#sentir le sapin
Explore tagged Tumblr posts
Text
La lettre S
S’adonner
Bien s’entendre
Sacoche
Sac à main.
« Vieille sacoche » = détestable femme âgée
Schnolle
Testicule, couille
Scraper
Détruire, démolie
Sécheuse
Sèche-linge
Secondaire
Deuxième palier d’enseignement. Après les 6 premières années du primaire, les étudiants passent 5 ans au secondaire, de 12 à 17 ans.
Secousse
Un intervalle de temps assez long. Exemple: Ça fait une secousse qu’on n’a pas eu de photo de Carole!
Senteux
Personne curieuse, indiscrète
Séraphin
Avare, pingre
Serrer
Ranger, mettre de côté, à l��abri, remiser ou entreposer.
Siffleux
Marmotte
Slush
-> granité
-> mélange des neige fondante et d’eau qui se forme sur les routes où les trottoirs l’hiver.
Sparage
Gesticulation, manifestation nerveuse, déplacer de l’air dans le seul but de distraire.
Expressions
S’énerver le poil des jambes
S’exciter exagérément, perdre patience rapidement, céder à la panique.
S’habiller en mou
Porter des vêtements très conformes le, comme un survêtement sportif ou un pyjama.
S’enfarger dans les fleurs du tapis
Se compliquer la vie pour des riens. S’arrêter à des détails insignifiants.
Sans bon sens
À un degré très élevé. Beaucoup.
Exemple: c’est long sans bon sens avant d’avoir une photo de Carole.
Sauter la clôture
Commettre l’adultère
Se faire passer un sapin
Se faire avoir, se faire duper, se faire tromper.
Se peinturer dans le coin
Se placer soi-même dans le pétrin, se faire prendre à son propre jeu, être acculé au pied du mur par sa propre faute.
Sentir la chnoutte
Sentir mauvais. Dégage de mauvaises odeurs (chnoutte = 💩)
Sentir le fond de tonne
Empester l’alcool
Se sécher les dents
Sourire niaisement ou faussement.
15 notes
·
View notes
Text
Noël ensemble
Fandom : Fairy Tail
Relationship : Gray x Juvia
Voici ma participation pour le Year of the OTP 2023 pour le prompt : passer les fêtes ensemble.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Gray regarda à nouveau vers la vitre. Les nuages étaient blancs, la neige allait bientôt tomber. Il espérait que cela n’allait pas retarder leur retour à Magnolia. Il ne le dirait à personne, mais il était impatient de rentrer, en particulier pour retrouver Juvia. Les vacances de Noël approchaient et Gray voulait les passer avec elle.
Disclaimer : Fairy Tail appartient à Hiro Mashima.
@yearoftheotpevent
AO3 / FF.NET
Le train roulait à pleine vitesse. Gray regardait le paysage défiler. Il restait encore une heure avant d’arriver à Magnolia. L’équipe Natsu revenait d’une mission qui avait duré plusieurs jours. Il regarda vers ses compagnons. Erza dormait à côté de lui. Wendy, qui était assise en face de lui, tenait sa tête entre ses mains, essayant d’ignorer son mal des transports. Carla avait sa patte posé sur son bras, tentant de lui apporter un peu de réconfort. La pauvre Wendy, pensa Gray. Si seulement il connaissait un moyen de l’aider à se sentir mieux. Par contre, il ne ressentait aucune empathie pour Natsu qui gémissait sur la banquette à côté de la sienne. Plus le train avançait et plus il était malade. Sa tête était posée sur les genoux de Lucy, qui lui caressait les cheveux. Happy lui faisait de l’air avec un magazine que la constellationniste avait acheté à la gare.
Gray regarda à nouveau vers la vitre. Les nuages étaient blancs, la neige allait bientôt tomber. Il espérait que cela n’allait pas retarder leur retour à Magnolia. Il ne le dirait à personne, mais il était impatient de rentrer, en particulier pour retrouver Juvia. Ces derniers temps, il pensait souvent à elle. Il avait l’impression qu’elle était constamment dans sa tête et dans son cœur. Ses sentiments ne faisaient que s’accentuer depuis les six mois qu’ils avaient passé ensemble avant qu’il n’infiltre Avatar. Les vacances de Noël approchaient et Gray voulait les passer avec Juvia.
Le train arriva en gare et lorsqu’il s’arrêta, Natsu sortit en courant. Gray se leva de la banquette et sortit sur le quai. Ils étaient enfin rentrés. Il sourit et se dit qu’il était temps pour lui de retrouver Juvia.
******
Après avoir fait leur rapport à Makarof, l’équipe Natsu était enfin libre de fêter Noël. La guilde avait été décorée pour l’occasion. Il y avait des guirlandes, des lumières, des figurines de rennes, de Père Noël et de bonhommes de neige. Un grand sapin était installé au centre de la salle. Une atmosphère joyeuse et festive régnait dans la guilde. Gray était assis à une table avec Erza. Il n’avait toujours pas touché à la chope que Mirajane lui avait servi. Il était occupé à regarder les personnes qui entraient dans la guilde.
« Elle ne va pas tarder à arriver, dit Erza. »
Gray sursauta. Il était tellement concentré sur la porte de la guilde, qu’il avait oublié qu’Erza était avec lui. Mais il ne lui avouerait jamais. Il avait bien trop peur qu’elle se vexe.
« De qui tu parles ? Demanda-t-il en feignant l’ignorance.
-De Juvia. C’est elle que tu attends. »
Gray rougit. Il ne pouvait pas la contre-dire. Erza ne put s’empêcher de rire légèrement.
« C’était évident, dit-elle en buvant une gorgé. »
Gray écarquilla les yeux. Est-ce qu’il était si transparent ? Il sentit soudain quelqu’un s’approcher de lui et des bras l’enlacer par derrière. Un parfum qu’il ne connaissait que trop bien l’enivra.
« Gray-sama ! Juvia est tellement heureuse de vous voir. Vous lui avez tellement manqué. »
Gray sourit. Il posa sa main sur la sienne et la serra.
« Tu m’as manqué aussi. »
Il n’aurait jamais cru que Juvia lui aurait manqué à ce point. Alors qu’elle avait ses bras autour de lui, il avait l’impression d’avoir trouvé sa place, que c’était le seul endroit où il se sentait bien. Erza s’en alla discrètement pour leur laisser plus d’intimité. Juvia s’assit à côté de Gray et un immense sourire illumina son visage lorsqu’elle se rendit compte que le mage de glace ne lui avait pas lâché la main. Elle lui posa des question sur sa mission et Gray lui répondit.
Une musique de Noël se fit entendre. D’habitude, Gray se moquait de Noël. Pour lui, ce n’était qu’une journée comme les autres. Mais pour la première fois de sa vie, il avait envi de le fêter.
« Est-ce que tu as prévu quelque chose pour Noël ? Demanda-t-il. »
Juvia secoua négativement la tête.
« D’habitude, Juvia le fête avec Gajeel. Mais cette année, il a prévu de le fêter avec Levy.
-Alors… Est-ce que ça te dirait qu’on passe les fêtes ensemble ? »
Il rougit et détourna le regard, gêné. Il n’avait pas l’habitude de faire ce genre de demande. Il jeta un coup d’œil vers Juvia. Elle avait ses mains devant sa bouche et était émue.
« Juvia en serait très heureuse. »
Elle se jeta dans ses bras. Gray réussit à se rattraper pour ne pas tomber de sa chaise et il passa ses bras autour de sa taille. Cette année, pour lui Noël sera spécial grâce à Juvia.
Fin
#year of the otp#year of the otp 2023#fairy tail#gruvia#gray x juvia#gray fullbuster#juvia lockser#my writing
14 notes
·
View notes
Text
Quelques trucs bien. Décembre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Commencer à formuler des vœux
Organiser un pré réveillon de nouvel an avec mon fils. Se régaler tout simplement
Prendre soin de moi pour me sentir plus jolie et plus puissante
Passer du temps avec mon petit M. à jouer, lui raconter des histoires, le nourrir et l’endormir
Regarder un dessin animé à la télé. Retour de l’enfance
Passer chaleureusement le réveillon de Noël à trois. Parler littérature et cinéma en dégustant un bon repas et du champagne. Cadeau de la vie
Préparer le retour de maman à la maison, soupes, lessives et présence pour soins
Inviter une amie qui sera seule pour le réveillon de Noël. Lui laisser le choix de la solitude
Finir de cacheter les enveloppes de Noël. Cette année offrir des mots en cadeaux
Compter les jours avant le printemps et le retour de la lumière
Pleurer, souvent et beaucoup, croyant vider la goutte d’eau qui fait déborder le vase
Plus ou moins, tout m’est égal
Aller voir la mer, apaisant le vague à l’âme
Répondre positivement à une invitation. Pour une fois, le mois prochain en espérant que ça ira ce jour là
Recevoir une boîte de chocolats de la part de stagiaire (adorable et enthousiaste) quand mes jeunes patients me répondent à longueur de journée dès que j’ai une demande : « qu’est-ce que tu me donnes en échange ? ». Gratitude, disais-je ?
