#salop femme
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kang-yina · 5 months ago
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Lenore: Would you still love me if I disappointed you?
Duke: Why are you asking me this...
Lenore: Listen, what if I did something really bad?
Duke: I don't think me or any of our friends have the morality to judge mistakes, you know that I have a chance of have done something even worse, of course I'd still love you
Lenore: Okay... I'm dating Annabel and-
Duke: THAT BITCH???? *keeps complaining in french (sortir avec une femme britannique devrait être la seule raison pour laquelle vous obtenez des démérites)* I know you had something for her but THIS betrayal????
Lenore: and we've been keeping our relationship as a secret for a while, we actually never hated each other.... wait what
Duke: SORS DE CHEZ MOI, SALOPE DE LESBIENNE MENTEUSE
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joannerowling · 1 month ago
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Je sais pas si vous avez vu les dernières nouvelles sur le procès de Mazan, mais ce truc c'est vraiment le fond de l'abîme pour la gent masculine. Entre :
Pélicot lui-même (pas besoin de revenir sur le personnage je crois qu'on a fait le tour)
L'avocat de la défense qui tente de nous expliquer la différence entre le bon et le mauvais violeur ("Le mauvais, il voit un truc qui bouge, il bande…")
Le gang des somnophiles anonymes qui jurent tous sur la tête de leur mère qu'ils ont été dupés à l'insu de leur personne tel Richard Virenque
Celui qui pense que tout ça c'est un complot et que Gisèle Pélicot est dans le coup et faisait semblant de dormir parce que "regardez là entre la pipe et la sodomie elle a cligné!"
Le Grand Prix de l'Imaginaire qui affirme qu'il se rappelle de rien après avoir passer la porte et s'inquiète d'avoir été peut-être drogué lui aussi si ça se trouve??? :O
Le cinéphile qui raconte qu'il regardait des vidéos d'abus sur des mômes et des animaux pour "se cultiver"
J'en passe et des meilleurs, on a pas affaire au haut du panier ça c'est sûr
Mais c'était sans compter sur les témoins venus soutenir Gisèle ! Enfin, les héros arrivent !
Le témoignage de Pélicot frère: "Mon frangin il dit n'importe quoi, on a eu une enfance très heureuse, mon père c'était quelqu'un de bien ! Bon, il a un peu violé une enfant handicapée qu'on hébergeait, mais après? C'était les années 70!"
Mec qui a été contacté par Pélicot sur le site où il recrutait mais n'a pas donné suite : "Ben non, j'y suis pas allé, j'avais foot ce soir pis faut être con pour aller chez un inconnu qui t'invite texto à violer sa femme. Tous les violeurs ne sont pas cons- euhh, je veux dire, tous les mecs sont pas des violeurs!… Comment? Pourquoi j'ai pas appelé la police? Euh, je croyais que c'était une blague. Eh, oh, ça va, déjà je viole pas, n'en demandez pas trop bande de salopes."
Beh purée c'est qu'on en viendrait presque à comprendre comment certains en arrivent à vouloir se couper les burnes et porter des talons aiguille.
Edit: j'ai cassé tumblr avec mes gros mots je crois lol
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icariebzh · 9 months ago
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youtube
"Font leur pipi contre les murs Quelquefois même sur leurs chaussures Pisser debout ça les rassure Les z'hommes Z'ont leur p'tit jet horizontal Leur p'tit siphon leurs deux baballes Peuvent jouer à la bataille navale Les z'hommes
Z'ont leur p'tit sceptre dans leur culotte Leur p'tit périscope sous la flotte Z'ont le bâton ou la carotte Les z'hommes Et au nom de ce bout d'bidoche Qui leur pendouille sous la brioche Ils font des guerres ils font des mioches Les z'hommes
Ils se racontent leurs conquêtes Leurs péripéties de braguette Dans des gros rires à la buvette Les z'hommes Ils se racontent leurs guéguerres Leurs nostalgies de militaires Une lalarme à la paupière Les z'hommes
Virilité en bandoulière Orgueil roulé en bandes molletières Agressivité en oeillères Les z'hommes Ils te traiteront de pédé De gonzesse et de dégonflé À moins qu'tu n'sortes dehors si t'es Un homme
Z'aiment les femmes comme des fous C'est si pervers mais c'est si doux Enfin quoi c'est pas comme nous Les z'hommes Z'aiment les femmes à la folie Passives muettes et jolies De préférence dans le lit Des z'hommes
Au baby-room ou au boudoir À la tortore ou au trottoir Z'aiment les femmes sans espoir Les z'hommes Prostituées ou Pénélopes Apprivoisées ou antilopes Toutes les femmes sont des salopes Pour les z'hommes
C'est en quatre-vingt-treize je crois Qu'ils ont tué la femme du roi Et la Déclaration des Droits De l'Homme C'est depuis deux mille ans je pense Qu'ils décapitent en silence Les femmes d'ailleurs et de France Les z'hommes
Z'ont abattu les Tibétaines Z'ont fricassé les Africaines Z'ont indigné les Indiennes Les z'hommes Z'ont mis le voile aux Algériennes La chasteté aux châtelaines Et le tablier à Mémène Les z'hommes
Excusez-moi mais elle me gratte Ma pauvre peau de phallocrate Dans la région de la prostate Des z'hommes Excusez-moi mais je me tire Sans un regret sans un soupir De votre mafia votre empire Des z'hommes
À chacun sa révolution Aurais-je seul'ment des compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme À chacun sa révolution Aurais-je seulement trois compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme"
Henri Tachan
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putainsoumise · 1 year ago
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LA PUTAIN SOUMISE DANS UN BAR A PUTES A PIGALE
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LA PUTAIN SOUMISE DANS UN BAR A PUTES A PIGALE
Pour la première fois ma Maîtresse a décidé de vérifier mes capacités en public... en m'emmenant dans un bar à putes à pigale
Apres m'avoir administré plusieurs lavements Elle m'a fait porter ses dessous préférés style wetlook noirs... bas à coutures... guépière porte jarretelles... des escarpins à hauts talons... une perruque cheveux longs blonde... un colier de cuir... cage pour le sexe
Pour partir je suis habillé en tenue civile masculine rien que de plus classique jeans chemise veste sur mes dessous de pute
Arrivés sur place nous traversons la salle du bar devant une faune hétéroclite d'hommes et de femmes qui nous regardent traverser la salle du bar pour nous diriger vers une pièce dérobée.
A peine entrés dans la pièce ma Maitresse me demande de retirer mes fringues "civiles" puis me fait enfiler les escarpins... la perruque... et me maquille de façon très hard et outrageusement provoquante... Une fois apprêtée elle attache une laisse au collier et m'entraine dans la salle... je suis à la fois émoustillée et inquiète de ce qu'il risque de m'arriver... surtout habillée comme je le suis... ma tenue ne prêtant pas à équivoque
Nous passons le long des tables devant tout le monde ce qui permet aux clients de me palper... me pétrir... ou de me claquer les fesses au passage. Après cette déambulation Elle me fait m'assoir sur les cuisses au bar sur un haut tabouret le cul dépassant largement pour être facilement accessible. Si quelques personnes avaient un doute sur les velléités, ces dernières tombent rapidement pour laisser place au désir de me baiser. Assise au bar, les jambes décroisées pour dévoiler mes bas couture, une bouche bien rouge pour attirer les queues Elle me claque les fesses et demande à l'assistance si quelqu'un serait intéresse pour s'occuper de moi....
