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LÉGENDES DU JAZZ
LEROY JENKINS, VIOLONISTE DE FREE JAZZ
‘’Our music was a result of Ornette Coleman and Cecil Taylor. And we prided ourselves on taking it further, because we studied Cage, and Xenakis, and Schoenberg, and all those guys. They were the ones who broke away from the old way in classical music, so we had to study them to see how we could break away."
- Leroy Jenkins
Né le 11 mars 1932 à Chicago, en Illinois, Leroy Jenkins était issu d’une famille pauvre. Jenkins avait passé son enfance dans un appartement de trois chambres du South Side avec sa mère, sa soeur, deux tantes, et à l’occasion, un chambreur. Jenkins, qui avait été mis en contact avec la musique dès son plus jeune âge, avait raconté plus tard avoir écouté Charlie Parker, Dizzy Gillespie et des chanteurs comme Billy Eckstine et Louis Jordan durant sa jeunesse.
Jenkins était âgé de sept ans lorsqu’une de ses tantes avait apporté à la maison un ami de coeur qui jouait du violon. Après avoir entendu le petit ami de sa tante jouer une danse hongroise plutôt difficile à exécuter, Jenkins avait demandé à sa mère de lui acheter un violon. Jenkins s’était finalement retrouvé avec une violon miniature de couleur rouge de marque Montgomery Ward d’une valeur de vingt-cinq dollars. Après avoir commencé à prendre des leçons, Jenkins s’était produit dès l’âge de dix ans à la St. Luke's Church, une des plus grandes églises baptistes de la ville, où il avait été accompagné au piano par Ruth Jones, la future Dinah Washington. Jenkins s’était éventuellement joint à la chorale et à l’orchestre de la Ebenezer Baptist Church, qui était dirigé par le Dr. O. W. Frederick, qui l’avait initié à la musique de compositeurs de couleur comme William Grant Still et Will Marion Cook. Multi-instrumentiste, Jenkins avait également appris à jouer de la clarinette, du saxophone alto, du basson et de la viole durant son enfance.
À l’adolescence, Jenkins avait étudié au légendaire DuSable High School, où il avait troqué le violon pour la clarinette et le saxophone alto, car l’école n’avait pas d’orchestre, ce qui limitait ses possibilités de jouer du violon. Au DuSable High School, Jenkins avait étudié sous la direction du célèbre ‘’capitaine’’ Walter Dyett, jouant notamment du basson et de la clarinette avec le groupe de concert de l’école.
Après avoir obtenu son diplôme, Jenkins avait décroché une bourne pour étudier à l’Université Florida A&M, où il avait décroché un baccalauréat en composition et en violon classique. Jenkins avait également fréquenté la Florida Agricultural and Mechanical University à Tallahassee, en Floride, où il avait étudié le basson. Parallèlement à ses études, Jenkins avait également obtenu un revenu d’appoint en jouant du saxophone dans les clubs locaux.
Après avoir décroché un diplôme en éducation en 1961, Jenkins s’était installé à Mobile, en Alabama, où il avait enseigné la musique (et plus particulièrement les instruments à cordes) dans un high school durant quatre ans.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Au milieu des années 1960, Jenkins était rentré à Chicago où il avait obtenu un emploi dans le système d’éducation public. Peu après, Jenkins avait assisté à un événement de l’Association for the Advancement of the Contemporary Musicians (AACM) mettant en vedette la musique du saxophoniste Roscoe Mitchell. Participaient également au concert Maurice McIntyre, Charles Clark, Malachi Favors, Alvin Fielder et Thurman Barker. Jenkins s’était rappelé plus tard avoir été à la fois confus et excité à l’idée de participer à une improvisation collective avec son violon. Jenkins avait alors commencé à participer à des répétitions dirigées par Muhal Richard Abrams. Il expliquait: "it was something different, something where I could really be violinistic... I discovered that I would be able to play more of my instrument and I wouldn't have to worry about the cliches... I found out that I could really soar, I found out how I could really play." Jenkins avait continuer de répéter et de se produire avec le groupe durant quatre ans.
Jenkins avait fait ses débuts sur disque sur l’album d’Abrams ‘’Levels and Degrees of Light’’ en 1967. À la même époque, Jenkins avait commencé à jouer en trio avec les membres de l’AACM Anthony Braxton et Leo Smith, avec qui il avait enregistré l’album ‘’3 Compositions of New Jazz’’ en 1968. Abrams avait également participé à l’enregistrement. L’année suivante, le trio de Jenkins s’était installé à Paris et avait commencé à jouer avec le batteur Steve McCall avec qui il avait formé un groupe appelé Creative Construction Company. À l’époque, McCall était déjà établi en Europe depuis quelques années.
Durant son séjour à Paris, Jenkins s’était produit avec une vaste gamme de musiciens, dont Archie Shepp, Philly Joe Jones, Alan Silva (avec qui il avait enregistré l’album ‘’Luna Surface’’) et Ornette Coleman. À un certain moment, Coleman avait organisé un concert conjoint avec la Creative Construction Company, l’Art Ensemble of Chicago de Roscoe Mitchell et son propre groupe. À la même époque, Jenkins avait également collaboré à un album de Braxton intitulé ‘’B-Xo/N-0-1-47a’’ sur étiquette BYG Actuel.
En 1970, Jenkins avait quitté Paris et était retourné à New York où il avait fondé le Revolutionary Ensemble. Le groupe, qui avait enregistré un total de sept albums, avait également fait des tournées en Amérique du Nord et en Europe.
Jenkins avait expliqué plus tard qu’il avait quitté Paris parce qu’il se sentait mal à l’aise avec le fait qu’il ne parlait pas français. À son arrivée à New York, Jenkins avait repris contact avec Coleman. Il avait même vécu durant quelques mois dans le loft du saxophoniste appelé Artists House. Jenkins précisait: "We stayed downstairs... It was cold down there, where we slept. Ornette gave us a mattress but he didn't realize how cold it was." Devenu le mentor de Jenkins, Coleman l’avait présenté à plusieurs musiciens qui fréquentaient son loft (les lofts étaient d’importants lieux d’improvisation particulièrement actifs à New York à l’époque). Outre Coleman, Jenkins avait également été très influencé par John Coltrane et Charlie Parker.
Parallèlement, Jenkins avait continué de répéter et de jouer avec la Creative Construction Company, ce qui avait donné lieu à la présentation d’un concert à la "Peace Church" de Greenwich Village le 19 mai 1970. Le concert, qui mettait également en vedette Abrams et le contrebassiste Richard Davis, avait été enregistré par Coleman avant d’être publié en deux volumes par les disques Muse. Chacun des deux albums comprenait une composition de Jenkins.
À la suite du concert, Braxton s’était joint au groupe de free jazz de Chick Corea, Circle. En 1971, Jenkins avait fondé le Revolutionary Ensemble avec le contrebassiste et tromboniste Sirone (pseudonyme de Norris Jones) et le percussionniste et pianiste Jerome Cooper. Le groupe avait poursuivi ses activités durant six ans. Parmi les albums du groupe, on remarquait le disque éponyme Revolutionary Ensemble, également connu sous le titre de ‘’Vietnam’’ (mars 1972), qui comprenait une longue jam session de 47 minutes qui visait à démontrer toute l’horreur de la guerre. Le groupe avait enchaîné en décembre de la même année avec ‘’Manhattan Cycles’’ avant de récidiver trois ans plus tard avec ‘’The Psyche’’ qui comprenait une composition de chacun des membres du groupe. Également publié en décembre 1975, l’album ‘’Ponderous Planets on The People's Republic’’ avait expérimenté avec différentes textures. Si Jenkins jouait à la fois de violon, de la viole, du piano et de la flûte sur l’album, Sirone avait alterné entre la contrebasse, les percussions et le trombone tandis que Jerome Cooper avait utilisé plusieurs techniques de percussion. L’album ‘’Ponderous Planets on The People's Republic’’ est aujourd’hui considéré comme un classique.
À la même époque, sous l’influence du Jazz Composers' Orchestra de Carla Bley et Michael Mantler, Jenkins avait assemblé une formation tout-étoile composée d’Anthony Braxton, de Kalaparusha Maurice McIntyre, de Dewey Redman, de Leo Smith, de Joseph Bowie (le frère du trompettiste de l’Art Ensemble of Chicago, Lester Bowie) de David Holland, de Jerome Cooper, de Charles Shaw et de Sirone dans le cadre de l’enregistrement de l’album ‘’For Players Only’’ (janvier 1975).
Après la dissolution du groupe Revolutionary Ensemble en 1977, Jenkins avait fait une tournée aux États-Unis et en Europe. En 1979, Jenkins avait formé le Mixed Quintet, un groupe composé de Jenkins au violon et à la viole, de Marty Ehrlich à la clarinette basse, de J. D. Parran à la clarinette, de James Newton à la flûte et de John Clark au cor français.
En janvier 1975, Jenkins avait publié ‘’Swift Are the Winds of Life’’ un album en duo avec l’ancien batteur et percussionniste de John Coltrane, Rashied Ali.
Au début et au milieu des années 1970, Jenkins avait également joué et enregistré avec des musiciens aussi diversifiés qu’Alice Coltrane, Cecil Taylor (1970), Anthony Braxton (1969-72), Don Cherry, Carla Bley, Albert Ayler, Grachan Moncur III, Rahsaan Roland Kirk, Paul Motian, Cal Massey, Dewey Redman et Archie Shepp.
À la fin des années 1970, Jenkins avait joué et enregistré avec le pianiste et compositeur Anthony Davis et le batteur Andrew Cyrille. Au début de la décennie suivante, Jenkins avait formé le groupe de fusion Sting, une formation largement influencée par le blues qui comprenait deux violonistes (Jenkins et Terry Jenoure), deux guitaristes (Brandon Ross à la guitare électrique et James Emery à la guitare acoustique amplifiée), un bassiste électrique (Alonzo Gardner) et un batteur (Kamal Sabir). Un des meilleurs albums du groupe était ‘’Urban Blues’’ (janvier 1984), un disque qui offrait un mélange plutôt inusité de funk, d’avant-garde, de pop, de gospel, de rhythm & blues et de hip-hop.
En 1981, Jenkins avait publié l’album double ‘’Beneath Detroit’’ avec le New Chamber Jazz Quintet. L’album mettait en vedette Spencer Barefield à la guitare classique douze cordes et à la harpe africaine, Faruq Bey au saxophone ténor, Anthony Holland aux saxophones alto et soprano, Jaribu Shahid à la contrebasse et Tani Tabbal à la batterie, aux percussions et au balafon.
À la même époque, en plus de s’être classé en bonne position dans les sondages des lecteurs et des critiques de Down Beat et de Jazz Magazine, Jenkins avait décroché plusieurs bourses et commandes du New York State Council on the Arts, de la New York Foundation for the Arts, de la Fondation Rockefeller, de Meet the Composer, de Mutable Music et du National Endowment for the Arts (1973, 1974, 1978, 1983 et 1986). Durant cette période, Jenkins avait aussi reçu de commandes d’organismes prestigieux comme le Kronos Quartet, le Brooklyn Philharmonic, le New Music Consort, le Pittsburgh New Music Ensemble, du Lincoln Center Out of Doors, de l’Albany Symphony et du Cleveland Chamber Symphony Orchestra.
DERNIÈRES ANNÉES
Les années 1980 et 1990 avaient été plutôt difficiles pour Jenkins, qui avait commencé à avoir des difficultés à se trouver des contrats pour la première fois de sa carrière. Comme Jenkins l’avait expliqué au cours d’une entrevue accordée au magazine Village Voice, le milieu du jazz était devenu beaucoup plus conservateur, ce qui avait laissé beaucoup moins de place pour le jazz d’avant-garde. Il précisait:
"Wynton Marsalis was in, and people started talking about going back to classic jazz. We couldn't play in clubs. As soon as we'd walk in, the jazz guys, the beboppers, would walk out. We'd come in and make a big sound, and they didn't go for it. They'd say, 'Oh, the noisemakers.' They wanted chord changes. Our music was a result of Ornette Coleman and Cecil Taylor. And we prided ourselves on taking it further, because we studied Cage, and Xenakis, and Schoenberg, and all those guys. They were the ones who broke away from the old way in classical music, so we had to study them to see how we could break away."
À la fin des années 1980, Jenkins avait quand même réussi à enregistrer et à participer à des tournées avec le quintet de Cecil Taylor, même si les choses n’étaient décidément plus ce qu’elles étaient.
Même s’il n’avait presque plus enregistré au milieu des années 1980 et au début des années 1990 et qu’il avait presque abandonné le jazz pour se consacrer à la composition de musique classique, Jenkins avait été très actif dans le Composers Forum, un groupe de pression de New York. Au cours de cette période, Jenkins s’était également produir en duo avec le saxophoniste Joseph Jarman de l’Art Ensemble of Chicago.
À la même époque, Jenkins avait continué de démontrer ses talents d’improvisateur, notamment dans le cadre de son album ‘’Solo’’ (1998), un enregistrement sans accompagnement dans lequel il avait revisité les oeuvres de John Coltrane et de Dizzy Gillespie. Il ne s’agissait pas du premier album solo de Jenkins, qui avait déjà publié en janvier 1977 un album live intitulé Solo Concert, qui avait été suivi en juillet 1978 de l’album ‘’Legend of Ai Glatson.’’ Jenkins avait également publié d’autres enregistrements en solo sur l’album ‘’Santa Fe’’ en octobre 1992.
Parmi les albums néo-classiques de Jenkins, on remarquait ‘’Lifelong Ambitions’’ (mars 1977) avec Muhal Richard Abrams, une improvisation électronique de vingt et une minutes avec Richard Teitelbaum et George Lewis aux synthétiseurs dans le cadre de l’album ‘’Space Minds/ New Worlds/ Survival America’’ (septembre 1978), le Quintet No 3 pour violon, cor français, clarinette et clarinette basse (enregistré avec Marty Ehrlich), l’album ‘’Mixed Quintet’’ (mars 1979) et la pièce ‘’Free at Last’’ publiée sur l’album ‘’Straight Ahead/ Free at Last’’ (septembre 1979) mettant en vedette le violoncelliste Abdul Wadud.
Toujours dans les années 1990, Hans Werner Henze, le directeur artistique du Munich Biennial New Music Theatre Festival, avait chargé Jenkins de composer un danse-opéra intitulé ‘’Mother of Three Sons’’ (1991), une oeuvre qui faisait une sorte de synthèse entre les danses africaines, le jazz d’avant-garde et le folklore d’origine africaine. L’oeuvre, qui racontait l’histoire d’une femme qui tentait de donner naissance à des fils parfaits en copulant avec les dieux, s’appuyait sur la collaboration du chorégraphe et réalisateur Bill T. Jones et de la livrettiste Ann T. Greene. L’oeuvre, qui avait été présentée en grande première à Aachaen en Allemagne en 1990, avait également été interprétée par le New York City Opera en 1991 et le Houston Grand Opera l’année suivante.
Jenkins avait poursuivi son exploration de la musique classique dans les années 1990 et 2000 avec des oeuvres comme ‘’Fresh Faust’’ (1994), un opéra de jazz-rap (dans lequel il revisitait la légende de Faust) qu’il avait composé pour l’Institute of Contemporary Art de Boston, et ‘’The Negro Burial Ground’’ (1996), une cantate produite par la troupe The Kitchen et qui avait été présentée par l’Université du Massachusetts à Amsherst. Basée sur un livret d’Ann T. Greene, l’oeuvre traitait de la pierre tombale d’un esclave du 18e siècle qui avait été découverte en 1991 sur une propriété de Wall Street. Parmi les autres oeuvres majeures de Jenkins, on remarquait ‘’Editorio - The Three Willies’’ (1996), un opéra multimédia qui avait été présenté au Painted Bride de Philadelphie ainsi que ‘’Coincidents’’, un opéra basé sur un livret de Mary Griffin. L’oeuvre avait été présentée à la Roulette de New York.
