#reine ruse au
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WIP Wednesday
It's still Wednesday somewhere, right? Got tagged by @the-darkness-does-not-bargain, so here's a little something from the upcoming final chapter of my Bridgerton AU:
“Try this one.” Beatrice held out a small black candy with the outline of a castle stamped into it. Ava cast her gaze about the confectionary, resplendent with sweet delights in all manner of colors and shapes, and concluded that this offering must be a ruse of some sort, a poisoned “candy” meant to lay low the humorless sort who might favor them and, through dourness of countenance and deficit of congeniality, undermine the bounty and joy that should otherwise prevail in the establishment. “Is it poison? It’s poison, isn’t it.” Ava found that, as her comfort in Beatrice’s presence grew, so too did her willingness to speak her mind, however outrageous her thoughts might be at any given moment. “Or are you trying to intoxicate me, so you can drag me off somewhere without any trouble?” Beatrice smiled at her over her hand, upon the thumb and middle finger of which the object perched, menacingly. “Perhaps I am only attempting to level the playing field.” “How do you mean?” Beatrice leaned in close and whispered in Ava’s ear. “You always intoxicate me.” Ava blushed and smiled and shook her head, basking in the warmth that accompanied her when Beatrice, her Beatrice, the Viscount Bridgerton, flirted outrageously with her in public. She wrapped herself more tightly around Beatrice’s arm, not to prevent any distance between them, but because of a deep-seated desire that she should be closer to Beatrice, impossibly closer. Impossible in public, in any event. “So it is poison.” Beatrice did not so much as bat an eye. “You think there’s something fishy about it. Or would you prefer it to be fish-shaped? I’m sure they can arrange a custom order.” Ava ducked her head and strove mightily to keep a rein on the smile that blossomed on her lips, though she succeeded only in keeping her teeth from showing. “Are you trying to impress me with bilingual puns?” A dangerous glint appeared in Beatrice’s eye, and Ava found herself in the mood for risk. “I always try to impress you,” Beatrice whispered, “especially with my–” She was interrupted, loudly, by Lady Superion clearing her throat behind them. “When I agreed to chaperone the two of you for this little excursion, I did not do so in order to learn for myself how incapable you are of restraining yourselves in public. I recognize that you perhaps consider yourselves wed already in your own minds, but please, for the love of God, do try to control yourselves even slightly.”
Tagging in @thistleation, @baez-atwitsend, @pinechips, and @willowedhepatica
#wip wednesday#warrior nun#avatrice#ava silva#sister beatrice#ava x beatrice#fanfiction#bridgerton au#the bane of my existence#alms writes#tag meme
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wrote a song y'all
i wrote a song about Perderé in the RH!AU and its cool, methinks it's called It Shows
(Verse 1) At first when it started I thought that it was all real how exactly did i feel When i never had departed
(Prechorus) found myself in a depression I learned it was all a sham After you forced me into submission Like the dog you think i am
(Chorus) And it's not fair, i know But theres nowhere i can go And forever to you, i'm tied I just wish that i had died And you don't care, i know I'm punished if i don't show And you use me and abuse me Just to order me to keep a ruse… And it shows
(Verse 2) I'm performing on a stage If i fall, i'm met with rage And it takes a while to gauge Just how much that i can take
(Prechorus) my feathers fall to the ground But you tell me to go back down And you're pulling on my tail Like i chose to enter this jail
(Chorus) And it's not fair, i know But theres nowhere i can go When they banished me, put me through strife I wish that they'd ended my life And you don't care, i know I'm punished if i don't show And i simply cannot break these chains My wings are clipped, you have the reins… And it shows
(Verse 3) And this little hotel noticed These nice ladies took me in Gave me a place that was free from sin I felt i could uncuff my shins
(Prechorus) And it's funny, really now All those years that i had bowed I realized that you're just some 12 foot tall french piece of sentient metal that i could stab if i wanted to
(Chorus) (Emotionally) I'll make things fair, you know And there's nowhere you can go As i laugh at all your cries see the terror in your eyes And I don't care anymore That you called me a little whore et je vais te tuer, espèce de salaud et je m'assurerai qu'ils ne trouvent pas ton cadavre rouillé-!…
(Outro) So it shows How i was treated Like a pet for you to beat and fight finally it all came back to bite you And now they all know That you were defeated I did it in a frenzy From you I'm finally free
And it shows
#viscount perdere tgo#tgo perdere#perdere rh!au#rh!au#ardeo rh!au#tgo#the grand occult#tsams#sams#the sun and moon show#tsams au#sun and moon show#ruin sams#god ruin#tw abuse#tw swearing#song lyrics#song writing#aaaaaaaa#ulmr#posts by the soviet onion#🧅
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J'aperçois un gauchiste et son faciès infâme, La rage et la pitié se disputent mon âme ; Dois-je par un effort, que je crois surhumain À qui veut la couper tendre ma ferme main ? Il a son libre arbitre et plus de vingt ans d'âge, Devrait-il — c'est folie — échapper au lynchage ? Je songe à lui parler, mais que peut ma raison Face aux murs endurcis du fort de l'émotion ? C'est un homme et j'éprouve, en conscience avertie, Envers le sexe faible un peu plus d'empathie ; Rien ne semble imposer à mon esprit fervent, De quoi bien réprimer son mécontentement. Comment un homme blanc, vainqueur de toute époque Peut-il de son passé clamer « oui je m'en moque ! » ? Et comment, de surcroît, niant son sang guerrier, Peut-il à qui le veut gentiment se donner ? Certains diront « langueur », d'autres crieront « parjure ! », Peut-on à son pays faire plus grande injure ? Ses aïeux sont là-haut, et dédaignant son rang, Il fait fi des douleurs, des larmes et du sang, Ce sang qui lorsqu'il coule au-delà des frontières Engendre à ce dément d'innombrables misères, Mais quand il coule ici, provoquant quelque émoi, Au revers du bon sens le fait demeurer coi. Néanmoins, non content de sa froideur funeste, Il gronde, il parle enfin, il s'agace, il conteste ; Voyant certains Français ne voulant point mourir, Il voudrait empêcher ceux-là de discourir. Se croyant défenseur de la liberté reine, Quand l'un dit « détracteur » lui nomme plutôt « haine ». Faut-il donc être haineux pour préférer les siens, Vouloir les épargner de macabres desseins ? Faut-il donc être fou pour aimer sa famille, Du regard de ses sœurs conserver la pupille ? C'est ce qui m'apparaît si j'en crois cet infect Et que je prends pour vrai tout son verbiage abject. La charité chez lui est tout sauf ordonnée Et ne se voit jamais au Bien subordonnée, Préférant mille fois un continent lointain, — « Proche » a pourtant donné l'appellation « prochain » — Il s'agite toujours pour défendre « le monde », Mais quand à notre seuil le plus noir péril gronde, Pire que de se taire il œuvre à ses côtés L'aidant à s'affermir par tant d'atrocités. Il est devant mes yeux, cet ignoble transfuge, La rue est clairsemée, il n'a point de refuge, Ce ne sont pas ses mots qui le protégeront, Ni ses deux bras chétifs, quelle horreur ! quel affront ! Il n'a donc rien pour lui : voilà ! je crois comprendre ! Est-ce donc pour cela qu'il aime tant se vendre ? Est-ce par lâcheté, faiblesse, abattement Qu'il se meut chaque jour contre son propre camp ? À moins que consciemment, la Beauté il refuse, Et pour la dévoyer, chaque jour une ruse Naît comme une fleur noire en son pervers esprit ; Se sentira-t-il mieux si tout est avili ? Je le regarde encore et tout mon sang bouillonne, Ma Muse veut rimer mais ma fureur résonne : La plume ou bien le poing ? quel moyen retenir ? Un second traître au loin ! je n'ai plus à choisir !
Alexandre Charpentier
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Ils oseront, vous verrez
Obstiné comme une bête de somme, le gouvernement, avec son semblant de majorité, poursuit néanmoins son effort et psalmodie ses éléments de langage : solidarité, progrès, justice. Les chiffres ne mentent pas. [...]
Ce comportement de rouleau compresseur n’est pourtant pas si surprenant. [...] Le recours systématique à la ruse, l’absence de vergogne, le savoir-faire techno. Tout le temps que va durer cette mascarade, on sentira à la manœuvre des ingénieurs de la chose publique aussi bien instruits que peu scrupuleux. Ceux-ci feront jouer tous les rouages, administratifs, légaux et institutionnels. Leur maîtrise s’illustrera comme jamais dans ces quelques semaines de manigances historiques. [...]
Pourtant, cette obstination gouvernementale ne va pas sans une drôle d’impression de contrecœur. [...] A les voir, on dirait qu’ils montent au front une baïonnette dans les reins. La conviction n’y est pas. Les fils du marionnettiste ruinent l’illusion. [...] Alors, ce pouvoir si mal élu, vacillant de naissance et mal aimé dès le départ, emprunte la seule voie qui lui semble praticable : le 49.3.[...]
C’est à partir de là que la chronique prend une ampleur presque tragique. Car il n’est plus seulement question des retraites, mais de la démocratie. On ne conteste plus seulement une politique, mais un règne. Le récit, à cet instant, doit changer de ton, car si tout demeure légal, plus rien n’est juste et sous ses dehors réguliers, le pouvoir vient brutalement de changer de physionomie. Sous l’effet du scandale énorme que constitue ce passage en force, le drap qui recouvrait sa mécanique intime est tombé. Sa nature est à nu, le vernis a pété, la brute est sous nos yeux. On a compris qu’elle est en mission, murée dans ses certitudes. Elle ne fera pas de cadeaux. [...]
Mais le plus fou est encore à venir. Le Président, manifestement impatienté par ce peuple qui s’obstine à ne pas être à la hauteur, le tance, injurie les manifestants, accuse les syndicats. Il s’invente dépositaire exclusif de toute légitimité. On croit rêver. La surdité est à son comble, l’aveuglement radical. L’exécutif fait bip-bip sur son orbite lointaine. Pour finir, dans une allocution lunaire de plus, digne d’un Skype de PDG de multinationale, le même président admet que sa réforme n’est pas acceptée et passe sans transition au nouvel agenda du Comité Exécutif Central : 100 jours pour réparer la France tous azimuts. Le déluge d’annonces va suivre, souvent recyclées. L’idée est simple : saturer les canaux et les citoyens, forcer le pas, imprimer le rythme, c’est la méthode Sarkozy revisitée stroboscope. Rendez-vous le 14 juillet. D’ici là, de toute façon, on aura eu Roland-Garros, le Tour de France et les incendies. Les Français, Inch Allah, seront passés à autre chose. [...]
Depuis le 49.3, la démocratie française a une gueule de dystopie. La République bourgeoise telle que sous Guizot (mais désormais entrepreneuriale et techno) est ressortie de l’abîme comme une Atlantide, gouvernant à son idée, à coups de décrets, juchée sur son quart de peuple, infirme comme jadis, avec pour béquilles sa police guère subtile et l’étai résolu des grands intérêts. [...]
Et nous voilà nous, incrédules, au bord du gouffre climatique, matraqués et tenus, aux mains de maîtres qui nous font cette drôle de guerre, avec des institutions ébranlées, des juridictions d’exception entrées dans le droit commun et une extrême droite aux portes de l’Elysée. Car le pire est là sans doute. Dans quatre ans, la colère libérée par cette forfaiture légale s’exprimera avec une amplitude qui fera passer les black blocks pour d’aimables ambianceurs d’Ibiza. Et ce pouvoir qui a tant fait pour que le pire advienne ira alors dire que la faute revient à ses adversaires, tous populistes, sapeurs de démocratie, précurseurs du fascisme. Ils oseront, vous verrez. [...]
Pour un écrivain ou une écrivaine qui s’intéresse à son temps, c’est un moment d’effarement et de bascule. Le réel est devenu si caricatural qu’on ne sait plus par quel bout le prendre. Chaque jour apporte son lot d’aberrations ; il suffit de lire Pif, Playboy ou Têtu. Face au renversement du langage, à la falsification galopante, à l’énorme besoin de mots qui se fait jour pour décrire l’époque et réduire l’hégémonie de sa bêtise particulière, on se demande quoi faire, quels moyens employer. [...]
Ce que nous pouvons faire, c’est ça : raconter. Que nos récits infusent. Ils feront un jour le ridicule de ceux qui aujourd’hui se prennent pour des hommes d’Etat et ne sont souvent que les managers de l’entreprise France. Que nos phrases fassent honte dès maintenant aux magouilleurs de légitimité, aux laquais perpétuels, à la brutalité qui brise nos révoltes. Que nos textes interdisent le passage du temps et forcent sans cesse à revenir sur ce qui nous a été volé. La pilule amère ne doit pas passer. Surtout, nos mots peuvent dénuder n’importe quel roi, fût-ce a posteriori. Et d’ici là, ils donneront une voix à celles et ceux qui n’en ont pas. Le roman de ce pays s’écrit aujourd’hui à l’encre de leur volonté piétinée.
Retraites : le roman national est à nous, par Nicolas Mathieu (Le Libé des écrivains, Libération, 20 avril 2023)
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Voilà j'ai fini de lire Agatha Christie - La Mystérieuse Affaire de Styles
J'ai commencé Arsène Lupin, gentleman cambrioleur de Maurice Leblanc. Dedans, il y a la suite c'est-à-dire Les confidences d'Arsène Lupin.
Je dois dire que j'étais assez sceptique de lire ça mais ça va je suis sûre qu'après je vais adorer. Après, c'est un roman policier avec des nouvelles dedans donc je verrais bien
Petit résumé d'Arsène Lupin
Arsène Lupin est un personnage de fiction français créé par Maurice Leblanc. Ce gentleman cambrioleur est particulièrement connu pour son talent à user de déguisements, à se grimer et à prendre des identités multiples pour commettre ses délits et résoudre des énigmes criminelles.
