#sans la toucher
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Au tribunal : - Monsieur, vous êtes accusé d'avoir, sous l'emprise de l'alcool, tiré à deux reprises sur votre belle-mère, sans la toucher, fort heureusement. Pouvez-vous nous expliquer ce geste abominable ? - C'est la faute à l'alcool, monsieur le juge. Je vous promets de ne plus jamais en boire une seule goutte! - Cette décision est fort louable, monsieur! Mais n'est-ce pas là, qu'une simple promesse d'ivrogne ? - Pas du tout. Je suis du genre à toujours tirer les bonnes leçons des situations délicates, monsieur le juge. Je peux vous jurer que, pour moi, l'alcool c'est fini! Car c'est bien à cause de lui que, ma belle-mère, je l'ai loupée!
#Au tribunal :#- Monsieur#vous êtes accusé d'avoir#sous l'emprise de l'alcool#sans la toucher#- C'est la faute à l'alcool#- Cette décision est fort louable#monsieur! Mais n'est-ce pas là#qu'une simple promesse d'ivrogne ?#monsieur le juge. Je peux vous jurer que#pour moi#ma belle-mère#je l'ai loupée!
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« Un homme éveillé peut toucher le cœur de la femme qu’il aime sans la toucher, juste en ouvrant son âme et chuchotant son nom.
Et même alors, ce ne sont pas des mots.
Le cœur peut transmettre des expressions de l’amour sans que rien ne soit dit. Il est un langage silencieux que deux personnes amoureuses comprennent, et ni le temps ni la distance n’est un obstacle.
Quand leurs âmes se rencontrent, leurs sens sont exacerbés, leurs énergies fusionnent et une profonde intimité est formée, comme si tous deux se connaissaient de toute éternité.
Voilà le pouvoir de l’âme et le travail de l’amour. »
@Daniel Nielsen
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Les ans coulent. Les jours, les semaines, les mois passent comme des nuages sur cette vie solitaire, en apparence sans la toucher.
Stefan Zweig, Marie Stuart
#Stefan Zweig#Marie Stuart#livre#book#citation#citation française#littérature#littérature autrichienne#littérature allemande#biographie
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Mon amour,
Je me surprends encore à t’appeler ainsi, alors que je sais bien que ce mot, dans ta bouche, n’a jamais résonné de la même façon. Pourtant, il est devenu mon refuge, mon espoir et mon tourment. Ton absence pèse sur moi comme une ombre qui me suit partout, silencieuse mais persistante, me rappelant chaque jour ce qui pourrait être mais qui ne sera jamais.
Je ne cesse de penser à tout ce que j’aurais aimé partager avec toi, à tout ce que j’aurais voulu t’offrir. Chaque geste que je fais semble chercher ta présence, comme si le monde était devenu trop grand sans toi à mes côtés. Il y a des soirs où l’air me manque, où même les étoiles semblent briller moins fort, comme pour compatir à ce manque que je porte en moi.
Je me demande si tu réalises à quel point tu occupes chaque coin de mes pensées, à quel point chaque mot que je prononce est, d'une certaine façon, une manière de te dire ce que je ressens, même si tu ne l’entends pas. Peut-être même n’as-tu jamais voulu l’entendre. Je comprends cela et pourtant, je n’arrive pas à me détacher de cette attente, de cet espoir que tu puisses, un jour, me regarder autrement.
Je sais que ton cœur appartient à une autre. Et je n’ai jamais voulu que mes sentiments soient un poids. Mais même si je t’écris ces mots, avec cette vulnérabilité qui me coûte tant, je sais qu’ils resteront sans réponse. Je ne te demande rien, si ce n'est de me pardonner si, parfois, mes mots portent un poids que tu n’as pas demandé à porter.
Je continuerai à t'aimer de cette manière silencieuse, discrète, comme un feu doux qui ne s’éteint jamais mais qui ne cherche pas non plus à t’embraser. Et même si le destin a fait de moi une étrangère à ton cœur, je veux que tu saches que, malgré la douleur, je ne regretterai jamais de t'avoir aimé.
Dans ce silence que je garderai, je reste là, espérant simplement que mon affection, même invisible, puisse un jour te toucher.
À toi, qui demeures mon rêve inachevé.
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Faire l’amour, ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
Faire l’amour, c’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.Faire l’amour, c’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
Faire l’amour, c’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Faire l’amour, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
Faire l’amour, c’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent.
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert », … je désire le repas au complet et surtout le dessert n’est pas indispensable à la fin de chaque repas.
Page La Voie de la Sagesse
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saga: Soumission & Domination 381
Dernier trimestre à Berkeley - Marines/2
Je me réveille cette fois ci le premier et avec une belle gaule. Pendant la nuit, nos positions se sont inversées et c'est Chad qui est entre mes bras, les siens entourent Don. J'attrape vite une kpote et du gel sur la table de nuit, enfile le bout de plastique et l'enduit d'une bonne couche de lubrifiant. Je glisse mon gland entre les fesses musclées de Chad et dès que je le sens sur sa rondelle, je donne le coup de rein qui va bien. Contrairement à moi, ça le réveille de suite. J'entends un " bastard " mais il ne se dérobe pas et cambre même les reins pour me faciliter la pénétration.
Pour me faire pardonner, je lui passe une kpote. Il comprend où je veux en venir et s'équipe avant de faire son affaire au dernier occupant du lit. Là, c'est une autre chanson. Le dépucelage a été brutal même si la résistance n'est apparue qu'après la pénétration. Détendue pendant le sommeil, sa rondelle s'était laissée prendre par surprise. Chad bloqué dans Don, j'ai tout le loisir de lui défonce la rondelle.
Même si lui a l'habitude de se faire enculer, j'y suis bien serré. Quand enfin Don se décrispe et accepte la situation, je n'ai plus qu'à laisser faire le jambon (on est en sandwich pour ceux qui ne suivraient pas). Chad fait tout le travail pas toujours pour le plaisir de Don mais ça vient et quand on termine notre " réveil ", Don jute dans les draps sans avoir beaucoup à se branler.
Évidemment on se fait traiter d'obsédés sexuels, de violeur de pauvre petit garçon !! À d'autre ! Avec sa carrure il aurait pu nous éjecter s'il l'avait vraiment voulu. C'est d'ailleurs l'argument que je lui sors, approuvé par Chad qui en rajoute une couche en lui disant que s'il dormait entre ses bras à lui, c'est que lui, Don, espérait bien ce genre de mésaventure au matin.
Ça se règle par un petit combat ou Chad gagne par 3 mises à terre à 2. Don d'expliquer que c'est bien sûr la sodomie dont il avait été victime qui lui avait sapé les forces. Je lui rappelle alors qu'il avait quand même juté sans quasiment se toucher par l'effet ravageur des 23cm de Chad qui pilonnaient sa prostate. Ça finit en franche rigolade.
Petit déjeuner et les 2 militaires m'entrainent dans un footing de 15Km. Je tiens le rythme mais en sort plus fatigué qu'eux, habitués à le faire avec une charge de 20 à 30Kg sur le dos !
Quand nous rentrons, nous trouvons Robert ravi de sa soirée et de sa nuit. Quand il nous dit avoir honoré la dame 3 fois, nous éclatons de rire et lui disons que c'est 1 fois de moins que nous. On se douche puis retour dans l'espace de sport pour un entrainement au combat. Robert nous rejoint en short, enfin jusqu'à ce que nous l'attrapions et le lui ôtions. Tous en Jock, on s'échauffe puis on passe au sérieux.
Pendant 2h1/2 je me prends branlées sur branlées. J'arrive quand même à prendre le dessus sur Robert et arrive exceptionnellement à mettre un des " Navy " au sol. Mais c'est jamais bien longtemps ! Il n'empêche que je progresse quand même.
Déjeuner tardif mais bourré de protéines. L'après-midi est plus calme. On sort boire un coup en ville. Le bar est loin d'être gayfriendly ! On se prend deux bières chacun puis on rentre. Robert reste avec nous. La soirée commence par un BBQ où Don fait griller autant de côte de boeuf que nous sommes. Quelques patates dans les braise et on se gave chacun d'un morceau de viande d'environ 300g.
