état profond s’il en fut qui enclenche les mécanismes légaux qui mèneront à la création de la commission d’enquête dite de « Muller », ancien patron du FBI et grand copain de Comey où ne figureront que des juristes démocrates. Cette commission va empoisonner la vie de Trump pendant deux ans avant de rendre ses conclusions en 2020 en concluant qu’ils n’ont rien trouvé et qu’il n’y a rien dans le dossier, ce que tout le monde savait au bout de trois mois.
Premier coup dur pour les démocrates. Mais ce n’est que le début. Le général Flynn change d’avocat, car le FBI, loin de le laisser tranquille après ses « aveux », veut lui faire faire six mois de prison. Il demande à un avocat absolument remarquable, une femme, Sydney Powell, de le défendre, virant la grande firme d’avocats qui l’avaient for mal défendu jusque-là. Et cette femme fait découverte stupéfiante après découverte stupéfiante et je vais les citer non pas dans l’ordre où elle les a faites, mais dans leur chronologie
1. Elle découvre que le FBI avait mis sous surveillance et sous écoute le général Flynn dès qu’il avait rejoint la campagne de Trump, en Mars 2016, ce qui était strictement illégal. Elle découvre de plus que le FBI, après neuf mois d’écoutes, concluait le 4 Janvier 2017 que rien ne pouvait être reproché au général et qu’il fallait fermer le dossier. Ce à quoi, Peter Stzrock s’oppose sur ordre de Comey et le général reste sous surveillance.
2. Elle découvre que le 5 Janvier, Obama demande à Comey de ne pas dire à Trump que le général est sous surveillance parce qu’Obama ne serait pas sûr que Trump ne soit pas un agent Russe, ce à quoi Comey acquiesce, alors que ni lui ni Obama n’ont la moindre preuve de quoi que ce soit contre Trump ou Flynn. En fait, Comey continuera à obéir à Obama et à trahir Trump ce qui est une forfaiture, jusqu’à ce qu’il soit viré par Trump.
3. Elle découvre que le même 5 Janvier 2017, une réunion a eu lieu à la Maison Blanche où sont présents Obama, Biden, Clapper, Susan Rice, Sally Yates, Brennan, Comey… et que la décision est prise à la fin de la réunion de tout faire pour faire tomber notre général. Et l’ordre est donné (par qui ?) de monter un piège pour faire tomber Flynn. Ce qui fut fait lors de la visite à Flynn du 24 Janvier. On a retrouvé les notes manuscrites de l’agent qui accompagnait Stzrock lors de la visite et il voulait savoir si le but était 1) de le faire virer,2) de le mettre en prison ou 3) de discréditer l’administration Trump. Et l’ordre, parfaitement illégal de faire cette visite, fut donné par Comey qui s’en est vanté dans une réunion publique dans laquelle ses propos ont été enregistrés. Et c’est pendant cette visite que les deux mafieux ont piégé le général en créant un crime (refus de répondre aux questions du FBI), là où il n’y en avait pas alors que le général pensait que c’était une visite amicale. Par exemple, ils n’ont pas précisé au général quels étaient ses droits (Miranda), qu’il pouvait se faire aider d’un avocat. Qui plus est, il est parfaitement légal de mentir au FBI si cela porte sur question pour laquelle ils ne sont pas mandatés. Or ils n’étaient mandatés pour rien du tout, ayant été envoyés par James Comey « au culot ». On pense à la phrase de Beria à Staline : « Désignez- moi le criminel, je me charge de trouver le crime ».
4. Elle découvre que James Comey avait montré le dossier crapuleux le 6 Janvier 2017, le lendemain de la réunion avec Obama à la maison blanche à Trump et Flynn en sachant qu’il était faux de bout en bout (ce que les notes internes du FBI prouvent) et que ce dossier monté par un agent secret anglais en poste en Russie pendant des années a été payé par le Democratic National Congress (DNC) pour 50 % et par la campagne d’Hillary Clinton pour les 50 % restant, ce que savait parfaitement Comey. Or le code électoral américain interdit de faire travailler un non-citoyen lors d’une campagne, ce qu’ont fait le DNC et Hillary Clinton.
5. Par d’autres sources, on apprend que Comey, Clapper, Brennan & Co ont demandé la mise sous écoutes d’une grande partie des équipes de Donald Trump avant et après le 20 Janvier, en utilisant ce faux dossier comme justification, ce qui fût fait, en sachant qu’il était faux et sans en prévenir les juges qui délivraient les autorisations, ce qui est crime passible de la prison à vie.
6. La chambre des représentants, conduite par monsieur Schiff, un fanatique anti Trump, a fait passer de nombreuses auditions à tous ces gens, Comey, Brennan, Claper, Sally Yates, Susan Rice qui passaient ensuite sur NBC, CBS, CNN ou donnaient des articles au Washington Post ou au New York Times etc. en assurant qu’ils avaient vu, de leurs yeux vu les preuves de la culpabilité de Trump. Les minutes officielles de ces auditions viennent d’être publiées par Richard Grenelle, le haut fonctionnaire en charge de la conservation de ce genre de dossiers à la grande fureur de monsieur Schiff, des démocrates et des media. Aucune de ces personnes n’indique avoir jamais vu la moindre preuve d’une quelconque culpabilité de Trump, car cette fois- là, chacun était sous serment et risquait la prison à vie en cas de parjure. Ce qui ne les empêchait pas continuer de mentir dès qu’ils étaient sortis. Le plus étonnant est cependant la réalité suivante : pourquoi donc les Républicains présents lors de ces auditions n’ont-ils pas fait « fuiter » ces informations à leurs amis dans la presse ? D’où j’en déduis que Trump n’a pas que des amis au parti Républicain et que l’état profond a soigneusement noyauté le parti républicain aussi… (Le Sénateur Graham vient à l’esprit, je ne sais pas pourquoi.).
7. Dans ces auditions – et sous serment-le patron de CrowdStrike, la firme qui gérait l’ordinateur soi-disant hacké du parti démocrate, a dit qu’il n’avait aucune preuve que l’ordinateur ait été attaqué et encore moins par les Russes. Il est donc probable que cela aussi était un mensonge, mais alors pourquoi Julien Assange est-il encore en prison en Grande-Bretagne pour avoir été complice du viol de l’ordinateur du DNC, qui n’a probablement jamais eu lieu, et cela à la demande du ministère de la Justice des USA, ce repaire de brigands ? Assange doit être libéré tout de suite.
8. On vient d’apprendre- vendredi dernier- que Jo Biden avait demandé et obtenu la mise sur écoutes non pas des ennemis des USA mais de ses adversaires politiques américains, ce qui est un autre crime. Et de même pour Sally Yates, Susan Rice, Clapper Brennan qui tous, et en particulier à la fin du deuxième mandat d’Obama, voulaient absolument savoir ce que préparait Trump. Et toutes ces écoutes étaient illégales. Déjà, le Sénateur Républicain Rand Paul va les convoquer tous pour qu’ils répondent à ses questions sous serment, y compris monsieur Biden, qui ne semble pas avoir un respect très élevé pour la Loi et va devoir venir s’expliquer avant les élections, au Sénat et devant des Républicains. A mon avis la carrière de Biden va connaitre un arrêt brutal et il va peut-être devoir passer par la case « prison » où il risque d’être entouré de camarades du parti. Qui sera le candidat Démocrate et comment ce candidat sera t’il désigné ? … est donc la question suivante.