Contenu du recueil
Il regroupe les nouvelles suivantes :
L'Arrestation d'Arsène Lupin, publication initiale dans Je sais tout no 6, 15 juillet 1905. Ce récit est un huis-clos se déroulant à bord du transatlantique La Provence. Au cours de la traversée, un télégramme révèle qu'Arsène Lupin se trouve parmi les passagers.
Arsène Lupin en prison, publication initiale dans Je sais tout no 11, 15 décembre 1905, sous le titre La Vie extraordinaire d'Arsène Lupin en prison. Alors qu'il est incarcéré à la prison de la Santé, Arsène Lupin organise le cambriolage d'une collection d'art inestimable.
L'Évasion d'Arsène Lupin, publication initiale dans Je sais tout no 12, 15 janvier 1906, sous le titre La Vie extraordinaire d'Arsène Lupin : L'Évasion d'Arsène Lupin. Par une incroyable ruse, Arsène Lupin parvient à s'évader de la prison de la Santé.
Le Mystérieux Voyageur, publication initiale dans Je sais tout no 13, 15 février 1906, sous le titre La Vie extraordinaire d'Arsène Lupin : Le Mystérieux Voyageur
Le Collier de la reine, publication initiale dans Je sais tout no 15, 15 avril 1906, sous le titre La Vie extraordinaire d'Arsène Lupin : Le Collier de la reine. Ce récit tourne autour du vol du collier de la Reine des Dreux-Soubise, et donne forme à l'enfance d'Arsène Lupin.
Le Coffre-fort de madame Imbert2, publication initiale dans Je sais tout no 16, 15 mai 1906, sous le titre La Vie extraordinaire d'Arsène Lupin : Le Coffre-fort de madame Imbert
Sherlock Holmès arrive trop tard, publication initiale dans Je sais tout no 17, 15 juin 1906, sous le titre La Vie extraordinaire d'Arsène Lupin : Sherlock Holmes arrive trop tard – Noter qu'entre la publication dans le périodique et la publication en recueil, Sherlock Holmes est devenu Herlock Sholmès, à la suite d'une protestation de Conan Doyle, « père du vrai Sherlock Holmes »
La Perle noire, publication initiale dans Je sais tout no 18, 15 juillet 1906, sous le titre La Vie extraordinaire d'Arsène Lupin : La Perle noire
Le Sept de cœur, publication initiale dans Je sais tout no 28, 15 mai 1907, sous le titre Comment j'ai connu Arsène Lupin : Le Sept de cœur. Le narrateur, journaliste, se voit mêlé par hasard à une affaire d'espionnage militaire.
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Arthur contre Lancelot
La relation entre Arthur et Lancelot est assez intéressante, alliés au début ayant le même but, le graal. Bien qu'amis, Lancelot est attiré par Guenièvre, la femme d'Arthur. Et la quête de Graal, Lancelot croit que la quête du Graal est réservé à l'élite tandis qu'Arthur veut laisser une chance aux autres. Bien qu'il soit souvent blasé par les actes de ses chevaliers. La distance commence petit à petit à se montrer jusqu'à ce que Lancelot quitte le château laissant un Arthur en colère se défoulant un peu sur Bohort. Alors que Lancelot est dans la forêt alors qu'Arthur se rapproche de Mevanwi jusqu'à ce que Guenièvre découvre le pot aux roses. Voir l'attitude d'Arthur lorsqu'elle découvre qu'il est avec la femme d'un chevalier, elle décide de partir pour rejoindre Lancelot. Arthur n'était pas des plus sympas avec elle et la traitait d'idiote. Il faut dire qu'avant Guenièvre ne semblait pas faire grand chose de son statue de reine. Elle appréciait les maîtresses d'Arthur et sa famille. Mais à part Bohort, je me souviens pas l'avoir vu parler à d'autres chevaliers. Elle ne quittait pas non plus le château donc peu d'activités, il faut dire que cette relation ne commençait pas bien entre ces deux là.
Avec Lancelot, elle pense qu'elle pourra enfin être libre et faire ce qu'elle veut sauf que Lancelot s'est préserver en attendant ce jour. Bref, Lancelot a sa petite communauté et Karadoc qui souhaite récupérer Guenièvre en vain. Et au début ça semblait bien se passer entre Arthur et Mevanwi, Arthur semblait heureux mais au bout d'un moment quand Mevanwi la réveille pour faire son rôle de reine. Arthur semble lasser et lorsqu'il va voir père Blaise avec Karadoc pour annuler l'échange d'épouses. Il accepte et vient voir Mevanwi pour lui dire que les dieux n'aiment pas leur histoire et finit par retrouver Guenièvre qui est attachée au lit de Lancelot car ce dernier pense qu'elle va partir. La relation entre ces deux là est un peu triste, car elle l'aime sincèrement même si Arthur ne peut pas rendre cet amour suite à une promesse faite à Aconia. Guenièvre lui demande ce qu'il va faire d'elle, il lui propose d'être reine de Bretagne, elle lui demande si il va pas regretter, il répond qu'il regrette déjà par un petit sourire.
C'est alors que la scène où se rend compte qu'il y a plus personne ainsi que la femme qu'il aime ajoutant à la scène de l'adoubement de Perceval. C'est alors que Méléagant arrive lui expliquant que c'est pas encore l'heure car c'est le solstice d'été et de se réjouir des longues nuits. Dans les montagnes enneigés à l'écart de tous, Méléageant sert de "guide" dans le développement de Lancelot, il le félicite d'avoir trouvé un endroit aussi déprimant alors qu'il allait se trancher la gorge. Il n'avait plus rien du coup c'était parfait pour le manipuler. Vu qu'il rodait déjà devant son camp mais ne pouvait pas l'approcher. Il lui raconte qu'Arthur a replanté l'épée dans le rocher mais de ne pas y aller car il n'est pas l'élu des dieux contrairement à Arthur. Il ramène la dame du lac, lui disant qu'il l'emmènerait dans un château. Sauf que c'est une ruse pour remémorer à Lancelot que la Dame du Lac s'est occupée de lui quand il était encore tout petit. Mais que les dieux ont choisi Arthur au lieu que ce soit lui. La blâmant pour la défaite d'Arthur pour sa quête du Graal montrant que les dieux ont abandonné le roi.
Face à cette révélation, elle lui demande qui il est et lui dit qu'il est la réponse ce qui terrifie cette dernière. Peu après, Méléageant lui demande de tuer un voyageur, ce dernier se révèle être Lionel de Gaunes, le frère de Bohort. Lancelot refuse car il est son cousin ce que Méléagant répond qu'il doit se débarrasser de ces anciennes valeurs. Plus tard, Méléagant lui apporte un pantin d'Arthur, il dit qu'elle est ensorcelé pour que ce qui lui arrive se reporte sur le roi. Lancelot refuse mais suite à l'insistance de son "guide", il finit par la jeter dans le feu demandant si il est mort. Il lui répond que non, il a menti mais qu'il est prêt. Méléagant a soigneusement préparer Lancelot, le mettre à l'écart pour que les autres croient qu'il est mort et ne pense pas faire davantage de recherches. Découvrir un souvenir de son passé pour blâmer les dieux mais aussi nourrir la haine envers Arthur. Tenter de tuer un membre de famille bien qu'il ne l'ait pas fait, pour laissé un Lancelot seule mais sans possibilité de retrouver la personne qu'il était avant. Et enfin le pantin dans lequel il refuse de tuer la personne qu'il déteste mais qu'il finira par le faire. Lancelot se prépare et le met en garde de ne pas avoir un excès de confiance mais il ne l'écoute pas.
Alors qu'il s'y rend, ce dernier se fait intercepté puis tirer par une flèche de mémoire c'était Lionel qui lui avait tiré dessus alors que Bohort lui avait dit d'attendre. Lancelot se retrouve blessé, la dame du Lac le retrouve et lui parle d'une comptine pour soigner les blessures. Il veut qu'elle l'aide mais elle ne le fait pas car elle supporte pas le sang. Il tente de s'en souvenir en répétant et au final, il finit par utiliser la magie blanche. Méléagant semble être déçu s'excusant parce qu'il croyait l'aider tandis que Lancelot s'excuse d'avoir utilisé la magie blanche. Il lui dit que ce qu'il l'intéresse c'est leur sabordage et laisse Lancelot. Il crie alors qu'il tuera Arthur et qu'il sera fier de lui. Lancelot disait que la quête du graal est réservé à l'élite voulant faire ses preuves mais que ce n'est jamais assez. Voulant trouver la reconnaissance qu'il n'a pas eu enfant quand il crie "Vous serez fier de moi" à Méléagant. J'ai l'impression d'entendre un enfant voulant à tout prix impressionner son père. Sauf que Méléagant n'a rien avoir avec un bon père, il l'a isolé pour le préparer. Je m'étais demandé si au final, il ne l'a pas justement préparé pour qu'il soit tué par Arthur et sans reconnaissance. Lui faisant croire qu'il est de son côté pour qu'au final, il l'aide à préparer sa chute. Ça collerait à Méléagant qui n'est intéressé que par leurs sabordages.
Pendant ce temps, Arthur, suite aux évènements du livre IV, au sujet du roi Loth qui l'a poignardé dans le dos mais refuse que l'un des enfants, Gauvain, paie pour les actes de son père. Cependant ça ne suffit pas, Mevanwi veut retrouver sa place de reine et Arthur se dit qu'il va replanter l'épée dans le rocher comme pour essayer d'échapper à ce que les dieux veulent de lui. Les gens essaient en vain et Arthur n'est toujours pas décidé à le retirer, Karadoc est tenté alors que Perceval refuse de la retirer alors qu'il serait capable de le faire. Mais pour lui, le seul roi c'est Arthur. Bohort, c'est lui qu'il a juré fidélité alors que ce dernier pourrait l'épée. Celui ci ment et dit qu'il peut pas le retirer sous l'étonnement de Bohort et de Léodagan. Léodagan semble avoir reprit le pouvoir Arthur est de plus en plus lassé et Guenièvre lui parle alors des maîtresses mais aussi qu'une progéniture caché à travers le pays. C'est alors qu'il décide de partir pour les retrouver avec Guenièvre. C'est là que je trouve que la relation apporte quelque chose de plus positif, Guenièvre est là pour lui et est émerveillé par ce qui l'entoure et Arthur qui ne cherche que ses enfants.
Dans sa quête, il retrouve Anna, sa demi soeur qui tente de le tuer avec l'aide de Loth mais est sauvé grâce à Guenièvre qui les frappe. Ils s'en vont et Guenièvre est blessée et du coup Arthur fait son voyage seul. Dans son chemin, Venec avec sa bande et veut se battre alors que Venec l'appelle "Sir" il lui répond qu'il n'est plus roi. Suite à cette petit confrontation, il rencontre un homme vivant dans un phare, attendant la venue d'un enfant qui ne viendra jamais mais dont le père l'attend toujours. Méléagant arrive faisant de son trajet difficile et éprouvant arrive le cirque où on dirait que ça semble hors du temps. Un moment de calme avant la tempête, dans la scène du berger qui s'occupe de ses agneaux mais du coup Arthur devient la bête dans ce spectacle. Après le rugissement de Méléagant, Arthur se retourne vers lui, le masque du loup toujours sa tête. Arthur au début, était le berger qui guidait son royaume et ses chevaliers mais en mentant sur le fait qu'il peut pas retirer l'épée sur le rocher. Il est devenu le garçon qui criait au loup. Peu après, il retrouve une vieille connaissance et suite à un tour de Méléagant, il apprend qu'il est stérile. Dévasté par la nouvelle, il est fatigué et est au 36ème dessous même si Guenièvre lui coule un bain. C'est dans ce bain qu'il met fin à ses jours alors que Lancelot fait face à Guenièvre et Bohort, son amour perdu et un membre de sa famille. Mais en le voyant dans son bain celui ci s'était coupé les veines pour en finir. Lancelot le sauve en utilisant la magie blanche alors à ce moment j'avoue que je l'avais pas vu. Car j'étais en train de pleurer lors de cette scène.
Arrive la scène où Lancelot rend visite à Arthur, il parle du fait qu'ils avaient le même but à ce moment là il lui propos de recommencer à zéro. Arthur lui lègue les pleins pouvoirs car il n'a plus la volonté ni la force de diriger son royaume. Lancelot s'en va et parle à Méléagant du fait qu'il a les pleins pouvoirs mais il reste une dernière chose à faire, se débarrasser de la forteresse de Kaamelott, de la table ronde ainsi que des chevaliers. Faisant table rase une bonne fois pour toute du règne d'Arthur. Arthur réussit à s'enfuir grâce à l'aide de Vennec et retourne à Rome à la maison où il était avec Aconia. Dans le film, on retrouve Arthur qui ne veut pas être roi mais voit et entend ce qu'a fait Lancelot. Lancelot de son côté, continue de chercher Arthur devenant une obsession, son règne est tyrannique alors que les paysans en paient le prix fort ainsi que certains nobles. Et que les chevaliers sont traqués et malgré la résistance mise en place. Lancelot lègue à deux mercenaires, une terre ce que n'approuve pas les dieux. Marié à Mevanwi, il peut pas le consumer à cause de Guenièvre qu'il aime toujours obsessionnellement. La gardant dans sa tour comme un jouet qu'on aurait trop peur de casser à ce moment là Lancelot a un côté un peu plus vulnérable.
Car il veut pas la laisser partir en essayant de lui donner le confort mais Guenièvre veut sa liberté ce que Lancelot refuse. Quand Arthur se fait capturer, Lancelot hésite à le tuer malgré que le conseil semble être pour. De plus il voit aussi les Burgondes qui veulent l'envahir mais c'est plus montrer manière comique. Et je trouve que cette scène aurait très bien pu se passer Lancelot, Lancelot ne dit pas grand chose à ce sujet. Donc qu'il soit là ou non, ça aurait rien changer, ce n'est que lorsque les Burgondes s'allie à Selie et la résistance que l'attaque est prise au sérieux. Arthur affronte Lancelot lui disant que c'est lui qui a ordonné l'attaque. Tenant Excalibur, elle brille d'une lumière bleue et attaque Lancelot lors du combat on voit que le tonnerre gronde, les nuages s'assombrissent.