Sans faire attention, je passe la soirée, où nous discutons, au creux des bras de Chad. Faut dire que c'est pas souvent que je trouve un mec capable de me tenir comme ça. Je me sens bien, en sécurité. D'habitude c'est plutôt moi qui m'occupe des autres.
La nuit qui suit ressemble à celle de la veille. Sauf que Don échappe à la sodo. Il nous remercie de lui avoir fait connaitre ça mais nous dit préférer la position active de ce type de relation. Du coup Chad et moi nous nous dévouons pour le plaisir de notre hôte. Pas de double pour moi, non plus. Mais les deux " Navy " me font quand même mon affaire successivement et aussi en alternance j'aime assez la différence de style qu'ils ont à limer un cul. Entre la saillie un peu désordonnée de Don et celle plus méthodique et aussi plus efficace de Chad, je prends encore une fois un pied monstre sous leur domination. J'arrive quand même à sauter Chad qui est franchement recto/verso.
Alors que nous récupérons, couchés sur le dos à regarder le plafond, je demande à Chad comment il vit sa sexualité dans l'armée. Il nous dit ne pas avoir été un des premiers en couple dans leur unité même s'il savait que certains de ses collègues l'était (en couple). Lui, jusqu'au passage de mes deux escorts, faisait plutôt ses " petites affaires " quand il était en permission ce qui parfois entrainait de longues périodes de branlette. Mais il s'était laisser prendre par mes deux experts ce qui l'avait un peu désinhibé et surtout lui avait fait prendre conscience qu'un mec de son unité avait tout : canon, BM, a/p et qu'en plus il en pinçait pour lui. Les touzes déclenchées par Jona et François les avaient rapprochés et surtout lui avait ouvert les yeux sur ce collègue amoureux.
Il est évident que même si le " don't ask, don't tell " est aboli, un minimum de discrétion reste d'actualité et il ne s'en était pas rendu compte !
Comme ils sont permissionnaires pour une semaine, je reste alors que Robert retourne à Berkeley. Je fais bien car Chad appelle son mec et un autre couple gay de son unité, eux aussi en perm.
Ils arrivent directement de LAX et apprécient le climat comme la piscine que nous n'avions pas encore utilisé nous non plus. Ils s'y détendent de leur vol en classe économique et du trajet en voiture. Je fais donc la connaissance du mec de Chad. Quasiment un clone, tout comme le couple de collègues. Taille identique, musculature idem, je ne parle pas de la coupe de cheveux réglementaire qui gomme tout risque de différenciation par le système pileux, d'autant que pour le reste c'est aussi rasage ou épilation. En attendant son mec est cool et quand Chad lui dit qu'il ne va pas s'ennuyer avec moi, il m'avoue directement être jaloux, mais seulement de son mec qui a pu baiser avec moi.
Ok je ne rougis pas facilement mais là, il me gêne un peu. Il ajoute que Chad lui avait donné un aperçu de mes talents et qu'il était impatient de se faire sa propre opinion.
Les deux autres, en couple depuis plus longtemps lèvent les yeux au ciel en nous disant qu'eux avaient dépassé ce stade de baiser de tous les côtés ! J'espère bien les faire changer d'avais avant leur départ de Californie.
En attendant nous sommes encore en maillot de bain. Ça dure jusqu'au déjeuner BBQ pour changer. Moi, ça me va ! Les 3 nouveaux arrivés me demandent eux aussi de nouvelles de Jona et François. Ils sont surpris mais pas étonnés de leur dernière " aventure ". C'est Chad qui leur explique que je viens de lui apprendre quelques truc du " camp d'en face ". Là ils veullent connaitre tout de suite les clés. On attend un peu que la digestion soit plus avancée et on envahit le garage transformé. Les uns après les autres je les étale grâce à mes dernières connaissances. Comme Chad et Don, ils décortiquent les mouvements qui les ont mis par terre. Ils ne me laissent tranquille que quand ils ont totalement intégré la cinématique des mouvements qui les ont mis au sol. Et là malgré les parades enseignées par Jona, c'est moi qui qui finit le dos. Avant que je me sois relevé, le copain de Chad me couvre de son corps. Il déborde un peu !! Mais sa bouche est au bon niveau et on se roule une méga pelle. Il se décolle de moi pour, la tête tourné vers Chad, lui dire que j'ai déjà un frenchkiss qui déménage.
Je m'aperçois que je lui fais un peu d'effet par sa grosse bite qui déforme son jock. Mon bassin bouge et je me fais traiter de salope !! J'entends Chad au-dessus de nous dire à son mec " vas-y essaye le, il est encore meilleur que Jona et François ".
Moi, je suis partant c'est évident !! Depuis mon dépucelage par une amie de ma mère (cf. les premiers épisodes en 2007), je n'ai jamais refusé une partie de baise. C'est bien à cause ou plutôt grâce à ça que Marc a pu m'initier au plaisir entre mecs et il l'a fait suffisamment bien pour que j'en fasse mon tous les jours.
Bon, en attendant j'ai sur moi un Navy seal tout excité et prêt à faire ma fête. Il est hyper bandant (enfin pour moi). Musclé, et même beaucoup, imberbe, ça j'adore, et très très chaud, ça me fait fondre !!
Comme il m'écrase, je ne peux pas bouger. Il me roule un patin de fou. Rien qu'avec sa langue, je m'excite à mort et bande ferme. Mon partenaire aussi. Le couple nous a laissé et est sorti avec Don. Les jocks débordent et mon gland entre en contact avec sa bite. Limite ça me fait une décharge électrique. Quand il se relève, Brad me tire vers lui et je me retrouve coincé entre mes deux Navy.sa queue entre mes cuisses est rejointe par celle de Chad. C'est sans peine qu'ils me tiennent les pieds au-dessus du sol !
Ma tête ballotte d'avant en arrière accompagnée à chaque changement d'une pelle bien profonde.
Chad décide de mener le jeu pour que son mec saisisse plus vite de quoi je suis capable. C'est lui qui m'attrape par les hanches pour me décoller de Brad et me pousser à genoux devant lui.
Automatisme, ma bouche s'ouvre et se fait envahir par le sexe de Brad. Bon format lui aussi. Dans les dimensions de son pote peut être légèrement plus fine, enfin, un bon 23x6 quand même !! Il kiffe lui aussi ma capacité à l'avaler entièrement (je crois savoir que ce n'est pas le cas entre eux deux). Du coup il en profite bien et je suis deux trois fois à la limite de l'étouffement. Bon ça me fait bander encore plus dur mais quand même !
Chad est obligé de l'écarter sinon il m'aurait défoncé la gorge jusqu'à juter. Ma position change !! Je me retrouve soulevé, la tête en bas, mes jambes écartées afin qu'il puisse me bouffer la rondelle. J'ai juste à me stabiliser en m'appuyant sur son bassin. Chad m'aide en tirant ma tête en arrière pour profiter de ma bouche à son tour. Pour pouvoir l'avaler profond j'écarte mon torse de Brad en tendant les bras.
La position ne tient que par la nature musculaire exceptionnelle de mes deux partenaires. C'est très bon. Ma rondelle se détend sous les coups de langues de Brad et ma position facilite la pénétration en profondeur de sa salive. Quand il m'estime prêt, il me redescend et sans que la queue de Chad quitte ma bouche, il m'enfile ses 23cm dans mon trou. Un " great " ponctue son mouvement qui écrase mes fesses contre lui. Un peu direct mais très bon quand même. Sa bite me remplit bien l'intestin et le passage de son gland au-delà de ma prostate et frappant cette dernière à chacun de ses passages m'envoi très loin dans l'atmosphère !
Chad continu de me prendre la bouche et surtout la gorge. Je me sens un peu comme l'agneau d'un méchoui. Mais c'est très bon quand ce sont deux beaux mecs qui t'embrochent ! Ils sont suffisamment forts pour me retourner sur le dos en me maintenant à 1 m du sol. Brad me soutient à la taille et Chad par les épaules.