9. Et pour finir, cerise sur le gâteau, le DOJ, à la demande de Sidney Powell, a retiré toutes les charges contre notre général, ce qui n’empêche pas le Juge Sullivan, grand copain d’Éric Holder, lui-même ex-ministre de la Justice d’Obama pendant quelques années, de vouloir continuer à le juger pour un parjure qui n’a jamais eu lieu. Ce doit être le premier cas dans l’histoire des USA où le parquet dit que le prévenu est complètement innocent et qu’il a été victime d’une tentative d’assassinat judiciaire abominable et que le juge entend continuer à le juger. A mon avis la Cour Supreme va devoir intervenir.
Je m’arrête ici non faute de matériel, je pourrais écrire le double de ce que j’ai déjà écrit mais je suis arrivé au point « CQFD », où il n’y a plus rien à prouver tant les faits sont accablants. Rajoutons que maintenant que Flynn a été innocenté, il va pouvoir parler…
Résumons.
Cette affaire est infiniment plus grave que le Watergate, où Nixon avait simplement essayé de couvrir maladroitement quelques bras cassés qui avaient tenté de cambrioler les locaux du DNC sans en avoir reçu l’ordre. Là, il s’agit d’une tentative de coup d’état, préparé avec soin par un groupe criminel, qui avait pris le contrôle des services secrets, du FBI et du Ministère de la Justice, tous noyautés à mort avant le changement d’administration, pour se débarrasser d’un homme qui avait gagné les élections à la loyale.
Et cette action a été totalement couverte par ce qu’il est convenu d’appeler les media officiels (CNN, NBC, CBS. NYT, Washington Post) qui, pour l’instant, refusent de mentionner ce qui est sans doute le plus grand scandale politique de l’histoire des Etats-Unis, en parlant d’une manœuvre de diversion. Seuls Fox et Breitbart se sont battus pour soutenir le Président élu sous les lazzis des bien-pensants.
Et voici ma conclusion : je crois que depuis Watergate, les journalistes du monde entier se sont dits que leur rôle était de faire tomber les régimes « de droite » et que pour cela, puisque la droite était dans son essence mauvaise, tous les moyens étaient bons, y compris criminels. Pour beaucoup de journalistes, aujourd’hui, la fin -détruire la droite-justifie les moyens. Et c’est comme cela que l’état de droit disparait.
Et comme toujours, cette maladie est arrivée chez nous quelques années après et nous souffrons donc du même mal. Le but de nombre de journalistes français est aujourd’hui purement et simplement de détruire les gens de droite, en les empêchant de s’exprimer par tous les moyens. Conclusion : A quoi donc aujourd’hui reconnait -on un journaliste de gauche (pléonasme) ? Au fait qu’il est favorable à la censure…
Il faut donc que ces criminels et leurs complices dans les media passent en jugement et aillent en prison et pour tres longtemps. Je fais confiance à messieurs Barr (le nouveau ministre de la Justice, qui ressemble beaucoup à Droopy le basset et qui a l’air d’en avoir la ténacité) et Durham (le procureur spécial choisi par monsieur Barr, qui lui ressemble à un furet) pour terminer leurs enquêtes avant la prochaine élection présidentielle, car si Trump était battu, tout cela resterait impuni. L’été va être chaud, voire caniculaire à Washington et va durer jusqu’au début Novembre, date des élections présidentielles.
Et ma dernière remarque sera pour dire que le Président Trump a fait preuve d’une incroyable force et d’une résistance stupéfiante pendant toute cette période. N’importe qui d’autre y aurait laissé sa peau et sa santé mentale, ce qui lui vaut toute mon admiration. S’il est réélu, je ne doute pas que les Clinton et en particulier madame Clinton, rejoindront en prison tous les autres criminels qui se sont essayés à fomenter un coup d’état aux USA. Reste la question de ce qui arrivera à Obama, le comploteur en chef. Peut-être Trump le graciera-t-il par respect pour la fonction Présidentielle ? Voilà qui serait un coup mortel pour la vanité immense de ce tartuffe sanctimonieux.
Si tout cela est suivi de condamnations, alors l’atmosphère dans le monde deviendra à nouveau respirable et le danger de guerre reculera partout, l’état profond américain ayant été détruit, ce qui, après tout, était la première promesse électorale du Président Trump. Souhaitons que la même chose arrive en France !
Auteur: Charles Gave
Economiste et financier, Charles Gave s’est fait connaitre du grand public en publiant un essai pamphlétaire en 2001 “ Des Lions menés par des ânes “(Éditions Robert Laffont) où il dénonçait l’Euro et ses fonctionnements monétaires. Son dernier ouvrage “Sire, surtout ne faites rien” aux Editions Jean-Cyrille Godefroy (2016) rassemble les meilleurs chroniques de l'IDL écrites ces dernières années. Il est fondateur et président de Gavekal Research (www.gavekal.com).
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Annette Muller, l'enfant du Vel d'Hiv : une leçon pour le présent 78682 homes
http://www.78682homes.com/annette-muller-lenfant-du-vel-dhiv-une-leon-pour-le-prsent
Annette Muller, l'enfant du Vel d'Hiv : une leçon pour le présent
Il est important de lire et d’écouter les témoignages de rescapés de la Shoah ou du génocide des Tutsis du Rwanda. Ou ceux, aussi, d’anciens enfants-soldats. Si éprouvants que soient leurs récits, il faut s’y confronter. Pour ne pas fermer les yeux sur ce que les hommes ont su faire de pire et pour tenter de comprendre l’engrenage des horreurs. Pour se rappeler aussi que ce qui s’est passé hier ou ailleurs peut arriver tout près de chez nous demain, sous des formes sans doute un peu différentes,…
homms2013
#Informationsanté
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Sauver le genre humain, mais comment ?, le 11 novembre 2018 – Retranscription
Retranscription de Sauver le genre humain, mais comment ?, le 11 novembre 2018. Merci à Eric Muller !
Bonjour, nous sommes le dimanche 11 novembre, et pas n’importe quel 11 novembre : le 11 novembre 2018, c’est-à-dire un siècle après une énorme boucherie, un carnage extraordinaire :des millions de personnes qui sont mortes, des jeunes soldats, mais pas seulement des jeunes soldats. À certains endroits dans cette « guerre civile européenne » comme on l’a appelée, il y avait des gens qui sont venus qui n’avait pas envie de venir. Ceux qu’on a fait venir d’Afrique, ceux qui sont venus d’Australie, de Nouvelle-Zélande, du Canada, des États-Unis… pour se joindre au grand massacre. Chez nous, ce sont surtout des populations, effectivement, de soldats qui sont mortes, mais en quantité absolument considérable de dizaines, de centaines de milliers, des millions de jeunes homme. Et dans d’autres pays, ce sont surtout les populations civiles qui ont écopé, comme en Turquie, où il y a eu là des millions de morts, de morts civiles.
