#si je fixe trop mon visage dans le miroir je ne me reconnais pas
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jezatalks · 1 year ago
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Moi qui fait des recherches : COMMENT ÇA ??? Pourquoi la dysphorie ne fait pas partie des symptĂŽmes de la dysphorie prĂ© menstruelle ???
Mes potes (trans) : Jez. Va falloir que tu te poses des questions. Et les bonnes.
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graine-de-courge · 5 years ago
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Un jour comme un autre
Quelqu’un frappe Ă  la porte, il fait nuit noir. Je rĂ©ussis tout juste Ă  souffler un « Entrez ». Lorsque la porte s’ouvre, je ne distingue pas grand-chose, je cherche mes lunettes Ă  tĂątons sur ma table de chevet, alors qu’une voix douce et enjouĂ©e m’annonce :
« Bonjour Me C. ! Attention les yeux, je vais allumer la lumiÚre. »
L’action suit les mots, j’ai Ă  peine le temps de fermer les yeux, que l’aube Ă©clat du nĂ©on de ma chambre m’éblouit presque. Je sens quelqu’un me toucher gentiment l’épaule, j’entrouvre les yeux et vois une jeune femme me tendre mes lunettes. Elle m’aide mĂȘme Ă  les mettre. Assise au bord de mon lit, elle me regarde un sourire angĂ©lique sur un beau visage anguleux, tirĂ© par la fatigue. Je la connais, je suis sĂ»re de l’avoir dĂ©jĂ  vue. Mais oĂč ?.. Elle me fait un petit signe de la main et ouvre les volets, je ne sais pas comment, car elle est toujours assise sur mon lit.
« - Nous sommes le 26 AoĂ»t, c’est la saint
 Elle retire la petite feuille de l’éphĂ©mĂ©ride sur ma table de chevet. ThĂ©rĂšse de JĂ©sus. Il est huit heure trente. Vous voulez vous levez maintenant ou dormir encore un peu ? Me demande-t-elle poliment.
- Je vais me lever, balbutiais-je la voix encore ensommeillée. »
J’essaye pĂ©niblement de me relever de mon lit, mon corps entier me fait mal. Un peu plus chaque jour. Par un habile procĂ©dĂ© la jeune femme m’aide Ă  me sortir de mon lit, elle me fait un peu mal malgrĂ© elle, je le sens bien. MalgrĂ© ses attentions et sa gentillesse, comment ne pas faire souffrir un corps aussi esquintĂ© que le mien. Elle m’accompagne Ă  la salle de bain et m’installe sur les toilettes. Je suis gĂȘnĂ©e de sa prĂ©sence, Ă  demi-nue en chemise de nuit, je fixe le vide devant moi pour ne pas y penser et pourtant, sans un mot, elle semble comprendre. Elle sort et je l’entends farfouiller dans la chambre, je n’aime pas qu’on touche Ă  mes affaires, d’aussi loin que je m’en souvienne, je n’aime pas ça. Quelques secondes ? Minutes ? Une Ă©ternité ? Je me suis perdue dans mes pensĂ©es. J’ai froid. Plus tard, j’entends un petit frappement Ă  la porte, la jeune femme un peu rougit, passe sa tĂȘte dans l’entrebĂąillement.
« - Je peux entrer ? Vous avez terminé ? »
J’hoche la tĂȘte. Elle entre les bras chargĂ©s de vĂȘtement et linge de toilette et m’explique qu’elle va m’aider Ă  faire ma toilette. Comme si j’en Ă©tais incapable seule ! InstallĂ©e sur une chaise, elle me tend le gant de toilette imbibĂ© d’eau chaude : je dois me laver le visage. Je ne comprends pas. Je la regarde. Elle me rĂ©pĂšte plus doucement. Le visage
 Je connais ce mot. Je le sais. De quoi me parle-t-elle ? Alors je la vois passer sa main devant son visage et rĂ©pĂ©ter sa phrase. Je regarde mon gant de toilette et l’imite. Elle sourit. Je comprends alors. J’ai oubliĂ© le mot « visage »  Un mot simple et enfantin
 Je me sens triste, j’ai peur. Elle me tend le linge et je m’essuie. Tout le reste de la toilette se passe ainsi, elle m’explique par des gestes, chaque chose que je dois faire et que je ne comprends pas. J’ai oubliĂ© beaucoup de chose

Ma peur grandit, qu’ai-je bien pu oublier d’autre ? Mes enfants ? OĂč sont-ils ? A l’école ? A la ferme ? Et oĂč suis-je d’ailleurs ? Qu’est-ce que je fais ici ? Je dois rentrer m’occuper de mon mĂ©nage ! A chacune de mes questions, sa voix douce me rassure en rĂ©pondant calmement, elle a rĂ©ponse Ă  tout. Qui est-elle d’ailleurs ? Qu’est-ce qu’elle fait chez moi ?
« - Ne vous inquiétez pas Me C., je suis Lucie, je suis une aide-soignante. Je vous aide à vous préparer pour le petit-déjeuner, il est important de prendre soin de soi avant les autres, prenez soin de vous et vous vous occuperez du reste aprÚs. »
Elle m’aide Ă  m’habiller, me met de la crĂšme sur le visage et du parfum, elle me parle du temps, de la chaleur, me demande ce que je fais dans la vie, combien j’ai d’enfant. Elle me fait presque oubliĂ© que je suis Ă  demi-nue face Ă  elle. Alors qu’elle me coiffe, je sursaute brusquement, il y a quelqu’un que je ne connais pas dans la piĂšce. Une vieille femme ! Que fait-elle ici ?! Je l’observe attentivement, je ne la reconnais pas. Elle a le visage marquĂ© de ride, les cheveux blanc et le visage fatiguĂ©. On dirait Maman.
« - Maman ? l’appelai-je. »
Pas de rĂ©ponse. Je vois juste ses lĂšvres bougĂ©es mais sans qu’aucun son n’en sorte. La jeune fille est lĂ . Comment s’appelle-t-elle ?
«- Vous vous appelez comment ?
- Lucie, répondit-elle en souriant.
- Qui est cette femme ?! »
Lucie me regarde attentivement et regarde ensuite l’inconnue face Ă  moi. Un sourire triste se dessine sur son visage, elle a quelque chose d’étrange dans les yeux, de la douceur, de la gentillesse,  mais aussi un peu de douleur. Elle se place alors derriĂšre moi et je la vois apparaĂźtre derriĂšre l’inconnue.