Aussitôt un male se présente... me claque plusieurs fois les fesses, il enfile rapidement un préservatif puis commence a se frotter sur ma raie pour bander et sans autre préparation me pénètre brutalement avec des vas et viens profonds... le tabouret ne va pas résister longtemps si cela continue comme ca
Ma Maitresse décide de me faire descendre de mon perchoir afin d'être plus disponible et ouverte. Une fois descendue du tabouret Elle me promène en laisse dans le bar. Devant le comptoir et m'ordonne de mettre les mains sur la tête et d'écarter les jambes pour que l'on puisse admirer mes cuisses gainées des bas noirs. Une cordelette me lie les couilles sur laquelle Elle tire pour que tout le monde m'entende gémir.
Autour de nous commence à se former un petit attroupement. Une femme qui était assise à une table s'avance, se place derrière moi, me presse les seins et commence à me travailler les tétons... Elle les pince sévèrement et les étirent me provoquant une douleur difficilement supportable. Elle repasse devant moi le slape les seins puis enfile un gant latex et doigte ma chate anale vigoureusement en m'insultant de tous les noms correspondant à ma tenue. Ma Maitresse lui tend le lien qui enserrent mon sexe et mes couilles La femme tire fermement par petits coups qui m'arrachent des plaintes. Elle lui conseille de tirer plus fermement mais pour éviter la douleur je me rapproche de la femme. Ma Maitresse m'immobilise pour que la femme puisse satisfaire ses désirs de douleur par la tension de la corde. Tous dans le bar les clients sont unanimes et me considèrent maintenant comme une bonne pute à baiser.
Ma Maitresse reprend la main en me tirant par le collier. Elle me plaque contre une table, vautrée sur cette dernière... bien cambrée le cul en l'air avec toujours les couilles liées. Elle propose des préservatifs et des gants pour que chacun puisse fouiller mon trou de pute afin que je sente bien les doigts forcer mon orifice de salope. Plusieurs personnes s'y exercent vigoureusement et me dilatent peu à peu. Une main est entrée presque entièrement dans ma chate anale pendant que la femme continue à me tirer sur les couilles. Fermement tenue, des mains me plaquent et m'aplatissent sur la table. Immobilisée et le cul ouvert, me voilà totalement soumise et offerte à la débauche des plus pervers.
Ma Maitresse applique du gel sur mon trou à bites et propose à qui le veut de venir me défoncer la rondelle. Je suis maintenue sur la table afin que je ne puisse pas bouger. Ma Maitresse indique à l'assemblée que chacun n'aura que 3 minutes afin qu'un maximum de personnes puissent s'occuper et abuser de moi. Aussitôt le défile de queues commence à aller et venir au fond de ma chatte pendant que l'on me traite de chienne... de pute... et de salope. Ca glisse plutôt très bien au fond de moi mais je m'angoisse voyant le nombre de prétendants à la baise.
Ma Maitresse propose qu'un des baiseurs s'offre une petite pipe dans ma bouche. Bien sur plusieurs pantalons tombent. Une belle bite se pose sur ma bouche qui s'ouvre pour accueillir ce sexe qui va aller et venir dans ma gorge. Pendant ce temps le défilé des queues qui continue à me dilater et à me baiser sauvagement. Une femme arrive devant moi... relève sa jupe me prend la tête à deux mains et la plaque sur sa chatte pour se faire lécher pendant que des bourrins continuent de me défoncer vigoureusement. Mais la position ne lui convenant pas elle demande à ma Maitresse de m'allonger sur le dos. Ce que je fais immédiatement... La femme monte à genoux sur la table et applique sa chatte sur ma bouche et commence à se frotter... puis elle me demande de la pénétrer avec ma langue pendant que dans le même temps elle me travaille fermement les tétons... ce qui l'excite encore plus et la fait se frotter plus fortement. Pendant ce temps des queues se glissent dans mes mains pour se faire branler... La femme continue à se frotter jusqu'à en jouir. Une fois redescendue de la table... Elle me fourre sa langue dans la bouche en tournant longuement puis se retire y enfourne 3 doigts et me dit que je suis vraiment une bonne chiennasse.
C'est à ce moment la que j'ai vu arriver un black musclé comme pas deux... et avec une queue effrayante qui lui descend jusqu'au genoux... Il me remonte les jambes sur ses épaules puis commence à claquer sa queue sur ma chatte... Je suis effrayé voyant la taille de son sexe qu'il a beaucoup de mal à faire bander... Il la prend à deux mains... présente son gland sur mon trou et force l'entrée... je la sens s'enfoncer en moi de plus en plus... Un vrai serpent qui glisse et me pénètre au plus profond de mon ventre... La douleur est incommensurable... Sans se préoccuper de mes plaintes il s'agrippe à mes hanche et fait de long et profond vas et viens... Je n'ai jamais rien ressenti de pareille une grosseur énorme et qui aille autant en profondeur... avec une douleur et un plaisir jamais ressentis
Quelques temps plus tard deux hommes viennent glisser un mot a ma Maitresse qui répond favorablement à leur demande....
Elle me relève de la table et me traine vers une banquette ou l'un des deux hommes s'est allongé sur le dos. Elle me demande de me mettre à quatre pattes sur lui... A peine ai je pris cette position qu'il m'enfile et commence à me baiser vigoureusement... Après quelques minutes il s'arrête... et quelle ne fut pas ma surprise de sentir une autre présence derrière moi... Une deuxième queue se présente... insiste... force et entre sauvagement dans ma chatte anale.. Je lâche un cri de douleur ce qui fait bien rire l'assistance qui encourage les deux baiseurs a me défoncer encore plus fort
Apres plus d'une heure de ces traitements intensifs ma Maitresse décide de mettre fin à la séance laissant bon nombre de frustrés qui n'ont pas eu le loisir de me prendre. Elle les rassure en leur disant que nous reviendrons prochainement.
