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kinlodok · 1 year ago
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Bro hurt me so bad that i can't eat anything
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ekman · 3 months ago
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Il existe encore quelques Français qui sont français comme il ne faudrait déjà plus l’être. À ces êtres en souffrance pour qui la France n’est plus qu’une sorte de Thoiry mental, je dis “courage” ! Face à eux, cachés derrière la grande digue du nombre, les progressistes, les gauchistes, la bourgeoisie rentière, les barons du capital, les écolos, les wokistes et toute l’engeance produite par la pourriture révolutionnaire, prospère plus et mieux que jamais. Comme l’exigeaient Rousseau et Robespierre, ils ont fait fi du legs de leurs aïeux, ils se sont imaginés en hommes nouveaux : nouveau peuple, nouvel ordre, nouveaux bourreaux. Leur descendance, les lointains arrières petits enfants de ces crapules arrivistes et de ces cocus braillards, militent sans conviction, cultivent l’ignorance, demeurent volontairement aveugle et odieusement complice des crimes infinis de ce qui est finalement devenu un marxisme global.
Leur armée se compose de millions de fantassins débarqués de chaloupes incertaines, à l’assaut d’un monde sans foi seulement guidé par le profit et la jouissance. Ils ont un coran dans la poche gauche, un schlass dans la droite, et une carte téléphonique dans leur famélique portefeuille. Ils sont comme des spermatozoïdes en route par le Grand Ovule, au mépris des marigots acides et des douchettes cataclysmiques. Ils tortillent de la flagelle frénétiquement, sont prêts à tout pour gagner leur journée et souvent, livrent leur repas caricatural aux indigènes crétins. Les plus naïfs parmi ces derniers leur lâchent un billet de 5 en pourliche, joignent les mains et baissent la tête en signe de déférence, de confraternité ou de pure soumission – c’est selon. Ainsi ces tristes sires sont-ils contents et soulagés à la fois. Leur conscience est propre comme l’entrecuisse d’une communiante d’antan.
Français qui souffrez, dans votre chair et votre esprit, du spectacle de ce suicide non seulement consenti, mais savamment organisé, méticuleusement planifié et brillamment réalisé, abandonnez tout espoir de révolte collective et solidaire. Aucun de vos contemporains, ceux que vous croisez sur votre palier, dans votre rue, sur le quai de la gare, celui du métro ou l’escalator d’un aérogare, au bureau, chez le boulanger, au supermarché, à la station-service... aucun d’entre eux ne souhaite se sacrifier pour faire cesser tout cela. Votre sort, qui est aussi le leur, les indiffère. C’est ainsi, il suffit de les observer pour le constater. Ce peuple est prêt à disparaître en tant que tel. Ne subsisteront que les vrais résistants, ceux que la conviction d’être des héritiers maintiendra en alerte haute et permanente, ceux qui éduqueront leurs enfants, ceux qui prendront soin de la terre qui les nourrira, au propre comme au figuré. Inutile de verser dans la caricature du crâne rasé et du regard bleu... quelle que soit l’allure de votre gueule, ce qui compte, c’est votre détermination à survivre, coûte que coûte. Et il vous en coûtera, soyez-en convaincus.
J.-M. M.
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kezenani · 7 months ago
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amúgy
nem is hinnétek, mit szenvedtem ma. reggel fél 7-kor megébredtem (vasárnap!! O.O), és abban a pillanatban máris kívántam valamit. ezektuán a nap folyamán összeedtem az alábbiakat (a teljesség igénye nélkül): vajkrémes pirítós, uborka, erőspaprika, paradicsom, karavánsajt, tejeskávé (cukor nélkül). kicsivel utána gombás-padlizsános-husis tésztát, sajttal megszórva, céklával. olyan hiányom volt mindezek után is, hogy majd elepedtem, ezért vágtam fel almát, ittam szőlőszörpöt, mostam áfonyát, betömtem egy fél banánt. a keservem nem múlott. tejeskávéval próbálkoztam újfent, aztán sósperecet pirítottunk, aztán húslevest kanalaztam, csipegettem diákcsemegét és burgonyaszirmot, de mivel továbbra is bánatosan tengtem-lengtem, férjem tanácsára ettem akkor csokit is, hosszas lamentálás után egy banánlikőr izű krémmel töltött kisnyúlra esett a választásom, ami annak rendje-módja szerint fel is baszta a savam, dejó, már nemcsak feszül a hasam és hiányban szenvedek, a vak is láthatja, márcsak ez hiányzott. tehát csuklok is és fájok, utolsónak tűnő lehetőségként megettem egy marék örökzöld olajbogyót vagymiaz, piros és fanyar, és kurvára remélem hogy most már lenyugszik a kis testem végre mert holnap korán kezd a hét és semmi kedvem egész éjjel folytatni ezt a kíméletlen zabálást amin ma végigmenni voltam kénytelen
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kiforditom-szetszedem · 4 months ago
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Elmondom nektek, milyen két kémiazseni gyerekeként felnőni
Gyerekkoromban egyszer arra panaszkodtam szüleimnek, hogy marja valami a torkom, fel is állították a diagnózist, hogy savtúltengésem van.
Fejeikben újrajátszódott a kémiaóra a kísérlettel, amint Manyi néni mutatta nekik: gyerekek, a szódabikarbóna bázikus, az ecet savas, itt egy kanál ecet, egy kanál szódabikarbóna, öntsük össze. Látjátok, a reakció heves, a bázis semlegesíti a savat, a szódabikarbóna az ecetet, ezért van az, hogy ha savatok van, s szódabikarbónát vesztek be, az semlegesíti.
Teltek-múltak az évek, elértünk az első bekezdéshez (mármint a cím után). Azonnal hozták is nekem a szódabikarbónát. Meg a kanál ecetet... ezt sorban el kell fogyasztani, mondták, s az semlegesíteni fogja a savadat. Úgyhogy először s utoljára elfogyasztottam, majd a heves reakciótól sugárban kihánytam az egészet., miközben az orromon is hab jött ki.
Ők meg elégedetten kipipálták, hogy most már semlegesítődött a savam.
Pár évre rá, amikor már én is tanultam kémiát, kezdtem érteni, miért szoktak olyan keservesen szenvedni ők is, amikor savuk van, s kémiapedagógiailag bemutatják a gyomruknak a szóda-ecet reakciót...
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istenes-bibic-mihaly · 4 months ago
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de kurvajó, hogy 31 évesen olyanokkal kell törődnöm, hogy JÖN A SAVAM este
(csupán azért, mert nem eszem rendesen, nem alszom rendesen, 15 napja antibiotikumot szedek és elképesztő mértékű stresszben élek olyan 8-10 éve)
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datura21 · 1 year ago
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La créole avec chignon noué à la va vite restent un must du savamment négligé.
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aurevoirmonty · 3 months ago
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Français qui souffrez, dans votre chair et votre esprit, du spectacle de ce suicide non seulement consenti, mais savamment organisé, méticuleusement planifié et brillamment réalisé, abandonnez tout espoir de révolte collective et solidaire. Aucun de vos contemporains, ceux que vous croisez sur votre palier, dans votre rue, sur le quai de la gare, celui du métro ou l’escalator d’un aérogare, au bureau, chez le boulanger, au supermarché, à la station-service… aucun d’entre eux ne souhaite se sacrifier pour faire cesser tout cela. Votre sort, qui est aussi le leur, les indiffère. C’est ainsi, il suffit de les observer pour le constater. Ce peuple est prêt à disparaître en tant que tel. Ne subsisteront que les vrais résistants, ceux que la conviction d’être des héritiers maintiendra en alerte haute et permanente, ceux qui éduqueront leurs enfants, ceux qui prendront soin de la terre qui les nourrira, au propre comme au figuré. Inutile de verser dans la caricature du crâne rasé et du regard bleu… quelle que soit l’allure de votre gueule, ce qui compte, c’est votre détermination à survivre, coûte que coûte. Et il vous en coûtera, soyez-en convaincus.