Lancelot est à terre à la merci d'Arthur. Il pourrait le tuer et à ce moment là, suivre ce que les dieux veulent qu'il soit mais lors du flashback montrant qu'il tue quelqu'un de dos suite à la mort d'une personne qu'il aime. Il ne le fait ce en quoi Lancelot le traite d'incapable, c'est intéressant et in character car en soit Lancelot l'a sauvé dans le bain. Il aurait pu ne pas le faire mais il l'a fait et Arthur en a marre de suivre ce que les dieux veulent de lui. Peut être qu'il y a une petite partie de lui qui tient encore à Lancelot. Sans compter que la scène où il s'allonge sur la table regardant les cicatrice de sa tentative de suicide, laissant penser qu'il y songe encore d'en finir. Il y a une légende comme quoi Arthur aurait légué les pleins pouvoirs à Lancelot personne ne semble y croire. Et j'ai hâte de voir la réaction des autres quand ils se rendront compte que c'est vrai. Quand à Lancelot, on le voit retourner à la tour montrant son père ou bien c'est un dieu ainsi que le retour de Méléagant. Donc qu'est ce que Lancelot va faire ? Va-t-il de nouveau traquer Arthur ? Va-t-il chercher le Graal seule cette fois ? Ou bien ce serait autre chose ?
J'aime beaucoup la relation entre Lancelot et Arthur qui est à la fois complexe et tragique. Je suis pas sûre que tuer Lancelot résoudra l'histoire peut être qu'Arthur et Lancelot se rebelleront contre les dieux et Méléagant ou bien va-t-il se passer autre chose ? Je ne sais pas mais je suis curieuse de voir la suite.
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Les armes Spirituelles du Chrétien
«Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur, et par sa force toute-puissante. Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté. Tenez donc ferme: ayez à vos reins la vérité pour ceinture; revêtez la cuirasse de la justice; mettez pour chaussure à vos pieds le zèle que donne l’Évangile de paix; prenez par-dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin; prenez aussi le casque du salut, et l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Dieu. Faites en tout temps par l’Esprit toutes sortes de prières et de supplications. Veillez à cela avec une entière persévérance, et priez pour tous les saints. Priez pour moi, afin qu’il me soit donné, quand j’ouvre la bouche, de faire connaître hardiment et librement le mystère de l’Évangile, pour lequel je suis ambassadeur dans les chaînes, et que j’en parle avec assurance comme je dois en parler.»
Éphésiens 6:10-20 LSG
Analyse du passage d'Éphésiens 6:10-20
Thème central : Le combat spirituel et l'armure du chrétien
Message clé :
Les chrétiens sont engagés dans une lutte spirituelle contre les forces du mal. Dieu fournit à ses enfants une armure spirituelle complète pour résister aux attaques de l'ennemi.
Décomposition du passage :
* L'appel à la force divine (v.10) :
Les croyants sont encouragés à puiser leur force dans le Seigneur et non en eux-mêmes.
* L'armure de Dieu (v.11-17) :
Paul décrit en détail les différentes pièces de l'armure spirituelle : la ceinture de la vérité, la cuirasse de la justice, les chaussures du zèle, le bouclier de la foi, le casque du salut et l'épée de l'Esprit.
* La prière incessante (v.18-19) :
La prière est présentée comme une arme essentielle dans le combat spirituel. Les croyants sont exhortés à prier constamment et à intercéder les uns pour les autres.
* L'évangélisation (v.20) :
L'apôtre Paul demande aux Éphésiens de prier pour lui afin qu'il puisse proclamer courageusement l'Évangile.
Implications pour le chrétien :
* Reconnaissance de la lutte spirituelle :
Les chrétiens ne sont pas exempts d'attaques spirituelles.
* Dépendance de Dieu :
La force pour résister aux tentations et aux attaques vient uniquement de Dieu.
* Importance de l'armure de Dieu :
Chaque pièce de l'armure spirituelle a un rôle spécifique à jouer dans la protection du croyant.
* Nécessité de la prière :
La prière est un moyen vital de communiquer avec Dieu et de recevoir sa force.
* Engagement dans l'évangélisation :
Les chrétiens sont appelés à partager l'Évangile avec les autres.
Questions de réflexion :
* Quelles sont les principales difficultés que vous rencontrez dans votre vie spirituelle ?
* Comment pouvez-vous appliquer les différentes pièces de l'armure de Dieu à votre vie quotidienne ?
* De quelles manières pouvez-vous renforcer votre vie de prière ?
* Comment pouvez-vous participer plus activement à l'évangélisation ?
Ce passage nous rappelle que la vie chrétienne est un combat, mais que nous ne sommes pas seuls. En nous revêtant de l'armure de Dieu et en persévérant dans la prière, nous pouvons vaincre les forces des ténèbres.
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Éphésiens 6:10-17
10 Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur, et par sa force toute-puissante.
11 Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable.
12 Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes.
13 C'est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté.
14 Tenez donc ferme: ayez à vos reins la vérité pour ceinture; revêtez la cuirasse de la justice;
15 mettez pour chaussure à vos pieds le zèle que donne l'Évangile de paix;
16 prenez par-dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin;
17 prenez aussi le casque du salut, et l'épée de l'Esprit, qui est la parole de Dieu.
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Reine Ruse Part 6
Hello again all! I’m so sorry that this took so long. There’s been a lot of stuff going on irl that has delayed this quite a bit. I hope that you all enjoy this chapter and that I actually get the next one done semi-on time, lol.
As usual, tags are at the bottom, if you’d like to be added, send me an ask, comment, or message. It has been a really long time since I’ve updated, so if I forgot to add you, please let me know!
Much love you guys. You’re all amazing!
Adrien
“Hello, Paris.” Adrien looked over the camera lens at Alya, who smiled sadly and gave him a thumbs up. He cleared his throat. “Chat Noir here. I am here today to clear something up once and for all and to apologize to both my partner Ladybug and to the people of Paris who put their trust in me. I don’t know if any of you have been caught up in the last few akuma attacks, but, in case you have, and even if you haven’t, there are a few things that I need to say.” He paused, taking a deep, somewhat shaky breath. “This isn’t easy,” a somewhat awkward, strangled chuckle, escaped, “but, it needs to be said.” He tried to wipe all traces of the nervousness he felt was swallowing him from his face, and stared straight into the camera. People had to see he was serious. “I am not proud of the way that I’ve behaved towards Ladybug recently. Without giving too much away about my personal life, suffice it to say that I grew up pretty sheltered.” A sheepish hand mussed his hair. “I’ve been homeschooled until pretty recently and don’t have much of a clue about how to interact with people. I want to make it clear that in no way does this excuse the way I’ve been behaving.” He paused.
“I’m sure that you all know the way I feel about Ladybug -- I seem to shout it from the rooftops often enough.” He smiled ruefully. “I should never have done that. The second that she told me that I was making her uncomfortable, I should have stopped. It was never okay for me to disregard her feelings like that. It’s never okay for anyone to disregard someone’s feelings like that. Ladybug, I understand if you don’t want to talk to me right now, or ever, but I want you to know that I am so, so sorry for what I’ve done. I know that I can’t take back the words that I said, and I understand if you can’t forgive me, but I want you to know that I am going to do my best to make up for the things that I did and to become a partner that you can be proud of again.”
“And, to the citizens of Paris, I apologize to you as well. It is my job to protect you and this city, and I’ve been doing a poor job of that. You deserve heroes like My Lady, strong and confident, and utterly focused on protecting this city we love and ending the threat that Hawkmoth poses to it. I promise that I will do my best to make it up to you as well -- to become a hero that you can be proud of again. For now, I urge you to look around you in your everyday lives. If you see someone behaving in the way that I’ve been behaving towards Ladybug, say something. Hawkmoth isn’t the only problem we Parisians face, but we can solve the other problems we see by being heroes ourselves. Thank you for listening to me, and, again, I’m so, so sorry.”
After he stopped talking, Adrien could hear Alya pressing the stop button on her camera, but neither of them could find the right words to say to each other. They sat in silence for what seemed like forever until Alya shook herself out of a stupor and moved to her desk. She plugged her phone into her laptop and pressed several buttons.
She paused, looking back over her shoulder at him. “Are you sure about this?” She asked softly.
He closed his eyes. “Yes.”
Marinette
Marinette stared unblinkingly at the screen of her computer, the dark rectangle of a finished video stark against her pink screensaver. Despite… everything that had happened with Alya in the past few weeks, she still followed the Ladyblog. When the notification had popped up on her computer, she wasn’t sure what she was going to see. She hoped that no one had been akumatized. What Hawkmoth did to people at their most vulnerable was awful. She’d never wish that on anyone. Then again, what was the alternative? A new interview with Lila? She had tried to hard to be the bigger person, to tell herself that she was just being dramatic or blowing things out of proportion, but the fact of the matter was that she was just a teenager, and she was hurting and that she was allowed to hurt. She didn’t know if she could take another example of her best friend choosing the word of a liar over her own.
Whatever she had expected, it wasn’t what she saw. Chat Noir’s video took her completely by surprise. She didn’t quite know what to feel. On the one hand, he’d apologized, validating feelings that only Tikki and Chloe had told her she’d been allowed to have. She felt like a weight had been lifted from her shoulders. On the other hand, he was right, she couldn’t forgive him -- not right away. He’d made her feel so small and so afraid. Especially with everything that had been going on at school, he’d shaken her faith in herself and in others.
Suddenly the screen in front of her lit up again. She moused over the notification and quirked her lips. Akuma. For better or for worse, she’d have to face Chat now. Despite the complicated feelings involved in Tikki giving the fox miraculous to someone other than Alya, she couldn’t help but be reassured by the fact that there would be another hero, another partner, who she could trust herself to work with without flinching.
“Tikki, SPOTS ON!!!”
Alya
After Chat Noir left, Alya just sat, still and quiet, her mind spinning. She dimly heard the chiming from her phone and computer as the video she’d just posted accumulated views and comments. God, what had she done? A good journalist always checks her sources, bullshit. She’d believed a stranger over her best friend. If she even deserved to call Marinette her best friend at this point. She’d never had friends at the small-town school she’d attended before Francios-Dupont. She’d been too pushy, too intense, they’d said. But Marinette and her sunshine smile had accepted her the moment they’d met, encouraging even her craziest ideas and telling her that she was brave and good and just.
She was crying, she realized. Out of the corner of tear-blurred eyes, she noticed a sticky note she'd stuck to the frame of her computer monitor days ago. That's right. She and Lila had planned to try to find Andre's Ice Cream stand that afternoon. Her jaw firmed. The gullible Alya that Lila expected wouldn't be showing up today. She grabbed her phone and threw on her favorite plaid shirt over her tank-top. She didn’t have the armor of her miraculous, but damn it all to hell, she was going into battle.
The walk to the Pont des Arts seemed much shorter than it usually was, but, then again, her mind was racing -- she was pretty sure she hadn’t noticed anything she’d passed along the way. She sat on the bench that she’d agreed to meet Lila at and tapped one foot anxiously against the pavement.
After a few minutes, she looked down at her watch. Lila was late. Honestly, Alya was almost relieved. She still didn’t know what to say to the other girl. From what Chat Noir had said, it sounded like she’d been cooperating with Hawkmoth willingly and Alya herself had seen what Lila had done to Marinette… and to Alya’s own credibility as a journalist. Before she’d left her room, she’d filmed another video -- her own apology to Ladybug for invading her privacy during the Oblivio incident, and to the people of Paris for posting false information on a news source that they’d trusted.
She hadn’t posted it though, not yet. Despite everything… Lila had been a good friend these past few weeks. Alya was hurt by the things that she’d learned about the transfer student. She felt uncertain and betrayed, but she wanted to ask Lila herself about it -- to see the truth with her own eyes and to get her closure for all the dreams that would be snuffed out with Lila’s lies, and for all the damage that she herself had done, if what Chat Noir said was true. (It was, she knew it, deep in her bones. She just didn’t want to admit it quite yet.) Did it make her a bad person if she still desperately wanted it all to be a joke?
“Hey, bestie!” Lila’s voice broke through her thoughts. “I’m so sorry that I’m late -- I was on a conference call with Prince Ali about our environmental initiative that I just couldn’t get away from. You understand, right?”
“... Yeah, of course.” Had her smile always looked so fake? “You ready to get some ice cream?”
“Of course! I’m so excited to be able to have ice cream again. I was diagnosed with severe lactose intolerance when I was younger and I haven’t had it for years, but a doctor that I met when I was traveling in England put me in a clinical study and cured me!”
Alya tried her best to hide the twitching in her eye. Sabrina had lactose intolerance -- the whole class knew that she could have ice cream just fine if she took some lactase supplements beforehand. Seriously, that wasn’t how lactose intolerance worked at all! If she’d lied about something this small…
She’d about made up her mind to say something, to shout or scream and try to get Lila to finally tell her the truth for once when the ground beneath them shook hard enough to knock her off of the bench she’d been waiting on. Looking up, she saw a woman made entirely of some sort of metal, spikes shooting out from her suit and a wickedly sharp glaive in her hand.
Shit. Of all the times for an akuma.
Chloe
Chloe sat on her bed, notebook in front of her, listening intently to Trixx as they explained more about their miraculous and what exactly a mirage could do. They were floating back and forth through the air in front of her as if pacing, every once in a while stopping to eat one of the jelly beans in the crystal bowl on the bedside table that she’d ordered from room service for them.