Cette expérience aussi troublante qu'intensive se répètera à plusieurs reprises mais l'émotion les fois suivantes était différente et moins intense bien que j'ai aimé et j'aime toujours n'être qu'un objet de plaisir une esclave sexuelle offerte totalement soumise et passive et qui n'a que le seul choix de subir sans jamais rechiner
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nanou41000 · 3 months ago
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Crois tu que femme respectable et salope vont bien ensemble?
oui, ça peut être compatible
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aurevoirmonty · 6 months ago
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La Marianne, « le buste plâtreux d’une salope en bonnet phrygien qu’on trouvait partout […]. »
Léon Bloy, La Femme pauvre (1897)
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jules-and-company · 10 months ago
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bon. alors. j’ai donc vu ce spectacle en vrai. ci-dessous les notes prises en live qui n’auront sûrement aucun sens pour vous mais nique sa mère comme on dit
- quel homme ! 🙌🏻☝️👆🏻
- alceste est moins gueulard mais plus fragile et violent dans ses éclats
- philinte est plus triste et prompt à la colère mais plus doux
- philinte s’est vraiment retenu de le gifler là
- « et que cette maladie !…. » la pause était, je sais pas trop comment dire, plus naturelle, plus réelle que l’autre version
- le petit geste pour poser sa main sur sa jambe était aussi plus court mais plus naturel
- ils sont beaucoup plus tactiles
- ils sont très très proches l’un de l’autre
- le doucement alceste calme toi de philinte lors du « monsieur ! l’amitié demande un peu plus de mystère »
- « nous verrons bien ! » et la petite mimique signée corbery
- l’eye contact avec serge bagdassarian. juste au moment où « on espère ! alors qu’on désespère ! » et au désespère il regarde directement dans mon âme, pile au moment où je me moque gentiment de ce moment comique. envie de m’enfoncer dans un trou
- leurs petits commentaires lors de la lecture. définitivement potes core
- « je ne dis pas cela » progressively more annoyed
- le petit « 3, 4 ! » donné par un claquement de doigts en rythme lors de la chanson. peak comedy
- « VOILÀ CE QUE PEUT DIRE UN COEUR VRAIMENT ÉPRIS » oh my god j’ai vraiment entendu ça en live
- les petits « non mais ne l’écoutez pas » ou « alors moi je ne connais que très peu ce mec » j’en sais rien je sais pas lire sur les lèvres, quand oronte se retourne vers philinte genre « is he for real ? »
- « il est bon à mettre au cabinet » et philinte qui sautille sur place en se facepalmant fort tellement il doit se retenir de gifler son pote dans l’instant
- le fou rire de génovèse. my mental illness has been cured
- d’ailleurs le capital comique de serge bagdassarian tout au long de la pièce
- c’est alain langlet qui joue le majordome
- alceste qui tente d’être romantique avec célimène (la choper par la taille et lui embrasser le cou) mais elle se dérobe mais LUI il a voulu la rattraper trop vite trop fort et il s’est à moitié pété la gueule contre une chaise et a fait tomber un petit fauteuil
- seigneur dieu quel boule (génovèse)
- seigneur dieu quelle femme (adeline d’hermy)
- quand ils se précipitent sur eux, philinte garde alceste dans un coin les mains levées et quand hervieu-léger revient, petit mouvement de tête sur le côté de philinte souriant genre « vas-y viens et je te démonte la colonne vertébrale façon lego »
- hervieu-léger pétasse queen qui se tient bien
- ils jouent aux petits chevaux
- ils sont tous beau
- les MAINS de tous ces gens
- ptn le piano c’est beau
- globalement cet homme, son rire et son sourire (génovèse)
- l’amour de philinte encore et toujours
- le baiser entre eux était looong
- j’ai cru qu’ils allaient se taper over éliante
- la violence vraiment relevée d’alceste
- wow ok donc il a vraiment l’air hyper perdu après avoir agressé célimène. mais pas comme la dernière fois. là il a pleinement réalisé ce qu’il venait de faire et il se DÉTESTE
- ptn il est vraiment chat mouillé core hein
- alors. voir corbery tomber à genoux devant des femmes quand c’est filmé c’est bien. voir corbery tomber à genoux devant adeline d’hermy en live c’est MIEUX
- ARGHRGRHGR il la fait tournoyer je veux être ELLE BORDEL
- le cri de on sait pas s’il chiale ou s’il rit en live c’est tellement plus drôle
- c’est christian gonon qui joue dubois
- le beef de dubois avec le grouillot
- je pensais pas pouvoir dire ça un jour. mais j’ai entendu loïc corbery gémir dans un baiser comme une salope devant les 900 personnes de la salle richelieu
- j’attendais le moment du câlin. je n’ai pas été déçue mais en plus j’ai envie de me défenestrer. pourquoi ? parce que bon déjà la sincérité, la force avec laquelle ils s’agrippent, la douceur venue d’une réelle inquiétude pour alceste mal cachée quand il le relève. mais surtout. alceste qui marmonne un truc. et ce truc. c’est quand philinte commence à remonter les escaliers, un premier « adieu. ». et quand il tombe, vraiment moins fainting que l’autre fois, là c’était vraiment un manque de force total, et que philinte se dépêche de redescendre, pendant les secondes où il le rejoint, « philinte ». quand il l’atteint, « adieu ». on a donc un « adieu. philinte, adieu » dit d’une voix qui évoque le suicide et moi aussi j’ai envie là alceste. CORBERY WHY
- monsieur génovèse je sais que vous pouvez chialer sur commande. mais je pensais pas être capable de voir les yeux brillants de larmes depuis mon petit strapontin. et la voix en vibrato constant et véritablement au bord des larmes. la douceur du tout petit moment où ils se rapprochent l’un de l’autre, philinte est vraiment à deux centimètres de poser sa tête sur l’épaule d’alceste. damn. un énorme talent et un joli petit cul.
- définitivement hervieu-léger la plus pétasse to have ever pétassed
- birane ba vous ne giflez pas adeline d’hermy svp
- j’ai pu voir presque au premier plan les mains tremblantes et le visage dévasté d’alceste quand célimène refuse de le suivre
- philinte qui a l’air beaucoup plus inquiet pour son pote (à raison) que l’autre fois
- NAAAAANN LE CHOIX ENTRE ALCESTE ET ÉLIANTE QUI EST MILLE FOIS PLUS VISIBLE STOOOP CLÉMENT HERVIEU-LÉGER ✊✊✊
- LA BEAUTÉ DE CET HOMME (génovèse)
- lui et serge bagdassarian qui se bousculent comme des gosses à l’une des sorties
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wittylittle · 1 year ago
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Jiminy Cricket
Je trouve des gars sur mon app pour les ramener ici. Tout revient toujours à ce witty empire.
Au printemps j’ai eu des conversations avec un gars visiblement très intelligent. Mais très discret aussi. Photos mystère avec une habileté à jouer avec les mots et les concepts qui me fascinait. On a failli se donner rendez-vous.
J’étais comme dans un magasin de bonbons. J’avais trop de dates en même temps. Mauvais timing. J’ai délaissé l’app.
Quand il m’a recontacté dernièrement, il semblait aussi avoir apprécié nos échanges. Je ne l’ai donc pas complètement échappé.
Il me demande des nouvelles, veut savoir si j’ai encore deux amoureux et un baise en ville. Et c’est là qu’il me glisse de le recontacter quand je serai plus active sexuellement.
« je ne crois pas t'avoir déjà dit que ça m'allumait énormément une femme qui "rencontre beaucoup" »
OMG.