Une occasion de penser, donc – mais c’est pas ça qui nous manque : les occasions de penser, malheureusement, ne nous manquent pas, et moi, j’ai eu personnellement, l’occasion de beaucoup réfléchir c’es trois jours de la semaine dernière (mardi, mercredi, jeudi) où j’ai parlé de mon dernier livre Défense et illustration du genre humain. J’ai parlé de cela à différents auditoires. Vous êtes venus, vous les lecteurs du blog. Vous pouviez venir aussi bien à Lille mardi, que vous pouviez venir aussi à Paris, jeudi, pour vous joindre à un petit groupe de psychanalystes, et dans une pièce où on pouvait mettre vingt-cinq personnes, vous étiez j’ai bien cinquante, mais ça s’est très bien passé.
L’enseignement que je tire d’avoir parlé de ce livre trois jours de suite, c’est la chose suivante, et elle aurait déjà pu m’apparaître à partir des compte-rendus – j’allais dire des critiques mais ce n’est pas des critiques, je vais vous expliquer pourquoi – des compte-rendus qui ont été fait de ce livre.
Ce livre n’a pas produit de critiques, c’est ça qui est tout à fait extraordinaire. Personne n’a pris la peine de dire : « Ce livre n’est pas bien » d’une manière ou d’une autre, ce qui veut dire que ceux qui l’ont lu peuvent considérer qu’il n’y a rien à en tirer, ou bien qu’il faudrait en dire beaucoup de bien – ce qui a été le cas de deux personnes. Deux personnes m’en ont dit un tel énorme bien que j’étais un peu gêné à lire leur texte, Mais elles ont été très isolées.
Sur quoi cela attire-t-il mon attention ? De la même manière que mes contact avec vous ces trois jours de la semaine écoulée, c’est que c’est un livre qui est très exigeant. Il est très exigeant parce qu’il demande une conversion. Il demande à celui qui va souscrire aux thèses de ce livre , il demande de changer sa perspective de vue sur les choses de cinq ou six manières différentes – je n’ai pas compté – et non seulement de changer de perspective sur cinq ou six choses très importantes dans notre vie, mais de les combiner de la manière que je suggère. Et à ce moment-là, c’est autre chose qui apparaît. C’est tout à fait autre chose : une autre représentation, non seulement du monde mais aussi de ce qu’est notre espèce – le genre humain – à l’intérieur de ce monde, et le rapport que nous avons avec les choses qui sont extérieures (ou même celles que nous produisons et que nous avons une tendance extrêmement nuisible à appeler artificielles), et qui nous sommes à l’intérieur même de ce cadre, avec la vision un peu décentrée que nous ont produit différentes révolutions de la manière de voir les choses, Darwin à une époque, Freud à une autre et ainsi de suite. Et là, pourquoi est-ce que je prône cette autre manière de voir les choses ? Mais, bien entendu, parce qu’elle me paraît être l’alternative. Elle me paraît même être la seule alternative qui donne une petite chance de survie à notre espèce à la surface de la terre.
Parce que, qu’est-ce qu’on a en ce moment ? Je vous le dis rapidement – je vous rappelle des choses que vous savez déjà : on a, d’une part, un ultra-libéralisme conservateur qui dit aux gens qu’il n’y a pas de problème, qu’il suffit d’un peu de détermination, un peu de bonne volonté et un peu de force de caractère, de traverser la rue pour trouver un bon emploi… Voilà : « Si on est pauvre et qu’on n’est pas content, on n’a qu’à travailler un peu plus, et puis on cessera d’être pauvre, et tout s’arrangera », une représentation qui va à l’encontre de toute description réaliste du monde tel qu’il est – pour autant qu’une représentation de ce type-là ait jamais existé, en tout cas, elle n’existe plus maintenant. J’ai déjà attirer l’attention sur le fait que les gens qui disent comme ça « Traversez la rue, vous allez trouver l’emploi qui vous convient, vous allez devenir riche ou vous allez devenir milliardaire » s’ils y croient, eh bien, c’est grave en soi parce que ça veut dire que ce sont des gens qui n’ont pas accès à une information fiable sur le monde tel qu’il est. S’ils mentent, s’ils disent cela en sachant que ce n’est pas vrai, à ce moment-là, j’ai déjà employé le mot de « criminel » et je n’hésiterai pas à le réutiliser.
Et en face de cela, il y a une opposition qui apparaît. C’est une opposition qui manque de moyens. Qui manque de moyens de représentation, qui tombe facilement dans des thèses complotistes, qui relie ces thèses complotistes par des pointillés faute de mieux. Et ça, je le dis souvent, c’est parce qu’on refuse, on refuse à une opposition à cet ultralibéralisme, on refuse les moyens d’avoir accès à l’information et à des théories dignes de ce nom, et on produit, on soutient en particulier quelque chose qu’on essaye de vendre au public sous le nom de « science économique » et qui est un simple discours idéologique qui sert essentiellement aux financiers pour dire au reste du monde – aux politiques pour commencer et au reste du monde par la suite : « Laissez-nous faire; on a compris comment ça marchait et c’est très très compliqué. Il ne faut pas que vous vous en occupiez, et de toute manière, il n’y a pas moyen que cela fonctionne autrement. » Et ça aussi c’est criminel. Ce n’est pas simplement que la « science » économique soit quelque chose auquel on croit ou on ne croit pas, comme l’astrologie. Non, c’est criminel parce que c’est l’armature, c’est l’outil intellectuel qui est utilisé par des gens pour nous imposer un certain type de solutions auxquelles ils ne croient pas eux-mêmes, et auxquelles les prix Nobel d’économie ne croient pas non plus quand ils nous proposent des solutions – admirables en terme de logique de profit – qui nous permettent de ne faire augmenter la température à la surface du monde que de quatre degrés et demi… De qui se moque-t-on en donnant des prix Nobel d’économie a des « zouaves » de ce type là ? (je reprends un vocabulaire un peu tintinesque).
Alors, d’un côté, on a ça, et par ailleurs, on a des gens de bonne volonté qui essayent de vivre dans les interstices de ce système en disant : « Ce n’est pas pour nous, on ne s’en occupe pas » mais qui n’utilisent que des solutions absolument individuelles. Je vais vous lire un petit passage d’un truc qu’on m’a envoyé tout à l’heure – je remercie la personne qui m’a signalé ça – c’est quelqu’un qui écrit : « Qui aurait été assez insensé pour croire que le recyclage aurait pu arrêter Hitler, que le compostage aurait pu mettre fin à l’esclavage ou nous faire passer aux journées de huit heures, que couper du bois et aller chercher de l’eau au puits aurait pu sortir le peuple russe des prisons du tsar, etc. » C’est un certain Monsieur Derrick Jensen, c’est un militant écologiste américain, mais c’est un militant écologiste de choc, je dirais politique, comme vous avez pu le voir dans le passage que je viens de citer. Il nous explique : « La culture de la consommation et la mentalité capitaliste nous ont appris à prendre nos actes de consommation personnelle (ou d’illumination) pour une résistance politique organisée », et là, il attire l’attention sur quelque chose que vous savez : ce sont ces gens qui vous disent : « Eh bien, voilà : moi je prends des solutions individuelles de ce type-là, et si tout le monde faisait pareil, eh bien nous irions tous ensemble dans la bonne direction », en mettant entre parenthèses qu’il faudrait au moins que des centaines de millions de personnes aient la possibilité de le faire de la même manière, si pas des milliards, en mettant entre parenthèses le fait qu’il faudrait, pour être appliqué, que ce soit un « impératif catégorique » comme disait Kant – quelque chose que l’on ne peut appliquer que parce que cela s’applique à tout le monde -, en mettant entre parenthèses qu’il faudrait des centaines de millions, des milliards de personnes qui soient en position de le faire, en fait, on ignore la possibilité d’une solution.
