#regardez SA BOUILLE
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La chienne de mes parents.......... un ange tombé du ciel........
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Si je refait une " Nouvelle partie + " autant en profiter pour screen Joshua enfant lorsqu'il se bat. (+) Selon moi les deux dernières sont moins stylées que les quatre premières mais, je me devais de les partager malgré tout. Juste, regardez sa bouille d'ange. :sob: ↓
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NSBC • Chapitre 11
Gabriel grandit, et devient un bambin plein de vie. Trop plein de vie pour mes vêtements secs…
Cela dit, c’est quand même plus agréable que s’il faisait des caprices tout le temps !
Il est tellement adorable, que… eh bien… Peut-être qu’on oublie d��être vigilant, en ce moment.
On n’en a pas vraiment parlé, ça s’est fait comme ça. J’ai rapidement retrouvé mes copines les nausées le matin avant d’aller bosser…
Et travailler dans ces conditions c’est pas l’idéal non plus, mais bon… quand ‘faut y aller… !
Je sais pas si ce sont les hormones de grossesse, mais j’étais d’humeur particulièrement joueuse ce matin-là, malgré mes vomissements au saut du lit. Et j’ai enfin pu tester la fonction glaciale de mon Pistolet à Électroparticules… sur une jeune âme perdue qui s’était infiltrée dans notre laboratoire…
Apparemment, j’ai bien fait puisque Thierry est venu me féliciter. Cette personne était en fait un extra-terrestre infiltré, avec de mauvaises intentions… C’est pas très gentil, tout ça ! Nous, on veut juste vous rencontrer, pas vous faire du mal ! Roh !
J’ai continué ma journée de travail normalement après ma BA. Thierry m’a vite fait dis que si je continuais comme ça, la prochaine promotion était à porter de main… la classe !
Et sans surprise, en prenant ma douche quelques temps plus tard, j’ai eu le plaisir de voir mon ventre légèrement arrondi. Bon, avec des nausées en prime, bien sûr…
Edward est ravi, à nouveau. C’est tellement un papa poule avec Gabriel que je ne me fais aucun souci, il arrivera à en gérer un deuxième sans problème.
Mais maintenant, la question d’agrandir la maison ou de déménager se pose plus que jamais… et j’ai préféré opter pour un agrandissement ! Edward m’a soutenu dans mon choix, et j’ai ainsi pu appeler les ouvriers nécessaires pour qu’ils effectuent des travaux. Nous avons construit un étage, qui pour l’instant, est bien vide…
Il y a également l’emplacement pour une deuxième salle de bain, histoire qu’on ne se marche pas dessus. Et j’ai profité de la présence des ouvriers pour leur demander s’il était possible de me construire un petit sous-sol professionnel… et après avoir fait les bonnes mesures, ils m’ont annoncé que oui, c’était tout à fait possible. Et donc voilà le début de mon petit nid de scientifique !
Il faudra que je récupère d’autres machines au travail pour compléter l’ensemble…
Gabriel continuera de dormir dans notre chambre le temps qu’il soit assez grand pour pouvoir monter les marches de l’escalier tout seul. Mais ça ne l’empêche pas d’investir également le salon…
Et mine de rien, c’est pas facile de s’occuper du petit monstre quand on a l’estomac à l’envers. Si le deuxième n’est pas aussi calme, je ne sais pas si je voudrais en faire un autre… !
Mais en attendant, on a seulement un amour de petit bébé… Regardez-moi cette bouille !
Bon, il sait clairement s’en servir pour obtenir des friandises… mais tant que c’est que pour ça, ça me va. Il grandit beaucoup trop vite, ça me fait presque peur ! Même si je suis rassurée quand je le vois enlacer sa peluche préférée comme n’importe quel bambin.
De mon côté, j’entame rapidement mon huitième mois de grossesse. C’est pour bientôt… J’espère que ça sera une petite fille ! J’ai préféré dire au médecin de ne rien me révéler lors de mes visites de contrôle. Ça sera comme pour Gabriel… une surprise !