Conversation qui déboule.
« J’aime beaucoup le concept. Je te conserve dans ma to do list en attendant le slut season »
« Le terme salope est tout sauf péjoratif pour moi, c'est une grande qualité à mes yeux. »
Je lui ai envoyé quelques captures de mes histoires. Allumé, il a voulu lire mon Tumblr.
Il n’en fallait pas plus pour que je débute le slut season. Quand j’ai fait venir Le producteur dans ma chambre d’hôtel, j’avais tellement hâte de lui raconter mon exploit.
Ça me rappelle un peu l’excitation que j’avais quand Barbe bleue voulait que je lui raconte mes dates en détail.
Bonne nouvelle pour vous, ça veut aussi dire que j’ai une forte envie d’écrire à nouveau.
Slut. Season. Is. On.
Bonne rentrée bitches!
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recits-erotiques-by-lexiie · 7 months ago
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Opération spéciale
Chap 2
Dans le hall d'entrée, il me lâche le bras.
- Ne bouge pas salope!
- Oui Maître...
Il sort son portable de sa veste et envoie un message bref.
On attend. Je baisse le regard et je me tiens bien droite. Immobile. Les bras le long du corps. Comme il me l'a enseigné.
Je ne pense à rien.
Ce genre de soirée, je commence à les connaître par cœur. Il me loue régulièrement pour des séances diverses. Chaque fois des nouveautés, suivant les goûts de ses clients. Des surprises. Mais toujours les pires perversités.
Une femme arrive du sous-sol par les escaliers. Elle semble très belle, mais paraît comme moi complètement soumise. Le crâne rasé. Elle porte une combinaison blanche qui lui colle à la peau. Du vinyle ou du latex. Des escarpins à talons aiguille. Blancs également. Des seins qui paraissent impressionnants même si je n'ose pas relever la tête pour la regarder en détail.
Elle parle d'une voix neutre et très douce.
- Bonsoir, suivez-moi je vous prie.
Il me prend à nouveau sous le bras. Fermement cette fois. Comme pour bien montrer que je lui appartient.
Nous suivons la femme dans les escaliers. Vers le bas.
C'est étonnant, d'habitude les séances se déroulent dans des appartements.
Au sous-sol, elle ouvre une porte de cave. Le cadenas est ouvert. Elle ferme à clef derrière nous.
Je commence à appréhender. Ce n'est pas comme d'habitude.
Il ne me lâche pas.
La femme en blanc s'arrête devant une autre porte métallique. Elle toque. Trois coups espacés puis trois coups rapides.
Un code.
Un bruit de verrou. La porte s'ouvre. Nous entrons.
C'est une cave aménagée. On dirait une chambre d'hôpital.
Je continue à baisser les yeux. Le sol est carrelé. Tout paraît propre. La pièce est très claire, entièrement peinte en blanc. Au milieu un lit médicalisé. Je perçois des armoires métalliques et un plan de travail avec un évier. Je n'arrive pas à tout voir en détail, mais ça sent le plan bdsm sur le thème médical.
La femme est immobile. Face à un mur. Elle doit attendre des instructions.
Un homme s'avance vers nous. En blouse blanche. Je vois principalement les baskets. Blanches.
Il salue mon Maître.
Ils ont l'air de se connaître et échangent quelques banalités.
Je commence à avoir un peu peur. Mon cerveau est toujours vide. Je n'arrive pas à structurer mes pensées. Putain de cachets. Comme si je dormais éveillée.
Celui qui ressemble à un médecin donne les instructions à mon Maître.
On va la déshabiller et l'installer sur le lit.
Cassandra, la femme en blanc, s'exécute pour aider.
Je suis déshabillée complètement. J'ai honte d'être ainsi debout. Cassandra pose soigneusement mes fringues sur une chaise. Je sens le regard du Doc sur moi. Insistant.
J'ai froid. Je tremble.
- Elle a froid ou elle a peur ta pute? Dit-il en rigolant.
- T'inquiète, elle est résistante, répond mon Maître.
Il me pousse vers le lit.
Je m'allonge sur le dos. Au plafond une lampe comme dans les salles d'opération. Devant moi une caméra avec un écran fixé au mur.
Ils vont faire une vidéo me dis-je. C'est souvent. Ça ne me choque pas. Au point où j'en suis, être filmée est le dernier de mes soucis.
Puis Cassandra s'approche. Elle a en main des sangles. Ca se complique. Je ne bouge pas.
Mon Maître a disparu de mon champ de vision.
Elle commence par m'attacher les poignets au barres latérales du lit. Je n'ai même pas un mouvement de recul.
Je me laisse aller complètement. Je grelotte. Il fait vraiment froid.
Le Doc en plaisante à nouveau. Il prépare du matériel. Je sens qu'il va y avoir de l'exploration. Ils vont sans doute faire une vidéo qui finira sur les réseaux sociaux.
Je pensais que tout allait démarrer rapidement,mais non. Cassandra prend son temps.
Après les poignets, elle m'attache les coudes. Puis elle me met dans la bouche un bâillon boule. Plutôt délicatement.
Elle l'a attaché derrière ma tête en la levant délicatement.
J'ai désormais une boule en plastique dans la bouche. Ce n'est vraiment pas agréable. Ça fait baver et je ne peux respirer que par le nez.
Cassandra installe ensuite des supports métalliques au bout du lit pour que je repose mes pieds dessus. Elle attache également mes chevilles avec des sangles.
L'appréhension monte à mesure que j'ai du mal à respirer et qu'elle règle les supports métalliques de manière à m'écarter les cuisses au maximum.
J'ai mal. Je crie. Mais le cri reste dans ma gorge.
- Du calme la pute!
Le Doc n'a pas l'air de rigoler!
Je prends sur moi pour essayer de me calmer.
Cassandra m'attache cette fois les cuisses et les genoux sur les supports métalliques.
Je suis complètement immobilisée. J'ai peur. C'est toujours le brouillard dans mon cerveau, mais j'ai le sentiment d'être tellement seule. S'il m'arrive quelque chose dans cette cave, personne ne le saura.
Des larmes coulent de mes yeux sans que je puisse les essuyer...
Le Doc a préparé son matériel. Il est assis sur un tabouret entre mes cuisses écartées.
Il s'adresse à Cassandra.
- Cale-lui la tête avec un coussin pour qu'elle puisse bien regarder la télé cette salope!
Il m'a regardé dans les yeux. Un instant. Juste un instant avant que je ne baisse le regard. Mes yeux remplis de larmes ont décelé dans son regard de l'assurance et de la perversité. Il savait ce qu'il allait faire et savait que je ne savais pas.
Ça avait l'air de beaucoup l'exciter!
Cassandra à mis la caméra en route. Je suis apparue à l'écran. Gros plan sur mon bas-ventre et mes cuisses écartées et le matériel du Doc entre mes jambes sur un plateau.
