#soin du cheveux
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2t2r · 3 years ago
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Portrait de Sarah Walker, Madam CJ Walker, la premiĂšre femme noire millionnaire des USA
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Portrait de Sarah Walker, Madam CJ Walker, la premiĂšre femme noire millionnaire des USA
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amourrencontreseduction · 2 years ago
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Les pouvoirs et bienfaits de l'argile
A la dĂ©couverte des vertus de l’argile. L’argile est une substance naturelle incroyablement polyvalente qui peut ĂȘtre utilisĂ©e de nombreuses façons diffĂ©rentes pour amĂ©liorer notre santĂ© et notre bien-ĂȘtre. Elle a Ă©tĂ© utilisĂ©e depuis des siĂšcles dans les cultures du monde entier pour ses propriĂ©tĂ©s curatives et est encore largement utilisĂ©e aujourd’hui dans les domaines de la mĂ©decine

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shoopingtagswords · 2 years ago
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Produits de beauté naturels et respectueux de l'environnement
Madewithcare.com est un site de commerce en ligne spĂ©cialisĂ© dans les produits de beautĂ© naturels et respectueux de l’environnement. Si vous cherchez des produits qui prennent soin de votre corps tout en Ă©tant respectueux de l’environnement, alors Madewithcare.com est l’endroit idĂ©al pour vous. Voici un aperçu des produits proposĂ©s sur le site : Soins du visage Madewithcare.com propose une