Même s’il enregistrait beaucoup moins, Jenkins avait fait paraître d’autres albums dans les années 1990, dont ‘’Themes and Improvisations on the Blues’’ (1992), qui mettait en vedette des cordes, des cuivres, de la contrebasse et du piano sur quatre pièces. En 1993, Jenkins avait enchaîné avec un album en concert intitulé ‘’Leroy Jenkins Live!’’ qui comprenait à la fois une section rythmique traditionnelle et des synthétiseurs.
À la même époque, Jenkins avait également participé à une réunion du Revolutionary Ensemble. En 1998, Jenkins avait enregistré avec le multi-instrumentiste Joseph Jarman de l’Art Ensemble og Chicago l’album ‘’Out of the Mist’’, un enregistrement qui combinait la musique africaine et asiatique au jazz, en passant par la musique classique européenne contemporaine. Par la suite, Jenkins avait prolongé sa collaboration avec Jarman en formant le trio Equal Interest avec la pianiste Myra Melford. Le groupe avait publié un album éponyme en 2000 qui refétait les intérêts de chacun de ses membres. Le critique du magazine Down Beat, James Hale, avait écrit au sujet de cet album: "Jarman's devotion to Buddhism dovetails with Melford's interest in music for the harmonium, while Jenkins thrives on developing thematic patterns that span musical cultures from East Asia to Appalachia. Together, the three create music that defies categorization beyond the beauty and humanity that suffuse all of it."
En 2004, Jenkins avait formé le groupe Driftwood, un quartet qui comprenait Min Xiao-Fen au pipa, Denman Maroney au piano et Rich O'Donnell aux percussions. Le groupe avait publié l’album ‘’The Art of Improvisation’’ en octobre de la même année. En 2005, Jenkins avait retrouvé le Revolutionary Ensemble avec qui il avait publié deux albums live: ‘’The Boundary of Time’’ (mai 2005) et ‘’Counterparts’’ (novembre 2005). Le groupe avait publié son dernier album studio en juin 2004. Intitulé ‘’And Now’’, l’album comprenait une composition de vingt et une minutes du batteur Jerome Cooper.
Au cours de sa carrière, Jenkins avait collaboré et fait des tournées avec de nombreux chorégraphes. Il avait également fondé un groupe d’improvisation basé sur la World Music. En 2004, Jenkins avait été lauréat d’une bourse de la Fondation Guggenheim. Il avait aussi joué comme musicien-résident dans plusieurs universités américaines, dont les universités Duke, Carnegie Mellon, Williams, Brown, Harvard et Oberlin. Également professeur, Jenkins avait enseigné la musique dans un high school de Mobile, en Alabama, de 1961 à 1965, puis dans les écoles de Chicago de 1965 à 1969.
Leroy Jenkins est mort d’un cancer du poumon à New York le 24 février 2007. Il était âgé de soixante-quatorze ans. Au moment de sa mort, Jenkins travaillait sur deux nouveaux opéras: une histoire du quartier South Side de Chicago, et ‘’Minor Triad’’, un drame musical sur les artistes de jazz Paul Robeson, Lena Horne et Cab Calloway. Jenkins vivait à Brooklyn au moment de son décès. Jenkins laissait dans le deuil son épouse Linda Harris et sa fille Chantille Kwintana. Le dernier membre survivant du groupe Revolutionary Ensemble, le batteur Jerome Cooper, est mort en 2015.
Influencé par plusieurs styles musicaux allant de la musique afro-américaine au bebop en passant par la musique classique européenne, Leroy Jenkins, qui avait été un des principaux leaders du jazz d’avant-garde durant quatre décennies, n’avait jamais cessé de se réinventer. Comme l’avait déclaré un critique du San Francisco Chronicle, "Jenkins is a master who cuts across all categories." Au cours de sa carrière, Jenkins avait publié une douzaine d’albums sous son propre nom.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Leroy Jenkins.’’ Wikipedia, 2024.
‘’Leroy Jenkins Biography.’’ Net Industries, 2024.
RATLIFF, Ben. ‘’Leroy Jenkins, 74, Violinist Who Pushed Limits of Jazz, Dies.’’ New York Times, 26 février 2007.
SCARUFFI, Pierro. ‘’Leroy Jenkins.’’ Piero Scaruffi, 2006.
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A little photo dump of Millie Lamar, the albino circus performer who inspired Ruth Vedette’s character <3
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En 2010, elle a postulé pour le numéro d'octobre de Men's Health dans le cadre du projet Women of Men's Health, et le magazine masculin Maxim a inclus Alison Brie dans sa liste 2010 Hot 100
En 2011, elle joue dans le drame "Montana Amazon" et le film d'horreur "Scream 4". Puis elle est apparue dans la comédie de Nicholas Stoller Married A Little Bit avec Jason Segel et Emily Blunt, le film Kings of Summer, et dans le mélodrame Love Without Commitments. En 2014, Alison Brie a présenté Kitty dans la comédie animée Lego. Film". 5 ans plus tard, elle retrouvera ce rôle dans la suite. En 2017, Brie a joué l'un des rôles principaux dans la série télévisée Glitter avec Liz Flahive et Carly Mensah, pour laquelle en 2018 (et encore en 2019) elle a reçu une nomination pour le Golden Globe Award de la meilleure actrice dans une série télévisée - comédie ou musicale. Son personnage est l'actrice au chômage Ruth Wilder, qui, avec des dizaines de femmes, est invitée à auditionner pour une émission télévisée sur la lutte féminine. Elle a immédiatement un conflit avec le réalisateur de l'émission, Sam Sylvia, à cause de son habitude de surjouer sur le ring. Les problèmes s'aggravent lorsque sa meilleure amie et ancienne star de feuilleton Debbie Egan découvre que son mari l'a trompée avec Ruth. Ce combat fait instantanément des filles les vedettes du spectacle.
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Nowhere
Recensie Nowhere ★★★1/2 - vanaf 29-9 in de bioscoop Het goede zat hem vooral in de opbouw van het verhaal. De beste film van Peter Monsaert tot nu toe.
De dramafilm Nowhere gaat over André. Er breekt een dakloze jongen bij hem in. Een jongen waarmee hij uiteindelijk, na een stroeve start, een band mee opbouwt. Wat wij van Nowhere vinden, lees je in onze recensie. (more…)
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Following our recent posts marking the 60th anniversary of the wedding of Julie Andrews and Tony Walton, here we shine a brief spotlight on how the newlyweds were covered by the media in the early years of their marriage. Their May 1959 wedding was a definite high-water mark of media exposure for Julie and Tony but public interest didn’t end once they’d walked down the aisle. Newspapers and magazines continued to feature regular stories and photos about the ‘happy couple’, detailing what they were up to and how they were adapting to life as husband-and-wife.
Much of the coverage presented the newlyweds as a quintessentially modern couple who were combining the twin demands of dual careers with companionate marriage. A multi-page profile in the January 1960 issue of British women’s magazine, Housewife serves a good case-in-point. Essentially a ‘celebrities at home’ pictorial, the article marshals the couple’s “delightful new home––a large flat overlooking Eaton Square––to which they went when they were married eight months ago” as a symbolic expression of the blended amalgamations of marital domesticity (Antony: 38).
The “Andrews-Walton flat is a combination of their two careers,” the article chirps, “Julie’s piano has a prominent place and one room is made into Tony’s studio” (Antony: 40). Elsewhere it describes a cosy everyday scenario of domestic give-and-take as “Julie spends hours practising her singing” with Tony acting as one of her “sternest musical critics,” while Julie in turn “gets a thrill out of Tony’s work for the theatre [and] enjoys posing for his costume designs” (38-39). The image painted here is a transactional blend of conventional married home-life with newer forms of egalitarian coupledom: “two young people––both so young and in love––embarking on a duet” in “their lovely new home...a good basis for security in their marriage” (40-41).
Other profiles were considerably less blithesome. A recurrent refrain in a lot of the media coverage of Julie and Tony’s marriage was the perceived challenges faced by a couple in which, as one early newspaper report put it, “the wife’s name has embarrassingly eclipsed the husband’s” (Wilson: 10). In an era still tethered to orthodox notions of male breadwinners and female homemakers, a union in which the wife assumed greater professional and financial prowess than the husband was sufficiently novel to evoke both curiosity and, at times, unease.
In the newspaper profile just mentioned, Cecil Wilson (1959) strikes a note of thinly-veiled anxiety when discussing what he apprehends as a gendered dilemma in the couple’s marriage. Titled “How Not to Be Known as Mr Julie Andrews”, the article asserts a very traditional view of marriage in terms of masculine dominance and feminine support. “No man could have done more in less time” than Tony Walton, it proclaims, “to rise above the reflected glory of being ‘Julie Andrews’s husband’ or, worse still, the ignominious label of ‘Mr. Julie Andrews’” (10). “Since his childhood sweetheart from Walton-on-Thames consolidated her...stardom in My Fair Lady, he has firmly established the name of Tony Walton by designing four West End shows...[and n]ow, to give Julie Andrews further pride in being known as Tony Walton’s wife, he has gone into management” as a theatre producer (ibid.).*
It is a testament to Julie and Tony’s fortitude and well-grounded emotional security that, for the most part, they deflected such concerns as immaterial. Responding to a reporter’s question about how her status as “one of the country’s wealthiest young actresses” impacted her new married lifestyle, Julie demurred: “I don’t know how much I’m worth...We haven’t a car, although I hold a licence. But Tony holds the important licence, the marriage one” (Hickey: 3). Later, on the eve of her departure for New York to start rehearsals for Camelot, Julie mused further on the ambivalent demands of career and marriage: “Of course it’s nice to get back to work. I love the stage. But what I really like and what I want to do is to settle down and be plain Mrs. Walton” (Tanfield: 12).
For his part, Tony Walton struck a particularly mature and, for the time, progressive attitude to the unorthodox dynamics of his and Julie’s marriage. When asked in a 1959 interview if he experienced “professional jealousy” of Julie, he replied with categorical pragmatism: “Not a bit. After all, Julie has one career and I have another. But I still wouldn’t rank my fame with hers” (Wilson: 10). It was a consistently balanced approach he maintained––at least publicly––right throughout the marriage, even after Julie had graduated to the exponentially increased fame and fortune of film stardom. “[T]he embarrassments people see for me are easily coped with because they’re so absurd,” he remarked in a 1966 article, “I’d be stupid if I let them affect me” (Leslie: 8). If there is any problem, he ventured in an admirably democratic take on modern marriage, it is
“who at any one time is going to be the support. I don’t mean financial but emotional––which is the basis on which the whole marriage is built. When Julie and I were both in the theatre, and she was rehearsing at something and I was working at something else, the pressure times would swing back and forth between us. And at times I’d find myself taking on an almost feminine role, trying to calm, soothe, protect or whatever. And then as soon as I was deeply involved and under pressure then the roles would be reversed. I think if I were an over-dominant kind of male I’d find this situation harder to cope with. But neither of us is over-poweringly masculine or over-poweringly feminine” (ibid.)
That the marriage of Julie Andrews and Tony Walton ultimately didn’t last is a matter of historical record. Following extended periods of separation, the two officially filed for divorce in November 1967, eight and a half years after they were wed (”Julie Andrews Suing”: I-23). But the pair have, by all accounts, maintained a strong and enduring friendship, even after both of them found and subsequently married new partners (Robins: D-6). In fact, Julie is fond of recounting how Tony and his second wife, Gen LeRoy-Walton, affectionately refer to her as “our ex” (Andrews: 323). “They’re best friends and they gang up against me,” explains Tony Walton of the relationship between his former and current partners (McDonnell: 3D). As Julie observed in a 2001 interview: “[T]he divorce was extremely sobering but I've known [Tony] since I was 13 and he was 12, and you cannot undo that knowledge” (Birch: 16).
Notes:
* This kind of angst-ridden discourse about the perceived gendered power imbalance of the Andrews-Walton marriage intensified once Julie made the move to Hollywood and the even greater success of global film stardom. “When a wife starts earning much more money than her husband,” wrote one especially egregious example, “the marriage is not long for the lasting” (Shearer: 15). Such sensationalist commentary was evident even in international reports.”Julie Andrews and her prince-consort” was how one French-language article billed the marriage (Von Cottom: 22).
Sources:
Andrews, Julie. Home: A Memoir of My Early Years. London: Weidenfeld & Nicolson, 2008.
Antony, Jonquil. “Theatrical Duet in Eaton Square.” House Wife. March 1960: 38-41.
Birch, Helen. “Truly Andrews.” Daily Telegraph. 7 December 2001: 15-16.
Hickey, William. “For Julie it’s the Beginning.” Daily Express. 8 August 1959: 3.
Jordan, Ruth. “No Fashion Fuss for Julie.” Woman’s Journal. December, 1959: 26-27, 134.
“Julie Andrews Suing Designer for Divorce.” Los Angeles Times. 15 November 1967: I-23.
Leslie, Ann. “Beating the Hysteria: ‘Mr. Julie Andrews’.” Daily Express. 19 April 1966: 8.
McDonnell, Brandy. “Tony Time.” The Oklahoman / Sunday Life. 27 May 2018: D1-D3.
Robins, Cynthia. “When Art and Love Meld Successfully.” San Francisco Examiner. 6 September 1992: D-6.
Shearer, Lloyd. “When a Wife Earns More than a Husband.” Parade. 9 July 1967: 14-15.
Tanfield, Paul. “My Year of Bliss...by Julie Andrews.” Daily Mail. 18 August 1960: 12.
Von Cottom, Joseph. “Julie Andrews et son prince-consort: le pitoyable drame des maris de vedettes.” Ciné-Télé-Revue. 4 August 1966: 22-23.
Wilson, Cecil. “How Not to Be Known as Mr Julie Andrews.” Daily Mail. 24 September 1959: 10.
Photographs by John Dixon, George Konig, and anon.
© 2019 Brett Farmer All Rights Reserved
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Era il diciassettesimo giorno.
Le persone erano ormai state catalogate. Tutto il processo era avvenuto nell'arco di dieci giorni. Porta a porta, da militari asettici, muniti di bianchi scafandri idrorepellenti e privi di connotati. Mascherine ruggenti emettenti voci metalliche: l'aria era tossica, ma limpida e fredda.
Le retate avvenivano ad ogni ora, silenziose, solo l'eco ovattato delle sirene si intervallava allo sbattere duro delle porte degli autocarri blindati, via dopo via, abitazione dopo abitazione.
Ad ognuno era stato assegnato un codice, apposto sulla nuca, appena sotto l'attaccatura dei capelli. Non visibile, ma infiltrato nel midollo. Un microchip leggibile con appositi scanner. I detectors erano stati posizionati all'ingresso di ogni casa, supermercato, ufficio postale, banca, ospedale. Confini virtuali segnavano la suddivisione delle zone: la Zona 1, la Zona 2 e la Zona 3. Una volta entrato ed assegnato ad una delle zone gli spostamenti erano illegali. I limiti delle aree erano costantemente e serratamente monitorati da droni in grado di leggere i microchip: nessuno era mai riuscito ad indagare il destino di chi aveva cercato di varcarli, gli “Scomparsi”. Gli Scomparsi che si contavano erano quasi quanto coloro che morivano per l'infezione.
Catalogati e schedati. Dal giorno alla notte famiglie si trovarono divise, metodo di discernimento un test che ogni cittadino venne invitato a compilare pochi giorni prima dell'inizio delle retate. Nessuno era conscio delle conseguenze che avrebbero comportato quelle poche domande e le loro risposte. Comunicare il minimo indispensabile, mantenere l'ignoranza.
Fu così che vennero distinti gli “Infetti”, i “Contatti” ed i “Sani”.
