#rideaux blancs
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Library Paris Living room library - mid-sized transitional enclosed light wood floor and beige floor living room library idea with no fireplace, no tv and white walls
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Living Room Library
#Inspiration for a large#contemporary#enclosed living room with a dark wood floor#white walls#and no television. salon chaleureux#rideaux blancs#black sofa#metal coffee table#radiateur fonte blanc#french doors#table basse courbes
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Library - Living Room Large country enclosed living room library photo with white walls, a medium tone wood floor, and no fireplace or television.
#rideaux occultants verts#table d'appoint ancienne rouge#murs blancs#porte vitrée à carreaux#library#objet de décoration exotique
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Paris Living Room Inspiration for a mid-sized contemporary enclosed light wood floor and wallpaper living room library remodel with white walls, a stone fireplace and a media wall
#parquet chevrons#lampadaire noir#rideaux velour#coffee tables#velours gris#gris et blanc#flos lighting
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Living Room in Paris Inspiration for a mid-sized contemporary open concept living room library remodel with no fireplace, no tv and gray walls
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Comptoir des rideaux blancs et de couleur - Au Bon Marché - c.1894 -via Paris bibliotheques
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La Mode illustrée, no. 30, 29 juillet 1900, Paris. Coiffure nouvelle et peignoir de coiffure. Jupon élégant en taffetas noir. Table de toilette. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Coiffure nouvelle et peignoir de coiffure.
Cette coiffure, pour jeune dame, convient à une chevelure ondulée de longueur moyenne.
On partage les cheveux d'une oreille à l'autre, on relève la partie de derrière, on la noue au moyen d'un ruban. On ondule les cheveux de devant en larges vagues, on les rattache aux cheveux de derrière, puis on dispose les extrèmités de tous les cheveux ainsi réunis en une touffe de boucles; on frise les cheveux en petites boucles sur les tempes, puis on fixe derrière, sous la touffe de boucles, un peigne en écaille blonde figurant un serpent (voir la gravure représentant la coiffure vue par derrière).
Le peignoir de coiffure en nansouk est fait avec de larges manches et un col rabattu bordés de volants brodés fixés sous un entre-deux ajouré; le col est garni de jours quadrillés.
Les devants sont disposés en petits plis; le dos est fait avec trois plis creux ayant chacun 3 centimètres de largeur et piqués l'un sur l'autre. Le contour inférieur est bordé d'un volant et l'on complète le peignoir en passant, sous le col rabattu, un ruban de couleur que l'on noue devant.
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This hairstyle, for a young lady, is suitable for wavy hair of medium length.
We share the hair from one ear to the other, we raise the back part, we tie it with a ribbon. We wave the front hair in wide waves, we attach them to the back hair, then we arrange the ends of all the hair thus united in a tuft of curls; we curl the hair in small curls on the temples, then we fix behind, under the tuft of curls, a blond tortoiseshell comb representing a snake (see the engraving representing the hairstyle seen from behind).
The nansouk hairdressing robe is made with wide sleeves and a turn-down collar edged with embroidered flounces fixed under an openwork in-between; the collar is lined with squared days.
The fronts are arranged in small pleats; the back is made with three box pleats, each 3 centimeters wide and stitched one over the other. The lower contour is edged with a flounce and the bathrobe is completed by passing a colored ribbon under the turned-down collar that is tied in front.
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Table de toilette.
Cette table de style moderne, construite en bois blanc, peut être établie sans trop de frais par un menuisier; on peint la table en blanc laqué avec de la couleur émail et les arabesques en bleu. On peut également la décorer en pyrogravure ou la peindre en couleurs laquées de tons divers.
La table est garnie d'un morceau de drap bleu clair, recouvert d'une plaque de cristal assez forte fixée par des vis de métal. Le devant et les deux côtés de la table sont garnis de rideaux en tulle brodé exécutés d'après les gravures No. 1. et No. 2, posés sur de la satinette ou bien sur de la soie légère bleu clair.
On coupe pour ces rideaux trois morceaux de tulle d'environ 75 centimètres de hauteur et 1 mètre de longueur et deux morceaux de la même hauteur mais ayant seulement 80 centimètres de longueur pour les rideaux du haut. On garnit le tulle avec la broderie, on borde le contour inférieur avec des festons en découpant l'étoffe qui dépasse, on exécute un ourlet le long des côtés; on pose les rideaux de tulle et les rideaux bleus sur la même coulisse. On fixe, au bord supérieur des anneaux de métal à travers lesquels on passe des cordelières en soie bleue, terminées par des glands; on fixe ces cordelières, en les croisant, sur les pieds de la table à l'aide de clous en bronze. On drape les rideaux en les retenant par des cordelières semblables.
La garniture de toilette se compose d'une glace avec cadre ciselé en vieil argent, de brosses, peignes, boîte à poudre, glace à main en ivoire et de flacons de cristal.
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This modern style table, built in white wood, can be built by a carpenter without too much expense; the table is painted in white, lacquered with enamel color and the arabesques in blue. It can also be decorated with pyrography or painted in lacquered colors of various tones.
The table is lined with a piece of light blue cloth, covered with a rather strong crystal plate fixed by metal screws. The front and both sides of the table are lined with embroidered tulle curtains executed from engravings No. 1. and No. 2, placed on sateen or on light blue light silk.
We cut for these curtains three pieces of tulle about 75 centimeters high and 1 meter long and two pieces of the same height but only 80 centimeters long for the top curtains. We trim the tulle with embroidery, we border the lower contour with scallops by cutting out the protruding fabric, we run a hem along the sides; the tulle curtains and the blue curtains are placed on the same slide. Metal rings are attached to the upper edge through which blue silk cords are passed, ending in tassels; these cords are fixed, by crossing them, on the legs of the table with the help of bronze nails. The curtains are draped by holding them with similar cords.
The toilette set consists of a mirror with a chiseled frame in old silver, brushes, combs, powder box, hand mirror in ivory and crystal bottles.
#La Mode illustrée#20th century#1900s#1900#on this day#July 29#periodical#fashion#fashion plate#description#Forney#dress#peignoir#coiffure#furniture
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" Couldn't Move On And Forget About You "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Jason Todd
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Cela faisait bientôt un an que Jason avait disparu. Il était mort. Il était mort depuis bientôt un an et j'avais enfin réussi à aller de l'avant, j'avais tourné la page, il n'était plus que le cauchemar qui hantait mes nuits lorsque je fermais mes yeux. Et cette journée était supposée être parfaite. Mais je ne comprenais pas, je n'arrivais pas à comprendre pourquoi je le revoyais. Cette fois-ci, il était bel et bien réel.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : exes to lovers, arme à feu présente, hurt/comfort
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟒,𝟖𝟒𝟎
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Une fraîcheur mortelle régnait dans l'appartement. Elle en était glaciale. L'obscurité dans laquelle étaient plongées toutes les pièces du lieu n'aidait pas. Le tout était peu accueillant, presque menaçant. Tout ce noir installé dans les quatre recoins du lieu se traduisait par un mauvais présage, tel un danger imminent incapable à repousser, implanté ici et là, prêt à tout détruire sur son passage et à tout entraîner dans sa chute. Seules les lumières de la ville parvenaient un tant soit peu à éclairer le tout, que ce soit par des hélicoptères, des panneaux publicitaires sur d'immenses buildings ou les phares de voitures. Elles étaient projetées sur les murs du gigantesque salon ᅳles baies vitrées non couvertes par les épais et lourds rideaux, laissant donc tout type de lumière y pénétrerᅳ ainsi que sur le côté de plusieurs meubles. Ce ne fut alors, qu'avec ces maigres lueurs, que la jeune femme put se repérer dans le lieu, et éviter de percuter, et briser, ses précieux biens.
Elle passait entre le canapé d'un cuir de couleur ensanglanté et les tabourets rangés devant le plan de travail de la cuisine ᅳouverte, d'un style américainᅳ. Elle manquait de heurter un vase Chinois, à cause des imposants bords de sa robe, malgré le fait qu'elle en tenait déjà une épaisse quantité dans ses pauvres mains tremblantes. Le vase tremblait, tournait sur lui-même, et au moment même où il manqua de s'effondrer au sol, il fut saisi par la jolie paire de mains de la demoiselle. Celles-ci recouvertes d'une époustouflante paire de gants blanc en dentelle.
« Merde, désolée. » elle articula difficilement, entre deux sanglots et avec le nez bouché.
Elle reposait l'objet à sa place, et continuait sa marche en direction du centre du salon. Elle forçait sa traîne à suivre le pas, sur ses immenses talons aiguilles ouverts sur ses orteils et la vue troublée par son voile rabattu sur les traits tiraillés de son sublime visage, ainsi que par ses larmes. Elle avait les lèvres qui tremblaient, les joues tachées par deux lignes noirâtre, partant de ses cils jusqu'à sa mâchoire. Son mascaras avait été incapable de survivre à cette journée, tout comme elle. Et un mal de crâne lui martelait le cerveau, d'une violence criminelle.