Mais la position est quand même hard et ils me posent assez rapidement au sol pour continuer à " abuser " de mon corps. Je les entends au-dessus de moi commenter la baise et le confort que je leur apporte, quand ils ne sont pas à se rouler des patins. La pression monte et, si Brad est couvert, ce n'est pas le cas de Chad. Il se retient un maximum mais mes effets de gorge ont raison de lui et il sort juste au bon moment pour me couvrir le corps de son sperme, jutant même jusque sur Brad. De voir son pote à du provoquer l'étincelle et il me bourrine rapidement avant de se bloquer tout au fond de mon cul me secouant à chacune de ses éjaculations. Ce n'est que quand il sort et que son gland frotte une dernière fois ma prostate que j'éjacule à mon tour, ajoutant mon sperme à celui de Chad. Très bon ce plan pur Navy-Seal. J'en ai les jambes coupées. Ils sont obligés de me tirer par les bras pour me relever et me soutenir jusqu'aux douches.
J'ai encore les jambes en coton quand nous rejoignons les autres qui nous attendaient avec une bonne bière. Brad est plus brut de décoffrage que Chad et c'est sans gants qu'il donne son avis sur moi alors que je suis présent. Il dit au couple de collègues qu'ils ont eu tort de partir qu'à 4 il était sûr que je me serais éclaté encore plus !
Je le remercie et le prévient qu'au prochain round c'est lui qui y aurait droit. Eclats de rires des 4 copains, si Chad est recto/verso, Brad, lui, n'est qu'actif. Et bien il le sera moins en repartant de son séjour chez Don.
En attendant, on passe quelques heures à discuter une bière à la main.
Pour la nuit je choisi de rester avec Chad et Brad. Don nous laisse. Je me réveille en pleine nuit entre mes deux " armoires ". Brad est nu, sur le ventre contrairement à Chad. Un très léger ronflement m'indique qu'il est en sommeil profond. Je bande et me dis que c'est peut-être le moment de le baiser. Je trouve une kpote sur la table de nuit, l'enfile et la graisse copieusement. Doucement je pose une couche épaisse de gel au-dessus de sa rondelle. Je me place au-dessus de lui en position de " pompes ". Doucement je pose mon gland contre sa rosette. Ça ne le réveille pas, bon signe pour la suite. Par des mouvements de bassin, je teste son sphincter. Il me parait souple pour un puceau du cul. J'hésite entre lui mettre tout en 1 coup rapide ou me faufiler comme un voleur sur la pointe des pieds. Dans le premier cas, je suis sûr de le réveiller mais je serai déjà au fond de la place, dans le second, je peux peut être faire partie d'un rêve et réussir mon coup sans rejet.
Je tente ma deuxième idée, au pire je me retrouve plaqué au matelas avec un bras en travers de ma gorge.
J'y vais donc tout doucement. Mes bras écartés, mes mains de chaque côté de ses épaules, mon bassin descend. Je lui donne une rotation alternative. Je sens son anneau me laisser passer. Quand mon gland y est entier et que son sphincter se resserre derrière ma couronne, je ne bouge plus. Brad laisse échapper un gros soupir et remue un peu du bassin, comme s'il voulait se faire à ma présence. Mes bras tétanisent un peu à rester tendus sans bouger mais ce n'est pas le moment de m'écraser sur son dos.
Je continue ma plongée dans son corps. Quand il ne me reste plus qu'un cm à lui mettre, je m'écrase sur lui mes cuisses enserrant les siennes et mes bras ses épaules.
J'ai bien fait de m'accrocher. Car là il se réveille et je me retrouve écrasé contre le matelas ! Puis il réalise que c'est moi et qu'il m'a bien profond dans le cul. J'échappe donc à, au minimum, une épaule déboitée. Comme il gueule contre moi, Chad se réveille et éclate de rire. Il calme son copain en lui demandant si c'était si désagréable que ça, ce n'était qu'un peu plus gros que les deux doigts qu'il acceptait d'avoir dans le cul.
Mon bassin, vicieux, entame un pilonnage en profondeur qui doit stimuler ce qu'il faut car il se met à bander. Chad l'embouche et le bascule sur le côté. Ouf, je peux respirer de nouveau ! J'ai accompagné le mouvement et peux donc maintenant limer cette rondelle à demi vierge puisque déjà défloré à la main. J'entame de long (enfin 20cm) va et vient. Ça lui fait plus d'effet que je ne pensais car il ne lui faut pas 5mn pour lâcher la purée dans la bouche de son pote. Il me demande de sortir, ce que je fais bien que pas encore vidé. Il me fait glisser jusqu'à pouvoir me faire une pipe. Une vraie pompe à vide !! J'ai l'impression que sous son aspiration mes couilles vont passer par ma bite pour qu'il les gobe. C'est aussi efficace sur moi que ma bite en a eu dans son cul. En 5mn chrono je sens mon jus sortir de mes boules et remonter mon urètre. Brad se rejette en arrière au moment même où mon sperme explose en l'ai tel un geyser pour retomber sur mes pecs. Il ne reste plus que Chad à purger. C'est chose faite en nous y mettant à 2. En fait Brad n'est pas juste un actif bourrin qui encule seulement les mecs mais un balaise qui prenait jusqu'à présent son pied avec toute la panoplie d'actes sexuels autres que sa sodo.
Avant de se rendormir, il nous explique que la seule fois précédente où il s'était fait sodomiser, il avait aussi éjaculé en quelques minutes. C'est ce qui l'avait porté à être seulement actif pour profiter plus longtemps des plans cul.
Si c'est seulement pour ça, ça peut s'arranger. Et puis, vu comme il bandait encore après avoir juté, ça devrait pas le gêner. Il serait juste plus long à venir la deuxième fois.
Chad est d'accord avec moi et lui dit qu'ils vont s'entrainer pour que Brad progresse en endurance. Venant pour un mec comme Brad le mot " endurance " me fait sourire, il doit physiquement pas en manquer !!
Jardinier
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J'ai tant rêvé de toi qu'il n'est plus temps Sans doute que je m'éveille. Je dors debout, le corps exposé A toutes les apparences de la vie Et de l'amour et toi, la seule qui compte aujourd'hui pour moi, Je pourrais moins toucher ton front Et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venu.
Robert Desnos
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Zeta Scarn
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20th Anniversary Map, with commentary by Kerubim Crepin and Joris Jurgen
The frustrating thing about this map, is that nobody who got it has decided to scan or transcribe it, for documentation's sake. So I had to complete this list of all the commentary using tweets and unboxing videos.
But, at the very least, we now have documentation of what this thing actually says.
Joris and Kerubim's text is colour-coded for your convenience, and this post includes both the French transcription, and English translations.
La carte du Monde des Douzes. par Joris Jurgen et Papycha
The map of the World of Twelve. by Joris Jurgen and Papycha
ASTRUB:
J: Chez Papycha ♡ / Papycha's home ♡
J: Les Araknes, c'est dégueu-monstrueu! / Arachnees are icky-creepy !
J: Je pari que la tour du Xélor fou est par ici. / I bet the Mad Xelor's tower is here.
K: Perdu, mon Jojo ! / You lost the bet, my Jojo!
SUFOKIA:
J: de lourds secrets sont enfouis dans ses profondeurs... / dark secrets lay buried deep within this place...
ILE DE MINOTOROR / MINOTOROR ISLAND:
K: Croyez-le ou non, le Minotoror est terriblement chou... / Believe it or not, but the Minotoror is awfully cute...
FOIRE DU TROOL / TROOL FAIR:
K: Ma meilleure partie de pêche aux koin-koins ! / My best quaquack fishing experience ever!
J: Lorko -> 🚶♂️
(personal note: i have no fucking idea what a Lorko is.)
ILE D'OTOMAÏ / OTOMAÏ ISLAND:
J: contacter en cas de besoin 👍 / contact him should the need arise 👍
BONTA:
J: Là où j'ai taqiné la boufballe avec le giga gran Khan Karkass!! / Here I playd boufball with the supa-duper cool Khan Karkass !!
(personal note: This means that Kerubim and Joris started work on this map while still living in Astrub, but kept working even after the movie. Cute.)
(personal note: A French person who helped me decipher this part, said that Joris makes quite a lot of spelling mistakes here. I'm sure there are more that I didn't catch in other parts of the post. He's very wonderful, very cute.)
ÎLE DE MOON / MOON ISLAND:
J: autochtones sympas. ne pas rester pour le d��ner. / nice locals. don't stay for dinner.
