#romainville
Explore tagged Tumblr posts
walker-diaries · 1 month ago
Text
Tumblr media
16 notes · View notes
memorabilia-memoria · 9 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media
I love — endless stairs. Galerie Air De Paris
Romainville, janvier 2024
9 notes · View notes
vudansmarue · 2 years ago
Photo
Tumblr media
Romainville, 2023
2 notes · View notes
plombierhello · 2 years ago
Text
1 note · View note
plombierparis75020 · 2 years ago
Text
1 note · View note
germanpostwarmodern · 1 year ago
Text
Tumblr media
Collège d'enseignement secondaire (1973) in Romainville, France, by Paul Chemetov
378 notes · View notes
laurine-te · 2 months ago
Text
Le livre que je n’ai pas acheté
La Fondation Fiminco. Située à Romainville, c’est là que s’est déroulé le salon (Made Anywhere). Ce lieu qui est décrit comme joyeux, sensible, poétique, empli de curiosité et de partage donne l’impression d’un salon axé sur une démarche expérimentale, rassemblant artistes, éditeurs, designers, et plein d’autres… Habituée au salon du Livre jeunesse de Montreuil, je m’attends à une atmosphère chargée, étouffante, bien que dense d’ouvrages graphiques tous plus attrayants que les autres.
Le salon débute au rez-de-chaussée avec la salle des nominés Révélation Livre d’artiste. Le bâtiment est brut, alors que les tables sont couvertes de papier bulle, renforçant l’idée du livre comme objet précieux, fragile, qu’il faut manipuler avec soin. Certains sont d’ailleurs sous des plaques de verre, surélevées par des cylindres de bois.
L’espace est vaste et séparé en deux parties. Un couloir surplombé de néons colorés et décoré d’affiches aux couleurs pétantes mène à une pièce à l’atmosphère plus détendue (icono 1). Elle permet de s’assoupir, mais aussi échanger, acheter, créer… 
Les étages plus hauts sont plus lumineux et spacieux: : la hauteur sous plafond laisse une respiration visuelle agréable, et le lieu ne paraît pas surchargé malgré l’effervescence des objets et des visiteurs.
Toutes les salles sont reliées par une identité visuelle simple mais marquante par son papier jaune fluo (icono 2), qui fait toute sa force. Au-delà de l’identité du salon, tous les exposants sont reliés par le caractère libre de leurs objets : expérimentations, recherches, créations uniques… Ils ont pu être créés n’importe où et surtout librement. C’est un concept appuyé par la répétition du mot anywhere : (Made anywhere), Act!anywhere, Dance♫Dance♫Dance♫Anywhere♫…
C’est le stand d’Iconomoteur qui a attiré mon oeil, quelques instants avant de partir. C’est Jean-Claude Mattrat qui en est à l’origine : sérigraphe de formation, il réalise des ouvrages aux couvertures en toile et uniquement ornés d’un titre. A travers ses éditions, on ressent une exploration des moyens et des formes graphiques. Sans aucune narration, il suffit de se laisser contempler le contenu pour saisir l’idée d'expérimentation. C'est aussi là que je n’ai pas acheté le livre Brigandage (icono 3), mon favori. Il montrait des couleurs qui m’étaient agréables, des lignes s’entrechoquant entre elles, tout en conservant tout de même un espace de respiration qui était le bienvenu. 
Finalement, je suis sortie de ce salon l’esprit embrouillé, forcée de laisser mon esprit traiter toutes les informations qu’il avait accumulées. Avec un peu de recul, il était inspirant de me retrouver dans un espace baignant dans la créativité, tout en montrant des objets tous différents les uns des autres.