La jeune femme déposait sa pochette d'un cuir blanchâtre sur une commode boisée proche de la grande baie vitrée dans le salon. Rapidement, elle y plongea ses doigts et en extirpait son cellulaire. De ses fins doigts habillés, elle débloqua l'écran de verrouillage et sélectionna l'icône "message" parmi toutes ses applications. Elle était celle qui contenait le plus de notifications, une bonne centaine de messages avaient été reçu dans le petit objet, provenant non seulement de sa famille, mais aussi de ses amis les plus proches, jusqu'à des collègues et vielles connaissances. La demoiselle remarquait immédiatement le numéro d'un contact en particulier, qui attirait son attention. Dick Grayson. La conversation entre elle et le jeune homme se trouvait en première place, signe qu'il était le dernier à avoir pris le temps de lui écrire. Dick lui avait envoyé un message il y avait une demie-heure, depuis le début de soirée; il en avait envoyé une vingtaine.
La jeune femme soupira. Elle faisait rapidement passer son voile en dentelle au dessus de sa tête, dévoilant ainsi les traits somptueux de son visage tachés par un maquillage ruiné par ses larmes. Elle cliqua sur sa conversation avec le noiraud de son pouce, poussant au même moment un soupir hésitant. Son cœur s'emballait légèrement alors qu'elle sentait soudainement un poids s'accrochant à ses épaules. Les remords s'emparaient enfin d'elle.
« Je vais passer à ton appartement. » était-il écrit. « J'ai juste besoin de savoir que tu vas bien. Tout le monde est inquiet pour toi. »
La jeune femme essuyait grossièrement une flopée de grosses larmes à l'aide de sa paume de main. Elle avait les yeux ronds comme des billes, trempés exagérément et la bouche tordue en une moue poignante.
« J'ai tout gâché. Je suis désolée. » répondit-elle au garçon.
Du tac au tac, Grayson lui avait envoyé un message. Le petit bruit signalant l'arrivée d'une notification prenait de surprise la jeune femme, elle en hoquetait et en sursautait bêtement.
« Tu as fait ce que tu jugeais le mieux pour toi, tu n'as pas à te sentir mal pour ça. »
« Je n'arrive pas à l'oublier. » elle écrivait en retour. « Je ne peux pas en épouser un autre que lui. Je ne peux pas en aimer un autre que lui. »
Dick ne répondait pas. Il restait muet, incapable de taper une quelconque réponse ; la demoiselle le compris immédiatement, voilà pourquoi elle quittait brusquement la conversation et fermait les yeux. Elle serra son cellulaire entre ses doigts, elle le fit violemment, le corps secoué par des sanglots douloureux.
Lorsqu'elle rouvrit finalement les yeux, ce fut à cause du bruit d'une nouvelle notification. Elle avait attiré son attention. La jeune femme passa alors de nouveau la paume de sa main sur son visage ᅳle gant était désormais noirᅳ et retira le reste des larmes ayant perlé sur les traits torturés de son faciès. Ensuite, elle regarda le nom du contact qui lui avait écrit ᅳcar ce n'était pas Grayson. Wayne. C'était Bruce Wayne. Il lui avait envoyé plusieurs messages, chose étrange venant du milliardaire qui avait pourtant la réputation d'être aussi froid que la glace, aussi bavard qu'un mur de briques et méprisant qu'une brute. Ses larmes noirâtres retombaient sur le décolleté de sa robe de mariée et la tachait sans merci. Elle ne pouvait plus s'arrêter de pleurer, peu importait la conviction qu'elle y mettait, la force qu'elle insufflait en elle. Toutefois, elle rassembla la dernière once de courage présente dans ses veines, et cliqua sur le message du milliardaire.
« Passe au manoir dès que tu as besoin de quoi que ce soit. Tu seras toujours la bienvenue. »
La jeune femme émit un violent gémissement. Elle sentait sa gorge être prise de tremblements et, en réponse, elle plaqua violemment l'écran de son téléphone portable contre la surface boisée de la commode. Incapable de quitter la conversation ᅳde peur de s'attirer les foudres de Bruceᅳ et tout autant de lui répondre ᅳelle avait bien trop honte, et était bien trop énervée contre luiᅳ elle avait alors préféré fuir.
Elle se reculait, imposait une certaine distance entre son cellulaire et elle puis, soudainement, arracha son voile ainsi que le collier de perles laissé à choir proche de sa gorge. Les boules blanchâtre giclaient dans tous les sens, percutant le sol, allant se réfugier en dessous du canapé, de la commode, auprès de la baie vitrée, voire d'une lampe éteinte à quelques mètres de là. Tandis que le voile, lui, s'affaissait majestueusement au sol, sur la traîne de sa robe de mariée. Toutefois, elle ne lui laissa pas le temps de se reposer, car elle le dégageait d'un coup sec de son pied, préférant le voir au sol, contre la surface du tapis, plutôt que sur son vêtement traditionnel. Elle le toisa avec colère et menaça de le piétiner tant sa vue l'importunait. Lorsqu'elle relevait son visage en direction de l'immense salon, observant la porte menant à sa chambre à coucher, la salle de bain, son bureau, et la cuisine, elle sentit soudainement l'atmosphère se faire plus lourde. Quelque chose flottait dans l'air, enfoui dans l'obscurité qui l'avait entourée depuis le début, mais à laquelle elle n'avait pas su donner assez d'importance. Elle étouffait, haletait, transpirait à grosse gouttes, cela la rendit davantage nerveuse.
Après un instant, là où elle s'était raclée la gorge, la jeune femme déposa la paume de sa main contre sa poitrine et parla d'une voix terriblement hésitante. Elle papillonnait des yeux, avec la désagréable sensation d'être observée de tous les côtés, sous tous les angles.
« Il y a quelqu'un ? »
Un sentiment de peur se frayait en elle, mêlé à la peur et la tristesse. Elle en avait les tripes retournées et le cœur battant à vive allure. Il tambourinait fort contre sa poitrine, le bruit allant même jusqu'à se répercuter dans ses tympans. De ses pupilles tremblantes et de son regard troublé par ses pleurs, la jeune femme jetait un coup d'��il curieux au salon. Cette fois-ci, elle l'observa avec grande attention. En commençant par la cuisine, la porte d'entrée, ses côtés, et finissant par le coin bibliothèque sur sa gauche, complètement plongé dans le noir.
La jeune femme plissait les yeux. Elle avait la désagréable impression de voir une forme y voir le jour dans tout ce noir si compact, et, le temps que ses yeux s'habituent finalement à l'obscurité, elle avait déjà avancé de plusieurs pas.
Sa traîne glissait sur le tapis, elle ne prenait même pas la peine de relever les bords épais de sa robe afin d'alléger sa marche. Elle écrasait les quelques perles de son collier au sol, manquant de chuter à répétition. Elle les forçait alors à rouler, se percuter entre elles et rouler bruyamment jusqu'à rencontrer une nouvelle surface contre laquelle elles allaient de nouveau y ricocher. La jeune femme parvenait rapidement au coin bibliothèque de son appartement, habituellement composé d'une petite table ronde décorée d'une lampe verdâtre, de deux immenses bibliothèque collées contre le mur, et d'un gros fauteuil de cuir. Elle peinait à observer le tout, le noir brouillant sa vision.
Lorsqu'elle tendit la main afin d'allumer la petite lampe et d'enfin mettre le jour sur cette situation torturante, elle sursautait au contact d'un objet dur. Il était frigorifié, semblable à du métal. Au même moment, la lumière l'éclaira et ses yeux s'écarquillaient à la vue d'un parfait inconnu dans son salon. L'espace d'un instant, son coeur arrêta de battre.
« Oh mon Dieu. » elle hurla.
La demoiselle n'eut besoin que d'une chose : croiser son regard envoûtant, pour reconnaître Jason. Peu importait si les traits de son visage étaient torturés par la fatigue et sûrement la colère, peu importait si il était mutilé par une immonde lettre J sur le côté droit de sa joue, juste en dessous de son œil. C'était lui. C'était Jason. Elle ne rêvait pas, il était bel et bien là. A cette. simple constatation, elle en sentit ses tripes se tordre et son mal de crâne s'accentuer.
« Jason, c'est toi ? » balbutia-t-elle. « Je... Je rêve ? »
Pour accentuer ses propos, la demoiselle allait jusqu'à se pincer l'avant-bras. Lorsqu'elle vit Jason cligner des yeux et écarter davantage les jambes, elle manquait de s'en évanouir. Jason était étrangement vêtu, une épaisse armure sur les épaules. Il avait relevé son masque, son front lui restait tout de même invisible. Mais c'était bel et bien lui. Elle aurait pu le reconnaître entre mille.
« Je pensais pas que tu allais rentrer ce soir. » parla le noiraud.
« Jason. » elle le coupa brusquement. « Jason, tu es en vie ? Bruce m'avait pourtant dit que... Oh mon Dieu. J'ai cru que tu étais mort, depuis tout ce temps.. »
« Il t'a menti. Bruce m'a remplacé, je n'ai jamais compté pour lui. »
La jeune femme jetait un coup d'œil à la main de Jason, celle dont il s'était servi pour allumer la petite lampe sur la table. Juste au dessous de son avant-bras, reposait une arme à feu. Contrainte, la demoiselle fit mine de rien, et replaçait son attention en direction du noiraud. Lorsque son regard croisa le sien, elle en sentit son cœur se briser et ses tripes finir torturées dans tous les sens. Il avait l'air pitoyable, il avait l'air d'un homme brisé.