J.-M. M.
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auboutdespages · 9 months ago
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Notre rendez-vous du mois!
Hello mes papivores 2.0, et bienvenue à notre rendez-vous du mois qui s'annonce riche en émotions comme le premier. Aujourd'hui, je vous garde dans le même univers que mon précédent article, mais celui ci est un peu plus je dirais … GLAUQUE! L'écrivaine Louise Mey, auteure engagée au style on ne peut plus percutant, sait nous captiver, nous lecteurs dès les premières pages. Et ce que j'adore par dessus tout avec cette grande dame bourrée de talents c'est le fait que la plupart de ses thèmes repose sur des sujets sensibles et d'actualité, tels que les féminicides, les manipulations psychologiques, les secrets de famille et les injustices sociales.
C'est exactement dans un thème comme ceux suscités que je me suis plongée récemment. Laissez vous submerger d'émotions (je vous promets très débordantes), dans ce thriller psycho dramatique de Louise Mey: LA DEUXIEME FEMME .
Le PITCH d'abord!
Sandrine a tout pour être heureuse : un mari aimant, deux enfants magnifiques, une vie paisible. Mais un jour, tout bascule. Son mari, Thomas, lui annonce qu'il a retrouvé son ex-femme, Clara, disparue depuis des années. Sandrine se retrouve alors en proie à un sentiment de jalousie et de peur qui va crescendo. Qui est vraiment Clara ? Que veut-elle ? Sandrine est-elle en danger ?
Mon avis, toujours HUMBLEMENT!
Louise Mey sait d'habitude comment tenir son lecteur en haleine. Dès les premières pages, on est happé par l'intrigue et on a du mal à lâcher le livre. L'auteure distille savamment les indices et les rebondissements, nous menant sur de fausses pistes et nous surprenant jusqu'au dénouement final. Par contre dans ce thriller, j'ai eu beaucoup de mal aux premières pages qui ennuyaient très vite et qui ont bien failli me faire laisser tomber ce livre (heureusement que non!). On nous présente Sandrine, jeune femme ordinaire envahie de complexes (sentiment normal je vous assure!), essayant de vivre sa vie paisiblement. Son univers bascule quand son mari Thomas (attention à tous les "Thomas" de votre entourage après ça!) lui annonce qu'il a retrouvé son ex femme auparavant mystérieusement disparue… Le retour de Clara (personnage très atypique), l'ex-femme de son mari, agit comme un tremblement de terre, ravivant des blessures enfouies et semant le doute et la peur dans son esprit. Le roman explore avec profondeur les sentiments complexes de Sandrine, tiraillée entre la jalousie, la colère et l'espoir de sauver son mariage. Sa confrontation avec Clara est électrique, chaque mot résonnant comme un coup de poignard dans une atmosphère de tension palpable.
La Deuxième Femme n'est pas seulement un thriller psychologique, mais également un récit poignant sur la place des femmes dans la société. Louise Mey met en lumière les injustices et les violences auxquelles elles sont confrontées, soulignant la douleur et la solitude ressenties par celles qui se retrouvent dans l'ombre d'une autre femme. C'est un livre poignant et bouleversant qui ne se résume pas à une simple intrigue policière. Il nous confronte à la complexité des relations humaines et aux répercussions profondes de nos choix. Un récit qui m'a profondément marquée et qui m'a amenée à réfléchir sur la force et la résilience des femmes face à l'adversité. Ce qui rend ce livre particulier est le partage incroyable de sentiments que l'on peu avoir avec Sandrine: l'insécurité, la peur à chaque fois que son mari rentrait du travail, la douleur des coups qu'elle recevait, l'humiliation servie par Thomas et surtout la RAGE de vaincre et de se sortir de là une fois le déclic eu… La fois de trop! Attention, les violences psychologique et physique peuvent être difficiles à lire pour certains.
J'ai clairement savouré avec amertume (pour être honnête) ce livre et je le recommande à tous les lecteurs qui recherchent un roman intense et poignant, les amateurs de thrillers psychologiques et les personnes sensibles aux questions de société et aux violences faites aux femmes.
Vous pouvez vous procurer cette merveille au Supermarché CARREFOUR à PLAYCE, quartier WARDA à Yaoundé au rayon bibliothèque.
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444names · 5 months ago
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Names generated from dunmer male forenames from TES, excluding the letter "R"
Adael Adalno Adelis Adels Adennus Adolms Adovyn Alaalyn Alanas Alash Alennus Algaem Alothalos Alvol Alvul Alvus Angal Angovos Animalis Anius Anovis Anumenvayn Anvalvasil Athel Athen Athisfavel Avals Avelo Ayndalnus Azanelam Azanos Azanu Azanyl...
Baenthas Baldul Balfal Baliman Balin Ballil Balmondyn Balos Bandet Banen Banisi Banollen Banys Beithiv Belaynnus Bellec Belms Belmyn Belon Belvus Benden Beselyn Bevil Biles Bolen Bollien Bolodivos Bolon Bolvaynis Bolven Bolvi Bolvos Bondel Bondus Bonelil Bovandyn Bovanil Bovos Calas Chalvas Cylas Daelmon Dainel Dalain Dalas Dalden Daldyl Dalsel Damedyn Daneldis Danethis Danis Dathis Daval Daveni Davonath Davos Delen Delhulandyn Denas Denlin Denlis Dethelas Dethiathis Dilion Dilos Dolos Donden Donelo Donvyn Dovas Doven Dovosivul Dunbalm Dynik Dynimalyns Eanvans Edaynis Elamels Elavon Elikanis Elnumyn Elovyn Elsels Elvanus Elvos Endevas Ethavis Ethel Ethis Ethyn Evads Evalam Eveden Fadayns Fadil Falad Falphendos Falvam Felos Femynas Fenelis Fevethal Fevos Folas Folashalyn Folythis Fonvyn Fothan Fothelailas Gadelods Gadet Gadiilas Gadol Galan Galbalamis Galdu Galexadas Galil Galkangovos Galvandas Galvas Galyan Gandil Gavin Gavys Gendelo Gidal Gidathanyn Gilam Gilthis Gilynos Golaal Golevyn Golnus Golodov Goloneldyn Golyn Golynethen Golynil Golynus Govals Govan Govos Govus Govyn Gulathes Gulos Halathys Heleg Helis Helos Hlomlyn Hlosi Hlovynel Idaele Idaemilos Idath Ienethis Ienthis Imalm Inelil Ithalam Ithyn Ivalamthads Kanzenni Kemen Kenil Kikan Knumanmon Kovyn Kydenilen Ladelienus Lanis Lanvyn Liudyn Lladohnas Lladovis Llain Llaso Llassenvyn Llayn Lledam Lleson Lleth Llevunevayn Llien Llimalmus Llithale Lliudvyn Llondyn Lynis Madonen Malao Malathus Malil Malmis Malmon Malmus Malos Malvil Malynis Manalius Manalminus Manthalos Manthyan Manus Manvynos Masimmans Mavas Medhelas Mednilvus Mednis Melovam Menis Menos Menth Menvas Methin Methyn Midayn Midyn Mithus Mjahlos Monsolan Mudvasse Mudyns Mulvelanen Muvano Nachals Nachan Nadvam Naladivilam Naliath Nalmil Nalmoval Nalyn Namil Nelynus Nemyon Nevis Nevun Nidyl Nikanad Nikilennik Nikimal Nilunelos Nishal Nisimoni Nisodil Nissen Nivadas Nivandynil Nivanyn Nivasi Nivon Nudvys Odulius Olmel Olvels Omacklen Omalms Onvys Otanelos Othes Othis Othyn Ozulis Quelyn Saddusel Saldsuvis Salenus Saleyn Salith Salms Salvain Savam Savel Savesi Savis Savisi Savon Savyn Sedayn Sedus Seledalas Selil Selms Selven Selyn Selyth Sendosimas Sethalms Sethelmyn Sethilasi Sethynilym Sevinus Sevis Sevyn Shadolyne Shalam Shalnus Shalynilven Shana Shanvyn Shisil Shuls Shulvin Shulvon Shusethen Sikse Skals Skanalas Slissadis Slynil Sovas Stlethyn Sulenas Sunegalvis Sunethyn Suvanden Suvil Suvis Symmanus Tadel Tadil Talaan Talds Talen Talius Talnil Talnis Talvayin Talvon Talyn Tamth Tandulen Tanes Tangadavel Tavil Tavondalyn Tavos Tedaelo Tedun Telvos Tenelms Tenvyn Tethashus Tethin Tevos Theledanys Thelme Theloth Thenvyni Thiam Thisen Tidayn Tisiv Tolas Tollis Tovos Tulas Tulen Tunethan Uldayn Uldyn Ulfavas Ulinil Ulvas Ulvelvas Ulvos Unbimalm Vadelyn Vadon Vaevys Valan Valas Valdil Valis Valnos Valoth Valvos Vamedalmon Vamin Vaneno Vanvalso Vanyl Vanyn Vasen Vassen Vedal Veledyn Velomis Velovayn Velselnus Venas Vennus Venth Vesikon Vevalms Vevulvel Vobelvos Vonil Vulavaladam Vulfalyn Vulsed Wilyn Wynin Zanen Zanylon Zimalas
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yespat49 · 2 months ago
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Supprimer les allocations aux étrangers ?
