#sauveteuses
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ruemorinpointcom · 10 months ago
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Emplois d’été à Saguenay
Prolongement du recrutement du 1er au 30 juin 2024 Continue reading Untitled
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zehub · 13 days ago
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Marseille. Une fresque en l'honneur de SOS Méditerranée sur le « mur Zidane »
C'est sur le légendaire « mur Zidane » que le street-artist Mahn Kloix a apposé sa patte en représentant une sauveteuse en mer.
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yespat49 · 10 months ago
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Sauveteuses. Les femmes et le sauvetage des Juifs dans la région Rhône-Alpes, avec Cindy Biesse
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loup-dlb · 2 years ago
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recherches pour une bouée sauveteuse
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Dall·e x Photoshop
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bebemoon · 3 years ago
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me as a lifeguard: 
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halebop-s-art · 7 years ago
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Moi: Nan mais j'ai pas d'OC dans un univers déjà créé… On an unrelated note, j'ai ici des headcanons sur le passé de Belette, qui impliquent au moins 4 persos definis et particuliers et développés individuellement.
Moi :
Moi :
Moi :
Moi: AH MAIS C'EST ÇA UN OC EN FAIT !
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unetealombre · 4 years ago
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thosewhowishmedeadvf · 4 years ago
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Those Who Wish Me Dead Film Streaming HD VF Regarder Online
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Hannah, une sauveteuse en parachute, tente de survivre à un incident tragique qui a coûté la vie à trois personnes. En allant patrouiller dans une zone reculée de la forêt, Hannah rencontre de manière inattendue un garçon de 12 ans effrayé qui n'a personne d'autre vers qui se tourner pour obtenir de l'aide.
Warner Bros. a publié une bande-annonce pour le thriller à venir "Ceux qui me souhaitent la mort", qui sort le 14 mai dans les salles et sur HBO Max. Basé sur le roman de Michael Koryta, le film met en vedette Angelina Jolie dans le rôle de la pompière Hannah Faber et se déroule au milieu d'un incendie de forêt dans le désert du Montana. Dans le film, un adolescent est témoin d'un meurtre et est traqué par deux tueurs, et Faber doit le protéger car un feu de forêt menace de tous les détruire. Le film est réalisé par Taylor Sheridan, qui a réalisé "Wind River", avec Elizabeth Olsen et Jeremy Renner, et "Hell or High Water", qui a remporté une nomination aux Oscars pour le meilleur scénario original. Sheridan a également écrit le scénario de "Ceux qui me souhaitent la mort" avec Charles Leavitt et Koryta. En plus de Jolie, "Ceux qui me souhaitent la mort" met en vedette Nicholas Hoult, Tyler Perry, Jon Bernthal, Aidan Gillen, Medina Senghore, Finn Little, Jake Weber, James Jordan et Tory Kittles. La bande originale du film sera composée par Brian Tyler, qui a reçu deux nominations aux Emmy pour la série Fox "Sleepy Hollow" et le téléfilm de 2002 "Last Call". En mai 2019, il a été annoncé que New Line Cinema et Creative Wealth Media cofinanceraient le film et que Warner Bros se chargerait du marketing et de la distribution à l'échelle mondiale. Le film est produit par Film Rites et Bron Studios. Sheridan produit également avec Garrett Basch, Steven Zaillian et Aaron L. Gilbert et Kevin Turen de Bron Studios. Jason Cloth, Kathryn Dean et Michael Friedman de Creative Wealth Media sont producteurs exécutifs. Avec toutes les discussions sur la série à succès de Taylor Sheridan, Yellowstone, ses retombées et d'autres projets télévisés en préparation, le moment est venu de parler de l'ancienne star de Sons Of Anarchy et du prochain film nominé aux Oscars., Ceux qui me souhaitent mort. Avec une intrigue qui ressemble à The Client Meets The Revenant et un casting qui comprend Angelina Jolie, Tyler Perry et Nicholas Hoult, pour n'en nommer que quelques-uns, le thriller de survie qui sortira bientôt semble être là-haut. . avec les précédents films et séries télévisées Sheridan. Pero, a medida que nos acercamos a la fecha de lanzamiento de Aquellos que me desean la muerte, parece que es una de las muchas