« Qu'est-ce qui t'est arrivé, Jason ? Qui t'a fait ça ? »
« Il ne t'a rien dit ? » s'étonna-t-il. « Évidemment qu'il n'a rien dit, pourquoi faire ? » il rit. « C'est le Joker. »
« Le Joker ? » elle répéta. « Le Joker ? »
Jason pointa sa joue droite de son doigt recouvert de son armure. La jeune femme n'eut pas besoin d'y jeter un coup d'œil, le J était tellement imposant et grossier, marqué dans sa chair, qu'elle n'avait pas pu le manquer. Néanmoins, elle ne put résister à la tentation de le dévisager de nouveau et cela manquait de la faire de nouveau pleurer.
« Tout ça, c'est la faute de Bruce. » articula Jason. « Si je suis mort, si j'ai tout perdu, si j'ai été remplacé, si j'ai été oublié, par toi, par lui, par vous tous, c'est par sa faute. »
Une sécheresse douloureuse voyait le jour dans la gorge de la jeune femme, embarrassée et apeurée, elle ne sut trouver les mots afin d'apaiser la rage bouillant au cœur de la poitrine Jason. À la place, elle se contentait de laisser ses larmes rouler à grosses gouttes sur ses joues et ses mains trembler vigoureusement. Elle apportait ses doigts à ses lèvres et couvrait sa bouche avec, les yeux écarquillés avec horreur et la poitrine écrasée par ses poumons, alors qu'elle respirait avec panique.
« Jolie robe, au passage. » balança Jason. « Qui est l'heureux élu ? » demanda-t-il d'une voix tranchante en la toisant.
« Jason. » elle l'avertissait.
« Ouais, c'est mon prénom. »
La demoiselle tendait une main dans sa direction, dans un geste désespéré ᅳavec pour but de s'assurer qu'il était devant elle, que ce n'était pas encore une de ces visions la hantant par pur désir de vengeance provenant de sa propre cervelleᅳ toutefois, elle se pétrifia avec horreur lorsqu'elle vit Jason sursauter. Ce fut léger, à peine visible à l'œil nu, mais elle le remarqua immédiatement. Elle remarqua la façon dont ses yeux s'étaient mis à luire avec terreur, dont ses mains avaient reculé d'un millimètres afin de protéger son visage et celle dont sa lèvre inférieure s'était mise à trembler. La jeune femme s'était arrêtée brusquement, la respiration coupée et peinant à cligner des yeux tant elle était surprise. La pensée qu'il n'était plus le même, qu'il n'était plus le garçon dont elle avait autrefois été éprise, lui brisa le cœur. Il s'arracha de sa propre poitrine, s'effrita et manquait de la tuer.
« Toi aussi, tu m'as oublié. » l'accusa Jason. « Tu m'as remplacé avec cet avocat à la noix pendant que je pensais mourir. Je pensais ne plus jamais te revoir, mais je me suis accroché. Et pourquoi, au final, pour te voir en épouser un autre ? »
Jason serrait le poing. Le cuir de son gant grinçait, il donnait l'impression d'être à deux doigts de céder sous sa force. La jeune femme en déglutit avec embarras. Elle le contemplait, les sourcils froncés et la bouche entrouverte. Tandis que lui, la foudroyait du regard.
« Je ne l'ai pas épousé. » elle se défendait. « Je n'ai pas pu le faire. »
« Félicitation, je suppose. »
« Jason. »
Elle l'observait, le visage mutilé ébloui par la petite lampe posée à une cinquantaine de centimètres de son visage, les reflets orangés peignant joliment son faciès et faisant ainsi s'enflammer l'éclat accusateur dans sa paire de pupilles. Elle dévisageait sa position; son coude déposé sur la petite table, les jambes écartés et son autre bras déposé sur l'accoudoir du fauteuil de cuir. Son poing serré se trouvait juste en dessous de la lampe, ébloui de manière splendide, telle une torche enflammée, prête à crier sa rage et à mettre la lumière sur ce monde injuste et terrifiant.
« Tu es revenu, ne pars plus. Je t'en prie. Ne me quitte plus jamais. » elle murmurait, la voix secouée par des sanglots. « Reste auprès de moi. »
Jason la contempla. Il clignait des yeux et en profitait pour faire glisser son regard sur son entière personne. Quant à la jeune femme, elle restait stoïque, réduite à l'état d'objet sous le regard perçant de cet intrus. Le dit intrus, commençait par détailler la traîne de sa robe de mariée du regard, puis, il remontait sur son corset dévoilant sa sublime taille décorée de dentelle et d'un décolleté en forme de cœur, mettant en valeur la naissance de sa poitrine. Ses mains avaient l'air terriblement douce et élégantes, recouvertes d'une paire de gants en dentelle quelque peu tachées de noir. Sa nuque était dévêtue, et son maquillage, lui, ruiné. Pourtant, Jason ne l'avait jamais autant trouvé aussi sublime. Elle se trouvait face à lui, dans une robe de mariée ruinée, après avoir fui son fiancé, tout ça, parce qu'elle n'arrivait pas à le sortir de sa tête. Et ce, même présumé mort. Tout comme lui : elle n'avait jamais pu tourner la page.
La demoiselle retirait soigneusement ses gants, elle les laissait tomber sur la petite table et avançait de trois pas jusqu'à Jason. Pris par surprise, le noiraud la laissait faire. Il se crispait légèrement, le corps secoué par un sentiment de terreur, apeuré à l'idée d'être heurté, d'attiser sa méprise, son dégoût, sa colère. Il savait qu'elle en aurait été incapable, mais Jason n'était plus le même. Il n'était désormais que l'esclave de ses cauchemars. Il se perdit alors dans ses pensées, déglutissant bruyamment, tandis que la demoiselle arrivait à faire parvenir la paume de sa main sur la joue du garçon.
« Le Joker est mort. Il ne pourra plus jamais te faire de mal. »
Elle camouflait la cicatrice présente sur sa joue dans un geste tendre. Elle caressait sa peau étrangement douce de la sienne légèrement froide. L'espace d'un instant, elle retrouvait le Jason d'autrefois. La peau vierge, cet éclat familier dans le regard et cette atmosphère apaisante présente dans la pièce. Il n'était plus le même, elle en était consciente, malgré tout, le simple fait de le retrouver, ainsi, suffisait à la troubler avec force.
« Est-ce que Bruce sait que tu es ici ? » se risqua-t-elle à demander.
« Bruce n'en a jamais eu rien à faire de moi, peu importe. »
« Oh, Jason, non. Ne dis pas ça, je t'en prie. » elle le coupa. « Bruce était tant bouleversé quand Alfred m'a appris la nouvelle de ta disparition, il en est presque tombé malade. »
Ses traits de visage se durcissaient soudainement. Pris par un sentiment de rage, Jason frappait du poing sur la table en se redressant furieusement sur le fauteuil. La jeune femme en sursautait, terrifiée.
« Ne parle pas de lui comme si tu le connaissais ! Tu ne sais rien. » beugla Jason avec colère. « Tu ne sais pas quel genre de monstre il est en réalité. Tout ça, c'est de sa faute ! De sa faute... »
Jason en avait les larmes aux yeux, la fatigue l'emportait sur lui. Il avait été réduit à néant l'espace d'une année entière, complètement brisé, abandonné à son triste sort face à une créature tout droit sortie des enfers, puis il avait été abandonné par son père, ses frères, amis, et, à la recherche d'une dernière once d'espoir, il avait vu la seule fille qu'il avait jamais aimé, ᅳpresqueᅳ se marier avec un autre que lui, sous ses propres yeux, alors que tout semblait bien aller pour eux, comme si il n'avait jamais existé. Comme si il n'était plus rien. Comme si il n'avait jamais rien été. Jason avait le cœur réduit en miette, le corps recouvert de blessures, à peine apte à tenir debout sans sentir ses tendons gémir de douleur, ses os grincer et sa cervelle tirer des signaux d'alerte. Mais, alors qu'il se tenait devant elle, après tout ce temps à prier, à espérer, à tenir, il se sentait soudainement mieux. Alors, il se calma, regrettant immédiatement d'avoir élever la voix sur elle.
« Tu l'aimais ? »
Jason se raclait la gorge, embarrassé.
« Cet avocat à la noix, » il répétait. « tu l'aimais ? »
La jeune femme essuyait ses larmes et esquissait un petit sourire timide. Elle regardait Jason dans les yeux incapable de détourner le regard alors que le garçon de ses rêves se tenait devant elle. Il était là, assis tranquillement après avoir fait effraction chez elle, à la regarder comme si elle était le plus beau trésor de ce monde, ignorant les saletés sur son visage, son décolleté, ses gants noircis, son collier arraché, son voile abandonné et ses yeux bouffis par le nombre de larmes qui avait tristement parcouru les traits somptueux de son visage. La façon dont il la regardait la laissait bouche bée. C'en était d'une tendresse inouïe.
« Pas une seule seconde. » avoua-t-elle. « Je n'ai jamais pu te sortir de ma tête. »
Et c'était vrai. La triste vérité.