“The power of the mirage is limited only by your creativity. The illusion that you cast can be as small or large as you want -- it can even be fluid if you concentrate properly. Your mirages can speak, or simply make a particular sound at whatever volume you decide. It can be threatening or unassuming, something targeted to a single person or meant to touch many. For now, your mirage is also limited by the timer in your miraculous -- the illusion will vanish with your transformation five minutes after you call for it. It will also evaporate if it is touched, although, if you train properly and hard, you’ll eventually be able to cast illusions that can hold their own form temporarily.”
The tiny god turned large, purple eyes on Chloe. “What you must truly know, and take to heart, as the wielder of the fox miraculous, are people. Your power is only effective if you can read others, know what your target needs to see. Tikki seeks creativity in her bugs, that’s what they need to make the magic of the ladybug miraculous work. Plagg wants compassion to temper destruction, Noroo empathy to connect to his champions. The thing that I value above all else in a wielder isn’t cunning or cleverness or skill at lying -- on the contrary, the best illusions always have a grain of truth to them. I need a wielder who can analyze people. Someone who knows the damage that lies can cause, but can keep their feelings subdued to use their illusions however the mission requires, even if others might see the mirage as underhanded.” They smiled. “Rena Rouge was fun to work with, but she didn’t suit the fox miraculous at all. She’s too straightforward, too eager to spring physically into battle, yet not willing enough to truly hurt someone emotionally. I have a feeling you’ll do much better as my kit, Chloe.”
Chloe’s pen paused halfway across the page as a small, soft smile stole across her lips. She quickly tempered it and looked back up at Trixx. “Th-- er… Thank you Trixx.” She felt a sharp, staccato buzz against her hip and looked down at her phone. Swiping across the screen to unlock it, she saw the bright red text of an akuma alert scroll across the screen. She looked up at Trixx, who met her eyes with a smirk.
“Well, kit, are you ready.”
Chloe nodded. “Trixx, let’s pounce!”
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L'exceptionnelle destinée de son porteur
Arthur x Guenièvre (Kaamelott)
Sommaire : De retour au royaume de Logres, Méléagant parvient à se rendre sur l’Île de Tenet et à enlever la reine. Arthur remue ciel et terre pour retrouver son épouse, mais lorsqu’il la secoure enfin, Guenièvre n’est plus tout à fait la même...
Notes : Fanfiction post-Kaamelott Premier volet (attention spoilers !) Ceci est ma première fanfiction écrite depuis des années et publiée sur tumblr... Soyez gentils les petits croustis *-*
Cela faisait maintenant plusieurs heures que le roi se trouvait au chevet de son épouse. La reine Guenièvre était de retour sur les terres ancestrales de sa Carmélide natale, au sein des murs protecteurs de la forteresse paternelle du Seigneur Léodagan. C'était là, qu'Arthur et plusieurs chevaliers de la Table Ronde avaient trouvé refuge, à la suite du débarquement des dernières troupes fidèles à Lancelot, sur l'Île de Tenet. Un assaut surprise ayant servi de diversion au fourbe de Méléagant, pour enlever Guenièvre, alors que les hommes du château s'étaient rassemblés sur le flan ouest pour engager la riposte.
Lorsque Arthur avait découvert sa disparition, il avait ressenti une vive inquiétude lui envahir la poitrine. Sans prononcer un mot, il avait renversé bibelots et meubles de la chambre désormais vide, partagée avec son épouse. Il avait arraché les tentures de colère, mordu et frappé les incapables gardes qui avaient failli à leur tâche, puis il avait finalement brandi Excalibur contre Léodagan, qui lui avait rappelé âprement d'utiliser sa rage pour retrouver sa fille et non pour détruire sa demeure. C'était la première fois que ses sujets le voyaient soumis à une telle agitation. Même Karadoc en avait perdu l'appétit, (le temps d'une heure, tout au plus). Jamais Arthur n'avait éprouvé un tel effroi au cours de sa vie passée. Pas même lorsqu'il avait découvert Shedda le visage tuméfié, ou qu'Aconia était venue lui faire ses adieux. L'impuissance avait repris le dessus dans son esprit, pour venir tout saccager et lui rappeler son destin lui échappait une fois de plus.
La traque avait duré des semaines, longues, rudes, semblant interminables aux chevaliers et Arthur lui-même. Mais le Seigneur du Royaume de Logres n'avait pas baissé les bras, pas cette fois. Il avait persévéré jusqu'à l'épuisement. Fouillant chaque recoin des terres sacrées, de l'Île de Bretagne, jusqu'aux confins de l'Aquitaine où il avait envoyé émissaires et éclaireurs. Finalement, ce fût sur l'indication piètrement hasardeuse d'un petit vieux rencontré par Perceval sur la route de Vannes, qu'Arthur retrouva la trace de son épouse, retenue prisonnière sur une petite île jouxtant la Bretagne continentale et assez loin des côtes, pour décourager toute évasion à la nage. Le roi s'était préparé à affronter Lancelot en arrivant sur les lieux, mais il n'y avait trouvé que la stature inquiétante de Méléagant, contre lequel il avait engagé un combat intense. L'homme en capuche avait usé de ruses et de magie pour le déstabiliser, au point de parvenir à l'épuiser physiquement et le désarmer. Arthur avait cru sa dernière heure arriver quand le corps massif de son ennemi l'avait surplombé et commencé à serrer sa gorge de ses deux mains. Puis une lueur bleue l'avait aveuglé. Une puissante colonne de feu s'était élevée au-dessus de leur tête, avant de s'abattre froidement dans le dos de Méléagant, qui tomba raide mort sur le sol. Affaibli par le manque d'air, Arthur avait mis du temps à réaliser que son sauveur n'était autre que son épouse Guenièvre, armée d'Excalibur, plus flamboyante que jamais.
Cette image hantait le roi depuis leur retour en Carmélide. Il avait retrouvé son épouse certes, mais l'inquiétude persistait. Méléagant n'avait pas été aussi clément que son rival Lancelot. Guenièvre était considérablement amaigrie et faible. Elle avait perdu sa taille gironde et le rebond de ses joues, qu'Arthur avait longtemps refusé de caresser. Voilà deux jours qu'elle dormait pratiquement sans discontinuer. Face à ce spectacle angoissant, le roi ne pouvait que repenser à sa propre expérience. Aux jours qui avaient suivi sa tentative de suicide et durant lesquels, Guenièvre s'était enfuit de Carmélide pour venir à son chevet. Comme elle, il ressentait l'injustice du moment. Attendre, sans savoir si ses yeux allaient un jour se rouvrir. Attendre était pire que tout.
Trois coups venaient d'être frappés à la porte de la chambre, sortant le roi de ses songeries sinistres. C'était le Seigneur Perceval, qu'il invita à entrer après s'être annoncé.
« Ah Sire ! Je savais pas si vous dormiez, c'est Elias qui m'a demandé de vous amener cette potion. C'est pour la reine ! » lui dit le chevalier à la chevelure grise, en lui tendant une fiole au contenant jaunâtre.
« À boire dans deux verres d'eau. Euh non... deux gouttes dans un verre d'eau ! Non, c'est pas ça. Un verre dans deux...
- Donnez-moi ça ». Ordonna le roi, en se saisissant de la fiole.
Il posa cette dernière sur la table de chevet, près de la chandelle se consumant. Un silence pesant s'installa dans l'atmosphère tamisée de la chambre. Arthur avait de nouveau posé son regard inquiet sur la silhouette de sa femme alitée. Sentant la présence de Perceval demeurer à ses côtés, il l'enjoignit à s'asseoir sur l'un des sièges situé près de la fenêtre, puis il lui servit à boire dans l'un des gobelets apportés plus tôt dans la journée par les domestiques.
« J'ai pas compris, votre femme, elle a été blessée ou pas ? Demanda le chevalier aux yeux bleus.
- Non, Merlin dit qu'elle est sous-alimentée et déshydratée. Expliqua le roi avec difficulté. Elle a passé plusieurs semaines dans le cachot où on l'a trouvé.
- Quel salaud ce Méléagant ! S'exclama Perceval avec toute l'indignation que lui conférait son cœur pur. »
Il semblait aussi que la reine ait souffert du froid et de l'humidité. La fièvre avait mis du temps à passer. Heureusement, chaque jour son état semblait s'améliorer, bien que cela prenne un temps considérable.
« Je peux vous poser une question ? Demanda Perceval, qui ne supportait visiblement pas le silence.
- Quoi ?
- C'est vrai que votre femme, elle a saisi Excalibur et qu'elle s'est mise à flamboyer ? J'ai entendu Léodagan le dire à Bohort dans le couloir, à votre retour »
Arthur acquiesça sans dire un mot et Perceval en parut confus.
« Je croyais que c'était qu'avec vous que ça marchait, ce truc-là ?
- C'est plus compliqué que ça.
- Mais elle avait pas marché avec moi aussi ? Demanda Perceval en se grattant la tête.
- Si. acquiesça Arthur. Bon, où vous voulez en venir à la fin ?
- Je sais pas, c'est bizarre. Qu'est-ce qui fait qu'elle flamboie ? Ç'a rapport avec la chaleur temporelle ?
- Temporelle ?
- Oui, tout ce qui est rapport au chaud, au froid. Tous ces trucs-là, quoi.
- Corporelle ? Proposa Arthur, qui fronçait les sourcils.
- Mais nan ! J'veux dire tout ce qui touche à la température de la peau ?
- Corporelle ! Insista le roi, au bord de la migraine.
- Ah oui, voilà c'est ça ! Corporelle. Ç'a un rapport avec ça ? ».
Le roi ferma les yeux un instant, pour laisser échapper un long soupir de désolation. Même après des années à côtoyer le chevalier, il restait indubitablement surpris par son infinie bêtise. Malgré tout, il ne pouvait concevoir de le laisser dans l'ignorance complète. Il prit alors une grande inspiration.
« Excalibur flamboie "lorsqu'elle reconnaît l'exceptionnelle destinée de son porteur". annonça-t-il, en reprenant les mots de la Dame du Lac.
- J'ai rien compris, confia Perceval interloqué.
- Je m'en doute.
- Redites pour voir ?
- "Excalibur flamboie lorsqu'elle reconnaît l'exceptionnelle destinée de son porteur".
- Son porteur ?
- Oui.
- Mais elle porte quoi votre femme ? Elle a une armure elle aussi ? »
Les traits d'Arthur se durcirent, tandis qu'il secouait la tête de fatigue. Un nouveau soupir s'échappa de ses narines bombées par l'agacement. Il avait oublié à quel point entretenir une conversation avec Perceval pouvait être compliqué. « Non, elle porte pas d'armure, commença le roi avant de s'arrêter brusquement. Elle porte... »
Son visage devint soudain doux et tendre. Il se retourna vers son épouse qui semblait toujours plongée dans un profond sommeil. Les pensées d'Arthur se bousculaient dans son esprit. Il se remémora les années passées, les fois où sa femme avait tenu Excalibur entre ses mains, sans jamais que celle-ci ne flamboie à son contact. Il se remémora les mots de la Dame du Lac et son sauvetage par Guenièvre, quelques jours plus tôt. Un frisson parcouru son échine. « Ramenez-vous ! scanda-t-il à haute voix en levant le nez vers le ciel. Il fixa le plafond, comme s'il attendait une réponse. Ramenez-vous, j'vous dis ! » insista-t-il avec sévérité. Un peu perturbé par cet ordre soudain, Perceval approcha son siège du roi.
« Pas vous » gronda Arthur, à son intention. Quelques secondes plus tard, la Dame du Lac apparut sous sa forme astrale. La déesse avait rejoint son plan d'origine, lorsque Arthur avait décidé de reformer la Table Ronde et de reprendre la quête du Graal. « De quoi vous parlez sire ? Demanda Perceval, avec faisant papillonner ses grands yeux bleus.
- Fermez-la, c'est pas à vous que je parle !
- Pourtant, c'est vous qui...
- Fermez-la j'vous dis ! Tiens d'ailleurs, sortez ! Cassez-vous ! » ordonna-t-il en montrant la porte du doigt. L'allure penaude, Perceval quitta silencieusement la pièce pour laisser le roi seul en conversation avec la Dame du Lac, qu'il ne pouvait à nouveau plus voir. « Est-ce que c'est vrai ? demanda Arthur en désignant Guenièvre allongée dans le lit.
- De quoi ?
- Vous payez pas ma tronche, vous savez très bien de quoi je veux parler, sinon vous seriez pas là ! C'est vrai, oui ou non ?
- Ça a toujours été elle votre destinée, soupira la déesse avec condescendance. Seulement vous avez préféré l'ignorer et n'en faire qu'à votre tête, alors...
- Alors quoi ?
- Alors, les dieux vous ont punis.
- Vous voulez dire que ma stérilité, c'était à cause de ça ? Vous vous moquez de moi ? J'ai fait tout ce que les dieux m'ont demandé ! J'ai retiré l'épée ! J'ai créé la Table Ronde ! J'ai fédéré les clans ! Je me suis cassé le cul pendant des années à chercher un Graal qu'a p'têtre jamais existé ! J'me suis mariée avec elle sans même la connaître, pour unifier la Bretagne ! Qu'est-ce qu'il fallait de plus à la fin ?!
- Que vous la choisissiez. Et inversement ». À ces mots, Arthur se mit à soupirer et se tut pendant un moment. « Est-ce qu'elle va s'en sortir, au moins ? » Finit-il par demander, en posant son regard sur Guenièvre. Le temps qu'il se retourne pour obtenir sa réponse, la Dame du Lac avait disparu. « Eh oh ! Vous allez où, là ?! Revenez, déconnez pas ! Revenez ! hurla-t-il, alors qu'il s'était levé.
- Hum...Pourquoi vous criez encore ? » C'était la voix de Guenièvre. La reine était éveillée. D'apparence toujours faible, ses yeux étaient bel et bien ouverts. En croisant son regard, Arthur relâcha ses épaules en signe de soulagement, puis il alla doucement se rasseoir auprès d'elle.
