#secteur bancaire
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nfavocats · 3 months ago
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Les obligations des entreprises en matière de lutte contre le blanchiment d’argent
Les obligations des entreprises en matière de lutte contre le blanchiment d’argent
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https://nf-avocats.fr/les-obligations-des-entreprises-en-matiere-de-lutte-contre-le-blanchiment-dargent/
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chinemagazine · 7 months ago
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La Russie et la Chine trouvent une solution pour contourner les sanctions américaines
La Russie et la Chine trouvent une solution de paiement alors que les sanctions américaines s’élargissent, selon Reuters
La Russie et la Chine trouvent une solution de paiement alors que les sanctions américaines s’élargissent, selon certaines sources. De son côté, Pékin a autorisé les petites banques du nord-est de la Chine à faciliter les paiements avec la Russie. Les possibilités commerciales entre la Russie et la Chine se sont réduites depuis que les États-Unis ont imposé des sanctions à la seule succursale…
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buzznolimit · 2 years ago
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Une vidéo d’actu sur la banque SVB
Suivez l’actu sur la faillite de la Silicon Valley Bank dans une vidéo à télécharger ou à regarder en streaming sur Buzz No Limit. Celle-ci vous fait parvenir le message des responsables européens des finances qui assurent que le secteur bancaire est désormais mieux protégé par rapport aux risques financiers.
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aibagence · 3 hours ago
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Etats-Unis : Le régulateur en chef du secteur bancaire démissionne
Etats-Unis-Démission-Régulateur-Banque Etats-Unis : Le régulateur en chef du secteur bancaire démissionne Ouagadougou, 6 janv. 2024 (AIB) – Le vice-président de la Réserve fédérale américaine (Fed), chargé de la supervision bancaire, Michael Barr, a annoncé lundi sa démission, s’évitant ainsi une confrontation avec le futur occupant de la Maison Blanche, Donald Trump, annonce des sources…
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paiecb · 3 days ago
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Achat en ligne VS achat en magasin : avantages et inconvénients
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De nos jours, les consommateurs ont le choix entre deux modes d'achat principaux : l'achat en ligne, qui consiste à commander des produits ou des services sur Internet, et l'achat en magasin, qui consiste à se rendre dans un point de vente physique. Ces deux modes d'achat présentent des avantages et des inconvénients, qui dépendent des besoins, des préférences et des attentes des consommateurs.
Le blog de PaieCB va comparer l'achat en ligne et l'achat en magasin, en analysant leurs avantages et leurs inconvénients respectifs.
Les avantages de l'achat en ligne
L'achat en ligne offre plusieurs avantages aux consommateurs, qui peuvent être regroupés en deux catégories : la praticité et la diversité.
La praticité
L'achat en ligne est pratique, car il permet aux consommateurs de faire leurs achats à tout moment, et en tout lieu, sans avoir à se déplacer ni à respecter les horaires d'ouverture des magasins. Il suffit d'avoir un accès à Internet et un appareil connecté, comme un ordinateur, une tablette ou un smartphone, pour pouvoir consulter les offres, comparer les prix, lire les avis et passer commande. L'achat en ligne permet également de gagner du temps, de l'argent et de l'énergie, en évitant les déplacements, les files d'attente, les frais de stationnement et les sollicitations des vendeurs. De plus, l'achat en ligne facilite le paiement, grâce à des services de paiement en ligne sécurisés qui permettent de régler ses achats en quelques clics, sans avoir à saisir ses coordonnées bancaires à chaque fois.
La diversité
L'achat en ligne offre une diversité de choix, car il permet aux consommateurs d'accéder à une offre illimitée de produits et de services, provenant de différents pays et de différents secteurs. Il est possible de trouver sur Internet des produits rares, originaux, personnalisés ou introuvables en magasin, ainsi que des services innovants, comme la livraison à domicile, la réservation en ligne ou la réalité virtuelle. L'achat en ligne permet également de profiter de promotions, de ventes privées, de déstockages ou de ventes flash, qui permettent de faire des économies et de réaliser de bonnes affaires.
Les inconvénients de l'achat en ligne
L'achat en ligne présente aussi des inconvénients, qui peuvent être regroupés en deux catégories : le risque et le manque.
Le risque
L'achat en ligne comporte un risque, car il expose les consommateurs à des problèmes potentiels, tels que la fraude, le piratage, l'arnaque ou le vol. Il est possible de tomber sur des sites malveillants, qui proposent des produits contrefaits, défectueux ou non conformes à la description, ou qui ne livrent pas les commandes, ou qui utilisent les données personnelles ou bancaires des clients à des fins frauduleuses. Il est donc important de vérifier la fiabilité et la réputation des sites marchands, en consultant les mentions légales, les conditions générales de vente, les labels de qualité ou les avis des autres consommateurs. Il est également recommandé d'utiliser des services de paiement en ligne sécurisés, comme Paiecb, qui protègent les consommateurs en cas de litige avec un marchand, en offrant la possibilité de demander un remboursement.
Le manque
L'achat en ligne implique un manque, car il prive les consommateurs de certains aspects essentiels de l'expérience d'achat, tels que le contact, le conseil, la sensation ou l'émotion. Il n'est pas possible de toucher, de sentir, de goûter ou d'essayer les produits avant de les acheter, ni de bénéficier des conseils personnalisés des vendeurs, ni de profiter de l'ambiance et de l'animation des magasins. L'achat en ligne peut donc être perçu comme une activité solitaire, froide et impersonnelle, qui ne procure pas le même plaisir ni la même satisfaction que l'achat en magasin. L'achat en ligne peut également engendrer de la frustration, de la déception ou du regret, en cas de retard, d'erreur, de non-conformité de la livraison, ou en cas de changement d'avis ou de besoin. En conclusion, l'achat en ligne et l'achat en magasin sont deux modes d'achat qui présentent des avantages et des inconvénients, qui dépendent des besoins, des préférences et des attentes des consommateurs. L'achat en ligne est pratique et diversifié, mais il comporte un risque et un manque. L'achat en magasin est sécurisant et agréable, mais il est limité et contraignant. Il n'existe pas de mode d'achat idéal, mais plutôt un mode d'achat adapté à chaque situation et à chaque envie. Il est donc possible de combiner l'achat en ligne et l'achat en magasin, en fonction de ses critères de choix, de ses objectifs d'achat, et de son budget. Il est également possible de profiter des avantages de l'achat en ligne, tout en réduisant ses inconvénients, en utilisant des services de paiement en ligne sécurisés qui garantissent la sécurité et la confidentialité des transactions.
Nos différents articles vous offrent des informations pratiques et des astuces utiles pour choisir le meilleur moyen de paiement, trouver la meilleure offre, et gérer vos retours et remboursements en ligne. Avec Paiecb.com, vous pouvez acheter en ligne en toute confiance et en toute sécurité.