A la faveur des difficultés financières de la France, savamment orchestrées par l’équipe Macron qui mélange incompétences et soumission à des diktats extérieurs, ceux de Davos puisque tout en monde en parle et que ses promoteurs ne se cachent même plus, Zemmour, Bardella et quelques autres reviennent sur la nécessité de réguler l’immigration à destination de la France, notre pays se posant en…
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impossiblyholyparadise · 3 months ago
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Un autre souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
"sur la route de l’Espagne..".
Une autre soirée avec Ana, peu de temps après avoir quitté Toulouse et notre adorable amie Elena (je vous raconterai prochainement nôtre dernière soirée commune avant notre départ, mais aussi la suite de cette soirée préhispanique) fut aussi propice a réellement me conforter dans mon attirance, que dis-je ma conversion et ma future dévotion au Candaulisme...
Nous avions promis à Elena de passer au retour sur Toulouse.
Elle était déjà impatiente de nous retrouver et surtout, au vu de nos inclinaisons actuelles, elle comme nous, qu’on puisse se raconter et partager nos aventures de vacances. Ce serait assurément un moment grandiose.
Nous nous mîmes en route tôt pour Perpignan et plus exactement Paulilles, une petite anse de bord de mer magnifique sur le littoral, entre le cap Béar et le cap Oullestrell.
Un site classé en réserve naturelle avec un paysage à couper le souffle et l’immensité d’un parc très agréable d’une ancienne usine désaffectée (Usine Nobel, fabricant de dynamite).
Des plages magnifiques. Bref un petit coin de paradis à côté des immenses et parfois trop impersonnelles stations de la côte Catalane.
L’un de mes amis proches, Robert, y avait été affecté pour l’été à la surveillance des plages.
Je lui avais promis de passer lui dire bonjour et Ana qui avait fait sa connaissance quelque mois plus tôt l’avait beaucoup apprécié.
Aussi avions-nous convenu d’un rendez-vous le soir même en bord de plage où il y avait depuis peu un restaurant et une petite boite de nuit.
Nous avons déjeuné et passé une partie de l’après-midi dans la superbe ville de Perpignan et j’étais réellement fier de m’y promener avec Ana qui pour l’occasion s’était vêtue d’une très belle et courte robe d’été...
Elle était réellement superbe...
Tous les hommes la remarquaient et j’avoue que cela me rendait heureux tout comme elle, qui semblait si heureuse et épanouie. Encore plus me semblait-il depuis l’épisode de sa dernière rentrée universitaire et le fait qu’elle se sache avec moi maintenant complétement libre, libérée et en peine confiance...
C'était ça et aussi surtout ça le Candaulisme pour moi.
Nos dernières soirées Toulousaines et son séjour chez Elena, avaient amplement confirmé nos choix de style de vie : Hot-Wife pour elle et Candaulisme certifié pour moi.
Comme déjà évoqué, nous ne portions jamais de sous-vêtements et si pour moi ce n’était pas si flagrant de le remarquer, pour Ana qui s’amusait si subtilement et savamment à en jouer c’était beaucoup plus évident et nous donna l’occasion de « teaser » un jeune serveur du restaurant où nous avions déjeuné.
Ana bien que ne portant absolument rien avait gardé par habitude et précaution un string blanc et minuscule dans son sac à main.
Aussi lui vint l’idée de faire semblant et d’être surprise à le retirer lorsque le serveur vint prendre la commande...
Elle le fit si bien qu'il en rougit et cela amusa Ana.
J’étais spectateur et si heureux en l’instant de l’être.
Là aussi le Candaulisme me l'avait appris...
À chacun de ses passages à notre table, elle s’amusait à prendre en main ostensiblement ce tissu affriolant mais aussi à en parler suffisamment fort pour qu’il entende (je pense même que les tables voisines entendaient...) quelques phrases du genre :
« Tu vois Chéri, je l’ai fait...Je l’ai enlevé comme tu le souhaitais... Tu sais que je ne peux rien te refuser mon coquin...Tu me veux salope...je suis ta salope... ! »
Mais aussi :
« Il était si mouillé – elle avait versé dessus de l’eau de la carafe avant l’arrivée du serveur à notre table- j’ai tellement toujours envie de toi, tu sais mon Amour... »
Elle termina par lui laisser comme pourboire, bien en évidence sous un billet de cinq Euros...
« Tu crois qu’il va bander, me dit-elle en m’embrassant et tout en le fixant du regard et lui adressant un sourire de vraie chienne... ? Peut-être même aller se branler de suite dans les toilettes... ? Non... ? »
Bref, ça plus quelques autres provocations dans la rue en remontant négligemment sa robe sur ses fesses altières et autres audaces vestimentaires déboutonnant de plus en plus sa robe que ce soit en bas ou en haut, rendaient l'après-midi très savoureux et délicieusement chaud et coquin...
Ses seins magnifiques débordaient d’amour et offraient le vertige aux passants tandis que son déhanché naturel accentuait irrémédiablement l’ouverture du bas de sa robe et la vue quasi immanquable de la naissance du galbe de ses fesses mais également parfois de sa vulve...
Sans trop s’en rendre compte (?), c’est aussi et surtout moi qu’elle avait « teasé » tout au long de l'après-midi... !
Aussi, le reste du parcours après avoir repris la route, je ne pu m’empêcher de la doigter...
Son sexe largement ouvert était d’une chaleur, d’une douceur et d’une moiteur absolument folles...
Elle jouit... Je bandais...
J’avoue que j’aurais aimé et même sûrement mérité qu’on aille plus loin et qu’on fasse l’amour...Mais je n’étais pas si impatient...Je savais que nous en aurions la possibilité très rapidement et j’aimais beaucoup aussi, tout comme elle, à jouer à nous « chauffer » et à rester dans une « zone d’attente », tout à la fois coquine et frustrante mais si délicieuse pour qui sait guetter et attendre l’instant paroxysmique qui en découlait immanquablement à chaque fois...
Nous adorions en jouer l’un et l’autre...C’était trop bon...