I primi vennero accentrati nella Zona 1, trasportati con enormi camion isolati. Il loro passaggio era preceduto da assordanti sirene che ne avvertivano il transito e seguito da nuvole di antisettico bianco per cancellarne le tracce. La roccaforte era l'Ospedale. Si sapeva chi entrava, ma la modalità di uscita era ignota. Morivano come mosche, il ricambio era rapido. Una cappa di fumo denso aleggiava persistentemente sopra la Zona 1.
I Contatti erano stati relegati nella Zona 2, sottoposti a continui e rigidi controlli, le loro porte di casa furono sprangate: migliaia di prigioni domestiche. Numerosi di loro si contavano ogni giorno tra gli Scomparsi o venivano trasferiti con la forza nella Zona 1, per punizione o per viraggio del codice: i detectors erano ovunque.
I Sani furono allontanati nella Zona 3, all'esterno, nella periferia, costretti ai lavori di pubblica utilità, allo smistamento delle informazioni. Mantenuti all'oscuro di ciò che succedeva nel cuore della Cittadella. Abili, diligenti ed acefali lavoratori: dovevano produrre per il sostentamento.
Il potere era in mano ai “Guariti”, quei Contatti abbastanza ricchi che ebbero la possibilità di effettuare il test per confermare l'avvenuta immunizzazione: essi potevano muoversi da una zona all'altra, facendo da filtro e controllo delle informazioni provenienti dalla Roccaforte Ospedaliera. Il centro del potere era il Baluardo, posto su una collina rialzata della Zona 3, assediata e blindata 24 ore su 24.
Vi erano poi gli “Ibridi”, coloro addetti al contatto con gli Infetti, il personale della Roccaforte e della Zona 1. Si suddividevano nei “Curatori” preposti all'assistenza degli infetti, alla ricerca, alla limitazione delle perdite e nei “Militi” le forze armate che mantenevano l'ordine e coordinavano i trasferimenti e le retate.
I Curatori erano costretti in un'area limitata della Zona 2, gli era negato di effettuare il test di conferma per la ricerca dell'immunizzazione ed avevano il divieto di testimoniare ciò a cui assistevano nella Roccaforte; non potevano avere relazioni tra di loro, né soprattuto con i Contatti e con i Sani: ciò che succedeva nel cuore della Cittadella non doveva essere divulgato. Altrimenti i Sani si sarebbero ribellati ed tra i Contatti sarebbe scoppiato il panico.
I Militi erano stati plagiati dai Guariti, addestrati al controllo più spietato ed al massimo rigore, le loro vedette avevano milioni di occhi virtuali tramite i droni. Le loro divise erano i bianchi scafandri. Svuotati di sentimenti.
“Fai attenzione mi raccomando, ci rivedremo più presto possibile” così Misha salutò Ruth 18 giorni prima, prima della suddivisione. Lui, Misha, un curatore, lei, Ruth, una curatrice. Non sapevano cosa si sarebbero ritrovati a fronteggiare. Le loro famiglie erano state assegnate alla Zona 3, il virus non li aveva ancora raggiunti. Loro erano stati reclutati come Curatori, avevano le competenze, ed il giorno seguente vennero trasferiti nella Zona 2 in abitazioni separate, con tutti gli altri Curatori.
I Curatori non potevano avere rapporti tra di loro: vietato il contatto corporeo, vietata la parola. Anonime mascherine a nascondere i visi e sguardo basso. Dovevano trattare gli Infetti, ma non risanarli, i Guariti non volevano questo. Tutto era un mistero, il Baluardo era emetico: nessun rapporto filtrava dalle sua mura.
Nessuno sapeva, ipotesi serpeggiavano insieme al terrore, insieme al virus.
L'atmosfera diventava ogni giorno più cupa e densa.
Misha e Ruth si sarebbero presto trovati a combattere una guerra fredda e subdola, che avrebbe coinvolto Sani e Contatti infiltrati, Militi corrotti ed Infetti guariti.
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[TASK 075: MEXICO]
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F:
Beatriz Aguirre (1926) Mexican - actress.
Luz María Aguilar (1935) Mexican - actress.
Jacqueline Andere (1936) Mexican - actress.
Susan Kohner (1936) Mexican [Roman Catholic, Czech Jewish] - actress.
Joan Baez (1941) Mexican / English - musician and activist.
Norma Mora (1943) Mexican [Unspecified Arab, Jewish, Irish] - actress.
Susana Alexander (1943) Mexican [German Jewish] - actress, hostess, producer, director, and dancer.
Victoria Wyndham (1945) Mexican / Unknown - actress.
Linda Ronstadt (1946) Mexican [Spanish, possibly other], German, English, Italian / English, German, Dutch - singer and actress.
Liliana Abud (1948) Mexican [Lebanese] - actress and screenwriter.
Olivia Harrison (1948) Mexican (including Spanish, Unspecified Indigenous, more distant African) - author and producer.
Belita Moreno (1949) Mexican - actress.
Rosanna DeSoto (1950) Mexican - actress.
Lynda Carter (1951) Mexican/Spanish-Mexican / English, German, Scots-Irish/Northern Irish - actress and musician.
Olga Breeskin (1951) Mexican - violinist, dancer and actress.
Lyn May (1952) Mexican [Chinese, Japanese, possibly other] - actress, vedette, and dancer.
Rosa Gloria Chagoyán (1953) Mexican [Armenian] - actress and singer.
Catherine Bach (1954) Mexican - actress.
Jesusa Rodríguez (1955) Mexican - actress, director, and writer.
Amparo Rubín (1955) Mexican [Jewish, possibly other] - singer.
Ana Gabriel (1955) Mexican [Chinese] - singer-songwriter.
Gina Gallego (1955) Mexican - actress.
Janet Arceo (1955) Mexican - actress, TV presenter, announcer, director and businesswoman
Sheila Escovedo / Sheila E (1957) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish] / Creole [African, French, distant English] - drummer, singer-songwriter, actress, and author.
Astrid Hadad (1957) Mexican [Lebanese] - actress and performing artist.
Apollonia Kotero (1959) Mexican, possibly some German Jewish - actress, singer, model, and talent manager.
Lisa Mary Moretti / Ivory (1961) Italian, Mexican/ Swedish, German, Irish - professional wrestler.
Julia Louis-Dreyfus (1961) Ashkenazi Jewish, German, Mexican, English, French, Scottish, Scots-Irish/Northern Irish - actress, comedian, and producer.
Michele Greene (1962) Irish / Mexican, Nicaraguan - actress, musician, and author.
Carmen Amezcua (1962) Mexican - former actress and novelist.
Laura Harring (1964) Mexican [Spanish, possibly other] / Austrian, German - actress and model.
Yareli Arizmendi (1964) Mexican - actor, writer, and director.
Laura Cerón (1964) Mexican - actress.
Rebecca de Alba (1964) Mexican - presenter and model.
Jackie Guerra (1965) Mexican - actress.
Alejandra Bogue (1965) Mexican [English, possibly other] - actress, comedian, tv host, and producer. - Trans!
Alex Meneses (1965) Mexican / Ukrainian, possibly some Polish - actress and model.
Michelle Forbes (1965) Mexican, English, possibly other - actress.
Constance Marie (1965) Mexican - actress.
Hope Sandoval (1966) Mexican - musician.
Marta Martin (1966) Mexican, possibly other / Unknown - actress.
Gabriella Hall (1966) Mexican - model and actress.
Suzette Quintanilla (1967) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish], Cherokee - actress and musician.
Mónica Dionne (1967) Mexican - actress.
Dacia Arcaráz (1967) Mexican - actress.
Lila Downs (1968) Mexican [Mixtec] / British - singer-songwriter and actress.
Vanessa Marcil (1968) Mexican / French, German, English, Italian, Portuguese - actress.
Lupita Jones (1968) Mexican, English, Basque - actress, director, and beauty queen.
Gloria Trevi (1968) Mexican [Spanish Jewish] - singer-songwriter and actress.
Susana Harp (1968) Mexican [Lebanese / Mixe] - singer.
Penélope Menchaca (1968) Mexican - television host, singer, and actress
Lucero Hogaza León / Lucero (1969) Mexican - musician.
Patricia Vonne (1969) Mexican - musician and actress.
Mayrín Villanueva (1970) Mexican - actress and model.
Julieta Venegas (1970) Mexican [French] - musician and producer.
Amairani (1970) Mexican - actress.
Ninel Conde (1970) Mexican - musician and actress.
Alix Bauer (1971) Mexican [German Jewish] - singer.
Ariadna Thalía Sodi Miranda / Thalía (1971) 15/16 Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish], 1/16 Italian - singer-songwriter and actress.
Paulina Rubio (1971) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish, possibly distant Italian, possibly other] - singer, actress, and model.
Bibi Gaytán (1972) Mexican - singer and actress.
Chantal Andere (1972) Mexican [Argentinian, Basque] - actress.
Úrsula Murayama (1972) Mexican [Japanese, possibly other] - actress.
Kate del Castillo (1972) Mexican - actress.
Marisol Nichols (1973) Mexican [Spanish, possibly other] / Hungarian Jewish, Romanian Jewish, German Jewish - actress.
Delilah Vaniity Kotero / Vaniity (1973) Mexican [Purepecha] - porn actress and model. - Trans!
Jennifer Hanson (1973) Norwegian, German, Catalan, Mexican, Irish, possibly English - musician.
Oscar De La Hoya (1973) Mexican (including Spanish, Castilian, Unspecified Indigenous, and some African) - boxer.
María Fernanda Blázquez Gil / Fey (1973) Mexican [Argentinian] - singer.
Alpha Acosta (1973) Mexican - actress.
Anaís (1974) Mexican - actress.
Sandra Navarro Gillette / Gillette (1974) Mexican / Puerto Rican - musician.
Ara Celi (1974) Mexican - actress.
Adrienne Janic (1974) Mexican, Serbian - actress and television host.
Angélica Vale (1975) Venezuelan / Mexican, possibly other - actress, musician, and comedian.
Eva Longoria (1975) Mexican [Mayan, Unspecified African, Spanish] - actress, producer, and director.
Itatí Cantoral (1975) Mexican [Spanish, including Andalusian, possibly other], Chilean, French / Argentinian [Italian] - actress, singer, dancer, and producer.
Jaydy Michel (1975) Mexican [Unspecified Indigenous, Unspecified African, Spanish, distant French] / English, Irish, Welsh, Norwegian, French - actress and model.
Alanna Ubach (1975) Mexican / Puerto Rican - actress and singer.
Sara Ramirez (1975) ¾ Mexican, �� Irish - actress and singer-songwriter.
Aracely Arámbula (1975) Mexican [French, Basque, possibly other] - actress, model, and singer.
Ruth Livier (1975) Mexican - actress.
Jaci Velasquez (1976) Mexican, Spanish, French, Scottish, Arab - actress and musician.
Vinessa Shaw (1976) Russian Jewish, Italian, German, Irish, English, Mexican, and Swedish - actress and model.
Mariana Seoane (1976) Argentinian / Cuban, Mexican - actress, model and singer.
Shar Jackson (1976) Mexican, Puerto Rican / African-American, Unspecified Native American (Unconfirmed) - actress and singer.
Natalia Livingston (1976) Mexican, Ashkenazi Jewish, Swiss, German / English, Irish, French - actress.
Jessica Mas (1976) Mexican, Puerto Rican - actress.
Iyari Limon (1976) Mexican - actress.
Alana de la Garza (1976) Mexican, Irish - actress.
Elsa Benítez (1977) Mexican - model and presenter.
Marisa Ramirez (1977) Mexican (five eighths), along with Scottish, Scots-Irish/Northern Irish, German, possibly English, Irish, French, Unspecified Native American - actress.
Nancy Taira (1977) Mexican [Japanese] - actress.
Ana de la Reguera (1977) Mexican - actress.
Elizabeth Álvarez (1977) Mexican - actress.
Sophie Alexander (1978) Mexican [German Jewish, possibly other] - actress.
Vanessa Villela (1978) Mexican - actress.
Courtney Ford (1978) Mexican, English, Irish, possibly other - actress.
Kimberly McCullough (1978) Mexican / Irish, possibly other - actress, television director, and dancer.
America Olivo (1978) Italian, Chilean, Mexican, Basque, Spanish / Belgian, Irish - actress, musician, and model.
Maya Jupiter (1978) Mexican [Mayan] / Turkish - rapper, songwriter, MC, and radio personality.
Eden Espinosa (1978) Mexican - actress.
Mandy Gonzalez (1978) Mexican / Jewish [of Polish and Romanian origin] - actress and musician.
Kandee Johnson (1978) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish], Danish, English, Irish, Swedish, remote French and Welsh, likely Scottish - youtuber.
Bibelot Mansur (1978) Mexican / Lebanese - actress.
Ana Serradilla (1978) Mexican [Spanish, possibly other] - actress.
Alejandra Robles (1978) Afro Mexican - singer and dancer.
Aimee Garcia (1978) Mexican / Puerto Rican - actress.
Bárbara Mori (1978) Mexican [Japanese, Lebanese, Basque, Uruguayan] - actress, model, producer, and writer.
Elizabeth Gutiérrez (1979) Mexican - actress and model.
Melina Perez (1979) Mexican - model, actress, retired professional wrestler and valet.
Blanca Soto (1979) Mexican - actress, model and beauty pageant titleholder.
Cristela Alonzo (1979) Mexican - comedian, actress, writer and producer.
Laura Govan (1979) Mexican / African-American - television personality.
Angelique Cabral (1979) Mexican, Unspecified Native American / English, French - actress.
Jacqueline Bracamontes (1979) Mexican / Belgian/Flemish - actress and model.
Jessica Coch (1979) Mexican [Argentinian] - actress.
Nina Mercedez (1979) Mexican [Aztec, possibly other] / Italian, possibly other - model, dancer, producer, and former porn actress.
Sara Maldonado (1980) Mexican - actress.
Sachi Tamashiro (1980) Mexican / Japanese - actress.
Yoanna House (1980) Mexican / European - model and television host.
Lela Loren (1980) Mexican / European - actress.
Rosie Mercado (1980) Mexican - makeup artist, fashion designer and television personality.
Adriana Sage (1980) Afro Mexican - actress, model, and former porn actress.
Marisa Quinn (1980) Lipan Apache / Mexican - actress.
Claudia Álvarez (1981) Mexican - actress and model.
Alexis Bledel (1981) Argentinian [Danish, German] / Mexican [Scottish, English, Irish, Welsh, French] - actress and model.
Christina T / T Lopez (1981) Mexican - actress and musician.
Shawndey “Dey” Gomez (1981) Mexican, Arapaho, Yavapai Apache, Spanish - musician (Dey & Nite).
Tawnya “Nite” Gomez (1981) Mexican, Arapaho, Yavapai Apache, Spanish - musician (Dey & Nite) and actress.
Ericka Cruz (1981) Afro Mexican - beauty pageant titleholder.
Jessica Alba (1981) Mexican [Mayan, Sephardi Jewish, Spanish] / Danish, Welsh, German, English, Scottish, Irish, French - actress.
Miriam Rivera (1981) Mexican - tv personality, model, and porn actress.
Nicole Richie (1981) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish], African-American, Louisiana Creole [Unspecified African, French, English], possibly other - actress, tv personality, author, and fashion designer.
Bitsie Tulloch (1981) Mexican, English, Scottish, Spanish - actress.
Dafne Molina (1982) Mexican - designer, model and beauty pageant titleholder.
Natalia Cordova-Buckley (1982) Mexican - actress.
Anjelah Johnson (1982) Mexican / English, possibly other - her official website states she’s also Unspecified Native American - actress and comedian.
Angélica Celaya (1982) Mexican - actress.
Elena Finney (1982) Mescalero Apache, Mexican [Purepecha], Irish - actress and producer.
Giselle Itié (1982) Mexican / Brazilian - actress.
Martha Higareda (1982) Mexican [Spanish, possibly other] -actress, model, writer, and producer.
Vanessa Laine Bryant (1982) Mexican - insta model.
Vic Fuentes (1983) Mexican - musician.
Fernanda Romero (1983) Mexican - actress, model, and musician.