películas que se deslizan entre las grietas a principios de 2021, lo cual es una pena considerando a todos los involucrados en le projet. Donc, pour aider les gens à mieux comprendre le film, de quoi il parle et quand nous le verrons, voici sept choses que nous savons sur Who Wishes Me To Die. Taylor Sheridan n'est pas étranger aux films et aux émissions de télévision présentant des séquences d'action intenses et des scènes de poursuite au milieu de la nature américaine, et ceux qui me souhaitent la mort ne feront pas exception. À peu près au moment où les acteurs ont commencé à se réunir au printemps 2019, Deadline a décrit le film comme un thriller de poursuite hardcore se déroulant dans un incendie de forêt dans le désert du Montana (qui ressemble beaucoup à la scène du mystère du meurtre de Sheridan en 2017, Wind River et ses environs dans le Wyoming. ). Le film se concentrera sur un adolescent qui reçoit une nouvelle identité et est placé dans un programme de formation dans la nature après avoir été témoin d'un meurtre brutal (d'où les comparaisons avec The Client). Lorsque les tueurs viennent chercher le garçon pour enlever toute trace du crime, c'est à un expert en survie de le mettre en sécurité. Angelina Jolie repousse ses limites dans son prochain film, Ceux qui me souhaitent la mort. Dans les premières images fixes du film exclusif PEOPLE, Jolie, 45 ans, joue Hannah, une cavalière de fumée encore sous le choc de la perte de trois vies qu'elle n'a pas pu sauver d'un incendie. Le film, réalisé par Taylor Sheridan (Hell or High Water), nominé aux Oscars, la voit rencontrer un garçon de 12 ans désemparé (Finn Little) qui n'a nulle part où se tourner. CONNEXES: Angelina Jolie dit que "Les dernières années ont été assez difficiles": "Je me suis concentré sur la guérison de notre famille." "Il porte beaucoup de culpabilité et est assez brisé", a déclaré Jolie à PEOPLE à propos de son personnage. "Elle est un sauteur de fumée et un peu accro à l'adrénaline, mais c'est aussi quelqu'un qui a vécu une tragédie et qui s'en sent responsable." Basé sur le roman du même nom de Michael Koryta en 2014, Ceux qui me souhaitent la mort voit le lauréat d'un Oscar comme Hannah marchant dans le désert pour aider un enfant qui "a été pris dans quelque chose dont il n'aurait jamais dû faire partie. . GENS.
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fishandskygremlin · 4 years ago
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My tomato plant is growing well!
Also I’m currently taking an art break.
It’s not that I’m not drawing, more that I’ve stop trying to draw when I’m not in the mood.
I wanted to be a character designer but I’ve finally figured out that I love drawing too much to make it my job. I can’t, I just can’t wake up and hate drawing so much because I have to do it.
So! I’m going back to my first love: health care!
Seriously, tiny me wanted to be “ sauveteuse du monde” ( helper/ saver of the world)
So I’m going towards nursing. Also I’m already a part time secretary in a medical clinic. And a volunteer emergency first responder and I am part of ski patrol in winter. Not an unknown territory there!
Wish me luck!
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sarahc351 · 4 years ago
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elisabethdenis · 4 years ago
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L’essai littéraire - Coincé dans le cadre de porte 
L’essai vit entre deux. Il ignore sur quel pied danser. Je le surnomme : murmure, une rumeur, une montée qui descend, une réflexion dans un ascenseur incessant, découdre afin de mieux reconstruire. L’essai arrive à la plage d’Oka, ne se stationne pas et repart tout de suite vers une autre plage.  
Entre auteur et lettres, il y a un corps à moitié vivant effaçable 
Barthes utilise un tâtonnement libérateur en écrivant, afin de sabrer le cordon ombilical se situant entre l’auteur et le livre. Sur un plateau d’argent, il offre cette possibilité d’enfiler une cape d’invisibilité, comme la portait si aisément Harry Potter. Le but étant de tuer ce regard sclérose que le lecteur pourrait porter au sujet de l’écrivain. Minimaliser l’influence potentielle ayant le pouvoir d’emmurer le bibliomane. Le sauver de ces maudites œillères. Laisser fondre les mots dans la bouche du bouquineur en ne sachant point qui se trouve à l’autre bout de la cuillère, le nourrissant. Rapetissant l’existence de cette main qui barbouille d’une calligraphie majestueuse. Permettre au visage propre de l’anagnoste de luire au fond du cuilleron argenté.
