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Alphonse Mucha ֍ Société Populaire des Beaux Arts (1897)
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The long-overdue "look what I did!" post of FF6 fanart that I did for the 30th anniversary calendar project. You might recognize the source material:
-Cayenne/Gau is based on Alphonse Mucha's SOCIÉTÉ POPULAIRE DES BEAUX - ARTS. 1897
My friend Scotty assisted with the French to make it more .... relevant to FF6. I imagine that Cayenne would teach Gau how to have good manners post-game.
-The park is probably the most recognizable piece, based on Georges Seurat's A Sunday Afternoon on the Island of La Grande Jatte /Un dimanche après-midi à l'Île de la Grande Jatte. 1884-1886. There may or may not be some friends in this picture, maybe even a chick you recognize?
-Relm's self portrait is my favorite, based on Triple Self-Portrait by Norman Rockwell. 1960.
I learned a ton about using references and techniques in CSP, although I still don't really know what I'm doing.
#ff6#final fantasy vi#cayenne garamonde#カイエン#ガウ#my art#エドガーロニフィガロ#gau#relm arrowny#リルム#fine art reimagined#ファイナルファンタジー6#ファイナルファンタジーVI#CSP
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Est-ce que vous pouvez me donner des jeux de société classiques joués en France? Genre ceux qui sont très populaires/que tout le monde connaît?
Merci!
( @culturefrancaise @republique-francaise-officiel si vous pouviez partager ce serait top 🙏)
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7/07/2024 – Personnellement, je ne trouve que des motifs de me réjouir à l’énoncé des résultats du troisième tour des consultations populaires. Les élections européennes ont concrétisé, par et dans le système, le colère de ces dix millions de Français qui refusaient leur disparition (je ne détaillerai pas, ici et maintenant, les raffinements du supplice mortel auquel ils sont quotidiennement soumis et que, de toute façon, chacun connait). Ce coup de semonce a été confirmé par un premier tour euphorisant. Mais ce qu’il faut voir, c’est que ledit système a réagi d’abord avec véhémence, puis avec un véritable manque de discernement, produit du court-termisme très en vogue au Château depuis de nombreux mois. Ce que je retiens :
• Le Front Populaire sera défunt dans moins de quinze jours. Alliance de carpes puant la vase et de lapins myxomateux, cet équipage n’avait pour seul objectif que de préserver les pré-carrés, les chasses gardées et autres prébendes de la gauche dite institutionnelle, ou historique, ou progressiste, ou républicaine... qu’importe, ce ne sont là que libellés ronflants imaginés comme autant de certificats de moralité par les zélotes d’une presse subventionnée par l’État et les affairistes. Le Front Populaire va crever la gueule ouverte et la haine qui caractérise les rapports politiques au sein de la gauche va se raviver de plus belle. J’attends avec une impatience gourmande le nom des tenants d’un prochain gouvernement “reflétant les sensibilités différentes, mais complémentaires, exprimées par une majorité de Français dans les urnes, à l’issue du second tour des élections législatives”. Miam !
• Ceux qui imaginaient qu’un RN en majorité absolue pourrait gouverner ce pauvre pays : réveillez-vous ! Ce parti est compatible avec tout ce que l’Occident a produit de notoirement pourri depuis vingt-cinq ans. Il est pour tout ce que nous vomissons, vous et moi. Il est donc la négation de notre substance même. Sa défaite n’est regrettable que parce que son arrivée à la tête du pays aurait accéléré le processus de décomposition totale de la société française.
• La catastrophe économique pendante va probablement se déclencher quelque part entre la clôture des JO et la fin de l’année. L’insolvabilité du gouvernement de la France aura des conséquences inouïes et c’est là, sûrement, que l’extrême-gauche aura se revanche, massivement aidée par les Nouveaux Français du Sud-Orient.