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leleaulait · 4 months ago
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Je suis pas mĂ©ga prĂ©sente sur Tumblr en ce moment mais j'ai une grosse dose de stress Ă  gĂ©rer. La MDPH demande que je vois un mĂ©decin de chez eux, et quand je vois les retours de potes Ă  moi des mĂ©decins de la MDPH de Savoie...comment vous dire... j'ai quasi zĂ©ro espoir du coup, donc je sais pas trop ce que je vais foutre (je dis pas ça en l'air, une pote Ă  moi en fauteuil roulant et qui ne peut plus s'alimenter s'est fait dire qu'elle devrait aller bosser au lieu d'avoir l'AAH par un mĂ©decin de la bas đŸ« ). Je dors plus, je re perd mes cheveux et je commence Ă  retrouver les bon vieux trous sur le crĂąne, j'ai peur de retomber dans la boulimie parce que le chĂ©ri est en formation 2 mois donc il ne rentre pas le midi et je ne sais plus manger seule depuis des annĂ©es. Bref c'est un peu la merdouille en ce moment.
Prenez soin de vous les Tumblriens et Tumblriennes 💕.
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transparentgentlemenmarker · 5 months ago
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Elle s'est mariée à l'ùge de 14 ans, et à l'age de 20 ans, elle devient mÚre. La premiÚre femme millionnaire qui a fait fortune avec ses 10 doigts.
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Elle est entrĂ©e dans le Guinness Book of Records en tant que premiĂšre femme Ă  devenir millionnaire indĂ©pendamment, sans argent hĂ©ritĂ©. Sara Breedlove est nĂ©e en 1867 dans le sud des États-Unis, dans l'État de Louisiane. Ses parents, ses frĂšres aĂźnĂ©s et sa sƓur Ă©taient esclaves dans les champs de coton. Mais Sara est nĂ©e libre. À 7 ans, elle a perdu ses parents. AprĂšs la mort de ses parents, elle a emmĂ©nagĂ© chez sa sƓur et son mari. Enfant, Sara travaillait comme femme de mĂ©nage et n'avait pas le temps de scolariser. Elle a plus tard indiquĂ© qu'elle n'avait eu que 3 mois d'Ă©ducation formelle lorsqu'elle a frĂ©quentĂ©. Elle n'avait que 14 ans quand elle a Ă©pousĂ© Moses McWilliams. Elle ne l'a pas fait parce qu'elle l'aimait la vĂ©ritĂ© Ă©tait que le mari de sa sƓur Ă©tait un homme trĂšs violent, et le mariage Ă©tait le seul moyen pour Sara de s'Ă©chapper de cette famille. 4 ans plus tard Sarah et MoĂŻse avaient une fille ensemble. Son mari dĂ©cĂ©dĂ© elle est donc devenue veuve Ă  l'Ăąge de vingt ans. En 1888, Sara dĂ©mĂ©nage Ă  St. Louis. Ses frĂšres y travaillaient comme coiffeurs. Elle a commencĂ© Ă  travailler dans une laverie et comme cuisiniĂšre pour payer les Ă©tudes de sa fille dans une Ă©cole publique. Sara gagnait environ 1,50 $ par jour. Comme tous les travailleurs de la blanchisserie, Sara est tombĂ©e malade Ă  cause de produits chimiques, maladie de la peau, manque d'eau et chauffage dans la maison ont fait que Sara Ă  perdu ses cheveux. GrĂące Ă  ses frĂšres, elle a appris les bases des soins capillaires. Eni Malon des produits capillaires, et la rencontrera plus tard en personne, elle commence Ă  vendre ses produits dans la rue. Travaillant toujours pour Malon Ă  37 ans, elle dĂ©mĂ©nage Ă  Denver avec sa fille et commence Ă  penser Ă  sa propre gamme de cosmĂ©tiques pour les femmes afro-amĂ©ricaines. AprĂšs de nombreuses expĂ©riences, elle rĂ©ussit et elle commence Ă  construire sa propre entreprise. En 1906, Sara Ă©pousa Charles J. Walker est devenu plus tard cĂ©lĂšbre sous son nom de famille.
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Charles devient son partenaire commercial, il a fait de la publicitĂ© et a aidĂ© sa femme avec la promotion. Sara a fait du porte Ă  porte en essayant de vendre ses produits, mais aussi pour apprendre aux femmes comment prendre soin de leurs cheveux et coiffer. La mĂȘme annĂ©e, elle a dĂ©cidĂ© d'agrandir son entreprise, alors elle et son mari ont voyagĂ© en AmĂ©rique. Sa fille a obtenu son diplĂŽme d'Ă©cole, alors elle a aidĂ© sa mĂšre. Deux ans plus tard, Sara dĂ©mĂ©nage Ă  Pittsburgh, la famille ouvre un salon de beautĂ©, mais aussi une Ă©cole qui forme les gens sur les soins capillaires afin qu'ils puissent appliquer les produits. En 1910, Sara dĂ©mĂ©nage Ă  Indianapolis, oĂč elle ouvre le siĂšge de la compagnie Madame C. J. Walker. Elle construisit une usine, un laboratoire, un salon de coiffure et une Ă©cole de beautĂ© oĂč elle forme ses agents commerciaux. En 1917 elle employait 20 000 femmes. Ses agents gagnaient de 5 Ă  15 dollars par jour. Sara voulait que les femmes afro-amĂ©ricaines soient financiĂšrement indĂ©pendantes, alors elle a encouragĂ© les femmes Ă  ouvrir leur propre entreprise et leur a appris Ă  gĂ©rer l'argent. Plus elle devenait riche, plus elle passait du temps Ă  des Ɠuvres de bienfaisance elle a donnĂ© des confĂ©rences, s'est battue contre l'injustice sociale. Avant de mourir, elle a fait don de plus de 100 000 dollars aux pauvres et Ă  diverses organisations et institutions sociales. Dans son testament, elle a dĂ©clarĂ© que les 2/3 de ses futurs bĂ©nĂ©fices devraient ĂȘtre reversĂ©s Ă  une Ɠuvre de bienfaisance. Elle est morte Ă  l'Ăąge de 51 ans. Elle Ă©tait considĂ©rĂ©e comme la femme afro-amĂ©ricaine la plus riche. Quand elle est morte, on pensait que sa fortune se situait entre 500 000 et 1 million de dollars. Au cours de sa vie, Sara n'Ă©tait pas millionnaire, seulement 2 ans aprĂšs sa mort, sa richesse a augmentĂ©, mais pendant qu'elle Ă©tait en vie, elle voulait faire plus de bonnes actions.
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iranondeaira · 11 days ago
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De la vision exquise de son corps Ă©tendu entre ses jambes Ă  la douceur des cheveux qui s’emmĂšlaient dans les doigts. De l’habilitĂ© de la langue Ă  la maĂźtrise du mouvement des doigts. Du travail de la bouche au soin qu’il mettait Ă  ne rien laisser se perdre sur les draps. Des mots que ses lĂšvres ne prononçaient pas aux frissons qu’il faisait s’engouffrer dans son corps.
Parfois, elle s’est dit qu’il n’était pas qu’un homme entre ses cuisses mais l’artisan venu façonner sa vulve telle une Ăąme damnĂ©e...
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lisaalmeida · 1 year ago
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Il n'est pas facile de vieillir avec grĂące. Nous devons dĂ©terminer la nouvelle chair, la nouvelle peau, les nouveaux sillons, les nouveaux. Il faut le laisser partir, jeunesse, sans le mortifier dans un nouvel Ăąge qui ne lui appartient pas, il faut faire la paix avec le souffle le plus court, avec la lenteur de la remise en jeu aprĂšs les extravagances, avec les articulations, avec les artĂšres, avec les cheveux les blancs soudainement, qui remplacent les grillons pour la tĂȘte. Nous devons nous crĂ©er et nous aimer dans une nouvelle Ăšre, nous rĂ©inventer, continuer Ă  ĂȘtre curieux, rire. Nous devons cultiver l'ironie, choisir avec soin les autres humains, s'Ă©loigner de soi, revenir Ă  nous, rester nus avec fiertĂ©. Vieillir comme du vin, parfumer et vous faire profiter de votre palais, sans vous habituer Ă  bĂąiller. Ce n'est pas facile de vieillir, mais l'alternative aurait Ă©tĂ© de mourir et j'ai encore tellement de choses Ă  apprendre. "Cecilia Resio" ~
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detournementsmineurs · 1 month ago
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Les trois portraits officiels de la "Comtesse Du Barry" par Elisabeth Vigée Le Brun (1781-1782-1789) dont le dernier réalisé suite à leur rencontre à Louveciennes.
« C’est en 1786 que j’allai, pour la premiĂšre fois, Ă  Louveciennes, oĂč j’avais promis de peindre Madame Dubarry, et j’étais extrĂȘmement curieuse de voir cette favorite, dont j’avais si souvent entendu parler. Madame Dubarry pouvait avoir alors quarante-cinq ans environ. Elle Ă©tait grande sans l’ĂȘtre trop ; elle avait de l’embonpoint ; la gorge un peu forte, mais fort belle. Son visage Ă©tait encore charmant, ses traits rĂ©guliers et gracieux ; ses cheveux Ă©taient cendrĂ©s et bouclĂ©s comme ceux d’un enfant ; son teint seulement commençait Ă  se gĂąter. Elle me reçut avec beaucoup de grĂąces, et me parut avoir fort bon ton ; mais je lui trouvai plus de naturel dans l’esprit que dans les maniĂšres : outre que son regard Ă©tait celui d’une coquette, car ses yeux allongĂ©s n’étaient jamais entiĂšrement ouverts, sa prononciation avait quelque chose d’enfantin qui ne seyait plus Ă  son Ăąge. » (1) - Souvenirs – (Lettre X) 