« - C’est vous Me C.
- Moi ?! »
Je ne la crois pas ! Et je regarde en face de moi. Je peine Ă  me lever et m’approche de l’inconnue, elle en fait de mĂȘme. Je la regarde avec insistance et j’approche ma main pour la toucher. Le bout de mes doigts touche une surface plane et froide, je touche son visage
 C’est un miroir
 Je touche mon visage
 C’est moi. Je ne me reconnais pas. Je regarde la jeune fille prĂ©sente dans la piĂšce avec moi.
« - C’est Moi... »
«  - Oui, c’est vous Jeanne. »
Jeanne. Elle connaĂźt mon prĂ©nom. Quel Ăąge j’ai ? Ca ne peut pas ĂȘtre moi ! Hier encore, j’étais avec mes enfants Ă  la maison
 Comment ai-je atterrit ici ?!
Lucie me prend par le bras et m’accompagne hors de la chambre. Ce n’est pas chez moi, je ne reconnais rien. OĂč suis-je ?! Elle me tient par le bras, elle est bien brave cette petite, j’ai bien du mal Ă  marcher, mes genoux me font souffrir. Il faut que je me repose, je travaille trop ces temps-ci et il faut encore que je prĂ©pare Ă  manger pour mon mari, qui va rentrer de la ferme. Elle est Ă  mes cĂŽtĂ©s dans un dĂ©dale de couloir, c’est grand ici et il fait froid. Alors que je lui pose une multitude de question, elle ne perd jamais son sourire, elle rit mĂȘme parfois et me regarde. Elle m’explique que j’ai fais une mauvaise chute, il y a quelques temps en arriĂšre et qu’aprĂšs mon hospitalisation, par sĂ©curitĂ© mes enfants m’ont emmenĂ© ici, pour que je me repose. Je ne comprends pas, ça n’a pas de sens. Mes enfants sont encore jeunes ! Je la traite de menteuse, mais elle ne semble pas atteinte, elle semble juste soucieuse et me sourit tristement.
Nous arrivons dans une grande salle, quelques personnes sont dĂ©jĂ  prĂ©sentes et mangent tranquillement. Ils sont tous vieux ou trĂšs vieux. Je ne sais pas ce que je fais lĂ , je dois rentrer faire Ă  manger pour mon mari. Elle finit par me dire d’accord, mais me demande de dĂ©jeuner auprĂšs d’eux, le temps qu’on vienne me chercher. J’accepte. Elle me dit qu’ils ont du bon cafĂ©. Elle m’aide Ă  m’installer et me sert gentiment, aprĂšs m’avoir demander ce qui me ferait plaisir.
Je la regarde partir au pas de course aprĂšs une dernier signe. Elle s’arrĂȘte vers une dame en blanc aux cheveux courts et grisonnant, lui dit quelques mots et reprend sa course. Elle vient vers moi, le visage tout aussi souriant, elle me tend un petit gobelet avec des pastilles blanches.
« - Bonjour Me C, je vous apporte vos médicaments.
- Il est quel heure Madame ? Lui demandais-je, savoir si mon mari pourrait venir me chercher.
- Il est neuf heure moins cinq. Tenez. »
Sur ces mots, elle me tend une cuillĂšre avec les pastilles blanches, que je prends et un jus de pomme.
«- C’est pour quoi ces remĂšdes ?!
- La douleur et votre tension. Répondit-elle gentiment. »
Je dĂ©jeune tranquillement et, une fois terminĂ©e, je regarde autour de moi. Je vois plusieurs femmes vĂȘtues de blanc entrer et sortir de la piĂšce accompagnĂ©e ou non. Parfois elles s’arrĂȘtent discuter et rire ensemble. C’est beau la jeunesse ! Elles ont toutes l’air fatiguĂ©e, au fur et Ă  mesure, leur cheveux tirĂ©s en arriĂšre, s’échevellent. Certaines ont mĂȘme d’énorme cerne. J’entends quelques fois leurs articulations craquĂ©es. A chaque fois qu’elle passe Ă  cĂŽtĂ© de moi, elles me demandent si je vais bien lorsque je l’ai regarde. Ma voisine d’à cĂŽtĂ© me fait la conversation, elle est sympathique. Elle me parle de sa ferme dans le village voisin du mien, elle me parle de la derniĂšre messe. C’est vrai qu’elle n’était pas bien joyeuse. D’autres personnes vont et viennent, certaines ont mĂȘme le culot de ne pas rĂ©pondre quand on leur parle ou qu’on les interpelle. J’ai cru voir mon fils tout Ă  l’heure, lorsque je l’ai appelĂ©, il ne m’a pas rĂ©pondu ce voyou, je vais lui apprendre la politesse quand il va rentrer, ma voisine est bien d’accord avec moi.
Le repas de midi vient de se terminer, je n’ai mĂȘme pas vu la matinĂ©e passĂ©e. C’est fou comme le temps file Ă  toute allure. Je me lĂšve pour essayer d’interpeler une des jeunes filles en blanc, elles s’affairent de tout les bouts, mais je dois tout de mĂȘme rentrer, mon mari doit se faire du soucis et par dessus le marchĂ©, je ne retrouve plus mes clĂ©s de voiture.
Je rĂ©ussis Ă  en arrĂȘter une, je lui attrape la main de peur qu’elle ne s’envole avant de m’avoir donner mes rĂ©ponses. Elle a les mains brĂ»lantes. Je lui explique ma situation, elle soupire lĂ©gĂšrement et rĂ©flĂ©chit un peu.
On s’assoit les deux sur des chaises, qui traĂźnent dans le couloir, sans me lĂącher la main. Elle me rĂ©pond que ce n’est pas elle, qui s’occupe des taxis ou des voitures. Que tout ce qu’elle peut faire c’est se renseigner auprĂšs de sa supĂ©rieur et me tenir au courant dĂšs qu’elle en sait plus. Je sens sa bonne volontĂ© et je lui fais confiance, j’attendrai alors.