« J'étais persuadée que tu étais mort, la nouvelle venait de ta famille après tout. Mais, contrairement à eux, je n'ai jamais réussi à faire mon deuil. »
Jason sentit son cœur se gonfler de joie. Il en rougissait, comblé de bonheur.
« Cole est gentil, je me suis dis que c'était peut-être ce dont j'avais besoin pour convaincre Bruce que j'allais mieux, pour me convaincre. Mais, une fois devant l'autel, je.. Je sais pas ce qui s'est passé. Je sais juste que ce n'est pas lui que j'aime, c'est toi, Jason. C'est toi dont je suis amoureuse. »
Jason l'écoutait attentivement, apaisé par le son de sa voix. Elle parlait doucement, une pointe de timidité par ici et là tandis qu'elle faisait se noyer son regard dans le sien, incapable de cesser de le contempler.
« Est-ce que... Désolée. Est-ce que je peux te toucher ? »
Jason se contentait de fermer les yeux. Il laissait alors la demoiselle poser son front contre le sien et le serrer doucement dans ses bras. Elle enlaçait sa nuque de son épiderme nu, aidait ses doigts dévêtus à se fondre sur le dos de son crâne recouvert de son armure tandis qu'elle laissait s'échapper un souffle saccadé entre ses lèvres. Elle collait son décolleté à son torse, fléchissait les genoux sur ses haut talons aiguilles. Le contact physique engagé la rendit faible, elle manquait de s'en évanouir. L'odeur de Jason restait quelque peu similaire à celle qu'il avait toujours eu, néanmoins, celle-ci avait un côté un peu plus métallique, un peu moins artificielle. Ses yeux la brûlait à force de pleurer, et pourtant, elle continuait de sentir des larmes lui tremper les joues. Les mains de Jason trouvaient rapidement sa taille, il s'y agrippait, plantant ses doigts sur le tissu reposant sur ses hanches. Sa mâchoire se contractait durement, il grinçait des dents.
« Jason, tu m'as tellement manqué. »
La jeune femme embrassait la pointe de son nez, sa joue gauche puis celle de droite. Elle sentait Jason se raidir, cependant il restait muet, alors elle poursuivit jusqu'à déposer un tendre baiser sur sa paire de lèvres. Ensuite, elle se reculait et croisait son regard.
« Plus rien ne nous séparera maintenant, hein ? » demanda-t-elle.
Jason attrapait sa main, il entremêlait leurs doigts ensemble et lui sourit. Elle n'avait pas hésité, à sa grande surprise : elle voulait encore de lui, elle acceptait sa présence. Elle avait jeté la seule chance qu'elle avait eu de tourner la page ᅳse marier avec un autreᅳ pour le ramasser à la petite cuillère, sans hésiter l'espace d'un seul instant. Il en restait bouche bée.
« Je te le promets. » il répondait.
Jason serrait fermement sa main dans la sienne, le cœur gonflé d'amour et la tête dans les nuages.
« J'ai juste besoin d'un peu de temps avant. »
« Hein ? Pourquoi ça ? »
Jason grimaçait.
« Bruce et moi avons un compte à régler, je dois me préparer. Ça ne prendra que quelques semaines, mais ne t'en fais pas, je serai de retour. Je te le jure. »
« Quoi. »
Tandis que son sourire se fanait, la jeune femme le foudroyait du regard.
« Jason, tu repars ? »
« Le temps de régler cette histoire. » acquiesçait le garçon. « Après ça, je pourrai enfin tourner la page. »
C'était faux, mais Jason en était malheureusement persuadé. Il pensait que si Bruce Wayne disparaissait, si Batman échouait, alors cela lui rendrait justice, cela effacerait les horreurs que le Joker lui avait fait subir pendant cette monstrueuse année. Comme si ces cauchemars disparaîtraient, ces cicatrices se fondraient dans sa chair, jusqu'à en devenir invisibles, comme si plus rien ne s'était passé. Jason voulait le punir car, à ses yeux, Bruce était le seul et unique responsable de ce qui lui était arrivé. Il était celui qui n'avait pas été capable de le protéger, celui qui l'avait abandonné et remplacé. Celui qui lui avait tout offert, pour tout lui reprendre, et lui voler ce qui faisait de lui Jason Todd. Pour l'instant, il était incapable de vivre et ce, même avec elle, même à ses côtés. Peu importait combien elle le rassurait, l'apaisait, Jason était désormais un homme de vengeance, et il ne s'arrêterait pas avant d'avoir rendu justice.
« Je reviendrai te chercher. »
Jason se relevait, il surplombait la demoiselle et relâchait sa main.
« Maintenant que je sais que tu ne m'as pas oublié, que toi aussi tu as été manipulée par Bruce, je vais m'assurer que plus rien ne pourra nous séparer. » affirma-t-il.
La jeune femme fronçait les sourcils.
« Jason, je ne comprends pas. » elle avouait.
« Tu n'as pas besoin de comprendre. » il répliquait. « Contente toi de me faire confiance. »
« Je te fais confiance. C'est juste que... la façon dont tu parles m'inquiète. »
« Je sais. Je suis désolé »
Jason inspirait profondément puis, il expirait doucement. De son regard fatigué et troublé, il contemplait la jeune femme, il attrapait ensuite son visage en coupe, de ses deux mains, approchait son visage du sien, jusqu'à ce que leur nez se touche et finalement il lui offrait un petit sourire timide. Elle en sentit ses oreilles se réchauffer tandis qu'il imprégnait les traits de son visage dans son esprit et humait délicatement son odeur, déjà rendu ivre par celle-ci. Quelques minutes plus tard, Jason se sépara d'elle et détourna le regard.
« Je dois y aller. »
La demoiselle suivait son regard, il était rivé en direction de l'horloge, signe qu'il était sûrement déjà attendu quelque part. Jason semblait soudainement nerveux.
« Déjà ? » s'étonna la jeune femme. « Mais, je viens à peine de te retrouver ! Et puis, quand est-ce que tu comptes revenir ? Je ne veux pas attendre. J"ai tellement eu peur de te perdre, je veux rester avec toi, pour toujours etᅳ »
D'un geste rapide, net et précis, Jason avait attrapé le menton de la demoiselle entre ses fins doigts habillés. Puis, il l'avait coupé en déposant ses lèvres sur les siennes. Il lui avait volé un baiser tout en passant son bras autour de sa taille afin de la plaquer contre son torse. La demoiselle n'avait pas tardé à sentir ses yeux s'écarquiller avant de finalement se laisser aller et de répondre au baiser du garçon. Elle l'embrassait en retour, glissant ses paumes de mains sur ses joues et souriant grandement, le cœur battant à vive allure et la tête noyée dans les nuages. Les deux jeunes adultes vinrent partager un baiser amoureux. Il était d'une délicatesse et tendresse sans nom. L'un recouvert de métal, mutilé et épuisé par le temps, et l'autre vêtue de blanc, l'air tout droit sortie d'un compte de fée, si l'on en oubliait son maquillage ruiné, son nez bouché et ses yeux bouffis. Ils étaient là, enlacés l'un contre l'autre, le cœur battant à vive allure et leur âme finalement apaisées.
Le baiser aurait pu durer encore plus longtemps, il aurait pu s'éterniser jusqu'à se conclure dans un échange charnel, peau contre peau, larmes de joie échangées et bues à travers des baisers enflammés, langoureux, baveux, et finalement dans les bras de Morphée. Toutefois, le tout fut brusquement coupé lorsqu'on toqua à la porte d'entrée. Quelqu'un venait d'y donner quelques coups, attirant immédiatement l'attention de Jason et de sa bien-aimée. Le silence retombait soudainement dans la pièce principale de l'appartement.
« Qui est là ? » cria la demoiselle, tirée de son état d'euphorie.
« C'est moi, Dick. » déclara Grayson à travers la porte d'entrée. « J'ai fait un détour pour nous prendre de quoi manger, tu m'ouvres ? »
« Oh, euh, oui. C'est vrai, mince. »
La demoiselle glissait une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Elle faisait nerveusement parcourir son regard sur la pièce, tout sauf sur Jason alors qu'elle se demandait comment elle pourrait le faire sortir d'ici sans attirer l'attention.
« Ça te dérange de me donner deux petites secondes ? »
Sans lui laisser le temps de répondre, la jeune femme se tournait en direction du noiraud. Déjà prête à lui hurler de se cacher dans sa chambre, elle ne sut quoi dire lorsque, à la place de Jason, ne se trouva que le néant. Rien, ni personne. Il n'était plus là. Bouche bée, la demoiselle observait les alentours, persuadée qu'il n'avait pas pu se volatiliser comme ça, en un clin d'œil. Et pourtant c'était le cas. C'était à se demander si il avait vraiment été présent, si elle ne l'avait pas de nouveau inventé dans le seul but de se rassurer, de trouver réconfort auprès d'une agréable illusion, d'un séduisant mirage. Son odeur persistait dans la pièce, mais elle aurait tout aussi bien pu l'imaginer. Finalement, tandis que Dick commençait à s'impatienter derrière la porte, terriblement inquiet par tout ce silence, la jeune femme se contentait de sourire. Elle se frottait les yeux, épuisées et ses paupières la démangeant terriblement.