Au sujet du second tableau, Elisabeth VigĂ©e Le Brun dit ceci : « J’ai fait ce tableau avec le plus grand soin ; (
) je l’ai revu derniĂšrement. Le vieux gĂ©nĂ©ral Ă  qui il appartient a sans doute fait barbouiller la tĂȘte, car ce n’est point celle que j’ai faite ; celle-ci a du rouge jusqu’aux yeux, et madame Dubarry n’en mettait jamais. Je renie donc cette tĂȘte qui n’est point de moi ; tout le reste du tableau est intact et bien conservĂ©. Il vient d’ĂȘtre vendu Ă  la mort de ce gĂ©nĂ©ral. » (1) – Souvenirs – (Lettre X).
Au sujet du troisiĂšme portrait achevĂ© bien aprĂšs en 1814 : « Je l’ai commencĂ© vers le milieu de septembre 1789. De Louveciennes, nous entendions des canonnades Ă  l’infini, et je me rappelle que la pauvre femme me disait : «Si Louis XV vivait, sĂ»rement tout cela n’aurait pas Ă©tĂ© ainsi.» J’avais peint la tĂȘte et tracĂ© la taille et les bras, lorsque je fus obligĂ©e de faire une course Ă  Paris ; j’espĂ©rais pouvoir retourner Ă  Louveciennes pour finir mon ouvrage ; mais on venait d’assassiner Berthier et Foulon. Mon effroi Ă©tait portĂ© au comble, et je ne songeais plus qu’à quitter la France ; je laissai donc ce tableau Ă  moitiĂ© terminĂ©. Je ne sais pas par quel hasard M. le comte Louis de Narbonne s’en trouva possesseur pendant mon absence ; Ă  mon retour en France, il me l’a rendu, et je viens de le terminer. » (1) – Souvenirs -  (Lettre X).
« Elle (Madame du Barry) m’établit dans un corps de logis, situĂ© derriĂšre la machine de Marly, dont le bruit lamentable m’ennuyait fort. Dessous mon appartement, se trouvait une galerie fort peu soignĂ©e, dans laquelle Ă©taient placĂ©s, sans ordre, des bustes, des vases, des colonnes, des marbres les plus rares et une quantitĂ© d’autres objets prĂ©cieux ; en sorte qu’on aurait pu se croire chez la maĂźtresse de plusieurs souverains, qui tous l’avaient enrichie de leurs dons. Ces restes de magnificence contrastaient avec la simplicitĂ© qu’avait adoptĂ©e la maĂźtresse de la maison, et dans sa toilette, et dans sa façon de vivre. L’étĂ© comme l’hiver, madame Dubarry ne portait plus que des robes-peignoirs de percale ou de mousseline blanche, et tous les jours, quelque temps qu’il fĂźt, elle se promenait dans son parc ou dehors, sans qu’il en rĂ©sultĂąt aucun inconvĂ©nient pour elle, tant le sĂ©jour de la campagne avait rendu sa santĂ© robuste. Elle n’avait conservĂ© aucune relation avec la nombreuse cour qui pendant longtemps l’avait entourĂ©e.(
) »
« Les soirs, nous Ă©tions le plus souvent seules, au coin du feu, madame Dubarry et moi. Elle me parlait quelquefois de Louis XV et de sa cour, toujours avec le plus grand respect pour l’un et les plus grands mĂ©nagements pour l’autre. Mais elle Ă©vitait tous dĂ©tails ; il Ă©tait mĂȘme Ă©vident qu’elle prĂ©fĂ©rait s’abstenir de ce sujet d’entretien, en sorte qu’habituellement sa conversation Ă©tait assez nulle. Au reste, elle se montrait aussi bonne femme par ses paroles que par ses actions, et elle faisait beaucoup de bien Ă  Louveciennes, oĂč tous les pauvres Ă©taient secourus par elle. (
)  Tous les jours, aprĂšs dĂźner, nous allions prendre le cafĂ© dans ce pavillon, si renommĂ© pour le goĂ»t et la richesse de ses ornements. La premiĂšre fois que madame Dubarry me le fit voir, elle me dit : « C’est dans cette salle que Louis XV me faisait l’honneur de venir dĂźner. Il y avait au-dessus une tribune pour les musiciens qui chantaient pendant le repas.» Le salon Ă©tait ravissant : outre qu’on y jouit de la plus belle vue du monde, les cheminĂ©es, les portes, tout Ă©tait du travail le plus prĂ©cieux ; les serrures mĂȘme pouvaient ĂȘtre admirĂ©es comme des chefs-d’Ɠuvre d’orfĂšvrerie, et les meubles Ă©taient d’une richesse, d’une Ă©lĂ©gance au-dessus de toute description. Ce n’était plus Louis XV alors qui s’étendait sur ces magnifiques canapĂ©s, c’était le duc de Brissac, et nous l’y laissions souvent, parce qu’il aimait Ă  faire sa sieste. Le duc de Brissac vivait comme Ă©tabli Ă  Louveciennes ; mais rien, dans ses maniĂšres et dans celles de madame Dubarry, ne pouvait laisser soupçonner qu’il fĂ»t plus que l’ami de la maĂźtresse du chĂąteau. Toutefois il Ă©tait aisĂ© de voir qu’un tendre attachement unissait ces deux personnes (
) ». (1) – Souvenirs – (Lettre X).
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sabinerondissime · 14 days ago
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Comment on fait pour supporter de voir notre corps vieillir ? La sécheresse de la peau malgré les crÚmes, les poils au mentons, la peau qui perd son élasticité est devient flasques et fripées par endroit, ces putains de taches brunes partout, les cheveux gris qui frisottent malgré les soins spécifique, les douleurs articulaires un coup ici et l'autre jour là et les fuites urinaires qui ne vont pas aller en s'améliorant ? Comment on fait pour continuer à se sentir femme et pas juste vieille ? Perso, je n'ai pas encore trouvé et j'ai du mal à me résoudre à cet état de fait contre lequel je ne peux rien.
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verver · 27 days ago
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Épisode 3
Quelques jours plus tard, allongé sur le canapé, Ray s'était endormi, ses paupiÚres s'étaient alourdies soudainement.
Quand il se réveilla il faisait déjà nuit.
Dans la salle de bain il s'aspergea le visage d'eau froide, il se lava les dents et se brossa les cheveux.
Ray prit la décision de s'occuper de son repas. Son estomac gargouillait sérieusement.
Il savait qu'il y avait des ailes de poulet dans le frigo, des oignons et un reste de légumes un peu ramollis.
Ray penché sur l'évier éminçait un oignon, des larmes coulaient de ses yeux.
Pendant que le poulet grĂ©sillait dans la poĂȘle il y balança les oignons et les lĂ©gumes. Il se servit un verre de vin qu'il but en surveillant la cuisson.
Son téléphone portable se mit à vibrer dans sa poche, il regarda l'écran c'était son supérieur qui l'appelait, Ray fut surpris c'est la premiÚre fois que Santenax téléphonait sur son portable.
Celui-ci lui dit qu'il voulait le voir demain Ă  la premiĂšre heure dans son bureau puis il raccrocha.
Ray dévorant ses ailes de poulet se posait tout un tas de questions sur cette convocation...
Une compilation de jazz tournait sur la platine , Miles Davis inondait l'appartement de ses sons graves et rythmés, Ray finissait son repas en silence.
Plus tard dans la soirée Ray le visage détendu en apparence dénué de tout soucis , un léger ronflement l'accompagnant, il bavait sur l'oreiller.
Au petit matin dans la cuisine, il se prĂ©para un cafĂ© bien serrĂ© pour ĂȘtre en forme afin d'affronter son supĂ©rieur.
Il prĂȘta l'oreille, la radio retransmettait une confĂ©rence de presse qui retint toute l'attention de Ray, il s'agissait de la disparition inquiĂ©tante d'une jeune femme.
Ray reconnu la voix de son boss , l'assistance face à lui avait l'air plus nombreuse que d'habitude. Santenax commençait trÚs tÎt sa conférence de presse , ce n'était pas dans ses habitudes.
Ray alluma sa télé pour voir , la presse locale et nationale était présente, derriÚre la table autour de Santenax étaient assis le préfet et d'autres fonctionnaires.
Ray comprenait mieux son appel d'hier , il s'agissait d'une disparition qui datait déjà de plusieurs jours. Ce que Ray ne comprenait pas c'est pourquoi Santenax voulait le voir dans son bureau.
Ray arrĂȘta de se prendre la tĂȘte en se posant des questions , il verrait bien en arrivant.
Arrive au commissariat Ray se dirigea directement vers le bureau de son supérieur, ilnlui dit bonjour en fermant la porte.
Santenax se lança dans une explication, il lui expliqua que les parents d'Amelie étaient des amis de longue date, qu'ils étaient trÚs inquiet, la jeune femme était majeure mais tout l'entourage unanime disait qu'elle n'avait pas pour habitude de disparaßtre sans donner de nouvelles.