• Ceux, enfin, qui voudraient concocter des phrases définitives sur le destin du pays devraient économiser leur encre ou leur salive. Ce que le bon sens exige que nous observions, c’est que les Français se sont choisi un parlement à leur hauteur. La photographie de la Chambre des Députés donne une image assez honnête et fidèle des mentalités de nos contemporains, quelque part entre le “sauve-qui-peut” et le “no pasaran”. Personnellement, j’en suis à me demander, très sincèrement, s’il reste quelque chose à sauver – et surtout, sauver pour qui ? Pour quoi ?
• Environ dix millions de Français ont exprimé assez clairement leur désir de survie. Demain, après l’accumulation de nouvelles catastrophes encore plus outrageantes, plus saignantes, toujours plus insupportables, ce nombre gonflera dans des proportions inattendues. Par pour de bonnes raisons, d’un point de vue intellectuel – mais ce n’est plus le sujet. Les rangs seront encore plus garnis et des vocations – sans doute inattendues et surprenantes – se feront jour pour guider ces énergies. C’est à partir de ce moment qu’il sera permis d’espérer, même un tout petit peu, car la force du nombre sera déterminante.
J.-M. M.
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Various Names of Napoleonic French Privateers from this random website
Récapitulatif des Bateaux corsaires présents dans la base de données
A Propos (About)
Aimable américaine (Friendly American)
Avant propos (Foreword)
Antianglican
Antibriton
Bigot
Canadien
Coq (Rooster)
Coq Hardi (Bold Rooster)
Grand Napoléon
Grand Napoléon 2
Grand Napoléon N°2
Grand Napoléon N°3
Effronté (Cheeky)
Effrontée (Cheeky)
Invincible Bonaparte
Invincible Napoléon
Impatient
Incomparable
Incomparable 2
Incomparable 3
Mutine (Mutiny)
Mignon (Cute)
Masséna
Masséna II
Optimiste
Qu'en pensez-vous (What do you think)
Saucy Jack
Sardine
Société populaire (Popular Society)
True blooded yankee
Vierge de la Gay (Virgin of the Gay)
found this when looking for information on a ship named after one of my favourite dead frenchmen
marshals who had privateers named after them i think - soult, berthier, lefebvre, oudinot, murat, bernadotte maybe
#cadmus rambles#age of sail#napoleonic wars#napoleonic era#i dont speak french these are just the ones that amused me
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je viens de lire le comparateur de programme pour ce qui est du service publique. Et je trouve ça quand même fou que à part pour le nouveau front populaire ya quasi 0 point positif pour tous les autres partis.
La norme en politique publique est donc de détruire tout ce qui est politique publique. Ces gens-là veulent être élus pour filer tout le pouvoir qu'on leur donne au secteur privé. Ils sont en train de saboter leur propre boulot, leurs propres leviers d'action sur la société.
Avec la région AURA passée à droite et la politique nationale de l'autre à exploser, j'avais bien constaté que c'était la tendance du moment mais ça fait vraiment bizarre de le voir ainsi.
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“ […] Le Beau et le Laid sont des notions relatives, qui peuvent varier d’une culture à l’autre, mais en Europe, chacun sait — ou savait — ce qu’est un beau geste, une belle action, une belle âme ou un bel ouvrage.La sagesse populaire dit qu’il n’est pas beau de mentir. Aux tricheurs, on préfère les beaux joueurs. On dira d’un vieillard qu’il a un beau regard. D’une personne laide physiquement qu’il y a chez elle une beauté intérieure. Ce qui est beau ne peut pas être mauvais. Toute l’histoire européenne est imprégnée de cette conception esthétique de la vie, indissociable du sens de l’honneur. Et ce que je reproche le plus à notre société actuelle, c’est de vouloir nous imposer le laid : le Centre Beaubourg, l’Opéra-Bastille, la peinture de Picasso et l’art moderne en général, le rap, la techno, une certaine mode, etc. Or, tout ce qui est laid est pernicieux, car toutes les horreurs que nous sommes aujourd’hui sommés d’admirer ont pour fonction de saper les valeurs et de détruire les repères sans lesquels la civilisation européenne n’aurait jamais atteint les sommets que nous lui connaissons.”