2 notes · View notes
pardonraymond · 2 years ago
Video
Romainville 2023 
10 notes · View notes
zeozeozeo · 1 year ago
Text
youtube
“Miriam Cahn is above all a figurative painter but, right from the start, she has associated her artistic project and its pictorial expression with other exploratory processes, such as performance or installations. After her training at the Gewerbeschule in Basel, where from 1968 to 1973 she took lessons in graphic art, she rose to renown in 1979 with an artistic action, consisting in placing murals along a motorway bridge. In 1981, the art historian and museum curator Jean-Christophe Ammann invited her to take part in a group show at the Kunsthalle in Basel then, two years later, for her frst solo exhibition. In 1984, she represented her country at the Venice Biennale.
In Miriam Cahn’s work can be seen the infuence of the feminist movements and thought of the 1970s, and then the 1980s. In particular, right at the beginning of her artistic career, she involved her own body in her work, by painting on the ground, on her studio foor, sometimes naked or with her eyes blindfolded, so as to reduce the infuence of the mind on the creative process. For this Swiss artist, any depicted body radiates beyond its physical condition – whether it be men and women, or animals and vegetation. Even a house can become embodied thanks to her brush, becoming as though inhabited, just like the fragment of a body, or female genitalia: they are all inhabited by a force which is at once physical and mental, sensual and emotional. Miriam Cahn places the body and its expression in an aura of profoundly emotive, subjective colours. Often bright, these colours become emotions. From the depths of her canvases, or from the strokes of her charcoal, she brings out what has been buried: concealed secrets and forbidden sensations. Her work evokes bodily desire, just as much as it does the violence that bodies undergo.”
Text by Bettina Wohlfarth
3 notes · View notes
adieuparis · 2 days ago
Text
Tumblr media
Romainville
1 note · View note
walker-diaries · 1 month ago
Text
Tumblr media
5 notes · View notes
vudansmarue · 2 years ago
Photo
Tumblr media
Romainville, 2023
2 notes · View notes
amaliachevillotdsaacreation · 2 months ago
Text
MADE IN ANYWERE
Les mots Made in Anywhere évoquaient en moi une grande curiosité pour l’inconnu et pour la liberté que représentent les livres d’artistes dans mon imaginaire. J’étais attiré par la perspective de me retrouver dans un lieu qui réunit des contenus variés autant dans leurs formes, leurs fonds que leurs approches créatives, non contraints par les réalités du monde économique. La question est la suivante : Le salon Made in Anywhere sera-t-il à la hauteur de mes attentes ?
C’est dans la fondation Fiminco qui a réinvesti une ancienne friche de Romainville que se déroule le salon. Dès l'entrée du parcours, je découvre les livres sélectionnés pour la 9ème édition de la révélation Livre d’Artiste. Sur les tables sont soigneusement présentés les livres et j’ai envie d’en savoir plus sur ce qui se cache derrière chaque couverture. J’ai noté la grande variété des sujets abordés comme le lien entre féminité et domesticité avec le livre Textil Room de Ariane Toussaint ou encore l’architecture avec l'œuvre de Lionel Catelan Grenoble un modernisme olympique. Du laboratoire social, artistique et politique, à la ruine des infrastructures. Concernant Textile Room, le livre-objet surprend par son choix ingénieux de matériaux en proposant un livre textile imprimé en sérigraphie liée très bien matériaux et contenu. Quant au livre de Lionel Catelan, je l’avais déjà feuilleté dans une librairie Grenobloise. L’objet, qui est un recueil photographique et documentaire, s'intéresse à la transformation soudaine de Grenoble du aux jeux olympiques. J’ai trouvé intéressant que la sélection s’ouvre sur des livres qu’on peut retrouver dans une librairie, tout comme sur des livres rares et peu accessibles au grand public.