Au travail, Victoria me gronde presque régulièrement pour que je prenne des jours afin de préparer l’accouchement, mais elle se heurte à mes refus catégoriques. Et pour lui prouver que le bébé est en parfaite santé malgré mes heures de travail, je lui propose de toucher mon ventre quand je le sens bouger.
Elle se montre moins hésitante que la première fois, et je sens que ça la rassure. Même si, pour tout vous avouer, j’ai toujours autant de mal à lire ses expressions… ! Et chose promise, chose due, Thierry m’augmente au même grade qu’elle… « Elle a bien besoin d’un coup de main pour gérer les papiers du laboratoire, hahaha ! » Vieux fou… Mais j’ai quand même eu le droit à un nouvel uniforme, dont Victoria n’a jamais voulu, je ne sais pas pourquoi… !
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⏳ Anté-Kaamelott (5)
Eh, vous savez quoi...? Quand j’ai publié les Anté-Kaamelott lors du premier confinement...j’ai oublié le numéro 5, j’ai sauté direct au 6e. Du coup ça, ça traîne dans mes brouillons depuis des mois alors que j’étais persuadée de l’avoir publié. Il n’est jamais trop tard !
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Bon, si vous vous baladez fréquemment sur You Tube, vous ne serez pas surpri·se·s pour celui-là...
Vers 1973, âgé d’environ 9 ans
1984, âgé de 20 ans
2001, âgé de 37 ans
2005, âgé de 41 ans
2009, âgé de 45 ans
2019, âgé de 55 ans
Franck PITIOT - Perceval de Galles
(16 octobre 1963)
Bon, pour celles et ceux qui l’ignorent, ces images de jeunesse sont tirées de l’épisode 2 de l’émission de cuisine de Brice Fournier (Kadoc) : Des Quiches et des Hommes.
On peut y voir une photo de Franck Pitiot petiot avec son grand père et une (trop) courte vidéo d’archive de sa jeunesse de musicien !
J’avais déjà cherché des images sans succès au début du mois d’avril, c’était donc un bonheur de les trouver là où je ne les attendais pas !
Ben ouais, ça un peu été mon passe-temps pendant quelques temps. 🤷♀️
Y en a qui picolent, d'autres qui se battent à l'épée, moi je fais ça. Au moins je fais de mal à personne.
BONUS DOSSIER : dans l’épisode de Des Quiches et des Hommes, Franck Pitiot parle de son premier rôle : une “carotte hystérique” à côté d’un poireau dans un frigo... Et il la rejoue avec Brice Fournier ! (épique) Eh bien j’ai trouvé un court-métrage absurde de 1990 dans lequel il interprète une asperge au milieu de sa botte : Les Fictions Diététiques. C’est...une expérience. 😳 La musique de ce film est de Miroslav Pilon, le studio d'enregistrement dont il est cofondateur et manager. Je pense que c’était également le nom de leur groupe de musique à l’époque, mais j’ai un doute... Allez voir ça, en tout cas.
#kaamelott#anté-kaamelott#franck pitiot#perceval#perceval de galles#photos de jeunesse#absurde#mais regardez moi sa dégaine à 20 ans !#et sa bouille vers 10 ans !#la noirceur de ses cheveux dans sa jeunesse...teinture ou non ça colle capillairement avec le jeune Perceval du livre VI#l'est tout fin - c'est mignon#et cette tête dans ''Soyons sport !''...#(en 2001)#c'est quoi ça monsieur ? Une gueule d'enseignant ? De comptable ?#coiffé comme ça il fait hyper sage !#limite c'est flippant#hâte de retrouver notre Percichou... ❤︎#le seul - l'unique - l'inévitable#la seule personne digne d'énoncer LA réplique du teaser#''la patience est un plat qui se mange sans sauce''#bon sang - je sais pas pour la sauce mais on en aura BOUFFÉ de la patience en 2020#c'était pénible - c'est rien de le dire#quelques bons moments toutefois#allez - courage !#on finira bien par l'avoir ce film...#d'abord à l'écran puis sur nos étagères#can't wait#kaamelott premier volet#hâte
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Cette femme je l’épouse regardez moi sa bouille