 Robert, Bob pour nous, ravi de nous revoir, venait de terminer son service et nous invita au café restaurant de la plage pour nous désaltérer. Il était beau, bronzé, charmant et très attentionné.
Il nous fit part de son idée et de ses projets pour la soirée, nous indiquant qu’il serait vain de vouloir se reposer avant deux heures du matin vu la proximité et les horaires de la boite de nuit jouxtant la cahute où nous devions passer la nuit. Il nous informa également, si cela ne nous embêtait pas, que deux de ses récentes amies se joindraient à nous.
Nous lui avons indiqué, pardon, Ana lui a indiqué que nous étions à sa disposition et que plus il y avait de fous, plus il y avait de plaisirs...
Ana était ainsi et ce dont on aurait fait comme reproche de sans gène à d’autres personnes et dont on aurait pu se moquer, Ana faisait passer cela avec un si beau sourire et avec une telle candeur, qu’on la pardonnait volontiers tous ses lapsus...
Elle avait une mémoire assez approximative et souvent « arrangée » des maximes et interprétait souvent à sa façon les citations...
Parfois même elles se transformaient en suggestions quasi explicites de ses sentiments et cela pouvait être torride...
Je pense que Bob en avait plutôt été amusé et le connaissant, ravi...
Je poussais parfois des petits « oh... ! » devant ses répliques spontanées et dynamiques, mais j’en était absolument toujours amusé et bien souvent même, au final, très heureux.
On ne s’ennuyait jamais avec Ana !
Dans l’attente de l’arrivée de ses amies, Clara et Laura, nous avait-il annoncé, Bob nous emmena faire une balade en zodiac avant de diner.
 Nous en avons apprécié la fraicheur après cette longue journée de route due aux bouchons des vacanciers et touristes – nous étions un samedi - jour des arrivées et départs des locations-
Cependant être bloqué et retardé sur une des plus belles routes en corniche de bord de mer desservant de très nombreux et pittoresques villages, n’avait pas non plus constitué un enfer insurmontable, ce d’autant que je j’avais pu ainsi doigter Ana tendrement et très longtemps.
Nous pûmes, et Ana apprécia réellement, prendre un bain un peu plus au large où la fraicheur de l’eau nous requinquât facilement de cette journée passée dans la ville et la voiture.
Personne n’avait prévu de maillot mais aucun d’entre nous ne fut en peine de se mettre nu pour se baigner.
Je remarquais qu’entre Ana et Bob les regards corporels étaient réciproques et je m’en amusais délicieusement.
Bob était généreusement doté par la nature et son physique entretenu sur un bronzage parfait le rendait réellement sexy...
Je les connaissais tous les deux intimement, j’avais fait beaucoup de sport avec Bob, et si nous devions aller plus avant dans nos échanges, je savais que cela serait plaisant pour tout le monde...
Peut-être même l’espérais-je secrètement...
C’était aussi cela mon Candaulisme...
Oser faire profiter ses amis de ses "trésors" et les partager... !
En serais-je capable ?
Bob était un ami... ! Un très bon ami !
Nous n’en avions pas parlé avec Ana mais depuis cette histoire de la rentrée universitaire passée et tout ce que nous avions vécu à Toulouse, ce n’était pour moi qu’un détail que mes pensées même les plus osées soient parfois devancées par les audaces et l'imprévisibilité d'Ana, tant notre relation avait évolué favorablement vers nos désirs les plus profonds et secrets entre elle et moi.
Il s’était instauré une si belle et tendre complicité, parfois même sans concertation et tout en provocation ou test (l’expérience du serveur de ce midi m’en était la preuve...)
Nous n’en avions nullement discuté. Nous étions sur la même longueur d’ondes et même si ses audaces, que j’appréciais au plus haut point chez Ana et que j’apprécie chez les femmes en général, me surprenaient souvent, je ne tardais jamais à la rejoindre tant cela correspondait à ma nature profonde...Mon éducation m’avait parfois retenu ...Elle, elle savait me toucher au plus profond de mon être, me faire réfléchir et sortir, pour mon bonheur, le sien et celui de notre couple, de ma zone de confort...
Je ne l’ai jamais regretté...
Les amies du moment de Bob, charmantes, étaient arrivée à la cahute à notre retour de Zodiac.
Maître-nageur facilite manifestement les contacts et intérêts, et nous préparâmes pour aller au restaurant avant que la boite de nuit n'ouvre vers 23 heures.
 Elle fermait vers 2 heures du matin, arrêté municipal oblige, Bob nous l’avait indiqué mais les échanges entre les fêtards se produisaient en amont et surtout après sur cette même plage...
Il y avait déjà beaucoup de monde qui attendait...Il devait être un peu plus de vingt et une heures.
Ana était vraiment charmée par Bob, je le voyais. Je m’en réjouissais même.
Bob était vraiment un ami.
Ce que nous avions vécu à Toulouse que ce soit dans le restaurant Tex-Mex et surtout après (je vous le raconterai plus tard) avec Elena et quelques-uns de ses amis m’avait conforté dans mes désirs et envies Candaulistes tandis que je remarquais qu’Ana s’y retrouvait tout autant sinon plus encore que moi ...
Elle aimait être belle et elle l’était, être au centre des attentions, parfois même provoquer...
Elle était belle radieuse, lumineuse, détendue, heureuse...
Je la voyais en permanence rire, sourire et cela me convenait parfaitement. Cela m’enchantait et me faisais en retour le plus grand bien...
Je me sentais tellement heureux, en confiance, encore plus homme... !
C’est assez paradoxal de dire cela tandis qu’on autorise d’autres mâle à courtiser sa femelle et même parfois à la saillir, mais cela me rendait dix fois plus sûr de mon attrait, ce qu’Ana me confirmait jour après jour en me revenant quoiqu’il arrive encore plus et toujours amoureuse.
Je ne doutais plus de moi...Je ne doutais plus d’elle...On partageait tout en confiance et en bonheur...Et même les partages en devenaient plus intenses et s’inscrivaient dans le temps de par les souvenirs tendres qu’ils nous laissaient immanquablement...C’était comme si, au lieu de les vivre une fois, de « consommer » un ou des plaisirs, ils s’additionnaient sans cesse et se potentialisaient.
J’avoue alors que j’étais maintenant sans cesse curieux, voire excité, tant je connaissais les regards de mon amie, ses attitudes, ses envies qui rejoignaient, voire anticipaient, bien souvent les miennes... Je les vivais avant, pendant, après...
Le candaulisme avait pour moi cette vertu de catalyser, d’exacerber nos relations et les rendaient irrésistibles, divines, mille fois plus intense...
C’était comme savoir perdre ou lâcher pour gagner plus encore...Plus encore même que l’on peut imaginer...Oui c’était réellement un bénéficie tel que même nos imaginaires ou plutôt nos habitudes s’en trouvaient chamboulées, rendues caduques devant tant de jouissances et réjouissances proposées et surtout vécues...
Oui, c’était tout cela qui se manifestait à moi et devant moi maintenant, devant Ana, devant nous.
Un espace incommensurable de libertés, de bonheurs, de récompenses...
Mon ami Bob, mâle assuré et extraverti n’avait aucune peine à voir que nous étions heureux.
Il était également heureux que nous nous soyons arrêtés...
Il nous avait indiqué qu’il ne fallait pas s’attendre à un grand confort dans ce qui lui servait de logement, en fait le local SNSM du site, et s’en était par avance excusé nous disant que nous n’aurions que des matelas gonflables dans un espace exigu pour trois pour toute couche et que la douche ne serait que celle de la plage une fois les vacanciers partis où avant qu’ils ne reviennent.