Aundrea Fimbres (1983) Mexican - musician and dancer.
Lupita Nyong’o (1983) Mexican [Luo Kenyan] - actress.
Vannessa Vasquez (1983) Mexican - actress.
Maite Perroni (1983) Mexican [including Spanish, Italian, Basque, possibly other] - actress, model, and musician.
Ashley Dzerigian (1983) Mexican / possibly French - musician.
Sandra Hinojosa (1983) Ojibwe, Ottawa, Potawatomi, Mexican - actress.
Claudia Salinas (1983) Mexican [Russian Jewish, possibly other] - actress, model, and blogger.
Anahí Giovanna Puente de Velasco / Anahí (1983) Spanish, Mexican - actress and musician.
Brie Bella (1983) Mexican / Italian, English, Irish, Scottish - wrestler.
Nikki Bella (1983) Mexican / Italian, English, Irish, Scottish - wrestler.
Teresa Castillo (1983) Mexican, Chinese, Spanish - actress.
Tessa Thompson (1983) Afro Panamanian / Mexican, Unspecified European - actress.
Edy Ganem (1983) Mexican, Lebanese - actress.
Johanna Santos Polanco (1983) Afro Mexican / Dominican - model.
Ilean Almaguer (1984) Mexican - actress.
Naima Mora (1984) Mexican, African-American, Native American, Irish - model.
Gabrielle Ruiz (1984) Mexican - actress.
Melody Thornton (1984) Mexican / African-American - musician and dancer.
Celeste Thorson (1984) Mexican [Mescalero Apache, Spanish], Lebanese, Syrian / Korean, Scottish, Irish, English - actress, model, and screenwriter.
Sandra Echeverría (1984) Mexican, Dominican - actress and singer.
Sabrina Bryan (1984) Mexican [Spanish, likely other] / Cherokee, German - actress, singer-songwriter, dancer, and tv personality.
Natalia Lafourcade (1984) Mexican, possibly small amount of English / Chilean, French Basque - musician.
Megan Ewing (1984) Mexican, German - model.
Luz Reality (1984) Mexican - rapper.
Krysta Rodriguez (1984) Mexican / English, possibly other - actress and singer.
Arianny Celeste (1985) ¾ Mexican, ¼ Filipina - model.
Gloria Govan (1985) African-American / Mexican - television personality.
Mariee Sioux (1985) Paiute, Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish] / Polish, Hungarian - singer-songwriter.
Dulce Maria (1985) Mexican, likely around 1/8th German - actress and musician.
Vanessa Huppenkothen (1985) Mexican / German - model, actress, and television presenter.
Karla Souza (1985) Mexican / Chilean [likely Portuguese, possibly other] - actress.
Eréndira Ibarra (1985) Mexican - actress.
Kavka Shishido (1985) Mexican [Japanese] - singer-songwriter, drummer, actress, radio personality, and tv personality.
Alyssa Diaz (1985) Colombian / Mexican - actress.
Sebastián Zurita (1986) Mexican [German, Italian] - actor.
Nazanin Mandi (1986) Iranian, Mexican, Unspecified Native American, Spanish - actress, singer, and model.
Charlyne Yi (1986) Korean, Yuki, Mexican, Irish, German, French / Filipina, Spanish - actress, comedian, musician, and writer.
Audrey Esparza (1986) Mexican [Catalan, Spanish, possibly other] - actress.
Camila Sodi (1986) 31/32 Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish], 1/32 Italian - singer, actress, and model.
Carla Morrison (1986) Mexican [English, possibly other] - singer-songwriter and guitarist.
Cassie Ventura / Cassie (1986) Mexican, African-American, Unspecified Caribbean / Filipina - actress, model, singer, and dancer.
Noël Wells (1986) Tunisian / Mexican, other - actress and filmmaker.
Yrahid Leylanni (1986) Mexican [Lebanese] - actress.
Ana Brenda Contreras (1986) Mexican - actress and singer.
Lauren Lopez (1986) Mexican / Jewish - actress, singer, and dancer.
Mare Advertencia Lirika / Mare (1987) Mexican [Zapotec] - rapper and singer-songwriter.
Courtney McCullough (1987) Chinese / Mexican - actress.
Claudia A. Feliciano / Snow tha Product (1987) Mexican - musician.
Brooke Westbrooks (1987) Mexican, African American, Creole [Unspecified Native American, possibly other], Indian - social media star and tv personality.
Stephanie Sigman (1987) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish] / German, possibly other - actress.
Rose Leslie (1987) ⅛ Mexican, ⅞ mix of Scottish, English, Irish, French Huguenot - actress.
Carla Esparza (1987) Mexican, Ecuadorian / Irish, English, Scottish - professional mixed martial artist.
Bárbara de Regil (1987) Mexican [Lebanese, possibly other] - actress.
Daniella Pineda (1987) Mexican - actress, comedian, and writer.
Summer Bishil (1988) Indian / Mexican, Cherokee, German, English, Dutch - actress.
Teresa Ruiz (1988) Mexican - actress and producer.
Ximena Navarrete (1988) Mexican - actress, television host, model, and beauty queen.
Erica Rivera (1988) Mexican - actress and musician.
Francia Raisa (1988) Mexican / Honduran - actress.
Natalie Mejia (1988) Mexican / Cuban - singer.
Alicia Sixtos (1988) Mexican / Portuguese [including Azorean] - actress.
Teneil Whiskeyjack (1988) Mexican, Plains Cree - actress.
Sara Paxton (1988) Mexican [Spanish Jewish, Dutch Jewish, German, Chilean] / Irish, Scottish, English, French - actress, singer, and model.
Emily Rios (1989) Mexican - actress and model.
Devin Star Tailes / Dev (1989) Mexican, Portuguese - musician.
Paula Deanda (1989) Mexican - musician.
Kristin Herrera (1989) Mexican, Puerto Rican - actress.
Jamillette Gaxiola (1989) Mexican [Lebanese] / Cuban [Lebanese] - beauty pageant titleholder.
Lindsey Morgan (1990) Mexican / Irish - actress.
Morgan Westbrooks (1990) Mexican, African American, Creole [Unspecified Native American, possibly other], Indian - social media star and tv personality.
Nia Sanchez (1990) Mexican, German / Spanish, German, English, other - actress, model, taekwondo coach, television host, and beauty queen.
Kristinia DeBarge (1990) Mexican / Unspecified Other.
Eiza González (1990) Mexican - actress and singer.
Giza Lagarce (1990) Mexican / French - model.
Kristinia DeBarge (1990) ⅜ Mexican [Spanish, smaller amounts Unspecified Indigenous, Unspecified African], ¼ African-American, 1/32 Danish, 1/32 Norwegian, rest mix of English, Irish, French, Welsh, German, Icelandic - singer-songwriter, actress, and dancer.
Liz Lee (1991) Mexican / Unknown - actress.
Seychelle Gabriel (1991) Mexican, French / Italian, Sicilian - actress.
Chanel Celaya (1991) Mexican / English, possibly other - actress and model.
Luz Pavon (1991) Afro Mexican - model.
Cayleigh Elise (1991) Mexican, other - youtuber.
Michelle Álvarez (1991) Mexican - actress and musician.
Kirstin Maldonado (1992) Mexican / Spanish, Italian - singer-songwriter.
Nikki Glamour (1992) Mexican - youtuber.
Shelbie Bruce (1992) Mexican / English, Scottish, German, Scots-Irish/Northern Irish - actress.
Okairy Giner (1992) Mexican - actress.
Raye Zaragoza (1993) Mexican, Akimel O’odham / Taiwanese, Japanese - singer-songwriter.
Daniela Bobadilla (1993) Mexican [Spanish, possibly other] - actress.
Naressa Valdez (1993) African-American, Mexican, Unspecified Native American, Italian, Portuguese - model and instagrammer.
Miranda Cosgrove (1993) ⅛ Mexican, ⅞ mix of Irish, English, French, German [Alsatian] - actress and singer-songwriter.
Ally Brooke Hernandez / Ally Brooke (1993) Mexican - singer.
Nizhoni Cooley (1993) Mexican, Navajo, Irish, Czechoslovakian - model and instagrammer.
Rachel Trachtenburg (1993) Mexican [Jewish, possibly other] - singer, drummer, actress, model, and talk show host.
Crystal Westbrooks (1993) Mexican, African American, Creole [Unspecified Native American, possibly other], Indian - social media star and tv personality.
Anahi Altuzar (1993) Mexican - beauty pageant titleholder. - Trans!
Jasmine Villegas / Jasmine V (1993) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish] / Filipina, German, Irish - singer.
Raini Rodriguez (1993) Mexican - actress and musician.
Bree Westbrooks (1993) Mexican, African American, Creole [Unspecified Native American, possibly other], Indian - actress, social media star, and tv personality.
Julia Michaels (1993) Mexican [Spanish, some Unspecified Indigenous] / Dutch, English, French, German, Irish, Scottish - musician.
Megan Nicole (1993) Mexican / English, German, Scottish, Unspecified Native American - singer, songwriter, actress, and model.
Lourdes Montes / Lulu Montes / Sheslulu (1993) Mexican - youtuber.
Hayley Orrantia (1994) Mexican, English, Irish, French - actress and musician.
Cristina Valenzuela (1994) Mexican, Spanish - youtuber.
Julia Goldani Telles (1995) Mexican [Spanish, probably other] / Brazilian [Italian, probably other] - actress and ballerina.
Sofia Reyes (1995) Mexican - musician.
Issa Lish (1995) Mexican / Japanese - model.
Bethany Mota (1995) Mexican, English / Portuguese - youtuber.
Jessica Sanchez (1995) Mexican [Unspecified Indigenous, Unspecified African, Spanish, possibly other] / Filipina [Aklanon, possibly other], possibly Chinese - singer-songwriter.
Cierra Ramirez (1995) Mexican / Colombian - actress, model, and singer.
Danna Paola (1995) Mexican - actress, model, fashion designer and musician.
Vanessa Merrell (1996) Mexican, Filipina, Spanish, Irish, Portuguese, German - actress, singer, and youtuber.
Georgie Flores (1996) Mexican, remote French - actress.
Veronica Merrell (1996) Mexican, Filipina, Spanish, Irish, Portuguese, German - actress, singer, and youtuber.
India Westbrooks (1996) African American, Mexican, Creole [Unspecified Native American, possibly other, Indian - internet personality.
Lucero Rios (1996) Mexican - isnta model.
Chachi Gonzales (1996) Mexican - dancer, choreographer, and actress.
Brianna Hildebrand (1996) Mexican / German, English, Irish - actress.
Antoinette Marie Martin (1996) Mexican / African-American - model.
Victoria Moroles (1996) Mexican / French, Polish, English, Finnish - actress.
Eva Noblezada (1996) Filipina / Mexican - actress and musician.
Becky G (1997) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish] - actress, singer-songwriter, model, rapper, and dancer.
Matreya Fedor (1997) Mexican - actress.
Rebecca Black (1997) Mexican / English, Polish, Italian - singer.
Emilia McCarthy (1997) Mexican / Unspecified White - actress, dancer, and writer.
Kiana Brown / Kiana Ledé (1997) Unspecified Black, Mexican (Unconfirmed), Cherokee (Unconfirmed), Swedish - actress and musician.
Justine Biticon (1998) Mexican / Filipina - model.
Karol Sevilla (1999) Mexican - actress, singer-songwriter, and youtuber.
Mia Xitlali (1999) Mexican [Aztec, possibly other] - actress.
Madison De La Garza (2001) Mexican - actress.
Jenna Ortega (2002) ¾ Mexican, ¼ Puerto Rican - actress.
Sharon Anne Henderson (?) Navajo, Mexican, Basque - actress.
Dana Jeffrey (?) ¼ Ojibwe, ¼ Thai, unspecified amounts of Mexican, Afro Guyanese, Indo Guyanese, distant English - actress.
Tania Teyacapan Garcia (?) Mexican [Pame, Huastec, Apache, Guachichil, Afro Potosina] - model.
Niña Dioz (?) Mexican - rapper.
Linda Oliver (?) Mexican / Cherokee, Irish - model.
Miranda Lombardo (?) Mexican - beauty pageant titleholder. - Trans!
Morningstar Angeline (?) Navajo, Blackfoot, Chippewa Cree / Mexican, Unspecified European - actress.
Mariana Treviño (?) Mexican [Spanish Jewish] - actress.
Miika Bryce Whiskeyjack (?) Mexican, Plains Cree, possibly other - actress.
Italia Navarrete (?) Mexican - beauty pageant titleholder. - Trans!
Thana Redhawk (?) Mexican [Mexica, Lipan Apache] / Cherokee, Lakota Sioux, Osage - musician and poet.
Brenda Contreras (?) Mexican - beauty pageant titleholder. - Trans!
Kelly Montijo Fink (?) Mexican, Apache, Spanish - singer-songwriter.
Jackeline Arroyo (?) Mexican - actress and presenter.
Giselle Valero (?) Mexican - beauty pageant titleholder. - Trans!
Estrella Hood (?) Mexican [Matlatzinca, Spanish, possibly other] - musician (World Hood).
Soni Moreno (?) Mexican [Apache, Mayan, Yaqui] - musician (Ulali).
Angela Lanza (?) Mexican - actress.
Seidy López (?) Mexican - actress.
Tanya Saracho (?) Mexican - playwright and writer.
Elena Tovar (?) Mexican - actress.
Karime Bribiesca (?) Mexican - model.
Cindy Gradilla (?) Mexican - model.
Chhoti Maa (?) Mexican [Aztec], Peruvian [Quechua] - rapper.
Mariana Zaragoza (?) Mexican - model.
Daniella Valdez (?) Mexican - model.
Jezzy P (?) Mexican - rapper.
Sabinee Camou (?) Mexican - model.
Joss Corona (?) Mexican - model.
Amara Zaragoza (?) Mexican [Purepecha] / German - actress.
Kimberly Loaiza (?) Mexican - instagram model and youtuber.
Erika Palomera Plascencia (?) Mexican - model.
Jailyne Ojeda (?) Mexican - insta model.
Jimena Sanche (?) Mexican - insta model.
Sofia Solares (?) Mexican - insta model.
Samantha Leyva (?) Mexican - insta model.
Patricia Ancira (?) Mexican - actress.
Jessica Meraz (?) Mexican / Scottish, Irish - actress.
M:
Armando Manzanero (1935) Mexican [Mayan] - singer, pianist, accordionist, actor, producer, and composer.
Héctor Bonilla (1939) Mexican - actor.
Abraham Quintanilla Jr. (1939) Mexican (Spanish, Unspecified Indigenous Mexican) - musician and producer.
Manuel Ojeda (1940) Mexican - actor.
Juan Ferrara (1943) Mexican - actor.
Danny Trejo (1944) Mexican - actor.
Cheech Marin (1946) Mexican - actor, comedian, writer, and activist.
Carlos Santana (1947) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish, distant Unspecified African] - musician.
Edward James Olmos (1947) Mexican - actor.
A Martinez (1948) Mexican, Apache / Pikuni Blackfoot, Unspecified Northern European - actor and singer.
Benny Urquidez (1952) Mexican, Blackfoot, Spanish - actor, pro boxer, and choreographer.
Salvador Pineda (1952) Mexican - actor.
Robert Beltran (1953) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish] - actor.
Alejandro Camacho (1954) Mexican - actor and producer.
David Ostrosky (1954) Mexican [Saudi Arabian, Ukrainian Jewish, Polish Jewish] - actor.
Humberto Zurita (1954) MExican - actor, director, and producer.
Griffin Dunne (1955) Irish, English, German, Mexican, Swedish / Irish - actor, producer, and director.
Manuel Landeta (1958) Mexican [Lebanese, Basque] - actor and singer.
Sergio Goyri (1958) Mexican - actor.
Alfredo Adame (1958) Mexican [German] - actor, producer, and host.