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fintechpoliciestemplates · 4 days ago
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Les 7 compétences clés à rechercher chez un CTO de fintech Les 7 compétences clés à rechercher chez un CTO de fintech Les 7 compétences essentielles d'un CTO de fintech 1. Expertise technique approfondie Un CTO de fintech doit avoir une solide compréhension des technologies financières et des systèmes bancaires. Il doit maîtriser les langages de programmation, les bases de données, l'architecture des systèmes et la sécurité informatique. Conseil d'évaluation : Posez des questions techniques pointues et demandez des exemples concrets de projets réalisés. 2. Vision stratégique Le CTO doit être capable d'anticiper les tendances technologiques et d'aligner la stratégie tech sur les objectifs business. Il doit savoir identifier les opportunités d'innovation. Conseil : Demandez au candidat de présenter sa vision à long terme pour la technologie dans le secteur fintech. 3. Gestion de projet et d'équipe https://fr.fintechpolicies.com/les-7-competences-cles-a-rechercher-chez-un-cto-de-fintech/?utm_source=tumblr&utm_medium=social&utm_campaign=fintech+policies+templates
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immobilierchamonix · 8 days ago
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L’histoire de la carte de crédit : des origines à nos jours
La carte de crédit, telle que nous la connaissons aujourd’hui, est le fruit d’évolutions technologiques, bancaires et commerciales. Voici un bref historique, depuis ses prémices jusqu’à son adoption massive à l’échelle mondiale.
1. Les origines (première moitié du XXᵉ siècle)
Années 1920-1930 : Les premiers « bons de crédit » ou « cartes d’achat » commencent à apparaître aux États-Unis, principalement dans les stations-service et certains magasins. Ces cartes, émises par des compagnies pétrolières ou des chaînes de magasins, permettent à leurs clients de faire des achats à crédit dans leurs réseaux de distribution.
Seconde Guerre mondiale : Pendant cette période, les systèmes de crédit et de paiement restent principalement locaux et limités à un certain type de marchandises ou de services.
2. La naissance des « vraies » cartes de crédit (1950-1960)
1950 :
Diners Club lance la première carte de crédit moderne. Elle est utilisée dans divers restaurants et hôtels à New York, puis dans d’autres grandes villes américaines. À l’origine, Diners Club ne facturait pas d’intérêts mais prélevait une commission sur les établissements affiliés.
Les utilisateurs devaient régler le montant de leurs achats à la fin de chaque mois. C’est le principe du « pay-by-charge » (carte de paiement à débit différé), précurseur du crédit moderne.
Milieu des années 1950 :
American Express (fondée en 1850 comme société de transport de fonds) lance à son tour sa carte de paiement en 1958.
L’idée d’une utilisation plus large, couvrant divers secteurs et établissements, commence alors à s’imposer.
Fin des années 1950 :
Les banques américaines perçoivent le potentiel des cartes de crédit. Certaines, comme Bank of America (aujourd’hui Bank of America), mettent en place leurs premiers programmes de cartes bancaires.
3. L’expansion et la standardisation (années 1960-1970)
1966 :
Bank of America étend son programme de carte de crédit, la BankAmericard, à l’échelle nationale. Elle deviendra plus tard la carte Visa.
Parallèlement, plusieurs banques californiennes s’associent pour former un réseau concurrent, qui deviendra Master Charge (l’ancêtre de Mastercard).
Émergence des réseaux internationaux :
En quelques années, Visa et Mastercard établissent des partenariats internationaux, permettant aux titulaires de cartes d’effectuer des achats et de retirer de l’argent dans des distributeurs automatiques de billets, partout où ces cartes sont acceptées.
Découverte de la fraudabilité :
Avec l’expansion des cartes de crédit, le problème de la fraude grandit. Les banques et les organismes de carte de crédit investissent alors dans des moyens de sécurisation, comme les bandes magnétiques (apparues dans les années 1970), puis plus tard les puces électroniques.
4. Les cartes de crédit modernes (années 1980 à nos jours)
Années 1980 :
Apparition des puces et des codes PIN (notamment en Europe) pour sécuriser les transactions et diminuer les fraudes.
Les cartes de crédit deviennent un moyen de paiement courant, favorisé par la croissance économique et l’essor des grands réseaux bancaires mondiaux.
Années 1990-2000 :
Les transactions en ligne se développent avec l’expansion d’Internet. Les entreprises spécialisées (telles que PayPal) créent de nouvelles solutions de paiement virtuelles. Les cartes de crédit intègrent des protocoles de sécurité renforcés (3D Secure, codes de vérification, etc.).
Les cartes de débit (comme Maestro ou Visa Electron) coexistent avec les cartes de crédit, en proposant un débit immédiat ou différé.
Depuis les années 2010 :
Développement des portefeuilles électroniques (Apple Pay, Google Pay) et du paiement sans contact (NFC). Les cartes intègrent désormais une puce NFC pour des transactions plus rapides et sécurisées.
Les néo-banques (Revolut, N26, etc.) et les fintechs proposent leurs propres cartes, souvent associées à des frais réduits et des services innovants (gestion intuitive sur smartphone, notifications en temps réel, etc.).
Les préoccupations environnementales et la dématérialisation poussent certaines entreprises à remplacer la carte physique par des cartes virtuelles.
5. Les enjeux actuels et futurs
Sécurité et prévention de la fraude : Les innovations se concentrent sur l’authentification biométrique (empreinte digitale, reconnaissance faciale) et les algorithmes de détection de fraudes (intelligence artificielle, machine learning).
Accessibilité et inclusion financière : Les cartes de crédit se diffusent dans des régions du monde où les populations étaient historiquement peu bancarisées. Les solutions dématérialisées facilitent l’accès au crédit pour un plus grand nombre d’individus.
Nouvelles formes de crédit : Des solutions « Buy Now, Pay Later » (BNPL) et des micro-crédits intégrés aux applications de paiement offrent des alternatives aux cartes de crédit traditionnelles.
Conclusion
La carte de crédit s’est progressivement imposée comme un outil de paiement incontournable, grâce à une combinaison d’innovations technologiques (bande magnétique, puce électronique, NFC), de partenariats bancaires à grande échelle et d’évolution des habitudes de consommation. De sa naissance chez Diners Club dans les années 1950 à la révolution numérique d’aujourd’hui, la carte de crédit n’a cessé de se réinventer pour s’adapter aux nouveaux défis, notamment en matière de sécurité, de flexibilité et d’accessibilité. Et l’histoire continue de s’écrire, avec l’essor des fintechs et la dématérialisation croissante des moyens de paiement.
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latribune · 11 days ago
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montreux-suisse · 21 days ago
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La carte de crédit, aujourd’hui incontournable dans notre quotidien, a une histoire riche et fascinante. Elle symbolise l’évolution des échanges économiques, depuis les premières formes de crédit dans l’Antiquité jusqu’aux paiements numériques contemporains. Son développement reflète les avancées technologiques, les mutations des systèmes financiers et les besoins croissants de commodité dans un monde globalisé.
1. Les origines du crédit : De l’Antiquité au Moyen Âge
1.1. Les premières traces de crédit
Mésopotamie (3000 av. J.-C.) : Les tablettes d’argile inscrites de transactions témoignent des premières formes de prêt entre commerçants, souvent basées sur des promesses de remboursement.
Égypte ancienne et Rome antique : Les agriculteurs et les commerçants utilisaient des "reçus" écrits pour différer les paiements. Ce système permettait déjà de stimuler le commerce et de soutenir les investissements.