Oh, regarde-toi! 
Ce patois aux visages de détraqueurs t’avalera doucement vers la recherche-création de tes propres savoirs et souvenirs.
Épargne-toi, déshabille-toi, de ce questionnement à propos de ces doigts de fée, qui autrefois, se baladaient sur le passé de cette feuille jaunie ou cet écran trop scintillant.  
Une fois ces formules magiques composées, le restant, la perle au fond de l’huitre, ressemble à un cumulus d’essence éphémère. Un cri entre deux, un esprit sans nom qui passe et laisse un sillage de mots bandrolés.  
Roland s’aventure dans ce corps qui n’existe pas dont il s’efforce à effacer. Il cherche à déposer son index sur une colonne vertébrale friable, au milieu du dos. À peine le frôlement sur ces vertèbres, exécuté et hop, l’épine dorsale s’échappe entre les longs-habiles, une fois de plus. De la même veine, Karianne Trudreau Beaunoyer le souligne « Dans l’entre-deux, il n’y a personne ». Une porte où on cogne éternellement. Sans repos. De la même façon que Nitch propose « la mort de l’auteur », Roland tente de gommer le corps complètement.
La mort de Nelly Arcan était-elle aussi une dé personnification? Laissant derrière, la trace des écrits, mais sans anatomie.  
L’entre deux de l’essai littéraire est l’espace comblé d’un grand vide bruyant, embrassé par l’auteur et le découlement de son crayon favori. Écrasé par ces deux piliers, ce point tourbillonne dans son véhicule, le crayon à bille noir, et se déverse sur cette étendue blanche qui ne révélait rien jusqu’au premier jet d’encre.  
La traversée (se faire percer par des vers (de la poésie matérielle - car oui on peut toucher les mots avec le terminus d’un doigt) de l’extérieur vers l’intérieur).  
Selon Louise Warren, l’essai est « une négociation entre le monde intérieur et extérieur ». Un croisement entre ce qui nous traverse (venant de l’extérieur) et ce dialogue qui éclot dans notre foyer (intérieur) face à ce qui nous transperce. Ce coin gigotant de tous azimuts se vit entre ces deux sphères occupées par la copulation de ce monde intermédiaire. 
La sculpture d’argile et l’écriture m’ont menée, comme un miroir, aux mêmes vocations appartenant partiellement à L. Warren, à me retrouver, à me reconstruire, agréablement coincée entre des murs blancs tachés de dessins et mots provocateurs dans mon propre atelier. Ces armes, directrices artistiques, m’encerclent avec une force déterminée pour finalement me peupler de différentes façons. Dépendant de mes émois, mes amours, la cacophonie du moment conciliant l’ensemble de mon crâne, ces gribouillages affectent la fertilité de ma pensée. Plus tard, ma poussée recherche-créative-inventive. Ces stimulants nécessaires permettent de donner naissance à plusieurs écrits sporadiques et à plusieurs châteaux d’argile.  
Depuis mon appentis artisanal, les oiseaux hurlent de l’aube à l’obscurcissement. Malgré la couverture d’étoiles bordant en vain ces jacasseurs, je les surprends à placoter après les coups de huit heures. Ils m’habitent. Lorsque j’ai emménagé dans ce nid qui est mien, l’urgence d’écrire à propos de ma nouvelle demeure s’est manifestée. Une force lyrique guidait ma main collée au crayon, suivi d’un frottement intense et répétitif. Du charbon éparpillé.
Les oiseaux se faufilaient par mes conduits auditifs externes pour enfin s’écraser les plumes, comme sur de grands divans que mes tympans sont. Ici. Je me dis et j’écris que j’existe telle une hirondelle. Ici. Elles installent leurs nids habituellement près des étables. Eh bien, si l’on perce un trou au mur de ma chambre, l’étable est là. Le matin, le bruit toquade des sabots me réconforte. Les beaux soubresauts qui coupent le temps. Les hirondelles symbolisent l’arrivée du printemps, après ce long voyage aux terres africaines (dans le cas des hirondelles européennes). Une rupture déboussolante, c’est pareil à un long voyage. Je change mon nom d’Élisabeth à Elisabetta, portant le costume de ma vie italienne. Et voilà, je suis une hirondelle européenne qui vient de faire un long voyage et je me repose près d’une étable. 