K: Bashy, mon pote d'enfance, semait la terreur aux ces flots ! / Bashy, my childhood friend, sowed terror among these waves!
ILE DE NOWEL / KWISMAS ISLAND:
J: Les cadeau sont mortels! (vraiment!) / The gifts are deadly ! (really !)
FRIGOST:
J: Bienvenu chez le Yech'ti! / Welcome to Yech'ti's !
K: Passe-lui le bonjour de ma part ! / Say hello to him for me!
PANDALA:
J: commander de la chichala à zato / order chichala from zato
(Personal note: this suggests Joris might be just as heavy of a drinker as Kerubim. Or at least into very intense drinks, similarly to Keke. He's so real for this.)
ÎLE DES WABBITS / WABBIT ISLAND:
J: éviter le wa... / avoid the wa...
J: L'île de La Likrone... Par là d'apré la légende. / The Unikron Island... This way, acording to the legend.
K: T'es à l'ouest, mon Jojo ! / It's to the west, my Jojo!
(Personal note: Joris wrote "d'aprés" with a mistake. I'll try to translate his little mistakes, if I notice them, or can come up with a way to do that.)
K: Le réceptacle des Dofus / The Dofus Receptacle
X Traverser le pont / Cross the bridge X Parler au chaman / Talk to the shaman X Boire un coup / Have a drink
(personal note: this is a reference to the quest "The Dofus Receptacle". The bridge referenced here is the bridge to Pandala.)
K: Je suis sûr qu'Indie a pris ce bateau ... / I'm sure it's Indie, who's on that boat...
VULKANIA:
K: Contre Grozilla, je me suis dépensé sans compter ! / I gave it my all, while fighting Grozilla!
Dessinée à l'ancre de Kralamour. / Drawn using Kralove eenk.
Propriété de Joris © / Property of Joris ©
Ne pa toucher / Dont touch
(Surtou si vous vous apelé Lilotte) / (Espeshaly if you're name is Lilotte)
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C'est quoi faire l'amour finalement ??
Ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour...
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
C’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.
C’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
C’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Cela peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
C’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça ! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent...
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert »... je désire le repas au complet et surtout que le dessert, n’est pas indispensable à la fin de chaque repas !
Auteur inconnu
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La poétesse et l'oiseau doré (partie 7)
Ô femme abandonnée Aux mains de l'épaisse fumée! Ô échos, résonnez, Dites-lui combien je l'aimais!
Tu étais ma moitié. Sœur jumelle? Non, plus encore! Nous deux étions liés Par les fers d'un fatal amor.
Moi, le fils d'Hélios. Toi, la fille de Séléné. Nous planifions nos noces, Dans le secret emprisonnés.
Glissaient mes doux baisers Le long de ta peau argentée. Imbibées de rosée, Mes lèvres en fleurs s'y plantaient.
Sur tes doigts délicats, Des plumes dorées l'air laissa. Ton toucher me marqua À l'encre rouge – il s'effaça.
Hélas, nos cœurs battant Au même rythme s'arrêtèrent! Je crus perdre mon sang Quand bras ennemis t'arrachèrent.
Qu'à jamais soient maudites Ces heures qui nous divisèrent! Tu me fus interdite Dès que dénoncée à mon père.
Je dus me résigner Au choix des étoiles jalouses. De la même lignée, Nul n'a le droit de prendre épouse.
Jetée dans l'océan, Tu devins vague ayant pour guide Plus que les mouvements De flots noirs au reflet livide.
Le jour, hautes marées Capturent mes éclats divins. Autrefois égarés, Ils retrouvent tous le chemin.
La nuit, basses marées Crachent tes souvenirs lointains. De nouveau séparés, À l'avenir nous posons freins.
N’oublie pas d'où tu viens, Ange aux ailes peintes de suie! Toutefois, comprends bien Où tu te trouves aujourd'hui.
Je t'attends impatient, Mais sans te suivre dans la boue. Je te plains, oiseau blanc Obligé d'y faire la roue. »
-Poésie: extrait de "La poétesse et l'oiseau doré", à lire dans "Genèse d'une femme" par Marine Mariposa, disponible gratuitement sur https://sites.google.com/view/papillondusublime/gen%C3%A8se-dune-femme -Image: ''Tamara and the Demon'', Konstantin Makovsky
#poesie#poetry#french literature#birds#lovecore#lovesick#love#lovers#feelings#longing#i love you#secret identity#kisses#kissing#kiss#couple#forbidden love#forbidden romance#romantic#romance#angel art#angelic#fallen angel#angel#angelcore#konstantin makovsky#mikhail lermontov#demon#demonic#soulmates
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Je trouve ces sauts d'humeur bien plus présents face à Alastor. Sans compter que le fait qu'il ignore qui est le démon de la radio montrant justement qu'il est distant mais aussi négligeant en tant que seigneur envers son peuple. Ce dernier s'amuse exprès à le provoquer et se faire bien voir par Charlie en la brossant au sens du poil en la félicitant et la touchant même. Alors qu'on a montré que justement Alastor a une aversion de toucher ou d'être touché. Ces compliments sont aussi ce que Charlie cherche à travers son père qui par sa visite bien qu'il veut être présent veut aussi faire bonne image.
I find these mood swings much more present with Alastor. Not to mention the fact that he doesn't know who the radio demon is, which just goes to show how distant he is, but also how negligent he is as a lord towards his own people. The radio demon takes pleasure in provoking him and making Charlie look good, rubbing her up the right way, congratulating her and even touching her. Alastor has been shown to have an aversion to touching or being touched. His compliments are also what Charlie is looking for from his father, who wants to make a good impression with his visit, even though he wants to be present.
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Hey! I'm taking writing classes (mainly slam/poetry) and today one of the exercises was to write a text only in the infinitive. I was inspired to write it by “twittering birds never fly” and wanted to share it with you, for the first time. I put the version in French then in English a little further down.
Well, being French-speaking, the original version is in French, so in English it sounds less good (the rhymes, all that), I wanted to rework it a little but my English is too bad 🥲
🌙So... the French version:
Désirer sans pouvoir aimer,
Avancer sans jamais s'attacher,
Effleurer la tendresse, puis s'en détourner,
Frôler le bonheur, préférer s’abîmer.
Se perdre dans le vice, jouer avec le feu,
Repousser les limites, briser les cieux.
Étouffer le silence, noyer les cris,
Chercher la délivrance dans un regard en sursis.
Toucher sans jamais posséder,
S'attacher en se promettant de tout briser,
Ignorer les appels de l'âme, fuir les remords,
Rester dans l’ombre, apprivoiser la mort.
Souffrir sans jamais se libérer,
Emprisonner les sentiments, choisir de tout ravaler.
Regarder l’autre s’effondrer sans réagir,
Feindre l’indifférence pour ne jamais faiblir.
Vivre dans l'oubli, réprimer les frissons,
Serrer des poings invisibles, dévorer ses démons.
S’attacher à l'impossible, déchirer son propre cœur,
Réécrire sa douleur, la graver dans la peur.
Espérer en secret, aimer en silence,
Respirer la violence, se nourrir de souffrance.
Et dans ce chaos, entrevoir l’évasion,
Sans jamais s'avouer l'ultime rédemption.
Entrevoir un horizon, dans le murmure des âmes,
Oser frôler les rêves, effleurer sans drame.
Réaliser que les ombres peuvent se dissiper,
Construire un demain où l'amour sait s'ancrer.
🌙And the English version:
To desire without being able to love,
To move forward without ever attaching,
To brush against tenderness, then to turn away,
To glimpse happiness, to prefer to sink.
To get lost in vice, to play with fire,
To push limits, to break the skies.
To stifle silence, to drown cries,
To search for deliverance in a fleeting gaze.
To touch without ever possessing,
To get attached while promising to break everything,
To ignore the calls of the soul, to flee remorse,
To stay in the shadows, to tame death.
To suffer without ever freeing oneself,
To imprison feelings, to choose to swallow it all.
To watch the other crumble without reacting,
To feign indifference to never weaken.
To live in forgetfulness, to repress shivers,
To clench invisible fists, to devour one’s demons.
To cling to the impossible, to tear one’s own heart,
To rewrite pain, to engrave it in fear.