J'imagine que le thème de la vidéo sera spécifiquement la gynécologie...
Cassandra s'est placée à côté du Doc. Debout. A sa disposition. Ses seins sont vraiment énormes. J'ai maintenant vue directe sur elle. Son crâne est rasé de près. Elle reste pour autant très féminine avec son visage mince. Ses lèvres semblent très gonflées. Elle a dû se faire opérer... Aïe!
Le Doc m'enfonce une seringue dans le pubis. J'ai un mouvement de réaction... mais juste dans ma tête. Mon corps est tellement attaché serré que je ne bouge pas d'un poil.
Il me pique ensuite le haut des cuisses et le dessous des fesses. Je vois tout sur l'écran.
J'ai mal. Les sangles sont très serrées et ma position est inconfortable. Mes cuisses écartées me font mal.
Mais de moins en moins.
C'est bizarre. Mon corps lâche prise.
Je crois qu'il m'a fait des piqûres anesthésiantes en fait... oui. Je ne sens plus mon bassin, mes cuisses, mes fesses...
J'appréhende de plus en plus. S'il m'a fait ça, c'est qu'ils veulent me dilater au maximum. Plus c'est extrême, plus la vidéo rapporte sur les réseaux. Putain ils sont graves!
Je ne peux rien faire. Mon corps me lâche. Les sons ne sortent pas de ma gorge. Le bâillon m'étouffe. Je panique. Je tremble. Je pleure.
Le Doc rigole.
- Elle fait pas la maline ta pute, tu crois vraiment qu'elle va tenir?
- On s'en fiche, fais ce qui est convenu, on verra bien!
Mon Maître avait répondu cela d'une voix tellement détachée... ça confirmait bien que j'étais seule dans les mains du Doc...
Qu'est ce qu'ils avaient convenu entre eux? Cassandra était-elle au courant? J'essayais de capter son regard. Malheureusement elle restait Immobile. J'étais seule...
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putainsoumise · 1 year ago
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La Putain Soumise mise a l'abattage en club
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La Putain Soumise mise a l'abattage en club
Voila le genre de texte que ma Maîtresse faisait passer pour ma mise à l'abattage
PRESERVATIFS OU GANTS LATEX PROPRES ET NEUFS AVANT CHAQUE PENETRATION. PAS D'URO, PAS DE SCATO, DE PAS CRAD, PAS DE SPERM, PAS DE MARQUES. ESCLAVE SEXUEL MALE A UTILISER COMME ESCLAVE SEXUELLE FEMELLE EN LIBRE SERVICE POUR FEMMES, HOMMES, COUPLES
Véritable petite salope, la putain soumise n'est qu'un morceau de viande à jeter en pâture à une meute de bites bien dures et affamées de baises brutales et violentes. Les godes, vibros, et plugs sont les bienvenus.
Véritable esclave sexuel mâle à utiliser comme une femelle très salope à traiter de tous les noms (mots crus très appréciés), elle sera exhibée, humiliée en publique face a l'entrée du club et mise à disposition pour être utilisée comme il se doit.
Seul ou à plusieurs en même temps, afin de tester la viande, vous pouvez la palper, la pétrir, la triturer, la malaxer de partout pour vérifier la qualité de la marchandise.
Vous pouvez aussi la baffer, la slaper et lui travailler fermement ses petits nichons de pucelle, la pincer, lui tordre ou lui étirer les tétons, lui claquer le cul et son trou à bites pour l'exciter.
A condition d'utiliser préservatifs ou gants latex, vous pouvez doigter sa bouche de petite pute pour mesurer mes possibilités orales, mais aussi afin de bien la préparer, lui doigter fermement sa chatte anale ou inversement selon vos envies, d'abord lui branler vigoureusement sa chatte, puis fourrer vos doigts dans sa bouche de pouffiasse pour vérifier sa véritable qualité de traînée.
Tant qu'elle sera exhibée face a l'entrée, il n'y aura aucune autre forme de pénétration.
Dès que la Maîtresse le décidera, un collier autour du cou, elle sera traînée en laisse comme une chienne, exhibée, présentée, et utilisable dans les mêmes conditions aux 4 coins du sauna. A ce stade il suffit de demander à la Maitresse pour pouvoir l'utiliser sexuellement.
Elle sera mise à l'abattage pour pouvoir l'utiliser, la prendre sans vergogne de façon brutale et intensive. Vous pourrez l'enculer, la baiser, la défoncer, la dézinguer, la déglinguer, lui déchirer la chatte anale, faire claquer votre ventre sur son cul offert et faire cogner brutalement votre queue au fin fond de ses entrailles Elle est une putain soumise, une véritable esclave sexuelle femelle à défoncer, une chienne en chaleur à saillir bestialement, un gouffre à bite à utiliser à votre convenance, sans préliminaire et sans ménagement sans vergogne et sans pudeur
N'hésitez pas à demander à la Maitresse pour profiter d'elle comme il vous conviendra. Cette trainée n'est ni votre femme ni votre petite amie donc aucun respect ni aucune retenue pour la baiser comme une pute Elle devra être utilisée sévèrement, être offerte sans discussion et mise à disposition de tous, les vicieux, les pervers, les lubriques, pour subir une baise à la chaîne hard sans retenue... (plugs, godes, vibros, bites bien dures qui aiment défoncer hard sont très bien bienvenus et aussi double sodo sauvage et brutale possible).
Si vous avez d'autres idées ou pratiques la Maitresse et le Maitre sont ouverts et avide même aux propositions les plus vicieuses, les plus perverses, les plus lubriques.
Contactez moi par mail afin de me proposer vos envies, vos demandes spécifiques, ou pour réaliser certains de vos fantasmes, après transmission de votre message à la Maitresse et au Maitre je répondrai vos messages avec leur reponse
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cloclocuir · 2 years ago
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Voici Éric transformer en femme sexy en ensemble hot salope
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lexiie-xd · 3 months ago
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16 août 24
Quand tu discutes avec un mec sur Wannonce en fin de soirée et qu'il t'invite à passer chez lui.
Quand tu as tellement envie de baiser que tu traverses Mulhouse à 1h du matin.
Quand tu découvres qu'il vit dans un quartier que même ton GPS ne trouve pas l'adresse.
Quand il n'y a plus d'éclairage de rue et que tu dois marcher une plombe en talon dans l'obscurité pour rejoindre son immeuble.
Quand tu te dis que tu as vraiment faim pour en être là.
Quand tu te dis aussi que c'est tellement agréable de marcher dans la rue habillée comme une pute.
Quand tu arrives au 7ème étage (avec ascenseur... ouf!!!) et que tu te rapproches du bonheur.
Quand le mec ouvre et te dit qu'il a fait une connerie en te disant de venir parce qu'il est shooté à mort!
Quand tu te dis qu'il faut vite se barrer parce que les mecs drogués c'est pas ton truc.
Quand tu lui dis que c'est pas grave et que tu penses le contraire mais que tu ne veux pas faire d'histoires.