Santenax avait promis de s'en occuper personnellement, c'est pour cela qu'il lui confiait le soin d'enquĂȘter sur cette disparition. Ray parcourut le bureau du boss d'un regard Ă©tonnĂ© il dit :
- d'accord chef !
Ray pensa qu'il se foutait dans la merde avec cette enquĂȘte, encore une fille de bonne famille qui a fabriquĂ© je ne sais quoi et Ă  qui il est arrivĂ© quelque chose ou pas pour l'instant il allait voir ses collĂšgues Blotin et Ginette pour les mettre au courant.
Santenax lui avait dit que tout les trois suffirait, que si besoin Ă©tait il viendrait en renfort.
Pour l'instant la procĂ©dure consistait Ă  visiter l'appartement d'Amelie et de relever tous les indices qui seraient utiles pour l'enquĂȘte. Les mains encombrĂ©es de cafĂ©s, Blotin entra dans le bureau et fit la distribution, Ginette dit :
- pour aujourd'hui je reste là , je prépare les dossiers et je ferais le lien.
- d'accord répondit Ray
- c'est parti ! gueula Blotin
Amelie habitait une petite résidence cossue, les gens qui habitaient là avaient oublié de fermer les portes à clé, à cÎté de l'appartement d'Amelie, quelqu'un faisait brailler la télé.
Le grand salon était impeccablement rangé et propre, ça se voyait que rien n'avait été touché depuis un bon moment.
Chaque objet Ă©tait apparemment Ă  sa place , Ray et Blotin Ă©prouvaient une certaine gĂȘne Ă  fouiller cet appartement. Ce n'Ă©tait pas comme un appart oĂč avait eu lieu un crime et des bagarres.
Ray se dirigea en silence vers les fenĂȘtres, il y passa un doigt sur le cadre , trĂšs peu de poussiĂšres.
Les dĂ©tails se mettaient en place d'eux mĂȘme, les photos de famille, les plantes vertes, les petits bibelots et un vieux bouquet de fleurs fanĂ©es.
Cela confortait Ray qu'elle Ă©tait absente depuis un bon moment. Ils allaient fouiller les autres piĂšces dans l'espoir de trouver quelques indices.
Ray et Blotin retournÚrent tout les tiroirs, ils fouillÚrent tous les recoins toutes les boßtes, ils avaient trouvé un peu d'argent et surtout un carnet d'adresse, quelques bouteilles d'alcool étaient rangées soigneusement dans un placard au dessus de la chaßne hi-fi, table qui comportait un poste de télévision et un lecteur de dvd.
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2t2r · 3 years ago
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Portrait de Sarah Walker, Madam CJ Walker, la premiĂšre femme noire millionnaire des USA
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Portrait de Sarah Walker, Madam CJ Walker, la premiĂšre femme noire millionnaire des USA
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daisydesetoiles · 1 month ago
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Flufftober 2024 : "Ne fais pas ça !", "Mais..."
9 octobre
« Ne fais pas ça! Â»ïżœïżœ, « Mais... » ("Don't do that !", "But
")
Nabil & Travis (Pokémon)
Chaque type de PokĂ©mon avait des besoins, des caractĂ©ristiques spĂ©ciales. Les PokĂ©mons de type Glace dĂ©prĂ©ciaient fortement les environnements chauds et secs, les PokĂ©mons de type Insecte grandissaient trĂšs vite, les PokĂ©mons de type Feu avaient besoin de dĂ©penser beaucoup d'Ă©nergie
 Tout bon Dresseur connaissait ces attributions et mĂȘme les Champions, qui possĂ©daient un Ă©lĂ©ment de prĂ©dilection, ne prĂ©tendaient pas que le leur Ă©tait "spĂ©cial", plus dĂ©licat et gratifiant Ă  prendre en main.
Travis pareillement que les autres. Il n'Ă©tait pas devenu un chef d'arĂšne de type FĂ©e par engouement particulier et il avait dressĂ© des PokĂ©mons de type Psy avant. C'Ă©tait juste que Bibichut et Ponyta de Galar, tout Ă  fait par hasard, constituaient son Ă©quipe quand Sally l'avait recrutĂ© pour prendre sa place. À cause de son style physique, en plus! Pour elle, avec son manteau rose-violet, ses cheveux blond clair qui bouclaient un peu n'importe comment, ses moues boudeuses et ses yeux violets, il Ă©tait totalement fĂ©erique, fait pour reprendre une Ă©quipe de ce type.
Il possédait désormais une équipe entiÚre de Pokémons Fée mais ne les considérait pas comme "à part" par rapport aux autres. Sauf quand il était en présence de Nabil.
S'il considĂ©rait Gloria comme sa rivale principale, sans doute ce qu'il pouvait avoir de plus proche d'une "amie", et qu'il Ă©tait obligĂ© de faire preuve de diplomatie devant Rosemary et son parler sans complexe, Nabil Ă©tait celui qui faisait ressortir les cĂŽtĂ©s les plus pĂ©nibles de sa personnalitĂ©. Ils se querellaient sans arrĂȘt, sur tout et rien! L'adolescent aux yeux dorĂ©s avait bien tirĂ© parti de sa nouvelle vocation de chercheur PokĂ©mon, en plus, et en profitait pour l'Ă©blouir avec ses nouvelles connaissances.
« Ne fais pas ça ! ordonna Travis à Nabil en le voyant approcher un tissu soyeux des écailles transparentes d'un Pokémon aquatique.
-Mais
, protesta le jeune chercheur, le geste suspendu Ă  quelques millimĂštres de sa cible. »
Le Champion d'ArÚne de type Fée fut sur lui en deux enjambées et lui prit le linge des mains. Avec son lever de menton le plus snob, il le fit passer sous son nez pour reconnaßtre les composantes de la lotion qui l'imprégnait.
« J'ai soigneusement étudié les habitudes et les caractéristiques de ce Pokémon, se défendit Nabil en se redressant, mécontent. C'est un Oratoria, il vit dans les eaux tropicales. Ce tonique est parfait pour ses écailles ! »
C'était le Pokémon de Gloria, confié par un aventurier sur l'ßle d'Isolarmure. Il prenait un soin tout particulier à s'occuper des créatures qu'elle lui confiait. Travis referma le mouchoir d'un geste sec et, par réflexe, se passa la main dans les cheveux.
« Oratoria est aussi un Pokémon de type Fée, déclara-t-il, tu ne peux pas l'hydrater avec n'importe quoi ! Ses écailles sont fragiles, elles ont besoin des produits les plus fins, avec une touche de composants ésotériques.
-Tu recommences à te la jouer, Travis. C'est jamais bon quand tu te passes trop fréquemment la main dans la frange comme ça.
-Je ne te permets pas !
-D'ailleurs, la lotion sur ce tissu est vachement fluide et glissante, je crois que dans une seconde, tu en auras plein les yeux. »
Effectivement, des gouttes de potion perlĂšrent bientĂŽt entre les cils blonds du Champion d'ArĂšne et il fut obligĂ© de se laisser faire tandis que Nabil allait chercher une solution diluante spĂ©ciale pour lui laver les yeux. Il le fit asseoir par terre et, malgrĂ© ses ruades vexĂ©es, il entreprit de lui tamponner doucement les paupiĂšres et le pourtour des prunelles. Il essuya aussi ses cheveux, d'oĂč quelques perles de liquide avaient coulĂ©.
Travis Ă©tait devenu Ă©carlate d'embarras, bien sĂ»r. HĂ©las, il n'Ă©tait pas du genre Ă  bouder ! En quelques heures, sa mauvaise foi lĂ©gendaire envers Nabil recommencerait. Mais ce n'Ă©tait pas plus mal. Aussi Ă©trange que cela pouvait paraĂźtre, ces moments, loin d'ĂȘtre tous oppressants et dĂ©sagrĂ©ables, les rapprochait et faisait de leur relation quelque chose de plus sincĂšre.
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kamomille9 · 2 years ago
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Fanfic PendraniĂšvre : Le Coeur a ses Raisons... Chapitre 6
Bonjour à toutes et tous !!
Je sais j’ai tardĂ© Ă  poster ce nouveau chapitre mais grĂące Ă  @ladychoco je me suis mis un bon coup de pied aux fesses ! Et le voilà 😉
J’espùre qu’il vous plaira, j’ai hñte de lire vos commentaires.
Bonne lecture.
Chapitre 6 : La Réalisation
Arthur Pendragon n’était pas connu pour ĂȘtre un homme patient. Que ce soit pour attendre des nouvelles de son ex-femme, ou pour tolĂ©rer le nombre incalculable d’abrutis Ă©tant venus demander sa main Ă  LĂ©odagan, c’était tout bonnement pareil. Le Roi de Bretagne avait les nerfs Ă  vifs. Une semaine sans aucune nouvelle, pas une lettre pas un mot
 Il pensait que GueniĂšvre aurait au moins pris la peine de rassurer ses parents
 Cela dit, cela ne devrait pas le surprendre puisqu’elle ne les avait mĂȘme pas informĂ©s de son dĂ©part. Alors, quand Angharad vint le voir pour lui dire qu’elle avait des nouvelles, il se dit qu’il Ă©tait bien bĂȘte de ne pas avoir pensĂ© Ă  elle plus tĂŽt.
_ Le seigneur Perceval m’a envoyĂ© une lettre, dit-elle, la porte de la chambre du Roi juste ouverte.
_ Entrez !
_ Il dit qu’il se trouve chez la tante de Madame 