To hope in secret, to love in silence,
To breathe violence, to feed on suffering.
And in this chaos, to glimpse escape,
To never admit the ultimate redemption.
To glimpse a horizon, in the whisper of souls,
To dare to brush against dreams, to touch without drama.
To realize that shadows can dissipate,
To build a tomorrow where love knows how to anchor.
______________
And now ? I'm going to cry because I'm anxious about posting this...byyyyyye.
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/aa8a3e7e4c914b177256fe8944dbcdf0/d1e2814153fcb818-7d/s540x810/a8edfbb426e34eee767bfa3cd92e3f52de093f22.webp)
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Faceclaim collaboratif ; recherche partenaire.s
bonjour, bonsoir tout le monde 🥰
contexte : mais qu'est-ce que c'est ?
il y a quelques temps déjà un tumblr faceclaim a été ouvert. le but étant de faciliter les joueurs et joueuses de rpg réel à se trouver un fc, mais également de découvrir des graphistes variés grâce à l'ajout de 3 avatars différents par nom. car il est parfois difficile de juger un visage avec une seule photo qui parfois n'est pas à notre goût.
en plus de ça, ce tumblr souhaite facilité son entretien et pouvoir ajouter facilement de nouveaux post, grâce à des hashtag qui permettent de filtrer les recherches.
recherche : et si on faisait quelque chose ensemble ?
je ne suis pas certaine que le tumblr soit vraiment bien exploité... et j'aurai besoin d'avis là-dessus, mais aussi de personnes qui viendraient apporter leur contribution et gérer ce tumblr à mes côtés.
🌸si des codeurs.euses sont motivé.es pour pouvoir créer un thème adapté, qui faciliterait la recherche d'un fc tout en découvrant en un clic divers avatars : le top. 🌸si des graphistes ou non, simples passionnés du rpg réel, veulent allonger la liste encore courte et peu variée de fc : le pied total. 🌸si vous voulez seulement donner votre avis : un coup de coeur sur vous.
en fonction des personnes recrutées, nous pouvons repartir sur quelque chose de tout neuf ou continuer sur ce qui a déjà été fait.
recrutement : comment postuler ?
je ne recherche pas une grosse équipe, seulement des personnes qui se complètent, et qui veulent faciliter les recherches d'un fc, sans se mettre de pression. de préférence des personnes qui savent toucher les paramètres tumblr, et avec qui un feeling existe.
🌸envoyer un message en privé. 🌸 se présenter (parce que je suis curieuse : qui vous êtes et vos expériences dans le monde du rpg ...). 🌸donner vos avis ou encore vos idées.
Et enfin merci à vous !! 😘
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Tout a commencé avec un papillon noir et un cauchemar. Il s’est envolé devant moi, hors de ma portée, et alors j’ai réalisé que rien de tout cela n’était la réalité. Et pourtant je jurais de l’avoir vu, il était sombre, hypnotisant, mal venu. En un battement d’ailes je revoyais tes prunelles. Je t’ai couru après, dans un rêve bien trop réel. Et il s’est volatilisé, comme s’il n’avait jamais existé, fruit d’un fantasme refoulé. Il a disparu et le goût amer de l’échec m’ait apparu. Comme notre union, c’était un fantasme, un peu fantasque, une pauvre idée saugrenue.
Les sourcils froncés, le cœur lourd et l’esprit préoccupé, je suis retournée d’un pas ferme dans le jardin. Le cauchemar m’avait eu, mais ce n’était pas un signe du destin, une simple coïncidence d’un cauchemar et d’un papillon noir. Les abeilles butinaient, les oiseaux s’envolaient, les fleurs fleurissaient. Tout était normal, je n’étais pas folle, pas plus que cette nature frivole. Et le revoilà. D’un coup d’œil, je l’ai aperçu, posé sur le muret. D’un noir profond, comme un mauvais présage.
Il ne volait pas, comme pour m’apprendre une leçon, attendant toute mon attention. Puis d’un battement d’ailes, il s’est envolé, et j’en suis restée hébétée. Un sourire idiot a fendu mon visage : ses ailes étaient d’un noir sans espoir à l’extérieur, et resplendissantes de couleurs à l’intérieur.
Comme une métaphore, j’ai compris que l’amour ne pouvait être compris des autres. Qu’ils ne voyaient pas ce que je te trouvais. Mais que nos cœurs s’étaient envolés, et que pour moi, tu les avaient déployés. Ces ailes multicolores, ces humeurs, ces douleurs. J’ai vu la complexité de tes ailes, sous la pluie et sous le soleil. J’ai eu accès à ton intimité, à ton rire et à ton toucher. Et j’espère de tout mon cœur que malgré les ailes sombres que tu me montres désormais, tu caches quelques part des ailes bien plus élaborées, et que tu les montres à celles et ceux qui sauront les respecter.
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Premier baiser
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/d4bc39f53c0356511d65d769e50e0ea8/579bf8e4ae72ebbd-d7/s540x810/09915b8822cded30374a864a8dbd74458996b1c6.jpg)
Fandom : Ranma ½
Relationship : Ranma x Akane
Voici ma participation pour le Year of the OTP 2025 pour le prompt : Premier baiser.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Jamais Ranma ne lui avouerait, mais s’il faisait la tête ce n’était pas à cause de la marque d’adhésif, ou parce qu’il avait l’impression que ses lèvres étaient collées entre-elles, mais parce qu’il avait cru que lui et Akane allaient s’embrasser. Même s’il n’avait jamais imaginé que leur premier baiser se passerait ainsi. Tous les deux jouant Roméo et Juliette dans une pièce de théâtre, devant toute l’école.
Disclaimer : Ranma 1/2 appartient à Rumiko Takahashi.
@yearoftheotpevent
AO3 / FF.NET
Ranma marchait sur la clôture, tandis qu’Akane marchait sur le trottoir à côté de lui. Il ne lui avait pas adressé la parole depuis que la pièce de théâtre était terminée. Il boudait. Il savait que c’était une réaction puérile de sa part, mais il s’en moquait. Il s’humecta les lèvres et grimaça. Il pouvait encore sentir l’adhésif qu’Akane lui avait collé sur la bouche. Elle avait osé se servir sur lui de la technique qu’il avait utilisé sur Kuno.
« Ranma, ne me dis pas que tu fais encore la tête.
-À ton avis. »
Il tourna la tête vers elle et elle se mit à rire. Il fronça les sourcils, mécontent. Apparemment, la marque de l’adhésif était toujours visible sur son visage.
« Je suis désolée. »
Elle n’avait pourtant pas l’air si désolée que ça, pensa Ranma. Jamais il ne lui avouerait, mais s’il faisait la tête ce n’était pas à cause de la marque d’adhésif, ou parce qu’il avait l’impression que ses lèvres étaient collées entre-elles, mais parce qu’il avait cru que lui et Akane allaient s’embrasser. Même s’il n’avait jamais imaginé que leur premier baiser se passerait ainsi. Tous les deux jouant Roméo et Juliette dans une pièce de théâtre, devant toute l’école.
Ce n’était pas la première fois qu’ils avaient failli s’embrasser, mais à chaque fois quelqu’un ou quelque chose brisait ce moment. Mais cette fois il y avait vraiment cru et il en avait vraiment envie. Et il était persuadé qu’Akane ressentait la même chose.
« Ce n’est pas si grave, dit-elle.
-Ce n’est pas si grave ? Répéta-t-il. »
Pourquoi est-ce qu’elle ne voulait pas comprendre ? Il sauta de la clôture et atterrit devant elle.
« Et si je t’avais fait le même coup, comment tu aurais réagi ?
-Je ne me comporterais pas comme un enfant comme tu es en train de le faire. »
Elle commençait à se mettre en colère et lui aussi.
« Tu m’as pris pour un idiot, tu as agis avec moi comme si j’étais Kuno.
-Alors c’est pour ça ? Parce que tu as été vexé ?
-Tu es idiote ou tu fais semblant de ne pas comprendre ? »
Il pouvait sentir qu’elle était de plus en plus en colère, mais il s’en moquait, il voulait la provoquer. Et il savait ce qui pourrait la faire sortit de ses gonds.