Quand tu redescends les 7 étages (avec ascenseur... ouf!!!) complètement frustrée et encore plus en manque.
Quand tu traverses le hall de l'immeuble et qu'un mec rentre.
Quand tu dois assumer d'être habillée comme une pute en croisant un mec dans un hall d'immeuble éclairé.
Quand tu dis bonsoir le plus naturellement possible.
Quand le mec te répond gentiment et que tu vois dans son regard qu'il a mis moins de 3 secondes à comprendre la situation.
Quand il y a un flottement dans l'action en cours.
Quand le mec s'arrête, te sourit, te montre son bas ventre et une porte à côté de toi.
Quand tu lis sur la porte que c'est la cave et que tu as peu de temps pour te décider.
Quand le mec te sourit toujours et te dit "on y va?"
Quand c'est trop dur de réfléchir, que tu es encore sous la surprise, que t'as un peu peur et beaucoup envie.
Quand tu suis bêtement le mec dans la cave.
Quand à peine arrivée en bas des escaliers il te plaque le dos contre le mur en béton.
Quand tu es surprise, apeurée et qu'il t'embrasse à pleine bouche sans te laisser le temps de respirer.
Quand il défait sa ceinture et baisse son jean en t'embrassant toujours à pleine bouche.
Quand tu penses à ton rouge à lèvres qui va faire la gueule et que déjà il te pousse à te mettre accroupie devant lui.
Quand il te met sa queue déjà dure dans la bouche et que tu n'as encore pas pu prononcer un mot.
Quand tu as la tête coincée contre le mur et qu'il te bourrine la gorge.
Quand tu commences à étouffer, que tu baves carrément et que tu n'arrives plus à réfléchir.
Quand d'un coup il te relève, te retourne face au mur, qu'il t'enlève ta veste et t'arrache ton string violemment.
Quand il t'embrasse dans le coup et te mordille la nuque en te traitant de salope.
Quand décidément tu n'as toujours pas pu parler, ni pu réfléchir.
Quand tu as moins peur.
Quand il te rentre sa queue bien gonflée en continuant à te mordiller la nuque et en te tenant par le hanches.
Quand tu peux enfin réfléchir, tu te dis qu'il aurait pu te lubrifier et mettre une capote.
Quand tu te dis finalement qu'au minimum il aurait au moins pu te le demander.
Quand il te besogne à fond et que tu te dis que visiblement ce n'est pas le genre de mec à poser des questions.
Quand tu en es là de tes réflexions et que tu sens qu'il s'active plus vite.
Quand tu as le visage contre le béton froid et qu'une de ses mains est toujours sur ta hanche.
Quand son autre main t'écrase la gorge et que tu te demandes s'il va vraiment t'étrangler.
Quand il fini de s'activer et qu'il te lâche la gorge.
Quand il reste immobile au fond de toi pour savourer son plaisir.
Quand tu comprends que ton plaisir il s'en fiche.
Quand il sort et qu'il te dit de lui nettoyer la bite avec la langue.
Quand tu t'éxécutes sans discuter parce que tu as compris que c'était inutile.
Quand tu t'accroupis avec le cul encore ouvert.
Quand tu penses à la flaque que tu vas laisser par terre à la femme de ménage.
Quand tu finis de lui nettoyer la queue et qu'il te dit de te casser.
Quand devant lui tu attrapes vite fait ton sac à mains et ta veste et que tu te sauves, en bredouillant un merci.
Quand il te répète de te casser vite fait, salope.
Quand tu finis d'enfiler ton manteau dans le hall de l'immeuble et que tu penses à ton maquillage.
Quand tu retraverses le quartier dans l'obscurité, un filet de jus qui coule sur les cuisses, en espérant ne rencontrer personne.
Et bien finalement tu te dis qu'il existe encore des vrais mecs!
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Vulgaire (jour 19)
Putain, ce que t'es vulgaire à te trimballer comme ça dehors. T'es vraiment sorti de chez toi habillé comme ça ? Avec tes cheveux sales, ton odeur pestilentielle et ton hygiène qui ferait tourner des yeux un cadavre dans sa tombe ? Puis, t'as vu comment t'es habillé ? Remonte moi ton pantalon, on voit ton slip, ton boxer ou ton caleçon. Mais pas trop putain, après ça te moule l'entrejambe et c'est vraiment affreux. Tu crois vraiment que les filles vont vouloir de toi avec une dégaine pareille ? Tu t'étonnes après, d'être encore célibataire. Mais t'écoutes ce que j'te dis ? Il y a une tâche sur ton tee-shirt. Ne l'enlève pas ! Exhiber ton corps c'est sérieux ? T'as l'intention de te faire violer ? Par les femmes ? Oh non, mais attention hein, t'attirera d'autres mecs ! Ben oui, tu crois quand même pas qu'une femme va te menacer ? Non, t'inquiète, tu les impressionne pas, elles. Elles fuiront à l'odeur. Et j'parle pas juste de celle de la bière qui sort de ta bouche. Ferme-là, je t'en supplie. Non, si les femmes ont peur de sortir fringuées d'une certaine manière, de se trouver jolies même, de mettre leurs visages et cheveux en valeur ou bien même leurs corps, c'est pas par peur de leurs consoeurs. Oh, les filles, ça se critique beaucoup entre elles. Non, c'est les hommes qui craignent, c'est eux le vrai danger. T'as peur de quoi toi ? Ben ouais, voilà. T'as peur de te faire agresser par des mecs. Les tarlouzes tu dis ? Non mais tu peux pas littéralement la fermer ? T'es d'une vulgarité et d'un irrespect incroyable. Ils sont gays, les dénigrer ça te rendra pas meilleur. Ça fera juste de toi un abruti fini, et crois-moi, t'as pas besoin de rajouter ça au tableau déjà bien dégarni que tu nous offres. Oui, voilà, torse nu autant, tu vas te faire toucher par des mecs bien virils et menaçant, tout aussi cons que toi, cela va sans dire. Car eux, ils auront décidé que tu méritais pas d'exister, et de te balader comme ça. Ah, ben tu vois ! Je te l'avais dit. Va te laver les cheveux, passe chez le coiffeur, ressemble à quelque chose. Rase toi la barbe, mais pas trop. Faut être viril. Jette tes fringues au feu, et refais-toi une garde robe. T'es un mec, sois classe, stylé, séduisant. Puis prends trois douches, avec du gel douche parfumé, mais un parfum d'homme stp. Coupe toi les ongles, nettoie ce que t'as là-dessus aussi. Chaussettes neuves, sans trous, chaussures propres. Lave toi les mains régulièrement, je t'en conjure. Tu crois que ça fait beaucoup, tout ça ? Non, t'es juste un pauvre con. Tu viendras pas pleurer quand tu te seras fait latter la gueule à cause de ton apparence. Tu sais, c'est drôle. De retourner la situation comme ça. Parce que les femmes, les adolescentes, et même les petites filles on leur apprend ce qu'il faut faire ou non, trouver un entre-deux, pas être trop mignonnes et prudes ou trop sexys et salopes. Crois-moi. J'suis sympa avec toi. Car malgré tout ce que j'te dis, tu comprendras jamais ce par quoi elles passent, elles. Si t'étais une femme, tu comprendrais de suite. Mais tu ne l'es pas, et t'en as rien à carrer. Tu sais quoi, change rien. Des mecs comme toi on leur dit rien. Sauf s'ils ont le malheur d'être à la rue. On se permet de toucher, siffler, se moquer, insulter, agresser tous ceux qu'on estime inférieurs à nous. Putain de nature humaine.