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🇫🇷~ Quand ils ont annoncé ANE, j’ai détesté le nouveau design de Leiftan. Genre vraiment. Autant sur les illustrations ça passe, mais son sprite j’y arrive pas. À mes yeux, il a perdu tout son charme et il est beaucoup moins charismatique qu’avant. Sa tête, sa coupe, sa pose, sa tenue... ça passe pas 😂 Comme c’est mon CDC depuis TO, je me disais qu’avec le temps je m’habituerais mais honnêtement j’ai toujours du mal. Ce qui me choque le plus c’est son visage, il a l’air plus vieux et plus maigre... Je ne sais pas, un truc ne colle pas. Et puis j’ai eu un déclic, en jouant j’ai remarqué qu’en fait ce sont ses mèches de cheveux qui me faisaient cet effet d’optique là. J’ai donc essayé de les effacer et... RÉVÉLATION !! 😂😭 Je craque totalement il est tellement plus mignon avec le visage dégagé, on dirait absolument pas le même. J’ai l’impression de redécouvrir mon CDC, j’adore ! Regardez moi cette bouille 😍🥺
🇬🇧~ When they announced ANE, I hated Leiftan's new design. Like really. In the illustrations it works, but his sprite I can't. For me, he has lost all his charm and he is much less charismatic than before. His face, his haircut, his pose, his outfit ... it doesn't work 😂 As it's my LI since TO, I told myself that over time I would get used to it but honestly I still have a hard time. What shocks me the most is his face, he looks older and leaner ... I don't know, something is wrong. But while playing I noticed that it was his locks of hair that gave me this optical effect there. So I tried to erase them and ... REVELATION !! 😂😭 I totally love, he is so much cuter with a clear face, he absolutely does not look the same. I have the impression of rediscovering my LI, I love it ! Look at that baby face 😍🥺
(Sorry for my bad english 😪)
#eldarya#eldarya a new era#eldarya leiftan#leiftan eldarya#beemoov#beemoov pls get the locks off his face#i will pay you
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Je suis chat. Je suis ce chat. Petit, il est normalement au plus haut de sa forme. Toujours enthousiaste, ce chaton est prêt à découvrir le monde. Mais regardez cette bouille, la qualifier de mignonne serait une erreur. Voyez ce chat comme il est. Prenez le temps de plonger en lui. Soyez lui le temps d’un instant. Vous verrez au delà de son image prédéfinie qui n’est qu’une infime partie du tout que ce chaton représente.
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Bonsoir !Petite étude de style avec la Nteam et les vieux, vieux, vieux Disney (merci Capt'ain Obvious XD ).. sérieux, regardez sur youtube, l'animation est culte. Ô, nostalgie UnU. Je pense que mon préféré est N Gin, avec sa bonne bouille Good evening !Little study with a mix between the very; very old Disney and the Nteam (thnks Capt'ain Obvious XD )... seriously, take a look on these masterpieces of the old time, the animation is great . Here, I think that my favorite is N Gin, with his chubby face Information about Commission
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Suavemente
BESAMEEEE !!! Pardon. Je ne suis pas très inspirée pour le titre, et je viens de mettre une “musique relaxante et apaisante anti-stress” sur Youtube (véridique). Après la vidéo “20 minutes de yoga pour se détendre après une journée difficile” faite avec Jacob hier, je reste dans le ton hihi :-) Ai-je besoin de vous expliquer mon état (d’esprit)? :D
Tout va bien, je me repose :) J’ai dormi de 21h30 à 7h la nuit dernière, avec des rêves assez comiques à la clé. De ma môman et de mon pôpa, mais aussi de ma colloc (qui se révélait être peintre dans mon rêve haha), et je pense que c’est tout. Une autre nuit, j’ai rêvé que la salle des profs était sur une plate-forme à laquelle on accédait via un pont, et que ce pont se cassait. Entonces (donc pour les initiés, mon dieu j’ai parlé allemand à un élève aujourd’hui.. je voulais lui dire “esta palabra se escribe sin e” et je n’arrêtais pas de lui dire “ohne e, ohne e”, m’étonnant qu’il ne comprenne pas la bilingue espagnol-français que je suis). Pour revenir à mon rêve, les pauvres profs coincés sur la plate-forme devaient sauter de la plateforme (dans le vide donc) pour atterrir sur un matelas géant en dessous. Moi j’ai refusé, et j’ai attendu la réparation du pont. Comme la ninja que je suis!