« Pour rien. Je me faisais du souci pour vous.
- Pour moi ? S'étonna Guenièvre en le regardant avec une certaine curiosité.
- Oui, pour vous ». Admit Arthur, en venant saisir l'une de ses mains de son épouse, pour appuyer ses mots. Guenièvre esquissa un tendre sourire, puis fut tout à coup prise d'un vif sursaut, comme si elle avait été frappée par la foudre. Sa main libre se plaqua sur son ventre au-dessus des couvertures et son visage devint plus blême qu'elle ne l'était déjà. Elle paraissait désemparée, profondément soucieuse. Arthur le remarqua, mais ne dit rien. Il caressait doucement le dos de sa main en signe d'affection. Guenièvre resta songeuse quelques instants. Elle semblait chercher ses mots. « Il faut que je vous avoue quelque chose...
- Je sais, la coupa Arthur d'une voix douce.
- Non, mais laissez-moi parler ! rouspéta-t-elle en faisant la grimace. J'osais pas vous le dire, parce que j'avais peur de vous donner de faux espoirs, mais...
- Je vous aime », avoua le roi avec la plus grande simplicité du monde.
La reine resta bouche bée.
« Je vous aime, répéta Arthur en regardant sa femme dans les yeux. J'ai mis du temps à m'en rendre compte. J'ai préféré vous ignorer. Me concentrer sur vos défauts, plutôt que de remarquer vos qualités. J'ai eu tort, j'en suis désolé. Parce que même quand vous m'énervez, même quand vous collez vos pieds gelés contre les miens dans le lit ou quand vous décidez de faire quelque chose alors que je vous l'ai fermement interdit... J'me rends compte que je suis heureux de vous avoir à mes côtés. Que j'ai eu de la chance de vous avoir eu vous à mes côtés, pendant toutes ces années.
- Ça fait longtemps que vous ruminez ça ?
- Dix ans, confia le roi, qui avait passé tout ce temps loin de Kaamelott, en exil.
- Vous avez pris votre temps.
- Vous m'en voyez désolé.
- Je vous en veux pas », le rassura Guenièvre en posant une paume sur la joue rugueuse de son mari.
Le roi et la reine échangèrent un regard complice, puis sourirent. Arthur se rendait compte que son épouse avait été la seule femme à l'aimer véritablement pour son être et non pour sa fonction. Elle avait toujours soutenu l'homme qu'il était, comprenant à quel point le poids des responsabilités pouvait être un fardeau qu'Arthur avait fait de son mieux pour assumer. Elle n'avait jamais été rongée par l'ambition ou la jalousie, et pourtant les dieux savaient combien elle en aurait eu parfaitement le droit. Elle n'avait pas hésité à le suivre dans sa quête de descendance, quand bien même il avait refusé d'en engendrer une avec elle. S'il avait su dès lors, que son bonheur se trouvait de l'autre côté du lit et pas dans celui d'un autre... Chaque jour, les regrets le consumaient, mais à présent, il voyait s'ouvrir une perspective d'avenir bien heureuse avec elle.
Sans dire un mot, Arthur vint apposer une main sur le ventre de sa femme et celle-ci compris qu'il savait. Après des années de prières et de déconvenues, l'héritier du Royaume de Bretagne était enfin en route. « Si vous avez le cœur à manger, je peux vous faire apporter un p'tit frichi, proposa le roi qui souhaitait voir sa femme se remplumer rapidement. Qu'est-ce que vous voulez, du pain, des fruits ? De quoi vous avez envie ?
- Eh bien, vous fâchez pas, mais...vous savez s'il y a de la pâte d'amande ? », demanda Guenièvre en se mordant la lèvre inférieure.
Les pupilles d'Arthur firent un 360 degrés dans ses orbites. Il échappa un rictus nerveux, qui cachait en réalité un sourire aux coins des lèvres.
« On va essayer de vous trouver ça » dit-il, avant de venir déposer un baiser sur le front de son épouse.
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fic idea # 735 - Parasite AU
or But it was all just a metaphor
((in the good omens universe, some demons including beelzebub, hastur, and ligur have animals on their heads, and it's popularly postulated that these are their true forms. but what if these creatures are the "demon"— sinister, insidious things—that have taken over the empty vessel of a fallen angel?
the "demon" itself is a parasite. it latches onto these fallen angels, no longer protected and shielded by Her and it feeds off the remains of their divinity, their souls, until what's left is an empty husk.
when the first angels fell, their transformation to demons didn't happen simultaneously. the fall, yes, the pain, the loss of Her Grace, Her love—ripped open and left to fall at different speeds, that was within an instant—
but not the transformation.
not quite.
but crowley...crowley’s a bit different. he has a mark of a snake. he can transform into a snake. this can mean that sometimes— sometimes, the parasite can fully take over. but not always.))
the being known as crowley has been staving off a complete transformation for millennia. he doesn't quite know how he's managed for so long—maybe because he'd always been different from the other fallen. maybe different enough to see the creature and instead offer it a deal.
after all, who would want to fully animate a celestial vessel full-time?
or maybe it's because of the strange little angel by his side, the brightest, warmest Light he'd known since the vaguest memories of Heaven—that when the parasite first saw him, there upon the garden's wall—even it was drawn instantaneously and slithered up by pure instinct.
crawley, as he was called at the time, didn't know why. all he knew was that he had to make painfully, awkward conversation with the strange angel up there as the parasite suddenly receded back into the crevices of his soul, leaving the fallen to quietly basked in the strange angel's Grace.
it happened again and again as time marched forward and the humans populated the earth. always, always, the parasite would find the angel but always retreated leaving—now crowley— to deal with him and now…
crowley grew accustomed. crowley grew comfortable. and crowley grew to look forward to these meetings.
yet the more he saw him, the bolder the parasite would be. what was stretches of epochs between meetings became once every few centuries—and then Rome happened.
crowley had been miserable. and then this angel— his angel, something purred at the back of his mind— invited him for lunch, a little "temptation" of his own making.
there was a thunderstrike of realization and crowley understood then what this parasite wanted.
it wanted this angel to fall.
crowley thinks for thousands of years that the parasite wants aziraphle to fall so it can take over the principality as its host instead of crowley. after all, to crowley, aziraphale is pure light, unlike anything crowley's ever seen. of course he’d attract it like a beacon, finding him far more appetizing than the charred remains of crowely’s own dwindling light he has to offer.
and it's no secret that aziraphale...doesn't...always excel at his job. the poor dear tries but… he’s the living example of “the road to hell is paved with good intentions.” he tried to rent out the entire inn for mary and joseph— he ends up forgetting to tell the innkeeper who the rooms are for, forcing the son of God to be born in a manger. he tried to avert the whole "Nero disaster” by turning the boy's aspirations to music for God's sake. that’s not to say that aziraphale was incompetent—but every flaw cataloged by heaven made crowley more and more nervous.
so the arrangement was born. crowley could take over his jobs for him—and so aziraphale can bungle up his jobs in turn. that way aziraphale can get a double commendation for doing his work properly— and for inadvertently messing things up with the other side.
((doesn't work. aziraphale absolutely excels at being a demon. he carries out temptations flawlessly. this is a great source of stress on crowley for centuries))
in the 1800s, crowley and aziraphale have a massive fight. crowley asked aziraphale to get him some holy water. a single drop is enough to kill a demon. crowley asked this for protection, in case the agents of hell found out about their arrangement.
and aziraphale denied him because it would be too dangerous, but what's interesting-- what's really interesting--
is that aziraphale's immediate reaction was to call the holy water "a suicide pill!" in this iteration, the context can have a very, very different meaning in that aziaphale is right: crowley would intend to use it on himself. aziraphale knows crowley by now. has known him for millennia. and he's right. it's a last resort if crowley ever feels that his control slips, that the parasite takes over, he has to have a way to take care of the problem before aziraphale becomes targeted by the creature lurking inside him.
and crowley does slip.
when crowley runs into the burning bookshop, reaches out and pleads to the parasite's senses to comb through the fire and ash in the air, and screams out that he can't feel aziraphale anywhere—that's when his control crumbles.
he's given up.
he's lost his angel.
there was nothing left in this world now. nothing left to do but to let the wars rage.
so he gives in. this vessel is his.
-
((from there, it’s a canon divergence from when aziraphale comes to the bar, seconds too late as the creature takes over. notice how hastur was scared of crowley during his drive through the wall of flames? he could likely smell exactly what crowley had become now.
canon events still occur with crowley acting...acting just a smidge off. a little less dramatic. a little ...darker.
but he's there at the airbase, willing to stand by his angel's side. this demon's been waiting for millennia to have that angel for himself. so he stands his ground. he won't waste the golden opportunity.
the meddling fallen...
maybe a fragment of him still exists in there.
maybe he's there when he sees their angel, their sweet, clever, wicked thing propose the switch
maybe he's there at the crevices of his mind when he spits hellfire at the archangels and rejoices with him as they burn.
maybe he's there when he takes their angel—his angel, has always been his angel— to bed, marking him, branding him, inside and out.
maybe he's there when aziraphale sighs in the quiet dark and says "I love you, Crowley..."
and maybe he's there when the demon smiles, sharper than before, and with a glow in his eyes more triumphant than the angel had ever seen.
"I've always loved you, Aziraphale."
-
in the events following the botched armageddon, its mask is slipping. for a while, it tries to uphold its persona as "crowley" but of course, it's not crowley. not completely. both crowley AND the parasite coexist to form the entity that aziraphale knows and loves.
he's…crueler. more dangerous. protective. possessive. he always knows where aziraphale is and of course a part of it is because he obviously is concerned for the angel's safety. the ruse won't be kept hidden forever, after all.
but it's more than that.
the fallen known as crowley thought that maybe being around aziraphale has kept the parasite at bay—but no, no he was wrong.
the only thing that kept the creature at bay had been crowley himself. when the parasite saw the angel for the first time, it slithered its way to the wall and crowley's immediate instinct was to take back the reins.
and the creature let it.
the deal they made was that crowley gets free reign to do as he pleases, but the demon can take control to have its fun in its own time. a bit like clocking in and out of work: many of the horrors humankind had made were indeed makings of their own.
but some were not without a bit of demonic influence when crowley wasn't around.
((there's a reason why crowley's so fond of sleep))
so when he tells aziraphale that he's been "asleep" it may or may not mean mean that the parasite has been taking his skin out for a spin.
so why didn't the parasite simply take aziraphale during these times?
well for one, crowley would most likely take control again. the creature may sense the angel's whereabouts, but crowley has his own special sense to know when aziraphale is in danger.
the other reason...is that he needs this fallen to court him.
win the angel over with his company, effortless banter, and teasing words all while the creature watched and learned, mimicked and mocked. it's a parasite— it doesn't know much about romancing and sweet-worded affections
but it knows quite a bit about getting what it wants.
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((or maybe this was all just a metaphor of crowley's more demonic nature. he doesn't embrace "evil" and "sin" the way other demons do. and a large part of that is because he retains who he was before the fall. he didn't "fall" as much as he "vaguely sauntered downwards.” he was afraid of hell. he wanted to be here, on earth, with his angel and the humans he'd found equal parts amusing and equal parts frustrating. he didn't want to embrace what he'd become.
but the moment aziraphale turned him away for the last time, the moment he'd lost his angel-- something in him might have broken. it's no longer a sense of keeping propriety, it's now a matter of survival
yes, he's scared of hell. but now, he's more scared of losing aziraphale.
maybe the parasite was all in his head.
maybe he created it as a way to dissociate himself from the reality of his fall. maybe he and the parasite are one in the same.
and it's only now— now, after the very frightening reality of having lost aziraphale once— that he's willing to use whatever means he has to make sure aziraphale stays with him—
by his side.
like he's meant to be. like he was always supposed to be.
or maybe that's just what the parasite wanted him to believe))
#good omens#ineffable husbands#ineffable partners#fic idea#dark crowley#but not really#or is it#secondary title is from rironominds colourless saitama and his years of training#i just really love that title
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OKAY OKAY I ACTUALLY HAVE A PLAN
im going to make a parody of Paranoid DJ's Use Me Up(yes the angel dust song) but with Perderé from the RH!AU(the Hazbin Hotel crossover au)
so I rewrote the lyrics under the cut!! :) here you gooo 🤠
(Ardeo:) (Spoken) C'est quoi ce bordel, Perderé…? I heard from all the customers you refused…do you need a reminder of what your job is?~ Hmh. I guess you do, petit oiseau..~ My room…five minutes.~ Put on something nice for me…~ Don't be late, Per.
(Intro) (Perderé:) (Spoken) Go ahead, darling..~ Don't be afraid, I don't bite…~ Mhmhmhm, you do whatever… but be nice.~
(Verse 1) At first when it started I thought it was all real How exactly did I feel While you hauled me on the keel I know the name of the game I know I should be ashamed I'm not for you to berate I'm not for you to defame
(Prechorus) And you tell me I'm good I said I don't think I should But you hurt me and you left me Doing nothing I would Found myself in a depression Learned it was all a sham When you forced me to submission Like the dog that I am
(Chorus) And it isn't at all fair, I know But I swear there isn't anywhere that I can go And it's not my fault you think that I'm nothing but a ho Forever to you, I'm tied I just wish that I had died (Go on, tell me) But you don't care what I say, I know And there's nothing I can plead to you, not even no And you use me and abuse me and you won't let go Just to order me to keep a ruse I can't undergo So you tell me, does it show?
(And I ask you, does it show?)
(Ardeo:) (Spoken) Venez ici.~
(Verse 2) Performing on a stage I fall, and I'm met with rage It takes a while to gauge Just how much I can take And it's foolish to think That I can carry this weight But my name's written in ink You're pushing me to the brink
(Prechorus) My feathers fall to the ground But you tell me "go back down" And they twist and turn my body For a night on the town And you're pulling my tail Until I'm brittle and frail And you think it's so amusing That I'm trapped in this jail
And it isn't at all fair, I know But I swear there isn't anywhere that I can go When they banished me and dragged me through all that strife I wish that they had decided to just end my life (Please, just tell me) But you don't care what I say, I know And there's nothing I can plead to you, not even no And I simply am not strong enough to break these chains So both of my wings are clipped, you hold the reins But you tell me, does it show?