J’entends du brouhaha au loin, j’ouvre un Ɠil puis l’autre, difficilement. Les gens parlent fort entre eux, qu’est-ce qu’ils sont bruyant ici ! Je me suis assoupie dans mon fauteuil et ils sont en train de servir le cafĂ©. J’ai du dormir longtemps ! J’attends que les deux jeunes filles en blanc arrivent Ă  ma hauteur, j’ai mal partout.
« - Bonjour Me C., on ne s’est pas encore vu aujourd’hui. Comment allez-vous ?
- Je me rĂ©veille, j’ai un peu mal partout. J’ai dormi longtemps ? Mes enfants ne sont pas encore venu me voir ? Je ne les ai pas raté ?! M’enquis-je. Cela fait longtemps qu’il ne sont pas venu voir leur vieille mĂšre.
- Oh vous vous ĂȘtes endormi peu de temps aprĂšs mon arrivĂ©e, je dirais deux bonnes heures. On n’a pas vu vos enfants
 Son regard semblait triste. Mais vous savez, on est en semaine, ils sont grands , ils travaillent. Ils ont des enfants ?
- Oui, j’ai quatre petits enfants, ca demande du travail.
- VoilĂ , mais ne vous inquiĂ©tez pas, dĂšs qu’ils auront le temps, ils viendront vous rendre visite, j’en suis sĂ»re ! Me rassure-t-elle, un magnifique sourire aux lĂšvres, qui me rĂ©chauffe un peu le coeur. Vous voulez un café ?
- Oui, s’il vous plaĂźt. Avec du sucre. »
Je sirote mon cafĂ©, un peu chaud et je regarde toujours autour de moi, certains ont l’air vraiment malade, je n’ai pas Ă  me plaindre. Je pense Ă  mes enfants, j’espĂšre qu’ils vont bien. Si longtemps sans nouvelle, c’est terrible, ils ne pensent plus Ă  moi. Ils ont leurs enfants maintenant. Comment s’appellent-ils dĂ©jà ? J’oublie tout en ce moment
 Ça m’énerve, j’ai l’impression de ne plus savoir ce que je fais. Tiens, revoilĂ , les jeunes filles avec leur chariot. L’une d’elle s’installe Ă  cĂŽtĂ© de moi et m’offre une madeleine, que j’accepte volontiers. Elle en prend une pour elle. Elle discute avec l’autre, elles parlent de leurs enfants. Elles semblent si jeune, si insouciante et pourtant leur visage ont l’air si fatiguĂ©. L’une d’elle se tourne vers moi.
« -Et vous ? Comment s’appelle vos enfants Me C. ?
- Joseph, Marie, Étienne et
 Je rĂ©flĂ©chis. Je ne me souviens plus du dernier. Mon dieu ! »
Je les regarde dĂ©solĂ©e, les larmes aux yeux, j’ai oubliĂ© le nom de mes propres enfants. Quelle mauvaise mĂšre je fais ! Je cherche mais, aucune rĂ©ponse ne me vient. Elles me regardent toujours souriante. Comment font-elles pour sourire autant ?! Celle Ă  cĂŽtĂ© de moi, me prend la main.
«- Je ne me souviens plus, avouais-je, vaincue
Ce n’est pas grave, Me C., la premiĂšre lettre n’est-ce pas R ? »
Je rĂ©flĂ©chis, R
 R
 Mon mari s’appelait Roger et il voulait qu’un de nos enfants porte son prĂ©nom, je me souviens, c’est si loin.
« - Roger, lui réponds-je enfin.
- Vous voyez que vous vous en souvenez, il vous faut juste un coup de main ! »
Je souris à mon tour, elle a raison. Elle me sert gentiment la main et se lùve d’un bond.
« - Bon, c’est Ă  notre tour d’aller boire un cafĂ©. A tout Ă  l’heure. »
Et je ne la revis jamais.
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bulbivy · 7 years ago
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chapitre 2 La prĂ©paration Ă©tant terminĂ©e, nous descendons dans le salon. L’apĂ©ritif commence dans une bonne ’ambiance Je suis comme un poisson dans l’eau, ses amies sont vraiment gentilles et charmantes. L’ambiance est enjouĂ© le champagne facilite le contact.  Eva met de la musique et commence a danser. Elle est hypnotisant dans cette tenue avec son regard de vampire. Les serveurs remplissent les verres aussitĂŽt qu'ils sont vides. Les filles proposent un jeu. Le jeu est le suivant je dois faire un cunnilingus a toute les filles et celle qui rĂ©siste le plus pourra me donner un gage en rapport avec leur personnage. Bref je suis perdant perdant. Eva s’allonge les filles lancent le chronomĂštre. Ma langue lĂšche sa chatte dĂ©jĂ  chaude, du liquide sans Ă©chappe elle jouit comme une chienne. Eva essuie dĂ©licatement ma bouche. Suivante c’est au tour de Belle, Barbie, ClĂ©opĂątre. Les employĂ©s font comme si tous Ă©tait normal. Eva demande aux filles de faire le classement pendant ce temps l'une des esthĂ©ticienne arrive et commence de Ă  retoucher mon maquillage, il faut dire que j’ai chaud je transpire. Elle me tartine de fond de teint, de poudre, elle enduit encore mes cils qui sont lourd et remplis de mascara, rajoute du fard a paupiĂšre et enduit mes lĂšvre d’un rouge a lĂšvre plus foncĂ© et mat. « Parfait un peu chargĂ© mais parfait la soirĂ©e est loin d’ĂȘtre fini » me dit-elle en filant Que me resserve cette soirĂ©e, je suis dĂ©jĂ  bien alcoolisĂ©, ma tĂȘte tourne, et se serre taille m’épuise et mes talons ont eu raison de mes pieds..,, L'esthĂ©ticienne retouche Ă©galement le maquillage des filles. Les filles me regardent et me sourient. J’ai chaud, j’étouffe. Je vois barbie, cleopatre et belle danser puis et les rĂ©sultats tombent : DerniĂšre Cleopatre , 3eme Barbie, 2 eme Belle et 1 ere Eva Cleopatre dĂ©cide de commencer son gage tout de suite. Elle me dĂ©guiser en Cleopatre comme elle, ce soir je dormirai comme une momie. Elle veut me momifier aussi. Bizarre mais en liens avec son personnage. Je pars donc en compagnie de Cleopatre direction le salon de beautĂ© au deuxiĂšme. les stylistes et les esthĂ©ticiennes sont dĂ©jĂ  au travail. Je quitte mon costume de catwoman ainsi que le maquillage et les accessoires qui vont avec. AprĂšs un long demaquillage et le retrait de ma perruque, je retrouve un peu mon visage. malgrĂ©es extensions de cils, mes ongles acrylique qui sont bien prĂ©sents . Les styliste prĂ©sentent diffĂ©rents costumes et