Il y a trop d’endroits au monde – pour prendre un seul exemple – où les terres sont polluées et où faire un jardin [potager] dans son jardin serait extrêmement dangereux. Je vous l’ai raconté à l’époque, c’était il y a quelques années : un ami à moi qui me parlait de ce type de solutions et qui m’avait expliqué que, là où il se trouvait, il n’avait pas la possibilité, malheureusement lui, d’appliquer ces bons principes parce que la terre dans la ville de Liège où il habite est tellement polluée – elle a été polluée pendant des centaines [d’années], des siècles, et il faudrait encore au moins des dizaines d’années pour la dépolluer – que ce genre de chose n’est pas possible.
Et ce que je vois maintenant est un peu dommage. C’est que, ces personnes qui sont un peu, je dirais, coincées dans des solutions de type purement individuel, [elles] évoluent pour la plupart vers une représentation du monde qui est, elle aussi, de type individualiste, c’est-à-dire le mode de pensée survivaliste : « Bon, eh bien, on n’y arrivera peut-être pas, effectivement : on n’est peut-être pas assez nombreux à vouloir aller à vélo ou à planter des courgettes sur notre balcon etc. C’est grave, mais on va quand même s’arranger », et on va s’arranger en petits groupes qui vont respecter ce genre de principes, et qui vont se défendre, et qui vont organiser des oasis etc. Et là encore, ça portera peut-être dans le meilleur des cas sur des petits groupes, d’isolats qui vont pouvoir vivre de telle et telle manière… Mais si il n’y a plus assez d’oxygène dans l’atmosphère, s’il y a trop de gaz qui sont toxiques pour nous, si on ne trouve plus d’eau potable et en quantité suffisante dans le monde, si ce que nous appelons « les aliments assimilables » ne sont plus en quantité suffisante (voir le film La route), il n’y aura pas de groupe survivaliste qui s’en sortira.
Alors, qu’est-ce qu’il faut faire ? Et bien, ce que j’espère moi, c’est qu’on va adopter mes propositions de changer la manière de regarder le genre humain, comment il se situe dans le monde, ce qu’il est, qu’est-ce que sont les individus, les sujets, à l’intérieur de cela, et qu’on va pouvoir, là, retrouver des solutions aux questions que nous nous posons. Et là, ce ne sont pas nécessairement des réponses inattendues, dont on n’a jamais entendu parler. On va retomber, à mon avis, sur pas mal de choses que l’on connaissait déjà, à une époque, sous le nom de « socialisme utopique » probablement, ou « socialisme petit-bourgeois » si je pense à Sismondi. Qu’est-ce que c’est que ces termes de « socialisme utopique », de « socialisme petit-bourgeois » ou de « socialisme chrétien », etc. ? Ce sont les termes, péjoratifs bien entendu, utilisés par Marx et Engels dans le Manifeste communiste. Il faut peut-être se débarrasser une fois pour toutes de ces qualificatifs infamants, et se dire que c’est là, peut-être, qu’il y a les sources d’inspiration les plus importantes pour nous.
Ça ne veut pas dire qu’on puisse faire un monde comme ce que ces gens ont essayé de décrire, les choses ont changé considérablement : nous sommes plus nombreux, la technologie nous permet de faire un certain nombre de choses… Il y a, dans ce socialisme « utopique » … « petit-bourgeois », etc., un peu d’illusions sur la nature humaine qui serait peut-être meilleure qu’elle ne l’est en réalité, mais il y a là un terreau fertile, et j’espère qu’avec mes cinq ou six petits changements de paradigme, avec le regard différent que je propose sur la manière dont nous sommes et dont nous pourrions être – et qui provoque la conversion de quelques personnes, ce qui est très encourageant – qu’on pourra provoquer la percolation, c’est-à-dire le fait que des petites conversions de ce type aient lieu de voisin à voisin, de parent à parent, et que nous pourrions peut-être aller rapidement dans la bonne direction.
Il ne faut pas se faire trop d’illusions : il y a des gens qui sont, je dirais, les quatre fers dans des solutions de type « se débarrasser de telle ou telle minorité » pour faire avancer les choses. Ce sont des gens qui feront difficilement machine-arrière, mais on ne peut pas se permettre le luxe de dire qu’on va mettre un certain nombre de personnes de côté pour la solution du genre humain, de sa survie à la surface de la terre, dans un monde où on retrouverait de la diversité, où l’on reproduirait ce paradis terrestre qu’on aurait pu faire – et qu’on a peut être connu, d’ailleurs, comme le disent certains, à une époque où on était des chasseurs-cueilleurs. C’était peut-être ça, on n’aurait peut-être jamais dû en sortir, on n’aurait peut-être dû jamais planter du blé et essayer de s’adapter à ça et ainsi de suite… Mais il est un peu tard, il est un peu tard pour envisager ce type de solutions : il faudra trouver des solutions avec sept milliards de personnes ! Et pour ne pas prendre des raccourcis comme de nous dire : « Oui mais, il y a des solutions qui sont possibles avec etc. etc » et quand j’ai fait le calcul l’autre jour, pour quelqu’un, en disant : « Comment est-ce qu’on pourrait faire ? De combien faudrait-il baisser le nombre d’humain à la surface de la Terre pour que votre solution optimiste soit envisageable ? » Il faudrait réduire – c’est approximatif – il faudrait quand même réduire d’un facteur de l’ordre de mille fois à dix mille fois. Donc ça, c’est quand même énorme, c’est quand même très difficile à faire !
Allez, on va essayer autant qu’on peut. On va essayer de sauver le monde, le genre humain a la surface de notre planète qui est si belle, même quand on fête des anniversaire tragiques de la manière peu subtile donc nous essayons de résoudre nos problèmes (j’ai trouvé une petite périphrase pour remplacer le mot que je m’apprêtais à vous dire).
Allez, passez un bon dimanche.
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Trivia XXIX: Slaget vid Caransebeș
eller
Hur du får ett fylleslagsmål att urarta på sämsta möjliga sätt
��ret är 1788, och som vanligt i europeisk tidigmodern historia är det långt ifrån frid och fröjd på Balkan. Under de senaste några hundra åren har Osmanska Riket och Habsburgska monarkin (the artist later known as Österrike-Ungern) är återigen i krig med varandra. För enkelhets skull kan vi kalla landet för Österrike i denna text. Kriget började egentligen med att Osmanska riket förklarade krig mot Ryssland, efter att ryssarna provocerat turkarna under flera års tid. Sedan några år var Österrike och Ryssland allierade, och kejsar Josef II var därför tvungen att ge sitt fulla stöd i kriget. Hans intresse för att dra ut i krig på Balkan kan bäst beskrivas som fesljummet, i synnerhet eftersom Preussen nyligen seglat upp som ett hot vid Österrikes norra gräns, och ett uppror dessutom pågick i Belgien. För genom en lång och komplicerad historia av strategiska äktenskap tillförde Belgien såklart Österrike vid den här tiden.