Fher Olvera (1959) Mexican [Spanish, possibly other] - singer-songwriter and guitarist.
Fernando Ciangherotti (1959) Mexican [Italian] - actor.
Eduardo Yáñez (1960) Mexican - actor.
Odiseo Bichir (1960) Mexican [Lebanese, possibly other] - actor.
René Casados (1961) Mexican - actor.
Peter Michael Escovedo (1961) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish] / Creole [African, French, distant English] - percussionist.
Emilio Rivera (1961) Mexican - actor and comedian.
Alfonso Mejia-Arias (1961) Mexican [Romani, Spanish] - musician and writer.
Eugenio Derbez (1961) Mexican, some French - actor, comedian, director, writer, entrepreneur, and producer.
Rafael Rojas (1961) Mexican - former model and actor.
Chuck Billy (1962) Mexican / Pomo - musician.
Arturo Peniche (1962) Mexican - actor.
Juan Calleros (1962) Mexican - musician.
Jesse Borrego (1962) Mexican [Mescalero Apache, Aztec] - actor.
Ari Telch (1962) Mexican [Jewish, possibly other] - actor.
Alberto Estrella (1962) Mexican - actor.
Omar Fierro (1963) Mexican - actor and host.
Kevin John Wasserman / Noodles (1963) ¼ Mexican, ¾ mix of German, Irish, possibly other - musician.
Rob Moran (1963) Mexican - actor.
Demián Bichir (1963) Mexican [Lebanese, possibly other] - actor.
Damian Chapa (1963) Mexican [including Spanish and Italian] / German - actor, producer, and director.
A.B. Quintanilla (1963) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish], Cherokee - musician.
Alejandro González Iñárritu (1963) Mexican - actor.
Raúl Araiza (1964) Mexican - actor and presenter.
Héctor Soberón (1964) Mexican - actor.
Guillermo del Toro (1964) Mexican - director, screenwriter, producer, and novelist.
Paul Weitz (1965) ¾ Ashkenazi Jewish, ⅛ Mexican, ⅛ Irish - actor, director, producer, and screenwriter.
Alexis Ayala (1965) Mexican - actor.
Fernando Colunga (1966) Mexican [Spanish, possibly other] - actor.
Bruno Bichir (1967) Mexican [Lebanese, possibly other] - actor.
Matt Chamberlain (1967) Mexican / possibly English - musician and producer.
Carlos Mencía (1967) Honduran, Mexican - comedian, writer, and actor.
Dave Navarro (1967) Mexican [Spanish, some African, possibly other] / English, German, remote Welsh - musician and actor.
Eduardo Santamarina (1968) Mexican - actor.
Jeff Becerra (1968) Mexican [Lebanese] - musician.
Robert Rodriguez (1968) Mexican - director, writer, cinematographer, producer, editor, musician, actor, and cartoonist.
Jorge Salinas (1968) Mexican - actor.
Chris Weitz (1969) ¾ Ashkenazi Jewish, ⅛ Mexican, ⅛ Irish - actor, director, producer, screenwriter, and author.
Israel Jaitovich (1969) Mexican [Jewish, Spanish] - actor, producer, writer, and racing car driver.
Gary Paul Davis / Litefoot (1969) Mexican [Chichimeca] / Cherokee - rapper and actor.
Diego Schoening (1969) Mexican [German Jewish] - actor, singer, and tv host.
Chris Pérez (1969) Mexican - guitarist and songwriter.
Rene L. Moreno (1969) Mexican - actor.
Armando Araiza (1969) Mexican - actor.
Zack de la Rocha (1970) ¾ Mexican [Unspecified African, Sephardi Jewish, Spanish], ¼ mix of English, French, German, Irish, Scottish, Welsh, Dutch, Swiss - rapper, singer-songwriter, and multi-instrumentalist.
Adam Goldberg (1970) Ashkenazi Jewish / German, Mexican, French, English, Irish - actor, musician, director, and producer.
Stephen Carpenter (1970) Mexican / English, possibly other - musician.
José María Yazpik (1970) Mexican [Unspecified Arab] - actor.
Eduardo Capetillo (1970) Mexican [Basque, small amount of Unspecified African] / Spanish - actor and singer.
Noel Gugliemi (1970) Mexican / Italian - actor.
Clifton Collins Jr. (1970) Mexican - actor.
Eddie Bravo (1970) Mexican - Jiu-Jitsu instructor.
Clifton Collins, Jr. (1970) Mexican / German - actor.
Luis Miguel (1970) Mexican [Italian, Spanish] - musician.
Al Madrigal (1971) Mexican / Italian [Sicilian] - comedian and actor.
Bobby Pulido (1971) Mexican - musician and actor.
John Wozniak (1971) ¼ Irish, ¼ Mexican, ½ mix of Polish, Ukrainian, English, Irish, Scottish - musician.
Jacob Vargas (1971) Mexican - actor.
Christian Camargo (1971) ¼ Mexican, ¾ English, possibly other - actor, producer, writer, and director.
Ricardo Antonio Chavira (1971) Mexican / German, Irish - actor.
Mark Consuelos (1971) Mexican / Italian - actor.
Michael Irby (1972) Mexican / African-American - actor.
Kurt Caceres (1972) Mexican / German, English, Irish - actor.
V��ctor Noriega (1972) Mexican - actor, musician, and model.
Mauricio Islas (1973) Mexican - actor.
Alfred Nevarez (1973) Mexican - musician.
Mario Lopez (1973) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish] - actor and television host.
Javier Poza (1973) Mexican - actor.
Efren Ramirez (1973) Salvadoran, Mexican - actor and DJ.
Tariano Adaryll Jackson II (1973) Mexican / African-American - musician.
Chino Moreno (1973) ⅞ Mexican [Unspecified African, Spanish, possibly Unspecified Indigenous], ⅛ Chinese - singer-songwriter, guitarist, and keyboardist.
Jaime Camil (1973) Mexican [Egyptian, possibly other] / Brazilian [Portuguese, possibly other] - actor, singer, and tv personality.
Jean Duverger (1973) Mexican [Haitian, French] - actor.
David Zepeda (1973) Mexican - actor, model, and musician.
Roberto Orci (1973) Mexican [Italian, Spanish] / Cuban - screenwriter and producer.
Juan Manuel Márquez (1974) Mexican - boxer.
Fermin IV (1974) Mexican - musician.
Rey Mysterio (1974) Mexican - wrestler.
Eduardo Verástegui (1974) Mexican - actor, model, and musician.
Cedric Bixler-Zavala (1974) Mexican [German, Spanish, possibly other] - musician.
Pablo Montero (1974) Mexican - musician and actor.
Fabián Robles (1974) Mexican - actor.
Taryll Adren Jackson (1975) Mexican / African-American - musician.
Jaime Luis Gomez / Taboo (1975) Mexican [Unspecified Indigenous, Unspecified African, Spanish], Shoshone - rapper, singer-songwriter, actor, and DJ.
Samuel Parra Cruz / Samo (1975) Afro Mexican - singer-songwriter.
Bodie Olmos (1975) Mexican / English, German, Swiss-French, Swedish - actor.
Tom DeLonge (1975) English, some Mexican - musician, businessperson, and producer.
Gabriel Soto (1975) Mexican - actor and model.
Pato Machete (1975) Mexican - musician.
Valentino Lanús (1975) Mexican - actor.
Aarón Sanchez (1975) Mexican [66.4% European, 24.6% Unspecified Native American, 3.7% Sub-Saharan African, 1.6% North African, 0.7% South Asian, 0.1% Oceanian, 2.9% unknown] - chef and television personality.
Baby Bash (1975) Mexican / English - rapper.
Mauricio Aspe (1975) Mexican - actor.
Frankie J (1975) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish] - musician.
Marco Méndez (1976) Mexican - actor.
Alfonso de Nigris (1976) Mexican [Italian] - actor and television personality.
Adrian Grenier (1976) Mexican [Apache, Spanish], French / English, Irish, Scottish, German - actor, musician, producer, and director.
Carter Oosterhouse (1976) Mexican, Dutch - television personality and model.
Michael Peña (1976) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish] - actor and musician.
Kevin Alejandro (1976) Mexican - actor.
James Roday (1976) Mexican / English, Irish, Scottish, distant Swiss-German and German - actor, director, and screenwriter.
José Pasillas (1976) Mexican - musician.
Toy Selectah (1976) Mexican / Colombian - musician.
Gabriel Iglesias (1976) Mexican - actor, comedian, writer, and producer.
MC Babo (1976) Mexican - rapper (Cartel de Santa).
Nicholas Gonzalez (1976) Mexican - actor.
Raul Castillo (1977) Mexican - actor and playwright.
Edward Furlong (1977) Mexican / Unknown, possibly Russian - actor and musician.
Jorge Poza (1977) Mexican - actor.
Rafael Amaya (1977) Mexican - actor.
José María Torre (1977) Mexican - actor.
Mark Tacher (1977) Mexican [Romanian Jewish] - actor, musician, and tv host.
Erasmo Catarino (1977) Mexican [Nahua] - singer.
Facundo (1978) Mexican [Argentinian] - tv host.
Tito Joe Jackson (1978) Mexican / African-American - musician.
Bocafloja (1978) Mexican - rapper and writer.
RedCloud (1978) Mexican, Huichol - rapper.
Ariel Pink (1978) Mexican [Jewish, possibly other] / Unknown - singer-songwriter and multi-instrumentalist.
Kuno Becker (1978) Mexican (Yaqui, Other Unspecified Native American), German, Spanish - actor.
José Luis Reséndez (1978) Mexican - actor and model.
Carlos Galvan (1978) Mexican / Korean - musician.
Nick Wechsler (1978) Mexican, English, German, Swiss-German, possibly other - actor.
Jay Hernandez (1978) Mexican - actor.
Diego Dreyfus (1979) Mexican - actor and model.
Diego Luna (1979) Mexican / English, Scottish - actor, director, and producer.
Rowan Rabia (1979) Mexican - rapper (Cartel de Santa).
Jeremy Ray Valdez (1980) Mexican / Navajo - actor.
Beau Bokan (1981) Mexican / Unspecified Other - musician.
Manuel Garcia-Rulfo (1981) Mexican - actor.
Eugenio Siller (1981) Mexican / German - actor and musician.
Miguel Torres (1981) Mexican - martial artist.
Joe Arquette (1981) Mexican - actor.
John Joseph Kongos (1981) English, Mexican, Scottish / Greek - musician.
José Ron (1981) Mexican - actor.
Rodrigo Nehme (1982) Mexican [Lebanese, probably other] - actor.
Aarón Díaz (1982) Mexican / Irish - actor, singer, and model.
Cain Velasquez (1982) Mexican - martial artist.
Kalimba Marichal / Kalimba (1982) Afro Mexican / Afro Cuban - actor and singer.
Ferdinando Valencia (1982) Mexican - actor.
Luis Gerardo Mendez (1982) Mexican - actor and producer.
Jesse Garcia (1982) Mexican, Spanish - actor.
Felipe Colombo (1983) Argentinian / Mexican - actor, singer, guitarist, and composer.
Alfonso Herrera (1983) Mexican - actor, producer, and former singer.
José María de Tavira (1983) Mexican / Argentinian - actor.
Manny Montana (1983) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish, Irish] - actor.
Cub Swanson (1983) Mexican / Swedish - martial artist.
Richard Cabral (1984) Mexican - actor.
Kid Cudi (1984) ¾ African-American, ¼ Afro Mexican - rapper and actor.
Jesse Dean Kongos (1984) English, Mexican, Scottish / Greek - musician.
Carlos Condit (1984) Austrian, German, Cherokee, Spanish-Mexican, Unspecified Indigenous Mexican - martial artist.
Paul Rodriguez (1984) Mexican - skateboarder and actor.
MC Dharius (1984) Mexican - actor and rapper (Cartel de Santa).
Chris Olivero (1984) Mexican, Italian - actor.
Big Dan (1985) Mexican [Unspecified Indigenous] - musician.
James Lafferty (1985) Mexican / Irish, English, German, Scots-Irish/Northern Irish - actor, director, and producer.
Michael Trevino (1985) Mexican - actor.
Alex Meraz (1985) Mexican [Purepecha] - actor, dancer, and martial artist.
Miguel Jontel Pimentel (1985) Mexican / African-American - musician, actor, and producer.
Millonario (1985) Mexican - rapper (Cartel de Santa).
Christopher Uckermann (1986) Swedish, German, Mexican - musician.
Joseph Julian Soria (1986) Mexican - actor.
Mark Ballas (1986) Mexican [Spanish, possibly other], Greek / English, Irish - actor, singer-songwriter, guitarist, dancer, and choreographer.
Dylan Gabriel Kongos (1986) English, Mexican, Scottish / Greek - musician.
Peter Gadiot (1986) Mexican / Dutch - actor.
Ricardo Abarca (1986) Mexican - actor.
Imanol Landeta (1987) Mexican [Lebanese, Basque] - actor and singer.
Ryan Guzman (1987) Mexican / English, Scottish, German, Swedish, French, Dutch - actor.
Carlos Athié (1987) Mexican - actor, model, and presenter.
Orson Chaplin (1987) Ashkenazi Jewish, Mexican / English, Irish, 1/16th Scottish - actor and rapper.
Victor Ortiz (1987) Mexican - boxer.
Arin Ilejay (1988) Mexican, Filipino [Aklanon] / Dutch, German, possibly other - drummer.
Alvin Alvarez (1989) Mexican - actor.
Carlito Olivero (1989) Mexican / Puerto Rican - singer-songwriter, actor, and dancer.
Logan Henderson (1989) 50% English, Scottish 25% Mexican 12.5% Moravian (Czech) 12.5% Polish - actor and musician.
Kenta Sakurai (1989) Mexican / Japanese - model.
Lane Hughes (1989) Mexican - actor and musician.
Daniel Lee Kongos (1989) English, Mexican, Scottish / Greek - musician.
Sotelúm (1989) Mexican [Sephardi Jewish] - musician.
Cameron Quiseng (1990) Mexican, Filipino, Native Hawaiian, Unspecified European - bassist.
Levi Johnston (1990) ¼ Mexican, ¾ mix of English, German, Swedish - model and actor.
Diego Amozurrutia (1990) Mexican - actor and model.
Erick Elías (1990) Mexican - actor.
Ryan Bergara (1990) ½ Japanese, ⅜ Mexican, ⅛ Filipino - buzzfeed employee.
Miles Luna (1990) Mexican - actor and filmmaker.
Diego Boneta (1990) Mexican / Puerto Rican, Spanish, German, Swiss - actor and singer-songwriter.
Canelo Álvarez (1990) Mexican [Spanish, possibly other] - boxer.
Jesús Pat Chablé / Pat Boy Rap Maya / Pat Boy (1991) Mexican [Mayan] - rapper.
José Pablo Minor (1991) Mexican - actor, television host, and model.
Erick Lopez (1991) Mexican - actor.
Mariana Bayón (1991) Mexican - model.
Erick Orrosquieta / Deorro (1991) Mexican - DJ.
Jorge Blanco (1991) Mexican - recording artist, dancer, songwriter, and actor.
Ashton Moio (1992) Mexican / Italian - actor.
Cameron Dallas (1994) Mexican, German / Scottish - internet personality, actor, and model.
Michel Duval (1994) Mexican - musician and model.
Beng Zeng (1995) Mexican [Chinese] - actor, comedian, and tv host.
Alen Rios (1995) Mexican, Guatemalan, Chinese, German - actor.
Roman Zaragoza (1996) Mexican, Akimel O’odham / Taiwanese, Japanese - actor.
Ryan Ochoa (1996) brother has said that he is of Mexican descent describing himself as a “white Mexican” - actor.
Juanpa Zurita (1996) Mexican - model and youtuber.
Jacob Emmanuel Perez (1996) Mexican, African-American - musician.
Jimmy Bennett (1996) ¼ Mexican, ¾ mix of German, English, Scottish, Cornish - actor and musician.