Compter les jours avant Noël et surtout les vacances
Rougir devant le pharmacien qui m’a accueillie en disant à la cantonade : « je vais me faire la dame », s’est peut-être rendu compte de sa maladresse, balbutie et oublie de me rendre mon ordonnance. Sourire intérieurement
Rentrer le soir à la maison pleine de l’odeur des biscuits tout chauds et des épices : anis étoilé, cannelle, muscade et gingembre. Magie de Noël préparée par mes deux enfants pendant que mon petit M. somnole à la sieste
Me réchauffer au soleil d’hiver sur la terrasse avec maman. Avoir moins froid dedans dehors. Sentir le chat chercher la caresse de l’une et l’autre
Sentir que mon petit M. tête ma joue. Premier baiser
Réconforter une collègue qui se culpabilise de ne pas en faire assez. Trouver les mots alors que je suis moi-même épuisée d’en faire trop
Me réjouir de constater que maman a installé la crèche cette année. Preuve que l’amour familial la porte : pour son père qui a sculpté cette crèche il y a 80 ans, pour ses enfants sur 3 générations maintenant, qui se rassemblent autour chaque Noël
Écouter les confidences de ma fille parlant de sa meilleure amie. Conseiller la posture d’amitié silencieuse : accueil et écoute
Apprécier chaque soir que mon fils me prépare mon café après le repas, et avec un petit chocolat en cette saison
Être invitée pour des soirées chez ma fille et chez ma meilleure amie. Décommander l’une et l’autre pour me reposer
Constater que mon petit M. fait des progrès de motricité. L’encourager avec amour
Savoir que ma nièce s’est rabibochée avec son amie. Faire confiance à la vie et au cœur
M’accorder un week-end de repos sans sortir de la maison. Commencer à écrire des poèmes acrostiches à offrir pour Noël à mes proches
Retrouver ma sœur dans un embrassement et les larmes aux yeux, sous les commentaires dénigrant mon émotion
Faire le projet d’un week-end entre filles avec visites de musée et d’expo. Vivement l’année prochaine !
Consoler ma nièce d’un chagrin d’amitié. La rassurer sur l’issue positive de cette expérience si l’amitié est authentique
Suppléer l’absence de ma sœur auprès de mes nièces pendant le week-end. Resserrer les liens
Faire un appel visio avec ma sœur en vacances au Togo. Fondre en larmes ensemble de ne pouvoir partager ce retour en Afrique l’une avec l’autre
Aller acheter un sapin avec ma meilleure amie. Le décorer de magie pour Noël
9 notes
·
View notes
Text
L’île de Neige. (Eustass x Lecteur) 🍋
PT.5 - { Chapitre 04 }
{ PDV Kidd }
la lumière qui se refléter sur la neige posé sur les branche de sapin illuminé la chambre. une envie de mettre la couverture sur mon visage pour continuer le sommeil si confortable était présent, voulant tiré la couverture je baisse la tête et voie Reader contre mon torse endormie, elle dégager toujours autant de chaleur émanant de son corp. soupirant un moment légèrement renfrogner de ne plus pouvoir fermer l'œil a la vue de son corp dans se si petit bout de tissue léger.
je remémore la journée et nuit d'hier. un peut de blush sur mes oreille, "depuis quand je suis autant attiré par elle..?" cette question me venez de plus en plus souvent au court de ces dernier mois. c'est vrais, dès que j'avais posé les yeux sur elle... je sert le point mais fini par la blottir plus contre moi posant un baiser sur sont front. elle gémie a mon acte se qui me fit la relâcher pour la regardé ouvrir les yeux.
{ PDV Reader }
je sentie mon corp blottie contre quelque chose de robuste, me souvenant petit a petit de la journée d'hier je sourie doucement, avant de me sentir un peu plus blottie je gémie un peu avant de lever la tête, je le voie pour la première fois de si près, avec la lumière éclatante venant des fenêtres. "Reader : Bonjour, Capitaine~ dit-je la voie du matin un peu cassé par temps de son de la veille.
"Kidd : Bonjour Reader. avec sa voie du matin, qui me fit frémir, elle était plus roque que d'habitude.
"Reader : tu est réveiller depuis longtemps ? au son de sa voix je pouvez deviner que non, mais posé cette question était purement instinctive. je rougis un peu.
"Kidd : Non. je viens de me réveiller.
son estomac fit un gargouillement étonnant me faisant écarquillé les yeux puis rire, je le sent s'agité dans le lit avant de vouloir sortir du lit, il avait a peine lever la couverture qu'il replongé directement sous la couverture et marmonnant de choses incohérente.
"Reader : Kidd ? je demande perplexe et étonné.
"Kidd : il fait putain de froid ! pourquoi il faut qu'il fasse froid en dehors du lit et chaud dans la couette ! il ralle a lui-même se qui me fit rire sur le moment.
"Reader : je viens glisser ma mains et me faufiler sur lui étant toute blottie contre son torse, tu veux que j'aille te chercher a manger ? killer a dit que toute sorti était impossible aujourd'hui a cause de la tempête qui arrive.
"Kidd : il grommelle et fini par acquiescer de la tête, pas le choix de rester ici et de se reposé.
je viens lui picoré le bout de ces lèvre se qui le fit sourire légèrement avant de venir ma tâtonné les fesses.
"Reader : Kidd ! il viens approcher mon visage du sien avec sa mains
"Kidd : si tu ne me donne rien a manger je vais devoir en trouvé moi-même, dit-il taquin.
je me lève d'un coup a califourchon sur lui étant toute rougissante, je saute en dehors du lit courant mettre son mentaux sur moi, en l'entendant râler de l'air froid que j'ai laisser passé sous la couette en quittant le lit.
"Reader : je me retourne vers lui et lui fait un clin d'œil malicieux, sa c'est pour ta taquinerie Capitaine ~
je ferme la porte derrière moi avant d'entendre l'impacte de l'oreiller sur la porte, je me mis a rire fortement marchant dans le couloir.
Marchant tranquillement dans le couloir la porte se trouvant non loin de la notre s'ouvrir, je sursaute voyant une masse énorme de doudoune debout, regardant au niveau des yeux je pouvez y voir des yeux persan et d'un bleu éclatant.
"Reader : Heu... Bonjour ?
je pouvez sentir sont regard le long de mon corp, de la tête au pied, puis rester fixer sur le manteau sur les épaule.
. . . Silence . . .
je me balance un peu sur mes pied et repris mon chemin des yeux écarquiller de se que je viens de voir. "mais c'était quoi sa !?" je me dépêche de descendre les escaliers et de passé la porte du bar pour voir le barman nettoyer les tables.
"Barman : Oh bonjour, je ne m'attendez pas a voir quelqu'un a cette heure-ci, dit-il étonné.
"Reader : Ah oui ? je penche la tète, tenant le mentaux contre moi fermer. quel heure est-il ?
"Barman : il est 6H20 actuellement, dit-il en regardant sa montre a gousset.
"Reader : Oh.. je suppose qu'il n'est pas l'heure pour commandé a manger ? je baisse mes oreilles voyant le vielle homme vaciller un peu
"Barman : N-Non ! c'est bon, je peu préparé quelque chose, en général j'ouvre la cuisine a 7h30, mais je peu faire une exception. dit-il en souriant et venant vers moi.
"Reader : je lui sourie, au ces gentille merci beaucoup, c'est possible d'avoir de la nourriture dans la chambre ?
"Barman : Bien sûr, il sort son petit carnet et son crayons se préparant déjà a prendre la commande. alors.. que veux donc la charmante petite louve ? dit-il gentiment, se qui me fit rire et sourire.
"Reader : et bien j'aimerais beaucoup de choses qui pourrais nourrir un capitaine affamé ~
"Barman : il vacille de nouveau a mes mots, riant nerveusement, et bien il y a pas de problème, je vais commencé a préparé tout sa et l'apporter dans vôtre chambre, dit-il en souriant.
je sourie me retournant avant de partir en trombe vers les couloirs disant merci au passage au vielle homme, remontant les escalier je croise l'énorme masse de doudoune.. il bloque les escalier...