accessoires. AprĂšs plusieurs essayages ChloĂ© opte pour une robe blanche moulante trĂšs serrĂ© qui fini en entonnoir. Des bijoux et de nombreux colliers s'ajoutent Ă  ma robe. Pour mes chaussures se sera des sandales Ă  talons Ă©videmment( 12 cm ). C'est l' heure du maquillage, ChloĂ© souhaite que mon teint soit foncĂ© limite dorĂ©e. Les maquilleuses s'exĂ©cutent. AprĂšs 40 minutes de prĂ©paration , je dĂ©couvre le rĂ©sultat. Mon teint est trĂšs halĂ©, mon regard est dessinĂ©e Ă  eye liner noir avec un dĂ©gradĂ© bleue et dorĂ©e. Mes sourcil sont dessinĂ©s et mes lĂšvres sont parĂ©es d'un rouge brillant. Je porte une perruque noir coupĂ© carrĂ© avec des tresses. ChloĂ© est ravie de ma transformation. Nous rejoignons les filles afin de leur prĂ©senter mon nouveau look. AprĂšs plusieurs photos pour alimenter mon nouveau compte Instagram, nous passons Ă  table. Apres plusieurs heures, le moment du couchĂ© arrive. Je suis entourĂ© de ses dames et se sera en serre-taille et sous vĂȘtement que je serai momifiĂ©. Elles me conduisent dans la chambre et Eva arrive un carton remplit de bandelettes larges de 15 centimĂštres. De plus elle porte Ă©galement une espĂšce de mors et un masque pour la vue. ChloĂ© me pose le mors dans la bouche et l’attache avec un petit cadenas. Ensuite Eva pose le masque sur mes yeux et des bouchons dans les oreilles. En quelques secondes je perds toute notion de temps et d’environnement. Le reste de la prĂ©paration je le sent, ma tĂȘte mes bras mes jambes sont enveloppĂ© minutieusement dans le tissu. Je sens que l’on resserre mon serre-taille je suis a deux doigt de l’étouffement. Puis elles recouvrent mon corps et solidarisent l’ensemble avec mes pieds et mes jambes collĂ©s ensemble, et mes bras le long du corps. Quelques minutes plus tard, je suis une vrai momie, incapable de bouger, de parler de voir et d’entendre. Je sens qu’elles me soulĂšvent et m’allonge sur le lit. Puis m’attache sur ce mĂȘme lit, prisonnier sourd et aveugle. AprĂšs un certain temps je sens une main ouvrir la cage. Que vont-elles faire de mon sexe. Une main commence a branler mon sexe. Puis je sens qu’il pĂ©nĂštre dans une chatte, un mouvement de va et vient se fait sentir. J’ai de plus en plus chaud avec toutes ses bandelettes sur moi plus l’activitĂ© sexuel qui se dĂ©roule. J’essaie de communique mais aucun mot ne sors de ma bouche a cause du mors. Le va et vient cesse puis reprend mais avec une autre chatte ou position et cela a 4 reprises. Je fini par m'endormir. je sens enfin de l’air, elles m’enlĂšvent les bandelettes autours de la tĂȘte ainsi que les bouchons et les masque
 mais pas le mors ChloĂ© me regarde et dit « Reste muet mon pauvre petit chat en plus tu es tout salie et transpirant. Dans le miroir je vois mon reflet, je suis affreux, le maquillage de mes yeux ont coulĂ©, j’ai bavĂ© avec le mors et mes cheveux sont en bataille. Une vraie momie
 Les filles me descendent au salon, et m’installe sur le canapĂ©. J’essaie de communiquer a travers mon mors mais c’est dur. Barbie arrive « pauvre petit chat c'est Ă  mon tour maintenant, le pari et la transformation continue » « Tu as soif ? » j’acquiesce. « Tu as faim »’j’acquiesce doublement Je vois l’heure sur la pendule, il est 6h du matin et elles ne semblent pas fatiguĂ©es vais d’abord te relookĂ© et aprĂšs je te donne un bon repas.
Les filles m’enlĂšvent les bandelettes et le mors, quelle joie. Je retourne au salon avec Barbara cette fois. Je vais vivre une vie de barbie pour 24h. Les coiffeuses me retire ma perruque avec difficultĂ© vu la quantitĂ© de colle que ChloĂ© avait mise.
Elle m’installe sur la chaise est l’incline. C’est repartit pour le balaie du make-up, les esthĂ©ticiennes n’utilisent pas les mĂȘme produit que ChloĂ© ou plutĂŽt les mĂȘmes couleurs. La poudre du fond de teint, des fard a paupiĂšres bleu claire. Elles ajoutent des lentilles des bleues plus grosse. J’ai droit Ă©galement a des faux cils haut et bas et beaucoup de mascara bien sĂ»r. Les coiffeuses arrivent avec tout un tas de mĂšche de cheveux blond platine. Il s'agit d extensions de cheveux que les coiffeuses me fixent. "Que me font elle ? C'est un peu trop la ? " " je prends ta requĂȘte pour un abandon ? Une semaine dans la peau d'une femme c'est ça le pari. Les femmes ont des cheveux donc toi aussi." La transformation se poursuit. AprĂšs un long moment et de nombreux clips je me retrouve avec une importante chevelure blonde en partie. Mes vrai cheveux bruns font contraste avec les extensions. Sous les ordres de Barbara les coiffeuses entreprennent une teinture blonde platine pour uniformiser le tout. "NON c'est trop lĂ , une teinture blonde" proteste-je Je dĂ©cide de me lever, Barbara appelle les esthĂ©ticiennes et les stylistes qui me maintiennent plus ou moins immobile. J essaie de me dĂ©battre mais c'est peine perdu. Elles sont en sur nombre. La teinture est posĂ©e malgrĂ© tout. Je retrouve mon calme, je suis piĂ©gĂ©. "C'est pas trĂšs sympa" ajoute Barbara Une esthĂ©ticienne me vernit mes doigts en rose flashy. Barbie relĂšve la chaise et m’applique des fils sur le contour du visage puis elle tend ses fils et la peau de mon visage aussi. Mes yeux sont a la fois tirĂ© vers le haut mais aussi sur les cotĂ© elle les fixe sous mes nouveau cheveux et le tour est jouĂ©. elle enduit les lĂšvres d’un produit qui pique terriblement. J’ai les lĂšvres en feu
« C’est pour repulper tes lĂšvres ma belle, bientĂŽt tu ne sentiras plus tes lĂšvres »
Effectivement mes lùvres s’engourdissent, j’ai du mal a parler. Barbara sourie et laque mes lùvres d’un rouge a lùvre rose bonbon.