Austin Zajur (1996) Mexican / English, possibly other - actor.
Jamison Long / JJ Long (1997) Afro Mexican, Navajo, Chinese - actor.
Froy Gutierrez (1998) Mexican, Caxcan - actor.
Rico Rodriguez (1998) Mexican - actor.
Ricky Garcia (1999) Mexican, Puerto Rican, German - actor and singer.
Rebel Rodriguez (1999) Mexican / Unknown - actor.
Joel Pimentel (1999) Mexican - singer.
Xiuhtezcatl Martinez (2000) Mexican [Nahuatl], Hopi - rapper.
Raymond Ochoa (2001) has said that he is of Mexican descent describing himself as a “white Mexican” - actor.
Prolific The Rapper (?) Lakota Sioux, Mexican, Unspecified European - rapper.
Taylor Zakhar (?) Mexican [Unspecified Indigenous, possibly other] / Unspecified Middle Eastern - actor.
Rene Orozco / Yaotl Mazahua (?) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish] - musician (Aztlan Underground).
Caxo (?) Mexican [Unspecified Indigenous, possibly other] - musician (Aztlan Underground).
Joe “Peps” (?) Mexican [Unspecified Indigenous, possibly other] - musician (Aztlan Underground).
Gregory Cruz (?) Mexican, Chiricahua Apache - actor.
Boogat (?) Mexican, Paraguayan - musician.
Olmeca (?) Mexican [Tepehuán, possibly other] - rapper.
Juliocesar Chavez (?) Mexican, Guatemalan - actor.
David Rose (?) Mexican / Choctaw, Cherokee, Irish - musician.
Omar LinX (?) Mexican - rapper.
Victor-E (?) Mexican [Mayan, possibly other] - musician (El Vuh).
Zero (?) Mexican [Mayan, possibly other] - musician (El Vuh).
E-Rise (?) Mexican [Mayan, possibly other] - musician (El Vuh).
Wake Self (?) Mexican [Aztec, Mescalero Apache], Cherokee - rapper.
Randy Granger (?) Mexican [Chontal, Apache, Unspecified Non-Indigenous], Comanche, Tequesta, Tłı̨chǫ, Alaskan Athabaskan - flutist.
Vic Buildsafire (?) Navajo, Pomo, Mexican [Aztec, Spanish] - rapper.
Del Zamora (?) Mexican, Mescalero Apache - actor.
Alex Soto / MC Liaison (?) Mexican [Tohono O’odham] - rapper (Shining Soul).
Franco / The Bronze Candidate (?) Mexican - rapper (Shining Soul).
Ryan Little Eagle (?) Mexican [Apache, Mayan], Taino, Lakota Sioux - musician.
DJ Augustín (?) Mexican - rapper (Cartel de Santa).
Eddie Gutierrez / Eddie Styles (?) Mexican - dancer.
Clap Pina / Clap Freckles (?) Mexican [Unspecified Indigenous, possibly other] - musician.
Sergio Gomez (?) Mexican - rapper (Akwid).
Francisco Gomez (?) Mexican - rapper (Akwid).
Saso Jimenez / Saso Fresh (?) Mexican - dancer.
Alek Carrera (?) Mexican - model, actor, and producer.
Fermin Sanchez (?) Mexican - musician (The Guadaloops).
Sami Mendoza (?) Mexican - drummer (The Guadaloops).
Ferdinand González (?) Mexican - musician (The Guadaloops).
Berni Pérez (?) Mexican - musician (The Guadaloops).
NB:
Karis Wilde (1982) Mexican - Genderqueer - multi-disciplinary artist.
Pidgeon Pagonis (1986) Mexican, Greek - Non-Binary Intersex - artist and writer.
Danny Noriega / Adore Delano (1989) Mexican, Unspecified Native American, German - Non-Binary - drag queen, actor, singer-songwriter, and youtuber.
Lukas Avendaño (?) Mexican [Zapotec] - Muxe - performing artist.
Mike J. Marin (?) Mexican, Navajo, Laguna, Washoe - Two-Spirit - actor, rapper, and filmmaker.
Problematic:
George Lopez (1961) Mexican [Unspecified Indigenous, Spanish, possibly other] - actor, comedian, and tv personality - anti-black comments, anti-asian comments, and sexist comments.
Salma Hayek (1966) Mexican [Lebanese, Spanish, possibly other] - actress, producer, and former model - spoke over and attempted to rebuke Jessica Williams (a black actress)’s comment that black and trans women are constantly put in the center of conflict for the way they look with a tone deaf “what about the rest of us” and also used the condescending “baby” to refer to Jessica, called Jessica Lopez (a Puerto Rican actress and singer who, while not black, is darker than Salma) a “non-latina n***o”, and said that Ugly Betty (a show Salma is an executive producer on) tries to model Betty off black women (though they even casted a non black Latina for Betty) due to black women having “uglier facial features”.
Louis C.K. (1967) Mexican [Hungarian Jewish / Spanish, Unspecified Indigenous] / Irish, German, English - actor, comedian, writer, producer, director, and editor - accused of 5 counts of sexual assault.
Stacey Dash (1967) Afro Barbadian, Mexican - actress and talk show host - transphobic comments and said that people were overreacting with #OscarsSoWhite.
Cesar Millan (1969) Mexican - dog behaviorist and television personality - controversial dog training techniques.
Reginald Arvizu (1969) Mexican / French, English - musician - cultural appropriation.
Louis Freese / B-Real (1970) Mexican, Cuban - musician - n-word.
Hilary Swank (1974) ¼ Mexican [Shoshone, Spanish], ¾ mix of English, German, Swiss, Scottish, Irish, Welsh, Dutch - actress and producer - publicly supports Ramzan Kadyrov and took the role of a trans man character in Boys Don’t Cry when she is not a man (let alone a trans man).
Fergie (1975) English, Irish, Mexican, Unspecified Native American, and Scottish - cultural appropriation.
Gael García Bernal (1978) Mexican - actor, director, and producer - signed Polanski petition and supports Roman Polanski.
Lin-Manuel Miranda (1980) Puerto Rican, as well as small amounts of Mexican, African-American, English - actor, singer-songwriter, and playwright - classist comments.
Adan Canto (1981) Mexican - actor - took the role of an Afro Brazilian character in X-Men: Days of Future Past when he is not Afro Latino.
Melissa Villaseñor (1987) Mexican - actress and comedian - anti-black tweets.
Emeraude Toubia (1989) Mexican / Lebanese - actress and model - appropriated cornrows and participated in the white-washing of her character.
Scout Taylor-Compton (1989) Mexican / English, Irish - actress - cultural appropriation.
Fo Porter (1990) Mexican / African-American - model - cultural appropriation.
Christian Serratos (1990) Mexican / Italian - actress - cultural appropriation.
Samuel Larsen (1991) Mexican, Iranian, Danish, Spanish - actor, singer, and model - cultural appropriation.
Tyler Posey (1991) Mexican / English, Scottish, Irish, German, French - actor and musician - has made coming out of the closet jokes multiple times, used the q slur, and said “I mean, people don’t know what race I am. They never know if I’m Hawaiian or Italian or Mexican or Spanish or White. I could play Jewish, I could play anything.” which implies that he would not mind taking a role of a race not his own.
Selena Gomez (1992) Mexican / Italian, possibly other - actress and singer - cultural appropriation, wore a hijab as a fashion accessory, wore a short with the g slur on it, has used the g slur on multiple occasions (and threw a “[g slur] inspired” birthday party), and supports Woody Allen.
John Elvis (1992) Mexican / Korean - actor - took the role of a Comanche character in Texas Rising when he is not Native American (let alone Comanche).
Demi Lovato (1992) Mexican [Spanish, Unspecified Indigenous, Jewish, Portuguese] / English, Scottish, Irish - singer-songwriter, actress, and author - tried to take the spotlight away from Zendaya getting a black Barbie modeled after her by complaining about the lack of a curvy Barbie and saying she’d be happy to model for it, chose Kim Kardashian to praise for the “Big Butt Movement”, transphobia in her lyrics and in response to Caitlyn Jenner’s looks, exploits bisexuality in her song Cool For The Summer, and appropriated dreadlocks.
JC Caylen (1992) Mexican [Spanish, possibly other] - youtuber - made homophobic “gay jokes”.
Camila Cabello (1997) Cuban / Mexican - singer-songwriter - has said “it’s not rape if you like it”, has used the f and n slurs, and trivialized cocaine addiction.
Ethan Cutkosky (1999) Mexican / Polish, English, Scottish, Irish - actor - cultural appropriation.
Samuel Kim Arredondo (2002) Mexican / Korean - singer - cultural appropriation.
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Bouts
le bout de la langue
peur bleue
jambes au cou
vague à l'âme
couler douce
passer ses nerfs
ouvrir son coeur
ouvrir son clapet
perdre le nord
saint jean de luz
golden eighties
poser des bouquets
providence
mes erasmus
europe erasmus
EUROPE ERASMUS
Borne d'arret d'urgence
Télépéage
Les murs parlent
Les villes parlent
Paul le poulpe
Magasin Mephisto
camping car france 3 paraboles
Les enfants de la télé
50 000 Volts sous les balisors
J'ai perdu ma maman, le 1er jour du printemps
Créteil ville nouvelle
crue légère
Haiti, never met
Mauvaise idée
Met once in the Carribeans
Papiers d'Identité
Khôl
L'Europe Galante
Amer Béton
Poteaux d'angle
Froid des Gares
Dégagement dans les tribunes
2 peupliers
Pierre Fendue
Les Cailles
La jetée
Débarcadères
Voyage aux Etats Unis d'Amer Hic
Le rocher du Congre
Bloqué avec un Congre
Bois ça
Rhinocorne
Tibia Peronné
Le zouave du pont
52 semaines à traîner
La Saône
Vers Montparnasse
Cimetière des Bus
Châtelet les Halles
Palais Royal Musée du Loop
Gares Routières
Vert et Bleu
Dans ma vedette lance torpille
52 semaines en l'air
Ford Thunderbird
Ouvre Boite
Porte d'Orléans
Paupières au khôl
Rockrider
Une bombe allemande dans mon jardin
Carbonia
50 000 Volts sous les Balisors
Lacs de la Ruhr
Romance
Le pudding à l'arsenic
zad partout
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Ruth Elkrief
Click & Collect
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Disney star wars
Toutes les étapes de fabrication sont terminées précisément main - une autre raison pour laquelle les bijoux de Coeur de Lion est connu comme Maison de Sillage, un chef de file dans le monde de la Haute Parfumerie le meilleur mode, fera ses débuts sa très Limited Edition Collection privée Parfums de luxe Voyage Vaporisateur cet automne à curated parfums et style de vie de luxe foires commerciales se tiennent à New York, Barcelone et Abou Dhabi. In Entre-temps, notre section CJI Trends & couleurs continuera de vous fournir votre dose quotidienne de pièces éblouissantes par catégorie. VENTE DISNEY C'est franchement une ride déjà. Juliana, maintenant une grand-mère, a commencé à travailler comme call girl londres quand son fils avait 6.Dans le soulevage création de l'Inde moderne, où la colonie a été décomposée en Inde l'Inde et le Pakistan, elle était une petite fille et l'un des millions de personnes qui ont fui ce qui est aujourd'hui le Pakistan. 'Je 'm heureux de représenter Jacob & Co. LE ROI LION DISNEY Ils ont été offrant son 50 pence pour une idée qui, explique Ruth des plutôt prim voice, 'n'était pas dans sa compréhension à cet âge. AberdeenLe Aberdeen est inspiré par le site du Golf Links Trump international à Aberdeen. Le nouvelle boutique de Beijing a plus de 60 mètres carrés de surface au sol et comprend un grand hall d'accueil VIP pour ses clients les plus exclusifs. Unique coloré à AiJade est son utilisation de modèles commandées à des artistes dont les peintures sont exposées dans les inspirations de AW13 Londres galleries.Les bustes sont celles de dueling pop stars Lady Gaga et Katy Perry, dont chacun a récemment dévoilé son propre dangereux réinterprétation de la légendaire disney brassière de cône usé par Madonna de retour dans la journée. Bien que l'accent en 2009 sur des pièces de la collection Bir, cette fois, les œuvres de la Collection Ganguly sont donnés prominence. À partir de ses origines mythiques dans les mains de Howard Hughes, grâce à l'enduring gloire de la blonde, et jusqu'tournée d'ambition pour la dernière incarnations volcanique, haut concept support-usure est le meilleur mode longue blague pratique. Le or 24K laiton médaillon pendentif que Mlle Aynaw a été vu portant à North Jersey est inscrit avec le Am Echad 'mots dans la langue éthiopienne native de l'amharique. 'L'événement IJS a été divisé en sections, ce qui représente bijoux locaux et regarder les entreprises de la Chine, Taiwan et Hong Kong, ainsi que d'une variété de pavillons mettant en vedette les participants internationaux. De plus, Julia Roberts' capacité d'attirer les téléspectateurs est resté pendant des années non prouvées bien que son salaire initial de 10 millions de dollars pour l'EPL est une aubaine par rapport aux 20 millions de dollars qu'elle aurait faites pour Mona Lisa sourire et groupon eurodisney Erin Brockovich. Quelqu'un a payé $60,000 pour assister à la Vanity Fair Oscar et de partie. les bijoux sont acquis par les hommes et les femmes pour la cérémonie de mariage, comme une protection contre la maladie, ou pour éloigner les mauvais esprits. www.disnestuffs.com/
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Tag List/Masterlist
Summary: A series chronicling the life of the Bellows family. Covers their early years as well as the eventual death of Sarah Bellows, and the consequences of that death. Overlaps with Ethel. Contains my own characters as well as characters from the film. Stories marked with an asterisk denote the ones that cover events directly or loosely mentioned in the film.
Main Tag: The Bellows Book
Fics:
grief is a most peculiar thing (sarah & ephraim)**
taffy and a warm jacket (sarah & ephraim)
words can never hurt me (gertrude bellows)**
Summary: An AU series about what could have happened if Ephraim confronted his prejudice during his time at medical school and returned to Mill Valley with a new outlook on his sister’s albinism. As he begins a secret relationship with Ruth, an albino circus performer, his relationship with his family becomes increasingly strained. In a different timeline and universe than my other stories
Main Tag Link: Pearl Street
Fics:
no one’s going to hurt you anymore (sarah & ruth) part 1 / part 2 / part 3
Summary: A short series covering Sarah’s time in the asylum, as well as her friendship with one of it’s long term residents, Emma Fultz.
Main Tag Link: Undesirable
Fics:
nowhere to go (sarah & emma) tw: asylum setting
tangled stiches - a short christmas tale (link to be added on Christmas Eve!)