On a fait un chouette exercice avec mes Primero de Bachillerato :) Je leur ai demandé, après avoir lu un texte sur Halloween, d’inventer par deux ou trois leur propre fête. Fredo et Yusef m’ont inventé la “Powerade”, crée par un ninja du Moyen-âge et célébrée le premier mai. Sergio et Danni (je commence à retenir les noms héhé) m’ont inventé une fête où les robots se déguisaient en humains, sans que les humains le sachent. Ca m’éclate ce genre d’exercices créatifs, j’adore j’adore!
Ca par encore en c.. acauète (restons poli) cet article/ billet (pas de banque). Que dire sonst? Là je suis posée dans le salon, je reviens des cours, il est presque 14h (siesta time) et j’avais envie de me poser un peu para escribir. La dernière fois c’était jeudi si je me rappelle bien. Allez, je vous raconte ce que j’ai fait depuis (nous sommes mercredi):
Vendredi on est sortis avec la smala (= Pripri et Elise d’amour, ainsi que le colloc brésilien d’Elise (à qui j’ai posé plein de questions sur le fait qu’il ne ressemblait pas du tout à un brésilien) et Victor, un pote espagnol (tmtc ma poule :D) de Pripri. Mas tarde Manuel (il s’appelle pas comme ça mais j’ai oublié son petit nom), un pote argentin d’Elise (j’étais la seule qui n’avait pas de “pote” en fait haha. C’est triste.) nous a rejoint. On est d’abord allés dans un karaoké-bar, où Elise, Pripri et moi avons massacré “Comme d’habitude” de mon idole de toujours dont je vous mets une photo ici:
Purée je meurs hahaha!
et “Papaoutai”, de notre Stromae national. Ces deux chansons sont puta difficiles à chanter, sa maman! On était gênées mais c’était bien marrant :) Par contre les espagnols n’ont pas tous repris en coeur avec nous, bizarre. [je change ma musique “relaxante blabliblou” pour Amélie Poulain, wait a second] Roh c’est bien mieux :)
Alooors, après on s’est retrouvés dans la rue, Tiago (le pauvre pseudo-brésilien - à d’autres!! - à qui j’ai posé 1000 questions) nous a quittées (bizarre) et on s’est baladés (au grand daim (din, d’hein?) de Pripri, TMTC choupette hahaha <3 ) jusqu’à trouver un bar presque vide à 3h du mat. 3 h du mat c’est un peu tôt hein! Moi je pensais que c’était parce qu’il était pourri mais non, la populasse (bien chaudasse) s’est ramenée au calme (j’ai voulu écrire “dans le plus grand des calmes” mais c’était pas trop le cas donc je vais m’abstenir, même si je viens de le faire HAHAHA qu’est-ce qu’on se marre) à 4 heures du matin. Quatre fucking heures du fucking matin. (Et après je m’étonne d’être fatiguée). Une bonne heure plus tard nous nous en sommes allés, moi à pied (ouaiiis), 45 minutes ma gu*eule! (cette astérisque ne sert à rien haha). Mais c’est super safe, c’est juste que j’étais au lit à 6h quoi :) Plus jamais, ça m’a en partie bousillé mon samedi.
Allez je vous cherche quelques photos de la soirée de vdd puis je passe au jour d’après (pas le film Maman, calme toi - c’est son film préféré, elle nous a obligé à le voir minimum 15 fois à la maison):
- HAHAHA en cherchant les photos je suis tombée sur des selfies de moi dans la glace en mode pina des familles (vous ne les verrez JAMAIS).. J’ai été faire du shopping chez Humana, conseillé par Priprou magique, une révélation! Tout à 5 euros en plus! Regardez le logo:
Purée ça vous dit rien de plus ce vieux logo vert (je suis même pas sûre que ce soit le bon en plus). Ce billet s’annonce épique (pica! ça pique).