Jean-Claude Valla
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23 avril 1918 : mort du folkloriste, peintre et écrivain Paul Sébillot ➽ http://bit.ly/Paul-Sebillot Fondateur de la « Société des traditions populaires » et de la « Revue des traditions populaires », il était, de son vivant déjà, considéré comme le premier folkloriste de France, et son oeuvre est empreinte d’une clarté, d’une simplicité, d’une érudition élégamment dissimulée malgré la précision consciencieuse du détail
#CeJourLà#23Avril#Sébillot#folkloriste#folklore#traditions#populaires#érudit#écrivain#biographie#histoire#france#history#passé#past#français#french#news#événement#newsfromthepast
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"Faut-il alors rappeler que c’est précisément autour de cette question cruciale – celle de la différence entre une société juste et une société décente – que s’étaient noués, au début du XIXe siècle, les premiers éléments de la critique socialiste du libéralisme ? Le principe de cette dernière (enraciné dans l’expérience vécue par les classes populaires urbaines des premières formes de déshumanisation engendrées par le nouvel ordre industriel et de l’égoïsme déjà sans bornes des nouveaux possédants) c’était qu’une société qui dans les faits encourageait des comportements aussi indécents et aussi manifestement contraires à la dignité humaine ne pouvait pas être moralement acceptable et qu’il n'y avait, donc, guère de sens à la définir comme "juste". Pour les premiers socialistes, il était donc indispensable que la collectivité s'organise en tant que telle, afin d'inscrire dans la réalité (et les projets concrets variaient, naturellement, de manière considérable d’un courant à l’autre) ces conditions d’une existence décente et d'une solidarité minimale, sans lesquelles l’Etat de Droit, quels que soient, par ailleurs, ses avantages évidents, continuerait à être privé de tout contenu humain effectif."
Jean-Claude Michéa, L’empire du moindre mal, 2010.
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société populaire des beaux arts
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Comme nous l'avons précisé, MIIK est un forum city en priorité, mais aborde des sous thèmes universitaires. Bien que le forum ne soit pas centré sur cette dernière, l'université reste un endroit jouable dans lequel vos personnages pourront évoluer.
NAMSONG INTERNATIONAL UNIVERSITY (NIU) —
Située au cœur de la capitale de Hanseo, cette université construite il y a un siècle est la plus prestigieuse du pays, et se démarque pour la qualité de son enseignement, pour le prodigieux diplôme qu’elle délivre, et pour ses somptueux locaux. Un diplôme décroché à Namsong représente un passeport vers les plus hautes sphères de la société sud-coréenne et confère une réputation inégalée, ouvrant des portes dans les milieux les plus influents. De nombreux hommes politiques, célébrités et personnalités de la Corée du Sud sont passées sur ses bancs, faisant de Namsong un véritable berceau de l'élite nationale. Cette renommée assure à ses diplômés des opportunités professionnelles ainsi qu'un réseau puissant.
Aussi, l’accès à Namsong est limité, et l’enseignement y est stricte. Les examens de fin de semestre permettent un tri entre les bons et les mauvais ��tudiants : un score de moins de 60/100 entraîne une perte de bourse, tandis qu’un score de moins de 40/100 entraîne un renvoi de l'école — pour les malchanceux n'ayant pas de parents assez influents. Outre un diplôme de renommée, l’universitaire permet aussi la possibilité de faire des échanges scolaires dans les meilleures universités du monde. LES ETUDIANTS —
Autrefois réservée exclusivement aux enfants des élites et des chaebols, Namsong a longtemps privilégié les plus riches, soumettant les étudiants à des frais d'inscription vertigineux qui garantissaient un environnement uniquement fréquenté par les plus influents de la société.
Cependant, depuis huit ans, une nouvelle direction a mis en place un programme de bourse au mérite ouvrant les portes à des étudiants brillants issus de milieux plus modestes. Depuis 2020, un système de loterie a été installé dans les lycées publiques les mieux classés permettant à dix de leurs étudiants tirés au sort d'intégrer l'université ; tout cela dans le cadre du programme "l'éducation pour tous" crée par la nouvelle maire à son arrivée. Cette initiative suscite beaucoup de réticence parmi les familles les plus fortunées, attachées à leur exclusivité. Bien que certains clubs et cercles soient encore largement dominés par les enfants de chaebols, une nouvelle génération d'étudiants méritants et ambitieux s'apprête à laisser son empreinte l'université de Namsong.