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solis-menta · 2 years ago
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Ton style ~ Léo Ferré
Tous ces cris de la rue, ces mecs, ces magasins Où je te vois dans les rayons comme une offense Aux bijoux de trois sous, aux lingeries de rien Ces ombres dans les yeux des femmes quand tu passes Tous ces bruits, tous ces chants et ces parfums passants Quand tu t'y mets dedans ou quand je t'y exile Pour t'aimer de plus loin, comme ça, en passant Tous ces trucs un peu dingues, tout cela c'est ton style
Ton style c'est ton cul, c'est ton cul, c'est ton cul Ton style c'est ma loi quand tu t'y plies salope C'est mon sang à ta plaie, c'est ton feu à mes clopes C'est l'amour à genoux et qui n'en finit plus Ton style c'est ton cul, c'est ton cul, c'est ton cul
Tous ces ports de la nuit, ce môme qu'on voudrait bien Et puis qu'on ne veut plus dès que tu me fais signe Au coin d'une réplique enfoncée dans ton bien Par le sang de ma grappe et le vin de ta vigne Tout cela se mêlant en mémoire de nous Dans ces mondes perdus de l'an 80 000 Quand nous n'y serons plus et quand nous renaîtrons Tous ces trucs un peu fous, tout cela c'est ton style
Ton style c'est ton cul, c'est ton cul, c'est ton cul Ton style c'est ton droit quand j'ai droit à ton style C'est ce jeu de l'enfer, de face et puis de pile C'est l'amour qui se tait quand tu ne chantes plus Ton style c'est ton cul, c'est ton cul, c'est ton cul
À tant vouloir connaître, on ne connaît plus rien Ce qui me plaît chez toi c'est ce que j'imagine À la pointe d'un geste au secours de ma main À ta bouche inventée au-delà de l'indigne Dans ces rues de la nuit avec mes yeux masqués Quand tu ne reconnais de moi qu'un certain style Quand je fais de moi-même un autre imaginé Tous ces trucs imprudents, tout cela c'est ton style
Ton style c'est ton cul, c'est ton cul, c'est ton cul Ton style c'est ta loi quand je m'y plie salope C'est ta plaie, c'est mon sang, c'est ma cendre à tes clopes Quand la nuit a jeté ses feux et qu'elle meurt Ton style c'est ton cœur, c'est ton cœur, c'est ton cœur
Ton style c'est ton cœur
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claudehenrion · 2 years ago
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Rappels utiles, dans la folie ambiante…
 Nous le répétions hier pour la (n + unième) fois, aussi redondante que les autres, puisque tout le monde sait ça : certains mots, en français, sont précédés d’articles féminins ou masculins sans que cela implique que les qualités correspondantes appartiennent à un sexe plutôt qu’à l’autre. On dit : “Madame de Sévigné est un grand écrivain” et “Chateaubriand est une plume brillante”. On dit : le garde des Sceaux, même quand c’est une femme, et la sentinelle, qui est presque toujours un homme. Tous ces termes sont sémantiquement neutres, et accoler un article à un substantif ne fait pas changer de sexe son attributaire. C’est une règle d’accord dont les fossoyeurs de notre civilisation rêvent de faire une règle de désaccord.
Certains substantifs se féminisent tout naturellement, et c'est sans choquer la langue ni la grammaire qu'on dira une pianiste, une avocate, une chanteuse ou une actrice, qu’on parlera de la pseudo “papesse Jeanne”, ou qu'un Ambassadeur peut être une femme (dont l’appartenance au “beau sexe” –comme on disait en forme d'hommage avant que la folie ne sorte des asiles– est très clairement démontrée par “Madame le…”), de même qu'il reste une Excellence, si c’est un homme.  En revanche, une dame ministresse, proviseuse, médecine, gardienne des Sceaux, vaine écrivaine, ou officière ou commandeuse de la Légion d’Honneur contrevient et à la clarté et à l’esthétique de notre langue, et relever cette faute de goût ne saurait être imputé à quelque antiféminisme. L’usage est le seul maître suprême de ce mariage de la logique et du tâtonnement, bercé par la mélodie du temps qui passe, et pas par l’opportunisme vulgaire et le clientélisme vénal des politiques.
L’Etat n’a aucune légitimité pour décider du vocabulaire et de la grammaire. Il tombe en outre dans l’abus de pouvoir quand il utilise l’école publique pour imposer à toute une jeunesse ses oukases langagiers (j'avais, j’ai  très envie d'écrire “idio-matiques”, tant le premier mot s'impose !). Vaugelas, en 1615, lorsqu'il a édicté des normes dans ses ‘’Remarques sur la langue française’’, n’était pas un ministre, contrairement à Jospin (et donc seul le premier passera à la postérité, et c'est très bien comme ça !) : ce n’était qu’un auteur, dont chacun était libre de suivre ou non les avis, et il n’avait pas les moyens d’imposer ses lubies aux enfants. Depuis François 1er, aucun de nos Rois n'a jamais statué sur des questions de langage. Jospin, lui, a tout salopé, et Macron trépigne de vouloir  aller encore plus loin !
Si notre gouvernement voulait vraiment servir le français, il ferait mieux de veiller d’abord à ce qu’on l’enseigne en classe, et ensuite à ce que l’audiovisuel public, placé sous sa coupe, n’accumule pas, à longueur de journée, les faux sens, les solécismes, les barbarismes, les impropriétés et les cuirs (sans compter les “o” et les “eu” systématiquement ouverts de Marie-Sophie Lacarrau, qui fait du français une langue d'oc ratée)… Tout ce laisser-aller, pénétrant dans le crâne des enfants, achève de rendre impossible la tâche des enseignants.  Les coupables de cette honte croient s’amnistier (c'est un sport qu'ils maîtrisent à merveille) en torturant la grammaire. Ils ont trouvé le sésame démagogique de cette opération magique : faire avancer le féminin faute d’avoir fait avancer les femmes ! Ah ! Les salopards !
L’objectif de l’écriture “inclusive” (théoriquement : “qui inclut en soi”. En fait, c'est exactement le contraire : elle rend tout dialogue impossible !) serait d’assurer une égalité des représentations entre les femmes et les hommes. Le moyen serait de faire apparaître explicitement et systématiquement, dans la forme et dans la structure des mots que l’on écrit, la présence des femmes à égalité avec celle des hommes. La représentation graphique, qui est toujours ‘’in-déchosable’’ (exemple : l’indulgent•e lect•eur•rice), est encore plus acrobatique au pluriel, où le “s” est ajouté après un point médian : les lect•eur•rice•s. Saloper la langue française pour un résultat impossible à lire, a dire, à écrire et à comprendre, c'est très cher payer !