« Debout et admire toi » me dit Barbara/p>
Je m’avance vers le miroir , incroyable je suis une Barbie, grand yeux bleu, fardĂ©, lĂšvre gonflĂ© et bien rose, teint clair, chevelure longue et blonde. Je ne me reconnais pas en plus les fils sont redessinĂ© mon visage qui a l’air plus fin. " une vrai Barbie ne plie ni les bras ni les jambes " ajoute Barbara Les esthĂ©ticiennes arrivent avec des lattes de bois et les fixent sur l arriĂšre de les jambes, au niveau de la pliure. Mes jambes restent donc droites, les lattes m empĂȘchent de plier. L' opĂ©ration se poursuit sur mes bras Ă©galement. Plusieurs couches de collant viennent cacher les lattes de mes jambes. Le styliste m'aide Ă  enfilĂ© une robe rose bonbon en latex. Pour mes bras une veste en jean cache les lattes. Je me retrouve totalement figĂ©. Les coiffeuses reviennent pour me coiffer. Mes cheveux sont trĂšs longs ils descendent jusqu'Ă  mes fesses. Les coiffeuses rĂ©alisent une tresse longue. Barbara m’aide a enfilĂ© mes chaussures vu que ne peut plus plier mes jambes et mes bras. Des escarpins de 15 cm. Je suis relativement figĂ© le corset le serre taille, les lattes Elle tourne le miroir vers moi, je suis une vraie Barbie trĂšs belle je ne me reconnais pas. Quel travail accomplie. Je peine a marchĂ© Barbara me suggĂšre de m’entrainer un peu et en profite pour descendre.
En bas j’ignore ce qui ce passe depuis ma prĂ©paration. Je regarde mes yeux bleus et mes long cils mes lĂšvres pulpeuses. Nous retournons dans la salle Ă  manger pour le repas. Les filles applaudissent Ă  mon arrivĂ©e.
Barbara nous interrompt et m’invite a passer dans la salle Ă  manger. Éva me tient par le bras, les escarpins n’aident en rien a garder mon Ă©quilibre. Éva m’installe sur une chaise, je suis assis bien droit grĂące a mon corset, mes jambes Ă©galement.
Éva et Chloe se placent de chaque cĂŽtĂ© de moi et me soutient car je ne peux pas plier les bras. Elles vont m'aider Ă  manger. Éva attrape mon poignĂ©e et Chloe « Ça va aller dĂ©tend toi mon petit chat
CLIC !  CLIC !
Ce bruit je suis attachĂ© par des menottes, que me font –elles, je suis prisonnier, pris au piĂšge attachĂ© comprimĂ© .
Eva et ChloĂ© m ’embrassent avec malice.
Que me préparent-elles ? Barbara arrive avec une sorte de roue avec 4 couleurs dessus et une flÚche noire. Isabelle porte un plateau et le dépose sur la table. Barbara dépose une bassine devant moi.
« C’est l’heure du repas mon petit chat » ajoute Barbara
« je vais t’expliquer, chacune a notre tour nous allons faire tourner la roue et la couleur dĂ©signera ce que tu vas manger c’est plus drĂŽle qu’un repas classique.
Le rouge c’est une cuillùre de Nutella, le vert c’est 2 nounours en guimauve, le jaune c’est la crùme pñtissiùre et le bleu c’est le punch ou champagne. Je soupir ce n’est pas un repas c’est des choses que je n’aime pas beaucoup, mais je ne peux pas faire la fine bouche.
Barbara commence, la flĂšche tourne et s’arrĂȘte sur le rouge , La CuillĂšre de Nutella.
J’ouvre la bouche Barbara introduit la cuillĂšre a soupe bien garnie de Nutella. C’est pĂąteux, je peine a avaler, ça colle terrible mais j’ai a peine le temps de finir ma bouche que ChloĂ© lance la roue. Elle me donne une autre cuillĂšre, puis Isabelle tend une paille avec du Punch, Éva prend la poche de crĂšme pĂątissiĂšre et remplie ma bouche a ras-bord. De la crĂšme s’échappe un peu de mes lĂšvres et coule le long de mon visage.
Les filles ont l’air de bien s’amuser, je suis leur poupĂ©e et elles me nourrissent.
Le deuxiĂšme tour commence je m’en sors bien j’ai plus bu que mangĂ©. Le 3 et le 4 tours he tombe sur quasiment que du Nutella. Et voila c’est le 5 Ăšme tour qui commence. J’informe les filles que je commence a ĂȘtre plein et surtout Ă©cƓurĂ©. Personne ne s’intĂ©resse a mon propos. Ce tour me fait beaucoup de mal je tombe que sur le Nounours en guimauve, ma bouche est pleine je peine Ă  mĂąchĂ©. Mes lĂšvres sont recouvertes de chocolat . Je tente de communiquĂ© et de dire que j’en peux plus et que je veux que l’on me dĂ©tache . J’ouvre a peine ma bouche que les filles s’amusent a la remplir elle n'utilisent plus la roue. J’ai soif d’eau pas de punch ni de champagne mais elles ne m’offrent uniquement cela. Je ne compte plus les tours , 8eme ou 9eme je ne sais plus je sais juste que c’est du gavage.