1.2. Le Moyen Âge : Les lettres de crédit
Avec l’essor du commerce international, les marchands européens ont adopté des lettres de crédit. Ces documents permettaient aux commerçants de retirer des fonds dans différentes villes, éliminant le besoin de transporter de grandes quantités d’argent liquide, et réduisant ainsi les risques de vol.
2. Les prémices de la carte de crédit : Fin 19e et début 20e siècles
2.1. Les premières "cartes"
1860 : Cartes en papier pour les chemins de fer américains Les compagnies ferroviaires américaines ont introduit des cartes permettant aux clients réguliers de voyager à crédit. Elles représentaient un début rudimentaire de la "fidélisation par crédit".
1914 : Carte métallique de Western Union Western Union a introduit une plaque métallique pour ses meilleurs clients, leur permettant d’accéder à des services à crédit sans frais.
2.2. Les débuts du crédit moderne
Au début du 20e siècle, les grands magasins américains ont développé leurs propres systèmes de crédit. Les clients recevaient des cartes de fidélité personnalisées permettant des achats différés, marquant les prémices de la carte de crédit universelle.
3. La révolution des cartes de crédit modernes : Années 1950
3.1. La naissance de Diners Club (1950)
L’histoire légendaire de la carte Diners Club commence avec Frank McNamara, un homme d’affaires new-yorkais. Lors d’un dîner, il réalise qu’il a oublié son portefeuille. Cette mésaventure lui inspire l’idée d’une carte permettant de régler les repas dans différents établissements.
En 1950, la Diners Club Card est lancée, acceptée dans une poignée de restaurants à New York. Rapidement, elle devient un succès avec plus de 20 000 utilisateurs en un an. Elle est considérée comme la première carte de crédit universelle.
3.2. L’arrivée d’American Express (1958)
En 1958, American Express lance une carte de crédit internationale, marquant une étape clé dans la mondialisation des services bancaires. Contrairement à Diners Club, sa carte était en plastique, une innovation majeure qui deviendra la norme.
3.3. BankAmericard (1958) : L’ancêtre de Visa
En Californie, la Bank of America introduit la BankAmericard, la première carte de crédit bancaire permettant des paiements échelonnés (crédit revolving). Ce modèle révolutionnaire permettait aux utilisateurs de gérer leurs finances de manière flexible.
4. L’expansion mondiale : Années 1960-1980
4.1. Standardisation des cartes
Dans les années 1960, les cartes magnétiques font leur apparition. Cette innovation technologique permet d’automatiser les transactions et d’élargir l’acceptation des cartes dans divers secteurs, tels que le commerce de détail et les services.
4.2. Création de MasterCard (1966)
MasterCard, initialement connue sous le nom d’Interbank, est créée pour rivaliser avec BankAmericard (futur Visa). Elle introduit des services de crédit dans des régions non couvertes par BankAmericard, favorisant une concurrence saine et une adoption rapide.
4.3. Expansion géographique
Les cartes de crédit commencent à s’étendre à l’Europe, l’Asie et le reste du monde. Les banques locales s’associent aux géants américains comme Visa et MasterCard pour offrir des services similaires adaptés aux besoins locaux.
5. L’ère des innovations technologiques : Années 1990 à aujourd’hui
5.1. Les cartes à puce EMV (1990s)
En collaboration avec Europay, MasterCard et Visa, les cartes à puce EMV sont introduites pour améliorer la sécurité. Ces cartes remplacent progressivement les bandes magnétiques, réduisant les fraudes liées aux duplications de cartes.
5.2. Explosion des paiements en ligne
L’émergence d’Internet dans les années 1990 transforme la carte de crédit en un outil indispensable pour les paiements en ligne. Les plateformes de commerce électronique, telles qu’Amazon et eBay, favorisent cette transition.
5.3. Paiements sans contact et portefeuilles numériques
Le début des années 2000 voit l’introduction des paiements sans contact. En parallèle, les portefeuilles numériques comme Apple Pay et Google Pay intègrent les cartes de crédit, simplifiant encore davantage les transactions.
5.4. Intelligence artificielle et gestion des finances
Les technologies modernes permettent aux banques de proposer des services basés sur l’IA, tels que la détection des fraudes en temps réel et des analyses personnalisées des habitudes de dépenses.
6. Les impacts économiques et sociaux de la carte de crédit
6.1. Transformation de la consommation
La carte de crédit a démocratisé l’accès au crédit pour les particuliers, favorisant une croissance de la consommation dans le monde entier.
6.2. Développement de l’économie numérique
Les services numériques, le commerce électronique et les abonnements en ligne reposent largement sur l’utilisation des cartes de crédit.
6.3. Risques associés
Endettement croissant : L’accès facile au crédit peut encourager une surconsommation.
Fraudes et cybersécurité : Malgré les avancées technologiques, les fraudes liées aux cartes de crédit restent une préoccupation majeure.
7. L’avenir de la carte de crédit
7.1. Vers une dématérialisation complète
Les cartes physiques pourraient être remplacées par des identités numériques ou des paiements biométriques (empreintes digitales, reconnaissance faciale).
7.2. Blockchain et cryptomonnaies
Les technologies décentralisées, comme la blockchain, pourraient transformer le système de crédit, rendant les transactions plus transparentes et moins coûteuses.
7.3. Personnalisation accrue
Grâce à l’IA, les cartes de crédit offriront des expériences personnalisées : ajustement automatique des plafonds, recommandations d’épargne ou d’investissement, et récompenses ciblées.
Conclusion
La carte de crédit, née d’une simple idée d’accès pratique au crédit, est devenue un élément central de notre vie financière moderne. De l’époque des marchands mésopotamiens à l’économie numérique, son évolution reflète les transformations économiques et technologiques mondiales. L’histoire de la carte de crédit n’est pas terminée : à mesure que les technologies avancent, elle continuera d’évoluer pour répondre aux besoins changeants des consommateurs et des entreprises.