En gros c’est un magasin de seconde main :) Ben c’est franchement sympa, puis du coup j’ose des choses que je n’aurais jamais osées (vu que c’est à 5 euros souvent). BREF, les photos de ma soirée de vendredi (je recontextualise, comme je m’égare toutes les 4 secondes 36):
Premier bar où on a eu des méga tapas gratuits (je voulais juste prendre le “recommandé par tripadvisor”)
Pripri et Tiago, qu’Elise et moi avons mis en couble - couPle pardon (putain le fou rire - roh cette vulgarité Carlota, tu vas te calmer?!)
Elise et moi (je tenais à vous partager cette photo et sa qualité surprenante)
Une partie de Pri’, et trois chanteurs (mais si, au fond, les trois pixels) espagnols ultra clichés.
VoILA, vous n’aurez rien d’autre sur vendredi hihi!
Saamedi, je me suis réveillée comme une fleur (fânée et décomposée) à 10h30 (rappelez-vous de l’heure à laquelle j’étais au lit hihi) et j’ai végété, fait n’importe nawak, jusqu’à rejoindre Jacob (mon pote de Tenerife d’amour que j’aime) pour allez au marché du Matadero :) Regardez-moi ces bouilles:
Bon alors je vous vois venir “purée mais c’est pas des bouilles, c’est des bâtiments”. Ah oui? En fait les photos envoyées sur Whatsapp n’ont pas l’air d’apparaître dans mon Google photos (à la pointe de la technologie la meuf, ouech!) et comme j’ai décidé de couper mon téléphone jusqu’à avoir fait ma sieste, je n’ai pas envie de l’allumer pour les transférer. Peut-être que vous les aurez plus tard, peut-être pas. En attendant, voici une photo de la vue du toit de Jacob (qui habite à 8 minutes à pied de chez moi, c’est trop bien).
Le marché c’était bien cool, on a eu plein d’échantillons gratuits et on a acheté aucun produit! Comme des vrais! A part un truc chocolat/fraise hihi. BREF, jolie après-midi, après j’ai fait une sieste parce que j’étais moisie. (c’est vraiment le terme adéquat). Puis j’ai rejoint Josué, un allemand et un latino (je sais plus d’où il venait, mince) dans un bar à salsa (j’avais été caca toute la journée, j’avais besoin de prendre l’air OK? je suis pas venue ici pour souffrir, ok?!)
Les photos qui n’ont rien à voir avec le texte, haha j’adore! Bon ça c’est le truc qu’on a mangé avec Jacobouille la fripouille, voici le bar à salsa:
Vous voyez les figures de fou, les fronts transpirants et cette énergie qui émane des corps? Moi non plus, les gens “dansaient” à droite.. pas de chance, j’ai fait une photo du côté gauche, et oui! #hipster
C’était vraiment sympa! Après on s’est retrouvés dans un pub irlandais, tout aussi chouette (moins facile de danser quand un beau mâle ne te guide pas, mais je suis une femme INDEPENDANTE crotteferdom) - ce que j’ai clamé haut et fort au latino qui était avec nous (dont j’ai même oublié le nom, une honte). Oh et anecdote très marrante, je n’ai pas réussi à parler allemand avec Max (l’Allemand donc). Mon cerveau ne voulait tout simplement pas. Par contre aujourd’hui avec mon élève (espagnol donc), ça oui, mon cerveau voulait bien. Merci cerveau. Merci. Et hier j’ai réussi à parler italien avec Jacob alors que jusque là mon cerveau refusait aussi. Je sais pas, il a des jours comme ça. Je devrais lui donner un nom (pas à Jacob, à mon cerveau). Si vous avez des suggestions, n’hésitez pas :)
Et le dimanche je vais faire un article tout exprès parce que
1. J’ai peur que ça déconne et de perdre toutes les âneries que je viens de débiter
2. Ce fut une des plus belles journées de mon séjour jusqu’à maintenant
3. Les photos sont magnifiques, et je ne voudrais pas les polluer avec le kitsch de Cloclo (love love quand même)
A tout de suite! :)
Carlota (un élève m’a appelée “Chalorte” aujourd’hui, ça m’a fait penser à ma petite cousine d’amour <3 )
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Câline
Câline, 5 ans, attend sa famille depuis 4 ans. Yes We Cat. 🇧🇪 Adopte-moi ❤️Câline, femelle tigrée âgée de 5 ans, attend depuis 4 ans sa famille pour la vie. Regardez cette incroyable bouille d’amour. Pour plus d’informations et de photos la concernant, voici le lien de son profil sur YesWeCat : https://www.yeswecatasbl.com/product-page/c%C3%A2line Dans le but d’aider les animaux des refuges à…
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Les copains, c'est bien, mais c'est fatiguant !