Le système scolaire coréen a été modifié et inventé pour les besoins du forum. Il se base notamment sur le système américain et français. La rentrée scolaire se déroule le 30 août. Le premier semestre se poursuit jusqu'au mois de décembre. Les examens se déroulent du 10 au 20 décembre. Le second semestre commence en février, après un mois de vacances. Les examens du second semestre ont lieu du 20 au 25 mai, puis les élèves sont en vacances jusqu'à la rentrée suivante.
Durant leurs deux premières années d'études, les élèves choisissent un domaine général qu'ils étudient avant de se spécialiser dans une branche de ce même domaine à la fin de leur deuxième année.
Licence : - Première année : 18 - 19 ans - Deuxième année : 19 - 20 ans - Troisième année (spécialisation) : 20 - 21 ans - Quatrième année : 21 - 22 ans Obtention de la licence. Master : - Première année : 22 - 23 ans - Deuxième année : 23 - 24 ans - Troisième année : 24 - 25 ans. Obtention du master. Doctorat : - Première année : 25 - 26 ans - Deuxième année : 26 - 27 ans Obtention du doctorat, fin des études.
THE RIOT CLUB : L'ELITE —
Enfants de PDG, politiciens, chirurgiens de renommée ou célébrités, les membres de ce club élitiste sont les élèves les plus populaires de l’université, et pour cause : ils réunissent beauté, richesse et pouvoir. Si leur vie semble déjà écrite avant même leur naissance et s’ils sont destinés à de grandes choses, la pression peut parfois leur sembler trop lourde. Ce petit groupe de dix à quinze personnes a d'abord été crée après la réforme éducation pour tous, dans le but de ne pas être seul, s'allier avec leurs semblables, ne souhaitant se mêler à la roture sous aucun prétexte. Aussi, ces élèves ont tendance à se rassembler et à rester entre eux,. Certains d’entre eux ont plus de pouvoir qu’ils n’y paraissent, amadouant quelques professeurs avec des billets pour embellir leur bulletin scolaire ou suscitant la peur auprès des autres élèves ; ils connaissent leur puissance et savent s'en servir à bon escient. Néanmoins, l'arrivée de Nana et Yuko ne cesse de créer le désordre au sein du club. Lorsque l'on vient de familles puissantes, il est difficile de ne pas avoir de secrets...et cette élite se noie dedans.
Il s’agit d’un groupe de 10-15 personnes extrêmement riches et dont les parents sont célèbres (chaebols en particulier). Un personnage qui n’est pas enfant de chaebol peut accéder à l’élite à la condition qu’il soit riche, populaire et d’avoir un physique très attrayant. Les membres actifs seront privilégiés pour rejoindre l'élite.
En plus du Riot Club qui est très fermé et restreint, vos personnages auront la possibilité de rejoindre divers autres clubs et vous aurez la possibilité d'en ouvrir d'autres si l'envie vous en dit.