Je connaissais auparavant les lieux car j’y avais moi-même été Maître-Nageur quelques étés auparavant et Ana avait trouvé que cela serait sûrement une expérience intéressante et sympathique, en tout cas certainement un agréable souvenir...
La soirée fut assez arrosée et les esprits ne tardèrent pas à s’échauffer...
Bob nous proposa à l’issue du restaurant et dans l’attente que la boite n’ouvre de goûter un petit Banyuls qu’une charmante plagiste qu’il avait parfaitement comblée et sautée lui avait récemment offert...
Bob était un « chaud-lapin » et un insatiable baiseur.
C’est d’ailleurs ce qui nous avait fait nous rencontrer et même détester dans un premier temps au sein de notre club de musculation puisque nous avions jeté notre dévolu sur la même et accorte jeune femme....
Nous avions à terme sympathisé et fini par proposer à la belle de l’époque un plan à trois qu’elle n’avait pas accepté, nous traitant publiquement et en peine séance de cardio dans une salle pleine, de dépravés, pervers et autres amabilités...
Elle ignorait que c’est ce qui nous fit devenir encore plus amis et même, si elle avait su la belle, nous offrit de multiples occasions de trios et autres parties fines avec quelques femmes ayant assisté à l’esclandre mais qui elles, loin de nous juger, profitèrent pleinement de nos désirs, saisissant l’opportunité de savoir que deux libertins gaillards pouvaient proposer ce genre de chose...
Ce qui me rassurait aussi de lui.
Je savais qu’il était tout autant partageur que moi et que seul le sexe l’intéressait...
Il aurait pu faire un parfait Candauliste s’il n’avait pas accordé trop d’importance au challenge, à la compétition et donc aussi souvent au jugement et à la jalousie...
Un trop plein d’égo jouait aussi en sa défaveur ainsi qu’une culture « machiste » exacerbée par une éducation stricte à l’Italienne donnée par son beau-père pour admettre un instant que d’autres que lui puissent toucher celle qui serait sa « Madonne »).
Dans l’attente de l’ouverture de la piste de danse, il nous invita à nous installer sur une petite digue bétonnée surplombant l’anse un peu à l’écart et permettant d’admirer le coucher de soleil...
Chacun d’entre nous s’installa ainsi sans ordre pré-établi mais pour autant, c’est en quinconce que nous nous retrouvâmes : une femme, un homme (moi), une femme (Ana en l’occurrence), un homme (Bob) et enfin sa seconde amie ...
Nous nous étions serrés du fait de l’angle de vue du soleil couchant à cet endroit et nous étions très proches les uns des autres...
Bob déboucha la bouteille de vieux Banyuls à la couleur mordorée.
Nous admirions la beauté du site et la descente lente et majestueuse du soleil dans la mer... On aimait ainsi toutes et tous la beauté et le charme du lieu. La soirée était vraiment très agréable.
La gourmandise du vin gorgé de sucs et de soleil, d’un bonheur et une douceur incroyable, ne tarda pas à nous enjouer plus encore...
Ana m’embrassait de temps à autre et se lovait tendrement contre mon épaule...
Bob n’était pas en reste avec sa voisine de droite...
À un moment celle-ci osa même caresser et taquiner Bob, d’abord sur ses cuisses fuselées et musclées, puis par-dessus son short au point de le rendre assez visiblement bandant...
Ana s’en aperçu aussi et me demanda à l’oreille si, et c’était son péché mignon que de caresser un sexe offert et tendu près d’elle ou vers elle, elle pouvait se joindre à la belle pour profiter pleinement de l’instant :
« On est là aussi pour ça, non, c’est les vacances ? me dit-elle en me glissant un clin d’œil... ça t’ennuie si c’est avec Bob ? Profite aussi mon chéri...L’autre amie de Bob, Clara je crois, serait déçue de ne pas participer...Tu as vu comment elle te dévorait des yeux pendant le dîner ? Elle est belle non, me dit-elle en riant ? Je sais qu’elle te plait tout comme tu sais que Bob me plait... ! »
Que lui répondre, je n’en eu pas le temps d’ailleurs, si ce n’est qu’en lui adressant un vrai regard complice et un baiser tendre et passionné, lui signifiant entre autres :
« Va ma belle, sois belle...Sois heureuse, fais-toi plaisir...Prends et donne du plaisir...Je suis si amoureux et fier de toi...Que puis-te refuser... ? »
« T’inquiètes...dit-elle partant d’un éclat de rire que tout le monde put entendre, je m’occupe de lui et reviens vers toi aussi, tu connais ma gourmandise... ! »
Aussi, Ana saisi de sa main gauche mon membre qui n’avait pas lui non plus tardé à gonfler au travers de mon léger pantalon de soirée, le sortit de son écrin (on ne portait ni elle ni moi aucun sous-vêtement en été...) et commença à me masturber adroitement et plaisamment.
Dans le même mouvement et alors que l’amie de droite de Bob avait elle aussi dégagé le splendide sexe de Bob de son short trop moulant pour le caresser plus aisément, Ana se pencha et engloutit avidement l’engin de mon ami, grillant un peu la priorité à Laura en impatiente gourmande...
Laura, l’amie audacieuse de Bob ne s’en offusqua pas et caressa même tendrement les cheveux ondulés d’Ana tout en encourageant son initiative en aidant le mouvement de tête de ma belle prenant à pleine bouche l’engin majestueux de mon ami...De son autre main elle dégagea habillement les pointes déjà hautes et acérées des seins sublimes d’Ana pour les caresser en les effleurant...Ana émettait déjà de doux et si plaisants gémissements qui ravissaient tout le monde...
La nuit nous avait fort heureusement déjà légèrement couverte de sa discrétion et peu de personnes malgré le monde présent sur la plage pouvait nous voir ou nous entendre...
Aurait-ce d’ailleurs été un drame tant il me semble que le spectacle que l’on offrait pouvait être assez sensuel et beau...
Ana étant néanmoins de nature partageuse, ne tarda pas à laisser et partager le sexe de Bob qui devenait turgescent et impatient...
Ana revint ainsi comme promis vers moi et m’engloutis à mon tour tout en attrapant la main de Clara, l’autre amie de Bob assise à ma gauche, pour la diriger vers la base de mon sexe complétement sorti et accessible. Elle lui signifia de me caresser les couilles que j’avais par nature fermes et développées...
Pendant ce temps, mes mains avaient elles aussi pris le chemin de la chatte de ma voisine que je trouvais entrouverte et déjà humide sans aucun sous-vêtement sous sa courte jupe d’été...
Ses seins dardaient également sous le mini haut qu’elle portait et mes lèvres furent irrépressiblement attirées par ses pointes majestueuses...
Nous formions alors un îlot et une chaîne d’amour.
Je crois que c’est aussi réellement cette capacité de partage absolu et d’amour du beau qui définissent le Candaulisme...J’en suis convaincu.
Le soleil s’était maintenant éclipsé en grande partie tandis que nous ne commencions qu’à nous élever vers nos plaisirs et jouissances partagées et à nous engouffrer dans une pleine et entière nuit d’amour...
C’était certain...
Bob osa un : « On n’est pas bien là... ? », et la nuit débuta...
Bob s’était levé et les deux belles, Ana et Laura s’étaient mises à genoux devant son mat « bordé » à mort pour l’emboucher et le partager savamment tour à tour...
Il les accueillait dignement et de ses mains les encourageait à venir au plus loin de son bout...
De son côté Clara, à peine Ana m’avait-elle délaissée pour goûter pleinement au fier mât de Bob, s’était directement empalée sur mon dard le recouvrant de son cul et l’insérant adroitement dans sa fente déjà brûlante et inondée...
Je l’aidais délicatement en prenant à pleines et douces mains ses fesses charnues en la levant selon ses désirs et les rythmes qu’elle souhaitait...