Oh la la, os court !
Après que Rasta soit parti vers sa nouvelle vie, un autre copain a débarqué à la maison !
Alors ce petit n'avait pas de nom, les z'humains ont décidé de l'appeler Brownie... Cookie, Brownie, vous avez compris ? Sont bêtes ces z'humains quand même, à nous donner des noms de gâteaux !
Brownie n'a que 7 ou 8 mois, il est de la même taille que moi, mais alors... il est chiant ! C'est une boule d'énergie, il s'arrête presque jamais, sauf pour manger ou dormir ! Dedans, dehors, il court, chahute, mange les affaires des z'humains... un jeune à qui faut tout apprendre quoi !
Au début, je l'aimais pas. Puis finalement, quand il a enfin compris que quand je grogne il a pas intérêt à continuer, ça se passe mieux. Il est gentil, on joue souvent ensemble... mais il m'épuise ! Il avait même fini par faire fuir mon pote Murphy de la maison. Depuis Murphy est revenu, maintenant il est habitué, il sait comment faire avec Brownie : moins il réagit quand Brownie l'embête, plus le petit abandonne vite.
Mais il est mignon quand même, regardez cette bouille !
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Aaaaaaaah regardez sa petite bouille là, à croquer 😍😍
Malta 1954
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箱に入っているねこ。 -Maru is in the box.-
Maru est une célébrité d’internet, d’abord pour sa bouille rigolote et ensuite et surtout pour sa capacité à s’installer dans des boites en carton minuscules. C’est d’ailleurs le cas dans cette vidéo. Toutefois, regardez-la bien jusqu’au bout…
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Quand tu dors... je passe la frontière mexicaine (et je vois les baleines de Guerrero Negro)
Les valises étaient posées, la routine à peu près assimilée, Santa Monica arpentée et le premier visiteur arrivé. Ne restait plus qu’à explorer. Un peu moins d’un mois après mon installation, un certain Chaff est venu -dans le cadre d’une longue année de roue libre- passer quelques jours sous le soleil californien (il le dit dans son livre, que vous pouvez vous procurer au prix dérisoire de 16,90 euros). Alors j’ai bloqué une petite semaine, loué une Nissan d’un fort beau gabarit -qui subira d’ici quelques lignes un sort peu enviable- et commencé à étudier la possibilité d’un road-trip. Où ça? En Basse Californie, ou Baja California, comme disent les locaux dans leur surprenant dialecte.
Si ce nom ne vous dit absolument rien, c’est juste normal. Avant de planifier le voyage, j’ignorais qu’une interminable péninsule mexicaine descendait au sud de la frontière avec les États-Unis, et jusqu’à l’existence même de ce nom. Mais en se renseignant, on a réalisé qu’il y avait plein de trucs à y faire, entre vadrouille dans le désert, soirée alcoolisée à la téquila et escapade nautique à la rencontre des baleines grises. Bref, c’est ainsi que le 4 février au petit matin, on a pris la route pour s’élancer dans un périple de 1984 kilomètres (j’espère que vous me pardonnerez ce terrible manque de précision).
Et si vous êtes aussi fou de sport que les deux protagonistes de ce récit, vous aurez noté que le 4 février 2018 était le jour du 52e Super Bowl, qu’on s’est donc regardé complètement ronds dans un sports bar de Tijuana. Car oui, au Mexique où la vie ne coûte rien, il est possible de s’envoyer de la bière par seaux entiers, ce que nous avons été contraints de faire à notre plus grand regret, jusqu’à ce que vienne l’ivresse en même temps que perdaient les Patriots (joie). Un début de voyage excessivement difficile me direz-vous, et vous aurez raison.