#forum rpg#forumactif#rp#rpg#rpg asiatique#avatars rpg#pub forum rpg#pub rpg#rpg forumactif#universite#annexe#ressources rpg#roleplaying#rpg français#rpg forum#avatars forum#forum roleplay#pub rpg forumactif#pub forumactif
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Sous France : Mémoire d'un quartier populaire
Mon cheminement photographique a débuté par des captures du quotidien dans un quartier populaire de France, celui de mon enfance, la Plaine d'Ozon : des scènes de vie, des sourires d'habitants, des enfants qui jouent, des bâtiments témoins d'une époque révolue. Chaque cliché est imprégné de souvenirs, teinté de nostalgie. Depuis les années 90, j'ai évolué dans le milieu associatif et l'éducation populaire, aux côtés de militants engagés contre le racisme et l'extrémisme. La photographie est ainsi devenue mon vecteur d'engagement, un moyen d'exprimer mon adhésion à ces combats. C'est à travers ma passion pour la photographie que j'ai trouvé une voix, une manière d'exprimer souvent l'inexprimable. Je n'ai jamais cherché à être un porte-parole, mais simplement à donner voix à mes convictions à travers mes images. Parfois, ma démarche a été mal comprise … Néanmoins, l'une de mes plus grandes fiertés reste la présence d'une de mes photos dans un manuel scolaire d'histoire géographie d'un collège. C'est très honorifique de savoir que cette photo permet de sensibiliser des collégiens à la lutte contre le racisme. Au cœur de mon travail, je mets aussi en lumière une jeunesse vibrante, multiculturelle, invitant chacun à s'élever, à respecter autrui, à valoriser ses talents. Après plus de 15 ans derrière l'objectif, je réalise que je suis devenu le témoin d'une histoire, celle d'un quartier en mouvement, en évolution. Ma passion demeure intacte, et j'espère continuer à contribuer à la mémoire collective de mon quartier, à sensibiliser, à inciter à l'action. Chaque image est une pierre apportée à l'édifice d'une société plus juste, plus inclusive.
📷 𝑀𝐾 | ©
☞ 𝑺𝒐𝒖𝒔-𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆
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Victor Pelevine a publié un livre satirique divertissant intitulé Transhumanism INC.
Pour ceux qui ne le connaissent pas, Pelevine est probablement l’écrivain russe vivant le plus important, un Voltaire du XXIe siècle, en quelque sorte. C’est une énigme, car personne ne l’a aperçu au cours des dix dernières années, bien qu’il produise un livre par an, et le publie invariablement au début du mois de septembre. Ses premiers livres ont été traduits et publiés en Occident, surtout pour leur côté antisoviétique. Plus tard, il a attaqué (ou raillé) l’ordre du jour occidental dominant, et on a cessé de le publier en anglais, alors que ses livres sont imprimés à des millions d’exemplaires pour les lecteurs russes politiquement incorrects. Un lecteur de Ron Unz apprécierait ses écrits satiriques. Pelevine s’intéresse à Wikileaks et à l’Afghanistan (The Anti-Aircraft Codes of Al Efesbi), aux droits de l’homme comme prétexte aux bombardements (S.N.U.F.F.), aux rôles des sexes et à la diversité (IPhuck 10), au politiquement correct comme complot du GRU contre la société américaine (The Art of Light Touches), et maintenant il s’en prend au transhumanisme.
L’histoire se déroule dans 300 ans. Les personnes les plus importantes du monde se sont débarrassées de leur corps et ont déplacé leur cerveau pour qu’il soit conservé et entretenu pour toujours par Transhumanism Inc. pendant qu’ils profitent des plaisirs paradisiaques induits par le numérique. Chaque humain a un implant cérébral et se laisse guider par l’IA. Le sale boulot est fait par des esclaves clonés qui sont tous blancs pour se conformer aux idées de BLM. Selon la loi, les esclaves doivent toujours porter un masque sur le visage, quelle que soit la situation épidémiologique. Les esclaves eux-mêmes ne tombent pas malades, mais ils propagent les virus de manière asymptomatique. Il n’y a pratiquement pas de sexe, tel que nous le connaissons: les femmes préfèrent sodomiser leurs partenaires masculins pour se venger du patriarcat. L’agenda vert a gagné ; il n’y a plus de voitures, seulement des chevaux et des calèches à puce. L’électricité est chère et les gens se débrouillent avec des lampes à kérosène.