Ana se redressa et se mit debout, laissant Bob se laisser dévorer par sa copine et vint placer au plus près de ma bouche sa chatte impatiente : « Dévores-moi mon Amour...Bouffes-moi la chatte comme tu sais si bien le faire...Chauffes-moi...Rends-moi liquide et chaude comme cet après-midi dans la voiture...Je veux que Bob quand il aura joui une première fois dans la bouche de sa copine me prenne en levrette devant toi... Je te sucerai aussi en même temps quand Clara aura bien fini de t’exciter...
Nos copines nous caresserons alors de partout avant que chacune d’elle vienne prendre ma place, que vous les honoriez, les baisiez et qu’on vous fasse jouir comme jamais vous n’avez joui vous les hommes... »
Souvent, les audaces et envies d’Ana dirigeaient les ébats...Il en fut encore le cas ici...
Les deux amies de Bob s’exécutèrent comme captivées et envoûtées par les désirs d’Ana qui venait les encourager tout à tour de ses mots crûs et choisis qu’elle leur glissait à l’oreille et des caresses adroites et précises de ses mains...
Ce fut une apothéose de jouissances avant qu’Ana, une nouvelle fois directrice, nous invite à la suivre dans le noir bleuté de la mer si proche, pour un bain de minuit revigorant...
J’ai pu la prendre tendrement un instant dans mes bras tout en la perforant de mon sexe de nouveau bandant et partageant nos « je t’aime » tout aussi vrais qu’intenses...
Bob s’occupait de ses deux amies pas très loin de nous dans cette mer si belle et accueillante...
Nous nous rhabillâmes tranquillement au milieu d’autres personnes dont la nuit maintenant tombée pouvait à peine nous cacher les ébats et nous dirigeâmes vers la cahute de la SNSM pour tous nous refaire un visage humain à la lumière d’une frontale avant de rejoindre la boite et sa piste bondée où nous nous mirent à danser et de nouveau à picoler...
La soirée n’était visiblement pas terminée...
Il devait être une heure du matin maintenant...
Un peu avant et pendant qu’Ana se refaisait une beauté, elle était incroyable d’aisance dans ce domaine tant en peu de temps et avec peu de chose elle semblait sortir tout droit d’un magasin chic, fashion et à la mode..., je discutais avec Clara et Laura de leurs vacances dans cet endroit...
Elles y étaient pour une semaine et avaient rapidement fait connaissance de Bob qui les avait déjà invitées dans la boite de nuit et s’étaient retrouvées à le câliner à deux, une première pour elles m’avouèrent -elles, dans cette même cahute que nous devions occuper ce soir avec Ana et Bob, un ancien casot de la vigne proche où nous aurions à passer la nuit.
« Ne t’inquiète pas me dit Clara avec son franc sourire et sa confiance tout en adressant un clin d’œil à Laura, il y a de la place pour trois...Il faut juste être comme nous partageurs et visiblement vous l’êtes, me dit-elle, en me caressant l’avant-bras... C’est bien...Ana est superbe, tu as beaucoup de chance »
« Est-elle réellement bi, me demanda innocemment Laura (?) ou est-ce juste par jeu qu’elle nous a caressée ? Clara et moi le sommes. Nous vivons aussi en couple, comme vous, et nous autorisons à draguer les hommes, souvent le même, ce soir étant une exception car vous êtes deux avec une si charmante femme, nous nous ressemblons tellement dans nos goûts... 
Oui, je te demande ça car Ana est vraiment douée pour caresser les femmes...on en a parlé avec Laura et on ne sait pas si elle est bi...Quand nous dragons une femme bi, ce qui est très rare car il faut vraiment qu’elle nous plaise à toutes les deux, nous nous demandons la permission avant et il faut que toutes les deux on accepte...C’est notre code et notre conduite ...Là, vous nous avez un peu surpris et nous ne savions pas toutes les deux si nous pouvions nous lâcher avec elle... Bob ne nous avait parlé que d’amis venant le rejoindre... ! On n’en avait pas parlé avant, Bob et toi étaient là et nous ne savions pas si vous aussi vous aimiez voir et regarder des femmes entre elles...On ne connaissait pas Ana et ne savions pas si elle aimait les femmes... ? Il semble que oui...ou en tout cas ce serait dommage qu’elle ne soit pas bi... Vraiment dommage... !
Elle est si attirante, belle, radieuse et lumineuse...Laura est d’accord aussi pour la draguer et aller plus loin avec elle...Tu penses que c’est possible ?
Que répondre à ces gourmandises ?
Il y a quelques mois, j’aurais pu hésiter mais là non...
Plus du tout même après tout ce qui s’est passé à Toulouse avec Elena et d’autres encore ...
« Oui, oui et oui les filles, mais attention, elle est aussi douée avec et pour les femmes que pour les hommes...C’est à vos risques et périls...Tu as vu tout à l’heure comment elle est capable de prendre les choses en main... »
Cette expression la fit éclater de rire tandis qu’Ana apparaissait effectivement magique et envoûtante...
« On parle de moi..., dit-elle d’un sourire faussement jaloux...Attention, j’aime ou je pourrais aimer !
Tu peux y aller mon Chéri...
Venez les filles, pendant qu’ils se préparent à leur tour, on va dire du mal de nos hommes, de la soirée et pourquoi pas se faire un plan cul entre filles vu qu’on les a déjà sûrement pas mal usés...Et pourquoi pas aller mâter d’autres mecs... ? Il doit bien y en avoir des canons dans cette boite... Et les nôtres sont certainement déjà fatigués », ajouta-t-elle, fidèle à son goût de la provocation...
Laura et Clara étaient rassurées, riaient aux éclats, déjà séduites et impatientes du reste de la soirée...
Oui, c’était vrai que j’étais chanceux d’être le partenaire d’Ana et plus encore depuis cette soirée estudiantine et le début de nos vacances de cette année...
Ana avait franchi un cap vers son épanouissement sexuel dont je profitais et me ravissais avec délectation et gourmandise tant c’était également ce à quoi j’aspirais depuis toujours...
Mon Candaulisme longtemps refoulé et surtout mal cerné m’apparaissait aujourd’hui au grand jour, et vu qu’il était pleinement et entièrement partagé par Ana, que pouvais-je demander de mieux... ?
J’étais aux anges et sur mon petit nuage depuis quelques jours et l’avenir, déjà cette soirée, s’annonçait réellement radieux.
Suite prochaine...
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swedesinstockholm · 3 months ago
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17 août
j'ai fait les 45 minutes de trajet debout au milieu du compartiment à vélo, serrée contre une brochette de filles qui devaient rentrer de colonie ou un truc comme ça mais elles étaient supervisées par personne. elles devaient avoir treize-quatorze ans, le moment de l'adolescence le plus critique. y a tellement de choses qui se jouent. c'était fascinant de le voir se déployer là sous mon nez, avec leurs corps nouveaux bronzés et exposés, leurs visages lisses et conscients d'eux-mêmes, leurs tenues savamment baggy-moulantes aux bons endroits. elles avaient l'air plus à l'aise avec leur corps que moi à leur âge. ou même moi maintenant. un peu plus loin une fille à lunettes feuilletait un livre avec des cartes de pays du monde vides à remplir. j'adorais les livres avec des trucs à remplir moi, des pages à personnaliser avec des collages, des dessins, des listes, etc. j'adorais affirmer mes goûts. elle avait un vieux téléphone à touches et elle semblait très joyeuse. à côté d'elle y avait une fille debout qui me tournait le dos, elle était très grande pour son âge, elle avait encore le visage d'une petite fille aux cheveux mal coiffés attachés avec un élastique comme si elle venait de se lever. elle portait un grand tshirt informe et un grand jean gris qui tombaient sur son corps de grande asperge qui a grandi trop vite, son téléphone et son câble violet dépassaient de sa poche arrière. je l'aimais bien, je la trouvais cool. elle avait une espèce d'assurance mal assurée, un air débrouillard, je sais pas, peut être qu'elle était comme j'aurais aimé être à cet âge-là.