Österrike ger sig in i kriget under 1788, ett år efter att det börjat. Med en enorm armé på bortåt 100 000 soldater går man in på osmanskt territorium i vad som idag är sydvästra Rumänien. Det är slutet på september när man slår läger för natten inte långt från byn Caransebeș. Som brukligt är skickades lätta ryttare ut för att rekognoscera terrängen och försöka lokalisera fienden. Ryttarna skred försiktigt fram och korsade floden Timiș. På andra sidan floden råkade de på en grupp romer som slagit läger och erbjöd sig att sälja sprit till soldaterna, som gladeligen accepterade och genast började supa istället för att rekognoscera.
Hemma i lägret märker man att ryttarna inte är tillbaka, och en grupp infanteri skickas ut för att leta efter dem. Redan här märker man att 1788 års österrikiska officerar inte sett skräckfilmer, och alltså inte förstår att det är en dålig idé att gå ut i små grupper för att leta efter tidigare små grupper som letade efter någon farlig stor grupp. Hur som helst kommer infanteristerna också fram till det romska lägret, där det är hejdundrande spritkalas på gång. Infanteristerna gick raskt dit och krävde att få ta del av spriten de med, vilket ryttarna blåvägrade. Det var ju deras sprit! För att göra det hela värre började de barrikadera sig runt sprittunnorna. Ett högljutt bråk uppstod, och mitt i alltsammans avfyrade någon ett vapen. Det blev startskottet för 1788 års EM i friluftsbarslagsmål.
Någonstans under detta tumult började någon ropa "Turci, turci!" ("turkar, turkar!"). Plötsligt mindes ryttarna att de ju egentligen skulle leta efter fienden samt att de var dyngraka och blåslagna. I panik för att fienden när som helst skulle dundra in tog de sig raskt upp i sadeln igen och började galoppera hem mot lägret för att undkomma med livet i behåll. Infanteristerna gjorde detsamma. För att ytterligare spä på förvirringspotentialen i den österrikiska armén kom soldaterna från många olika delar av Europa och talade många olika språk. Där fanns lombarder, österrikare, serber, kroater, slovener, tjecker, polacker, ungrare och ännu fler. Några officerare försökte stoppa det hela genom att ropa "HALT! HALT!" på tyska, men många panikslagna soldater kunder bara höra "ALLAH! ALLAH!" och fortsatte ha panik.
Hemma i lägret är det nu mitt i natten, och de som inte har nattvakt sover. Plötsligt hörs ett ett tilltagande muller av hovar närma sig lägret och alldeles snart rider en stor grupp ryttare rakt igenom. Ett vaktbefäl fastslog, egentligen inte helt orimligt, att det måste vara en räd av turkiska trupper, och beordrade artillerield. Snart nedsjönk lägret i ett virrvarr av rök och panik, med nyvakna soldater som sköt mot skuggor i mörkret som om turkarna var överallt. Egentligen var de alla på samma sida.
Det hela gick så långt att armén blev tvungen att göra en illa planerad reträtt från den icke-existerande fienden, och för att göra det hela ännu värre ramlade kejsar Josef II av sin häst under reträtten och ned i en liten bäck. Allt som allt dog omkring tusen personer i den icke-turkiska icke-räden då dyngraka panikslagna ryttare dundrade in i lägret. Vidare förlorade man tre kanoner och kistan med arméns lönelista.
Två dagar senare ankom den turkiska armén till platsen. De fann hundratals döda och sårade soldater kvarlämnade, och återtog enkelt Caransebeș utan nämnvärt motstånd. Kriget pågick i tre år till, och slutade med att nästan ingenting egentligen förändrades på kartan.
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Chronologie générale de la vie d’Adolf Hitler (1889-1945)
-20 avril 1889: Naissance à Braunau am Inn, petite ville autrichienne, à la frontière allemande, d’Adolf, fils d’Aloïs et de Klara Hitler.
-1895: Adolf à la Volksschule (école primaire) de Fischlam.
-1898-1898: Hitler entre à l’école des Bénédictins de Lambach.
-1899: Aloïs Hitler s’établit à Leonding, village proche de Linz.
-Septembre 1900: Le jeune Adolf entre à la Realschule de Linz.
-1903: Mort d’Aloïs, devenu en fin de carrière douanier-chef.
-Mai 1906: Premier voyage d’Adolf à Vienne.
-1907: Il arrête ses études sans avoir obtenu le baccalauréat (Abitur). Il se rend à Vienne pour se présenter à la section peinture de l’Académie des Beaux-Arts; échec. Echec aussi en architecture, faute de baccalauréat. En décembre, mort de Klara, sa mère.
-De février 1908 à mai 1913: Il est à Vienne où il fréquente les milieux occultistes et antisémites. Il vit chichement de ses tableaux et aquarelles.
-De mai 1913 à août 1914: Il séjourne à Munich où il retrouve les mêmes milieux.
-3 août 1914: L’Allemagne déclare la guerre à la France.
-16 août 1914: Il s’engage dans l’armée bavaroise.
-9 novembre 1914: Il est nommé caporal.
-2 décembre 1914: Il reçoit la croix de fer de 2e classe.
-Octobre 1916: Il est atteint à la cuisse par un obus au cours de la bataille de la Somme, évacué dans un train sanitaire, soigné dans un hôpital militaire de la banlieue de Berlin.
-1er mars 1917: Réincorporé dans le 16e Régiment d’Infanterie bavaroise.
-14 octobre 1918: Gazé devant le village de Werwick, il est aveugle. Evacué en Poméranie, à l’hôpital de Pasewalk.
-3 novembre 1918: Emeutes à Kiel (dans la flotte de guerre).
-7 novembre 1918: Emeutes à Hanovre.
-8 novembre 1918: Emeutes à Cologne et à Munich (proclamation de l’indépendance bavaroise); le mouvement révolutionnaire gagne toute l’Allemagne; formation de “Conseils d’Ouvriers et de Soldats” (soviets).
-9 novembre 1918: Abdication de Guillaume II; proclamation de la République allemande.
-11 novembre 1918: Armistice entre Allemands et Alliés (Erzberger et Foch) signé à Rethondes.
-Fin novembre 1918: Hitler quitte Pasewalk pour Munich.
-2 janvier 1919: En Allemagne, grève générale organisée par les Spartakistes (communistes); mouvement écrasé par l’Etat-Major (Groener) avec l’accord des sociaux-démocrates.
-11 au 15 janvier 1919: La semaine sanglante, assassinat de Karl Liebknecht et de Rosa Luxembourg, leaders spartakistes.
-28 juin 1919: Signature du traité de Versailles avec l’Allemagne; celle-ci non associée aux débats.
-11 août 1919: Signature de la constitution de Weimar; République libérale et parlementaire: Président de la République élu pour sept ans: Ebert, social-démocrate; le chancelier (nommé par le Président); le Reichsrat (représentation des Lander), le Reichstag (assemblée élue pour quatre ans à la proportionnelle et au suffrage universel).