La Transhumanism Inc. a une filiale, Open Mind, qui s’occupe de l’esprit des gens. Open Mind est un Facebook amélioré auquel vous ne pouvez pas échapper, ou des lunettes intelligentes de Google que vous ne pouvez pas enlever. Lorsque vous regardez une personne ou un bâtiment, ou que vous écoutez une chanson, Open Mind vous suggère la bonne réaction, la bonne évaluation. La fille d’un banquier a l’air charmante, une chanson populaire a l’air populaire, dès lors que les créateurs ont payé la publicité ad hoc. Ainsi, les réactions humaines sont gardées sous contrôle. Ce système coexiste avec la politique locale. Dans le roman, la Russie a un gouvernement quasi communiste-nationaliste qui a également accès à l’implant, mais la grande majorité des réponses est déterminée par le marché, c’est-à-dire par la Transhumanism Inc. Le grand dirigeant russe communiste-nationaliste, un Poutine sous stéroïdes, a également son cerveau stocké, à côté de celui du Cheikh Ahmed, le chef du djihad mondial.
Ce n’est pas très différent de ce que nous avons aujourd’hui. Les gouvernements diffèrent, les partis diffèrent, de Poutine à Modi, de Biden à Merkel, mais les réponses humaines et l’ordre du jour sont assez similaires dans le monde entier, qu’il s’agisse du covid ou du climat, de la privatisation ou du transgenrisme. Là où ils ne sont pas si superposables, ils se rapprochent de cette similitude. Dans le triste monde du transhumanisme, les dirigeants ont succombé à la tentation suprême de vivre éternellement au paradis tout en restant en contact avec leurs pays. Leurs cerveaux (placés dans des bocaux) reposent sur une étagère dans une cave bien protégée à Londres ou dans le Nevada, mais à tout moment, ils peuvent se connecter à leurs assistants (comme dans le film Avatar) et interagir avec des personnes de moindre importance.
(Extrait d’un billet d’Israël Shamir)
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Compilation de réponses écrites au sujet de l'univers de Steam Powered Giraffe
Hare : Ass-où-quoi ??
The Skull : Mauvais Becile. C'est là que Ignatius a fini.
Hare : … Ignatius ? Bon sang, je n'ai pas pensé à lui depuis des lustres. Où as-tu entendu ça ?
The Skull : Becile Industries. J'ai obtenu un travail chez eux et ai entendu par hasard des… rumeurs. Des soupçons sur son travail, sur ce qui lui est arrivé. Je suppose qu'il a pété les plombs.
Hare : Hein ! Il était vraiment spécial. Je n'ai jamais aimé la façon dont il me regardait, comme s'il me désassembler du regard. J'ai toujours pensé qu'il aller devenir un ermite fou.
Hare : … Je suppose qu'il a suivi les traces de Pa' après tout.
The Skull : …
Hare : …
Hare : Eh bien, voilà ta réponse. Nous n'avons aucune idée de ce à quoi ressemble Ass-land ou quoi que ce soit. Bonne chance avec ça.
Note du traducteur: Ass signifie cul en anglais.
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Hare : Je n'ai jamais rencontré ce type. Ce qui le place au-dessus du reste de la famille.
The Skull : J'ai travaillé pour sa société, mais c'est tout. Il semble intelligent. Et il est un beau parleur. C'est assez pour être dangereux. Franchement, je suis satisfait de le garder à distance.
Hare : Hé, ouais…
Hare : …
Hare : Dis, euh…
Hare : Est-ce que… est-ce qu'on sait exactement quel est son lien de parenté avec Pa' ?
The Skull : … Euh.
Hare : Je veux dire, ça doit être par Norman, non ? C'est le dernier que nous ayons vraiment connu.
The Skull : Je… ne sais pas.
Hare : Mais bon, hé. Il aurait pu voler le nom, devenir célèbre rapidement grâce à la mauvaise réputation.
The Skull : …
The Skull : Je dois y aller.
The Skull : Je vais faire un peu de... « Recherches. »
Hare : Oups ! Que quelqu’un dise à Buster qu’il est sur une liste noire ! Hahaha !
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Hare : Ha ! Qu'est-ce que je ferais dans le Wisconsin ? Traire des vaches ? C'est ça, oui. Ce n'est pas comme si quelqu'un me conduirait là-bas non plus. Je n'ai pas le fric, je n'ai pas le temps. C'est pourquoi je n'y suis jamais allé. Je ne suis jamais euh... allé en dehors de la ville. *tousse*
The Skull : Je suis allé à Santa Ana une fois, avec Maître Becile.