(Chorus) So I will show you fucking fair, you know And now there isn't anywhere that you can go (nowhere to run, hon) As I laugh at all your cries and see the fear in your eyes (the terror in your eyes) You can go fuck yourself, I'm already here (I've come so far, why stop now) And I don't give a shit about you anymore (no more) I will no longer be known as "Ardeo's little whore" (not your petite salope) et je vais te tuer, espèce de salaud et je m'assurerai qu'ils ne trouvent pas ton cadavre rouillé-!… And it mother fucking shows
(Outro) So it shows how bad you treated me Like a pet for your use with none of the "no, no, please" And it all came back to bite you in a crazed frenzy And now they will all know from you I'm finally free
wrote a song y'all
i wrote a song about Perderé in the RH!AU and its cool, methinks it's called It Shows
(Verse 1) At first when it started I thought that it was all real how exactly did i feel When i never had departed
(Prechorus) found myself in a depression I learned it was all a sham After you forced me into submission Like the dog you think i am
(Chorus) And it's not fair, i know But theres nowhere i can go And forever to you, i'm tied I just wish that i had died And you don't care, i know I'm punished if i don't show And you use me and abuse me Just to order me to keep a ruse… And it shows
(Verse 2) I'm performing on a stage If i fall, i'm met with rage And it takes a while to gauge Just how much that i can take
(Prechorus) my feathers fall to the ground But you tell me to go back down And you're pulling on my tail Like i chose to enter this jail
(Chorus) And it's not fair, i know But theres nowhere i can go When they banished me, put me through strife I wish that they'd ended my life And you don't care, i know I'm punished if i don't show And i simply cannot break these chains My wings are clipped, you have the reins… And it shows
(Verse 3) And this little hotel noticed These nice ladies took me in Gave me a place that was free from sin I felt i could uncuff my shins
(Prechorus) And it's funny, really now All those years that i had bowed I realized that you're just some 12 foot tall french piece of sentient metal that i could stab if i wanted to
(Chorus) (Emotionally) I'll make things fair, you know And there's nowhere you can go As i laugh at all your cries see the terror in your eyes And I don't care anymore That you called me a little whore et je vais te tuer, espèce de salaud et je m'assurerai qu'ils ne trouvent pas ton cadavre rouillé-!…
(Outro) So it shows How i was treated Like a pet for you to beat and fight finally it all came back to bite you And now they all know That you were defeated I did it in a frenzy From you I'm finally free
And it shows
#tsams#sams#the sun and moon show#tsams au#sun and moon show#tgo#the grand occult#rh!au#ardeo rh!au#perdere rh!au#viscount perdere tgo#tgo perdere#use me up vip#paranoid dj#song writing#song lyrics#parody#aaaaaaaa#ulmr#posts by the soviet onion#🧅
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Zeus - Jupiter
description: roi des dieux, dieu du ciel, des nuages, de la pluie (Hyetios), du beau temps (Æthrios), dieu du foyer (Ephestios), dieu des clôtures et des murs et des maisons etdes cités (Hercios), dieu du mariage (Gamélios), dieu de l'amitié (Philios), dieu de l'hospitalité (Xénios).du climat, de l’orage (Erigdoupos), des éclairs, de la foudre (Astrapæos, Brontaeos), dieu de la fécondité et protecteur des moissons et des fruits (Epicarpios), de la fratrie (Phratios), de la tribu, de l’état, de la confédération (Hélénios), de la cité (Polieus), des assemblées populaires (Agoraios), garant des serments et des traités (Horcios), de la ruse (Dolios, Apatenor)
attributs: aigle, foudre, sceptre en bois de cyprès, égide, chêne
catégorie: olympiens, dieux célestes
parents: Cronos et Rhéa
épouse: Héra
amantes: Aega (enfant: Aegipan), Alcmène (enfant: Héraclès), Antiope (enfants: Amphion, Zéthos), Anaxithée (enfant: Olénos), Aphrodite, Astéria, Astéropé (enfant: Acragas), Calliope (enfants: Corybantes), Callisto (enfant: Arcas), Calycé (enfants: Endymion, Ethlios), Carmé (enfant: Britomartis), Cassiopé (enfant: Atymnios), Danaé (enfant: Persée), Déméter (enfant: Perséphone), Dia (enfant: Pirithoos), Dino (enfant: Orséis, Cyllène (?), les naïades (?), Scamandre?), Dioné , (enfant: Aphrodite), Egine, (enfant: Eaque), Elara (enfant: Tityos), Electre2une des Pléiades( (enfant: Dardanos, Émathion, Iasion, et selon certains, une fille, Harmonie), Eos (enfant: Hersé, Eris (?), Até, Tyché et les Lites, Eunomie, (Héra, Aphrodite ou Eurynomé), Hégémone), Europe (enfant: Minos, Rhadamanthe et Sarpédon1.), Euryméduse (enfant: Myrmidon, roi de Phthie, ancètre du peuple considéré comme de puissants soldats Eurynomé, fille d'Océan Les Charites Gaïa Tityos, Manès Himalia nymphe de Rhodes Cronios, Spartaios, Cytos (Diodore de Sicile, Bibliothèque historique V, 55) Hybris, Thymbris ou Callisto Pan Io séduite par Zeus métamorphosé en nuée Epaphos et Keroessa Iodamé Thébé (selon Tzetzes) Isonoé Danaïde Orchoménos Lamia, reine de Libye Herophile et Achilleus Laodamie, fille de Bellérophon et de Philonoé. Sarpédon2. Léda séduite par Zeus métamorphosé en cygne deux fils : Castor et Pollux et deux filles : Clytemnestre, et Hélène. Léto Apollon, Artémis Lysithoé Océanide Héraclès (Cicéron, De natura deorum, III, 16) un homonyme du héros Maïa, une des Pléiades Hermès Méra fille de Proétos, roi de Tirynthe. Locros qui aida Amphion et Zéthos à construire les remparts de Thèbes. Mnémosyne accueillit Zeus déguisé en berger pendant neuf nuits de suite. Les trois Muses ou les neuf Muses. Niobé3 fille de Phoronée Argos1 et Pélasgos. Olympias , reine historique de Macédoine Alexandre le Grand Othreis nymphe de Malis dans le nord de la Grèce. Mélitéos Pandore , fille de Deucalion et Pyrrha Latinos et Graikos Perséphone, séduite par Zeus métamorphosé en serpent. Zagrée et Mélinoé Phthia jeune fille d'Aegion (Achaïe), séduite par Zeus métamorphosé en pigeon. ? Plouto fille d'Himas Tantale Protogénie fille de Deucalion et Pyrrha Éthlios et Étolos Pyrrha fille de Épiméthée et de Pandore, qui survécut au déluge. Helen (Apd I,7,2) qui passe aussi pour le fils de Deucalion Séléné Hersé et Pandia Sémélé Fille de Cadmos et d'Harmonie Dionysos Sinopé Nymphe d'Argolide qui fut enlevée et amenée en Assyrie. Zeus lui promit de réaliser le souhait qu'elle voulait. "Rester vierge" répondit-elle. Taygète, une des Pléiades Lacédémon, fondateur de Sparte. Thalie (Nymphe) ou Arémosyne (?) Les jumeaux Paliques, divinités chtoniennes de la Sicile. Thémisto Néréide ou fille du dieu-fleuve Inachos Ister (le Danube) Thétis Néréide Zeus préféra abandonner sa cour à Thétis quand il eut connaissance de l'oracle qui prédisait que le fils de Thétis détronerait son père. Thyia fille de Deucalion et Pyrrha Macédon et Magnès Torrhebia, nymphe d'un lac de Lydie Carios
enfants:
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WITCHTOBER
DAY 20 : " Morgane"
"Morgane, the enchantress with two faces".
Morgane is a recurring character of the Arthurian cycle that transcribes in the Middle Ages Celtic legends peddled by Welsh and Armorican storytellers and jugglers. She is nowadays often depicted with long ebony hair, lascivious forms and a dark spirit with treacherous tricks.
However, a very different portrait of her was told by the bishop and historian Geoffroi de Monmouth, first author to mention her in his poem of 1148: "The Life of Merlin". She is described as the Mistress of the paradisiac Apple Island, an enchantress excelling in the art of healing, helping Arthur and the Knights of the Round Table.
Little by little her image is tarnished with Chretien de Troyes who makes her the sister of Arthur. Then in the 13th century, she sees herself adorned with an evil aura that makes her a real opponent to the actors of the quest for the Grail.
Fairy then "witch", incarnation of the divine feminine or rival of Merlin, another female character who suffered a lot ...
To illustrate the article I chose "The Cup of Love" Dante Gabriel Rossetti (1867). In the prose, Morgue brings to the court of the King a magical cup that can reveal the queen's infidelity.
Jour 20 : MORGANE
"Morgane, l'enchanteresse aux deux visages".
Morgane est un personnage récurent du cycle arthurien qui transcrit au Moyen-Âge des légendes celtiques colportées jadis par les conteurs et jongleurs gallois et armoricain. Elle est de nos jours souvent représentée avec des long cheveux d'ébène, des formes lascives et un esprit sombre aux ruses perfides.
Pourtant, un portrait bien different de celui-ci était dressé par l'évêque et historien Geoffroi de Monmouth, premier auteur à la mentionner dans son poème de 1148 : "La Vie de Merlin". Elle y est décrite comme la Maîtresse de la paradisiaque île des Pommiers, enchanteresse excellant dans l'art de guérir aidant Arthur et les chevaliers de la Table ronde.
Progressivement son image se ternit avec Chretien de Troyes qui en fait la soeur d'Arthur. Puis au XIII ème, elle se voit parée d'une aura maléfique qui en fait une véritable opposante aux acteurs de la quête du Graal.
Fée puis "sorcière", incarnation du féminin divin ou rivale de Merlin , encore un personnage féminin qui a beaucoup souffert...
Pour illustrer l'article j'ai choisi "La Coupe d'amour" de Dante Gabriel Rossetti (1867). Dans le Tristan en prose, Morgue porte à la cour du Roi une coupe magique pouvant révéler l'infidélité de la Reine.
Pour un savoir davantage, rendez-vous au Centre de l'Imaginaire Arthurien
#morgane#legends#arthurian legend#dante gabriel rossetti#painting#preraphaelite#witchcraft#witch#witchery#Occult#womenpower#morganelefay#witchtober#avalon
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The Chilling Adventures of Steve Rogers: Yule Bonus (Magical Hydra Horror AU)
Twelve:
As White Christmas came close to the final act, Steve figured that this was as good of a time as any to head back to his room. It was quickly approaching the witching hour, so Steve was sure that with the late hour, no one would care. After all, Loki had already retired to his bedroom before the movie had even started with a comment about one holiday movie is enough for the night. Although Steve had a sneaky suspicion that he really just didn't like being the odd man out. Especially since it seemed as though he was the only one without a guest.
In fact, the only ones left were Steve, Natasha, Thor, and Bruce Ban the Science Man. Hildy and Carol tapped out within the first ten minutes of the movie, but had been more preoccupied with each other than what was playing out on the screen. Of course, they weren't the only ones. But their riveted attention was cuter than Thor's and Bruce's who awkwardly sat as far as they could on either side of the love seat.
Giving the older men another glance, Steve knew that they definitely wouldn't miss him or Natasha. So, Steve redirected his attention to the petite redhead. Only to find that Natasha was very interested in the movie. A small, intimate smile on her face. And was that, a twinkle, in her eyes?
Steve turned to look at the TV screen. White Christmas had been a staple in the Odinsons' holiday celebrations all of Steve's life. But now he wondered what it would be like to be watching it for the first time. With the opening bars of the titular song playing as the cast donned in Santa suits and dresses took their places on stage, it did seem magical. Especially as the child ballerinas joined them in red and white tutus.
The corner of Steve's mouth quirked up. Feeling lucky to have witnessed this layer of Natasha that, Steve was positive, very few had seen before. It made those damn butterflies in his stomach start fluttering again, and Steve hated it.
When the end credits finally started streaming on the screen, Natasha finally turned her attention away from the screen to find Steve looking at her. Her brows furrowed, but the small smile stayed on her face. Steve turned his gaze to the clock, and was thankful that Natasha understood and stood from the sofa without a word.
As Steve stood up, Thor questioned, "You two heading for bed?"
"Yeah," Steve quickly answered.
Perhaps a bit too quick. For a moment, Thor's brows furrowed. Clearly not believing that the teens were in going to sleep. Suspiciously, he watched the pair until Natasha let out a long yawn as she stretched her arms high above her head. The skepticism seeped out of Thor's expression then and he bid the teens a goodnight.
"Should I put the mistletoe away?" Steve smirked, playfully winking at his uncle and his uncle's maybe-date.
Bashfully, Bruce averted his gaze to his lap while Thor’s eyes widened in his embarrassment. Even though Uncle Thor was several centuries old, and even though Dr. Banner was no spring chicken, they seemed younger in that moment. Almost as though they were the teenagers in the room.
Cheeks flaming red, Thor leveled a look at his nephew and firmly said, “Goodnight, Steven.”
Chuckling on his way up the private family staircase, Steve called over his shoulder, “Goodnight.”
"Are you always this much of a little shit?" Natasha teased.
"Pretty much," Steve confirmed, glancing over his shoulder at Natasha.
Rounding the corner at the landing, Natasha stepped a bit closer. Nearly pressing her chest against Steve's back as she quietly questioned, "You got everything, right?"