Mais trêve de niaiseries sportives. Nous sommes avant tout de grands explorateurs (en vrai, nous sommes d’abord Charlie, mais c’est beaucoup moins à propos que “voyageurs” dans le cadre d’un récit de vacances...), et c’est donc au lendemain de cette soirée arrosée que les choses sérieuses ont commencé. Au programme: une petite trotte le long du Pacifique pour atteindre notre point de chute suivant, le Coyote’s Cal, une sorte d’auberge de jeunesse tenue par un surfeur américain bedonnant qui a probablement mené sa vie à la perfection pour se retrouver à 50 piges au bord de l’océan à accueillir avec le sourire les touristes et les pêcheurs de passage.
Et on s’est mis plutôt très bien dans son hôtel du bout du monde. Car sous ses airs de vieille bicoque décrépie, meublée à la manière d’un pavillon de banlieue de grand-mère et posée au bout d’une piste de sable et de cailloux, le Coyote’s Cal possédait des trésors cachés. Une collection de VHS à faire pâlir un Vidéo Futur qui nous a permis de mater “8 Mile” et “Mars Attacks!” en dévorant une pizza monstrueuse, mais aussi une salle de jeu où des parties de ping pong endiablées se sont déroulées et une vue imprenable sur les couchers de soleil pacifiques. Et pour le côté folklore mexicain, on avait eu droit un peu plus tôt au repas dans un resto minuscule et devant une émission de télé géniale où une bonne femme sortie des années 1970 jugeait des affaires de divorce en s’appuyant sur des reconstitutions malaisantes à souhait de plans à trois. Somptueux.
C’est ensuite que les choses ont dérapé. Banlieusard, certes, mais discipliné, j’ai obtenu mon permis de conduire à 18 ans. Depuis, il me sert deux fois par an à tout casser, quand j’emprunte la voiture des parents pour aller skier ou filer avec des potes en weekend en Normandie ou à Limoges (prenez une carte de France et regardez au milieu du vide, c’est là). Du coup, les problèmes mécaniques me sont totalement étrangers... Vous voyez où je veux en venir? Oui, absolument: dix minutes après avoir pris le volant sur une route défoncée qui serpentait dans le désert et à environ 200 bornes du moindre bled digne de figurer sur Google Maps, j’ai foncé à 120 dans un trou et fait exploser le pneu de la Nissan. Le genre d’exploit qui a fait trembler l’habitacle (terme technique, je sais) comme jamais et arraché des cris affreux à notre belle Maxima le temps que j’arrive à m’arrêter en catastrophe.
(c’est là que vous applaudissez l’artiste, sans vouloir vous commander)
Mais parce que la vie est bien faite et qu’il faut avoir confiance en l’Humanité, deux cyclistes sont sortis de nulle part alors qu’on commençait à gentiment s’inquiéter avec ce bon vieux Chaff (qui est à peu près aussi nul pour changer une roue de voiture qu’il brille dès lors qu’il revêt ses atours de bouteille de ketchup). Et c’est ainsi qu’au milieu d’un désert mexicain, une Lituanienne et un Écossais lancés dans un tour du monde fou m’ont appris à me servir d’un cric, à soulever une bagnole sous 35 degrés et à serrer les boulons d’une roue de secours. Quelle vie. Et pour citer mon compère, philosophe: “Boarf, ça fait partie du road-trip, hein.”
Bref, après ces péripéties captivantes (je vous vois trembler d’inquiétude, au bord de votre siège: “va-t-il trouver un garage où acheter son pneu, j'ai besoin de savoir!”), on a repris la route en direction de l’objectif final du séjour au Mexique, Guerrero Negro. Encore un nom qui ne vous dira rien, et pourtant... Guerrero Negro, c’est une petite ville posée à la frontière entre les États de Baja California et de Baja California Sur (détail d’importance puisqu’il permet aux policiers de soutirer quelques deniers aux touristes, quand le cœur leur en dit, en prétextant un contrôle quelconque). Mais surtout, c’est LA ville la plus proche du sanctuaire d’El Vizcaíno, le petit paradis terrestre que nous y avons découvert, un lagon entouré de marais salants et de dunes de sable, où viennent se reproduire et se reposer les baleines grises au cours de leur migration.