. . . Silence . . .
"Reader : heu.. on se connait ? je penche la tête et examine un peu plus ces yeux.
{ FLASH BACK }
" . . . : Allez saute plus haut ! et envoie tes bras vers l'arrière pour surprendre ton adversaire ! crie t-il en esquivant mes coup de dague en bois.
"Reader : tu dit sa comme si c'était la chose la plus facile a faire !! je crie de rage partant pour esquiver son coup mais fini par être plaquer contre le murs de la salle d'entraînement du navire.
". . . : il suffis juste que tu y mette un peu plus du tien et tu pourra y arriver, n'oublie pas que tu peu être tué a tout moment dans le nouveau monde. dit-il calmement.
"Reader : je te signal que je suis née dans le nouveau monde, au cas ou que tu l'aurais.. OUBLIER !! je le pousse hors de moi d'un coup de pied a son torse se qui le jeta au sol.
je profite de cette opportunité pour bondir sur lui, finissant avec mes lame en bois sous sa gorge à califourchon sur sont ventre, respirant essoufflait près de son masque. le reflet du ciel bleu, et le couché de soleil clair traversant la fenêtre, je pouvais voir a travers les troue de celui-ci le reflet de ces yeux, il était... Magnifique. un ciel emprisonné dans une paire d'yeux, mélangeant les couleur du ciel et de la mer. je me senti sortir de mes pensé par une forte prise sur mes poignée, me retournant sur le dos, il inversa les rôle.
"Reader : AH c'est pas vrais !!!! TU MA PRISE EN TRAITRE !! K-I-L-L-E-R !!!! j'hurle de frustration se qui le fit rire de plus belle.
"Killer : Je voie pas de quoi tu parle. si tu rêvassé comme sa en plein combat tu ne durera pas plus de 2mn sur un champ de bataille.
il me relâché et m'aide a me relever, je lui fait la moue les oreille et la queue baisser.
"Killer : . . . ? quoi ?
"Reader : je redresse un peu mes oreilles et ma queue et le fixe calmement. Killer ? je peu voir ton visage ? je penche la tête.
"Killer : . . . Non. il avait répondu après un long moment qui semblait être un moment de réflexion..
"Reader : Eeeeeh !!!??? Allez !!! s'teuplaiiiiiiis !!!!
"Killer : Non. il répondis directement cette fois croisant les bras comme a son habitude quand il était ferme.
"Reader : Pas cool ! je fait la moue, allez juste un petit coup d'oeil !!!! je lui fit la moue de petit chiot.
"Killer : . . . après un moment de silence il soupire, si tu réussi un jour a me battre tu pourra le voir ? cela ressemblait a la fois une condition et une question.
"Reader : je baisse la tête un moment avant de la relever avec des étoile dans les yeux remplis de détermination, D'ACCORD !! je te prend au mots alors !!!
Killer posant les arme en bois a leur place, il se mis en chemin de la sorti de la salle d'entrainement, je fit de même mais restant pour nettoyer un peu le sol qui était un peu humide par les goutte de transpiration, au bout de 2h d'entrainement il était dure de ne pas transpiré, surtout avec un partenaire d'entrainement comme Killer.
"Reader : avant qu'il ne referme la porte je ne pouvais pas m'empêcher de lui faire la remarque. en tout cas tu as déjà de beau yeux Killer~
"Killer : Il tressaille a mon commentaire avant de se rattraper sur la poigner de porte. P-Pardon ? dit-il se retournant vers moi
"Reader : je sourie grandement et joyeusement, Et bien oui~ je les es entrevue dans les troue de ton masque tout à l'heure ! je fait la moue, c'est pour sa que je "rêvasser" !!!
"Killer : . . . il se mis a rire, Je voie.. et bien Merci.. dit-il avant de repartir.
{ FIN DU FLASH BACK }
je le pointe du doigt faisant un pas en arrière avant de commencé à m'écrier, KIL- !!! il fini par dévaler les escaliers m'emportant avec lui avant de finir en bas des marche avec un énorme vacarme.
"Reader : Aïe..Aïe... je me relève difficilement assis sur cette énorme boule de doudoune frottant ma tête. Killer... je soupire... Pourquoi tu porte autant de vertement ??? je soupire.
"Killer : . . . comme kidd, je ne supporte pas le froid. . . il détourne les yeux embarrasser.
"Reader : . . . au niveau ou tu en n'et se n'est plus du "supporter" c'est plutôt "craindre" dit-je d'un aire narquois croisant les bras sur ma poitrine.
j'ai oublier que durant la roulade dans les marche le mentaux qui était sur mes épaule n'était plus là. s'entend directement le contacte de mes mains sur mes bras je m'en rendis compte avant de baisser la tête et me rappeler quel genre de tenue je porté. j'explose d'un rouge directement, entendant des pas lourd dans les escalier me retournant voyant Kidd en haut les marche analysant la situation.. Oh non.. nous parlons avant tout de Eustass Cap'tain Kidd.
{ PDV KIDD }
il c'est écouler un bon moment déjà depuis que Reader est parti chercher a manger. m'assoupissant de nouveau dans la chaleur du lit, quelques instant passe avant qu'un vacarme me fit sursauter. "c'était quoi sa ?" je grogne et sort quand même du lit, l'air froid qui frappe ma peau me fait grimacer, mais je doit allez voir si Reader n'as pas de problème.
m'habillant en vitesse je sort de la chambre me dirigeant d'où venait le bruit, je me stop en haut des marche court-circuitant un neurone ou deux voyant Reader, en petite tenue sans mon mentaux assise sur... une boule de doudoune...???? je cligne plusieurs fois des yeux, avant de revenir a la réalité.
"Reader : Capitaine ! s'écrias t-elle cherchant déjà mon mentaux en tournant la tête de droite a gauche.
"Kidd : je descend les escalier et viens l'attraper par la taille, la tirant hors de se "truc" ? je grommelle. tu en met du temps pour commandé a manger.
"Reader : elle rie nerveusement, Oui... il bloquer les escalier, elle pointe du doigt l'énorme boule au sol.
"Kidd : bordel mais c'est quoi sa ? j'interroge perplexe.
"Reader : Beh... C'est Kil-
"Killer : C'est moi Kidd-o. . .
Un moment de silence se fit avant que je finisse par éclater de rire avec Reader contre moi qui avait sursauté fouettant sa tête vers moi les yeux écarquillé.
"Kidd : MERDE !! MEC REGARDE TOI !!! on dirait un énorme tas de linge perdu !!
"Killer : Ca va !! on as pas tous la chance d'avoir un chauffage a disposition dans cette auberge ! dit-il en râlant, essayant de se relevé avec difficulté.
"Kidd : je viens donné un coup de pied a la grosse boule de doudoune qui fini par rouler un peu plus loin, je pouvez pas retenir mon rire a cette situation.
{ PDV Reader }
je profite que Kidd est pousser Killer pour ramasser sont mentaux qui était juste là et de le remettre sur mes épaules. je me dirige vers Killer l'aidant a se remettre droit entendant Kidd rire de plus belle jusqu'as s'accroupir tenant sont ventre. je me retiens de rire aussi maintenant que je repense a se qui c'est passé a l'instant. mais quand j'ai croisé le regard de Killer en colère je ferme mon sourire une goute de sueur au coin de ma tempe.
"Reader : S-Sa va ..?
"Killer : je vais retiré ces doudoune et lui botté le cul moi-même.. dit-il en gigotant.
je pince mes lèvre m'éloignant un peu passant a coté de Kidd qui ouvrit les yeux me regarde passer d'un air effrayer accélérant le pas, perplexe il a regardé Killer qui avait plus que la moitié de ces doudoune sur lui fixant d'un aura de colère Kidd, qui lui fini par tressaillir.
je me retourne en vitesse sur la Troisième marche tapant des mains deux fois en fermant les yeux d'un air de prière japonaise, se qui attira de nouveau l'attention de Kidd sur moi.
"Reader : Kami-sama... protégé cette auberge de tout grabuge... et ... évité que killer ne décide de castré notre capitaine adoré. je retape de nouveau deux fois dans mes mains et fit demi-tour en sprintant en direction de la chambre en criant, "le repas arrivera dans la chambre d'ici une bonne heure !!!"
j'entendez Kidd hurler, suivis par les fracas de ces deux là se battre en bas des marche, fermant la porte de la chambre et me remettant dans le lit au chaud j'attendez le repas sagement, écoutant maintenant un silence lourd...