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actu-juridique · 1 month ago
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Les mutations des syndics professionnels de copropriété
https://justifiable.fr/?p=153 https://justifiable.fr/?p=153 #copropriété #des #les #mutations #professionnels #syndics Vittomrock/AdobeStock Le syndic de copropriété joue un rôle crucial dans la gestion des biens immobiliers partagés, mais ce secteur connaît d’importantes mutations. La numérisation, l’évolution des attentes des copropriétaires et les nouvelles réglementations, notamment, impactent profondément cette profession. L’évolution du métier de syndic de copropriété est, en conséquence, marquée par plusieurs transformations significatives. Plus que jamais, les syndics professionnels sont confrontés à de véritables défis, divers et variés, qu’ils devront relever pour pérenniser. Le défi des compétences. La loi ALUR de 2014 avait prévu à l’article 4 de la loi Hoguet un décret fixant les conditions de compétence initiale et minimale des collaborateurs des syndics. Plus de dix ans après la parution de la loi, constatant que ce texte n’a toujours pas été publié, la FNAIM a introduit, le 15 mars 2024, un recours devant le Conseil d’État pour obliger le gouvernement à prendre ce décret d’application. Ce que la commission d’enquête du Sénat1 approuve. La commission d’enquête du Sénat, dans sa proposition n° 24, souhaite étoffer les obligations de formation continue des syndics, notamment en incluant l’obligation, au cours de leur formation continue, de suivre des modules de formations en lien avec la transition énergétique des copropriétés ou la lutte contre la dégradation globale de ces ensembles. Aussi, sur les quatorze heures de formation continue annuelle nécessaire pour le renouvellement de la carte professionnelle, un nombre d’heures, à définir, pourrait être consacré aux enjeux spécifiques de la gestion des copropriétés dégradées. Le défi du respect de la réglementation par les syndics. Une publication en ligne de la DGCCRF de juillet 2024 revient sur les contrôles des syndics de copropriété en 2021 (191 syndics contrôlés) et 2022 (266 syndics contrôlés) réalisés afin de s’assurer de la prise en compte des évolutions réglementaires récentes obligeant à utiliser un nouveau contrat-type pour la gestion d’une copropriété. Sur 457 syndics de copropriétés contrôlés et 636 visites durant la période, 313 établissements contrôlés étaient en anomalie. Ce qui, selon elle, souligne la persistance du manque de respect de la réglementation dans le secteur avec, toutefois, une amélioration du taux d’anomalie qui passe de 72,8 % en 2021 à 65,4 % en 2022. Les anomalies relevées concernaient : • non-respect des clauses et des règles de présentation du contrat-type : elle souligne que : – le nouveau modèle de contrat-type de syndic n’est pas bien pris en compte par bon nombre de syndics n’ayant pas tenu compte de l’évolution de la réglementation, notamment les syndics indépendants non affiliés à une chambre syndicale, – des infractions notables portent sur le défaut d’application des nouvelles modalités de résiliation des contrats à l’initiative du conseil syndical et de celles relatives à la désignation du prestataire, • facturation indue : de nombreux manquements ont été relevés quant aux modalités de rémunération et aux pratiques de facturation des opérateurs, parmi lesquels : – des prestations incluses dans le forfait faisant l’objet d’une facturation additionnelle (en particulier pour l’organisation des assemblées générales), – des prestations complémentaires facturées à un montant supérieur à celui prévu au contrat de syndic, – des frais imputés à tort au syndicat des copropriétaires, – la perception par le syndic d’une part des intérêts bancaires revenant à la copropriété, – la facturation du forfait annuel sur l’exercice comptable ou l’année civile et non sur la durée contractuelle, – la majoration indue de tarifs, • manque d’information : des manquements ont été constatés : – concernant l’affichage des prix sur la devanture ou à l’intérieur de certains établissements, – lors du contrôle des sites internet (défaut d’information sur la liste d’opposition au démarchage téléphonique Bloctel ou sur le médiateur de la consommation). SANCTIONS 2021-2022 Nature Nombre Observations Avertissements 34 Défaut d’information sur les prix du pré-état daté, facturations d’honoraires illicites Injonctions 150 Facturation abusive, exercice sans carte professionnelle, mauvaise tenue du registre des mandats de gestion Procès-verbaux administratifs 41 Non-respect du contrat-type Procès-verbaux pénaux 9 Amendes 2 Proposition de transaction pénale acceptée 1 Facturations pour des prestations de recouvrement de créances supérieures aux montants prévus (pratiques trompeuses) La loi n° 2018-1021 du 23 novembre 2018 dite ELAN est revenue sur les prérogatives disciplinaires du Conseil national de la transaction et de la gestion immobilière (CNTGI), en créant une commission de contrôle seulement chargée de l’instruction des dossiers de pratiques abusives signalées au CNTGI et, le cas échant, de leur transfert à l’autorité administrative chargée de la concurrence et de la consommation. L’arrêté de constitution de la commission de contrôle n’ayant toujours été pris, près de six ans après la promulgation de la loi, ce que la commission d’enquête du Sénat2 regrette, la FNAIM a adressé au Premier ministre une demande formelle de constitution de cette instance, afin de renforcer la confiance à l’égard de leur profession. De plus, la commission, dans sa proposition n° 24, souhaite doter la profession d’un véritable organe disciplinaire en confiant au CNTGI de véritables pouvoirs de sanction des professionnels défaillants (avertissement, blâme, interdiction temporaire et interdiction définitive d’exercice). Le défi des petites copropriétés. On estime que 5 % à 20 % des copropriétés en France seraient sans syndic (5 % à 10 % en 2020, selon la FNAIM ; 15 à 20 % en 2022, selon l’Anah), ni professionnel, ni bénévole. De 30 à 40 % des petites copropriétés de moins de dix lots n’auraient pas de syndic professionnel ou formel. L’absence de syndic entraîne des difficultés majeures pour la gestion et l’entretien des immeubles. Les copropriétés sans syndic sont souvent confrontées à : • des risques juridiques en cas de litige, car les copropriétaires ne peuvent plus prendre de décisions collectives formelles (assemblées générales) ; • une absence de gestion des charges collectives ; • des difficultés pour entreprendre des travaux d’entretien ou de rénovation. Ces copropriétés sont souvent en proie à des problèmes financiers, une dégradation des immeubles, et une situation d’impasse juridique. Ce n’est donc pas étonnant que, parmi les copropriétés sans syndic, on retrouve souvent des copropriétés en difficulté. Selon l’Anah, il y aurait environ 15 000 copropriétés fragiles ou en difficulté en France, dont certaines n’ont plus de syndic ou ont un syndic non fonctionnel. Les causes principales de l’absence de syndic sont : • désintérêt ou méconnaissance des copropriétaires : dans certaines copropriétés, les copropriétaires ne connaissent pas ou sous-estiment l’importance de la gestion formelle via un syndic ; • conflits internes : des désaccords entre copropriétaires peuvent bloquer la nomination d’un syndic, notamment si certains refusent de payer des charges ou de collaborer ; • coûts du syndic professionnel : certaines petites copropriétés jugent le coût d’un syndic professionnel trop élevé et choisissent de gérer elles-mêmes de manière informelle, parfois en violation des règles de copropriété. Pour pallier cela, l’Anah propose des programmes de soutien et de formation pour les copropriétés en difficulté, incluant des aides pour la nomination de syndics professionnels. Pour autant, toutes les copropriétés sans syndic ne sont pas forcément en difficulté. « En effet, une absence de gestion légale n’est pas synonyme d’une absence de gestion. Certaines copropriétés sans syndic sont gérées, d’autres ne le sont pas »3. Il arrive que la non-désignation de syndic résulte tout simplement d’un choix de gestion autonome, différent. Dans sa proposition n° 23, la commission d’enquête du Sénat sur la paupérisation des copropriétés4 souhaite faciliter la désignation de syndics professionnels pour éviter les copropriétés sans syndic en abaissant le seuil de majorité nécessaire