_ La sƓur de LĂ©odagan ?
_ Il semblerait
 Le seigneur Perceval ne sait pas Ă©crire, c’est l’oncle de Madame qui l’a aidĂ© Ă  la faire
 Je doute que Madame soit au courant de cette initiative

_ Vous avez sans doute raison
 Elle sait que si elle révélait sa position, tous ces idiots qui frappent ici depuis quatre jours iraient directement la voir.
_ Et en quoi cela dérange Monsieur que Madame ait des prétendants ?
Arthur lança un regard noir Ă  Angharad. La jeune femme avait toujours eu la langue bien pendue, il ne devrait pas en ĂȘtre surpris. Pour autant, il n’avait pas de conseil Ă  recevoir d’une femme mĂȘme pas foutue de faire comprendre ses sentiments Ă  Perceval. Il prĂ©fĂ©ra donc ignorer sa question et la congĂ©dia sans mĂ©nagement.
_ Monsieur devrait bien rĂ©flĂ©chir
 car s’il veut rĂ©cupĂ©rer Madame, il ferait mieux de le faire pour les bonnes raisons et pas simplement parce que d’autres hommes se sont, eux, aperçus que Madame Ă©tait digne d’ĂȘtre aimĂ©e et non trompĂ©e et humiliĂ©e Ă  longueur de temps.
La servante prit alors ses jambes Ă  son cou, n’attendant pas la rĂ©ponse du roi. Elle savait qu’elle avait dĂ©passĂ© les bornes mais il fallait qu’il comprenne qu’il ne pouvait plus jouer comme il le faisait
 S’il voulait vraiment refaire de GueniĂšvre sa reine, elle devait s’assurer que les choses seraient diffĂ©rentes pour sa maĂźtresse. Elle ne devait pas revenir si le Roi comptait ne rien changer Ă  son comportement.
-o-
C’était difficile Ă  admettre mais Angharad avait raison. Le Duc d’Armorique Ă©tait venu rencontrer LĂ©odagan afin de lui demander la main de GueniĂšvre. Un de plus ou un de moins, aprĂšs tout quelle importance, son ex-beau-pĂšre les avaient pratiquement tous fait fuir. Seulement, cette fois, LĂ©odagan avait reçu poliment le jeune homme d’environ trente ans. Grand, des cheveux chĂątains et des yeux verts, il aurait pu charmer n’importe quelle dame du royaume. Toutefois, ce n’était pas n’importe quelle dame du royaume qu’il voulait courtiser mais bel et bien l’ancienne Reine
 et cela faisait du mal Ă  Arthur de le reconnaĂźtre mais il Ă©tait un parti tout Ă  fait convenable. Le roi de CarmĂ©lide devait ĂȘtre du mĂȘme avis car il avait reçu le prĂ©tendant avec une politesse qu’il ne lui connaissait pas
 En effet, attirĂ© par l’appĂąt du gain et par l’idĂ©e d’emmerder royalement Arthur, LĂ©odagan avait pris soin d’écouter attentivement la demande de ce duc bien sous tous rapports. Ne rester maintenant qu’à savoir oĂč se cachait GueniĂšvre
 Une information qu’Arthur dĂ©cida finalement de garder pour lui