{ PDV KIDD }
avant même de quitté du regard Reader je l'entend taper des mains, la fixant étonné et écoutant ces mots je me suis instinctivement relevé et positionné sur mes gardes, recevant un coup de pied violant de la part de Killer.
"Kidd : Enfoiré !! je me fait éjecter a l'autre bout du couloir me rattrapant contre un murs.
"Killer : tu l'as cherché Kidd-o ! cette auberge tombe en ruine, les canalisation sont complètement gelée !
"Kidd : et c'est ma faute peut-être ?! j'hurle incrédule.
"Killer : . . . quoi qu'il en soit pousse toi j'ai faim. il me pousse sur le coté pour passé du coté du bar.
Voulant ouvrir la porte qui mène a l'extérieur il l'as claqua aussitôt, se qui me fit le fixer en silence les yeux grand ouvert. il se retourne vers moi passant de nouveau a coté en direction des doudounes.
"Kidd : Ha..-
"Killer : Tu rie, t'est mort. dit-il au plus sérieux et sombre qu'il pouvez.
je déglutie ravalant mon rire presque en m'étouffant avec, avec une goutte de sueur je le regarde re mettre quelque doudoune avant d'ouvrir la porte et de taper son plus beau sprint en direction du bar.
Killer hors de vue maintenant je me mis a rire de nouveau faisant presque trembler les murs de l'auberge, prenant mon temps pour me calmer j'ai eu un frisson parcourir tout mon corp, me rappelant que je n'avais pas mon mentaux avec moi, je retourne donc dans la chambre, montant les marche je croise certain membre de l'équipage qui c'était réveiller avec tout le grabuge passé. mis à part me saluer comme à leur habitude il profité tous de leur journée de repos a resté dans leur couchette au chaud, ou bien a allez boire au bar et manger.
refermant la porte derrière moi, je pouvait déjà voir Reader au lit sous la couette, mon premier reflexe était de regardé par la fenêtre, voyant les nuage de tempête approché a toute vitesse. marmonnant de colère je viens m'allonger près de Reader la prenant dans mes bras.
"Reader : tu est toujours vivant ? dit-elle ironiquement avant que je viennent la serrer un peu plus fort.
"Kidd : Tu veux peut-être que je te montre a quel point je le suis ? je ricane taquin.
"Reader : elle gigotte dans mes bras secouant la tête, Non.. je veux juste dormir encore un peu avant que le repas n'arrive.
"Kidd : Bon plan.
{ PDV Narrateur }
après une sieste de 15mn, quelqu'un se mis a frapper a la porte, Kidd refrogner se lève et ouvre la porte, le pauvre petit barman sursaute de peur tenant le plateau de nourriture dans ces mains. prenant le plateau, il lui claqua la porte au nez et pose le plateau sur le lit avant de venir secouer Reader.
il manger le repas ensemble emmitoufler dans la couverture se qui rappela un certain souvenir de Reader, la première fois que cela arriva avec son capitaine. développant une attache plus qu'amicale, elle se rend bien compte qu'il ne s'agis pas que de simple action humaine, derrière toute cette attention et agissement se cache bien des sentiment qui se développe et ceux depuis quelque temps déjà.
la journée était longue, Kidd était devenue ronchon quand Reader lui avait dit qu'elle allez passé un peu de temps avec les autres fille de l'équipage. jouer au carte et discuter entre elle. il a essayer de la gardé contre lui mais fini par céder à son regard innocent de chiot.
Résultat de cette journée ? gagnée un capitaine caché sous une pile de couverture, s'amusant a commandé a boire et a manger dans la chambre.
{ Message de l'écrivaine }
Heio !! sa fait longtemps je sais !! PARDON !! mais j'essais de trouvé l'inspiration, mon cerveau et remplis d'idée et de rêve, mais quand je me trouve face à face avec la feuille blanche.. Le néant apparait !!
comme c'est effrayant... je ne veux pas gardé pour moi toute cette imagination, je veux la partager avec vous tous.
merci de suivre cette histoire encore aujourd'hui... n'hésité pas a me dire se que vous en pensé.
j'avais envie de faire un chapitre plutôt calme et drôle. du moins selon mon point de vue cela là était !!
à la prochaine fois !!
4 notes
·
View notes
Text
BOUGIES ICONIQUES DIPTYQUE, l’Art d'enchanter son intérieur...
Quand il fait nuit plus tôt et que les feuilles tourbillonnent joyeusement, tout invite à se sentir bien chez soi. Iconiques, les bougies Diptyque créent la magie.
Scintillement des flammes, senteurs réconfortantes, pour un moment à soi ou un partage en famille, elles ont toujours l’Art d’enchanter l’instant présent...
Partager la chaleur d'un feu de cheminée à la lumière des bougies scintillantes avec les parfums Tubéreuse, Myrrhe et Santal...
Un goûter, choisissez les parfums Thé et Vanille...
Prendre le temps de prendre soin de soi dans un bain avec des parfums, Rosé, Ambre et Jasmin...
Partager et savourer des instants gourmands, pour la cuisine, on adore les parfums Cannelle, Orange, Coin...
Majestueux, le Sapin s'habille de couleurs et d'étoiles. De délicieuses odeurs de pin s'en dégagent.
Parfums Feu de Bois, Pomander, Opoponax...
Le soir du Réveillon, la table brille de mille feux, comme dans un Conte de Fées. Parfums Baies, Myŕrhe et Musc...
3 notes
·
View notes
Photo
Dans la douce effervescence de décembre, sans un bruit, Noël fait son nid, les cadeaux se cachent dans leurs plus beaux habits, les sapins se dorent de leurs plus beaux atours, la neige se fait sentir, le vent se fait entendre... Décembre, bien là, sans ombre, juste lumière, douceurs, musique, films et enchantements, un peu de magie, de beauté, de nouveautés, l’art de s’apprêter, de se choyer, de se raccommoder, prendre un peu de temps avant qu’il ne s’envole vers un nouvel été, prendre le temps, un bon thé, cuisiner, souhaiter, emballer, présents et biscuits enchantés... C’est décembre, jours qui raccourcissent, soirées qui grandissent, bougies crépusculaires pour un grand spectacle de lumières, en osmose avec les guirlandes de Noël, cheminées qui crépitent, marrons glacés, pain d’épices, espoirs, vœux et famille, liste longue comme le bras le plus long du monde, et je n’ai pas fini... Les yeux émerveillés, ouverts jusqu’à l’odeur de la beauté, cette simple beauté dont on devrait, à tout âge, savoir tous s’émerveiller, elle est là, un peu partout, mais quel délicieux pouvoir que l’émerveillement, jamais ennuyée, jamais blasée, toujours l’œil sur cette beauté... Alors, pour décembre, de beaux et délicieux souhaits, du temps lent, doux, calme et velouté...
L’esprit de décembre...
11 notes
·
View notes
Text
tu t’habilles classe pour Nöel ?