Tumblr media Tumblr media
La suite du salon s’ouvre sur un étage dédié à de nombreux stands d'artistes et d'éditeurs indépendants, on retrouve alors des livres, des estampes, des gravures…Un stand à particulièrement attiré mon attention, le stand des éditeurs BARTLEBY & CO Thorsten Baensch, maison d’édition spécialisée dans la production de livres d’artistes à tirages limités et à la confection soignée. Leurs livres utilisent des matériaux que ce soit du papier, du tissu, ,des cartes postales… l’un de leurs livres m'a marqué, il s’agit de Space Oddity, un livre créer lors d’une résidence ou le créateur c’est inspiré d’une légende sur des ovnis présente dans la région.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Je repars inspirée de ce salon dont les participants utilisent l’art du livre pour exprimer des sujets divers, avec une créativité et une poésie particulière,
0 notes
victorwaterkeyn · 2 months ago
Text
(Made Anywhere), voyage aux confins du raisonnable
Parmi les innombrables événements franciliens mettant à l’honneur les créateurs contemporains, (Made Anywhere) prend des airs de réunion secrète en se dotant, en plus d’une description brumeuse, d’une localisation à couper chez les moins enthousiastes l’envie de s’y déplacer. Mais l’ôde à la spontanéité que l’on découvre sur place rend le chemin du retour moins gris.
Tumblr media
Extérieur de la Fondation FIMINCO
Quoi de plus naturel pour clôre cette semaine de rentrée qu’une sortie pour s’imprégner à nouveau de ressources visuelles, sciemment ignorées cet été au profit de paysages ensoleillés et sorbets n'exigeant pas la moindre éducation graphique pour être appréciés.
C’est dans cet état d’esprit que j’ai accueilli le rendez-vous à la Fondation FIMINCO pour le salon (Made Anywhere) ce vendredi après-midi. Je n’ai jamais entendu parler de cet évènement. Bien sûr, ce n’est pas mon premier salon de ce genre, mes trois dernières années en formation de graphisme dans la petite couronne m’ont amené à visiter divers marchés d’objets graphiques, salons du livre et autres rassemblements d’exposants. Mais à chaque fois, il appartenait à une impulsion extérieure la tâche de m’y conduire. Mais à chaque fois, je ne regrettais pas d’avoir pris part à chacune de ces virées. 
Alors je mets de côté le préjugé d’un événement pompeux qu’a fait naître la lecture de la description du site web de (Made Anywhere) pour débuter, avec une sincère curiosité, l’itinéraire du Lycée Eugénie Cotton à la Fondation FIMINCO, dont la complexité témoigne de l’anonymat du lieu ; à minima aux yeux de la RATP.
Après avoir suivi les flèches estampillées du nom de l’événement collées tous les deux mètres dès la sortie du métro, nous arrivons devant un complexe de bâtiments imposants et nous introduisons dans la cour intérieure de l’ancien site industriel qui a conservé son caractère inhospitalier. Une fois rentré à l’intérieur de l’édifice abritant l’exposition, on découvre une structure en béton du sol au plafond, un cadre qui ne connote pas la poésie que mettait en avant le salon dans son intitulé en ligne. Mais soudain, alors que je pose mon regard sur la première table, la froideur quasi-funèbre du lieu est giflée par une chaude singularité qui s’émane de chaque objet. “Ok, nous traîner dans le quartier le plus déprimant de Romainville faisait donc partie de la mise en scène.”
C’est comme si chacun de ces livres faisaient leur maximum pour ne pas être vus : formes atypiques, matériaux inhabituels, sujets farfelus, … Mais alors qu’est-ce qui peut bien réunir tous les livres de cette sélection ? Précisément la volonté de chacun de leurs créateurs de donner vie à des ouvrages qui ne ressemblent à aucun autre. Ainsi, Virgilio Martini agglomère ensemble photographies, photocopies, images et textes récoltés au fil de rencontres à Bruxelles, Charles Villa compile des clichés d’affiches bleuies par leur exposition au soleil, Rémy Louchart propose un petit livre, mon coup de coeur personnel, qui repose sur l’homonymie du nom de la protagoniste de l’histoire qu’il réinterprète, Nancy Drew, et le verbe “drew”, et imagine dès lors cette dernière dessiner dans des scènes au sens transformé, illustrées par l’auteur avec des dessins à la souris, parfaits dans leur médiocrité. 