Et alors qu'elle se tournait en direction de sa porte d'entrée ᅳquelque peu agacée par l'insistance dont faisait preuve son amiᅳ, à une trentaine de mètres de là, elle saisissait la jolie rose abandonnée sur la table proche de la bibliothèque, juste en dessous de sa paire de gants, et finissait par aller rejoindre Grayson. Elle y trottinait, le cœur gonflé d'amour et les pensées divaguant vers un seul et même garçon. Le seul et l'unique : Jason Todd.
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Cher hiver,
Sache que je ne t’aime pas.
Ta nuit, ta pluie, ton gris, ton froid. Tout ça me rend presque totalement imperméable à tes charmes.
Pourtant tes quelques flocons de neige, tes chocolats chauds, tes feux de cheminée, tes gros pull tout doux, sont des choses que j’adore.
Mais tes pluies glaciales incessante, ton soleil qui se lève bien trop tard et se couche beaucoup trop tôt, tes journées toutes grises, ton vent cinglant et tes arbres nus et moroses font que je n’arrive pas à t’aimer, que j’ai même du mal à te supporter.
Oui, parfois ton ciel est bleu, dénué de tout nuage, parfois ton soleil brille et ses rayons viennent un peu illuminer et réchauffer ton ambiance si froide et si morne. Mais ça ne suffit pas.
Comme les autres saisons, tu as trois mois pour toi et même si février est un peu plus court que les autres, j’ai toujours l’impression que tu dures mille ans, que tu ne t’arrêteras jamais. Dès janvier, je ne ne crois plus au printemps.
Tu me rends triste et me vide de toute énergie. Moi qui adore me lever tôt, du moins avec le soleil, tu me donnes envie de dormir toute la journée, voire de rejoindre mon lit mi-décembre et de ne plus en sortir avant les premiers rayons de soleil doux de mars.
Je crois que si, comme beaucoup d’autres êtres vivants sur cette planète, je te passais à hiberner, je m’en porterai beaucoup mieux. Il n’y a rien de plus fatigant que ces journées sans lumière que je passe avec toi, hiver.
Et puis, maintenant que je fais des vidéos, tes nuits qui tombent très tôt et qui ne se lèvent jamais vraiment me frustrent énormément, car tes journées sans soleil rendent toutes mes images toutes tristes et lugubres, alors que moi, je voudrais partager de la chaleur, de la lumière et de la joie.
Alors oui, c’est vrai, les journées de neige ont quelque chose de magique. Un silence si apaisant. Mais tu n’as plus assez de flocons pour en recouvrir les pleines et les vallées plus que quelques jours par an. Je sais que ce n’est pas de ta faute et que toi non plus, tu ne maîtrises pas la météo. Mais tout de même, il fut une époque où je t’aimais pour les batailles de boule de neige, pour les premières traces de pas déposés sur ton manteau blanc après une nuit de neige. Je t’aimais pour ces matins de calme et de paix qui surgissaient lorsqu’en ouvrant rideaux ou volet, on découvrait que notre paysage s’était totalement fait recouvrir de blanc.
Tant pis, les glissages en luge se feront un prochain hiver peut-être.
En attendant, je prends mon mal en patience, je compte les jours avant le printemps, avant les journées douces et ensoleillées, avant les fleurs et les feuilles qui sortent, avant les oiseaux qui reviennent d’on ne sait où.
Ne m’en veut pas si je ne t’aime pas hiver. Si je ne t’aime plus. C’est juste que tu me rends triste et déprimée et qu’au bout de seulement quelques jours passés avec toi, je me languis tant du printemps et du beau temps.
D’ailleurs j’espère qu’il arrivera bientôt, plus tôt que prévu, avec son énergie, sa chaleur et ses journées douces, que je passerai allongée dans l’herbe ou au milieu des fleurs qui grandissent.
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US Vogue June 1963
Claudia Cardinale is wearing a set from the house of Trico, in knitted cotton, with a black, white and orange top, black pants. The earrings are Valentino's large gold curtain rings, dancing with bright red wooden cherries.
Cardinale porte un ensemble de la maison Trico, en coton tricoté, avec un haut noir, blanc et orange, un pantalon noir. Les boucles d'oreilles sont les grands anneaux de rideaux dorés de Valentino, dansant avec des cerises en bois rouge vif.
Photo Karen Radkai
vogue archive
#us vogue#june 1963#fashion 60s#1963#shooting star#claudia cardinale#italian actress#italian icon#trico#valentino#karen radkai#casual
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La ville endormie, un spectacle apaisant
Intimité familiale Fin
GIOVANNI ARSENE KUATE TAKAM 22007100
À travers les carreaux de ma fenêtre, les rideaux blancs délicatement rabattus sur le côté, un spectacle d'une sérénité à couper le souffle s'offre à moi. Il est 00h15 la ville semble s'être lovée dans un cocon de quiétude, prête à savourer quelques heures de repos bien mérité.
Dehors, les lumières tamisées des lampadaires projettent une lueur chaleureuse et rassurante sur les rues désertes. Leurs éclats dorés se reflètent sur les carrosseries des voitures sagement garées de part et d'autre de l'avenue, créant un ballet d'ombres et de lumières d'une beauté hypnotique.
Les grands arbres qui bordent la chaussée se dressent tels des sentinelles immobiles, leurs silhouettes se découpant avec grâce sur la toile de fond d'un ciel d'encre. Chaque branche, chaque feuille semble suspendue dans le temps, figée dans une attente respectueuse du sommeil de la ville.
Un calme presque surnaturel règne sur ces lieux habituellement animés, comme si le tumulte de la journée avait cédé la place à une trêve salvatrice. Plus un bruit, si ce n'est le doux murmure du vent caressant les feuillages, une mélodie apaisante berçant les rêves des habitants.
C'est un moment précieux, une parenthèse enchantée où le monde semble ralentir sa course effrénée. Un instant où l'on peut laisser son esprit vagabonder, se délester du poids des soucis quotidiens et simplement se laisser porter par la beauté de cette scène nocturne.
Derrière ces carreaux, je me sens privilégié d'avoir un tel spectacle sous les yeux, un rappel constant que même dans l'agitation de la vie urbaine, il existe encore des moments de grâce et de sérénité à savourer pleinement.
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J'ai dépensé 40€ dans des rideaux hier. Je ne les ai installés que aujourd'hui. Alors ça couvre pas aussi bien que des volets (inexistant au Japon), mais déjà. Ma chambre est beaucoup plus assombrie !!! J'ai découvert que j'avais une deuxième tringle seulement y a une semaine.
J'avais déjà des rideaux blancs. Ils couvrent un peu l'isolation phonique (un peu. Pas énormément) et la vue de l'extérieur sur l'intérieur. Mais ne couvraient que l'équivalent d'une feuille de cuisson niveau luminosité...
Ça va tellement améliorer mon sommeil !!!
Le seul truc que je ne peux pas changer, c'est la fenêtre à 4 mètres de haut au dessus de mon lit.
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Bonjour Manue et toute la team organisatrice de la FWC,
Je viens de recevoir le mail sur LA Fashion Week de Cunlhat et j’adhère complétement à votre idée. Et même plus, ma maison de couture souhaiterait se porter candidate. Je vois que la barre est mise très haute et je comprends que vous ne pouvez pas accepter tout le monde, et surtout pas n’importe qui, c’est pourquoi je vais vous présenter ma maison de couture et mon projet pour la fashion week de 2024.
Je m’appelle Catherine, ceux qui sont venus faire du glanage d’olives dans le 34 et le 30 me connaissent déjà. Certains m’appellent d’ailleurs tata Catherine. Je ne suis donc plus toute jeune mais quand même pas une boomer, je me qualifierais plutôt de génération X. Donc pour résumer j’ai une petite expérience de la vie en général et de la couture en particulier.
Je suis une autodidacte. J’ai commencé la couture au début des années 90 en Côte d’Ivoire. Ma sœur m’envoyait des patrons. C’était la grande époque des patrons Burda, quand les tutos sur internet n’existaient pas, internet n’en étant d’ailleurs qu’à ses balbutiements. Et avec des tissus achetés sur le marché (tie & dye, batik, wax, fancy, bazin…) j’ai fait mes premiers vêtements (jupes, chemises…). Je vois déjà certains hurler à l’appropriation culturelle (et oui je me suis même fait faire des tresses avec des rajouts). Grand bien leur fasse mais perso je préfère la notion d’appréciation culturelle. Quand mes enfants sont nés j’ai essayé de leur faire des vêtements un peu funky et en dehors des modes. J’ai aussi imaginé et cousus de nombreux costumes de carnaval dont certains plutôt originaux.
Depuis plusieurs années, on peut dire que j’ai une certaine expertise dans le domaine du costume d’époque Renaissance. Je crée des tenues aussi bien pour les gens du peuple que pour la plus haute noblesse. Dans un souci d’écologie, je ne travaille jamais avec des tissus neufs. L’upcycling est un des piliers de mon mode de création. J’utilise essentiellement des vieux draps mais également tous types de tissus que l’on me donne (coupons, vieux rideaux…). Le plus intéressant étant la phase de réflexion face à un bout de tissu et d’imaginer en quel costume je pourrais le transformer : homme, femme, peuple, bourgeois…
Je pratique les teintures végétales naturelles notamment pour les costumes faits dans de vieux draps blancs. Si des maisons de coutures ont des expériences dans ce domaines, je suis intéressée pour partager avec elles. J’ai une petite expérience dans le tannage des peaux : peaux de mouton à mon adolescence et plus récemment peaux de renards.