AprĂšs tout, n’avait-il pas le droit de faire comme bon lui semblait ? Il Ă©tait le Roi non d’un chien ! C’est alors qu’au dĂ©tour d’un couloir dĂ©sert, il entendit une conversation des plus instructives :
_ Elle est enfin partie, nous devons en tirer avantage ! chuchotait Démétra, face aux autres maßtresses du Roi.
_ On est bien d’accord mais maintenant que c’est fait qui serait en droit de prendre sa place ? demanda Aelys sur le mĂȘme ton.
_ Nous avons ƓuvrĂ© pendant trop longtemps pour exacerber tous ses dĂ©fauts auprĂšs du Roi ! Il nous faut agir sans perdre de temps ! Pour ma part, je suis celle ayant Ă©tĂ© avec le Roi le plus longtemps donc je suis la mi

_ Attendez un instant ! Pourquoi devriez-vous passer en priorité ?
_ C’est vrai ça ! Si vous Ă©tiez vraiment aussi forte que vous le prĂ©tendez le Roi n’aurait jamais pris d’autres maĂźtresses aprĂšs tout ! s’exclama fermement Tumet, soutenant sa sƓur.
_ Je ne vous permets pas ! Et puis, je n’en ai rien Ă  faire de votre avis ! Je suis persuadĂ©e de gagner et puisque vous ne voulez pas l’admettre, lorsque je serais Reine j’aurais le pouvoir de me dĂ©barrasser de chacune d’entre vous !
_ Comme l’ancienne Reine vous voulez dire ? demanda sarcastiquement AzĂ©nor, sous le ricanement des autres pintades de mes deux.
_ Non pas comme l’ancienne Reine puisque nous avons fait tout ce que nous pouvions pour que jamais il ne la touche ! Nous avons eu de la chance qu’elle soit conne comme une chaise et que lui prĂ©fĂšre notre compagnie Ă  la sienne ! On a juste eu Ă  maintenir la situation en l’état
 Mais quand je serais Reine, je m’assurerai qu’il reste bien dans mon lit comme j’ai toujours su le faire malgrĂ© votre prĂ©sence Ă  toutes !
Sur ces derniĂšres paroles, DĂ©mĂ©tra s’éloigna de ses « amies », passant juste Ă  cĂŽtĂ© d’Arthur sans le voir

_ Va falloir la jouer serrée
 On ne peut pas la laisser faire

_ Arthur aura toujours besoin de maĂźtresses, mĂȘme si elle arrive Ă  ses fins. Elle est bien trop sĂ»re d’elle ! Rien ne dit qu’elle gagnera cette guerre

_ J’ai entendu dire qu’Arthur voulait rĂ©cupĂ©rer GueniĂšvre

_ Pfff
 Alors ça, je n’y crois pas une seule seconde ! Elle l’a toujours dĂ©goĂ»té ! Cela n’aurait aucun sens qu’il veuille la rĂ©cupĂ©rer !
Tour à tour, elles acquiescÚrent. Sachant pertinemment que, de toute maniÚre, elles avaient tout fait pour entretenir ce dégoût. 
_ Et bien mesdames, que la meilleure gagne !
-o-
En retournant Ă  sa chambre, Arthur Ă©tait mortifiĂ©. Comment avait-il pu s’enticher de toutes ses hypocrites, sournoises et mesquines ? Des opportunistes, voilĂ  tout ce qu’elles Ă©taient ! Il savait que quand d’autres auraient menĂ© la vie impossible Ă  ses maĂźtresses, GueniĂšvre n’avait eu envers elles que de la bienveillance
 Jamais elle n’avait mal parlĂ© de ou Ă  ses maĂźtresses
 Elle aurait Ă©tĂ© en droit de le faire
 Mais elle ne leur avait offert que de la gentillesse et en retour elle n’avait le droit qu’à leur hypocrisie et leurs moqueries

Non, il ne pouvait pas tolĂ©rer cela. Il n’avait pas besoin de ça, d’elles dans sa vie. Elles se croyaient indispensables et irremplaçables. Il comptait bien leur montrer qu’il n’y avait qu’une seule personne dans ce cas : celle qui Ă©tait dĂ©jĂ  partie.
Angharad avait raison. S’il voulait rĂ©cupĂ©rer sa femme, il fallait le faire pour les bonnes raisons et il devait procĂ©der Ă  certains changements afin de mĂ©riter son retour. Il devait tout d’abord se poser toutes les bonnes questions. La premiĂšre : que voulait-il de GueniĂšvre Ă  prĂ©sent ? Sa prĂ©sence, sa gentillesse, sa comprĂ©hension
 Il y avait autre chose mais il n’était pas prĂȘt
 Était-il seulement capable de l’aimer

