#sakura andô
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KAIBUTSU 怪物 [MONSTER]
Hirokazu Kore-eda, 2023
#KAIBUTSU#monster#japanese film#cinema#movies#masterpiece#film#asian cinema#asian movies#asian film#hirokazu koreeda#怪物#heroes#great directors#Yûji Sakamoto#Ryuto Kondo#Ryūichi Sakamoto#Sakura Andô#Eita Nagayama#Soya Kurokawa#Hinata Hiiragi#Mitsuki Takahata#Akihiro Kakuta#Shido Nakamura#yuko tanaka#bestfilmof2023
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Monster (怪物) (Kaibutsu) (2023) Kore-eda Hirokazu
May 4th 2024
#monster#怪物#Kaibutsu#2023#Kore-eda Hirokazu#Hirokazu Kore-eda#Sakura Andô#sakura ando#eita nagayama#soya kurokawa#hinata hiiragi#Yûko Tanaka#Mitsuki Takahata
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Godzilla Minus One
Godzilla Minus One [trailer]
Post war Japan is at its lowest point when a new crisis emerges in the form of a giant monster, baptized in the horrific power of the atomic bomb.
Much different than all the recent American films with an emphasis on showcasing the technical advances of computer generated effects. This is a much more serious drama about Japan after the Second World War and the guilt of the survivors.
It's not subtle, and doesn't shy away from some melodrama, which I personally always have problems with. Between the seriousness there are also some lighter moments, and Godzilla performs his usual destruction.
Certainly worth seeing for the Japanese approach and context of the Godzilla character.
#Godzilla Minus One#Gojira -1.0#Takashi Yamazaki#Ryunosuke Kamiki#Minami Hamabe#Sakura Andô#Munetaka Aoki#Kuranosuke Sasaki#Hidetaka Yoshioka#foreign#Japan#recommended
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. If only some people can have it, that's not happiness. That's just nonsense. Happiness is something anyone can have.
Monster (Kaibutsu), Hirokazu Koreeda (2023)
#Hirokazu Koreeda#Yûji Sakamoto#Sakura Andô#Eita Nagayama#Soya Kurokawa#Hinata Hiiragi#Mitsuki Takahata#Akihiro Kakuta#Shidô Nakamura#Yûko Tanaka#Ryûto Kondô#Ryuichi Sakamoto#2023
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"Godzilla Minus One" (idem) - netflix.
Esse filme do lagartão fez muito sucesso. Encheu as salas e recebeu elogios de critica. Dessa vez feito por japoneses e não pelos americanos. Perdi a chance (me interessei pouco) e não vi nos cinemas. Agora chega no streaming. Num sábado preguiçoso resolvi que era hora. Escolhi assistir a versão em preto e branco, mesma história, sem cores, versão feita para homenagear os primeiros filmes do monstro.
depois de ver: não sei se foi a tela pequena (minha TV nem é pequena), mas achei o filme chato. é bom quando chega o godzilla, mas o resto da história é sem graça, parece novela.
#Godzilla Minus One#netflix#Gojira -1.0#Takashi Yamazaki#Minami Hamabe#Ryunosuke Kamiki#Munetaka Aoki#Sakura Andô#Rikako Miura#2023
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Tiny Review: A Man 2022. Investigative procedural with a theme of identity.
I like the 1st act, where the mystery is set up in a heartwarming manner. The procedural 2nd act is good too. But the last act kinda peters out. I think it’s because there isn’t really any shocking or twist reveal.
That ending scene left me wondering what happened though. And it took me a while to puzzle out what happened: Akira finally understood the appeal of switching identities.
A Man (Japanese: ある男, "Aru otoko") is a 2022 Japanese psychological thriller film directed by Kei Ishikawa, based on a novel with the same name by Keiichiro Hirano. It stars Sakura Andô, Satoshi Tsumabuki, and Yôko Maki.