Je serai heureuse d’échanger avec Baptiste, qui, comme j’ai pu le lire, sait tanner les peaux et coudre le cuir.
Je peux vous envoyer un CV plus détaillé et des photos de mes réalisations car vous ne me trouverez pas sur les réseaux sociaux et je n’ai surtout pas de compte LinkedIn.
Côté organisation, comme Ted, j’aime assez travailler en scred. Du moins, j’aime bien le travail solitaire dans mon atelier. J’y passe beaucoup de temps notamment à concevoir mes projets. Cependant, j’aime aussi partager mes idées, échanger… Et l’idée d’une résidence de fabrication collective de costumes me séduit particulièrement. Je candidate donc pour ma maison de couture mais aussi, si elle accepte, je ne serai pas contre une candidature commune avec la maison de couture de ma consœur, et avant tout sœur, joëlle b.. Elle a bien plus de compétences techniques que moi, de nombreuses idées, c’est une spécialiste du sac et des accessoires et c’est surtout ma grande pourvoyeuse en tissu. De nos deux maisons pourrait naître une bien belle collection.
Voilà pour moi. En ce qui concerne les projets de ma maison de couture pour la Fashion Week de Cunlhat, j’envisage de travailler sur des vêtements d’inspirations Renaissance mais adaptés à la vie du 21e siècle. Quoique mon expérience me fasse dire que les jeunes générations ne rechignent pas, bien au contraire, à revêtir longues jupes, basquines et autres hauts de chausses. J’aimerais concevoir une version contemporaine de ces vêtements tout en gardant une inspiration très Breughélienne (l’ancien précisons). Je pense travailler, comme à mon habitude avec des tissus de seconde main. J’envisage de me baser essentiellement sur de vieux draps comme matière première et utiliser des teintures végétales. Mais je ne peux pas en r��véler plus pour préserver un peu de surprise et surtout pour ne pas être plagiée par des maisons de couture en manque d’inspiration.
Les esquisses des autres maisons sont très enthousiasmantes et je soutiens en particulier le projet de Marie et Louis de défilé queer, féministe et drag ayant moi-même convenu que mes costumes ne devaient plus être genrés. Bien qu’adepte du no-bra, j’ai hâte de découvrir la ligne de sous-vêtements de Cécile. J’espère qu’elle nous proposera des pièces confortables.
Voilà, voilà. Et si vous ne retenez pas ma candidature ce n’est pas grave, je suis quand même intéressée par suivre vos activités, je vous demande d’ailleurs de me mettre sur la mailing list et je vais de ce pas m’abonner à « fashionweekdecunlhat ».
Bien à vous, CD (moi et non Christian Dior)
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080- Correspondante avec bénéfices (07AVR23 6/6)!
Embarquons dans un nouveau chapitre de cette aventure qui m'a marqué au fer rouge des booooooons feelings! Vous pouvez lire les billets (si vous ne l'avez pas encore fait) 055 - 060 - 066 - 070 - 075 pour les parties de l'histoire que j'ai déjà racontée. Ce billet est justement une suite logique de l'aventure. Mais non, je ne ferais pas comme Netflix, vous n'aurez pas besoin de skipper le résumé des épisodes précédents. J'en suis arrivé au sixième chapitre, originellement prévu au scénario, mais je dois dire que ça va aller au-delà de six épisodes. On commence avec; une première fois chez elle!
Par un vendredi après-midi ensoleillé et frais, l'hiver a déjà commencé à installer un manteau blanc de neige et une mare de gadoue grise. Je ne me souviens plus si j'avais pris un petit congé, mais mon adorable compagne a sacrifié quelques heures de sommeil alors qu'elle est en chiffre de nuit. Son adresse postale me conduit dans un secteur de la ville fusionnée inconnu pour moi. Oooooh, chanceuse! Mon amie est une riveraine de grande rivière, petite plage à proximité, quartier résidentiel faiblement densifié. Un rêve pour ceux qui aime la campagne à la ville et les femmes rondes bucoliques.
« Wooooow, c'est ici »! Son adresse, sa voiture, sa galerie, ses courbes! Elle est là, qui m'attend, en manteau d'automne zippé jusqu'au cou, un sourire gourmand et.. les jambes nues dans des bottes d'hiver Acton. Elle m'avait averti que sa maison est énorme, sans qu'elle n'en soit la propriétaire, une location à long terme qui commence à lui coûter cher. Le propriétaire du lot lui fait des pressions pour qu'elle en devienne l'acquéreur, le marché de la revente est en mode haussier vertigineux.
Une étreinte cou à cou de durée indéterminée sur le perron, en me souvenant qu'elle ne voulait pas de frenche interminable, c'est réservé pour un futur chum 🥺. On entre, on fait disparaitre les vêtements d'hiver. Ce que je vois d'elle, je sais que c'est ce que j'ai toujours secrètement rêvé. Ce que je vois? C'est l'harmonie des rondeurs! Je suis certain que c'est Michel-Ange qui a créé cette femme! Ses courbes dissimulées sous une nuisette blanche format mini, je suis d'ores et déjà près de l'orgasme!
Puis, elle me prend une main pour me guider vers l'escalier qui monte à l'étage des chambres. Cet escalier, pourtant bien ordinaire, il est imprimé quelque part dans mon cerveau, là où même l'Alzheimer ne pourra étendre ses griffes. Elle monte devant moi et ce que j'y vois me fait encore capoter en 2023 (nous étions en 2015). La courte nuisette permet d'y voir les grosses fesses dodelinantes à chaque pas, les cuisses dodues se durcissant en montant l'escalier, les hanches toutes en courbes se balançant, les longs cheveux suivant la courbe du dos.. wooooow.. c'est une ange qui m'amène au paradis ou c'est la dame blanche qui m'attire dans un piège pour me condamner à me noyer dans son jus de chatte pour l'éternité.. ooooooui! Si vous saviez comment je suis bandé en écrivant ce passage!
Vite vite, elle me fait faire la visite de l'étage, jusqu'à sa chambre au grand lit blanc, à la lampe de chevet qui laisse filtrer une douce lumière (sans bas culotte sur l'abat-jour), aux rideaux de fenêtre adaptés aux travailleurs de la nuit et à ses portes miroirs étincelants de la garde-robe.. une chambre nuptiale! Mes vêtements disparaissent magiquement, une verge dressée devient le centre d'attention du regard de la belle!
Elle se met à genoux, sachant sa bouche avide de sexe, elle attaque ma queue de coups de langue qui vont droit au but; elle sait où est ce spot tellement sensible, entre le gland et la hampe. Elle surveille ma réaction, voyant certainement que mes yeux brillent de feelings. Elle libère ses gros seins déjà gonflés d'excitation.. huuuum.. je capote ma vie! Watch out, le point de non-retour est tout près.. je rejette sa bouche.. un cas de force majeure. « Je veux te boire chérie, écarte tes jambes. J'attends ce moment depuis un bout ». Oui, sa vulve format plus que pour la langue, me hante encore aujourd'hui.
Ben oui, c'est à mon tour d'amener la belle vers d'autres ressentis. Ma langue ne se tanne pas de goûter ce jus au goût âcre et salé, qu'elle me donne abondamment. Tirer et lécher, souffler et aspirer, pousser ma langue dans son vagin à l'image de sa grosse vulve, incroyable! Téter ce clitoris, le rouler sous la langue, résister aux spasmes des jambes qui suivent les cris de ma maîtresse! Oh.. le jus du minou devient abondant et coulant comme les érables à la Pâques, salé et acidulé.. je comprends ici que c'est une femme fontaine, hihihi! Je n'y résiste plus, j'enfonce un, deux puits trois doigts.. my god.. je pense que mon bras peut y entrer! C'est assez.. elle me tire vers elle et place mon pénis en contact avec la chaleur de sa vulve.
Si vous n'êtes pas un homme, vous ne pouvez savoir comment ça rend fou que de placer un gland de queue sur une vulve. Oooooh.. je n'ai pas mis de condom.. un combat intérieur m'anime.. je pénètre ou non? On se regarde quelques secondes, un petit mouvement de bassin de sa part pousse mon gland dans l'entrée du paradis. J'y pousse ma verge à l'intérieur, un centimètre à l'heure, profitant de tout ce plaisir qui rend dingue. I-n-c-r-o-y-a-b-l-e-! C'est comme si c'était la première fois de ma vie que je pénétrais une femme. Vraiment, chaque entrée et sortie est un Big Bang de feelings.
Toutes les positions du kamasutra adaptée aux femmes bien en chair y passent, incluant ce cowgirl où le passionné de gros lolos en moi en a eu pour son argent! Les auréoles gonflées de plaisirs avaient quelque chose d'hypnotisant. Les cuisses de mon hôtesse enhardie par cette cavalcade étaient sublimes. J'ai tout fait pour résister à la tentation de soulever la nuisette et d'y plonger mes yeux d'envie.