« Kawaikune !
-Ranma no baka ! »
Petit à petit, sans qu’aucun d’eux ne s’en rendent compte, ils s’étaient rapprochés. Il pouvait sentir la chaleur de son corps, son souffle se mêler au sien. Il plongea son regard dans le sien. Il était troublé, plus qu’il ne l’avait jamais été.
« Pourquoi est-ce que tu ne m’as pas embrassé ? Demanda-t-il en un souffle.
-Parce que je ne voulais pas le faire devant tout le monde. »
Ranma écarquilla les yeux. Elle aussi avait voulu l’embrasser. Il s’approcha un peu plus d’elle. Ou peut-être était-ce Akane qui s’était rapprochée. Leurs lèvres se frôlèrent hésitantes jusqu’à se toucher. Ranma sentait son cœur battre à vive allure et un frisson lui parcourut le corps. Akane passa ses mains autour de sa nuque, le rapprochant un peu plus d’elle. Il mit ses bras autour de sa taille, la serrant contre lui. Ce n’était pas la première fois qu’il la tenait dans ses bras, mais ils n’avaient jamais été aussi intime.
Ils s’écartèrent légèrement. Akane rougissait et il pouvait sentir le rouge lui monter aux joues. Elle se mit à rire légèrement.
« Tes lèvres sont encore collantes, expliqua-t-elle. »
Il rit à son tour. Leur premier baiser, pensa-t-il. Ce ne s’était pas passé comme il l’avait imaginé, mais pour lui c’était le baiser parfait.
Fin
#year of the otp#year of the otp 2025#ranma ½#ranma 1/2#rankane#ranma x akane#ranma saotome#akane tendo#my writing
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saga: Soumission & Domination 325
Marc - Diversification des ressources : João
Quand Marc revient le WE suivant, Ludovic ne peut s'empêcher de lui raconter ce que j'ai fait pour son frère.
Cela me vaut une discussion en tête à tête ! Je suis obligé de lui expliquer le dossier de A à Z. A la fin de mon récit, il me demande ce que j'aurais fait si je n'avais pas eu les ressources de mes amis. Sans ambages je lui avoue que je l'aurais peut être battu à mort.
Il me prend dans ses bras et me dit que j'ai bien fait alors.
Nous passons un WE que tous les 4. Samir et Ammed nous ont demandé la maison de campagne pour se faire un WE " Domi " avec Amaury. Ils nous ont préparé tous les repas et laissé la liste à respecter sauf que Marc compte bien nous emmener diner au restaurant le samedi soir.
Mais nous sommes vendredi. On retrouve PH et Ludovic et décidons ensemble qu'un bain serait bien agréable. A poil nous grimpons sur la terrasse et allons nous tremper dans la piscine. Ludovic chahute et glisse entre nos jambes, en s'arrangeant pour nous faire bander aux passages. Marc cède le premier, il l'attrape et le balance hors de l'eau sur l'herbe synthétique. Excité, Ludovic prend des poses jusqu'à ce que nous aussi, excités, sortions de l'eau. Ce qu'il n'avait pas prévu c'est que nous serions trois contre un. Marc le prend aux épaules, moi aux jambes et nous l'étalons sur l'herbe. PH se charge des chatouillis et il se tord pour essayer de nous échapper. Il cesse quand je lui attrape les couilles et tire doucement dessus.
Marc enjambe son torse et Ludovic lui mange la bite. PH m'aide et, à deux, nous soulevons ses fesses pour pouvoir : PH le pomper et moi, lui manger la rondelle.
Occupé de partout notre nouvel ami prend grave son pied. Quand Marc recule le bassin pour le laisser respirer un peu, c'est lui-même qui l'attire à nouveau dans sa gorge. Je bande comme un malade. Je m'enfonce dans sa caverne chaude et moite de ma préparation. PH continue de le pomper. J' profite bien de sa rondelle musclée et de sa chaleur interne. Je m'enfonce à chaque fois plus loin et avec encore plus de plaisir.
Comme je vois ses couilles remonter contre sa bite, je sors vite avant qu'il ne jouisse. PH arrête aussi ses caresses buccales. Marc se retourne et nous demande pourquoi nous avons cessé d'exciter le petit.
On lui montre ses couilles qui lentement redescendent. Il se retire. Ludovic s'étire et nous dit de continuer que c'est trop bon ! On s'en doutait un peu !! On attaque à nouveau. C'est le tour de Marc d'enculer ce beau jeune homme. Moi, je joue avec sa queue. Je suçote son gland, passant ma langue sur chaque mm² de cette peau si douce quand elle est tendue par le sang en furie. Je la passe sous la couronne pour toucher le frein et jouer avec. Je la fais fine pour essayer de l'enfiler dans le petit trou d'où jaillira tout à l'heure son sperme chaud.
Je descends sur ses couilles. Elles ont juste de la bonne taille pour que je puisse les prendre ensemble dans ma bouche. Je les fais rouler sous ma langue. Elles grossissent et je retourne à sa queue. Elle me rentre toute seule dans la bouche et dans la gorge, poussée par les coups de rein de Marc. Je me colle les lèvres à son pubis et masse son gland par mes déglutitions. Il kiffe ça et la bite de PH qui lui obstrue la bouche n'est pas suffisante pour l'empêcher de crier son plaisir.
Marc le lime plus vite, je sens qu'il ne va pas tarder à lâcher la première salve. C'est Ludovic qui part le premier. Il me remplit la gorge et j'ai juste le temps de reculer pour pouvoir en garder dans la bouche. Marc le secoue d'un dernier et puissant coup de main qui me renfonce son gland dans ma gorge ! PH se vide à son tour mais dans la bouche de Ludovic. Il a juste le temps de se retourner et de me prendre en bouche qu'à mon tour je largue la purée. Une fois dés-emboités, nous nous roulons des pelles aux spermes. Marc nous regarde faire. Dans notre monde, nous nous léchons le museau jusqu'à ce qu'il ne reste plus un spermatozoïde hors de nos estomacs.
Allongés cotes à cotes sur le dos, nous regardons le ciel noir et constellé. On voudrait faire des voeux mais pas d'étoiles filantes pour nous aider. Marc rit de nos enfantillages et nous dit qu'il descend mettre le diner au chaud.
Petite douche et nous le rejoignons. Nos hommes de service avait prévus le coup, les quantités sont généreuses et malgré cela, nous finissons les plats !
Marc nous raconte ses conquêtes locales. Avec Hervé qui l'accompagne de plus en plus, depuis qu'il a bien vu que cela n'altérait pas sa relation avec Ernesto, ils trainent les bars gays et rentrent rarement tout seul.
Il nous montre quelques photos des petits mecs qu'ils mettent dans leurs lits ? Ils ne se font pas chier ! Mais faut dire que nous non plus nous ne sommes pas des anges ! Tous ces asiatiques sont mignons, ça me fait penser que j'en ai pas encore dans mon équipe. Mais faut dire que j'ai principalement du blanc hormis Jimmy qui est mon seul beur en activité.
C'est d'ailleurs la remarque que mon fait PH et Ludovic après le visionnage du portable de Marc.
C'est décidé mes prochaines recrues devront sortir du stéréotype " petit blanc ".
Le samedi soir, Marc nous " sort " au restaurant. Il a réservé dans le meilleur de la ville. Etoilé au Michelin, il n'usurpe pas sa distinction. Ses plats de crustacés et de poissons sont délicieux.
La clientèle est sélecte (vu les prix c'est pas étonnant), mais nous ne détonnons pas vu que Marc nous avait demandé de laisser les jeans au placard. Notre table attire comme souvent pas mal de regard. Je reconnais autour de nous quelques clients de ma société. Certains sont accompagnés de femmes de leur âge, probablement leurs femmes.
J'ai juste eu le temps, quand nous sommes entrés, de retenir Ludovic qui allait saluer à une table Viktor et Nicolaï qui travaillaient en duo avec un de mes clients. J'ai juste le temps de lui glisser que quand nous rencontrons nos " amis " en prestation, nous devons faire comme si nous ne les connaissions pas sauf exception.
Le client me fait quand même un clin d'oeil quand mon regard parcours la salle.
