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ieatmovies · 6 years
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REIGN OF THE SUPERMEN (2019) L’instoppable Sam Liu ne perd pas de temps pour donner une suite directe au bon mais frustrant THE DEATH OF SUPERMAN (2018), qu’il avait coréalisé avec Jake Castorena: qu’advient-il donc de la Terre, dépourvue du mythique kryptonien, et surtout de Loïs Lane, après la mort brutale de Kal-El? REIGN OF THE SUPERMEN porte bien son nom, avec cette émergence de super-hommes clamant haut et fort “être l’original”, tandis que le cadavre du véritable Superman a mystérieusement disparu: l’approche du long-métrage se veut au départ intimiste, avec la situation de Loïs, seule au monde, qui doute et tente de percer à jour l’identité des super-prétendants; loin d’un grand spectacle -du moins pour le début-, REIGN OF THE SUPERMEN creuse la psycho de ses héros déchus. Quant à la Justice League, elle sera forcément absente du chaos à cause d’un foutu portail interdimensionnel leur tombant en plein sur la tronche: Lex Luthor sera aussi un protagoniste important de l’histoire, le génie chauve étant à la fois machiavélique -la création hybride de Superboy- et presque touchant, se joignant à la célèbre journaliste du Daily Planet  dans sa quête de vérité. Mais passons, car si la narration est plus qu’appréciable, REIGN OF THE SUPERMEN n’accumule qu’un seul défaut: c’est QUOI ces plans fixes horriblement zoomés au point d’en être dégueulasses? Ok, c’est très rare, alors parlons scénar’: nous entrons dans un arc où le récit fait place à une période bénie des fans de Superman, à savoir sa résurrection et son look de retour, badass, barbe de trois jours, costume noir, cheveux jusqu’aux épaules; on ne peut s’empêcher de penser au mort-né SUPERMAN LIVES! (????) de Burton certes, mais là, DC mets des plats titanesques dans les assiettes à dessert, nous gavant de baston fantasmée. Bourrin ou stylé, choisis ton combattant, spectateur. Cyborg-Superman, Superboy, Eradicator ou Steel sont autant d’interprétations -n'est-ce pas là l'essence même d'un comic-book ?- littérales du légendaire Kal-El, violentes, innocentes, maudites ou artificielles: Liu creuse encore plus les personnages, tandis que se tisse la toile d’un grand super-vilain de la firme dont on taira le nom -mais qui s’est annoncé va l’Arrowverse à la télé-, épique et sombre. Animation fluide, dynamisme surboosté, REIGN OF THE SUPERMEN nécessitera au moins le visionnage de THE DEATH OF SUPERMAN pour pleinement s’apprécier, bien que le film se démarque à lui seul tel un THE FLASHPOINT PARADOX (2013), OU PRESQUE, OK, de Jay Oliva. Niveau générosité et grandeur, Liu s’éclate et éclate le mythe du kryptonien-dieu, faisant de lui un Christ super-héroïque rédempteur incroyable de par son évolution personnelle: DC commence l’année 2019 en très grande forme, malgré qu’il faille effacer quelques grossiers crayonnés disgracieux -mais rarement-: excepté ce détail, REIGN OF THE SUPERMEN comblera ceux qui aiment Superman, et l’animation made in Warner Bros. Avec Jerry O’Connell -le Superman de LOÏS AND CLARK (1993-1997) en V.O. pour la voix de Clark Kent, rien que ça mon pote. Ça poutre, et c’est très bien ainsi! SUPERMAN LIVES AGAIN /20
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teasertrailer · 6 years
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Reign of the Supermen - meet Steel: https://teaser-trailer.com/movie/reign-of-the-supermen/
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