"Duh," Steve playfully scoffed, opening his bedroom door for Natasha to enter first. Following her into the room, Steve's eyes roamed over her frame.
Hive's sake, Steve, get it together!
Closing the door behind himself, Steve crossed the room to his closet. Retrieving the talking board, he tossed it carelessly onto his bed on his way to his bathroom.
"Alveus, Steve!" Natasha chastised, rushing over to the board. Almost affectionately, Natasha ran her hand over the smooth wood and looked over at Steve with wide eyes, "Have some respect."
Rolling his eyes, Steve gathered the white candles and the salt from his bathroom. As he re-entered his room, he reassured, "I would've done the same with my phone."
"I feel sorry for your phone," Natasha muttered as she chose held the board to her chest.
Looking around, Steve decided that the best place to perform the séance would be in front of his closet. Since that was the place where he had seen the bloody woman in his house. So, he gestured for Natasha to set the board down in between his bed frame and his closet. Even going so far as to open the closet door widely.
"I'm sure your roommates could make at least a dozen different gay jokes right about now," Natasha commented as she sat on the floor.
"Guess it's a good thing that I didn't invite them, huh," Steve quirked a brow and took the seat across from the open closet. Although he found it difficult to even look into the darkness, he still tried to keep his attention on it while Natasha set the board down in front of him.
"Candles," Natasha held her hand out like a doctor would await a scalpel.
Handing her a half dozen of the tall, skinny white candles, Natasha started setting them up around her on her end of the circle. Steve got to work on the other end before closing the circle behind himself. As the pair started lighting their wicks, Natasha asked, "Got a picture ready?"
"No," Steve sheepishly admitted.
Snapping her gaze to Steve, Natasha asked, "What do you mean, 'No'?"
Rather than looking at Natasha and possibly being crushed beneath the pressure of her quirked brow, Steve kept his attention on the candle. Easily dragging out lighting the wicks until all of his candles were lit. Until he couldn't do anything but meet her eyes.
"What?" Steve questioned even though he knew exactly what.
"How are we going to contact the spirit haunting you, if we don't know what they look like?" Natasha sighed in her frustration as she pinched the bridge of her nose. Even though she didn't need to, she reminded, "Spirits are tricky, Steve. They will take any misstep and use it to their advantage."
"I know," Steve snapped. His mind swirled with all the events that happened That Night. How Azazel possessed Teddy and later Bucky. Although his uncles tried to brush it off as a coincidence, Steve was convinced that it was too deliberate and had to have been a ruse. All he needed to do was dig a little deeper and find out why they wanted him to join them so --
Snapping her fingers in front of Steve's face, Steve shook his head to clear his mind and repeated, "I know."
Sitting on her feet, Natasha confirmed, "You know that this makes it easier for a malicious spirit to make contact with us."
"The Yule log is burning downstairs," Steve reminded. Looking towards the closet, Steve tried to remember the woman. Her wispy blonde hair that was pulled back and matted to her clammy face. Her thin frame that hunched over as she grasped onto her protruding abdomen as though she was still having labor pains. It was all so clear in Steve's mind and he arrogantly stated, "We'll get her."
Sighing, Natasha gave him a pointed look and said, "We better."
"We will," Steve firmly assured.
"Then," Natasha placed her fingers on the planchette, "Let's do this."
Taking in a deep breath, Steve placed his fingers on the planchette as well. Although Steve had only seen a séance from afar from the times that Hildy used it in his childhood, it was practically ingrained in his mind of what to do. From horror movies to scary campfire tales to his family using them to communicate with others to his dreams where he would sneak one of the boards in order to talk to his parents. It was always there. Even if he wasn't able to get into the class at the academy due to him not doing his core classes until now.
So, Natasha took the reins. Giving Steve a pointed look before closing her eyes, letting Steve know that he should do so as well. When he did, Natasha calmly stated, "Tonight we gather to seek guidance from the spirit world. If the spirits lingering in this house are near, please make your presence known."
Wispy blonde hair pulled back at the nape of her neck. Drenched strands matted to her clammy face. Fragile frame in pain. Never holding the baby that she carried in her womb.
Steve kept concentrating on all the little things that he could remember. Over and over, it repeated in his head. Going all the way back to the silent yell of agony that she let out at Stark Orchards.
Then, a breeze blew into the room. The hair on the back of Steve's neck stood up while goosebumps prickled along his skin. Someone was there with them. Natasha must have felt it too because she questioned, "Are you the soul who has been watching over Steve?"
Quickly, the piece of wood tugged across the board to the yes in the upper left hand corner. A smirk tugging at Steve's lips, he opened his eyes. Looking across from him to the closet, stood the spirit. Steve felt sorry for her. The way she looked so fatigued and pained as she grasped at her baby bump sans baby. How the dried blood on her inner thighs still looked fresh and how the dark circles under her eyes were so dark that they might as well have been tattooed.
Quietly, Natasha prompted, "Now's the time to ask your questions."
Out of everything that Steve wanted to know, he asked, "What's your name?"
Beneath his and Natasha's fingertips, the planchette easily glided along the board. Pausing at certain spots along the way. Most of it staying on the left side of the board as it spelled out:
S-A-R-A-H
#chilling adventures of steve rogers#yule bonus#stucky#steve rogers#bucky barnes#steve rogers x bucky barnes#marvel#fanfic#wattpad#ao3#modern au#horror au#yule au#hydra#hail hydra#cut off one head#magic#mortal boyfriend probs#angst#spirits
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Le P.C. et le B.P.
Le printemps venu, de nouveaux loisirs devinrent à la mode, et les journées plus longues offrirent de longs après-midi pour le travail, ou pour des jeux de toutes sortes. Le jardin devait être remis en ordre, et chaque sœur avait à sa disposition un quart de la petite parcelle pour y faire ce qui lui chantait. Hannah avait coutume de dire, « Je saurais à qui est chaque jardin, même si je les voyais en Chine » ; ce qui aurait bien été possible, car les goûts des filles étaient aussi différents que l'étaient leurs caractères. Meg avait dans sa parcelle des roses, de l'héliotrope, du myrte et un petit oranger. Le lopin de Jo n'était jamais le même d'une année sur l'autre, car elle était toujours en train de faire des expériences ; cette année ce serait une plantation de tournesols, plante gaie et ambitieuse dont les graines nourriraient « Tante Cot-Cot » et sa famille. Beth avait dans son jardin des fleurs odorantes et désuètes ; pois de senteur et réséda, pieds d'alouette, œillets, pensées, et de la citronnelle, ainsi que du mouron pour son oiseau et de l'herbe à chats pour les minets. Amy avait un pandoréa jasmin - plutôt petit et truffé de perce-oreilles, mais très joli à regarder - ainsi que du chèvrefeuille et des belles-de-jour qui laissaient pendre leurs cornes et leurs corolles colorées en arabesques gracieuses ; de grands lys blancs, des fougères délicates, et le plus grand nombre possible de fleurs éclatantes et pittoresques qui consentaient à éclore dans son jardin.
Jardinage, promenades, canotage sur la rivière, et cueillette de fleurs occupaient les belles journées ; et pour les jours pluvieux, elles avaient des jeux à la maison -certains anciens, d'autres nouveaux - tous plus ou moins originaux. L'un de ces jeux était le « P.C. », car, les sociétés secrètes étant à la mode, il était considéré de bon ton d'en avoir une ; et, comme toutes les filles admiraient Dickens, elle se nommèrent le Pickwick Club. En dépit de quelques interruptions, elles y jouaient depuis maintenant un an, et se réunissaient chaque samedi dans le grand grenier. En ces occasions, les cérémonies se déroulaient ainsi : Trois chaises étaient arrangées en rang devant une table, sur laquelle se trouvait une lampe, ainsi que quatre bandeaux blancs sur lesquels se lisait, en quatre couleurs différentes, « P.C. », et le journal hebdomadaire, le « Pickwick Portfolio», auquel toutes contribuaient à leur façon. Jo, qui adorait les plumes et l'encre, en était l'éditeur. À sept heures du soir, les quatre membres montaient dans la salle du club, nouaient leur bandeau autour de leur tête, et prenaient place solennellement. Meg, en tant qu'aînée, était Samuel Picwick ; Jo, vu ses tendances littéraires, Augustus Snodgrass ; Beth, pour sa rondeur et ses joues roses, était Tracy Tupman ; et Amy, qui essayait toujours de faire ce qu'elle ne pouvait pas faire, était Nathaniel Winkle. Pickwick, le Président, lisait le journal, qui était plein d'histoires originales, de poèmes, de nouvelles locales, réclames amusantes, et de suggestions, dans lesquelles elles se rappelaient les unes les autres leurs défauts avec bonne humeur. En une occasion, Mr. Pickwick mit une paire de lunettes sans verre, tambourina sur la table, s'éclaircit la gorge, et, après avoir jeté un regard noir à Mr. Snodgrass, qui se balançait sur sa chaise, jusqu'à ce qu'il s'asseye proprement, commença à lire -
"The Pickwick Portfolio"
10 MAI 18-
Le Coin des Poètes
ODE ANNIVERSAIRE
Nous nous retrouvons avec solennité
et nos bandeaux, pour célébrer
Notre cinquante-deuxième anniversaire,
Ce soir à Pickwick Hall.
Nous sommes tous en parfaite santé,
La petite bande est au complet ;
Nous retrouvons chaque visage familier,
Et serrons chaque main avec amitié.
Nous le saluons avec révérence,
Fidèle au poste, notre Pickwick,
Tandis qu'il lit, lunettes sur le nez,
Notre gazette bien remplie.
Bien qu'il soit enrhumé,
Nous nous réjouissons de l'entendre,
Car toujours ses paroles sont sages
En dépit de son ton nasillard.
Du haut de son mètre quatre-vingt,
Avec une grâce peu banale,
Snodgrass éclaire la compagnie
De son visage brun et jovial.
Le feu poétique brille dans son œil
Il lutte contre sa destinée ;
L'ambition se lit son front,
Et il a une tache sur le nez !
Puis vient notre paisible Tupman,
Si rose, et rond et tendre,
Qui s'étouffe de rire aux bons mots,
Et en tombe de son siège.
Le petit Winkle est là aussi,
Guindé, chaque cheveu en place,
Un modèle de convenance,
Bien qu'il ne se lave pas la face.
L'année passée, nous nous réunissons encore
Pour plaisanter et rire et lire,
Et suivre la voie littéraire
Qui conduit à la gloire.
Longue et belle vie à notre journal,
Que notre club reste uni,
Et que l'avenir soit propice
À l'utile, au joyeux "P.C."
A. SNODGRASS
LE MARIAGE MASQUÉ
Un Conte Vénitien
Gondoles après gondoles glissaient jusqu'au perron de marbre, et laissaient leurs charges ravissantes gonfler la foule brillante qui emplissait les halls majestueux du Comte d'Adelon. Chevaliers et gentes dames, elfes et pages, moines et marchandes de fleurs, tous se mêlaient gaiement à la danse. De douces voix et de riches mélodies emplissaient l'air, ainsi en joie et en musique se déroulait la mascarade.
« Votre Altesse a-t-elle vu Lady Viola ce soir ? » demanda un galant troubadour à la reine des fées à son bras.
« Oui, n'est-elle pas charmante, mais si triste ! Et sa robe est bien choisie, car dans une semaine elle épouse le Comte Antonio, qu'elle déteste.
— Ma foi je l'envie. Le voici venir, en atours de marié, si ce n'est pour son masque noir. Quand il l'enlèvera nous pourrons voir comment il regarde la jeune fille dont il ne peut gagner le cœur, bien que son père lui ait accordé sa main, répondit le troubadour.
— L'on chuchote qu'elle aime le jeune artiste anglais qui hante son parvis, et que le vieux comte a éconduit, » dit la dame tandis qu'ils se joignaient à la danse.
Les réjouissances étaient à leur comble quand un prêtre apparut, et, attirant le jeune couple dans une alcôve tendue de velours pourpre, leur fit signe de s'agenouiller. Le silence tomba instantanément sur la joyeuse assemblée, et pas un son, hormis le gazouillis des fontaines ou le bruissement des orangers endormis dans le clair de lune, ne se fit entendre, lorsque parla le Comte d'Adelon :
« Mes seigneurs et gentes dames ; pardonnez la ruse par laquelle je vous ai réunis pour assister au mariage de ma fille. Mon père, veuillez officier. »
Tous les yeux se tournèrent vers la noce, et un murmure d'étonnement parcourut la foule, car ni la mariée ni le marié ne retirèrent leurs masques. Curiosité et interrogations emplissaient les cœurs, mais le respect lia toutes les langues jusqu'à la fin du rite sacré. Alors les spectateurs s'empressèrent autour du comte, demandant une explication.
« Je vous la procurerais volontiers si je le pouvais, mais je sais seulement que c'était le caprice de ma timide Viola, et je m'y suis plié. Maintenant, mes enfants, assez de cette mascarade. Démasquez-vous, et recevez ma bénédiction. »
Mais aucun des deux ne plia le genou ; car le jeune marié, alors que le masque tombait, révélant le noble visage de Ferdinand Devereux, l'artiste amoureux, et que s'appuyait sur sa poitrine, ornée maintenant de l'étoile d'un duc anglais, la charmante Viola, rayonnante de joie et de beauté, répondit sur un ton qui surprit toute l'audience :
« Mon Seigneur, avec mépris vous m'avez commandé de prétendre à votre fille quand je pourrais me targuer propriétaire d'un titre égal et d'une fortune aussi vaste que le Comte Antonio. Je peux faire mieux, car même votre âme ambitieuse ne peut refuser le Duc de Devereux et De Vere, quand il offre son ancien nom et sa richesse sans limite contre la main bien-aimée de cette gente dame, à présent ma femme. »
Le comte resta stupéfait, comme changé en pierre, et, se tournant vers la foule en délire, Ferdinand ajouta avec un gai sourire de triomphe, « À vous, mes galants amis, je ne peux que souhaiter que vos amours prospèrent aussi bien que les miens, et que vous trouviez femme aussi belle que celle que j'ai gagnée, par ce mariage masqué. »
S. PICKWICK
En quoi le P.C. est-il comme la Tour de Babel ? Il est plein de membres indisciplinés.