ça dépend mais oui j’aime bien être un peu moins schlag que d’habitude je te laisse m’habiller comme tu veux
alors une chemise blanche les manches sont courtes j’ai regardé le col j’ai pensé c’est bien pour ton collier celui-là tu peux le laisser tes bagues aussi tu les laisses tes cheveux tu les touches pas le pantalon est noir celui avec les plis marqués du reste mets tes baskets tes chaussettes blanches c’est bien comme ça
tu mets le haut noir à boutons on voit tes épaules le rouge à lèvres le pantalon n’importe lequel par contre tes bagues ça bouge pas non plus et laisse le caleçon apparent c’est marrant
la table est nappée les serviettes sont en tissus tout est blanc sauf les bougeoirs dorés le rouge dans les verres ma grand-mère ne met pas les petits sapins synthétiques elle dit c’est neuneu elle a l’air chiante mais le kitsch à table c’est elle
je sors du salon pour aller chercher le vin je me lève tu mets ton doigt dans une boucle de ceinture tu tires doucement je remarque pas tout de suite tu tires plus fort je comprends je vois la porte de la petite chambre tu ne la regardes pas tu sais où tu vas je sais où tu vas dans ta tête dans la mienne aussi j’y suis déjà je sens le mur contre mon dos tu défais ma ceinture tu défais les premiers boutons du col on respire fort en s’embrassant je pense c’est insoutenable d’être assis dans la même pièce dans ce contexte je dis le mot à haute voix je dis insoutenable pendant que tu prends ma bouche pendant que les autres ils continuent d’être sérieux pendant qu’ils continuent de faire la fête pendant qu’ils croient qu’ils la font pendant qu’ils ne fêtent rien sauf leur violence dans ce qu’ils disent de trop dans ce qu’ils ne disent pas pendant qu’ils disent leur vide qui n’est pas si vide puisqu’on le sent pendant qu’on ne dit rien pendant qu’on se débrouille pour être dans nos têtes ailleurs dans la petite chambre ailleurs avec ta langue au fond de ma bouche c’est urgent
je passe mes mains sous ta chemise les tiennes sont contre la tapisserie je commence à te toucher je touche ta peau avec les paumes je les presse tu dois sentir tout de mes mains je dis je veux que tu sentes tout de mes mains tu dis je sens tout de tes mains je les descends contre ton dos il est humide je les passe sur ton caleçon il est humide je deviens taré je pense au vin je pense à la table sérieuse je te sens descendre je sens tes lèvres sur mon torse je leur ai dit j’amène le vin je sens tes lèvres contre mon ventre je me demande combien de temps ça fait que je leur ai dit je te sens descendre mes sous-vêtements je me refais la scène depuis la boucle de ceinture je me dis environ dix minutes je sens ta bouche contre mon pubis je vois ta bouche sur moi je regarde ta bouche tu sais que je te regarde tu commences à me sucer je me dis je dois y retourner je me dis insoutenable je me dis intenable je me dis le vin je vais le chercher et je vais le descendre je vais tout boire tu te relèves tu me regardes comme un con tu me souris tu es fier
tu mets tes doigts en moi tu sais que tu vas très vite arrêter je sais que tu vas très vite arrêter on sait que tu le fais pour me faire chier
tu arrêtes ça me fait chier je le dis je dis tu fais chier
tu te tais tu souris tu es fier aussi tu quittes la pièce
j’attends trois minutes je sors les autres ont bougé du salon pour la salle à manger tu as déjà servi le vin je t’imagine tu t’es empressé de le faire ça m’excite les autres sont toujours chiants toujours dans leurs conversations le contraste m’excite
ils ont choisi nos places on est l’un en face de l’autre je me dis relou je me dis ça va être quelque chose ça ne manque pas puisque tu essuies le bord de ta bouche puisque tu fais ça en me regardant je me dis tellement relou ça me fait crever je prends mon verre rempli je le porte à ma bouche dans l’urgence toujours je le bois comme je te bois
tu joues avec ton pied sur moi je regarde avec qui je pourrais échanger ma place que ce soit supportable je me dis de toutes façon ça sera insupportable si c’est pas en face ça sera dans ma tête d’un bout de la table à l’autre c’est la même mais non tu es en face et c’est quand-même pire ton coude est sur la nappe ton menton est appuyé contre ta main quelqu’un te parle ça a l’air chiant de toutes façons tu n’écoutes pas tu fais comme si sur le vide on fait toujours comme si mais ton pied entre mes jambes ne fait pas semblant je sens que je mouille que j’en ai plein de la petite chambre que là ça devient pire si ça peut l’être si tu peux me tremper encore plus je suis trempe tu me trempes pendant que tu dis des banalités pendant que tu fais mmh mmh pour répondre mmh mmh mmh en me regardant c’est insoutenable intenable je me demande comment il fait pour rien capter au fait que tu te fous de ce qu’il dit qu’on se fout toujours de ce qu’ils disent mes yeux te disent je veux te baiser je veux que tu me baises tu sais qu’ils disent ça
je sais qu’ils disent ça je sais que tu veux que j’arrête avec mon pied sur ton sexe je ne vais pas arrêter je vais continuer mes yeux disent je m’en branle si t’en crèves il y’a interêt qu’on soit dans le même enfer où je pense à te déshabiller d’une traite on se boit d’une traites-moi comme tu veux fais ce que tu veux tant que tu fais quelque chose de moi qui n’attends que ça ta bouche sur moi tes mains partout à n’en pas finir je te dis finis tout prends tout tout est à prendre moi d’abord prends-moi là je n’en peux plus je le dis à haute voix je dis là je n’en peux plus à haute voix il ne comprend pas il parlait des ressources humaines de son travail ça ne fait pas de sens dans sa tête ça il ne comprend pas tout ça il ne comprendra pas dans ses ressources humaines humaines mon cul bouffe-le d’ailleurs s’il te plaît arrête de mâcher ta viande comme tu la mâches c’est excitant à ce stade tout l’est ta fourchette qui joue sur ton assiette c’est nonchalant tu sais que ça m’excite quand c’est nonchalant quand on se fout de tout comme moi là qui dis de la merde à haute-voix juste pour t’exciter c’en est ridicule je me fous de leurs gueules béantes je n’en cire rien
oui je la mâche ma viande mes dents dans l’animal mort c’est animal comme je te veux ta chaire il n’y a que ça de toutes façons l’animal si on ne le mangeait pas on ne mangerait pas ils s’en foutent du tofu alors on s’en fout aussi tu vois vraiment c’est sans culpa que je dis baise-moi à haute voix ils s’en foutent ils nous laisseraient là sur notre faim après les flûtes les flûtes sèches tellement sur notre faim après la petite chambre après les dips de légumes de l’apéro vous voyez on pense à vous les végés haha vous mangez de l’herbe non là j’avoue j’ai ri tellement c’est gênant leurs blagues la tante rit je me dis peut-être qu’elle cringe aussi peut-être qu’elle comprend avec ses pantalons de lesbienne son mari la soûle ça se voit mon dieu je suis ivre je dis n’importe quoi comme eux ça devient marrant ce repas tout le monde est torché on arrive au moment marrant le seul de cette fête avec toujours les mêmes blagues leurs mêmes gueules je mâche ma viande je te baise tu entends là tout le monde crie personne n’entend de toutes façons sauf toi qui entends tout de mon ivresse de mes blagues que je lâche pour t’exciter tu entends tout de mon désir écoute-bien
je dis stop là ça suffit toi ça suffit ce que tu fais tu ne peux pas dire tout ça alors qu’il y a encore le dessert que le fromage avec le pain toujours sec n’est pas terminé qu’il y a encore trop à attendre pour que je te prenne beaucoup trop je suis beaucoup trop rempli de leur bouffe de ce qu’ils nous servent comme conneries j’en ai la nausée mais toi remplis-moi de tes doigts remplis tout prends-moi entier dans la bouche je te prie de le faire toi pas Dieu ni le christ de mes couilles qu’on fête mais oui qu’on fête allez et qu’on le fête lui et sa naissance maintenant qu’on célèbre les nôtres il est temps là il est temps que il est temps que que que baise-moi toi et le christ baisez-moi mes mains sur la croix j’en saigne c’est bon pourtant tu sais ma foi est vraie tu le sais toi aussi le ciel tu le sais on le sait que ça va tourner qu’ils vont se reprendre arrêter d’être cons nous épargner c’est faux on le sait que c’est faux qu’on attendra qu’ils crèvent avec leur confiance ils crèveront confiants pendant qu’on meurt qu’on brûle de désir puisque c’est tout ce qu’il nous reste je brûle là j’ai tellement chaud je suis en rage ça me donne envie de te baiser je les hais regarde comme ils sont cons c’est intenable ton clit dans ma bouche c’est intenable qu’ils crèvent avec leur bonne conscience leurs dips de légumes dans le cercueil des ressources humaines par contre notre commu elle j’ai espoir j’ai encore espoir qu’elle se reprenne c’est tout ce qu’il nous reste c’est de l’ordre du devoir sinon j’abandonne on sait qu’on abandonne si on ne vire pas si on n’arrête pas nos conneries les nôtres qu’on monte contre nous comme des débiles ils nous inspirent avec leurs conneries j’en ai la gerbe là j’ai trop bu là je veux gerber je me demande si c’est l’alcool ou leurs phrases comme des débiles ils nous inspirent à se renvoyer la balle à jouer le jeu des apparences à miser le capital de la bêtise on met tout sur la table c’est un poker leurs délires leurs conjonctures leurs hasards ils font ça au bol leur connerie sur la table mon cul je te demande de l’imaginer mon cul sur la table comme la dernière fois quand c’était pas le caleçon mais la culotte en dentelle noire sur la table du manoir rappelle-toi rappelle-toi bien fort de la nappe mouillée la nappe mouillée de ton cul de la pièce cachée qu’on avait trouvé puisqu’on fait tout en cachette tout en secret pas par honte mais parce qu’ils ne méritent pas de savoir le souterrain qu’on construit sous leurs pieds toujours sous eux pourtant tellement hauts en dessus dans l’imaginaire dans celui qui n’aura pas le temps d’exister parce qu’ils détruisent tout je ne sais pas si j’ai espoir je crois que j’ai espoir je m’en fiche du ciel maintenant on quitte la table et tout le reste tu prends ton clit et ton cul et tu viens