devant moi une fille se disputait de manière passive-agressive avec une fille assise un peu plus loin, les deux filles assises entre elles prises dans un sandwich inconfortable de piques insidieuses et de rancoeur. celle devant moi lui parlait sans même lever les yeux de son téléphone, scrollant je sais pas quelle application sans vraiment y prêter attention, mais je sentais sa détresse. la dispute a commencé au sujet d'un truc qu'elle voulait pas porter dans son sac parce qu'elle portait déjà deux litres d'eau et qu'il pesait une tonne, et la façon dont elle essayait de se défendre, je le sentais dans ma chair. le sentiment d'impuissance, d'injustice, le sentiment que quelle que soit ma réponse ça servira à rien parce que je pourrai jamais gagner, je suis la victime. elle a fini par appeler sa mère, ou ce que j'ai imaginé être sa mère parce qu'elle parlait dans une langue inconnue. à un moment j'ai compris le mot mobbing. j'ai l'impression d'avoir beaucoup entendu ce mot quand j'avais treize ans, dans le cadre de multiples campagnes de sensibilisation contre le harcèlement scolaire qui servaient à rien du tout, à part à faire joli. pendant qu'elle téléphonait, l'autre fille arrêtait pas de répéter le nom de la fille assise à côté d'elle pour qu'elle lui prenne le téléphone et l'empêche de parler à ce que je supposais être sa mère. j'en ai déduit qu'elles devaient probablement être soeurs ou un truc comme ça, ce qui à mes yeux a tout de suite rendu la situation moins grave, parce que ça restait dans le cadre familier de la famille. j'étais presque déçue quand on est arrivés à berlin. ça m'a donné envie d'écrire sur mon adolescence. ça fait un moment que j'en ai envie. je suis rentrée j'ai pris une douche et je me suis affalée sur le canapé comme si j'avais eu une journée éreintante alors qu'il était deux heures de l'après-midi.
18 août
mon deuxième mood par défaut quand je marche dans la rue, quand je me sens pas vide et sur le point de disparaitre, c'est énervée. je sais pas lequel est pire. ce soir je suis énervée. énervée d'être restée coincée sur mon canapé à scroller ig pendant une heure pendant que d. et j. écoutaient de la musique de merde dans le couloir en trafiquant je sais pas quoi alors que je voulais sortir mais j'arrivais pas à bouger ou à faire autre chose que scroller ig. énervée de pas me tenir à ce que je note dans le calendrier de mon ordi et de chaque soir me trouver une excuse pour ne pas sortir. énervée de pas faire d'efforts pour rencontrer des gens et de m'enfermer toute seule dans ma solitude en donnant des coups de pied dans les murs. énervée que mon écouteur droit ait cessé de fonctionner et que je puisse pas écouter mes nouveaux morceaux pendant ma promenade solitaire du soir. énervée qu'à chaque fois que je vois un garçon aux boucles châtain de derrière j'ai le coeur qui se serre. énervée de toujours pas avoir de synthé et de pas savoir jouer de la guitare et de toujours tout repousser. énervée de pas être adrianne lenker putain.
vendredi j'ai passé la soirée à regarder un concert de big thief au way out west et elle m'y fait un peu penser à moi, ou plutôt j'arrive à m'y identifier, avec son grand tshirt gris foncé et ses cheveux bruns décoiffés coupés un peu comme les miens. ils ont joué un nouveau morceau qui s'appelle incomprehensible dans lequel elle dit qu'elle va avoir 33 ans et elle parle du fait de prendre de l'âge, de la société qui attend d'elle qu'elle ait peur de vieillir et d'avoir des rides, elle dit let gravity be my sculptor and the wind do my hair et elle parle de ses cheveux argentés alors qu'elle a pas un seul cheveu blanc mais je l'ai pris pour moi et mes deux grosses mèches blanches. elle dit qu'elle veut être libre de danser comme elle veut devant les gens et d'être nue toute seule et puis elle fait une petite danse désarticulée et elle a vraiment l'air libre. libre et forte et ancrée et belle et incroyable. je l'envie tellement d'avoir la musique et de pouvoir s'épanouir là-dedans. de pouvoir s'épanouir dans la plus belle chose qui existe sur terre. d'avoir quelque chose à quoi se raccrocher et que cette chose soit la musique. moi aussi je veux m'épanouir dans quelque chose et exsuder ce qu'elle exsude. j'ai l'impression d'être ted danson dans bored to death qui veut toujours ce que les autres ont et qui n'est jamais satisfait de ses propres choix. d'après google s'épanouir c'est éclore, se détendre, devenir radieuse. moi aussi je veux éclore, je veux me détendre, je veux devenir radieuse. j'en ai marre de pas être épanouie. j'en ai tellement marre de pas être épanouie que je fais la gueule quand je marche dans la rue.
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datura21 · 9 months ago
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Comme un Gerhard Richter, à l'huile, un peu flou... Pour faire suite au billet du mois de septembre, l'an dernier intitulé : "La créole avec chignon noué à la va vite restent un must du savamment négligé" avec Cécile et Nicholas. https://datura21.tumblr.com/post/729162451870990336/la-cr%C3%A9ole-avec-chignon-nou%C3%A9-%C3%A0-la-va-vite-restent
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annelouisesvx · 8 months ago
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📸 Entre concerts et « photos plus intimes », la tournée Civilisation d’Orelsan a désormais son livre
Le livre retraçant la tournée de Civilisation d’Orelsan est sorti vendredi 10 novembre 2023 aux Éditions de La Martinière. Au menu : 160 photos de concerts ou de coulisses, quelques anecdotes, le tout savamment orchestré par le photographe londonien Felix AAA, qui répond à nos questions pour l’occasion.
Interview réalisée pour Ouest-France
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chicinsilk · 2 years ago
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US Vogue March 15, 1963
An unidentified model wears a dress-coat by Jean Dessès, in shades of color, material: skillfully cut. Orange lace wool, here, worn under a rough turquoise and orange crossed tweed, turtleneck. Set of Nattier fabrics (wool coat, mohair, nylon). Chapka Paulette in natural Panama. (Excerpt from the book: William Klein - In and Out of Fashion)
Un modèle non identifié porte une robe-manteau par Jean Dessès, dans des tonalités de couleur, de matière de matière : savamment taillés. Laine dentelle orange, ici, portée sous un tweed rugueux turquoise et orange croisé, col roulé. Ensemble de tissus Nattier (manteau de laine, mohair, nylon). Chapka Paulette en Panama naturel. (Extrait du livre : William Klein - In and Out of Fashion )
Photo William Klein vogue archive
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claudehenrion · 7 months ago
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Où avons-nous perdu les pédales ? ( II ): L'islam(isme).
Résumons : La société française s'effondre sous nos yeux, dans un vaste dévoiement injustifiable de forces obscurantistes qui disent trouver dans l'assassinat à coups de couteau un nouveau moyen pour régler tout conflit-dispute-désaccord-regard de travers. La volonté de mensonge de nos gouvernants ne peut escamoter le fait qu'il y a en moyenne 120 attaques au couteau par jour, en France métropolitaine (dont 2 ou 3, au maximum, seront connues). Dans notre recherche des causes réelles de ce drame quotidien, nous avons proposé hier une première piste de réflexion. En voici d'autres.