-12 septembre 1919: Hitler rencontre Drexler, fondateur du Deutsche Arbeiterpartei, Parti ouvrier allemand.
-1920: Résistance de l’Allemagne au traité de Versailles, formation de corps-francs; flotte de guerre allemande à Scapa-Flow. Le nouveau régime menacé par les extrêmes.
-Mars 1920: Putsch de Kapp (extrême-droite) qui échoue devant la grève générale; les soulèvements ouvriers (Ruhr) sont matés. Echec du gouvernement social-démocrate.
-7 août 1920: Fondation du N.S.D.A.P, Nationalsozialis-tische Deutsche Arbeiterpartei.
-1921: L’Allemagne rejette le chiffre des répartitions fixé à Spa.
-Mars 1921: Sanctions: les troupes françaises occupent les ports du Rhin. Hitler reçoit les pleins pouvoirs au sein du parti.
-29 juillet 1921: A l’instigation de Rudolf Hess, Hitler est proclamé Fuhrer (et non président) du N.S.D.A.P. Son service d’ordre Stosstruppe devient Sturm Abteilung (Section d’Assaut sigle S.A.) garde prétorienne sous les ordres de Rohm.
-Janvier 1923: Occupation de la Ruhr par les troupes françaises et belges.
-8 novembre 1923: Dans la soirée, Hitler et ses partisans envahissent le Burgerbraukeller brasserie de Munich où von Kahr, chef du gouvernement de Bavière, favorable à l’autonomie du pays et à la dynastie des Wittelsbach, tient une réunion. Ils l’obligent à accepter la nomination d’un nouveau gouvernement dont Hitler serait le chancelier. Dans la nuit, von Kahr reprend la situation en main.
-9 novembre 1923: Au matin, la police et l’armée bavaroises tirent sur les nazis, 14 morts. Hitler et Ludendorff (général d’une armée qui devait marcher sur Berlin) sont arrêtés. Hitler et Hess sont emprisonnés à Landsberg.
-Décembre 1924: Hitler quitte la prison de Landsberg.
-1925: Hindenburg président du Reich.
-1928: 12 députés nationaux-socialistes entrent au Reichstag.
-Janvier 1929: Himmler promu chef des SS.
-Octobre 1929: Hitler rencontre Eva Braun.
-Septembre 1930: 107 nationaux-socialistes sont élus.
-Février 1932: Hitler se hâte de solliciter la nationalité allemande pour pouvoir se présenter aux élections présidentielles. Il n’obtient que 36.8% des voix. C’est Hindenburg qui est réélu.
-30 janvier 1933: Hitler est nommé chancelier du Reich.
-1er février 1933: Dissolution du Reichstag.
-27 février 1933: Incendie du Reichstag.
-20 mars 1933: Le premier camp de concentration est ouvert par Himmler à Dachau.
-23 mars 1933: L’Acte d’Habilitation donne à Hitler les pleins pouvoirs.
-31 mars 1933: Il dissout tous les Landtage, assemblées locales des Lander.
-Avril 1933: Goering crée la Gestapo.
-2 mai 1933: Dissolution des syndicats. Durant tout le mois: premiers autodafés de livres.
-Juin et juillet 1933: Disparaissent le parti social-démocrate, le parti national-allemand et les partis catholiques.
-20 juillet 1933: Ratification du concordat avec le Saint-Siège.
-21 septembre 1933: Création de l’Union de secours des pasteurs protestants.
-27 septembre 1933: Ludwig Muller est nommé Evêque du Reich des Chrétiens allemands, protestants, pronazis.
-29 au 31 mai 1934: Synode de Barmen de l’Eglise confessante protestante, hostile aux nazis.
-29 au 30 juin 1934: Nuit des longs Couteaux, au cours de laquelle sont massacrés la plupart des dirigeants SA.
-2 août 1934: Mort de Hindenburg. Hitler “Fuhrer et chancelier du Reich”.
-19 août 1934: Un plébiscite confirme Hitler avec 89.9% des voix.
-20 octobre 1934: Le Synode confessionnel de Dahlem proclame l’état d’urgence pour l’Eglise protestante.
-2 janvier 1935: L’amiral Canaris prend la direction du contre-esprionnage militaire (Abwehr).
-16 mars 1935: Création à Cologne du service catholique de défense contre la nouvelle idéologie.
-15 septembre 1935: Lois de Nuremberg enlevant aux juifs la citoyenneté allemande et la totalité de leurs droits civiques.
-7 mars 1936: Remilitarisation de la Rhénanie.
-Mai 1936: Le pasteur Niemôller adresse à Hitler un mémorandum pour protester contre le néo-paganisme et l’antisémitisme.
-17 juin 1936: Heinrich Himmler devient chef de la police allemande.
-1er au 18 août 1936: Jeux Olympiques de Berlin.
-25 octobre 1936: Création de l’Axe Rome-Berlin.
-25 novembre 1936: Pacte antikomintern entre l’Allemagne et le Japon.
-28 avril 1937: Procès à Berlin des catholiques résistants.
-1er juillet 1937: Arrestation du pasteur Martin Niemôller.
-16 juillet 1937: Création du camp de concentration de Buchenwald.
-18 février 1938: Hitler convoque à Berchtesgaden Kurt von Schuschnigg, chancelier d’Autriche, et lui lance un ultimatum. Schuschnigg résiste et décide un plébiscite pour une Autriche libre et allemande, indépendante et sociale, unie et chrétienne. Allemande ne signifie pas rattachée au Reich, mais germanophone.
-12 mars 1938: Hitler, qui ne veut pas de ce référendum, ordonne à ses troupes de franchir la frontière.
-13 mars 1938: Hitler proclame l’annexion de l’Autriche.
-Eté 1938: L’opposition civile et militaire prépare un plan pour renverser Hitler.
-18 août 1938: Le général Ludwig Beck démissionne de son poste de chef d’état-major à cause du plan de Hitler contre la Tchécoslovaquie.
-29 septembre 1938: Accords de Munich. Le territoire des Sudètes est cédé à l’Allemagne.
-9 au 10 novembre 1938: Nuit de Cristal, gigantesque pogrom: une centaine de juifs sont assassinés, synagogues incendiées, cimetières profanés, magasins et maisons saccagées.
-15 mars 1939: Liquidation du reste de la Tchécoslovaquie.
-21 mai 1939: Signature à Berlin du Pacte d’acier entre l’Allemagne et l’Italie.
-Eté 1939: Des groupes de résistants civils et militaires projettent de renverser Hitler pour empêcher la guerre.
-23 août 1939: Signature à Moscou du Pacte germano-soviétique.
-1er septembre 1939: Début de la seconde guerre mondiale. Agression contre la Pologne.
-3 septembre 1939: La Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre au Reich.
-27 septembre 1939: Capitulation de Varsovie, fin de la campagne de Pologne.
-Septembre 1939: Himmler réorganise et place sous son autorité la totalité des services de police qui deviennent le R.S.H.A: Reichssicherheitshauptamt.
-9 avril 1940: Attaque contre le Danemark et la Norvège.