Hare : Ah ouais ? Comment c'était ?
The Skull : … C'était une ville.
Hare : … C'est vraiment tout ce que tu vas me dire.
The Skull : Ce n'est pas comme s'il s'intéressait aux visites touristiques.
Locksmith : Quelles vies terriblement déprivées de tout que vous menez ! Ne jamais être témoin des sources culturelles qui parsèment notre continent, et encore moins notre globe. Admirer les paysages et les odeurs des montagnes et des déserts, contempler l'art immuable des maîtres artisans, savourer un spectacle en direct, sachant qu'il ne pourra jamais être reproduit. Comme je désire ardemment cette liberté de voyager ; Le Caire est splendide à cette époque de l'année.
The Skull : Et comment diable le saurais-TU ?
Locksmith : ...
Locksmith : National Geographic.
Note du traducteur : National Geographic est une chaîne culturelle qui parle d'histoire et de géographie populaire dans les pays anglo-saxons.
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Hare : Oh, tu veux dire Papa. Papa le merveilleux. Papa le génie. Monsieur Grand Maître-Des Robots. Monsieur A-Fait-Un-Million-De-Choses. Monsieur Peut-Pas-Trouver-Une-Autre-Petite-Amie. Le gars qui a fait jeter mon Pa' en prison. Le gars qui a ruiné sa réputation et l’a rendu fou. Le gars qui a « gagné ! » Le gars qui a pu vivre heureux pour toujours, riche et célèbre !
Hare : Colonel Peter A.-putain-Walter, le putain de Premier !
Hare : Le gars qui a construit Rabbit.
Hare : NIQUE CE TYPE.
The Skull : Dieu. Tu as tout fait sortir de ton système ?
Hare : TAIS-TOI.
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Hare : Le son que fera Rabbit quand je la jetterai enfin dans les égouts. Suivant.
The Skull : Je n’écoute pas leurs conneries.
Lockslith : De la même manière, je m’abstiens de m’adonner au style rudimentaire des Walters. Une fois a suffit pour trouver que l’orchestration faisait défaut.
Dee : Non.
The Jack : Ju Ju Magic.
Hare :
The Skull :
Locksmith :
Dee :
The Jack : HAHAHAHAHA !
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Directions
#spg#steam powered giraffe#becile bots#becile boys#Hare Becile#The Skull Becile#Locksmith Becile#The Jack Becile#Dee Becile#askbox answers#text answers#traduction française
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Profondément persuadée que Proust serait plus populaire, c'est-à-dire, plus adapté au cinéma, plus célébré comme auteur gay par la communauté lgbt+, plus remis au goût du jour par la nouvelle génération (I mean.... à part moi et dix personnes sur tumblr), plus popularisé, comme un vrai classique, qu'il est ! Mais c'est un anti-classique, comme l'analyse Antoine Compagnon, c'est l'auteur le plus étudié en France, et aussi le plus mal compris... bref, persuadée, vraiment, que Proust serait autre chose s'il n'était pas juif et s'il ne parlait pas en profondeur de la place des juifs et de l'antisémitisme dans la société française.
C'est précisément ce qu'écrit Patrick Mimouni dans son livre, Les Mémoires maudites. Même quand on a eu un an de podcasts sur France Culture sur la Recherche, sur Proust, sa judéité a à peine été évoquée. Il pose problème, fondamentalement. Il n'est pas que gay, il est aussi juif, et tu ne peux pas étudier Proust sans l'accepter, sans le comprendre, sans lire "Tous ces gens là sont antisémites" et véritablement digérer le sens de cette phrase, ce qu'elle coûte et à Swann et à Proust.