merci j’allais te dire de te taire tu philosophais trop comme eux ils philosophent qui philosophent comme si on était de la philosophie de la philosophie pas des corps vivants oui lalala moi je pense que moi je pense que ça serait bien que puis non il y a trop de ça je suis tolérant mais quand-même je suis ouvert mais quand-même comme si on était des enjeux pas des corps vivants des concepts pas des corps vivants des débats pas des corps vivants des lois écrites juste écrites pas réelles pas de la souffrance et tout le reste pas des corps vivants putain ton corps est vivant transpirant rougi tremblant sous mes doigts on est dans la petite chambre ils nous ont pas vu partir ils rangent comme on range leur bordel tout ce qu’ils laissent derrière l’héritage la porcelaine de ta grand-mère c’est vrai elle est pas chiante même marrante au final dans le lave vaisselle l’assiette en porcelaine avec les liserés peints dans le lave vaisselle la tasse avec ses fleurs pourries ils rangent leur bordel ils essaient regarde ils sont chous à essayer d’organiser leur merdier à essayer de faire du sens à se faire croire plein de choses pour que tout tienne parce qu’ils savent que ça s’effondre fissa si ils nous écoutaient ils verraient comme ça s’effrite se dérobe se pète la gueule littéralement ça se défonce la gueule même comme nous on se défonce la gueule de drogues on se défonce la gueule on est bien obligés de langues on se défonce la gueule on est bien obligés on touche la gorge on se bouffe on voit les cadres au mur on ne les voyait pas c’est étonnant qu’on les voie maintenant qu’on est bourrés on les voit leurs gueules encadrées pendant qu’on bande qu’on baise fort devant leurs gueules des années trente ils sont tous alignés on dirait des soldats je me demande où est ma tante la lesbienne comme tu dis ou alors ça date de ma grand-mère et le papier-peint vu que c’est important pour le contexte comme tu dis le papier-peint il est important les bougeoirs dorés ils sont importants la nappe blanche elle est importante pour le contexte qui je le rappelle c’est quand-même moi qui te baise pendant la fête sainte dans une piaule glauque avec leurs gueules de morts aux murs et mort aux rats ça je le glisse parce que ça me fait marrer ça me fait marrer mais je ne rigole pas de tes reins je soupire je gémis je me tords sur les draps des morts c’est vrai c’est le lit de mon grand-père mort le petit lit une place qu’il avait ils faisaient chambre à part sur la fin ma grand-mère le disait pendant une autre ivresse de cette fête à deux balles on se serre son lit est petit mais tout ce qu’il avait étant grand à commencer par ma grand-mère
le contexte donc c’est tu me baises pendant que tu parles de tes grands-parents tu es conscient tu dis oui je suis conscient ivre mais tout à fait conscient de tout ce que tu fais sur ma peau avec tes doigts tes mains ta bouche je te demande encore je te dis s’il te plaît s’il te plaît n’arrête pas tu entends mal tu crois que je dis arrête alors tu arrêtes tu arrêtes direct je pense merci c’est cool pour le consentement par contre là non n’arrête pas je dis t’es con arrête pas j’ai dit continue je dis j’ai envie de jouir dans ta bouche avec tes doigts qui me baisent ils viennent et sortent mon souffle est haletant saccadé il change de rythme mon pouls aussi que je sens entre mes jambes tout le sang est entre mes jambes il donne la vie là c’est flagrant qu’il donne la vie mon sang dans mon sexe gonflé de toi gonflé de nos batailles pour la vie à la guerre comme à la vie on se bat ça pulse tellement entre mes jambes si j’étais à l’hôpital entre la vie et la mort je leur dirais prenez mon pouls dans mon sexe ça ira plus vite faites-moi crever plus vite fais-moi crever maintenant maintenant je veux jouir je te le dis avec ton nom dans la phrase je dis fais-moi jouir avec ton nom qui suit ils doivent connaitre nos noms ceux du cadre comme on connait trop bien les leurs là je dis Debré je dis son nom il m’en voudrait avec son nom sur la page de garde qui n’en dit aucun puisque ce sont tous les mêmes il m’en voudrait mais c’était hier maintenant pour demain alors je le remercie lui et Tara avec ce livre qu’elle me souffle depuis le ciel d’où viennent ses cartes qui disent juste qui disent lâche tout pourvu que tu lâches je lâche regarde comme je lâche sous tes doigts je viens sous ta langue tes doigts je leur dis merci tes doigts parce que même s’ils ne sont que le cul ils font sens contre les cons contre les queers qui font contresens pourtant qui portent l’espoir je soupire je soupire tellement fort pendant que je les entends derrière la porte dans le corridor
on a loupé le dessert ils partent.
4 notes
·
View notes
Text
Set de soin pour le corps Soul of Nature INNER SOUL en édition limitée
Le set d’hiver parfait pour se sentir bien avec le parfum du sapin, du pin, du cèdre et du patchouli. Des huiles naturelles – 100 % de bien-être. Inspiré par l’eau glacée et cristalline des glaciers, avec des sapins recouverts de rosée et parfumés de résine et un brouillard humide, ce parfum vous redonne des forces, dénoue toutes les tensions et ramène à l’équilibre.
0 notes
Text
20 MARS 2024
Programme de Printemps.
Échauffement en cinq minutes : Un petit horoscope ? On établira l’horoscope (argent, amour, santé et vie sociale), pour la semaine à venir, des natifs du Tonnelet de rhum ascendant Karaoké.
Amour : Enivrez-vous dès la première rencontre, c’est une valeur sûre. Chance : Cette semaine le Loto sportif vous offre peut-être une opportunité, mais surtout pas de jeux de cartes, vous perdriez. Santé : Soignez cette voix qui s’éraille. Grogs, miel de sapin, vocalises, avant le concert de samedi. Argent : C’est bientôt la fin du mois, serrez la ceinture ! Travail : Votre patron a quelque chose derrière la tête à votre sujet. C’est peut-être important ? Sondez-le adroitement !
1°) Transport exceptionnel (10-15 minutes) : Dépaysement. Pour dépayser ce sujet très connu, on transportera (en résumant éventuellement) la fable de La Fontaine Le Corbeau et le Renard dans la politique intérieure française actuelle. Style libre, versification absolument pas obligatoire.
Le nabot et les énarques. Un Maître en Politique, Bien dressé sur ses talonnettes, Brandissait à tout va ses merveilleux sondages. La chance souriait, Il serait Président Pour la seconde fois. Un énarque très doucereux S’approcha de son Trône Et lui fit bien la cour En grandes pompes et en mots creux : « Il était le meilleur, C’était gagné d’avance. Quelques discours encore Et quelques conférences Et les peuples conquis Lui lècheraient les bottes. » Le petit homme, fier Se remit aux meetings, Il déplaçait les foules, Dépensait sans compter Puisqu’on l’applaudissait. L’énarque lui disait : « Je suis ton Pygmalion, Je te transformerai de nabot en géant, La victoire est certaine. » À force de jacter, Le nabot prétentieux Dépassa le plafond Du budget toléré. Et les urnes pourtant qu’on avait bien gonflées Accouchèrent d’un flop. Les citoyens fâchés Choisirent un autre Roi. Il fallut rembourser. On vit donc le nabot, Tout droit sur ses ergots, Dire adieu à ce monde. Il vivrait désormais d’autres satisfactions, S’enrichissant d’autant. Il apprit la chanson, Il gratta la guitare, Croyant qu’on l’oublierait. Mais on en parle encore ! Chacun sait désormais Qu’un excellent énarque Ne donne pas toujours les conseils qu’il faudrait. L’énarque reste énarque, C’est une bonne place, Et l’autre reste idiot, Car tous ceux qu’il conseille Feraient nettement mieux De boucher leurs oreilles.
2°) Portrait (10 minutes) : L’hésitant. On fera la description d’un individu dont le trait de caractère principal est l’hésitation : on le décrira dans ses gestes, ses paroles, ses actes quotidiens, de manière à bien faire sentir cet aspect.