(2)- Le refus de voir arriver la ''reine'' de batailles –cette ''Uhm el-Herb'' dont rêve l'islam. Il s'agit de lagrande bataille finale entre l'islam, d'un côté... et tout le reste de l'humanité, de l'autre. Au cours d'une longue vie au cours de laquelle mes chemins se sont très souvent croisés avec ceux qu'emprunte l'islam –et, je dois le dire, le plus souvent dans l'harmonie, j'en parle souvent ici-- je n'ai jamais pu comprendre comment toute une tranche de soi-disant ''penseurs'' occidentaux avait pu être aussi aveugle avec ou sur tout ce qui touche à l'islam. C'est bien simple : tout semble se passer comme si ce seul mot éteignait toute intelligence –dans la mesure où ils en avaient une-- chez les intellectuels de gôche.
Le lien entre le sujet que nous survolons depuis 48 heures et ma colère actuelle devant le néant officiel, trouve sa source dans la double volonté, qui n'est plus à démontrer, qu'ont nos gouvernants de supprimer la France en tant que ce qu'elle a été et est encore un peu, et de prétendre faire ''vivre ensemble'' des communautés dont tous les référentiels sont non seulement à l'opposé les uns des autres, mais incompatibles. Et nos nuls-au-pouvoir, qui frôlent sans cesse dangereusement (pour nous plutôt que pour eux, qui se sont fabriqué une fausse impunité), la non-assistance à ''pays en danger'', ont fait le choix de privilégier sans vergogne tout nouvel entrant (NDLR : qu'on pourrait qualifier un tout petit peu de ''envahisseur'', tout de même, non ? Quand c'est si proche de la réalité et même revendiqué clairement, ce n'est plus une insulte de le dire !) au détriment de l'ancien occupant... qui est contraint par un système infâme mais violent de laisser peu à peu sa place.
L'aboulie (du grec a-voulia = indécision) chronique et savamment entretenue qui caractérise les ados prolongés auxquels, de manière inexplicable, nous avons demandé de nous guider (vers des futurs dont ils rêvent mais dont pas un seul n'est souhaitable, ne serait-ce que ''pour de rire''. Les rêves des enfants sont les cauchemars des adultes !) les rend strictement incapables de choisir entre une version américaine des choses, le ''open bar'' où chacun prend ce qu'il veut, à son libre choix, et l'auberge espagnole où chacun amène ce qu'il veut, selon ses goûts. Ils ont inventé une version soi-disant française, le ''ni... ni...'' où chacun serait libre de faire et dire n'importe quoi.
C'est dans ce cadre-qui-n'en-est-pas-un que nous ''importons'' des familles, des villages, voire des tribus entières, dont les cultures, les mœurs, les us et coutumes, les croyances et les motivations sont à l'exact opposé des nôtres... qu'ils rejettent et détestent en bloc. De cette ''confrontation'', dans laquelle un seul des protagonistes a la violence absolue dans son référentiel culturel, et dans laquelle l'autre est non seulement le point d'aboutissement de 20 siècles de ''civilités'' mais où il est accusé par système d'avoir tort par principe, puisqu'il est blanc, pas musulman, et seul vrai ''propriétaire des lieux'' de toute éternité... un seul va finir sous les coups de couteau. Et c'est lui qui sera l'accusé, le coupable n'ayant droit qu'à des excuses... ou à un diagnostic psychédélique...
A leur arrivée, on n'impose aux envahisseurs déclarés (car ils le sont et reconnaissent l'être, sans limite et sans pudeur, avec le culot de celui qui, se sentant protégé, veut imposer à l'autre sa manière de vivre), aucune obligation et aucun engagement. Et même, bien au contraire, quelques esprits malfaisants, qui n'ont rien compris, leur racontent, comme si c'était vrai, que le seul fait qu'ils soient totalement et rigoureusement incompatibles avec tout ce que nous sommes, croyons, pensons, voulons, désirons et aimerions... serait (je cite) : ''un enrichissement pour la France''... ce qu'ils comprennent très vite puisque c'est faux, contrairement à tout le reste, qu'ils rejettent en bloc puisque c'est vrai. Allez être étonnés, ensuite, quand toutes ces folies tournent en eau de boudin, et qu'il ne reste plus que les yeux pour pleurer et des marches blanches stériles et inutiles, pour... aucun résultat autre que la poursuite d'une invasion qui n'est pas ''militaire'', qui ne dit pas son nom (Wokisme ordonne !), mais n'en est pas moins ''de substitution'', à terme !
Les vrais responsables, politicards ou journaleux ancrés à gauche sans plus même s'en rendre compte ni savoir pourquoi, lancent leurs habituels anathèmes menteurs, leurs faux amalgames et leurs récupérations à la gomme contre, en vrac, les réseaux sociaux, la police, et la droite, qui, pour eux, ne peut être que ''extrême''... (NDLR – Lorsque Marion Maréchal ou Eric Zemmour disent être ''contre les coups de couteaux'', c'est de la récupération. En revanche, lorsque la pauvre Maman du pauvre petit Shems ed-dîn est contrainte par des islamistes de dire le contraire exact de tout ce qu'elle a hurlé, dans son désespoir, c'est de la démocratie... et des juges indignes font semblant de croire à ces tissus de bobards ! Et lorsque le Papa du pauvre petit Matisse croit refuser ''la récupération'' au (faux) prétexte que ''tous les musulmans ne sont pas etc...'', il la favorise, au seul profit des assassins de son fils, le pauvre : attendez la vraie confrontation et vous compterez les ''qui... ne sont pas'' sur les doigts d'une seule main ! Mais ce lavage de cerveaux est un autre sujet, dramatique aussi).
(3)- Autres responsables cachés de notre détresse, devenant sans espoir : le monde tel qu'il évolue semble ne vouloir se déplacer, dans tous les domaines, que dans le sens du ''pire'' pour le futur de l'humanité... Un exemple : la très progressiste Ursula von der Leyen (NDLR : ''der Leyen'' pouvant se traduire par ''dans la soie'', Napoléon en aurait sans doute tiré quelque savoureuse pique, comme celle décochée à Talleyrand : ''de... dans un bas de soie'' !), tient le courageux Victor Orban sous le coup d'une condamnation permanente, au prétexte qu'il a compris, lui, que la folie du moment, qui priorise et encourage le changement de sexe des ados, ne peut mener qu'à des tsunamis de suicides, de catastrophes et de drames irréversibles.
Les obscénités dites ''soclétales'' qui sont référencées, dans la doxa officielle, comme étant ''les valeurs de l'Europe'' (Quelle honte ! Pauvre Europe !), ne sont qu'un amas insensé de délires, tous mortels, qui ne visent, en gros, qu'à la promotion déjantée d'expérimentations vouées à l'échec, de perversions ou d'anomalies sexuelles, de pathologies mortelles pour l'avenir de ''nos enfants'' et de comportements répréhensibles au jour-le-jour et sans espoir quel qu'il soit, à terme. Ce sont, malheureusement, les dernières portes qui restent entr'ouvertes... alors que leur seule existence est largement plus dommageable que si elles étaient restées oubliées !
Il en va de même dans tous les domaines, mais il est interdit de le dire : les faux démocrates au pouvoir ont vite fait de transformer leurs contradicteurs en délinquants idéologiques et à les mettre au ban de leur lamentable univers, et je dois donc arrêter de dire la vérité, par crainte des représailles (NDLR... que j'ai fréquentées de près : ma fille Alexandra a eu le tort impardonnable d'avoir eu raison sur absolument tout ce qu'elle avait démontré scientifiquement. Il a fallu sa force de caractère pour transformer leur haine venimeuse en déroute piteuse...).
Mais malgré la violence que met ce troupeau de menteurs malfaisants pour tenter de faire croire à ses mensonges, chacun est encore libre de laisser filer sa pensée vers les drames infinis qui sont les seules portes qui nous restent encore ouvertes vers des futurs qui, tant qu'ils seront au pouvoir, n'en sont plus et ne peuvent en être... (à suivre).
H-Cl.
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