Tumblr media Tumblr media
MARTINI, Virgilio. Liquid Life, 2024. LOUCHART, Rémy. Miss Drew, 2023. VILLA, Charles. Image Bleue, 2023.
À l’étage, on peut naviguer dans une salle plus densément occupée, avec une disposition qui m’est davantage familière pour ce genre de salon. Cependant, on observe sur chaque étal, tenus par des maisons d'édition ou les artistes eux-mêmes, des objets qui semblent avoir renoncé à tout calcul commercial pour embrasser une vocation exclusivement expérimentale et émancipatrice. J’échange avec une femme plutôt âgée qui présente sur sa table des éditions aux couvertures brodées, elle m’explique : chacune de ces couvertures est une broderie unique réalisée par une femme en prison, et cet exercice collectif prend pour point de départ un dialogue sur l’enfermement. Un projet touchant avec des résultats très charmants. Mais quelle mastodonte de l’édition prendrait le risque d’investir dans une telle initiative ? Probablement aucune, mais cette autrice, Chantal Bideau, n’en n’a probablement que faire, car cette œuvre, elle l’a initiée, non pas dans une perspective lucrative, mais pour elle et pour ces femmes.
Tumblr media Tumblr media
Salle des exposants
(Made Anywhere) prend autant ses distances de la forme classique du livre qu’il prend ses distances du centre de Paris. Et dans les deux cas, l’effort de s’aventurer hors des sentiers battus est récompensé par des sensations fortes. Une fois le brouillard dissipé, on se mêle à cette bande de savants-fous et on les quitte en s’autorisant à nouveau un peu de naïveté.
1 note · View note
amaliachevillotdsaa · 2 months ago
Text
MADE IN ANYWHERE :
Les mots Made in Anywhere évoquaient en moi une grande curiosité pour l’inconnu et pour la liberté que représentent les livres d’artistes dans mon imaginaire. 
J’étais attiré par la perspective de me retrouver dans un lieu qui réunit des contenus variés autant dans leurs formes, leurs fonds que leurs approches créatives, non contraints par les réalités du monde économique. La question est la suivante : Le salon Made in Anywhere sera-t-il à la hauteur de mes attentes ? 
C’est dans la fondation Fiminco qui a réinvesti une ancienne friche de Romainville que se déroule le salon. Dès l'entrée du parcours, je découvre les livres sélectionnés pour la 9ème édition de la révélation Livre d’Artiste. Sur les tables sont soigneusement présentés les livres et j’ai envie d’en savoir plus sur ce qui se cache derrière chaque couverture. J’ai noté la grande variété des sujets abordés comme le lien entre féminité et domesticité avec le livre Textil Room de Ariane Toussaint ou encore l’architecture avec l'œuvre de Lionel Catelan Grenoble un modernisme olympique. Du laboratoire social, artistique et politique, à la ruine des infrastructures. Concernant Textile Room, le livre-objet surprend par son choix ingénieux de matériaux en proposant un livre textile imprimé en sérigraphie liée très bien matériaux et contenu. Quant au livre de Lionel Catelan, je l’avais déjà feuilleté dans une librairie Grenobloise. L’objet, qui est un recueil photographique et documentaire, s'intéresse à la transformation soudaine de Grenoble du aux jeux olympiques.
J’ai trouvé intéressant que la sélection s’ouvre sur des livres qu’on peut retrouver dans une librairie, tout comme sur des livres rares et peu accessibles au grand public. 
Tumblr media Tumblr media
La suite du salon s’ouvre sur un étage dédié à de nombreux stands d'artistes et d'éditeurs indépendants, on retrouve alors des livres, des estampes, des gravures…Un stand à particulièrement attiré mon attention, le stand des éditeurs BARTLEBY & CO Thorsten Baensch, maison d’édition spécialisée dans la production de livres d’artistes à tirages limités et à la confection soignée. Leurs livres utilisent des matériaux que ce soit du papier, du tissu, ,des cartes postales… l’un de leurs livres m'a marqué, il s’agit de Space Oddity, un livre créer lors d’une résidence ou le créateur c’est inspiré d’une légende sur des ovnis présente dans la région. 