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«Pourquoi brûlent-ils des écoles ?» par Laurence de Cock
Les plus empathiques parlent d’autodestruction. Les jeunes se saboteraient eux-mêmes. Mais dans la droite la plus extrême et dans certains médias d’information continue, on profite de ces actes, cette « violence aveugle », pour tourner en boucle sur la sauvagerie des jeunes, ces « nuisibles », comme les qualifient les syndicats UNSA-Police et Alliance réunis dans un infâme et séditieux communiqué. On fustige leur absence de scrupules et on voit bien là la preuve du caractère apolitique de leur colère. Ils n’attendaient que ça, disent-ils, piller et mettre le feu.
Les écoles, lieux d’injustice sociale
Mais pourquoi brûlent-ils des écoles ? La question ne se pose pas pour la première fois. En novembre 2005, cela avait déjà interpelé car 255 établissements scolaires avaient été touchés. Pour Laurent Ott, éducateur et pédagogue social, dans les quartiers populaires, depuis longtemps, les écoles incarnent le lieu de l’injustice sociale, et beaucoup d’adolescents n’en gardent pas un si bon souvenir que cela. Présentées comme les lieux de « promesse républicaine » aussi bien par l’institution que par les enseignants, les jeunes ne peuvent que percevoir le décalage entre ces beaux discours et leur réalité. Dans les quartiers populaires, l’école produit beaucoup plus de relégation que d’intégration.
Les sociologues Didier Chabanet et Xavier Weppe notent à leur tour que « la rage [des émeutiers] porte contre le quartier lui-même, elle n’a rien à négocier ». Ils confirment la révolte des jeunes contre des institutions publiques qu’ils méprisent en retour et miroir du mépris qu’elles leur ont fait subir. L’école n’est pas une cible collatérale, elle est au cœur des institutions ciblées comme mensongère. Lors d’entretiens en 2016 et 2017, les jeunes critiquent les enseignants « blancs », qui n’habitent jamais le quartier, qui ne les respectent pas, ne les félicitent jamais. Le ressentiment est lourd. Les bibliothèques, elles, ne seraient fréquentées que par à peine 10% des habitants en moyenne. Les deux sociologues notent alors l’échec patent d’une politique de la ville qui n’a jamais réfléchi aux modalités d’association des habitantes et habitants aux choix de transformations de leur quartier. Dès lors, toutes les institutions publiques apparaissent comme des excroissances qui au pire les écrasent ou rejettent, au mieux ne les concernent pas. L’école ne fait pas forcément exception.
Nos lycées brûlent
S’en tenir à ces explications ne suffit peut-être pas pour comprendre la place particulière occupée par les établissements scolaires dans cette démonstration de colère. Dans les années 1970, on assiste à une multiplication d’incendies criminels, par des élèves, touchant des écoles, collèges et lycées. C’est à l’occasion de l’incendie du collège Pailleron le 8 février 1973 que les médias commencent à interroger cela comme un phénomène de société. Pour les seuls mois de janvier et février, le journal Paris-Match en dénombre onze dans tout le pays …
Comme pour Pailleron, ce sont des incendies ou départs de feux faits par des élèves qui veulent se venger de situations ou propos humiliants. À Pailleron, le jeune Patrick 14 ans avait dit à la police qu’il ne voulait pas aller dans la classe surnommée « des déchets ». À Bobigny, ce sont les classes dites « pratiques » d’un CES qui brûlent, cinq baraquements en bois : « Mon prof nous a raconté que les autres profs lui disent sans arrêt : « tu as du courage de rester avec ces tarés » raconte un élève, ajoutant : « les portes n’ont même pas de poignées, elles nous restent dans les mains. Par moment il n’y a pas de carreaux, les extincteurs ils viennent les remettre pour l’enquête pour faire bien devant les inspecteurs, c’est parce qu’un mec a voulu mettre le feu ».
Deux ans plus tard, en 1975, on compte encore une quarantaine d’incendies criminels. Les conditions matérielles sont avancées comme principales causes à deux niveaux : d’abord parce que les constructions sont hautement inflammables et que tout départ de feu peut être fatal, comme à Pailleron ; ensuite parce que les établissements scolaires qui sont incendiés sont pour la plupart délabrés et renforcent le sentiment de honte des élèves qui y sont scolarisés.
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