#a man 2022#a man movie#japanese movie#psychological movie#thriller movies#mystery movies#sakura ando#satoshi tsumabuki#yoko maki#movie review#2022 movies
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Godzilla Minus One (2023)
Director: Takashi Yamazaki Starring: Ryunosuke Kamiki, Minami Hamabe, Sakura Andô Post war Japan is at its lowest point when a new crisis emerges in the form of a giant monster, baptized in the horrific power of the atomic bomb. If you’ve been following my blog, you’ll know by now I’m no Godzilla fan. Yet, every time there’s a new Godzilla movie I find myself watching it – maybe hoping there…
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Godzilla Minus One: Directed by Takashi Yamazaki. With Sakura Andô, Minami Hamabe, Ryunosuke Kamiki, Yuki Yamada. Post war Japan is at its lowest point when a new crisis emerges in the form of a giant monster, baptized in the horrific power of the atomic bomb.
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"A Man" de Kei Ishikawa - adapté du roman éponyme de Keiichiro Hirano (2018) - avec Satoshi Tsumabuki, Sakura Andô, Masataka Kubota, Yūmi Kawai, Yōko Maki, Kazutoyo Koyabu et le jeune Manato Sakamoto, février 2024.
#films#FilmsAsie#AsianSpirit#spirit#Ishikawa#Hirano#Tsumabuki#Ando#Kubota#Kawai#Maki#Koyabu#Sakamoto
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KAIBUTSU 怪物 [MONSTER]
Hirokazu Kore-eda, 2023
starts ruthless and cruel as a blade and ends in an unbearably sublime poem. perfect in so many ways & different levels of interpretation that I don't know where to start.
#怪物#heroes#film#japanese film#cinema#movies#monster#kaibutsu#hirokazu koreeda#great directors#asian movies#asian film#KAIBUTSU#[MONSTER]#Hirokazu Kore-eda#2023#Yûji Sakamoto#Ryūichi Sakamoto#Sakura Andô#Eita Nagayama#Soya Kurokawa#Hinata Hiiragi#Mitsuki Takahata#Akihiro Kakuta#Shido Nakamura
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A MAN - N'est pas mystérieux qui le veut, n'est justement pas sensible celui qui le revendique...
En voulant joindre à sa méditation patiente sur l’identité l’écriture d’un thriller à tiroir, tortueux et retors, le cinéaste japonais Kei Ishikawa semble vouloir mener deux films de front qu’il peine à réconcilier.
Ces différents visages de son film, comme ceux de son récit, le font davantage ressembler à un alliage forcé qui finit par être contre productif, crée su contresens, mais surtout de l'ennui.
On a du mal à s'attacher aux personnages tant ils sont faussement secrets et énigmatiques. L'interprétation de Sakura Andô dans le rôle de Rie, est puissante et c'est elle qui tient le film de bout en bout. Cette excellente actrice est encore à l'affiche de l'excellent "L'innocence" de Kore-Eda. Masataka Kubota dans le rôle du mari mystérieux habite parfaitement la première partie du film, la plus intéressante. Satoshi Tsumabuki, de toute beauté, intervient très tard dans le rôle de l'avocat, mais c'est trop tard... On a depuis longtemps décroché.
Note 10/20 - L'effort est sans aucune originalité, mais louable dans l'envie de mener à bout une esthétique qui parle, qui dit le sens caché des choses.
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MARDI 16 JANVIER 2024 (Billet 1 / 3)
« L’INNOCENCE » (2h 06min)
Un film de Hirokazu Kore-eda, avec Sakura Andô, Eita Nagayama, Soya Kurokawa…
Kore-Eda déplace sa caméra du foyer familial à l’école pour raconter une amitié entre deux pré-ados dans un Japon fermé aux sentiments. Un film subtil.
Ne jamais baisser la garde ! S’il y a un conseil à donner aux spectateurs, c’est bien celui-ci, tant « L’Innocence » regorge de nuances et de détails qui ne prennent sens qu’en avançant dans le récit. Sur l’affiche du film, le visage de deux enfants maculés de boue interroge. Que leur est-il arrivé ? Quel est le lien avec cette première séquence qui voit les pompiers débouler, toutes sirènes hurlantes, pour éteindre l’incendie survenu dans un bar à hôtesses ? Une rumeur se propage : le professeur de Minato et de Yori fréquentait le lieu.