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Je repars inspirée de ce salon dont les participants utilisent l’art du livre pour exprimer des sujets divers, avec une créativité et une poésie particulière.
1 note · View note
carolinelamming · 2 months ago
Text
Le décloisonnement des formes artistiques.
Définition de décloisonnement : « Supprimer les cloisons d'ordre administratif ou psychologique qui empêchent les relations entre deux ou plusieurs disciplines intellectuelles, deux ou plusieurs groupes humains, organismes ou pays », CNRTL
Le décloisonnement des formes artistiques, c’est le maître mot d’un salon dédié aux pratiques éditoriales contemporaines qui se déroulent début septembre à la fondation Fiminco à Romainville. C’était pour moi une première rencontre avec ce genre "scène de création contemporaine". Ma vision du graphisme éditorial étant parfois cloisonnée dans les standards du marché de l’édition, il m’a tout de suite paru intéressant d’actualiser mes références graphiques. Un questionnement a précédé ma visite : En quoi ce salon dédié aux pratiques éditoriales est-il le reflet d’une déconstruction des formes artistique ?
Ce salon propose ainsi, sous différents aspects physique et moral, un décloisonnement des standards de formes éditoriales. Un des premiers éléments participant à ce décloisonnement est le lieu : La Fondation Fiminco. Cette ancienne friche industrielle située en dehors de Paris offre un cadre non conventionnel aux exposants. Fait de béton et doté d’une hauteur de plafond hors norme, il est laissé aux exposants la possibilité de présenter leurs créations sur la hauteur, comme le fait la plasticienne Mathilde Melek An, en affichant ses teintures photographiques sur rideaux de douche à plusieurs mètres de haut. Cette hauteur impressionnante laisse également place à la libération et l’ouverture d’esprit. Induisant ainsi que les possibilités créatives proposées au sein de ce salon sont multiples et infinies. La diversité des domaines d’activité proposés par les exposants permet ici un décloisonnement des statuts professionnels et la rencontre de différents corps de métiers. Ceci permettant de voir au sein du salon des collaborations étonnantes entre artistes, graphistes et autres métiers. La forme des objets d’édition en eux-mêmes est décloisonnée des standards du marché de l’édition. Le stand de l’association EXTRA éditeur d’espaces a particulièrement attiré mon attention sur ce sujet (voir photo). En collaboration avec la Graphiste Marion Bataille et l’architecte Fanny Millard, cette association a proposé un livre-objet appelé POPOTU. Cet objet d’édition n’a rien d’un livre traditionnel car il ne possède pas de mot et n’est pas d’un format classique. De par ses différentes reliures, il se déploie dans l’espace et se manipule comme un jeu. L’objet occupe ici davantage un intérêt pour son occupation dans l’espace que pour son contenu, à l’inverse des livres classiques. Le décloisonnement, c’est aussi voir au-delà de l’objet fini, élargir son champ de vision. Et cette 9ème édition est axée sur les recherches et sources d'inspiration à la base du travail des exposants.
Si l’on en suit l’idée générale du salon : décloisonner les formes artistiques, la salle dédiée aux livres d’artistes devrait nous amener à voir des nouvelles formes de livre, or hormis le travail graphique parfois très singulier de certains livres, la forme générale et le travail de composition texte-image m’a paru parfois un peu ordinaire. Pour finir, je souhaitais relever un paradoxe : ce salon n’est en réalité pas si révélateur de décloisonnement car il réunit des passionnés autour d’une même thématique dans un espace clos. Ceci me questionne sur la portée de ce décloisonnement.
Tumblr media
Stand B13 EXTRA éditeur d’espaces
1 note · View note