Quelle chaussette enfiler en premier ? C’est le problème, chaque matin… rester pieds nus serait peut-être la solution ? Mais alors, où poser mes pas ? Rester encore au lit ? Oui, mais sans dormir, ce n’est pas sérieux, et cela donnera de moi l’image d’un paresseux. Alors simplement chausser les pantoufles pour toute la journée ? Voilà, une bonne décision, enfin ! Maintenant, le petit déjeuner. Pourquoi y a-t-il deux pots de confiture sur la table, et trois tartines ? Devrai-je en manger une sans rien ? Laquelle ? La première ? La troisième ? Et qu’est-ce que je vais dire à maman quand elle verra que j’ai laissé refroidir mon chocolat ? Ah ! Je voudrais pouvoir tout envoyer valdinguer, pour en finir avec ces indécisions. À mon âge… Elle va une fois encore me dire que si je m’étais marié elle ne serait pas obligée de tout décider à ma place ! C’est facile à dire… Il y avait Claudette, et il y avait Catherine. Elles me plaisaient bien, toutes les deux, pourtant…
3°) Un slogan révolutionnaire (5 minutes) : Amour et pissenlits. On bavardera sur le sens de ce slogan, vu sur un panneau de sens interdit, rue Edmond Chapuis, à l’angle de la rue Guynemer.
L’amour est si léger ! La fleur de pissenlit S’attache plus longtemps. Mon amour est parti, Je reste sur le pré À cueillir ma salade. Quand j’aurai tout brouté Je pourrai m’endormir Et j’attendrai la mort. L’amour a des racines Qui ne plongent pas loin. Si l’on veut arracher Le pissenlit complet Il faut creuser profond, C’est une plante amère. Et la mort de l’amour M’a rendu bien amer, Je vais donc m’endormir Et attendre la mort. Ma salade est finie, Je n’avais plus très faim, Je n’ai plus rien à dire, Et sens venir la fin. On pourra m’enterrer Dessous les pissenlits, Et je leur enverrai Mon trop-plein d’amertume. Si mon amour en mange, Sûr, elle en crèvera. Sous terre on la mettra, Nous ferons bon ménage. Amour et pissenlits Feront un beau mariage. Je serai le croûton Posé sur sa salade.
0 notes
Text
Lettre à l'ami de novembre
C'est étrange. Étrange lorsque quelqu'un dit "Il y a l'odeur de l'hiver", chacun sait de quelle odeur il s'agit. Mais aucun ne sait la définir réellement. Chez nous, c'est une odeur de sapin, de sève, qui s'élève dans l'air. J'entends encore les oiseaux et un peu le soleil qui s'éclate sur ma fenêtre. Je vois la lune qui éclaire les sommets blancs, et je touche la glace bleue des glaciers.
Tu sais, mon ancien ami, je suis un peu devenue celle que tu aurais voulu. Je suis retournée avec un carré, et j'ai des cols de chemises qui dépassent de mon pull. Je suis calme et posée et je réfléchis au lieu d'agir et je respire, je chante, je pleure de joie, j'embrasse, danse dans ma cuisine, respire enfin. Je regarde ces films dont tu me parlais et touche un peu ce que tu voulais me montrer. J'ai écris un livre pour des mauvaises raisons, mais j'écris une pièce pour moi. Je me couche contre cette peluche, mais mon cœur n'appartient plus qu'à moi. J'ai même racheté des sous vêtements pour la beauté de celui qui me les enlève, pour mon plaisir de voir son regard s'attarder sur la dentelle, me sentir désirée, appréciée, touchée. Je porte des baskets avec ces tenues que je n'osais pas porter, j'ai encore ta chaîne autour de mon cou. Je lui ai retiré la symbolique qu'il devait y avoir.
Je suis celle que tu aurais aimé voir, puisque je ne comprends que maintenant que tu voulais me voir telle que je suis. Dans ma croyance et ta violence, tes peurs, j'ai répondu en cachant encore plus en moi une fleur un peu froissée. Je ne pouvais m'étendre entre tes bras, ni entre ceux de qui que ce soit.
Je sais que je me réveille encore parfois en sueur en te voyant dans mes rêves, quand dans cet univers je ressens encore ton mépris de n'avoir pas été à la hauteur. Dans cette ville où je fais des détours pour ne pas recroiser ton regard à cette terrasse, où je danse sur les pavés, gorgée d'alcool, quelques étoiles visibles de la coline regardent mes mains taper le rythme qui m'habite. Oui, dans cette ville que je vais quitter, pour moi, et non plus pour et à cause de toi.
Toutes les choses qui restent de toi sont à présent des objets dans ma bibliothèque, que j'aperçois de l'angle mort quand je pars au travail, à Paris, au bar avec mes amis. J'ai l'avenir qui se dessine sans que je le cherche et je crois à la beauté qui m'habite. J'ai une perle qui roule et se lisse et se polit entre mes doigts, que j'écrasais de mes larmes et que je caresse à présent. Le monde est si beau, et je danse sous la pluie. J'enfile mon âme fripée et j'ai le rire facile, le sourire de béatitude, j'en perds même ma timidité.
Je suis heureuse comme tu aurais aimé que je le sois. Et j'en viens à espérer que désormais toi aussi tu es heureux comme je l'ai souhaité.
Il y a des égos bien trop forts, qui se répondent mais ne se donnent aucun repos. Le monde et l'amour ne sont pas des champs de bataille, et j'ai déposé les armes dans le mausolée de nos souvenirs. Je ne veux pas me souvenir de tes doigts autour de ma gorge ni de mes phalanges qui s'abattent sur ta pommette. Je veux garder ces choses dans mes habitudes, la recherche d'un oiseau dans les arbres, une référence à une famille, certains plats que j'assaisonne avec moins de sel, des listes qui s'accumulent, passer ma main sur les joues des gens que j'aime, j'apprends à conduire en me souvenant du ciel lourd de la Drôme.
Je ne me permet plus de chercher tes doigts quand j'attrape les mains des autres.
Je te remercie, au final, pour ces leçons, ta langue qui claquait comme un fouet sur mon innocence, la violence de mes mensonges pour te faire payer le combat que nous nous menions. Évidement, dans ma fragilité, j'aurai aimé que nous nous épargnions certaines cicatrices, circonstances qui valent des plaies à l'âme. Que veux-tu, nous ne sommes qu'imparfait.
J'ai abandonné les avions, je tiens seule mon café. J'ai l'ami de l'été qui me soutient encore un peu, qui termine ton travail. J'attends l'ami du printemps et celui de l'hiver. J'alimente un feu que je veux ardent et dans lequel je n'ai plus besoin de jeter les feuilles de mes écrits. Je regarde dans ce miroir ces grands yeux vert de gris qui ne comprennent pas le monde, qui s'égarent quand je suis dans le métro, se lèvent aux étoiles et se ferment dans le plaisir de l'intimité. La bouche que je couvre de rouge, redessiner les contours de mon être, exister pour le plaisir et non pour complaire.
Je ne sais pas qui sera mon prochain ami. Peut-être qu'il aura aussi une odeur que je ne connais pas. Mais j'ai hâte de découvrir ce qu'il aura à me montrer.
[Octobre 2021]
0 notes
Text
Les loups vous l'apprendront §
https://soundcloud.com/jlgaillard/les-loups-vous-lapprendront
Un vendredi soir de décembre 1982, dans un village russe, Ivan se rend à pied à une réunion politique communiste pour y faire un discours… Il doit se rendre au village voisin pour 20h. A part deux jeunes gens s’amusant à patiner sur le lac gelé à la sortie de son village, Ivan croise peu de monde à cette heure où la nuit est tombée. Il avance d’un pas décidé, se remémorant son discours pour être certain de ne rien oublier, et s’enfonce dans la forêt…
Après quelques pas sous les sapins, il doit allumer sa lampe torche électrique en réalisant qu’il ne voit presque plus rien… Et, en l’allumant, il croit entendre un bruit derrière lui ! Il se retourne en éclairant dans la direction d’où semblait venir le bruit… Il ne voit rien. Mais à peine retourné, il entend le cri de loups qui sont sur ses traces…
« Il est trop tard pour faire demi-tour ! » se dit-il… Et il commence à courir aussi vite que possible… Mais les loups le rattrapent rapidement ! « Je suis perdu, finit-il par se dire. Et je n’ai plus le temps de me demander si Dieu peut exister ou non… » Il tombe à genoux, essoufflé, et regardele ciel en criant :
« O Dieu ! Sauve-moi des loups ! Si tu me sauves, je serai ton serviteur ! »
A ce moment précis, alors qu’il pouvait sentir l’haleine des loups autour de lui, il les voit qui reculent. Il se redresse alors, et essaie de partir lentement, sans geste brusque… Mais les loups se retournent vers lui et se mettent à grogner, tous crocs sortis… Il tombe à genoux à nouveau et prie : « Mon Dieu, j’ai lutté contre toi jusqu’à présent, mais aujourd’hui je te donne ma vie. ».