Après une soirée passée au milieu de septuagénaires américains tellement adeptes de la vodka-tonic que l’une d’entre elles a fini par s’essuyer les mains dans notre plat de tortillas, on s’est donc lancés dans une folle virée en minibus au milieu de ce décor fascinant, conduits par un guide mexicain qui devait probablement être pilote de Formule 1 à ses heures perdues. Dans le sable, une piste à peine visible, des lignes droites de plusieurs kilomètres simplement longées par une série de poteaux électriques. Au détour d’un virage, un terrain de baseball abandonné et transformé en salin, un couple de coyotes qui traversent furtivement devant nous, et puis une petite bicoque sur pilotis. C’est là, près d’une heure après notre départ de l’hôtel que l’on a grimpé dans un pick-up qui a foncé... tout droit dans la mer peu profonde pour nous permettre d’embarquer dans le canot censé nous emmener à la rencontre des curieux cétacés.
Et là, ça devient n’importe quoi. Dès le départ, on commence à apercevoir de petits nuages au loin, les baleines qui respirent. Et puis au fur et à mesure, l’œil s’habitue, et on commence à voir une forme sombre, puis deux, un dos, une nageoire qui dit bonjour, une grosse bête qui montre sa bouille à l’horizon. Notre pilote repère un animal un peu moins peureux que les autres, qui semble s’amuser à sortir la tête de l’eau et danse en montrant les nageoires tout près du bateau. En deux heures, on a croisé un seul autre groupe de touristes, quelques secondes seulement. On était seuls au monde dans le lagon, Chaff, le guide et moi, avec parfois six, huit, dix baleines dans le champ de vision, des couples mère-nouveau né qui nagent à quelques mètres de l’embarcation, une grosse tête qui surgit... Fou.
Mais il fut bientôt temps de reprendre la route, pour éprouver une fois de plus notre chère Nissan. Le projet, c’était de traverser la péninsule pour aller sur l’autre côté, vers la mer de Cortez. Et si on nous avait prévenus qu’il y avait “un peu de piste”, on ne s’attendait clairement pas à se retrouver dans un champ de bataille pareil, à slalomer entre les dunes, les pierres, à se trimballer au milieu de carrières de sable, à esquiver des trous énormes, le tout sur la réserve d’essence parce qu’on est avant tout là pour divertir les lecteurs de ce blog, au fond. Mais après quelques frayeurs, on a fini par émerger vivants de tout cela, et à débouler dans un nouveau paysage dément, le golfe de Californie, seulement séparés de la mer turquoise et sans une ride par une fine bande de terre assoiffée.
Et après s’être ensablés à quelques mètres de l’hôtel (en pleine ville et après avoir survécu à une étape du Dakar? Parfaitement), on est arrivés à San Felipe. La plage de sable blanc, la salade de crevettes crues qui baignent dans un savant mélange de piment et de citron, le poisson grillé devant les JO d’hiver sous 30 degrés, les poissons volants qui nous offrent un concours mémorable au milieu des vaguelettes... Les vacances mexicaines, quoi. Sereinement.
Six jours plus tôt, on ne soupçonnait même pas l’existence de la Basse Californie. Mais le 9 février au soir, quand on est allés s’affaler épuisés au pub de Santa Monica pour débriefer tout ça, on s’est dit qu’on s’était quand même payé un sacré voyage. Alors à l’occasion, si tu passes dans le coin, essaye d’aller y faire un tour, tu ne seras pas déçu! Et puis tu pourrais même apprendre à changer une roue de voiture avec un improbable couple de cyclotouristes.
Pour les esthètes, le détail du parcours (en km, parce que les Mexicains sont des gens bien, en plus de posséder un fort beau bout de Californie):
Santa Monica - Tijuana : 245 km
Tijuana - Coyote’s Cal : 196 km
Coyote’s Cal - Guerrero Negro : 559km
Guerrero Negro - San Felipe : 402 km
San Felipe - Santa Monica : 584 km
Total : 1984 km en six jours (et une Nissan si sale que le loueur aurait pu tourner de l’œil)
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