Voici, je viens tout juste de le faire. L’embranchement. Le premier élément est celui du savoir scientifique disséminé : observer, renforcer, mit sur papier, énoncer et enfin heureux locataire de ma cervelle. Cette information se niche dans mon intérieur, le savoir scientifique des hirondelles européennes. Ce savoir a été stimulé jadis par le déluge de mes vécus (extérieur), les chansonniers-planeurs-des-arbres-en-hauteur partout autour de mon abri. Puis, se mélange à l’interprétation, la réaction émotionnelle qui me constitue (intérieur), qui s’extirpe de mon être. 
Les moineaux de mon chez-moi s’accouplent aux oiseaux des livres scientifiques. Ensemble, ils conçoivent un enfant qui court partout et trébuche sur des pages. Fugitif, il n’arrête pas de courir sur le contour des pages. Il triomphe sous le nom de l’Essai Littéraire.
La répercussion des mots 
Dans mon atelier, un dictionnaire de poche Micro Robert(extérieur), s’imprègne, se beigne entre ces rivières de longues lignes courbées que sont, partiellement, mes empreintes digitales. Presque à chaque jour en pratiquant ma vocation, l’écriture se penche la tête vers ces pages couvertes de mots en arquant le cou, afin de manifester son dévouement à la pratique de la fabrication de la beauté. Chaque définition se disant scientifique, factuelle, me fait buter, au centuple, vers l’intérieur. 
Chaque positionnement étymologique m’arrête comme pour sonder le pouls de mes souvenirs (mémoire) qui se rattachent intimement à des fragments de ma vie.  
Par exemple, le mot «hibou» est foncièrement associé à cet homme qui m’a parcouru le corps et l’esprit depuis juin passé. De fil en aiguille, en l’instant d’un clin d’œil, à la page 628, un élan d’écriture pourrait propulser des lignes, des paragraphes et peut-être même un livre par rapport à cet homme-hibou. « La littérature comme lieu de relation avec la vie, les autres, soi et le monde » comme Kateri Lemmens me remémore. Une juxtaposition de ces éléments est traversée par un fil de fer tout mince, reliant le tout, permettant une écriture viatique-thérapeutique. 
Réflexion entre mots scientifiques de mon dictionnaire (extérieur) et les fragments de ma vie (intérieur) qui se fusionnent à l’écho de ces mots. 
Héroïne p.625 : L’écriture qui s’habille d’une cape de velours rouge. Sauveteuse et douce. Diachylon de guerre qui m’a sauvée la première fois lorsque j’étais triste à 8 ans. Je me souviens avoir crayonné mon cœur en noir comme le sang des reptiles (le sang de ces vertébrés est rouge. J’ignore d’où ces croyances viennent). Je vis dans la profondeur d’un trou noir infini. Elle a été mon escadre lorsque j’ai perdu mon chien en cinquième année. L’élan de l’évènement m’a poussée à écrire un texte pour le « Club optimiste ». C’est sur l’estrade provinciale que je me suis échouée, les larmes aux yeux. C’est la fois marquante qui me laisse croire que c’était un nouveau sentiment qui me traversait, pleurer de joie après avoir partagé la poésie d’un souvenir intime et tristounet avec ce public qui m’était inconnu, sauf les yeux pleins d’espoir fiers de papa et maman. Mon professeur de 5e m’a dit que j’allais être écrivaine. 
Mémorable p.792 : Mon père qui m’annonce au bout de mes 10 ans, au bout de la table de la cuisine un soir de lune brillante que j’ai une demi-sœur cinq ans plus veille que moi. Mon monde s’est décousu. La rencontre de ma sœur au bout de mes 15 ans, autour d’une table chez les Trois brasseurs. J’avais des gants de dentelle noire et le bout de tissu qui couvre habituellement les doigts, coupés.  
Résiste et éjacule 
L’élan quand il est là, j’ai peur de le perdre. Sachant qu’il est étroitement lié à la résistance. Comme ce poème de Kalil Gibran « La joie et la tristesse », l’élan est la couverture de nuit qui borde la résistance. 
Une fois que la résistance ouvre l’œil en plein jour, elle est toujours bordée par l’élan. Les deux vivent dans le même lit et sont soudés l’un à l’autre. Entre le manteau doux et rassurant de l’élan, et la peau rugueuse de la résistance se cache l’essai littéraire. 