Dans l’histoire de la langue, cette fantaisie représente un phénomène radical inédit : la tentative d’une force extérieure, pseudo-idéologique et soi-disant féministe –mais qui est exclusivement révolutionnaire– d’imposer des règles structurelles (et absurdes) à la langue, par une sorte de coup de force, pour l’instrumentaliser contre sa nature profonde, en fabriquant artificiellement une coupure totale, radicale et systématique entre l’écrit et le parlé : il est impossible de prononcer les mots écrits en écriture inclusive, tout comme il est impossible de “parler” en inclusif.  C'est l'exclusion absolue garantie ! Sans compter les troubles que va  entraîner une confusion entre des “sexes doctrinaires” et la “fonction sexuée” qui est l'ordre naturel des choses…
Mais le plus grave, dans cette farce-pas-drôle-du-tout, c'est que tout semble démontrer que, jusqu'en haut de l'échelle, le “politique”, dans sa vacuité intellectuelle, sa nullité et sa cuistrerie, rêve tout haut de nous contraindre “quoi qu'il en coûte” ! Après lui, le déluge ! Seulement, voilà : l'inclusion, redisons-le, est exclusive, et ne peut en aucun cas déboucher sur quoi que ce soit d'autre que des catastrophes en cascade… et l'éclatement du pays.  Je n'arrive pas à croire que Macron pourrait ne pas le savoir. Et ça, c’est grave.
H-Cl.
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fantasy-mask · 1 year ago
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J'ai rencontré @BeuretteCagoule sur MYM. A la recherche de nouveaux fantasmes pour sublimer mes masturbations. Cette femme dévoilant ses charmes, m'a immédiatement attiré. Car son corps est incroyable. Ses formes voluptueuses m'ont fait craquer. J'avais au départ cru reconnaître mon ex derrière ce masque. D'autant plus qu'elles habitent la même région. Cela nous a fait rire, nous avons alors immédiatement sympathisé. Et immédiatement fantasmé. Malgré le fait qu'elle ne m'ait jamais montré son visage, la rencontre était inévitable. Notre attirance était brûlante. Nos perversions étaient trop similaires. Les limites étaient fixées: Elle s'autorisait des escapades extra-conjugales, je la ravissais à son mari l'espace de deux heures. Juste pour du sexe. Que du sexe. Intense.
Arrivé sur le quai de la gare, je regarde machinalement mon smartphone. Un nouveau message de ma mystérieuse inconnue.
"Je te vois. Tu me plais. Je vais te dévorer".
Elle m'espionnait. Elle connaissait désormais tout de mon physique alors que moi j'étais incapable de la reconnaître. Elle jouait avec moi. J'ai adoré. Je n'ai pu m'empêcher de regarder autour de moi. Second message:
"Tu peux me chercher ! Mais tu ne pourras pas me voir 😉. Je vais te demander de patienter encore un peu. On se voit dans une heure à notre lieu de rendez-vous prévu ?"
Elle se faisait désirer. Elle allait me rendre fou mais j'aimais ça. J'ai eu une gaule immense pendant ce voyage en train. Il faudra attendre encore un peu avant de libérer mon chibre excité. L'heure qui suivit fut interminable. Chaque minute qui s'écoulait me rapprochait davantage de la découverte de ce corps tant désiré. L'excitation montait toujours davantage. Elle m'avait cerné. Elle avait gagné.
J'arrivais à l'heure prévue devant la chambre d'hôtel. La porte était entre-ouverte. Je la poussais. Et une apparition se devoilais devant moi. Elle était assise en tailleur sur le lit. Cagoulée. Ses seins splendides et ses fesses opulentes étaient mis en valeur par une lingerie noire provoquante.
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Accordant énormément d'importance au visage et à ses expressions, je n'avais pas su au départ comment appréhender cette femme cagoulée, qui n'existait que par son corps. Puis je me suis mis à l'apprécier et à la désirer follement. Elle est devenue progressivement un fantasme. Je me suis aperçu qu'au delà de la protection de l'identité, cette cagoule était un formidable outil d'émancipation. Cet artifice lui permettait de devenir ce qu'elle voulait être. "BeuretteCagoule" a décidé d'être une salope. Une salope assumée. Débordante de féminité et de force. Jamais sur Internet un homme ne la critiquait. Car elle avait l'image d'une femme forte, sûre d'elle-même. Son corps et ses atours provoquants  était une arme offensive contre les haters. Elle n'avait pas de failles. Aguicheuse et décomplexée, elle me plaisait...
Ce fantasme se trouvait désormais devant moi. Féline, elle me regardait fixement. Intensément. Comme si elle allait me dévorer. J'ai cru qu'elle allait se jeter sur moi. Mais cette déesse orientale m'a encore surpris. Elle s'est avancé lentement vers moi, sensuellement, son regard intense me déshabillait l'âme. Nous nous sommes embrassé langoureusement. Sa main glissa alors rapidement vers ma queue. Elle me souriait:
-Tu l'as longtemps attendu n'est ce pas cette pipe de reine que je t'avais promis ? La voici. Tu ne vas pas en revenir....
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En effet, elle prit mon sexe en bouche, et a entamé une fellation extrême. J'avais l'impression qu'elle voulait me prouver à quel point elle était douée. Elle s'appliquait gouluement. A l'écoute de mes moindres mouvements et gémissements. Mon côté dominateur a alors rapidement pris le dessus. Je ne puis résister à l'envie de saisir sa tête pour enfoncer ma queue dans le fond de sa gorge. Prévoyant mes désirs, elle accéléra alors les va-et-viens. Sa bave se mélangeait à mon liquide et coulait sur sa cagoule et sur ses gros seins, sortis pour moi. Ses yeux continuaient de me transpercer l'âme. J'étais au paradis.
Je sentais que j'allais jouir et me retirais à temps. Je devais faire une pause, reprendre le contrôle de ma queue pour donner à mon mystérieux fantasme la baise torride qu'elle méritait. Il fallait profiter au maximum de ces deux heures à disposition. Nous nous sommes alors vautré sans aucun complexes dans le sexe dépravé. J'avais l'impression que cette figure impersonnelle qu'elle s'était fabriquée était entièrement dédiée au sexe torride. Cette cagoule lui avait permis de dévoiler son identité intimement cachée. Elle était un corps. Entièrement dédié au plaisir. Et quel corps !
Nous avons joui. Plusieurs fois. Et nous sommes restés ensemble un peu plus longtemps que prévu.
Je m'excusais pour cela. Elle n'eu que pour seule réponse:
-Tu restes jusqu'à demain ? J'aimerais te présenter une amie...
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