à la désignation et à la révocation d’un syndic. En effet, la désignation et la révocation du syndic répondent à une règle de majorité en assemblée générale plus exigeante que la règle de majorité par défaut, car elles nécessitent la majorité absolue définie à l’article 25 de la loi du 10 juillet 1965, c’est-à-dire la majorité des voix de tous les copropriétaires. Or, ceci peut conduire, notamment dans les grands ensembles où la participation aux assemblées est plus faible, à des délais de désignation d’un syndic pouvant engendrer une certaine consolidation des taux d’impayés. La commission d’enquête recommande donc d’inclure la désignation et la révocation d’un syndic dans la liste des décisions de l’assemblée générale pouvant être prise à la majorité définie à l’article 24 de la loi du 10 juillet 1965, c’est-à-dire des voix exprimées des copropriétaires présents, représentés ou ayant voté par correspondance. Cet assouplissement de la désignation d’un syndic devrait également permettre, selon elle, de limiter les cas de désignation par le juge d’un administrateur judiciaire. De plus, dans sa proposition n° 23, la commission d’enquête du Sénat sur la paupérisation des copropriétés5 souhaite permettre de déroger au contrat type de syndics sous la forme de contrats de groupe ou de prestations de services à la carte dans les copropriétés de moins de vingt lots. En effet, elle estime que les prestations de syndic sont strictement encadrées sous la forme d’un contrat-type défini par décret trop rigide pour les petites copropriétés. Si l’ordonnance du 30 octobre 2019 a permis au syndic de conclure une convention de prestations de services ne relevant pas de sa mission de syndic, elle estime qu’il conviendrait d’aller plus loin : • par des contrats de groupe permettant à plusieurs copropriétés de se grouper pour partager un syndic professionnel sans pour autant constituer entre elles un syndicat commun ou avoir une continuité géographique. L’initiative pourrait en être prise tant localement que nationalement par des associations de copropriétaires ; • en permettant aux copropriétés de recourir au service d’un syndic professionnel pour certaines missions seulement, telles que la préparation d’une programmation de travaux, la conduite de ceux-ci, la recherche de financement ou la résolution de problèmes juridiques, toutes circonstances où un syndic bénévole trouve souvent ses limites. Les petites copropriétés, dans ce cadre, pourraient alors représenter, pour certains nouveaux acteurs, une niche de marché. Le défi de la dématérialisation. Justement, les cabinets indépendants, après avoir vu l’arrivée de groupes, sont aujourd’hui confrontés à de nouveaux modèles de syndics, dits dématérialisés, qui portent leur regard vers les petites copropriétés. Selon l’Institut Paris Région6, les cabinets de syndic indépendants gèrent entre 50 et 60 % des copropriétés en France. De petite taille pour la plupart, ils constituent le segment le plus nombreux du groupe des syndics professionnels. Ils se caractérisent par des portefeuilles limités et une mise en avant de l’intuitupersonae comme valeur cardinale. Le syndic se compose généralement d’un trinôme de compétences : 1 gestionnaire, 1 assistant, 1 comptable. Les groupes sont de taille variée, gérant jusqu’à 700 000, voire 2 millions de lots. Dans les groupes, le trinôme de compétences est adapté et élargi avec l’apparition de fonctions supports : recouvrement, gestion des sinistres, service qualité, hotline… Les syndics dématérialisés (Proptech, contraction de property et technology) ont vu le jour relativement récemment (depuis 2014), offrant une solution de gestion digitalisée à bas prix aux petites copropriétés. Leur stratégie vise à utiliser le potentiel de la digitalisation pour accroître la gestion professionnelle, en orientant l’offre dématérialisée vers les petites copropriétés généralement dépourvues de syndic et en s’affichant aussi comme apporteurs de réponses aux principaux enjeux de la profession : la réactivité, l’efficacité et la transparence. Dans ces nouveaux modèles, le trinôme disparaît, avec une automatisation généralisée des tâches administratives et comptables, la disparition de la fonction d’assistance au profit d’un service client répondant, au téléphone ou sur la plateforme, aux urgences et petits sujets dont la gestion n’est pas automatisée, des services dédiés au recouvrement, aux questions juridiques, à la renégociation des contrats, à la logistique, à la gestion sociale et à la paie des employés des copropriétés… L’univers de la gestion de copropriété apparaît alors est en pleine mutation numérique avec des solutions offertes pour faciliter la gestion et fluidifier la communication. Pour autant, il faut prendre soin d’analyser les diverses offres proposées par des plateformes qui ne seraient pas des syndics, mais qui n’apporteraient qu’un support d’aide à la gestion de copropriétés ayant préalablement adopté la forme coopérative. Dans ce cadre, la gestion est alors assurée par un copropriétaire qui en assumera la responsabilité. L’essor d’un tel modèle amènera à se demander s’il ne s’agit pas déjà là d’une forme de spécialisation de l’activité de syndic. Le défi de la spécialisation du syndic. La spécialisation des syndics est clairement un moyen de différenciation. Nexity, promoteur immobilier et producteur de logements neufs, est spécialiste des copropriétés neuves. Certains syndics se spécialisent par incidence au fil des sollicitations lorsqu’ils interviennent dans les immeubles de grande et moyenne hauteur (IGH et IMH) et/ou dans les ensembles gérés en Association syndicale libre (ASL) ou en Association foncière urbaine libre (AFUL). On peut assister aussi à une spécialisation de circonstances avec le modèle de la rénovation énergétique ambiant. Les nouveaux entrants proposant des solutions dématérialisées se positionnent sur du syndic généraliste. On assiste aussi à une spécialisation en interne, où les copropriétés sont affectées aux gestionnaires non pas en raison de leur zone géographique, mais de leur spécificité (IGH, IMH, sites tertiaires…). La loi Habitat dégradé créé une nouvelle zone de spécialisation avec la création d’un nouveau modèle de syndic : le syndic d’intérêt collectif. Le défi des copropriétés en difficulté. La gestion de l’habitat dégradé pose de nombreux défis pour les syndics de copropriété, touchant à la fois les aspects juridiques, techniques et sociaux de leur rôle. L’article 20 de loi de 2014 crée, à l’article 18-3 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965, une nouvelle nature de syndic, le syndic d’intérêt collectif. En substance, il s’agit d’un syndic de copropriété agréé pour gérer les copropriétés en difficulté. L’agrément de syndic d’intérêt collectif atteste de la compétence de son bénéficiaire pour intervenir dans les copropriétés en difficulté, c’est-à-dire faisant l’objet des procédures prévues aux articles 29-1 A (administration ad hoc) et 29-1 (administration provisoire). « Le syndic d’intérêt collectif est présumé compétent pour gérer les copropriétés pour lesquelles un mandataire ad hoc a été désigné sur le fondement de l’article 29-1 A. Il peut également, à la demande d’un administrateur provisoire désigné sur le fondement de l’article 29-1, assister ledit administrateur dans ses fonctions de gestion ». L’agrément est délivré par préfet, pour une durée de cinq ans, au regard notamment de la capacité et des compétences du syndic à accomplir les missions de mandateur ad hoc et de mandataire provisoire. Les organismes d’habitations à loyer modéré et les sociétés d’économie mixte peuvent, à leur demande expresse, se voir reconnaître de droit la qualité de syndic d’intérêt collectif, sans se soumettre à la procédure d’agrément. Un décret doit venir déterminer les modalités d’application du nouveau dispositif. Le défi de la cession de l’activité de syndic. La cession de l’activité de syndic de copropriété s’avère être un processus complexe et souvent difficile, en raison de plusieurs facteurs qui entrent en jeu. Tout d’abord, juridiquement, s’il ne fait pas de doute que le syndic peut céder son activité, la loi de 1965 n’envisage pas l’hypothèse du rachat du cabinet de syndic, et donc du transfert du contrat de syndic à une entité tierce. Selon une réponse ministérielle, tout contrat de syndic conclu avec le syndicat des copropriétaires doit être mené à son terme, aux mêmes conditions, le