L’espace blanc, concept apprivoisé par Louise Warren, est un sanctuaire entre deux murs. Un endroit où je me dois d’être éponge de tout ce qui vient d’être écrit ou lu. Une pièce où sur le mur, un graffiti s’étale « Respirations lentes ». Un endroit où prendre un halètement flemmard à partir d’un détenteur d’une bouteille de plongée qui est nécessaire avant d‘entrer dans le prochain monde, le paragraphe adjacent, la ligne avoisinante. 
Plus précisément ici, juste au-dessus de ce paragraphe et sous le deuxième paragraphe résiste et éjacule, il est question non seulement de lieu blanc, mais aussi de temps. Planté dans cet oscillent, j’ai vécu la résistance qui a poursuivi le premier paragraphe (la puissance). Dans cette étendue de 1,5 cm sur 10 cm, j’ai pataugé, touché à la maladie de la langueur. Une heure a habité cet espace où j’ai prié la réception des messages Facebook d’amis, en vain. Où j’ai ouvert le réfrigérateur sans rien prendre, entrouvert les armoires et décidé d’en faire un ménage à la place de bouffer. Une trouvaille de sac d’oignon moisi. J’ignorais que ça pouvait moisir, des oignons. Le réfrigérateur m’a rappelée et deux betteraves m’ont tombé entre le berceau que sont les mains. J’ai coupé des cubes roses en riant de ma distraction forcée. 
Une pause musicale s’est imposée. Marlon Williams m’a fondu comme du chocolat dans la bouche. Ma machine à écrire et moi, on s’est mises en équipe, afin de construire des éloges éloquents, taper sur un papier texturé beige, pour ce chanteur cowboy qui a adouci ma journée de délinquance. J’ai mis mon masque d’Halloween fait de papier mâché, sur mon visage. Le nez de mon corbeau ressemble à un pénis. Ça me fait rire et baisser les coins de mes lèvres vers le bas en sachant que je vais devoir passer plus de temps sur le remodelage.
La résistance est le point d’une phrase. La gorgé de café quand l’intérieur est séché de mots. C’est réaliser que dans élytre, y’a mon nom (Eli) et me dire que je vais toujours pouvoir voler plus haut.  
Mon essai littéraire! Il m’échappe temporellement, comme est sa nature. L’élan revient. Voilà c’est au mot « Espace », 24 lignes plus hautes, ou il est revenu me chatouiller le bout des doigts. L’élan ou la puissance dite par Aristote est ma main qui écrit sans relâche, suivant le fil de ma pensée que la caféine fait avancer à un tempo fluide. C’est oublier la soif. Elle se cache sous la nuit qui tombe à mon insu. L’anorexie inconsciente. Les papillons qui s’élèvent dans le ventre après l’accouchement d’une phrase qui est d’une beauté qu’on ne peut simplement pas oublier. 
Lorsque Warren pointe que « lire une œuvre est un déplacement ». Déplacement qui est la danse d’un lieu à l’autre. Le déplacement effleure des endroits, des sujets, des concepts, des mots, mais il ne reste jamais. Il prend une photo et il fugue. Il est comme la lune qui est toujours présente, mais qui ne se présentera jamais en face de nous, près du toucher. 
L’essai est plus tôt, sans corps avec Barthe, dont l’esprit se déplace continuellement. Plus tard, avec un corps vivant, selon Louise Warren. Louise et Roland sont deux points cardinaux, un duo de mains qui se cramponnent à l’élastique qu’est l’essai. On tire de toutes ses forces en peignant un corps pendant que l’autre l’efface suivant son sillage. 
L’essai comme la Mer 
L’essai comme le bord. Le bord ou « la tension entre « faits » et « imagination »» comme Kateri Lemmens rappelle à l’écrit. Je me borde même le soir avec mes écrits tout à l’entour de moi, m’endormant dans un bassin de mots. Bord qui se rapproche du bordel. Du grand désordre. Le bord de la Mer me vient en tête comme photo prise de l’essai littéraire. Après le « click » devant un essai littéraire, une photo de la Mer sort de mon Polaroid. Dans l’eau je retrouve, éparpillée, les lettres E-S-S-A-I-L-I-T-É-R-A-I-R-E. Devant une Mer sauvagesse essayiste, ce corps mouvant me chevrote une puissance lorsqu’elle se fracasse sur les rochers et offre une résistance lors de son retour à la source. La puissance à laquelle elle se frappe contre les rochers dépend des éléments extérieurs : le vent, les remous, la forme des rochers, le mouvement du sable, des orages et des bateaux créant des vagues artificielles (mon environnement). Moi, devant ce spectacle de ce vas et-vient-entre-deux, je place mes orteils délicatement au rebord de la mousse blanche d’une fin de vague sur le sable. Je tente de suivre cette ligne qui n’est pas linéaire, qui se construit pour mieux se déconstruire après.