-10 mai 1940: Attaque contre la Hollande, la Belgique, le Luxembourg et la France.
-14 juin 1940: Entrée des troupes allemandes à Paris.
-6 avril 1941: Attaque contre la Yougoslavie.
-21 au 22 juin 1941: Hitler envahit l’Union Soviétique (plan Barbarossa).
-Juillet et août 1941: Protestation de l’Eglise (Mgr von Galen) contre l’assassinat des aliénés.
-Novembre 1941: L’avance allemande est stoppée devant Moscou.
-7 décembre 1941: Nacht und Nebel Erlass: Décret Nuit et Brouillard. Tout ennemi du Reich doit être soit exécuté immédiatement, soit déporté en Allemagne où il disparaîtra sans laisser de traces.
-20 janvier 1942: Conférence de Wannsee sur la solution définitive de la question juive. L’ordonnance du 30 avril prescrit l’utilisation du travail des déportés sans limite de temps.
-30 juin 1942: L’Afrika Korps à 100 Km du Caire.
-Août 1942: Début de l’offensive de la 6e armée contre Stalingrad.
-7 et 8 novembre 1942: Débarquement allié en Afrique du Nord.
-Novembre 1942: L’indemnité que la France doit verser à l’Allemagne pour l’entretien des troupes d’occupation passe de 400 à 500 millions par jour. Protestation inutile de Pétain.
-31 janvier 1943: Capitulation de von Paulus à Stalingrad.
-Février 1943: Destruction du réseau de la Rose Blanche.
-5 avril 1943: Arrestation de Hans von Dohnanyi (beau-frère du pasteur Bonhoeffer) et mise à l’écart du général Hans Oster.
-13 mai 1943: Capitulation de l’Afrika Korps.
-10 juillet 1943: Débarquement anglo-américain en Sicile.
-3 au 9 septembre 1943: Débarquement anglo-américain en Italie.
-8 septembre 1943: Capitulation de l’Italie.
-28 novembre au 1er décembre 1943: Conférence des alliés à Téhéran.
-Février 1944: Arrestation des membres du cercle de Kreisau, catholiques, protestants, socialistes, syndicalistes.
-Avril 1944: Reconquête de la Crimée par l’Armée Rouge.
-4 juin 1944: Rome occupée par les troupes alliées.
-6 juin 1944: Début de l’avance des Alliés en Normandie pour créer un second front.
-22 juin 1944: Début de l’offensive soviétique sur l’ensemble du front oriental.
-20 juillet 1944: Attentat à la bombe de Stauffenberg dans la Wolfsschanze; Hitler n’est pas mort. Coup d’Etat réussi à Paris (gestapo et SS emprisonnés) et à Vienne; échec à Berlin. Début des arrestations après l’attentat de Stauffenberg dans la Wolfsschanze de Rastenburg.
-Août 1944: Début des procès devant le Tribunal populaire.
-15 août 1944: Débarquement des Alliés en Provence.
-25 août 1944: Libération de Paris.
-11 septembre 1944: Les troupes américaines atteignent la frontière allemande.
-14 octobre 1944: Hitler ordonne à Rommel de s’empoisonner.
-22 janvier 1945: Les troupes soviétiques sont sur l’Oder.
-4 au 11 février 1945: Conférence de Yalta.
-25 avril 1945: Jonction des troupes américaines et soviétiques près de Torgau, sur l’Elbe.
-30 avril 1945: Suicide de Hitler et d’Eva Braun.
-8 mai 1945: Capitulation sans conditions de l’Allemagne.
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Manon Müller, savez-vous comment vos palestiniens ont lynché deux soldats israéliens à Ramallah ?
Manon Muller, juive ( ?) c’est à enquêter. Aucun juif, même les plus haineux de soi, dont quelques uns se sont lancés dans l’aventure pentue de la destruction systématique du peuple juif, ne se sont pas convertis à l’Islam. Ils ont adopté soit le bouddhisme, le catholicisme, ou l’athéisme… Aucun juif, ayant du sang juif […] from Riposte Laïque http://ift.tt/2Dbg21W via IFTTT
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Mutatiile - partea a 2-a
http://ro.truth-seeker.info/respingerea-darvinismului/mutatiile-partea-a-2-a/
Mutatiile - partea a 2-a
Mutatiile – partea a 2-a
Toate eforturile de a „genera o mutaţie folositoare“ s-au soldat cu eşecuri. Timp de decenii, evoluţioniştii au realizat multe experimente care să producă mutaţii la musculiţele de oţet, întrucât aceste insecte se reproduc foarte rapid, iar mutaţiile pot să apară foarte repede. Generaţii după generaţii, aceste musculiţe au fost supuse proceselor de mutaţie, şi cu toate acestea, nu s-a observat nicio mutaţie benefică. Geneticianul evoluţionist Gordon Taylor a scris următoarele:
„Este un lucru izbitor, deşi nu este menţionat prea des, faptul că deşi geneticienii au reprodus musculiţele de oţet în laboratoare din întreaga lume, vreme de mai bine de şaizeci de ani – musculiţe care produc o nouă generaţie la fiecare a unsprezecea zi –, cu toate acestea, ei nu au văzut încă niciodată apariţia vreunei noi specii sau măcar a vreunei noi enzime.”
Un alt cercetător, Michael Pitman, a comentat eşecul experimentelor realizate pe musculiţa de oţet:
„Morgan, Goldsmith, Muller şi alţi geneticieni au supus generaţii întregi de musculiţe de oţet la condiţii extreme de căldură, frig, lumină, întuneric, cât şi la tratamente chimice şi radiaţii. Au fost astfel produse toate tipurile de mutaţii, practic de la cele mai banale până la cele mai vătămătoare. Evoluţia realizată de mâna omului? Nicidecum: foarte puţini dintre monştrii creaţi de geneticieni au putut supravieţui în afara sticlelor în care au fost creaţi. În practică, mutanţii mor, sunt sterili sau au tendinţa de a reveni la fenotipul sălbatic.“
Acelaşi lucru este valabil şi pentru oameni. Toate mutaţiile care au fost observate la fiinţele umane au avut rezultate dăunătoare. Iar în ceea ce priveşte acest subiect, evoluţioniştii au încercat să arunce o perdea de fum şi să înregistreze exemple de mutaţii evident dăunătoare ca fiind „dovezi ale evoluţiei“. Toate mutaţiile produse la oameni generează diformităţi, infirmităţi cum ar mongolismul, sindromul Down, albinismul, nanismul sau cancerul. Aceste mutaţii sunt prezentate în manualele evoluţioniste drept „mecanismul evoluţionist la lucru“. Inutil să mai spunem că un proces care lasă fiinţa umană cu o infirmitate sau bolnavă nu poate fi „un mecanism al evoluţiei“– întrucât evoluţia prin definiţie ar trebui să producă forme care sunt mult mai adaptate supravieţuirii.