Depuis quelques mois, ces deux-là me sont souvent réclamés ensemble. Comme 1+1=3 chez moi, ça ne me pose aucun problème. L'homme est aussi blond qu'eux. Si je ne savais pas, ils pourraient passer sans problème pour un père et ses deux fils.
Quand je vais aux toilettes, je suis rejoint par Viktor. Il me dit que tout se passe bien comme d'habitude avec ce client. Par contre ce dernier voudrait étendre la prestation jusqu'à dimanche soir mais que ce n'était pas prévu. Oui, je me souviens maintenant, c'était juste " soirée + ". Je lui demande si cela les dérange tous les deux de rallonger la prestation. Il m'assure que non, j'accepte et lui dis de prévenir le client de mon accord.
Le diner se passe, le vin est bon et pour une fois que je ne conduis pas j'en profite. C'est quand nous reprenons nos manteaux que nous croisons le client. Il me fait un signe. Je traine et laisse partir devant mes amis. Il me fait remarquer qu'il ne pourra régler la différence que lundi prochain, le temps d'aller à sa banque (ce client me paye toujours en liquide pour ne pas laisser de trace). Je lui signifie qu'il n'y a aucun problème, j'ai confiance en lui. Il me remercie et pousse les deux benêts qui l'assurent qu'il va passer un dimanche merveilleux.
La semaine qui suit, je prends un peu de temps pour rechercher dans le fichier des Premières années de Facs (et mecs de 18ans) mes recrues " ethniques ", (fichier récupéré auprès de DGSE). J'effectue un premier tri avec les boursiers et les revenus parentaux faibles en sus des origines hors caucasiennes.
Il m'en sort un nombre encore trop important. Je resserre les critères, ajoute le ratio taille/poids (la taille seule n'est pas intéressante) et la pratique d'un sport. Là, j'obtiens une sélection de 100 jeunes hommes.
Après c'est la lecture fiche par fiche. Ejections faites des mecs trop moches, des physiques irréguliers (faut bien des critères quand même), des porteurs de lunettes, des sportifs en compétitions quoique certains soient quand même assez canon, il me reste 20 dossiers.
6 physiques asiatiques petits formats mais musclés, adeptes de boxe thaï et autre sports de combat,
5 blacks stéréotypés, grands, très black, suspecté d'être très bien montés,
4 " brésilien " métis, belles gueules et slips remplis,
3 beurs, peau bronzée, noir de poil, massifs de tous côtés,
2 blacks des iles, teint plutôt chocolat au lait, traits européens,
Avant de les approcher je demande à Jona et François de vérifier leurs préférences sexuelles. S'ils sortent dans le milieu ou pas et de se renseigner pour voir où je pourrais les harponner.
Retour d'enquête, j'ai la chance d'en avoir 4 dans ma sélection. 2 asiatiques, 1 des " Brésiliens " et un des DOM-TOM.
Autant commencer par ceux-là.
Le brésilien, João 20ans, est un adepte de la Capoeira qui enseigne aux jeunes de son club, j'irai donc y faire un test un jour où je serais sûr qu'il y soit. Il ne sort pas dans le milieu gay et n'a pas de petit copain connu. De temps à autres traine les lieux de drague où il se laisse branler par des vieux (enfin des 30-40ans) et pratique la réciproque. Parfois il accepte un billet quand le mec est trop vieux. En chambre de cité U, il n'a pas l'air d'avoir beaucoup d'amis et travaille le soir avec un ou deux de ses collègues de 1ère année de Science. Il se déplace en bus et n'a pas de véhicule à lui.
Ok au moins ça le choquera pas de taffer sexe pour du fric.
Je m'arrange pour aller tester ce sport de façon à ce que je sorte dans ses propres horaires.
L'accueil au club est chaleureux. Le dirigeant (la 40aine) discute une bonne demi-heure avec moi pour savoir mes motivations (ça je brode un peu) et si j'ai une pratique des sports de combat. Quand j'aligne, karaté (appris auprès de PH), Krav Maga (auprès de Jona), close combat militaire et quelques notions de boxe française (avec Côme et Ludovic), il me demande franchement ce que je fais chez lui.
Je lui souris et lui dis que j'étends mes connaissances. Il me dit que le plus dur sera de tout oublier de ces dernières pratiques pendant les cours.
On visite son club. Vestiaires classiques, placard à cadenas, sanitaires avec douces communes, là un " sympa vos installations " m'échappe, puis la salle proprement dite. Elle est suffisamment grande pour que le cours que donne mon Brésilien s'y passe et que deux autres groupes travaillent aussi.
Il me pousse vers le vestiaire et je me change tout en continuant à discuter avec lui. Quand je suis à poil, il mate ma cicatrice et me demande ce que c'est. Toujours nu, je me tourne et avance la jambe. Accident de moto l'année dernière ! Il siffle et me dit que je ne m'étais pas loupé. Il me passe un pantalon et me dit que je peux rester nu dessous si je préfère. Lui opte plus pour un jock, ça évite de les avoir ballotant entre les cuisses. J'avais prévu le coup et de toute manière tout le sport se fait en jock chez moi ! Il tourne autour de moi et me trouve très large d'épaules. Je lui dis que c'est la conséquence de 6 mois sans les jambes !
Torse nu, je le suis dans la salle. J'ai la chance qu'il m'emmène à côté de mon futur escort. Il me montre les mouvements de base et me dit que contrairement aux sports de combat que je pratique déjà, là, c'est l'évitement du corps du partenaire qui est recherché. Evidement ça change !!
J'ai beau faire attention, une ou deux fois je suis en contact avec mon prof. A la fin de l'initiation, il sourit des réflexes que j'ai eus. Il y voit un troublant mélange des techniques que je lui avais cité. Comme le cours des juniors venait de finir, nous sommes rejoint par mon brésilien. Il vient voir qui est l'hurluberlu qui attaque la capoeira d'une façon un peu asiatique et un peu autre chose. Gagné !
Le gérant me laisse entre ses mains ce qui me va encore plus. Alors que nous rejoignons les vestiaires, João me questionne sur mon parcours en sport de combat. Il est impressionné par la liste. Cela me permet de glisser que j'ai acquis ces compétences auprès de divers amis avec lesquels je continu à m'entrainer. Tout en marchant, je le mate sérieusement. Il a une peau cuivré, il y a surement de l'indien local dans sa génétique en plus du blanc et du noir. Le fait que j'ai l'impression qu'il soit imberbe naturellement appui cette idée, ses cheveux noir et lisse me le confirme. Question masse musculaire, il est tr��s bien foutu même si moins large que moi. Il est aussi plus petit dans les 1,80 maximums.
Pendant que je le scrute, il me donne les infos sur le club, je le félicite pour sa patience. Il me retourne un sourire à se damner illico. Son accent de là-bas est enchanteur.
Très naturellement on se retrouve coté à cote sous les douches. Ça me permet de voir que sa peau est colorée uniformément, qu'il n'a pas de poils sur les jambes et seulement au-dessus du sexe. Il se rase déjà les couilles ! Le sexe, lui, est généreux bien qu'au repos, dans les 12cm. Le frein cassé laisse son gros gland découvert et un bourrelet de peau à sa base.
Je sens son regard sur mon dos. Je me retourne pour qu'il puisse mater la bête.
Il capte ma cicatrice et me demande lui aussi comment ça m'est arrivé. Je lui raconte en deux mots et quand j'ajoute que ça aurait été pire si mon ami n'avait pas été derrière moi et s'il n'avait mis sa voiture en travers de la rue pour me protéger, il laisse échapper un " un ami !? ". À mon tour de lui envoyer un grand sourire et de confirmer " " oui, l'homme que j'aime ".
Il est sensible car il se met déjà à bander rien qu'à l'évocation que je sois gay.
Comme il se tourne pour le cacher, et que nous sommes seuls, je m'approche et par les épaules le fait pivoter. Les yeux dans les yeux, je lui dis de ne pas me cacher l'effet que je lui fais. Il bande carrément et c'est impressionnant !
Je prends les choses en main, non pas son service trois pièces bande d'obsédés, et lui dis qu'on prend un verre après. Il bande encore quand on se rhabille. On sort du club et il me propose un bar pas trop loin car sans véhicule, il fait en fonction des lignes de tram et de bus.