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iziapouget · 4 years ago
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20/07/2020. Les nageuses-sauveteuses sur la guérite de la “Grand Plage” à La Faute sur Mer.
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gabypouget · 4 years ago
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20/07/2020. Les nageuses-sauveteuses sur la guérite de la “Grand Plage” à La Faute sur Mer.
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job-leader-blog · 6 years ago
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halebop-s-art · 7 years ago
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Le premier dessin que j'ai fait des G.I.R.L.S. que je peux retrouver ^^
Elles sont montées en haut d'un immeuble défoncé et ont décidé de passer la nuit là, posant leurs sacs dans un coin, et ont allumé un feu pour chill, le soir, et partager des histoires.
* * *
Ça dit, de haut en bas : - Ophélie, ayant perdu toute sa famille sauf June - Marie-Antoinette (dite M-A ou Emma), historienne & Castafolte - June, élevée sur la route & debrouillarde - Abril, plus ancienne du groupe - Belette, vagabonde disant “attendre d'être prête” -Gang des Idéalistes Restant Librement Sauveteuses
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bblsc · 6 years ago
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Une sauveteuse sauve deux enfants
L'incident a eu lieu le 27 juin en après-midi alors qu'il y avait beaucoup de gens qui profitaient du bonheur que peut procurer une baignade en pleine chaleur. Deux garçons de 11 ans jouaient près de la délimitation entre le bassin peu profond et celui creux. Les garçons se sont alors aventurés dans la partie profonde de la piscine et rapidement ils se sont retrouvés en danger.
«Il y a un des garçons qui s'agrippait à l'autre et qui l'entraînait vers le fond de la piscine, car il ne savait pas nager. J'ai devancé le père d'un des jeunes en sautant immédiatement à l'eau avec ma bouée banane pour porter une assistance rapide aux enfants. Ils ont agrippé la bouée et j'ai demandé à celui qui savait nager d'aller sur le bord de la piscine pendant que j'escortais celui qui ne savait pas nager dans une zone hors de danger. L'intervention s'est bien déroulée et le pire a été évité», relate celle qui en est à sa quatrième année comme sauveteuse à la Ville de Québec.
Le père qui était sur place a chaleureusement remercié la jeune femme pour son geste. Pour Anne-Julie Lessard qui est native de Beauport, l'action posée fait tout simplement partie de son travail. «J'ai juste fait ma job, il y a des interventions plus corsées que la mienne pendant un été et c'est pour cela que nous sommes en poste», soutient la sauveteuse, qui a avoué que les deux garçons se seraient probablement noyés sans intervention.  
Travail exigeant
Ne devient pas sauveteur qui veut à la Ville de Québec. Il y a une requalification obligatoire tous les deux ans en plus de plusieurs formations à suivre. Un sauveteur ne travaille jamais plus de huit heures par jour et ne fait jamais plus de quatre heures de façon consécutive.
À la piscine de Giffard, il y a toujours cinq sauveteurs qui travaillent en même temps autour du bassin et il y a des rotations de poste à tous les 15 à 20 minutes pour les aider à garder un focus élevé. Évidemment, l'utilisation du cellulaire pendant le travail est prohibé. «La partie difficile est de garder notre concentration sur ce qui se passe dans l'eau. Il y a aussi une partie du travail qui consiste à maintenir les clients satisfaits en donnant un service courtois avec le sourire. Personnellement, j'aime ce boulot pour le travail d'équipe et la joie de voir les jeunes passer du bon temps», termine celle qui a l'aspiration de devenir enseignante au primaire.
Il y a maintenant deux jeunes garçons qui souhaitent l'avoir comme professeure.   
Mme Lessard adore son travail, notamment «pour le travail d'équipe et la joie de voir les jeunes passer du bon temps»
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