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#shinichi seya
fancypantsrecords · 2 months
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Naoki Kodaka, Nobuyuki Hara & Shinichi Seya - Journey To Silius / Ufouria: The Saga | Ship To Shore PhonoCo. | 2023 | Black & White Swirl
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drewwise · 2 years
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I'm beyond excited to share my artwork for the Journey to Silius / Hebereke - Ufouria: The Saga Original Vinyl Soundtracks! Featuring amazing NES music by Naoki Kodaka, Nobuyuki Hara, & Shinichi Seya, don't miss this super special SUNSOFT @STSPhonoCo split record! 🤖🎶🎮
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genkais-arcade · 3 years
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Yu Yu Hakusho: Poltergeist Report released on April 9, 1994.
Studio(s): Studio Pierrot and Movic
Director: Masakatsu Iijima
Producers: Haruo Sai, Ken Hagino, and Naoji Hōnokidani
Score: Yusuke Honma
I'll also list all of the artists involved in making the background art and the key animators! This movie looks incredible and directors tend to get a much bigger cut of the credit than they deserve.
Background Art: Emi Kitahara, Emiko Koizumi, Hideaki Kudo, Hirofumi Shiraishi, Hisae Saito, Hitoshi Nagasaki, Ikuko Ōoka, Kaoru Inoda, Kazuo Ebisawa, Kumiko Nagashima, Masumi Nishikawa, Mio Isshiki, Ryō Kōno, Sadayuki Arai, Sawako Takagi, Shigenori Takada, Shinichi Uehara, Shinobu Takahashi, Shuichi Hirose, Toshiharu Mizutani, Toshiyuki Yoshimura, Yasunari Usuda, Youngil Park, Yuka Kawashima, Yuka Okamoto, Yūko Kobayashi
Key Animation: Akihide Saitō, Chihiro Hayashi, Fuminori Kizaki, Hajime Kamegaki, Hideyuki Motohashi, Hikaru Takanashi, Hiroharu Nishida, Hiromi Niioka, Hirotaka Kinoshita, Hiroyuki Kanbe, Hiroyuki Okuno, Hisahito Natsume, Isao Sugimoto, Junichi Kigawa, Junko Abe, Kari Higuchi , Katsuichi Nakayama, Kazumi Minahiro, Kazuya Kuroda, Kazuyuki Ikai, Kazuyuki Kobayashi, Keiko Shimizu, Kenji Yamazaki, Kunihiko Ito, Mamoru Hosoda, Mamoru Kurosawa, Masahito Yamashita, Masaki Hosoyama, Masayuki Fujita, Mayumi Hirota, Munenori Nawa, Naoyuki Owada, Osamu Nabeshima, Satoru Iriyoshi, Satoshi Fukushima, Shinji Seya, Shinsaku Kōzuma, Shuji Kawakami, Shunji Suzuki, Susumu Yamaguchi, Tadakatsu Yoshida, Tadashi Abiru, Takashi Yamazaki, Takayuki Gorai, Takenori Mihara, Takuya Satō, Toyoaki Shiomi, Yasunari Nitta, Yoshiaki Tsubata, Yoshinori Kanada, Yoshiyuki Kishi, Yuichi Endo, Yuko Kusumoto
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puyopuyo · 6 years
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Super Fantasy Zone (スーパーファンタジーゾーン) Platform: Mega Drive Developer: Sega, Sun Corporation
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karelstuff · 8 years
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Journey to Silius (1990, Sunsoft)
  Sunsoft, sur NES, avait un motto, une idée fixe en tête : réaliser l’impossible. Toujours repousser les limites techniques, toujours faire mieux que précédemment. Les graphismes sont de plus en plus animés, les sprites de plus en plus gros et ce, titre après titre. On atteint tout de fois un plafond dans le département sonore avec Journey to Silius, en 1990.
  Jamais auparavant la console n’avait produit, sans aucune puce additionnelle, un son aussi riche, aussi dense. On ne parle pas là de la qualité des compositions, mais bien de la technique, de la richesse des timbres. Les notes — de simple squarewaves — choient d’un ton à l’autre dans des glissandos qui semblent tout à fait naturels. La pureté cristalline de ces timbres évoque la FM d’un synthétiseur avec un brin de reverb. L’enveloppe sonore des percussions leur confère un punch inédit, un son proche d’une caisse claire typiquement 80′s. Mais enfin, le plus impressionnant, ce qui donne toute le relief et distingue cette bande son de n’importe quelle autre ne venant pas de Sunsoft, c’est cette lourde basse samplée DPCM.  Il faut se rendre compte, c’est une prouesse. Traditionnellement, le canal est utilisé pour de très courts samples vocaux ou percussifs, et encore, dans la deuxième partie de la vie de la NES. Il n’est aucunement conçu pour être utilisé de manière mélodique : le pitchshifting des samples ne suit pas l’échelle chromatique musicale, on ne peut pas régler le volume et surtout : chaque sample est très gourmand en mémoire ! N’ayant peur de rien, les dévs perfectionnistes ont contourné toutes ces contraintes via divers stratagèmes et ont construit une patte sonore unique.
  Mais sans application musicale, tout ce savoir-faire technique serait superflu. Naoki Kodaka est encore jeune lorsqu’il entre à Sunsoft, tout comme ses collègues qui ont codé le moteur sonore de Sunsoft. Et du talent, il en a. Son sens de la mélodie est sa caractéristique principale. Jamais ses compos ne sont alambiquées, embrouillées dans une verticalité harmonique caduque ; chez lui tout se fait sur le plan horizontal. D’ailleurs les morceaux de Journey to Silius comportent tous un seul lead instrument : le synthé. Quelques instruments secondaires toutefois : lors des premières mesures de Colony Ruins (Stage 1) on distingue un riff assez simple de guitare électrique, ou alors, dans l’introduction de HeadQuarters (Stage 3), on peut reconnaître l’imitation de cordes frottées.
  Dans le monde futuriste de Journey to Silius, où l’on affronte seul des machines en tous genres, le choix du synthé fait sens ; cela complète l’atmosphère bleutée du jeu. La tonalité et le rythme des pistes pousse le joueur à ne jamais s’arrêter. Situé entre deux stages à la BO dynamique, le Stage 2, souterrain, aux tons sombres est dépeint musicalement par un synthé grave qui petit à petit devient plus lyrique, entrecoupé par un ostinato de piano étrange, qui suspend le moment. Le pressant thème du Stage 4 débute par un rythme saccadé alertant le joueur; s’en suit quelques phrases de synthé l’enjoignant à continuer sa course, puis le morceau reprend un caractère menaçant et brusque, avant de renouer avec un lead s’envolant dans les hautes fréquences pour galvaniser le joueur conscient de son rôle: “tout repose sur mes épaules, je dois y arriver!”. La dernière phrase au timbre électrique se conclut sur un glissando descendant, presque tragique après cette montée en puissance mélodique.
  Musicalement, harmoniquement, la BO n’est pas complexe, elle consiste, en somme, en deux éléments mélodiques superposés : la mélodie à proprement parler, et la ligne de basse. Mais les idées mélodiques sont solides —la constante chez Kodaka — et la technique (moteur sonore programmé par Noboyuki Hara et Shinichi Seya, c’est à eux qu’ont doit ce « son Sunsoft ») les sublime. Je ne peux que conseiller l’écoute de cette BO.
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