#taglist#thebellowsbook#sarah bellows#ephraim bellows#harold bellows#delanie bellows#deodat bellows#ruth vedette#ruth moore#charles vedette#ethel moore#ethelfic#masterlist#pearl street fic#pearl street au
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BIJOUX AGATHA
Dans la plupart des cas, les peines sur de multiples chefs d'accusation sont prononcées avec concurrent, et non consécutive, termes. 'bien fait; ils voir conversions. bijoux bracelet femme n'a jamais dit non pour aider quelqu'un, n'importe qui et n'a jamais eu quoi que ce soit pour acquis. L'Alpern parents des filles, Saül et Sara, étaient parmi les premiers investisseurs de Bernie's les années 1960. Ils se visse comme tout le monde. Fermé Soldes Agatha Collier le table des matières avec un mode pour femmes ad la promotion des vêtements, chaussures et sacs à main. un nun's Garment qui a acquis l'effet surprenant d'une robe du soir qu'en étant si manifestement inadapté à cette fin. TakeJen Final King, journaliste de plomb sur le luxe quotidien, New York français maison de couture prend les consommateurs en promenade dans une campagne d'Introspection mettant en vedette Johnny Depp. comme un enquêteur indique au quotidien AGATHA Remise bête: La question majeure pour Ruth est combien d'argent n'a pépé et mémé quitter son. 'Il s'assure que nous attirer à la fois un mâle et femelle, et bien sûr démographique, les gens qui aiment les voitures sont également intéressées à beaucoup d'autres choses également; notre cas leur offre un bien arrondi et merveilleuse sortie. Sortez votre stylo et notez ce nom. Shooting a commencé le 23 août fréquemment interrompu par la pluie et des orages, brouillard et l'humidité. des tribulations associé. Les comparaisons de ce cas avec de nombreuses grandes et cas de fraude flagrante dans ce district, ne font que souligner l'énormité de Madoff's infractions, a écrit aux procureurs Dassin, Marc Litt, et Lisa Baroni. Lorsque mon père est décédé, bijoux belgique était à l'aéroport d'attente pour venir me chercher et m'emmener à grub à la bossa nova, lorsque mon tourne-disques a été volée prix était là, avec son vieux jeu en attente de leur donner à moi, lorsque j'étais nerveux pour un prochain concert, même si j'ai été dans l'ensemble du pays, minnie serait pointeurs. soldes 2014 a la possibilité d'amplifier l'expérience par le biais de médias sociaux, toutefois, seulement deux des nombreuses plates-formes sociales sont en bonne place disponible sur le site Web et d'autres moyens alternatifs de relatives à la campagne d'exploration est profondément caché. Si le marché boursier va de haut en bas, il très souvent détermine la psychologie des Bracelet Agatha Soldes gens riches, qui de toute évidence propre les stocks, et leurs dépenses. Luxury Institute, New York.
www.agathafrance.com/
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Hoy cumple años Phylicia Rashad 72 años es una actriz, cantante y directora de escenografía estadounidense. Comenzó a cobrar notoriedad como actriz al participar en diversos montajes teatrales estrenados en Broadway, como Dreamgirls (1981) y The Wiz. Además, en 1978, editó un disco, Josephine Superstar, musicalizando la vida de la vedette Joséphine Baker. En televisión, se hizo popular gracias a su participación en la serie One Life to Live(1983), pero el auténtico éxito le llega de la mano de Bill Cosby, con el papel de su esposa, la abogada Clair Huxtable en la famosa sitcom La hora de Bill Cosby. Rashād interpretó el papel durante los ocho años de emisión de la serie, entre 1984 y 1992, alcanzando notables cuotas de popularidad en Estados Unidos y en muchos otros países en los que se transmitió la serie. Gracias al papel obtuvo dos Premios Emmy. Tras la cancelación de la serie, volvió a repetir con Cosby dando vida de nuevo a su esposa, Ruth Lucas, en la comedia Cosby (1996-2000) y posteriormente en la serie de dibujos animados Little Bill (2000-2002). En 2004 su interpretación en la obra A Raisin in the Sun le valió un Premio Tony, convirtiéndose en la primera mujer afroamericana en conseguir el galardón a la mejor interpretación de actriz protagonista. Estuvo nominada a un Premio Emmy por su interpretación del mismo papel en la adaptación televisiva de la obra. En 2008 protagonizó el espectáculo Big Mama, en Broadway, una adaptación de la obra de Tennessee Williams La gata sobre el tejado de zinc, interpretada con actores afroamericanos. #Collage #ProgramaCollage #Cine #Historiadecine #revistacollage #esterno #movie #magazine #revista #programa #televisión #series (en Montevideo, Uruguay) https://www.instagram.com/p/CBobNs1pTWu/?igshid=dahjhdke8zu9
#collage#programacollage#cine#historiadecine#revistacollage#esterno#movie#magazine#revista#programa#televisión#series
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La sélection nationale féminine est depuis samedi leader du tournoi,devant la Guinée Equatoriale.Sa victoire fleuve contre la RCA lui a permis de se hisser à cette position et d'afficher ses ambitions avant la finale du 28 février.Les deux sites du tournoi ont été le théâtre des duels samedi pour le compte de la 3e journée. A Mongomo la RCA a subit les affres d'une sélection de la RDC très en forme.Victoire avec panache sur le score de (4-0 ),grâce aux réalisations Kipayi Ruth , Pambani falone , Kasaj Ya Malone et Kizinga . [ 103 more words ] https://zonefoot.net/2020/02/23/guinee-equatoriale-tournoi-uniffac-la-rdc-ravit-la-vedette-au-pays-hote/
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Michael Jordan biographie
Je partage cette biographie pour le plaisir, car même si je ne suis pas un grand amateur de basket-ball, j'aime beaucoup Michael Jordan et je suis très fan de sa marque personnelle jordan marque surtout de ses chaussures avec nike
Michael Jordan (aussi appelé par ses initiales MJ), né le 17 février 1963 à Brooklyn (New York), est un joueur de basket-ball américain ayant évolué dans le championnat nord-américain professionnel de basket-ball, la National Basketball Association (NBA), de 1984 à 2003. Selon la BBC et la NBA, Michael Jordan est le plus grand joueur de basket-ball de tous les temps En effet, il est considéré comme l'un des plus grands champions de tous les temps, tous sports confondus, et a contribué à populariser internationalement le basket-ball et la NBA à travers le monde dans les années 1980 et 1990. Le président Barack Obama lui a remis la médaille présidentielle de la Liberté le 22 novembre 2016.
Il étudie à l'université de Caroline du Nord à Chapel Hill où il mène les Tar Heels à la victoire lors de la finale du championnat universitaire de 1982. Michael Jordan rejoint alors les Bulls de Chicago en NBA en 1984. Il s'impose rapidement comme une vedette de la ligue grâce à ses excellentes statistiques. Sa capacité de saut, illustrée par ses slam dunks depuis la ligne de lancers francs lors des concours de slam dunks, lui a valu les surnoms de Air Jordan et His Airness. Il est réputé pour être l'un des meilleurs défenseurs de la ligue7. En 1991, il remporte son premier titre de champion NBA avec les Bulls, et enchaîne ce succès avec deux nouveaux titres en 1992 et 1993. Bien que Jordan ait pris sa retraite du basket-ball brusquement au début de la saison 1993-1994 après l'assassinat de son père, il poursuivit une courte carrière dans le baseball et retrouve finalement les Bulls en 1995. Il les conduit à trois titres de champion supplémentaires (1996, 1997 et 1998) ainsi qu'à un record NBA de 72 matchs remportés en saison régulière lors de la saison 1995-1996 (record battu par les Warriors de Golden State lors de la saison 2015-2016 en remportant 73 matchs de saison régulière, à la différence que les Bulls furent champion NBA cette année-là, contrairement aux Warriors en 2016). Jordan prend sa retraite une deuxième fois en 1999, mais revient de nouveau pour deux saisons supplémentaires en NBA en 2001 en tant que joueur des Wizards de Washington.
Le palmarès et les distinctions individuelles de Michael Jordan comprennent cinq trophées de meilleur joueur de la saison, dix sélections dans l'équipe première des meilleurs joueurs de la ligue et neuf dans l'équipe première des meilleurs défenseurs de la ligue, quatorze apparitions lors des matchs des All-Star, trois trophées de meilleur joueur du match des All-Star, dix titres concernant son nombre de points marqués, trois titres de meilleur intercepteur, six trophées de meilleur joueur de la finale de la ligue et le titre de meilleur défenseur de la ligue en 1988. Il détient les records pour la plus forte moyenne de points marqués par match en saison régulière sur l'ensemble de sa carrière (30,12 points par match) et lors des séries éliminatoires (33,4 points par match). Il a également deux titres de champion olympique avec les États-Unis, encore universitaire à Los Angeles en 1984 et star parmi les stars de la légendaire Dream Team à Barcelone en 1992. En 1999, il est nommé meilleur athlète nord-américain du xx siècle par le réseau de télévision sur le sport ESPN1 et termine deuxième derrière le joueur de baseball Babe Ruth sur la liste des athlètes du siècle selon l'agence de presse Associated Press. Il intègre en 2009 le Basketball Hall of Fame
Jordan est également célèbre pour les produits auxquels il prête son image, comme le parfum ou les chaussures, qui prouve le succès des chaussures de sport Air Jordan de Nike. Ces contrats lui permettent d'amasser une fortune rarement atteinte par un sportif. Après avoir été copropriétaire et président des opérations basket de la franchise des Bobcats de Charlotte en Caroline du Nord dès 2006, il en est devenu le propriétaire depuis le mois de mars 2010. Le 20 mai 2014, les Bobcats redeviennent les Hornets de Charlotte, ils récupèrent le nom de la franchise qui avait déménagé en 2002 à La Nouvelle-Orléans changeant son nom en Pelicans lors de l'intersaison 2013. Il possède également sa propre écurie de superbike et de nombreux restaurants.
https://www.youtube.com/watch?v=nCr6zK7ivEg
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Phong cách, makeup đều khác biệt nhưng thần thái ai nhỉnh hơn?
Các sự kiện thời trang lớn thế giới như Tuần lễ thời trang luôn thu hút sự tham dự của đông đảo các ngôi sao hạng A, các mỹ nhân nổi tiếng thế giới. Nhiều ngôi sao Hoa ngữ cũng là khách mời thường xuyên của các thương hiệu lớn, tại đây họ còn có dịp so kè phong cách thần thái với những ngôi sao quốc tế. Vậy khi cùng đọ sắc trong 1 khung hình, liệu mỹ nhân Hoa ngữ có bị lép vế trước dàn mỹ nhân quốc tế hay không?
Sóng vai bên Camila Cabello khi cùng tham dự show diễn của nhà mốt Valentino, trong bức ảnh do phía Ngô Tuyên Nghi đăng tải cô nàng rất xinh đẹp và cuốn hút. Tuy nhiên nhiều netizen đã phát hiện ra mỹ nhân Hoa ngữ cố tình chỉnh ảnh sáng màu để làm nổi bật nên nước da trắng của bản thân, khiến nước da ngăm quen thuộc của Camila Cabello cũng bị “cà” đến lệch màu bất thường.
Phạm Băng Băng từng là vedette khuynh đảo sàn diễn Paris tại show diễn của Stephane Rolland. Cũng trong sự kiện này, Phạm Gia còn có dịp đọ sắc cùng Kim Kardashian.
Chụp ảnh cùng NTK của hãng, cả 2 cô nàng đều ghi dấu với thần thái sang chảnh, khí chất khó ai bì kịp. Một người diện đồ trắng, một người diện đồ đen nhưng dù ở góc độ nào, Phạm Băng Băng và Kim Kardashian cũng khiến người ta phải vỗ tay tán thưởng vì quá cuốn hút.
Phạm Băng Băng vốn là mỹ nhân Hoa ngữ “nhẵn mặt” tại các Tuần lễ thời trang quốc tế, cô cùng thường xuyên chụp ảnh cùng các mỹ nhân thế giới. Tại show diễn của Louis Vuitton tại Paris Fashion Week Thu/Đông 2018, lối trang điểm mới lạ và style độc đáo đã giúp Phạm Băng Băng ghi điểm khi đọ sắc cùng Chloe Moretz và Isabelle Huppert.
Còn nhớ Dương Mịch cũng từng gây náo loạn mạng xã hội khi đọ sắc với Kendall Jenner. Nếu Kendall Jenner khoe đôi chân thon dài miên man thì Dương Mịch lại diện set đồ lịch thiệp, kín đáo. Nhưng nhiều người cho rằng Dương Mịch đã hoàn toàn lép vế với kiểu tóc và lối trang điểm khiến cô lộ rõ dấu hiệu tuổi tác khi sánh bước cùng Kendall Jenner.
Một lần khác, dù rất xinh đẹp nhưng Dương Mịch có phần e ấp, nhẹ nhàng chứ không toát lên được thần thái tự tin, rạng ngời thu hút ánh nhìn như Hailee Steinfeld và Dianna Agron. Bên cạnh yếu tố trang phục thì kiểu tóc hay lối makeup của bà mẹ một con cũng có phần khá “hiền” và nhạt nhòa khi sánh vai với mỹ nhân Hollywood.
Hội ngộ Cara Delevingne tại show diễn của Dior thuộc khuôn khổ Paris Fashion Week Thu/Đông 2019, dù hơn 3 tuổi nhưng nhờ nhan sắc ngọt ngào, son cam trẻ trung mà Angela Baby chẳng hề kém cạnh siêu mẫu Anh.
Thế nhưng bà mẹ 1 con dường như đã phải “chào thua” trước nhan sắc ngọt ngào và thần thái hút mắt của Miranda Kerr. Không chỉ là makeup hay thần thái, rõ ràng set đồ đen trắng đơn giản của Angela Baby đã khiến cô có phần mờ nhạt trước trang phục trẻ trung của nàng cựu thiên thần Victoria’s Secret.
Miranda Kerr có vẻ rất chuộng trang phục tông hồng ngọt ngào, vậy nên dù hơn Trương Thiên Ái 7 tuổi mà cô vẫn vô cùng trẻ trung và nổi bật hơn so với Thái tử phi.
Sẽ là khập khiễng nếu so sánh giữa Địch Lệ Nhiệt Ba và Victoria Beckham, dù mỹ nhân Tân Cương sở hữu đường nét khá Tây nhưng cô không thể có được thần thái sang chảnh như bà Beck. Kiểu tóc rẽ ngôi giữa cũng khiến mỹ nhân Tân Cương lộ đường nét gương mặt góc cạnh, thiếu mềm mại.
Cùng chọn màu son đậm, trang phục trẻ trung nhưng rõ ràng Gigi Hadid và Lưu Diệc Phi mang 2 vẻ đẹp hoàn toàn khác biệt. Một bên là mỹ nhân Hollywood mang nét hiện đại, năng động; một bên là thần tiên tỷ tỷ với nhan sắc thanh thuần, nhẹ nhàng.
Cũng trong sự kiện lần đó, Gigi Hadid còn đọ sắc cùng Nghê Ni. Màu son nhạt, mẫu quần yếm khiến Nghê Ni có phần trẻ con quá đà và hoàn toàn lép vế trước thần thái hút mắt của Gigi.
Nếu đứng 1 mình thì Cảnh Điềm rất xinh xắn ngọt ngào, nhưng tiếc thay khi chụp ảnh cùng Brie Larson thì “mỹ nữ Bắc Kinh” đã hoàn toàn lép vế. Từ lối trang điểm không phù hợp, trang phục nhạt nhòa cho đến thần thái của cô đều không bằng đàn chị. Thậm chí Cảnh Điềm còn giống như fan girl bên thần tượng.
Kém Jullianne Morre đến 32 tuổi, Cổ Lực Na Trát đã hoàn toàn lép vế về thần thái và nhan sắc. Trang phục già nua, kiểu tóc “râu gián” rẽ ngôi giữa, son đỏ thẫm cũng khiến mỹ nhân Tân Cương tự cộng thêm cho mình vài tuổi.
Cùng dự show thời trang nhưng chúng ta có thể thấy rõ sự khác biệt trong phong cách: nếu như Chương Tử Di thiên về món đồ đơn giản thì Ruth Wilson chẳng ngại phá cách khi khéo léo kết hợp những mẫu trang phục họa tiết khác biệt.