L'HISTOIRE D'UNE COURGE
Il était une fois un fermier qui planta une petite graine dans son jardin, et après un moment elle germa et devint une plante, porteuse de nombreuses courges. Un jour d'octobre, quand elles furent mûres, il en choisit une et la porta au marché. Un épicier l'acheta et la mit dans son magasin. Le même jour, une petite fille, avec un chapeau brun et une robe bleue, avec un visage rond et un nez retroussé, vint et l'acheta pour sa mère. Elle la porta jusqu'à la maison, la coupa, et la fit bouillir dans le grand pot ; en écrasa une partie, avec du sel et du beurre, pour dîner ; et au reste elle ajouta une pinte de lait, deux œufs, quatre cuillerées de sucre, de la muscade et quelques biscuits ; versa le tout dans un grand plat, et le fit cuire jusqu'à ce qu'il soit bien doré ; et le jour suivant ce plat fut mangé par la famille March.
T. TUPMAN
Mr. Pickwick, Sir,
Je m'adresse à vous au sujet du péché et du pécheur je veux dire il y a un homme nommé Winkle qui cause des problèmes dans son club en riant et parfois n'écrit pas sa part pour ce bon journal j'espère que vous lui pardonnerez sa mauvaise conduite et le laisserez envoyer une fable en français parce qu'il ne peut pas figurer quoi écrire parce qu'il a tant de leçons à apprendre et pas d'esprit à l'avenir j'essaierai de sauter sur location et de préparer un travail qui sera tout commy la fo* - ça veut dire très bien - je suis pressé il est bientôt l'heure de l'école
Respectablement vôtre, N. Winkle
[Ci-dessus une belle et virile reconnaissance d'incartades passées. Si notre jeune ami étudiait la ponctuation, ce serait très bien.]
UN TRISTE ACCIDENT
Vendredi dernier, nous fûmes alertés par un choc violent dans notre cave, suivi de cris de détresse. En nous précipitant comme un seul homme dans le cellier, nous découvrîmes notre Président prostré sur le sol, ayant glissé et étant tombé en allant chercher du bois à des fins domestiques. Une parfaite scène de désolation s'offrit à nos yeux ; car dans sa chute Mr. Pickwick avait plongé la tête et les épaules dans un baquet d'eau, renversé un bidon de savon liquide sur ses formes masculines, et vilainement déchiré ses vêtements. Une fois secouru de cette périlleuse situation, il apparut qu'il ne souffrait d'aucune blessure à l'exception de plusieurs bleus ; et, nous sommes heureux d'ajouter qu'il se porte maintenant bien.
ED
AVIS DE DISPARITION
Il est de notre pénible devoir de reporter la soudaine et mystérieuse disparition de notre chère amie, Mrs. Boule-de-Neige Pattounette. Cette chatte charmante et aimée était la chérie d'un cercle d'amis chaleureux et admirateurs ; car sa beauté attirait tous les yeux, ses qualités et ses vertus la rendaient chère à tous les cœurs, et sa perte affecte profondément la communauté toute entière.
Elle a été vue pour la dernière fois assise devant la porte, en train de surveiller le chariot du boucher ; et il est à craindre que quelque vilain, tenté par ses charmes, l'ait bassement volée. Les semaines ont passé, mais nulle trace d'elle n'a été découverte ; et nous abandonnons tout espoir, nouons un ruban noir à son panier, rangeons son assiette, et la pleurons comme perdue à jamais.
Un ami compatissant nous envoie la gemme suivante :
LAMENTATION
POUR B.N. PATTOUNETTE
Nous pleurons la perte de notre petite chérie,
Et déplorons son triste destin,
Car plus jamais elle ne se tiendra près du feu
Ni ne jouera près de la porte verte.
La petite tombe où dort son enfant
Est près du châtaignier,
Mais sur sa tombe nous ne pouvons pleurer,
Nous ne savons pas où elle est
Son lit vide, sa balle immobile,
Plus jamais ne la reverront ;
Ni bruit de pattes, ni doux ronron,
Ne se font entendre à l'entrée du parloir
Une autre chatte chasse ses souris,
Son vilain museau d'un noir de suie,
Mais elle ne chasse pas comme notre chérie
Ni ne joue avec sa grâce aérienne.
Ses pattes discrètes parcourent le même hall
Où Boule-de-Neige souvent jouait,
Mais elle ne fait que cracher sur les chiens
Que notre chérie si vaillamment chassait
Elle est utile et docile, et fait de son mieux,
Mais n'est pas belle à voir ;
Et nous ne pouvons lui donner ta place, amour,
Ou l'adorer comme nous t'adorons.
A.S.
ANNONCES
MISS ORANTHY BLUGGAGE, l'oratrice accomplie à l'esprit fort, donnera sa fameuse conférence sur « LA FEMME ET SA POSITION, » à Pickwick Hall, samedi soir, après la séance habituelle.
UNE RÉUNION HEBDOMADAIRE se tiendra Place de la Cuisine, pour apprendre aux jeunes dames à cuisiner. Hannah Brown présidera, et tous sont conviés à y assister.
LA SOCIÉTÉ DE LA PELLE À POUSSIÈRE se réunira mercredi prochain, et paradera à l'étage du Club-House. Tous les membres doivent se présenter en uniforme et le balai sur l'épaule à neuf heures précises.
MRS. BETH BOUNCER présentera son nouvel assortiment de Chapellerie pour Poupées la semaine prochaine. Les dernières modes de Paris sont arrivées, et des commandes sont respectueusement sollicitées.
UNE NOUVELLE PIÈCE se jouera au Théâtre de la Grange, pour quelques semaines, qui surpassera tout ce qui a jamais été vu sur la scène américaine. « L'ESCLAVE GREC, ou Constantine le vengeur, » est le nom de ce drame passionnant !!!
SUGGESTIONS.
Si S.P. n'utilisait pas tant de savon pour se laver les mains, il ne serait pas toujours en retard pour le petit-déjeuner. Il est demandé à A.S. de ne pas siffler dans la rue. T.T. s'il vous plaît n'oubliez pas la serviette d'Amy. N.W. ne doit pas se tracasser parce que sa robe n'a pas neuf plis.
RAPPORT HEBDOMADAIRE
Meg - Bien
Jo - Mauvais
Beth - Très bien
Amy - Moyen
Quand le Président eut fini de lire le journal (qui est, je vous prie de me croire, une copie authentique d'un journal écrit par d'authentiques jeunes filles il y a bien longtemps), des applaudissements retentirent, et puis Mr. Snodgrass se leva pour faire une proposition.
« Monsieur le Président et gentlemen, » commença-t-il en adoptant une attitude et un ton parlementaire, « je souhaite proposer l'admission d'un nouveau membre ; quelqu'un de hautement méritant de cet honneur, qui en serait profondément reconnaissant, et ajouterait énormément à l'esprit du club, à la valeur littéraire de son journal, et serait infiniment gai et gentil. Je propose Mr. Theodore Laurence comme membre honoraire du P.C. Allez, prenons-le. »
Le changement de ton soudain de Jo fit rire les filles, mais elles avaient toutes l'air plutôt anxieuses, et aucune ne dit mot, tandis que Snodgrass se rasseyait.
« Nous allons mettre ce projet aux voix, dit le Président. Tous ceux en faveur de la motion sont priés de se manifester en disant "Oui." »
Un oui retentissant de Snodgrass, suivi, à la surprise de tout le monde, par un timide oui de Beth.
« Ceux qui s'y opposent disent "Non." »
Meg et Amy s'y opposaient ; et Mr. Winkle se leva pour dire, avec une grande élégance, « Nous ne souhaitons pas de garçons ; ils ne font que plaisanter et chahuter. C'est un club de dames, et nous voulons rester entre nous, et être convenables.
— J'ai peur qu'il ne rie de notre journal, et se moque de nous après, » observa Pickwick, en tiraillant la petite boucle qui tombait sur son front, comme elle le faisait toujours quand elle se trouvait dans le doute.
Snodgrass bondit sur ses pieds, avec beaucoup de sérieux. « Sir ! Je vous donne ma parole de gentleman que Laurie ne fera rien de la sorte. Il aime écrire, et il donnera un ton à nos contributions, et nous empêchera de faire dans le sentimental, ne voyez-vous pas ? Nous pouvons faire si peu pour lui, je pense que le moins que nous puissions faire est de lui offrir une place ici, et bien l'accueillir, s'il vient. »
Cette ingénieuse allusion aux avantages conférés fit se lever Tupman, l'air bien décidé.
« Oui, nous devons le faire, même si nous avons peur. Je dis qu'il peut venir, et son grand-père aussi, s'il le veut. »
Cette tirade fougueuse de Beth électrifia le club, et Jo quitta son siège pour lui serrer la main avec approbation. « Maintenant, votons à nouveau. Souvenez-vous qu'il s'agit de notre Laurie, et dites "Oui" !
— Oui ! Oui ! Oui ! répondirent trois voix en même temps.
— Bien ! Soyez bénies ! Maintenant, comme il n'y a rien tel que "saisir location" ainsi que le fait remarquer Winkle, permettez-moi de vous présenter le nouveau membre, » et, au désarroi du reste du club, Jo ouvrit en grand la porte du placard, et découvrit Laurie assis sur un sac de chiffons, les joues rouges et les yeux brillants d'un rire réprimé.
« Canaille ! Traître ! Jo, comment as-tu pu ? » s'écrièrent les trois filles, tandis que Snodgrass faisait triomphalement avancer son ami, et, faisant apparaître une chaise et un bandeau, l'installait en un tour de main.
« Vous ne manquez pas de toupet, vous deux, » commença Meg en essayant d'afficher une moue réprobatrice, et ne réussissant qu'à produire un aimable sourire. Mais le nouveau membre se montra à la hauteur de la situation ; et, se levant avec un salut reconnaissant envers la Présidence, dit de la manière la plus engageante, « Monsieur le Président et mesdames - je vous demande pardon, gentlemen - permettez-moi de me présenter en tant que Sam Weller, le très humble serviteur du club.
— Bien, bien ! » s'écria Jo en martelant le plancher avec le manche de la vieille bassinoire, sur laquelle elle s'appuyait.
« Mon fidèle ami et noble parrain, » poursuivit Laurie, avec un geste de la main, « qui m'a présenté de manière si flatteuse, n'est pas à blâmer pour le stratagème de ce soir. Je l'ai planifié, et elle n'a accepté qu'après bien des taquineries.
— Allez, ne prends pas tout sur toi ; tu sais que j'ai proposé le placard, » intervint Snodgrass, qui s'amusait immensément de la plaisanterie.
« N'écoutez pas ce qu'elle dit. Je suis le seul coupable, sir, » dit le nouveau membre avec un hochement de tête Welleresque à l'intention de Pickwick. « Mais sur mon honneur, je ne le referai jamais, et me déwoue dorénavant aux intérêts de ce club immortel.
— Bien parlé ! Bien parlé ! » s'écria Jon en faisant claquer le couvercle de la bassinoire comme une cymbale.
« Poursuivez, poursuivez ! » ajoutèrent Winkle et Tupman, tandis que le Président saluait avec bienveillance.
« Je souhaite seulement dire, qu'en gage de ma gratitude pour l'honneur qui m'est fait, et afin de promouvoir les relations amicales entre nations voisines, j'ai installé un bureau de poste dans la haie au fond du jardin ; un bel et grand édifice, aux portes cadenassées, et tout ce qu'il faut pour le courrier. C'est le vieux nichoir des hirondelles, mais j'ai bloqué la porte, et fait en sorte que le toit s'ouvre, pour qu'elle puisse contenir toutes sortes de choses et nous faire gagner un temps précieux. Lettres, manuscrits, livres et paquets peuvent y loger ; et, comme chaque nation a sa clef, ce sera extraordinairement agréable, je gage. Permettez-moi de vous présenter la clef du club ; et, avec bien des remerciements pour votre faveur, de prendre mon siège. »
Un tonnerre d'applaudissements retentit quand Mr. Weller déposa la petite clef sur la table, et se prolongea ; la bassinoire fit un tapage de tous les diables, et il s'écoula quelque temps avant que le calme ne revienne. Une longue discussion suivit, et toutes furent étonnamment ouvertes, car toutes firent de leur mieux ; aussi ce fut une réunion exceptionnellement agitée, qui ne se termina qu'à une heure tardive, sur trois hourras pour le nouveau membre.
Personne ne regretta jamais l'admission de Sam Weller, car aucun club n'aurait pu avoir de membre plus dévoué, mieux élevé et plus jovial. Il ajouta en effet de « l'esprit » aux réunions, et un « ton » au journal, car ses discours tordaient de rire son audience et ses contributions étaient excellentes, patriotiques, classiques, comiques, ou dramatiques, mais jamais sentimentales. Jo les estimait dignes de Bacon, Milton ou Shakespeare, et retravailla ses propres œuvres, avec de bons résultats, pensait-elle.
Le B.P. était une petite institution épatante, et prospéra merveilleusement, car il y passa presque autant de choses étranges que dans un vrai bureau de poste. Tragédies et écharpes, poésies et légumes marinés, graines et longues lettres, partitions et pain d'épices, gommes, invitations, remontrances et chiots. Le vieux gentleman s'en amusait lui-même en envoyant d'étranges paquets, de mystérieux messages et d'amusants télégrammes ; et son jardinier, qui était tombé sous le charme d'Hannah, envoya une lettre d'amour aux bons soins de Jo. Comme elles rirent quand le secret fut éventé, sans imaginer le nombre de lettres d'amour que ce petit bureau de poste abriterait dans les années à venir !
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