La deuxiĂšme : Ă©tait-il en mesure de renoncer Ă  la promesse faite Ă  Aconia ? Voulait-il faire Ă©voluer sa relation avec GueniĂšvre et lui accorder enfin la seule chose qu’elle avait jamais voulu ? Aimerait-il avoir un hĂ©ritier avec elle ?
Il se souvenait parfaitement des mots qu’elle avait prononcĂ© avant de partir : « Je ne peux plus accepter d’ĂȘtre humiliĂ©e jour aprĂšs jour, annĂ©e aprĂšs annĂ©e en sachant que jamais vous ne m’aimerez comme moi je vous aime. »
Les choses avaient-elles Ă©voluĂ©es pour lui ? Était-il rĂ©ellement sĂ»r de pouvoir et vouloir changer son comportement ne serait-ce que vis-Ă -vis d’elle ?
Ses paroles rĂ©sonnaient dans sa tĂȘte depuis plus de six jours maintenant : « J’ai besoin d’ĂȘtre aimĂ©e mais aussi d’aimer en retour ! ».
Il ne pouvait pas changer du jour au lendemain. Il le savait mais pouvait-il fournir des efforts et considĂ©rer cette femme pour ce qu’elle Ă©tait : un trĂ©sor prĂ©cieux et inestimable, la seule personne de tout ce foutu pays Ă  n’avoir jamais voulu profiter de son statut et Ă  avoir fait l’erreur de tomber amoureuse de l’homme et non du Roi qu’il est ?
La rĂ©alisation le frappa alors aussi soudainement qu’un Ă©clair. La rĂ©ponse Ă  toutes ces questions Ă©tait dĂ©finitivement bien trop simple : Oui. Car elle en valait la peine. Elle mĂ©ritait qu’il se batte pour elle comme il aurait toujours dĂ» le faire dĂ©s le premier jour. Ce ne serait certainement pas facile. Il devrait se jeter corps et Ăąme dans la bataille mais il Ă©tait prĂȘt. Il la voulait, la dĂ©sirait mais surtout souhaitait l’aimer comme il aurait toujours dĂ» l’aimer.
-o-
Le lendemain, Arthur convoqua chacune de ses maĂźtresses dans la salle du trĂŽne. S’il voulait prouver sa dĂ©termination, autant commencer par cela. Il avait conviĂ© LĂ©odagan, SĂ©li, Bohort, Karadoc et MĂ©vanwi Ă  assister au spectacle qu’il allait donner, ceci dans un seul et unique but : faire comprendre Ă  chacun que sa dĂ©cision Ă©tait sincĂšre mais surtout irrĂ©vocable.
DĂ©mĂ©tra, AĂ©lis, AzĂ©nor, Tumet et Azilis entrĂšrent ensemble dans la salle. Elles arboraient toutes un grand sourire qui ravie Arthur. En effet, afin de leur donner la leçon qu’elles mĂ©ritaient, il avait fait en sorte que les personnes ayant Ă©tĂ© les prĂ©venir leur fassent miroiter une nouvelle de la plus haute importance pour chacune d’entre elles.
_ Bien. Je pense qu’il est inutile de vous faire patienter plus longtemps. Je vous ai fait venir afin de vous annoncer une nouvelle de la plus haute importance. J’ai pris une grande dĂ©cision.
Les cinq femmes le regardaient avec un immense intĂ©rĂȘt et une impatience Ă  peine contenue, tandis que les autres personnes conviĂ©es se demandaient dans quelle merde le Roi allait-il les mettre ce coup-ci.
_ Je souhaite ardemment que
 Toutes les cinq
 Vous vous cassiez d’ici en vitesse !
Dire qu’ils Ă©taient surpris serait un doux euphĂ©misme.
_ Mais Sire
 Je ne compr

_ Vous n’avez absolument pas besoin de comprendre DĂ©mĂ©tra ! J’ai simplement dĂ©cidĂ© que la comĂ©die avait assez durĂ©e. Vous n’ĂȘtes pas Ă  votre place ici. Vous ne l’avez jamais Ă©tĂ© et ne le serez jamais. Il est grand temps que je cesse de repousser la seule et unique femme digne de siĂ©ger Ă  mes cĂŽtĂ©s. J’en profite pour demander solennellement au roi et Ă  la reine de CarmĂ©lide la main de leur fille. Et pour que ce soit bien clair, si par malheur GueniĂšvre dĂ©cide de refuser ma requĂȘte, ce dont elle aurait tout Ă  fait le droit, je ne veux aucune autre femme. Ce sera GueniĂšvre de CarmĂ©lide ou personne. Je tiens Ă  ce que tous soient au courant, je n’accepterai aucune autre proposition de mariage. Maintenant, je ne le rĂ©pĂšterai pas une autre fois : cassez-vous et ne revenez pas !
Sous les regards mĂ©dusĂ©s de toutes les personnes conviĂ©es, le Roi Arthur Pendragon se leva de son trĂŽne et sortit de la salle les laissant comme des glands. Les anciennes maĂźtresses n’en menaient pas large et se demandaient comment elles avaient pu en arriver là
 Elles n’avaient pas vu venir ce retournement de situation. Personne ne l’avait vu, pas mĂȘme MĂ©vanwi qui tĂąchait de se faire aussi discrĂšte que possible. Elle ne l’avait pas cru lorsqu’il disait vouloir rĂ©cupĂ©rer sa femme
 Elle allait certainement regretter la lettre qu’elle avait envoyĂ©e Ă  peine deux jours auparavant

Au moins, les choses Ă©taient on ne peut plus claires.
Seule une servante s’étant cachĂ©e dans un renfoncement de la piĂšce esquissa un fin sourire. Angharad Ă©tait enfin rassurĂ©e. Il avait enfin compris
 Il restait maintenant Ă  la convaincre elle