Elle prenait plaisir de sucer ma queue quelques secondes entre chaque changement de position.. la chanceuse.. goûter une queue couverte d'endorphines de jus de chatte. Je pousse mon hôtesse sur le dos, avec quelques va-et-vient de la main. Mon sexe n'en peu plus, ce point de non-retour est traversé, mon cerveau commande une éjaculation. Ooooooh, je laisse aller une longue giclée de foutre sur les seins, ce qui me vide pratiquement de toute mon énergie vitale. Wooooow!
Après un long moment à se chuchoter des mots doux, mon amie me conduit à la douche. Je sais d'avance que je vais m'y rincer en mode solo, mais quand même, ma compagne m'achale au travers le rideau, ayant gardé ses seins en mode libârté! Alors que je retourne à la chambre, je découvre un félin bien dodu qui s'est étendu sur mes vêtements! En tant qu'amoureux des chats et des chattes (hihihi!), le spectacle est adorable.. c'est le coup de foudre ronronner entre nous deux, le minou et le matou!
Mon ange m'attend en bas, un verre d'eau bien froide pour que je puisse d'étendre mes jambes vidées de tonus. On placote, on se minouche, on se désire jusqu'à ce que la vie nous prépare un nouveau rendez-vous, ici! Comme on dit, to be continued! Merci encore de votre passage sur mon blogue!
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Enfin un peu de paix et d’espoir de vivre pour Angelica ?
par Abigail Robert & correction par Antoine Rezakhany-Beudin
À l'Odéon, le 06/10/2024
La scène est rouge, des rideaux rouges, un fond rouge, une rampe rouge … Couleur du sang, des enfers, mais aussi de l’amour. Des thèmes importants dans le travail d’Angelica Liddell. Mais c’est sans compter l’importance de la religion, qui n’apparaît pas de prime abord. Le premier geste fort de la comédienne lorsque la pièce débute, c’est de se laver le sexe dans un bidet, ses fesses face à nous. Puis, tel un prêtre, elle jette l’eau qu’elle a utilisé pour se rincer telle une eau bénite sur le public. Angelica prend une place forte, et ce dès le début du spectacle, puisqu’elle nous bénit avec son sexe. Est-ce pour nous purger et nous empêcher d’être possédés des démons dont elle va se libérer par la suite de la représentation ? Pour éviter, une fois sortis d’elle, de venir nous posséder ? Le premier démon dont elle se dépossède est l’humiliation. Et cela se traduit de façon très concrète : quoi de plus humiliant pour une comédienne que de faire face aux critiques les plus acerbes sur ses spectacles ? Dos à nous, un document dans les mains, Liddell nous lit des critiques sur son travail. En faisant cela, elle souligne une chose : les spectateurs ne comprennent rien à ce qu’elle fait. Ils se contentent de la prendre pour une « sorcière », qui « vomit » sur son public, en n’ayant « rien à dire ». Mais là où les spectateurs passent à côté d’une information importante, ou d’un contre-sens, c’est qu’en se moquant des critiques qui ne la comprennent pas, elle ne souligne pas la forme, mais bien le fond. Elle le dit elle-même : « L’Art défend la liberté de tous. Je ne défends pas mon spectacle, je défends le droit de le faire ». Son art ne vise jamais à dénoncer l’objet, mais à prendre le prendre pour inciter à réfléchir sur ces dénonciations. En disant « Qui es-tu ? » aux critiques, « Je ne te connais pas » ! Elle ne dit pas qu’elle s’en fiche de la critique, qu’elle cherche à cacher une souffrance d’être jugée et incomprise de la sorte. Elle dit que la réflexion est importante, et qu’il faut le faire, peu importe qui on est. Peu importe d’être critique dans un grand journal, artiste connu, génie incompris … Ce n’est pas le message que l’on fait passer qui importe. C’est la manière dont l'on s’en sert pour nourrir une réflexion. Ne pas comprendre Angelica, ce n’est pas un drame. C’est même une chose tout à fait normale : ses références, ses réflexions, ses messages forts peuvent nous paraître totalement abstraits. Tout lui vient d'elle-même, elle nous partage son être profond et il n’y a que son intériorité pour savoir où elle veut aller. Nous ne pouvons simplement que recevoir et ressentir. Il faut simplement faire l’effort d’essayer de passer au-dessus du « c’est bizarre », et chercher à creuser, imaginer, ressentir. Être libre de comment on digère ce spectacle, et toutes les réflexions qui découlent des sensations qu'il nous procure.
Il est évident que ce spectacle s’inscrit dans la continuité d’un théâtre inspiré d’Artaud (évoqué d’ailleurs pour parler de sa chasteté comme une condition de création), de Beckett où Angelica devient sur scène un fantôme, peut-être celui de Bergman, ou pas. Avec une robe de chambre en satin blanc, volant dans l’air, et son visage hurlant , scandant des mots telle une banshee qui nous rappelle des morts.
Il est bien complexe de vouloir résumer tout ce qu’Angelica nous dit, tout ce qu’elle nous montre. Les images sont nombreuses, fortes. Comme celui des enfers, où des vieilles personnes, proches de la mort, sont mêlées à de jeunes femmes pleines de vie, où un homme tout en rouge tel un diable rôde parmi elles. Un enterrement qui petit à petit devient une scène absurde sans honte, avec des bruits angoissants de bombardements, et l’évocation d’un possible attentat à l’instant dans le théâtre qui pourraient nous faire penser que l’on pourrait mourir durant cette représentation. La musique d’un cartoon, où toujours les personnages se mutilent, meurent dans un épisode, mais reviennent bien vivants et en bonne santé l’épisode d’après. Nous faisons face à une provocation angoissante où non seulement Angelica meurt, parle de mort, ou voudrait mourir, mais où, cette fois-ci, elle nous emmène aussi avec elle vers la mort. Mais rien ne peut nous arriver ! Elle nous a bénit au début de la représentation. Angelica nous tue dans la salle. En nous décrivant un attentat qui pourrait arriver, les balles, les corps des autres spectateurs … Sa description nous pousse à imaginer qu'à tout moment une mitraillette arrive sur scène et tue tout le monde. Et on tente de s’imaginer comment réagir. Par où fuir, comment se cacher … Mais au-delà de nous projeter dans cette situation angoissante, elle nous provoque. D’ici 20 ans, elle nous dit qu' au moins une bonne partie des personnes dans la salle pourraient être décédées. Est-ce qu’elle a tort ? Bien sûr que non. Et pire encore, Angelica nous tue devant elle : « Le théâtre, c’est du temps. Et le temps tue. ». Puis elle nous regarde. Un ange passe. Comment ne pas ressentir cette angoisse de se sentir mourir devant ce spectacle ?
Puis vient la fin de la pièce. Angelica parle à Bergman, à côté du cercueil, qu’on imagine celui du réalisateur suédois. Elle lui demande d’être sa dernière épouse. C’est une image forte que de vouloir se marier à un mort. C’est accepter que la mort soit présente, partout, même dans le présent, même lorsqu’on est vivant. Car, après tout, on meurt « toujours ».
Une chose que l’on peut se demander est : où est la souffrance physique ? Pas de mutilation, de scarification … pourtant, Liddell nous montre la souffrance que représente le phénomène de vieillissement tout au long de ce spectacle. Et là où l’on voit du sexe, beaucoup de sexe, la souffrance physique évidente a disparue. Mais le sexe est une sorte de souffrance physique lorsque l’on vieillit. C’est peut-être la seule chose qui nous permette de nous sentir moins vieux, ou au contraire, nous fait nous sentir vieux. Lorsqu'on n’attire plus qu’on « ne fait plus bander une bite », qu’on ne bande plus, que l’acte sexuel devient maladroit, compliqué à réaliser, demande plus d’efforts.
La fin de la représentation se finit sur une sorte d’acceptation et de résilience d’Angelica. C’est un moment presque doux, une grande surprise. Elle sait qu’elle n’a pas besoin de mourir ou de chercher à mourir pour la « douleur d’exister » (comme elle l’évoque dans un extrait d’Ibsen à un moment, qui résume beaucoup tout son travail), car l’on meurt « toujours ». Alors mourir maintenant, ou plus tard, c’est du pareil au même ? Cette fin de spectacle évoque une sorte de joie, de non-souffrance, ou d’acceptation de la douleur d’exister qui nous éloigne et nous surprend dans son travail. Angelica qui maintenant vieillit, accepte-t-elle de profiter du temps qu’il lui reste ?
Source : https://www.theatre-odeon.eu/fr/saison-2024-2025/spectacles-2024-2025/damon-24-25
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Whumptober 06 : Healed Wrong
Mal remis, Sherlock Holmes 2009
Holmes ne lui avait pas adressé un mot depuis qu'ils étaient rentrés en fiacre du Midland Grand.
Sa jambe blessée, que John avait soignée d'autorité à leur arrivée à Baker Street, privait le détective des sorties mal famées auxquelles il se livrait généralement dans ses accès de mélancolie. Son violon aussi était resté silencieux, à la surprise du médecin, qui s'était, bien qu'à ses oreilles défendantes, accoutumé aux geignements torturés que son colocataire arrachait à l'instrument lorsqu'il broyait du noir, ou qu'il voulait se venger de Watson pour une raison ou une autre.
Holmes avait claqué la porte de sa chambre et n'en était plus ressorti.