D’un ton sec je leur dit « Stop arrĂȘter de me gaver, c’est plus marrant et dĂ©tacher moi »
Les filles s’arrĂȘtent me fixent, elles sont terriblement surprises de ma rĂ©action. Je me dĂ©bat sur ma chaise je bouge la tĂȘte et les mains pour essayer de me dĂ©tachĂ©. AprĂšs plusieurs minutes de lutte sous le regard de ses dames. Je capitule, j’ai trop chaud je dĂ©gouline, je sens des goutes coulĂ© le long de mon visage. Ma tĂȘte tourne a cause de l’alcool et je commence a avoir mal au cƓur et au ventre. ChloĂ© arrive avec une nouvelle cuillĂšre de Nutella, je refuse d’ouvrir la bouche, elle insiste mais je tourne la tete et la cuillĂšre termine sur ma joue.
« Tu as fini ton cinĂ©ma » me demande Barbara d’un air contrariĂ©, regarde toi tu t’es mis dans un Ă©tat.
Le jeu n’est pas fini c’est moi qui fixe les rùgles, ajoute Barbara et nous allons passer au plan B puisque tu refuses de manger normalement.
Je regarde Éva qui hausse les Ă©paules. Barbara ouvre un placard et sors un entonnoir. C’est une blague elle va me gaver comme une oie.
Éva et Isabelle bloque ma tĂȘte avec leurs mains tout en inclinant lĂ©gĂšrement vers l’arriĂšre , Barbara m’enfonce l’entonnoir dans la bouche. ChloĂ© le remplis avec la crĂšme pĂątissiĂšre. Les premiĂšres gorgĂ©e me font mal, j’ai des renvois et je pousse des petits cris comme si je m’étouffĂ©. De la crĂšme s’échappe de ma bouche. Je me sens comme une oie que l’on gave. J’ai les yeux qui commence Ă  s’imbibĂ© d’eau tellement je souffre.
Barbara retire l’entonnoir et les filles relĂąchent la pression qu’elles exercĂ©es sur mon visage, j’ai encore de la crĂšme plein la bouche. Je cherche mon souffle.
Je lĂąche du bout des lĂšvres « stop j’en peu plus  j’ai le ventre qui va exploser.
Je dĂ©gouline de partout, ma nuque peine a tenir ma tĂȘte droite et cĂšde a de nombreuses reprises. Barbara propose une pause. Ma bouche et mon menton sont couvert de chocolat et de crĂšme. Je suis a bout de ma vie, tout tourne dans ma tĂȘte et j’ai mal au cƓur et au ventre. J’ai des remontĂ© de crĂšme pĂątissiĂšre. J’ai l’impression que mon corset va exploser. Je recrache un peu de crĂšme. Un employĂ© me porte une bassine. Je recrache un peu de crĂšme dans la bassine. Ayant trop bu je sombre de nouveau. Je suis rĂ©veillĂ© par le bruit des esthĂ©ticiennes qui arrivent n, elles ont descendu des trousses et valises a maquillage. Barbie ordonne que l on retend mon visage un peu plus L'estheticienne cherche dans ma perruque les fils tenseurs, elle les tend un peu plus que la premiĂšre fois. Puis je sens des Ă©ponges, des pinceaux sur mon visage, sur mes paupiĂšres, on soulĂšve ma paupiĂšre et on m'applique du crayon sous les yeux . Je suis leur poupĂ©e, je sens que l’on me colle des choses au ras de mes cils. Puis on m'ouvre mes yeux et je vois le mascara arrivĂ© sur mes cils en haut en bas. Je les entends parler, puis on m’invite a me rĂ©veiller. J’ouvre difficilement mes yeux , mes cils sont lourd et collĂ© entre eux.
J’entends Barbie dire a Éva « elles ont mis la dose de mascara on dirait »
J’essaie de parler mais je sens dans ma bouche quelque chose de dur qui m’empĂšche de bouger ma machoire, mon visage est figĂ©, tirĂ©, tendu.
Eva sourit et ajoute en regardant Barbara« elle ne comprends pas ce qui se passe,elle est toute coincĂ©e ». Belle me montre mon reflet dans le miroir, je ne me reconnait pas, qui est cette femme trop maquillĂ©e, au cils trĂšs long et recourbĂ© chargĂ© de mascara, mon regard est noir et  en amende comme les yeux d’un chat, mes paupiĂšres sont colorĂ© dans les ton bleu foncĂ© avec du blanc. Mes sourcils sont bien net et Ă©pais, mon teint est limite marron avec des joues rouge et mes lĂšvres immenses et colorĂ© d’un rouge brillant . Les traits de mon visage sont tirĂ©s comme si elle avait fait un listing. Ce n’est pas moi , c’est pas possible je ressemble a une prostituĂ©. J’ai dans la bouche une sorte d’anneau mïżœïżœtallique qui s’étend le long de mon visage qui m’empĂšche de parler Je vois Ă©galement une armature mĂ©tallique qui remonte derriĂšre ma tete. Chloe me dit « comment tu te trouves ?» Je ne pas rĂ©pondre, j’entends Barbara qui dit que c’est l’heure de la deuxiĂšme fournĂ©e.
Que ce passe –t-il ? j’ai bien entendu, je n’ai pas le temps de bouger un cils que Éva et Belle m’attrape la tĂȘte.
J’essaie de fermer tant bien que mal ma bouche au maximum.
Barbara arrive en souriant. Tu vois cette accessoire permet d’ouvrir ta bouche a ma guise. Si j’actionne ce levier ta bouche s’ouvrira toute seule m’explique-t-elle. Elle actionne le levier et l’accessoire fait le reste, les barres en mĂ©tal se dĂ©placent et forcent ma bouche a s’ouvrir un peu plus . L’accessoire exerce une pression terrible je peux seulement balader ma langue..
D’un air amusĂ© Barbara me lance« Alors qu’en penses-tu mon petit chat ? Ce spider est terrible » Je fais papillonner mes longs cils dans tous les sens tout en essayant de pousser des cries.
ClĂ©opĂątre prend la poche de crĂšme pĂątissiĂšre et rempli ma bouche, je ne peux qu’avaler, je rĂ©gurgite un peu, je ferme les yeux mais la poche est entiĂšrement avalĂ©e. Les filles relĂąchent ma tĂȘte, j’ai encore de la crĂšme dans la bouche qui commence a s’échapper le long de mon visage. Je suis vaseux et j’ai des renvois . Je perds de nouveau connaissance Dans ma tĂȘte sa tourne Ă  vive allure, je confonds rĂ©alitĂ© et illusion.