Et voilà que le jeune Minato, qui est élevé par sa mère seule, se met à lui raconter que ce professeur lui a dit qu’il avait un cerveau de porc. La mère furibarde débarque à l’école, demande l’équipe éducative. Il faut les voir faire des courbettes devant elle en s’excusant. Elle aimerait juste avoir des explications. Elle ne les aura jamais. Un questionnaire sera distribué aux enfants pour juger le prof qui sera soumis à une séance d’autocritique devant les parents avant d’être mis à pied. La Chine sous Mao ? Non, le Japon contemporain.
C’est ce Japon-là, qui cache une violence sourde sous une placidité apparente, que le cinéaste veut nous montrer. Il y a donc dans toute une première partie du film un aspect rugueux qui ébranle.
Une structure en trois temps
La mère de Minato pense que son fils est harcelé mais c’est le jeune Yori, dans la même classe, qui est le bouc émissaire des autres enfants. Le professeur de plus en plus désespéré se détend en débusquant les coquilles dans les livres publiés. Sa copine va finir par le quitter. Peu à peu, le suspense se lève comme le brouillard sur le mont Fuji.
Sur un scénario qui fut primé au dernier Festival de Cannes, Kore-eda renouvelle sa manière de faire un thriller. Il adopte une structure en trois temps. L’histoire est racontée successivement par la mère de Minato, par le professeur puis par l’enfant lui-même (*). Cette partie-là est la plus belle. De sombre, le film devient lumineux. Il gagne en douceur pour finir dans la lumière éclatante d’un lendemain d’orage.
A la fin, dans une séquence renversante, Minato apprendra à souffler dans un trombone pour se délester de ce qu’il ne peut révéler.
(Source : « lefigaro.fr »)
(*) A l’attention des cinéphiles : ce procédé s’appelle « l’effet Rashōmon ». Il tire son nom du classique d'Akira Kurosawa, il consiste à raconter la même histoire avec plusieurs points de vue successifs. NDLR du Blog
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Marina ayant un début de rhume, il était plus prudent qu’elle reste au chaud, JM est donc allé tout seul voir hier en matinée ce film au Cinéma Convention. Situé à 25 min à pied de la rue St-Christophe, c’était aussi une occasion de pratiquer un peu de « marche sportive », il lui reste encore 3 grosses parts de Galette des Rois à éliminer !!!
Pour être tout à fait franc, à plusieurs reprises il a failli quitter la projection. Et ce n’est pas du tout à cause du principe narratif du film (le fameux « effet Rashōmon ») duquel il était prévenu et qui ne l’a absolument pas perturbé. Le film « Dunkerque » de Christopher Nolan qu’il a vu avec Marina et qu’ils ont beaucoup apprécié était basé sur ce même principe…
Non, ce qui l’a gêné, c’est l’interprétation des acteurs adultes, sûrement très bons au demeurant mais qui ne correspond pas du tout aux critères auxquels il est habitué. Les mimiques et la gestuelle sont souvent très appuyées et certaines scènes, voire des aspects du scénario, lui ont même semblé ridicules.
C’est la troisième partie du film qui lui a fait ne pas regretter d’être parti tôt de la maison, dans un froid glacial et, surtout, d’être resté jusqu’à la fin du film.
Malgré tout, il ne lui donne que ❤️❤️❤️ sur 5. Dans la filmographie de Kore-eda, il préfère nettement quelques-uns de ses films précédents et estime qu’il n’a jamais dépassé ou même égalé son quatrième film, « Nobody Knows »... sans la moindre réserve, un pur chef-d’œuvre !
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万引き家族, 2018
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Ai no mukidashi (Love Exposure) - 6/10
(Exposición de amor)
#movies#Love Exposure#Ai no mukidashi#Sion Sono#Takahiro Nishijima#Hikari Mitsushima#Sakura Andô#Yutaka Shimizu#Makiko Watanabe#Hiroyuki Onoue#Atsuro Watabe#Tasuku Nagaoka
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Shoplifters (2018)
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Shoplifters, 2018, Hirokazu Koreeda
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