« Quel calme ! » s’extasia une patiente en sortant du cabinet de John. Quel repos pour les tympans ! Quel apaisement de l’esprit !
Le temps passé en silence et dédié aux malades du quartier fila vite et on fut bientôt le soir. Peu désireux de braver la colère de Holmes, John sortit acheter du tabac chez un marchand qui l’importait d’Afghanistan et dont la boutique se trouvait à l’arrière de Regent’s Park. Il prit son temps pour revenir et se roula plusieurs cigarettes sous la porte cochère de la Oliver Inks Company, dont les charmantes employées finissaient leur journée à cette heure. Plusieurs le saluèrent d’une œillade appréciatrice et il leur répondit en soulevant son chapeau.
Mais ces galanteries sans enjeu ramenèrent sa pensée sur la dernière victime de Miss Adler… et il se résolut à rentrer.
La porte de la chambre de Holmes était toujours fermée ; il toqua avec vigueur. Pas de réponse. Il tourna la poignée. Les rideaux tirés filtraient la lumière qui provenait des becs-de-gaz allumés dans la rue, et plongeaient la pièce dans une obscurité confuse.
Holmes était allongé de tout son long en travers du lit, les pieds pendant à l’extérieur. La jambe de son pantalon noir était restée roulée au-dessus du genou, sans doute pour ne pas irriter son mollet mâché. Dormait-il ?
John s’approcha pour le réveiller, quand une canne s'interposa. Il soupira.
« Holmes, laissez-moi examiner votre blessure. Il va falloir changer le pansement.
– Merci, Watson, vos soins ne sont pas requis ici. Vous en avez bien assez fait.
– Je ne m’excuserai pas de vous avoir sauvé la vie.
– S’il s’agissait de cela ! rétorqua le détective d’un ton de mépris suprême. Mais vous vous montez la tête. L’an dernier, deux femmes ont survécu alors qu’elles ont été vaccinées trois jours après leur morsure. Les recommandations de vos journaux de praticien trahissent la frilosité de vos confrères, car les constats de la science…
– Les constats de la science sont que beaucoup trop de gens meurent parce qu’ils n’ont pas été vaccinés assez vite, Holmes. Si vous regrettez de n’être pas de leur nombre, il ne tiendra qu’à vous d’y remédier en courant les animaleries pour vous faire épouillé par un macaque contaminé ! Cela ne changera guère de votre ordinaire. En attendant... »
Il posa une main sur l’épaule noueuse de son ami, bien décidé à finir ce pour quoi il avait navigué les écueils du capharnaüm sans nom qui lui servait de chambre, quand celui-ci se retourna vivement.
Holmes lui jeta un regard qu’il voulait certainement indigné, prélude au deuxième mouvement de ses récriminations, mais qu’il peinait à fixer. Ses iris presque noirs s’étaient troublés comme un mauvais goudron et le blanc de ses yeux brillait d’un éclat de fièvre.
John s’empressa d’autant plus d’examiner le pansement ; ce dernier s’était imbibé de sang et devait être refait, mais les bords de la morsure n’avaient pas gonflé et les muscles n’étaient pas échauffés. La fièvre ne venait pas de là.
Restaient l’autre hypothèse. John avait espéré que la constitution plus que solide de Holmes – laquelle résistait quotidiennement aux assauts des criminels, de la boxe, de l’alcool et de la cocaïne, pour ne citer qu’eux – lui aurait épargné ce type de réaction au vaccin, mais ils n’auraient pas cette chance.
Il n’y avait malheureusement rien d’autre à faire que d’attendre que ça passe. Une chose que John avait répétée à des centaines de familles inquiètes au cours de sa carrière, qui recevaient ce conseil avec un air de perplexité dont il ressentait aujourd’hui les échos dans ses nerfs irrités. En réponse, il détaillait en général une liste d’instructions, qui servaient davantage à les occuper qu’à accélérer la guérison de leurs proches – des efforts palliatifs à tout le moins.
Donner à boire : ce qui impliqua de se lancer dans la quête d’un verre à eau propre, mission qui exigea un examen attentif des résidus suspects qui adhéraient trop souvent au fond des gobelets, des flasques et autres brocs qui traînaient sur les étagères et les tables dans la chambre de Holmes, comme dans tout l’appartement. Il s’agissait de ne pas abreuver le détective avec l’un des poisons qu’il s’ingéniait lui-même à répliquer ou à inventer. D’ordinaire, John contournait ce risque en ne buvant que les boissons apportées au moment des repas par Mrs Hudson, mais il n’avait guère l’énergie d’affronter leur logeuse revêche. Il se contenta de laver trois fois le verre qu’il trouva sur sa propre table de nuit avant d’obliger Holmes, qui était retombé dans une somnolence marmottante, à le boire.
Réduire la température de la pièce : une bonne excuse pour ouvrir la fenêtre de la chambre de Holmes et pour dissiper, en aérant, la fumée de pipe et les odeurs chimiques qui empestaient l’air et semblaient vous brûler les poumons.
Surveiller la fièvre : cette veille régulière plaça John dans la situation peu commune de lutter lui-même contre le sommeil tandis que son ami sombrait dans les bras de Morphée – d’ordinaire, la discipline militaire qu’il avait durement acquise lui permettait au contraire de maintenir des heures de coucher raisonnables, même quand Holmes se livrait à d’improbables entreprises aux improbables horaires. Cette fois-ci, le médecin resta en alerte jusqu’à minuit pour prendre la température de son ami et constata avec inquiétude qu’elle continuait de grimper.
Calmer le malade et l’inciter au repos : une entreprise qui se révéla difficile au matin, lorsque la léthargie de Holmes fut remplacée par une agitation confuse. Sa fièvre n’avait pas baissé, mais elle paraissait en revanche lui insuffler une énergie nouvelle et trompeuse, qui l’avait incité à déployer carnets, encre et porte-plume au milieu de son lit, depuis où il se livrait désormais à des spéculations cabalistiques dont John ne pouvait percer un seul mot, quoiqu’il imaginât bien qu’elles concernassent la retraite actuelle de Miss Irene Adler. Il grimaça en voyant les taches noires projetées sur les draps comme une constellation destinée à enrager Mrs Hudson.
La négligence de Holmes à l’endroit de la literie, que sa maladie aurait pu excuser si elle ne s’était pas manifestée déjà si fréquemment dans d’autres circonstances, l’arrangeait d’autant moins qu’il allait lui falloir solliciter l’aide de la matrone : il avait trop perdu aux cartes la semaine dernière pour s’autoriser à négliger sa patientèle un second jour d’affilée, car Mrs Hudson ne serait certes pas plus contente s’il manquait de lui payer le loyer dû dans trois jours.
La logeuse, venue porter le petit-déjeuner, demeura de marbre lorsque John lui expliqua en quoi il avait à nouveau besoin de son aide (en lui exposant ses raisons dans une version expurgée des considérations pécuniaires), avant d’accepter avec un unique soupir.
Même un joueur invétéré comme John savait reconnaître quand il s’en tirait à bon compte… et il fila sans demander son reste, avec l’espoir que son cabinet ne lui apporterait ce jour-là rien de plus grave que des rhumes et des entorses.
Hélas, son vœu ne fut pas exaucé.
Il ne put rentrer qu’à la nuit tombante, après une visite à domicile harassante et dont la triste conclusion l’emplissait d’un souci funeste. S’il avait sous-estimé le danger de la fièvre de Holmes ? Si Mrs Hudson était descendue chercher John pendant qu’il était sorti ?
Il s’imaginait tant de drames qu’il fut surpris par l’expression sereine de la vieille dame, qu’il retrouva assise sur le sofa, la posture impeccable comme toujours. Elle tenait un livre à la main, qu’elle abaissa en souriant tandis qu’il fermait la porte d’entrée.
Il en reconnut le titre à l’envers : c’était Les Mille Manières ingénieuses de faire disparaître un voisin, par le lieutenant de police Adam Bloosburry, anciennement en poste dans les Cotswold.
Son étonnement augmenta encore quand il parcourut du regard le reste de la pièce : le sol était recouvert de journaux dépliés et d’articles découpés, parmi lesquels on reconnaissait les manchettes du Times et du Strand, mais aussi les caractères raffinés de revues artistiques et la couverture d’un livret d’opéra. Un dossier en carton brun ouvert, destiné à accueillir cette sélection, éparpillait pour le moment son contenu sur le tapis aux pieds du canapé. Enroulé comme un chat autour de son trésor, Holmes s’était endormi à même le sol. Son dos reposait contre la jupe impeccable de Mrs Hudson, qui avait visiblement glissé un oreiller sous sa tête et jeté une couverture sur ses épaules.
« Sa fièvre est tombée dans l’après-midi et j’ai pensé qu’il valait mieux le laisser dormir. »
Le sourire qu’elle échangea avec John trahissait son amusement, ainsi qu’une bonne dose d’affection, qu’elle n’aurait jamais rendue perceptible si son locataire avait été conscient.
John s’effondra dans le fauteuil libre en face d’elle et l’observa qui reprenait sa lecture. À mesure que le soulagement le gagnait, une égale envie de rire le prenait : qui aurait cru qu’en deux jours, il découvrirait une facette nouvelle, non seulement de l’insaisissable détective, mais aussi de leur irréprochable logeuse ?
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