J’ai l’impression que mon corps est rempli de crĂšme pĂątissiĂšre. J’essaie de retrouver mes esprits et mon souffle c’est peine perdu ma tĂȘte est de nouveau bloquĂ©e, Barbara actionne le levier et ma bouche s’ouvre encore plus. J’en ai mal a la mĂąchoire tellement la pression est forte.
La 3 Úme poche est vidée à son tour plus rapidement et facilement que la 2 eme.
Je pousse un petit cri qui n’émeut personne. Puis sombre de nouveau. Je me rĂ©veille et voit la crĂšme qui reste dans ma bouche couler dans la bassine et le long de mon menton. Je sens la crĂšme remontĂ© en moi , elle est au niveau de ma gorge, elle veut sortir je gigote sur ma chaise puis je vomis. Mes yeux pleurs j’ai chaud j’ai la tĂȘte qui tourne. C’est le dernier cran mon petit chat , A peine a-t-elle prononcĂ© ses mots que la sentence tombe, ma bouche arrive encore a s’agrandir encore.
J’ai mal la pression est immense, ma mĂąchoire est comme craquĂ© en deux, je peine a ouvrir les yeux tellement j’ai mal, quelques larmes s’échappent de mes yeux.
Une nouvelle poche commence a se vider en moi. Je n’en peux plus, je suis prisonnier, piĂ©gĂ©, je ne peux pas criĂ©, je transpire, je dĂ©gouline, j’ai encore envie de vomir je rĂ©gurgite beaucoup, j’ai d’un cĂŽtĂ© la crĂšme qui veut sortir et de l’autre celle qui veut rentrer. J’explose, la crĂšme sort de partout, je vomis et je perds connaissance.
J’ouvre les yeux et vomis de nouveau je suis toujours attachĂ© mais seul cette fois ci toujours prisonnier et incapable de crier. Ma bouche est toujours ouverte mais en moi grand, le premier cran j’arrive a faire toucher ma lĂšvre du haut avec celle du bas, elles m’ont abandonnĂ© a mon triste sort, je sombre une nouvelle fois.
Belle dit : “une baignaide va te faire du bien ma petite Sirene”.
Je vais quitter la tenue de Barbie pour devenir Ariel la petite sirĂšne et dĂ©couvrir la piscine intĂ©rieure de la maison d’Eva. Je me dis que la piscine va etre sympa. Les employĂ©s me dĂ©tachent uniquement les mains, mes jambes sont toujours bloquĂ©es et je suis toujours baillonnĂ©. Eva arrive avec des menottes et m’attachent de nouveau les mains.
Cendrillon et Jasmine me dĂ©tachent les jambes et me conduisent dans la chambre.  Une fois dans la chambre Belles me dĂ©tache les mains afin de me retirer la robe puis me remet aussitĂŽt les menottes. Je porte toujours le baillon et je tente de lui faire comprendre que j’aimerai qu’elle me le retire.
Elle libĂšre mon corps de la guĂȘpiĂšre , elle claque des doigts et les esthĂ©ticiennes arrivent de nouveau. Elles me recouvre de fond de teint et  enduisent mon corps. Belle retire le baillon et enduit mon visage de fond de teint. Des couches Ă©paisses qui recouvrent mes yeux mes lĂšvres, mes cils. Elle ne me demaquille meme pas, elle se contente de recouvrir mon ancien maquillage. Je suis une vĂ©ritable tartine je dĂ©gouline de partout, les esthĂ©ticiennes tamponnent  mon corps avec de la poudre blanche qui sĂšche  le fond de teint.
Belle arrive avec une sorte de mini pistolet a peinture et entreprend de repeindre mon corps d’une pellicule blanche.
« C’est quoi cette machine ? un pistolet peinture ? »
« C’est un aero graff mon petit chat, cela permet de maquiller les partie du corps plus rapidement, dĂ©tend toi c’est que du maquillage style body painting »rĂ©pond Belle. Les esthĂ©ticienne mettent en route des sĂšche-cheveux et voila que le balaie commence.  Elles sĂšchent toutes les parties de mon corps et mon visage aussi.  Je suis sec et mon corps est lisse et unifier,  blanc comme la neige. Seul mon sexe demeure dans couleur initiale.
Belle m’enfile un soutient –gorge en forme de coquillage vert.
« Retient ta respiration » déclare Belle
Je m’exĂ©cute je sens que ma poitrine est super comprimĂ© dans ce soutien-gorge. Elle ajuste ma poitrine qui dĂ©borde presque du soutien –gorge.            Belle m’attache les jambes avec de la  corde, elle sert fortement les cordes et rĂ©alise plusieurs nƓud, elle passe mĂȘme la  corde entre mes orteils je suis saucissonnĂ©. « C’est un peu trop serrĂ© quand meme je ne peux plus bouger mes jambes »Belle ignore totalement ma remarque
  Je tiens a peine debout.  Belle me pousse sur le lit et m’enfile le bas de mon costume La fameuse queue de sirĂšne. La matiĂšre est proche de celle des maillots de bain, je peine a me glisser dedans, je suis vraiment a l’étroit  Le tissus se colle a ma peau  comme si il se rĂ©tractĂ©, me bloquĂ© les jambes. La queue remonte jusqu’à mon nombril je vraiment serrĂ© et comprimĂ© dans cette accessoire. Il faut avouer que cette queue est magnifique et vraiment rĂ©aliste.Je reste assis sur le lit, Belle  arrive avec la perruque rouge et longue d’Ariel. Elle passe derriĂšre moi, pisĂ© un filet pour maintenir mon immense chevelure blonde. Elle me colle la perruque et la brosse pour lui donner une plus belle allure.
« Ouvre grand les yeux » dit Eva
Elle arrive aussitĂŽt avec deux grandes lentilles bleues et me les appliquent dĂ©licatement et me vole un baiser. Puis Belle dessine les contours de mes lĂšvres et les remplies d’un rouge identique a celui de mes cheveux.
Elle me demande de mordre dans un mouchoir afin d’enlever le surplus de rouge Ă  lĂšvre avant de m’en remettre une couche. Je rĂ©alise cette action 4 fois de suite. Elle colore l’intĂ©rieur de mes yeux en blanc et passe un trait d’eye liner noir au-dessus de ma paupiĂšre.
Belle me colle alors des nouveaux faux cils par-dessus mes anciens encore présents devenu blanc a cause la poudre.  Plusieurs couches de mascara font réapparaitre mes cils et  viennent terminer le travail.