rachat du cabinet de syndic étant indifférent et sans incidence sur les contrats en cours7. Toutefois, cette appréciation nous semble devoir être nuancée en raison de la nature même du contrat de syndic généralement qualifié d’intuitu personae, ce qui signifie qu’il est conclu en raison des qualités personnelles du syndic. Cela implique que le contrat est attaché à la personne juridique du syndic désigné par l’assemblée générale des copropriétaires. En conséquence, il est souvent avancé que le syndic ne peut pas céder unilatéralement son contrat à un autre syndic sans obtenir l’accord des copropriétaires. Ainsi, en cas de vente, le mandat peut être considéré comme résilié sauf nouvelle assemblée générale reconduisant le nouveau syndic repreneur. Ensuite, justement en raison du fort intuitu personae que peut représenter le syndic en place, la transition d’un syndic à un autre nécessite une gestion habile des relations avec les copropriétaires. Ces derniers peuvent être réticents à changer de syndic en raison de l’attachement à leur syndic habituel, de la peur de l’inconnu ou de la méfiance envers un nouveau gestionnaire. Cela nécessitera alors de la part du repreneur une communication transparente et une explication claire des raisons de la cession, ainsi que des avantages qu’elle pourrait apporter. Reste aussi à évaluer la valeur d’un portefeuille de syndic, dont l’exercice peut être délicat. Les facteurs tels que la rentabilité, la réputation et la qualité du service offert jouent un rôle crucial. De plus, le marché est compétitif, ce qui rend la recherche d’acheteurs intéressés encore plus complexe. Les acquéreurs potentiels sont souvent prudents, cherchant à minimiser les risques liés à une acquisition qui pourrait ne pas garantir une rentabilité immédiate, d’autant que, on l’a vu, le risque est que les syndicats de copropriétaires ne suivent pas le nouveau syndic, et pas seulement pour des questions d’honoraires. Le défi des honoraires de syndic. Le défi des honoraires de syndic est multifacette, impliquant des considérations réglementaires, de communication et de satisfaction client. Pour réussir dans un environnement compétitif, les syndics doivent s’engager à offrir une transparence totale sur leurs honoraires et démontrer la valeur de leurs services. Cela permettra de renforcer la confiance avec les copropriétaires et de pérenniser leur activité. Mais pour autant, il est souvent mis en avant par les syndics eux-mêmes qu’ils ne sont pas valorisés et qu’ils ne savent pas vendre leurs honoraires. En résumé, le service de gestion de copropriété est réputé trop cher par les copropriétaires et insuffisamment rémunéré par les syndics professionnels8. Pourtant, les honoraires des syndics de copropriété en France semblent connaître une augmentation régulière. En 2023, les honoraires moyens des syndics professionnels oscilleraient entre 150 et 200 € TTC/lot/an. Il existe des disparités territoriales. En 2018, les honoraires de syndic par lot principal étaient de 419 € à Paris, 350 € en Île-de-France (hors Paris), et 304 euros à Lyon. Les honoraires du syndic représentent environ 9 à 12 % des charges de copropriété. Ils auraient connu une hausse significative au cours des dix dernières années. En 2021, les honoraires de syndic ont augmenté de 3,30 %, passant de 3 €/m² en 2020 à 3,10 €/m² en 2021. Ceci peut se comprendre en raison de l’absorption par les cabinets de syndic des effets du principe des honoraires forfaitaires réglementés par le contrat de syndic désormais modélisé. Certains syndics ont pensé à tenter de garantir leurs honoraires auprès des copropriétaires par le biais même de leur contrat de syndic adopté en assemblée générale. Or, juridiquement, le contrat du syndic est conclu avec le seul syndicat des copropriétaires. En conséquence, les copropriétaires ne peuvent pas être parties à ce contrat9. Ainsi, le syndic ne peut pas réclamer à un copropriétaire des honoraires à l’occasion d’une mutation en se fondant sur les clauses du contrat de syndic10. Le principe des honoraires du syndic dans le modèle de contrat de syndic, étant basé sur « tout forfait sauf », pousse justement certains syndics, surtout lorsque le « sauf » réglementaire est relativement restreint, à trouver d’autres biais de rémunération. On le sait, un syndic de copropriété peut facturer des « honoraires spécifiques » au titre de travaux relevant « autres que ceux de maintenance ou d’entretien courant ». Le syndic doit alors clairement indiquer le montant de sa rémunération pour ceux-ci et non pas en masquer le montant réel à la charge du syndicat des copropriétaires en occultant volontairement le montant de la TVA. En effet, selon le garde des Sceaux, le contrat de syndic (7.2.5) précise désormais que la rémunération fixée dans le projet de résolution doit « dans tous les cas être exprimée hors taxes et toutes taxes comprises » et donc non plus uniquement HT. Il s’agit de « s’assurer que le coût final » soit « clairement identifié lors du vote ». Dans la mesure où une copropriété est « désormais informée du détail du montant sur lequel elle s’engage, après négociation », aucune réforme n’est envisagée11. Cette possibilité de rémunération votée en assemblée générale concerne les travaux et doit être en lien avec ceux-ci. Recenser les attestations de TVA à taux réduit ne vaut pas rémunération spéciale du syndic. Il s’agit d’une diligence de gestion courante ne pouvant donner lieu à une rémunération spécifique complémentaire12. Mais, aujourd’hui, on peut se demander si, pour le syndic, chercher à accroître ses honoraires, ce n’est pas déjà engager sa responsabilité. Le défi de la responsabilité civile du syndic. La responsabilité civile du syndic de copropriété représente un enjeu crucial dans le cadre de la gestion des biens communs de la copropriété. Ce défi est multiforme et découle de plusieurs facteurs, notamment de la réglementation applicable, des obligations contractuelles, ainsi que des attentes des copropriétaires. Plus que jamais, le syndic engage sa responsabilité : délictuelle à l’égard des tiers au contrat de syndic ; contractuelle à l’égard du syndicat des copropriétaires pour faute de gestion. La responsabilité contractuelle du syndic est recherchée dans de nombreux cas. Le principe est clair : la responsabilité du syndic ne peut être engagée à l’égard du syndicat des copropriétaires que sur le fondement d’une faute dans l’exercice de son mandat13. Pourtant, certains copropriétaires n’hésitent pas à rechercher une responsabilité sans faute du syndic. Régulièrement, les juges doivent rappeler la nécessité d’une faute pour que la responsabilité du syndic soit recherchée. Ainsi, concernant une demande de remboursement au syndic de frais exposés au nom du syndicat pour le recouvrement de créances à l’égard d’un copropriétaire, les « frais nécessaires » exposés par le syndicat pour le recouvrement d’une créance justifiée à l’encontre d’un copropriétaire sont imputables au seul copropriétaire concerné14. À défaut, ils restent à la charge du syndicat. Pour pouvoir condamner le syndic à les rembourser, les juges du fond doivent rechercher si les frais exposés étaient nécessaires au recouvrement de la créance et si une faute pouvait de ce fait être imputée au syndic15. Mais si une faute est retenue en matière de travaux non autorisés, le préjudice résultant, pour le syndicat des copropriétaires, de la faute du syndic qui a engagé des dépenses sans l’autorisation de l’assemblée générale, peut être évalué au montant des travaux irréguliers16. Aujourd’hui, la protection du syndic par le quitus obtenu est ébranlée. En effet, traditionnellement, il était retenu que le quitus donné sans réserve au syndic interdisait au copropriétaire de rechercher la responsabilité personnelle du syndic17. Mais, désormais, pour la Cour de cassation, il faut opérer une distinction entre la demande d’annulation de la résolution et l’action en responsabilité délictuelle du syndic. En effet, la Cour de cassation retient que le copropriétaire qui vote en faveur d’une résolution de l’assemblée générale du syndicat des copropriétaires donnant quitus au syndic, s’il n’est pas recevable à demander, en application de l’article 42, alinéa 2, de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965, l’annulation de cette résolution, peut rechercher la responsabilité délictuelle du syndic pour obtenir réparation d’un préjudice personnel né de sa faute18.