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rayondelun3 · 11 months ago
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20 décembre 2023
Je m'occuperai encore plus de mes proches et je me soucierai un peu moins de trouver un job qui me plait.
J'aime m'occuper des autres.
Surtout les filles ou les personnes plus jeunes que moi.
J'adore leur prĂ©parer un thĂ© moi-mĂȘme en fonction des plantes / fruits qu'ils aiment ; j'aime les maquiller, masser le haut du corps et les mains ; j'aime Ă©couter quelqu'un me parler de ses passions ; j'aime aussi jouer l'infirmiĂšre : soigner les plaies, celles qu'on voit et celles qu'on ne voit pas Ă  l'Ɠil nu, mais avec un autre regard ; j'aime aider dans les tĂąches mĂ©nagĂšres et fabriquer des objets (magiques ou non) spĂ©cialement pour une personne. J'aime aussi m'occuper des cheveux, faire des soins au visage ou certaines parties du corps ce genre de choses... C'est une forme d'intimitĂ© lïżœïżœgĂšre et facile Ă  crĂ©er, entretenir pour moi qui me sens si exclue du monde, tellement Ă  cĂŽtĂ© de la plaque.
Mon infirmiĂšre me rĂ©pĂšte depuis bientĂŽt 4 ans que je devrais me traiter de la mĂȘme façon. Il n'y a qu'avec les autres que c'est Ă©vident, spontanĂ©.
Je ne suis pas certaine de pourquoi je n'y arrives pas, et pourquoi c'est si facile pour moi de comprendre ce que veut l'autre et lui faire du bien.
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acrazybayernfan · 1 year ago
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Mick/Charles please? I miss them đŸ„Č
(You can write it in French if you want haha 😂 but anyway I’ll never judge you for mistakes in English since I’m the first one to do them)
Thank you my dear what a nice request ! So here we go, I hope you will like it because it's a bit special (đŸ€ŠđŸ»â€â™€ïž)
Au chĂąteau du Baron Rouge, vivaient deux gentils princes, l’un blond comme les blĂ©s, l’autre brun comme le soir, l’un aux yeux bleus, l’autre aux yeux verts, l’un est l’hĂ©ritier et l’autre le prĂ©destinĂ©, l’un est le fils du baron et l’autre son protĂ©gĂ©. Ils grandirent tous les deux ensembles la tĂȘte emplie des mĂȘmes rĂȘves, des rĂȘves de petits de garçons, des rĂȘves de victoires, des rĂȘves de gloire. Puis le temps vint pour eux de quitter le vieux chĂąteau et d’aller faire leurs armes auprĂšs d’un ami du baron. 
Pendant deux ans messire Sebastian va leur apprit tout ce qu’il leur fallait savoir. 
Charles s’avĂ©ra Ă  mĂȘme de savoir tout faire d’instinct, que soit pour le maniement des armes, des chevaux, la musique ou la danse ; il excellait en tout et pour tout. Mick, plus jeune, le regardait faire Ă©merveiller, lui auquel il fallait, en comparaison, tant de temps pour assimiler les nouvelles choses qu’on lui enseignait. Tout autre que lui aurait Ă©tĂ© jaloux de cet Ă©tranger dont le talent semblait Ă©clipser le sien mais Mick avait le cƓur trop gĂ©nĂ©reux pour cela et cette Ăąme d’or ne pouvait renfermer aucune amertume, ni aucune jalousie. AprĂšs son pĂšre et Sebastian, Charles Ă©tait la personne au monde pour laquelle il avait le plus d’admiration. 
Charles fut le premier Ă  ĂȘtre fait chevalier et debout dans l’église oĂč avait lieu la cĂ©rĂ©monie Mick suivait des yeux son ami descendant l’allĂ© centrale Ă©clairĂ©e par le soleil couchant qui faisait rutiler son armure en pensant que les anges devaient briller d’une pareille lumiĂšre. Le jeune chevalier monta sur son cheval, un magnifique Ă©talon noir que lui avait offert Sebastian, qu’il fit se cabrer, imitant l’image qui se trouvait sur son Ă©cu : un cheval noir cabrĂ© sur fond de grenat. 
On se rĂ©jouit des heureux Ă©vĂšnements de cet journĂ©e durant un banquet qui se prolongea fort avant dans la nuit. Puis au petit jours Charles se leva, revĂȘtit son armure et fit amener son cheval. Mick n’avait pas osĂ© s’endormir de peur que son compagnon ne parte sans qu’il ait pu lui dire au revoir, et blottit dans sa chambre il guettait le moindre bruit, prĂȘt Ă  s’élancer au moindre signal. Lorsqu’il entendit les pas lourds d’un homme en arme rĂ©sonner dans l’escalier de la tour oĂč ils logeaient, il se prĂ©cipita hors de sa chambre juste Ă  temps pour saisir son ami dans ses bras au moment oĂč il arrivait devant sa porte. Charles lĂącha un petit amusĂ© en voyant ainsi son jeune camarade se jeter sur lui. Il laissĂąt Mick l’éteindre pendant plusieurs secondes puis doucement il Ă©loigna le corps encore frĂȘle de son ami. Leurs regards se croisĂšrent et c’est alors qu’il vit que les yeux couleurs d’azur de Mick pleins de larmes. Charles sourit tristement puis il vient passer une main affectueuse dans les cheveux d’or de son compagnon de toujours. Il dit la premiĂšre bĂȘtise qui lui passa par la tĂȘte afin de rĂ©conforter le jeune garçon et ayant enfin obtenu de lui un sourire, il se dĂ©tacha dĂ©licatement de Mick et poursuivit sa route. 
Le fils du baron le suivit en silence, il regarda Charles mettre ses gants, monter Ă  cheval, saisir sa lance et son bouclier puis il s’approcha du bel Ă©talon et se collant contre son encolure il lui recommanda de prendre bien soin de son cavalier. AprĂšs quoi il se tourna vers Charles et accrochant Ă  sa selle un mouchoir de brocard rouge qu’il avait hĂ©ritĂ© de sa mĂšre il dit : « Beau doux sire, que la sainte image brodĂ©e sur ce mouchoir vous protĂšge et vous garde, et puisse-t-elle vous rappeler celui qui attendra votre retour avec plus d’ardeur encore que les fleurs attendent le retour du printemps. »
Quelques instants plus tard Charles Ă©tait parti, parti Ă  la quĂȘte d’aventure, parti Ă  la quĂȘte de gloire afin d’honorer le nom de la grande maison des Ferrari dont il Ă©tait devenu la grande espĂ©rance, il partit en attendant que quelques annĂ©es plus tard Mick en face de mĂȘme, pousser lui par le dĂ©sir de conserver la gloire qui entourait le nom de son pĂšre. 
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coulisses-onirisme · 4 months ago
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Robert Mapplethorpe's fight
Robert Mapplethorpe, Self-portrait, 1988, 61x50.8 cm, platinum print, © Robert Mapplethorpe Foundation. Used by permission
A deadly cane held by a fleshless hand. At the end floats the emaciated face of Robert Mapplethorpe, his salt-and-pepper hair combed back. An apparition, a vanity, a prophecy: it is 1988, the artist is then forty-one years old. He died a year later, a victim of AIDS, like many others that year.
For the record, the Nobel Prize in Medicine was awarded to the Pasteur Institute (Professor Luc Montagnier administrative director of the laboratory and Françoise Barré-Sinoussi Jean Claude Scherman, scientific director, co-discoverer and leader, was dismissed by the administration of the Pastor Institute).
We must remember that the services of French hospitals, by the men and women, their generosity, their listening, their ethics of care, since the beginning of the 80s were recognized  as the best humanly and medically (so many personalities came for human care, with the greatest concern).
Le combat de Robert Mapplethorpe
Robert Mapplethorpe, Self-portrait (Autoportrait), 1988, 61x50,8 cm, épreuve au platine, © Robert Mapplethorpe Foundation. Used by permission
Une canne mortifĂšre tenue par une main dĂ©charnĂ©e. Au bout, flotte le visage Ă©maciĂ© de Robert Mapplethorpe, les cheveux poivre et sel coiffĂ©s en arriĂšre. Une apparition, une vanitĂ©, une prophĂ©tie : on est en 1988, l’artiste a alors quarante et un ans. Il mourra un an plus tard, victime du sida, comme beaucoup d’autres cette annĂ©e-lĂ .
Pour mĂ©moire, le prix Nobel de mĂ©decine fut accordĂ© Ă  l’institut Pasteur (Professeur Montagnier directeur administratif du laboratoire et    . Jean Claude Scherman, directeur scientifique, fut Ă©cartĂ© par l’administration.
Il se faut souvenir que les services des hÎpitaux français, par les hommes et les femmes, leur générosité, leur écoute, leur éthique du soin, depuis le début des années 80 étaient reconnus comme les meilleurs humainement et médicalement tant de personnalités sont venues pour une prise en charge humaine, dans la plus grande sollicitude).
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