Un peu de vernis sur mes faux ongles et me voilĂ  prĂȘt.
« Tu souhaites voir le résultat mon petit chat » dit Belle
« Avec plaisir, je meurs d’envie de me voir sous les trait d’une autre femme.
une esthĂ©ticienne et Belle me prennent chacune un bras et je sautille pĂ©niblement jusqu’au miroir. Je m’admire dans le miroir, une vrai sirĂšne super sexy, les employĂ©s me portent jusqu’à la piscine car je ne peux pas marcher avec ma queue de sirĂšne  Je suis vraiment handicapĂ© avec cette queue.
Le passage dans les escaliers est un cauchemar les employĂ©s cogne de tous les cĂŽtĂ©s.  Nous arrivons enfin au bord de la piscine couverte. Les employĂ©s me dĂ©posent au bord de l’eau. Eva et les filles sont dĂ©jĂ  la en maillots de bain. Elles sont toutes ravissantes, Eva s’assoie a cĂŽtĂ© de moi les filles attachent leurs cheveux et descendent doucement dans lïżœïżœïżœeau afin de ne pas mouiller leur visage et ternir leur maquillage.
« Alors mon petit chat tu me trouve comment en maillot de bain, je te plais » , me questionne Eva
Je rougis un peu  J’ai a peine le temps de commencer ma phrase Eva me pousse dans l’eau.  Je coule littĂ©ralement je bois la tasse je remonte pĂ©niblement a la surface car je n’arrive pas a nager avec ma queue. Je nage seulement a la force de mes bras. Je m’agrippe au bord et tente de reprendre mes esprits, je remets mes cheveux difficilement en place. J’essuie mes yeux pas une trace de maquillage sur la main.
Je suis surpris je regarde mes bras  la couleur n’a pas bougĂ©, le fond de teint est toujours la.
« Waterprouf » crient les filles en rigolant
Je vois mon maquillage et tous les produits qu’elles m’ont mis rĂ©siste a l’eau. Encore une fois elles m’ont bien eu. D’abord  l’épilation puis les faux sein, les extensions de cils et de cheveux maintenant le maquillage. Ce pari est fou. Jessie d ondulĂ© . Belle me tend la main. Je l’agrippe aussitĂŽt en Ă©claboussant tout autour de moi. J’envoie des giclĂ©e d’eau sur Chloe et les filles. Leurs visages sont lĂ©gĂšrement touchĂ©, elles semblent contrariĂ©es
.« Fais attention ou tu risque de le regretter » dit elles énervées.
Je glisse un petit dĂ©solĂ© mais je vois bien qu’elles sont en colĂšre Je continue l’apprentissage de ma nage avec Belle aprĂšs plusieurs minutes et nombreuses longueurs j’ondule comme une sirene. Eva s’approche de moi et en profite pour me couler, je bois la tasse une nouvelle fois. Elle s’éloigne en rigolant, je me dirige vers elle et essaie de l’attraper, je fini finalement par l’avoir et c’est une magnifique tasse qu’elle boit. Ses cheveux et son maquillage prennent l’eau c’est une double vengeance pour moi.« tu vas le regrettĂ© me lance-t-elle en essuyant ses yeux dĂ©goulinant de maquillage
Je suis mort de rire et je jubile de voir sa tĂȘte. Elle essaie de me couler de nouveau je m’accroche dĂ©sespĂ©rĂ©ment a Chloe qui se trouve juste a ma droite  Je l’entraine avec moi sous l’eau, je remonte a la surface et rejoint le bord pour reprendre mes esprits. Chloe me fusille du regard en sortant de la piscine. Belle annonce que l’aprĂšs –midi piscine est terminĂ©. Tout le monde sors de l’eau et pars se changer, je me retrouve seul au bord de la piscine. Je rampe difficilement hors de la piscine, les filles m’ont toutes laissĂ© tomber. Je me retrouve en difficultĂ© avec la queue de sirĂšne qui m’empĂȘche de marcher. Je les appelle, mais pas de rĂ©ponse.
J’essaie de retirer cette foutu queue, aprĂšs plusieurs efforts et contorsions je parviens a  m’extraire. Je vois mes jambes totalement ligotĂ©es par les cordes, j’essaie de dĂ©tacher les nƓuds mais cela semble impossible ils sont placĂ© les noeuds sur le derriĂšre de mes jambes. Pour regagner le salon je vais devoir ramper. J’arrive au escalier et commence a me hisser sur les premiĂšres marches. J’arrive enfin dans le salon je suis extĂ©nuĂ©.  Je m’allonge sur le canapĂ©, toujours de nouvelles des filles, cela prĂ©sage rien de bon.
Soudain une voix me lance « tu veux un café »
Cette voix c’est celle de Chloe , elle est dans la cuisine, j’accepte son invitation. Elle entre dans le salon avec un plateau a la main, elle porte un shorty noir  avec un magnifique corset en cuir , elle a revĂȘtue de magnifique cuissarde en cuir a lacets. Elle s’est faite une longue tresse. Ses yeux sont bien maquillĂ©s, ses paupiĂšres couvertes d’un voile dorĂ©e et ses yeux sont soulignĂ©e par un noir profond. Enfin ses lĂšvres sont colorĂ©es d’un rouge brillant et luisant. elle est trĂšs sexy  Elle dĂ©pose le plateau sur la table basse, s’assoie a cĂŽtĂ© de moi et me tend ma tasse. "Tu t'ai refait une beautĂ© "lui dis-je " je n avais pas trop le choix en mĂȘme temps" Elle a l'air Ă©nervĂ©e. « Dis Chloe tu peux me libĂ©rer maintenant stp »
« Je vais demander a Belle si elle a fini son epreuve avec toi, je reviens » Je me mets en position assise, je commence a avoir chaud, je transpire lĂ©gĂšrement je baille, mes yeux commencent a se fermer tout seul, je rĂ©alise que je me suis fait avoir, je tente de rĂ©agir mais c’est trop tard. Le cafĂ© Ă©tait empoisonnĂ©. Je lutte mais trop tard je perds petit a petit connaissance, ma tĂȘte est lourde. Je vois Chloe arrivĂ© avec un sourire diabolique. Je sombre totalement.
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