Je lui montre ma voiture et lui dis de grimper. Impressionné par la Mercédès, il grimpe dedans en me disant que c'est la première fois qu'il voit en réel une telle voiture. Je l'emmène au Blockhaus autant y aller direct. Comme il s'inquiète de son retour à sa cité U, je lui dis que je le reconduirais après.
On grimpe au 4ème. Il a des yeux comme des soucoupes. Il en reste muet bien 5mn !! De la cuisine je lui demande ce qu'il veut bière, alcool, jus de fruit... Il choisit un jus d'orange, je l'accompagne.
Je le fais s'assoir de façon à ce qu'il soit en face des projections du " déjeuner sur l'herbe ". Du coup il a du mal à se concentrer sur mes questions ! J'apprends qu'il est en France suite à une sélection d'une organisation charitable qui l'a tiré de sa favela, qu'à part les dirigeants de l'association et quelques collègues de sa Fac, il ne connait que les pratiquants du club.
L'enquête disait qu'il était seul mais c'est plutôt " ermite " qui aurait dû être inscrit !
PH choisit ce moment-là pour rentrer. Il salut notre invité et se penche sur moi pour me rouler une bonne grosse pelle qui nous laisses les lèvres brillantes avant d'aller se chercher un rafraichissement au frigo.
Il nous rejoint et après les présentations, discute avec nous. Questions sur son déracinement, sur ses conditions de vie, et de vie gay aussi. João essaye mollement de se défendre d'en être. Mais PH le coupe et lui dit que vu comme il bande alors qu'il n'y a pas l'ombre d'une meuf chez nous, sa défense est un peu désespérée.
Là-dessus c'est au tour de Ludovic d'arriver. Comme il le salut aussi avant de nous rouler un patin, c'est l'incompréhension que je vois paraitre sur son visage.
Je m'excuse et présente Ludovic comme mon " ami " aussi. Quand Ludovic entend que João pratique la capoeira, il s'exclame qu'avec le karaté, le krav maga, le close combat et la boxe française, c'est en véritable dojo que je vais transformer le second étage !
Je lui dis qu'il va un peu trop vite en besogne et que João n'est pas encore au courant. Ce dernier me demande " au courant de quoi ? ".
OK je me lance. Je lui dis que je l'avais repéré pour faire partie de ma société d'escort. Que je savais pertinemment qui il était et qu'il était comme nous, homosexuel et qu'il tirait le diable par la queue. Là sa compréhension du français a fait que j'ai dû reformuler, que tout ce que j'avais appris en le rencontrant physiquement me l'avait confirmé et que oui, je serais très heureux qu'il accepte : notre amitié et le taf que je lui proposais. J'ajoute que s'il refusait le travail, très bien rémunéré au passage, il pourrait quand même être notre ami.
Il est scié mais ne se sauve pas en courant, c'est déjà ça !
Nous le laissons réfléchir. Il boit son verre à petites gorgées pour se donner une contenance.
Quand il prend la parole, c'est pour me demander s'il a bien compris quand je lui ai parlé d'Escort. Je lui dis que par " Escort " j'entendais accompagnement d'hommes influents et relations sexuelles avec le plus souvent. Je précise le salaire mensuel moyen pour quelques prestations et là, heureusement qu'il était assis sinon il serait tombé.
Il réfléchit de nouveau et me demande s'il pourra continuer ses cours au club, il n'en donne qu'une fois par semaine. Je l'assure que ce ne sera pas incompatible. Il aura même de nouveaux élèves, adultes cette fois ci, et de lui expliquer notre " club sportif privé ". PH complète en lui disant qu'il n'est pas que sportif ce " club ", c'est aussi une " famille " dans le sens où chacun est solidaire de l'autre et l'aide en cas de besoin.
C'est la première fois que je l'entends en parler comme ça de notre petit groupe, et c'est pas faux. Ludovic confirme qu'on est tous là pour les uns pour les autres et que lui c'est ses 5 ans de boxe française qu'il met à disposition. Il ajoute qu'il est intéressé par une initiation à la capoeira et qu'il ne sera sûrement pas le seul.
En attendant Ludovic le fait se lever et sans que personne ne s'y attende, il roule un gros, très gros patin à notre invité. Il le laisse à bout de souffle et nous dit de ne pas être hypocrite, nous en mourrions tous d'envie !
Pas faux ça non plus !!
Comme il y retourne, je vois le sexe de João reprendre du volume. Le mien comme celui de PH n'avait pas débandé depuis un moment. Ça part en baise torride.
Les vêtements volent, les sous-vêtements les rejoignent et mes deux acolytes restent baba devant le corps de João. Enfin pas longtemps avant de lui sauter dessus.
Notre invité n'est pas en reste. La souplesse acquise dans son sport est mise à profit pour le bien de tous. J'ai le plaisir de tester sa bouche. J'aime ses lèvres légèrement épaisses, elles font merveilles autour de ma bite. Je n'ai pas connaissance de son expérience sexuelle (hors l'enquête) mais il avale mes 20cm sans sourciller. Son jeu de langue sur mon gland dénote une pratique de la fellation qui ne date pas d'hier non plus. Par contre mes doigts rencontrent une bonne résistance de la part de sa rondelle. Un actif seulement où un manque de pratique ? Quand il sent que j'insiste, il me dit d'y aller doucement, il ne s'était pas fait enculer depuis qu'il était en France.
Avec l'aide de mes deux amours, je le prépare bien pour son nouveau dépucelage (après 5 ans sans utilisation c'est quasiment le cas !). Lorsque je le pénètre PH lui roule une pelle et Ludovic le suce. La progression est difficile il est bien serré à l'intérieur aussi. Chacun de mes cm est pressé par sa rondelle. J'ai conscience comme jamais de l'excitation due aux frottements de nos surfaces en contact. Quand mes hanches touchent ses fesses, il revient dans le monde du sexe complet. Il repousse PH le temps de me dire que c'est trop bon et que ça lui manquait grave. Avec mes amis, nous prenons un soin extrême à faire monter son plaisir et à le maintenir au bord de l'explosion le plus de temps possible. Dès que ses couilles remontent, nous cessons nos sollicitations et le reprenons dès qu'elles redescendent. Je reste dans son cul alors que mes deux amours s'échangent leurs places. Ils sont d'accord avec moi et trouve sa bouche et sa gorge d'une douceur parfaite. Sa mâchoire assez large laisse ses dents en dehors du trajet de nos bites. Il fera merveille sur les bites TTBM de mes clients. On arrive à le maitriser 3 à 4 fois avant qu'il ne bascule et qu'il jute.
Ludovic s'écarte juste avant et João se couvre le ventre de sperme. PH qui à ce moment-là, n'avait pas quitté ses lèvres en reçoit même sur la joue. João nous surprend en lui attrapant la tête et en léchant sa joue couverte de son sperme. A mon tour j'explose dans un dernier coup de rein qui m'enfonce au plus profond de son intimité (sous kpote bien sûr).
João sort de notre petite partie enthousiasmé. Nous sommes encore avachis sur les canapés du salon qu'arrivent Samir et Ammed pour le service du soir. Légère surprise pas plus de notre invité. Quand Ludovic s'en étonne, lui qui en était tombé sur le cul, João lui répond qu'après la dernière heure qu'il vient de passer, plus rien ne peut l'étonner venant de ma part.
Pas mal vu pour un mec qui ne me connais que depuis quelques heures !
Je le retiens pour diner. Il apprécie la cuisine et nous dit qu'habitué au Restaurant Universitaire WE et jours fériés compris, ça faisait longtemps qu'il n'avait aussi bien mangé.
Je le raccompagne à sa Cité U. En chemin je lui propose au cas où il intégrerait mon équipe (analyses à faire avec résultats négatifs obligatoires), il pourrait déménager pour une colocation avec d'autres 1ères années qui bossent aussi pour moi. Mais j'ajoute qu'il n'est pas question quand même de louper ses études pour autant.
Il me dit qu'à ce propos, la femme de son directeur de club l'aide en Français. Je lui dis que ce sera à lui de voir mais qu'il trouvera aussi ce type d'aide dans notre équipe, ce sera à lui de voir. Si sa réponse est positive !
Jardinier
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