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snap221sn · 2 months ago
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Déblocage des comptes des entreprises de presse : » La mesure n’est pas encore effective », selon Mamadou Ibra Kane
Le président du Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS), Mamadou Ibra Kane, a annoncé une décision salutaire du Directeur général des Impôts et Domaines (DGID), Abdoulaye Diagne dans le secteur de la presse. Ce dernier a ordonné le déblocage des comptes bancaires des entreprises de presse, une mesure qui devrait soulager […]
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formationonline · 2 months ago
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Les 4 lois financières pour augmenter vos revenus et atteindre la liberté financière selon Franck Nicolas
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La liberté financière repose sur des principes solides, et Franck Nicolas, expert en leadership et finances personnelles, a identifié quatre lois fondamentales pour y parvenir. Voici un aperçu de ces lois et des actions concrètes pour les appliquer dans votre vie.
1. La discipline financière : maîtrisez vos finances
La discipline financière est le pilier de toute réussite économique. Cela consiste à contrôler vos dépenses, à planifier à long terme et, surtout, à savoir précisément où va votre argent. Franck Nicolas insiste :
Faites un suivi régulier de vos dépenses et revenus. Utilisez une application ou un tableau pour enregistrer vos flux financiers.
Vivez en dessous de vos moyens. Adoptez un mode de vie adapté à vos revenus et évitez les achats impulsifs. Warren Buffet, malgré sa fortune, reste un exemple de simplicité.
Créez une stratégie financière à long terme. Fixez-vous des objectifs clairs, comme rembourser vos dettes ou constituer une épargne.
2. La multiplication des sources de revenus : créer un écart entre revenus et dépenses
Pour Franck Nicolas, dépendre d’un seul revenu est risqué. La clé est de créer un écart positif entre ce que vous gagnez et ce que vous dépensez. Voici comment appliquer cette loi :
Explorez les business en ligne tel que l'affiliation. Cette méthode vous permet de gagner des commissions en recommandant des produits ou services.
Commencez avec notre formation gratuite en affiliation, spécialement conçue pour aider les débutants à générer des revenus passifs en ligne. Elle vous guidera pas à pas pour bâtir une source de revenu complémentaire. Inscrivez-vous ici.
Envisagez d’autres sources comme des activités complémentaires, l’immobilier, les IA ou les investissements numériques.
3. L’investissement intelligent : faites travailler votre argent
Faire fructifier vos économies est indispensable pour atteindre la liberté financière. Diversifiez vos placements en fonction de vos objectifs et de votre tolérance au risque. Franck Nicolas insiste sur l’importance de ne pas laisser l’argent dormir sur un compte bancaire.
Investir dans des secteurs à fort potentiel est crucial :
Investissez dans la bourse, en choisissant des fonds indiciels ou des actions stables.
Explorez l’immobilier, en optant pour des biens locatifs ou des propriétés à rénover.
Diversifiez vos investissements pour limiter les risques et maximiser vos rendements.
L’investissement intelligent repose sur une stratégie claire et un suivi régulier des performances.
4. L’éducation financière continue : une clé pour évoluer
Les marchés financiers évoluent constamment, tout comme les opportunités économiques.
Le savoir est un levier puissant pour atteindre la liberté financière. Se former en permanence permet de s'adapter à un monde économique en constante évolution. Franck Nicolas recommande de :
Lire des livres et suivre des formations sur les finances personnelles.
Participer à des webinaires ou écouter des podcasts d’experts en gestion financière.
Intégrer ces apprentissages dans votre quotidien pour prendre des décisions éclairées.
Ces 4 lois sont un guide précieux pour transformer vos finances. Commencez à multiplier vos sources de revenus avec notre formation gratuite en affiliation, un tremplin vers l’indépendance financière. Rejoignez la formation maintenant et faites de vos ambitions une réalité.
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chinemagazine · 15 days ago
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La mascarade monétaire des BRICS
La Déclaration de Kazan a mollement « reconnu » le rôle des BRICS dans l’amélioration du système monétaire et financier international
De Project Syndicate, par Barry Eichengreen – Comme tous les grands rassemblements, le sommet des BRICS organisé le mois dernier à Kazan, en Russie, a été riche en séances photo. Il a donné lieu à un deuxième acte, encore une fois axé bien davantage sur les symboles que sur le fond : la publication d’un rapport par le ministère des Finances et la banque centrale de Russie concernant la nécessaire…
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itrnews · 2 months ago
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80% des industriels français ont entamé leur transformation numérique from ITRtv on Vimeo.
Les récentes actualités marquent une période charnière pour les entreprises et les consommateurs. Qu'il s'agisse de sécurité des données, de modernisation technologique ou de logistique, chaque secteur fait face à des mutations profondes. Les tendances majeures se dessinent autour de l’intelligence artificielle, de la connectivité, et de la durabilité.
Le cas de la fuite de données chez Picard met en lumière les défis croissants liés à la cybersécurité. Environ 45 000 clients du programme de fidélité de l'enseigne sont concernés. Si aucune information bancaire n’a été compromise, les pirates ont exploité la technique du credential stuffing, utilisant des données volées dans des fuites précédentes. La réponse de Picard ne tarde pas : renforcement des contrôles et recommandations aux clients pour sécuriser leurs comptes. Benoit Grunemwald, expert chez ESET France, rappelle que « l'authentification multi-facteur n'est plus une option, c'est une nécessité ! ». Ce cas souligne une réalité : la sécurité des accès est désormais une priorité stratégique, nécessitant vigilance et pratiques responsables, comme l'utilisation de mots de passe uniques et de gestionnaires dédiés.
Parallèlement, l’industrie manufacturière connaît une véritable révolution numérique. Une étude de Salesforce révèle que 80% des industriels français ont initié leur transformation, notamment grâce à l’IA. Pourtant, des défis persistent. Si 76% des décideurs modernisent leurs chaînes d'approvisionnement, seuls 49% se sentent prêts à gérer les risques futurs. L’IA apparaît comme un moteur essentiel de compétitivité, bien que son adoption complète reste complexe. Bruno Katz, de Salesforce, souligne : « L'IA n'est plus une option, c'est un impératif stratégique pour rester compétitif. » Le potentiel est immense, mais la maîtrise des données et des outils technologiques demeure un impératif pour maintenir un avantage concurrentiel dans un marché globalisé.