Et toute cette nuit-là, Ivan resta à genoux à prier. Les loups se couchèrent autour de lui. Au petit matin, les loups se levèrent et le laissèrent seul. Alors, seul et face à lui-même, Ivan reconnut que Dieu avait répondu à sa prière.
Il décida de se rendre au siège du parti communiste le plus proche sans attendre.
Dès son arrivée, il raconta à ses camarades ce qui s’était produit la nuit dernière… Mais personne ne le crut, et ils rirent tous et pensèrent qu’il inventait une histoire pour s’excuser de ne pas être allé à la réunion de la veille.
Mais Ivan resta imperturbable, il démissionna en leur disant :
« Allez dans la forêt vous-mêmes et les loups vous l’apprendront : Dieu existe ! »
Quelques instants plus tard, Ivan marcha dans la rue et fit une prière à Dieu, reprenant une prière faite des siècles plus tôt par le roi David :
Dans leur détresse, ils crièrent à l’Eternel, et il les délivra de leurs angoisses, Psaumes 107 : 13.
0 notes
Text
ENTRESUEÑO
Mi ensueño más allá de tu forma pasiva mi revuelto soñar que verberan los vientos te alcanza en el umbral secreto del recuerdo de inveterado amor dorado como saga.
Con la mía tu infancia en mi sueño acollaro si bien nos conocimos pasados los veinte y como labio y labio paseamos juntos por un prado apacible entre balar de ovejas.
En tu mirar reluce un viso de cascadas tu voz plañe el rumor inmenso de los pinos tu tierra me arrebata en cada abrazo nuestro tu carne tiene un gusto de viento y alborada.
Por repentina brecha alumbrada entre ensueños me escabullo y arribo al dormir de los vivos te siento junto a mí tu aliento carnal oigo tus sedantes contornos con la mano evoco,
contigo en soledad me reúno dos veces entre densa tiniebla de perdón sabrosa de espíritu brincón y estrella aventurera y de carne feliz y lacia que se rinde.
Parto luego feliz a mis lueñes demandas cautivo refirmado tras pestañas reja con el vago sentir de tu clara presencia como lámpara sorda y cálida en la noche.
*
DEMI-SOMMEIL
Mon sommeil au delà de ta forme passive Mon sommeil turbulent cinglé de tous les vents T'atteint au seuil secret des souvenirs anciens De nos amours dorés longs comme des légendes.
Je rêve que j'unis mon enfance à la tienne Bien que je t'aie connue par-delà nos vingt ans Et nous nous promenons unis comme deux lèvres Dans de paisibles prés semés d'agneuax bêlants.
Ton regard luit dans le reflet dur de cascades Ta voix plaint la rumeur immense des sapins Ton pays me ravit dans toutes nos étreintes Ta chair a la saveur des vents et des matins.
Puis soudain par la brèche éclatante des rêves Je m'échappe et j'aborde au sommeil des vivants Je te sens près de moi j'ouïs ton souffle charnel J'évoque de la main tes contours apaisants,
Je te rejoins deux fois dans cette solitude Où l'épaisse ténèbre a le goût du pardon De l'esprit bondissant d'étoile en aventure Et de la chair heureuse et lasse à l'abandon.
Puis je repars heureux vers mes quêtes lointaines Prisonnier rassuré sous la grille des cils Du sentiment confus de ta claire présence Comme une lampe sourde et chaude dans la nuit.
Maurice Fombeure
di-versión©ochoislas
#Maurice Fombeure#literatura francesa#poesía extravagante#duermevela#infancia#sueño#vigilia#unión#deriva#di-versiones©ochoislas
0 notes
Text
The song is "Ma Douce" by Barcella and it's a miracle I managed to figure that out with my poor listening comprehension.
J'ai dans mon chapeau de magicien De la poudre de perlimpinpin Quelques chamallows deux trois lapins De quoi me sentir bien
J'ai pu lire dans le creux de ta main Car je suis un petit peu devin Que nous partagerions nos chagrins Et nos sourires coquins
[Chorus: x2] Mais que veux-tu ma douce Un coup de pouce, un baiser sur la bouche Pour un joli dessin Et ne soit pas farouche, si ma langue fourche C'est que je m'enfrimousse de tes deux petits seins
Je ne sais si tu crois au destin Peut-être as-tu peur des baladins Mais si tu le souhaites un beau matin Nous prendrons ce chemin
Sais-tu qu'au bout se trouve un jardin Parfumé de l'odeur du jasmin Allongé à l'ombre des sapins J'y demanderai ta main
[Chorus] Je ne suis qu'un homme ordinaire Un pantin de rimes et de chaire Au gré de nos astres lunaires J'écris des poèmes pour te plaire
[Chorus]
He Jingjing
302 notes
·
View notes
Link
Making a post to pin for my works.
My big project right now is Sentir le Sapin, an original work about a penitent vampire trying to carve out a peaceful life for herself on the late-1800s American frontier. It’s an ambitious project that’s proving a real challenge to write, for a lot of reasons. But that’s just making it all the more rewarding. Chapter updates are slow mostly due to the weight of historical research I’m putting in, as well as the slog of writing in a startling array of regional dialects and the bilingualism of the French protagonist.
My other current project is By Your Side, a fanfic for Shadows House. It follows Maryrose and Rosemary after the events of Ch79 of the manga. This is another ambitious project, which as I’m writing it I’ve already come to terms with it being a failure. But, it’s been an important learning experience. As much of a pain as it is to trudge through a project I’ve lost confidence in, I do intend to finish it.
My first work I wrote and finished is What the Hell, Miyama?, a fanfic for the criminally niche manga Ookami Shounen wa Kyou mo Uso wo Kasaneru. This was the work that set the tone for all my writing since, and is still the one I’m most proud of. Too bad the source manga’s been read by an entire 5 people in the English speaking world.
#fanfic#sentir le sapin#by your side#what the hell miyama?#shadows house#ookami shounen wa kyou mo uso wo kasaneru#The Boy Who Cried Wolf Also Told a Lie Today
25 notes
·
View notes
Text
does anyone have any booker fic recs btw? can be BoN or anything like that but with emphasis on booker’s healing journey/emotional turmoil
#ive read sentir le sapin & l'albatros and there was a third which i read but was unfortunately deleted#& then ive read one with quynh (top fave pairing btw i love their healing together like i love nothing else. i think we kno that)#& another wherein joe & booker r kidnapped together (is that sentir le sapin ?? i dont actually kno i just like that title so much)
4 notes
·
View notes
Text
Mon chat est mort mardi dernier.
Dans mes bras, chez le vétérinaire où il essayait de guérir depuis deux jours de ses reins qui avaient décidé de tout arrêter. J'ai pu lui parler pendant de longues minutes, je ne sais pas s'il m'entendait ni même s'il avait compris que j'étais là.
Je m'efforce d'oublier les images de ses derniers moments, parce qu'ily a eu tellement de bons moments en 17 ans. Je garde une image de quand mon fils était petit, je faisais des bulles et ils essayaient tous les deux de les éclater. Ou le jour où il était tombé dans le bain. Ou la nuit où, enceinte, j'étouffais dans mon rêve, et il m'avait sauté dessus. Seule et unique fois où il m'avait sauté dessus, généralement, il se posait sur moi plutôt délicatement. Ou le jour où il avait joué avec de la ficelle et il y en avait partout. Ou quand il avait grimpé dans le sapin de Noël. J'ai des dizaines de beaux souvenirs qui tentent d'effacer la vision de son petit corps qui n'en peut plus.
On s'est remémoré des souvenirs, je lui ai dit qu'il était le plus beau et le meilleur des chats de l'univers, que je l'aimais, que merci merci merci d'avoir été là, que ça ira ne t'inquiète pas tu peux y aller maintenant.
Le vétérinaire a dit qu'il terminait des documents, puis qu'il arrivait pour l'injection mais ce petit indomptable n'a pas attendu. Dans mes bras, 5 minutes avant l'injection, comme pour m'éviter le sale boulot.
Je ne sais pas pendant combien de temps ça va durer mais il est toujours un peu là, je fais attention où je marche dans la cuisine, parce qu'il est toujours dans mes pieds, je fais attention avec les portes parce qu'il veut toujours sortir, je tâte les couvertures avant de les replier parce qu'il est en boule à l'intérieur, j'ai le réflexe de m'asseoir convenablement quand je lis, parce que je m'attends encore à le sentir venir s'installer sur mes genoux. Allez. Je me laisse du temps.
Félix ❤️
47 notes
·
View notes