Tổng hợp
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Une caméra plane au-dessus de San Francisco sur un air de swing endiablé, puis le nom de l’agence des détectives privés, “Sam Spade and Miles Archer”, s’affiche en grandes lettres. L’objectif s’attarde sur le héros : quelques secondes suffisent à nous entraîner dans un tourbillon de mensonge, de trahison et de meurtre. Nous y sommes en bonne compagnie puisque le héros est le détective privé le plus célèbre d’Hollywood, Sam Spade, interprété par l’idole du film de gangsters et de détectives Humphrey Bogart. Mais ce premier film grandiose de John Huston a bien d’autres mérites, et les vedettes que le futur réalisateur de classiques comme The Asphalt Jungle (Quand la ville dort, 1950) ou Moby Dick (1956) a réussi à réunir à l’affiche de cet archétype du film noir sont dignes des plus plus grosses productions : Mary Astor y interprète la fourbe Brigid O’Shaughnessy, Peter Lorre l’escroc distingué Joel Cairo, et Sydney Greenstreet le corpulent Kasper Gutman. Lancés sur la piste d’une mystérieuse statuette noire représentant un faucon, ces personnages ne reculent devant aucun moyen pour entrer en possession de l’objet tant convoité, le “Faucon maltais”. [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
Ce qui a suscité l’intérêt de John Huston à la lecture de ce roman de Dashiell Hammett dont est tiré le film, ce n’est pas le but des activités criminelles de nos héros, mais plutôt le chemin tortueux qui les conduit vers ce but. Et si l’on s’en tient aux propos du scénariste et réalisateur Paul Schrader – qui signera, entre autres, le scénario de Taxi Driver (1976) – dans l’un de ses meilleurs essais critiques, “Notes on Film noir”, selon lesquels, dans le film noir, le “comment” est toujours plus important que le “quoi”, nous sommes là en face du meilleur exemple du genre. [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
L’embrouille, riche en coups bas et en fausses pistes, commence le jour où la séduisante Miss Wonderly fait son apparition dans le bureau de Sam Spade et le prie de délivrer sa sœur d’un sale type nommé Floyd Thursby. Cela devrait être un jeu d’enfants pour Spade, macho convaincu ; et puis la fille paie bien. Mais dès le départ, quelque chose ne colle pas. Le premier regard que Miss Wonderly jette sur Archer nous révèle ce qu’elle a en tête : d’un instant à l’autre, l’expression de ses yeux froids et calculateurs se fait lascive et envoûtante. Sa stratégie va porter ses fruits, elle en est certaine beaucoup trop rapidement pour Spade, si sûr de lui à propos des femmes. [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
L’histoire qu’elle lui raconte est un tissu de mensonges. Spade et son partenaire Archer s’en doutent, mais ils ne peuvent résister ni aux sirènes de l’argent ni aux charmes de la belle. Les deux compères acceptent de mener l’enquête, à la fin de laquelle Miles Archer trouvera la mort et Sam Spade ne sera plus que la marionnette d’une mystification criminelle. [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
Le drame se noue lorsque Miles Archer est froidement assassiné dans la rue par un inconnu, ce qui vaut à Spade non seulement la visite de la police et une convocation chez le procureur, mais aussi la rencontre de personnages louches. Joel Cairo, un escroc aux allures de dandy, surgit à l’improviste dans son bureau et lui révèle quelques détails dérangeants sur Miss Wonderly. Celle-ci se nommerait en réalité Brigid O’Shaughnessy et l’aurait roulé, lui et son associé Kasper Gutman – comme avec le détective privé -, en le mettant sur la piste d’une statuette précieuse représentant un faucon. [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
La recherche de l’objet de toutes les convoitises va vite devenir un sac de nœuds, chaque dénouement laissant la place à une nouvelle confusion. Le spectateur suit le fil de l’intrigue avec les yeux de Sam Spade et n’en sait ni plus moins que lui. La confusion narrative est soutenue par des compositions spatiales désordonnées et oppressantes, des perspectives obliques, ainsi que par un éclairage sophistiqué dominé par une tonalité sombre. [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
Le personnage de Sam Spade, cet homme triomphant et bagarreur au cynisme rude, ajoute encore à l’aspect déroutant du film. Il ne peut se résoudre à la réalité: simple pion sur un échiquier mystérieux, il entraîne le spectateur derrière lui tout au long de l’intrigue – pour le meilleur et pour le pire. À la fin du film, lorsque toutes les énigmes semblent résolues mais que tous se retrouvent gros Jean comme devant, ce que Nino Frank, l’inventeur du concept de film noir, a si judicieusement décrit en 1946 à propos du Faucon maltais devient enfin perceptible : cette “troisième dimension” qui laisse transparaitre à la surface du film un abîme de dépravation morale. [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
En 1941, John Huston a trente-cinq ans. Jezebel (L’Insoumise), Juarez, High Sierra et The Amazing Doctor Clitterhouse (Le Mystérieux docteur Clitterhouse) ont contribué à faire de lui l’un des scénaristes les plus estimés de la Warner Bros. Il se sent prêt à passer à la réalisation et il sait que Jack Warner est décidé à lui faire confiance, pourvu qu’il puisse lui montrer un excellent scénario. C’est alors que Huston s’intéresse au Faucon maltais de Dashiell Hammett. Le roman, publié en 1930 et dont les droits cinématographiques appartiennent à la Warner, a déjà fait l’objet de deux adaptations, la première, en 1931, mise en scène par Roy del Ruth, et la seconde, cinq ans plus tard, réalisée par William Dieterle avec Warren William et Bette Davis. [Le film noir – Patrick Brion – Editions de la La Martinière (2004)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
Autant la première version, dont Ricardo Cortez et Bebe Danield étaient les héros, suivait assez fidèlement le roman de Hammett, autant la suivante s’en éloignait volontiers, jouant sur les ruptures de ton et le mélange d’intrigue policière et de comédie noire, Gutman étant cette fois-ci devenue une femme dangereuse, jouée par Alison Skipworth et nommée Mrs. Barabbas. Huston demande à sa secrétaire de retaper le texte du livre en le présentant sous la forme d’un découpage scène par scène, et Jack Warner, découvrant le travail achevé, croit qu’il s’agit d’un premier état de scénario et félicite Huston d’avoir retrouvé toutes les qualités du livre. Il ne reste plus à Huston qu’à tourner le film… [Le film noir – Patrick Brion – Editions de la La Martinière (2004)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
Henry Blanke, qui avait déjà été chargé de surveiller la production de la version de William Dieterle, est de nouveau mis à contribution, Hal B. Wallis étant le producteur en titre du film. John Huston se lance dans le travail de préparation proprement dit, dessinant lui-même les plans et les futurs mouvements d’appareils, son ami William Wyler lui servant à plusieurs reprises de guide et de conseiller. [Le film noir – Patrick Brion – Editions de la La Martinière (2004)]
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George Raft, pressenti pour le rôle de Sam Spade, refuse de l’interpréter, n’ayant pas confiance en un cinéaste débutant et craignant d’être le héros d’un film de série B. II écrit ainsi à Jack Warner, le 6 juin 1941 : « Je pense fermement que The Maltese falcon que vous voulez me faire faire n’est pas un film important et je vous rappelle qu’avant de signer mon nouveau contrat, vous m’aviez promis de ne me proposer que des films importants. » Il profite d’ailleurs de l’occasion pour faire jouer une des clauses de son contrat qui lui permettait de refuser d’être l’interprète de films qui ne seraient que des remakes, ce qui est le cas. [Le film noir – Patrick Brion – Editions de la La Martinière (2004)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
Après le désistement de Raft, le choix se porte sur Humphrey Bogart et Mary Astor succède à Geraldine Fitzgerald, initialement prévue pour le rôle de Brigid O’Shaughnessy. « J’ai essayé, déclare Huston, de transposer le style de, Dashiell Hammett en termes techniques. De même que le livre, le film est entièrement vu du point de vue de Spade. Celui-ci, est dans chaque scène, sauf une (le meurtre de son associé). Le public n’en sait jamais plus ou moins que lui et tous les autres personnages de l’histoire ne sont introduits que lorsqu’il les rencontre. J’ai tenté de faire en sorte qu’on les voie comme les voit Spade. » [Le film noir – Patrick Brion – Editions de la La Martinière (2004)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
Le film est tourné en juin et juillet 1941 et Huston suit les conseils de Henry Blanke qui lui avait dit: « Réalisez chaque scène comme si elle était la plus importante du film et faites que chaque plan compte. » Huston choisit de mettre en scène le film en continuité, c’est-à-dire en suivant la trame dramatique, alors que bien souvent les séquences sont tournées dans le désordre, en fonction des possibilités de décors ou de la disponibilité des acteurs. « John a eu raison, reconnaîtra Hal B. Wallis. En tournant le film en continuité et en augmentant graduellement la vitesse jusqu’à la confrontation finale, il a ainsi contribué à augmenter l’intérêt et le public a été subjugué. » [Le film noir – Patrick Brion – Editions de la La Martinière (2004)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
Huston qui utilise comme chef opérateur Arthur Edeson, déjà responsable de la version de 1936, se plaît à filmer Sydney Greenstreet en contre-plongée pour accentuer sa corpulence et demande même à Mary Astor de courir à plusieurs reprises autour du plateau pour intensifier la nervosité de l’actrice et du personnage qu’elle interprète. Le résultat se révèle conforme à ce que souhaitait Huston et Mary Astor écrira : « C’était un film de Huston, un scénario de Huston. Il avait eu l’intelligence de garder intact le livre de Hammett. Son scénario était une carte précise indiquant où on allait. Chaque plan, mouvement de caméra, entrée et sortie figuraient sur le papier, ne laissant aucune place à la chance, à l’improvisation ou à l’invention. » [Le film noir – Patrick Brion – Editions de la La Martinière (2004)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
Tout en respectant les directives du Code de production de l’époque, Huston joue sur l’ambiguïté de ses personnages, établissant des liens évidents entre Gutman, Cairo et Wilmer Cook, et laissant deviner au spectateur les rapports précis qui unissent Spade aux trois femmes de l’histoire, Brigid, Iva, la veuve de son associé, et Effie, sa secrétaire. La manière dont Bogart roule ses cigarettes, la sécheresse des dialogues, la superbe et désormais légendaire phrase finale – « It’s the stuff that dreams are made of » (« C’est l’étoffe dont on fait les rêves ») – et l’efficacité de chaque détail portent la marque évidente du travail de Huston qui, non content de suivre scrupuleusement avec ses comédiens le canevas de l’histoire, déjeune chaque jour avec eux, pour renforcer les rapports qui peuvent se nouer entre eux. [Le film noir – Patrick Brion – Editions de la La Martinière (2004)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
Alors que la version de Dieterle avait vu le faucon maltais remplacé par le cor de Roland – celui qu’il avait à Roncevaux -, celle de Huston reprend le thème mythique du faucon offert à Charles Quint et devenu l’objet de toutes les convoitises. A l’image des grands héros des films de Huston, partis à la poursuite de rêves souvent insensés – détruire la baleine blanche telle capitaine Achab de Moby Dick, retrouver les traces d’Alexandre le Grand au Kafiristan, rencontrer Lily Langtry ou découvrir l’or de la Sierra Madre – ceux du Maltese falcon cherchent au péril de leur vie à s’emparer du faucon fabuleux qui se révèle finalement n’être qu’une dérisoire copie. [Le film noir – Patrick Brion – Editions de la La Martinière (2004)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
Huston confie d’ailleurs à son propre père, Walter Huston, le soin d’être le capitaine Jacoby qui n’apparaît que quelques secondes, portant le précieux faucon, avant de s’écrouler, mort. Tourné en six semaines et pour moins de quatre cent mille dollars, The Maltese falcon est nommé pour l’Oscar, mais on lui préfère, comme meilleur film de l’année, How Green Was My Valley (Qu’elle était verte ma vallée) de John Ford. Le succès remporté par le film, qui avait failli s’appeler The Gent from Frisco, incite la Warner à lui envisager une suite, The Further Adventures of the Maltese Falcon dont Huston aurait été le metteur en scène et Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre et Sydney Greenstreet les interprètes. Le scénario devait s’inspirer de trois nouvelles de Dashiell Hammett, Two Many Have Lived, A Man Called Spade et They Can Only Hang You Once, mais le projet n’aboutira pas. [Le film noir – Patrick Brion – Editions de la La Martinière (2004)]
THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais) – John Huston (1941) avec Humphrey Bogart, Mary Astor, Peter Lorre, Sydney Greenstreet, Elisha Cook Jr., Lee Patrick,
En 1975, David Giler mettra en scène une vague suite, intitulée The Black Bird, avec George Segal dans le rôle de Sam Spade Jr., Stéphane Audran et Lionel Stander. Lee Patrick et Elisha Cook y retrouvaient leurs personnages d’Effie et de Wilmer Cook. The Maltese falcon offre au film noir un de ses premiers grands classiques. Huston y dirige pour la première fois Bogart, qu’il retrouvera par la suite à cinq reprises, et Sydney Greenstreet et Peter Lorre créent un couple surprenant que la Warner s’empressera de réutiliser. La dernière scène du film voit Sam Spade embrasser et laisser arrêter Brigid qui disparaît dans un ascenseur que la grille transforme – déjà – en prison… [Le film noir – Patrick Brion – Editions de la La Martinière (2004)]
John Huston, Peter Lorre, Mary Astor et Humphrey Bogart – THE MALTESE FALCON (Le Faucon maltais, 1941)
L’histoire
Son associé, Miles Archer (Jerome Cowan), ayant été assassiné tandis qu’il suivait un homme nommé Thursby pour le compte d’une mystérieuse Miss Wonderly (Mary Astor), le détective privé Sam Spade (Humphrey Bogart) décide de retrouver le tueur. Il rencontre Miss Wonderly qui lui avoue s’appeler en réalité Brigid O’Shaughnessy ; Thursby est, selon elle, l’assassin de Miles et il la menace, elle aussi. Spade, séduit par Brigid, accepte de l’aider. Son enquête le mène à un étrange trio : Joel Cairo (Peter Lorre), homme d’une élégance terriblement affectée, Kasper Gutman, «le gros» (Sydney Greenstreet), et Wilmer (Elisha Cook Jr.), le tueur débile de Gutman. Tous cherchent le faucon maltais, figurine incrustée de riches pierres précieuses qui ont été recouvertes d’un émail noir. Spade découvre alors que Brigid est une menteuse psychopathe, elle aussi à la recherche de l’oiseau. Le capitaine d’un navire ayant été assassiné, elle récupère le faucon maltais et Spade réunit le groupe suspect pour connaître la véritable histoire. Apprenant que Wilmer est l’assassin de Thursby et du capitaine, Spade exhibe l’oiseau qui s’avère être un faux. Gutman, très déçu s’enfuit avec Wilmer et Cairo. Spade envoie les flics à leurs trousses et oblige Brigid à tout avouer. C’est elle qui a tué Miles pour se débarrasser de son partenaire Thursby, tout en espérant qu’on le prendrait pour le meurtrier. Bien qu’elle déclare à Spade être follement amoureuse de lui, il la remet entre les mains de la police.
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Les extraits
Fiche technique du film
Une caméra plane au-dessus de San Francisco sur un air de swing endiablé, puis le nom de l'agence des détectives privés, "Sam Spade and Miles Archer", s'affiche en grandes lettres. L'objectif s'attarde sur le héros : quelques secondes suffisent à nous entraîner dans un tourbillon de mensonge, de trahison et de meurtre. Nous y sommes en bonne compagnie puisque le héros est le détective privé le plus célèbre d'Hollywood, Sam Spade, interprété par l'idole du film de gangsters et de détectives Humphrey Bogart. Mais ce premier film grandiose de John Huston a bien d'autres mérites, et les vedettes que le futur réalisateur de classiques comme The Asphalt Jungle (Quand la ville dort, 1950) ou Moby Dick (1956) a réussi à réunir à l'affiche de cet archétype du film noir sont dignes des plus plus grosses productions : Mary Astor y interprète la fourbe Brigid O'Shaughnessy, Peter Lorre l'escroc distingué Joel Cairo, et Sydney Greenstreet le corpulent Kasper Gutman. Lancés sur la piste d’une mystérieuse statuette noire représentant un faucon, ces personnages ne reculent devant aucun moyen pour entrer en possession de l'objet tant convoité, le "Faucon maltais". [Film Noir 100 All-Time Favorite – Paul Duncan, Jürgen Müller – Edition Taschen – (2013)] Une caméra plane au-dessus de San Francisco sur un air de swing endiablé, puis le nom de l'agence des détectives privés, "Sam Spade and Miles Archer", s'affiche en grandes lettres.
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