Dans le domaine des services collaboratifs, Shure innove avec une solution audio clé en main, optimisée pour les environnements hybrides. Le kit MXA902 + ANIUSB-MATRIX simplifie l’installation et garantit une qualité audio premium sans compétence technique requise. Certifié pour les principales plateformes comme Microsoft Teams et Zoom, ce système se distingue par son adaptabilité et sa gestion intuitive via ShureCloud. Enrique Borges, représentant de Shure France, résume l’impact : « Avec Shure, la qualité audio premium est désormais Plug and Play ! » Cette innovation reflète une tendance générale à simplifier l’accès aux outils professionnels, répondant aux besoins croissants des entreprises pour des solutions fiables et efficaces.
La logistique, elle aussi, se transforme face à des pics de demande comme le Black Friday et les fêtes de fin d’année. Geotab met en garde : ces périodes accroissent de 11% l’activité des flottes de livraison, augmentant émissions de CO2 et coûts. Selon le Forum économique mondial, les embouteillages dans les grandes villes pourraient croître de 20% d’ici 2030, rendant cruciale l’optimisation des itinéraires et l’adoption de solutions télématiques. François Denis, de Geotab, appelle les entreprises à anticiper ces défis : mieux planifier, c’est non seulement réduire les coûts, mais aussi répondre efficacement aux attentes des clients dans un contexte environnemental préoccupant.
Enfin, 2025 promet d’être une année pivot pour les technologies émergentes, selon Wipro. L’arrivée de la 6G, combinée à l’IA, transforme déjà les expériences immersives et les applications avancées. L’informatique quantique ouvre la voie à des avancées inédites en logistique et en santé, tandis que le Cloud distribué renforce la réactivité des entreprises. Mais cette révolution technologique ne va pas sans défis. La gouvernance des données et la sécurité quantique deviennent essentielles pour protéger les systèmes critiques. « En 2025, les entreprises qui sauront anticiper ces transformations technologiques et sécuritaires auront une longueur d’avance ! », déclare Wipro.
Ces tendances soulignent un fait : la technologie redéfinit les attentes et les modes opératoires dans tous les secteurs. Les entreprises qui sauront naviguer ces bouleversements avec agilité et responsabilité auront non seulement l’opportunité de prospérer, mais aussi de contribuer à un avenir plus durable et sécurisé.
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courtier-forex · 2 months ago
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adalidda · 2 months ago
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Risques critiques du paiement contre documents (PAD) pour les fruits frais expédiés par fret aérien
Ces dernières années, les fraudeurs ciblant les exportateurs de fruits frais ont redoublé d’ingéniosité, manipulant particulièrement les transactions de paiement contre documents (PAD) lors d'expéditions par fret aérien. Comprendre les mécanismes de fraude et adopter des stratégies de prévention permet de protéger efficacement votre entreprise contre des pertes potentielles.
Comprendre les risques de fraude dans les transactions PAD
Dans une transaction PAD, les produits sont expédiés, et le paiement est dû à la présentation des documents d’expédition par l’acheteur, généralement via le système bancaire. Toutefois, en raison de la rapidité du transport aérien, les produits atteignent souvent l’acheteur avant que le paiement ne soit totalement vérifié, créant une fenêtre d’opportunité pour les fraudeurs.
Les fraudeurs exploitent ce délai par des méthodes telles que :
• Faux avis de paiement : Des preuves de paiement falsifiées, souvent avec des logos bancaires et des identifiants de transaction, créent une illusion de sécurité pour le vendeur.
• Transferts bancaires annulés ou temporaires : Certains initiateurs de fraude réalisent des virements qu’ils annulent ou rétractent peu après. Cela donne l’apparence temporaire d’un paiement, incitant le vendeur à expédier la marchandise, ignorant que le paiement ne sera pas finalisé.
Exemple concret de fraude PAD dans le secteur des fruits frais
Un exportateur africain a récemment accepté une transaction PAD avec un nouveau client au Moyen-Orient pour une importante commande de mangues. Le client a fourni une confirmation de paiement avec des logos et détails bancaires rassurants. L'exportateur a donc expédié les mangues par voie aérienne, arrivées en deux jours. Cependant, en vérifiant les fonds, il a découvert qu’aucun paiement n'avait été reçu et qu’il était impossible de contacter l'acheteur. Cette fraude a entraîné une perte de la valeur des marchandises ainsi que des frais de fret et de manutention.
Risques majeurs du PAD pour les expéditions de fruits frais par fret aérien
Faux virements ou annulations : Les fraudeurs profitent de la rapidité des expéditions pour fournir de fausses preuves de paiement ou initier des transferts momentanés, induisant les vendeurs en erreur.
Vitesse du dédouanement : Les produits périssables passent souvent rapidement les douanes, rendant difficile leur récupération après la remise à l’acheteur.
Complexité de récupération des biens : Une fois les produits livrés, il est presque impossible de les récupérer sans engager des procédures judiciaires coûteuses.
Recommandations pour prévenir la fraude dans les transactions PAD en fret aérien
Exiger une lettre de crédit irrévocable et confirmée (LC) : Cette méthode offre plus de sécurité que le PAD, surtout pour les nouveaux clients. Une LC confirmée garantit le paiement à la vérification des documents d’expédition.
Demander un paiement partiel ou total à l’avance : Exiger au moins 50 % d’acompte montre l’engagement du client. Bien qu’un paiement intégral soit rare pour des clients établis, il reste prudent pour de nouveaux clients ou ceux basés dans des régions à risque élevé de fraude.
Utiliser un service de séquestre fiable : Un séquestre neutre peut retenir les fonds jusqu'à ce que les deux parties soient satisfaites, assurant ainsi la vérification du paiement avant la libération des marchandises.
Souscrire une assurance commerciale : Les assurances peuvent couvrir les pertes liées aux impayés ou à la fraude, avec des polices spécialisées pour les exportateurs agroalimentaires.
Effectuer une vérification préalable sur les nouveaux clients : Vérifiez les références commerciales, l’enregistrement et les coordonnées bancaires des clients. Des signes d’alerte incluent la réticence à fournir des références ou une insistance sur des paiements rapides.
Confirmer indépendamment le paiement avant l’expédition : Assurez-vous auprès de votre banque que le paiement est effectivement validé, surtout pour les envois de grande valeur. Ne vous fiez pas uniquement aux documents fournis par l’acheteur ; optez pour une vérification bancaire indépendante.
En privilégiant des méthodes de paiement sécurisées plutôt que le PAD et en restant vigilant, les exportateurs peuvent réduire les risques de fraude, protéger leurs actifs et éviter des litiges coûteux. La protection de votre entreprise commence par une diligence accrue et une vérification rigoureuse des paiements. 
Photo: Bananes fraîches prêtes pour l'expédition par fret aérien (crédit : Sahel Agri-Sol / Domaine Public)
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