Pentru a rezuma, există trei motive principale pentru care mutaţiile nu pot fi interpretate ca fiind în serviciul afirmaţiilor evoluţioniste:
l) Efectul direct al mutaţiilor este dăunător: Întrucât apariţia lor este aleatoare, aproape întotdeauna ele afectează negativ organismele vii care le suferă. Raţiunea ne spune că intervenţia inconştientă într-o structură perfectă şi complexă nu va îmbunătăţi acea structură, ci mai degrabă o va deteriora. Şi într-adevăr, până acum nu a fost observată nicio „mutaţie folositoare“.
2) Mutaţiile nu adaugă nicio informaţie nouă ADN-ului organismului: În urma mutaţiilor, particulele care formează informaţia genetică sunt fie smulse din locul lor, fie distruse sau mutate în locuri diferite. Mutaţiile nu pot să facă un organism viu să dobândească un nou organ sau o nouă caracteristică. Ele pot cauza doar anomalii precum un picior lipit de spate sau o ureche ce creşte din abdomen.
3) Pentru ca o mutaţie să fie transferată generaţiei următoare, ea trebuie să aibă loc în celulele reproducătoare ale organismului: O schimbare aleatoare ce apare la nivelul unei celule sau al unui organ al organismului viu, nu poate fi transferată generaţiei viitoare. Spre exemplu, ochiul uman modificat ca urmare a efectelor radiaţiei sau datorită altor cauze, nu poate fi transferat generaţiilor următoare.
Este imposibil ca fiinţele umane să fi evoluat, întrucât nu există mecanism în natură care să genereze evoluţia. Mai mult decât atât, această concluzie concordă cu dovezile regăsite în arhivele fosilifere, care nu demonstrează existenţa vreunui proces de evoluţie, ci mai degrabă opusul.
#adn#adn dumnezeu#diformitati#evolutionism mutatii#informatia genetica#informatie genetica#mutatii#mutatii adn#Mutatiile - partea a 2-a
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Cirque du Somme
by JustJackboot
After Tom's mother dies, he goes to find Joe, who had run away to join a circus years ago. He tries to adjust to his new life surrounded by odd people from odd places with all sorts of talents and is captivated by one of the performers- an acrobat. Will Tom find his own talent? Can he fit into this strange new family? Will he find love?
(For the sake of this AU- we're going to pretend circuses were ethical and that all animals involved were treated well and lived happily)
Words: 3779, Chapters: 1/1, Language: English
Fandoms: 1917 (Movie 2019)
Rating: Teen And Up Audiences
Warnings: No Archive Warnings Apply
Categories: M/M
Characters: William Schofield, Tom Blake, Joseph Blake (1917), Sepoy Jondalar (1917), Private Malky (1917), Private Rossi (1917), Private Parry (1917), Private Atkins (1917), Lauri (1917), Lieutenant Leslie (1917), Soldat Baumer (1917), Soldat Muller (1917), Private Kilgour (1917), Major Hepburn (1917), Colonel Mackenzie (1917), Captain Smith (1917), Private Butler (1917), Private Cooke (1917)
Relationships: Tom Blake/William Schofield
Additional Tags: Alternate Universe - Circus, Alternate Universe, Slow Burn, Unresolved Romantic Tension, Tom is Baby, will is shy, Misunderstandings, Angst, Awkward Flirting, William Schofield Needs a Hug, joe is a good brother, but also kind of not, The Convoy Boys, i included way too many characters someone help, Acrobat!Will Schofield
source https://archiveofourown.org/works/25435576
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Cirque du Somme
by JustJackboot
After Tom's mother dies, he goes to find Joe, who had run away to join a circus years ago. He tries to adjust to his new life surrounded by odd people from odd places with all sorts of talents and is captivated by one of the performers- an acrobat. Will Tom find his own talent? Can he fit into this strange new family? Will he find love?
(For the sake of this AU- we're going to pretend circuses were ethical and that all animals involved were treated well and lived happily)
Words: 3779, Chapters: 1/1, Language: English
Fandoms: 1917 (Movie 2019)
Rating: Teen And Up Audiences
Warnings: No Archive Warnings Apply
Categories: M/M
Characters: William Schofield, Tom Blake, Joseph Blake (1917), Sepoy Jondalar (1917), Private Malky (1917), Private Rossi (1917), Private Parry (1917), Private Atkins (1917), Lauri (1917), Lieutenant Leslie (1917), Soldat Baumer (1917), Soldat Muller (1917), Private Kilgour (1917), Major Hepburn (1917), Colonel Mackenzie (1917), Captain Smith (1917), Private Butler (1917), Private Cooke (1917)
Relationships: Tom Blake/William Schofield
Additional Tags: Alternate Universe - Circus, Alternate Universe, Slow Burn, Unresolved Romantic Tension, Tom is Baby, will is shy, Misunderstandings, Angst, Awkward Flirting, William Schofield Needs a Hug, joe is a good brother, but also kind of not, The Convoy Boys, i included way too many characters someone help, Acrobat!Will Schofield
source https://archiveofourown.org/works/25435576
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Oh, Pretty Baby, Now That I've Found You, Stay
by Roundworm
Emailing eventually moved to talking over the phone—Kilgour was pleased to hear what did not sound like an 80 year old man on the other end of the line. Bäumer spoke well in English though his accent was thick, and his voice was soft. Kilgour found himself really looking forward to meeting him.
Which led him here.
Words: 1035, Chapters: 1/10, Language: English
Fandoms: 1917 (Movie 2019)
Rating: Teen And Up Audiences
Warnings: No Archive Warnings Apply
Categories: M/M
Characters: Soldat Baumer (1917), Private Kilgour (1917), Soldat Muller (1917), Lieutenant Leslie (1917)
Relationships: Soldat Baumer/Private Kilgour (1917)
Additional Tags: Other Additional Tags to Be Added, probably, Alternate Universe - Modern Setting, Feelings Realization, Slow Burn, well as slow as someone like me can make it, Misunderstandings, Jealousy, Angst with a Happy Ending, Alternate Universe - Roommates/Housemates, Miscommunication, that's a big one, i hate when people dont just Talk, but they ARE idiots so, but don't worry there's still, Fluff and Humor, the timeline may get a little confusing but i'm trying my best
source https://archiveofourown.org/works/24815860
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Dagger in the Heart
by LBlakeField_2020
April 6, 1917. Two young British soldiers Lance Corporals Blake and Schofield are ordered to complete what may seem an impossible mission: To deliver a message to a Colonel to stop the next day's attack before dawn. Otherwise, it'd be a massacre. With sixteen hundred men's lives at stake, including Blake's brother, would the two soldiers be able to make it to the Colonel and stop the attack on time?
Words: 3759, Chapters: 1/?, Language: English
Fandoms: 1917 (Movie 2019)
Rating: Not Rated
Warnings: Graphic Depictions Of Violence, Major Character Death
Categories: M/M
Characters: Tom Blake, William Schofield, Joseph Blake, Lieutenant Leslie, Private Cooke (1917), Lauri (1917), Private Rossi (1917), Soldat Baumer (1917), Soldat Muller (1917), Colonel Mackenzie (1917), General Erinmore (1917)
Relationships: Tom Blake/William Schofield, Joseph Blake/Lieutenant Leslie
Additional Tags: World War 1, Movie Re-Write, Movie as a book, POV First Person, Love, Drama, Angst, Violence, Happy Ending, My First Fanfic
source https://archiveofourown.org/works/26444749
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