Tumgik
#réinterprétation habit rouge
angelitam · 1 year
Text
Les icônes twistées homme de Guerlain
Rouge Privé et Platine Privé de Guerlain sont des éditions privées. Les icônes twistées homme de Guerlain Deux réinterprétations magistrales créées par les Parfumeurs Guerlain qui ne révèlent pas leurs secrets. Habit Rouge, le mythique, se transforme en Rouge Privé. L’irrésistible Homme Idéal se transforme en Platine Privée. Habit Rouge Rouge Privé de Guerlain Cette fragrance est un ambré…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
spiritgamer26 · 3 years
Text
[CP] Hôtel Transylvanie : monstrueuses aventures sur consoles et PC
Tumblr media
Outright Games, le principal éditeur mondial de divertissements interactifs destinés aux familles, est ravi d’annoncer, en collaboration avec Sony Pictures Consumer Products, Hôtel Transylvanie : Monstrueuses Aventures. Ce tout nouveau jeu vidéo met en scène les personnages préférés des fans de la franchise à succès et sortira pour Halloween sur PlayStation®, Nintendo Switch™, Xbox et PC digital. Dans ce jeu de plateforme aventure en 3D, les joueurs incarneront leurs personnages préférés et se verront proposer une réinterprétation des contes classiques comme « Le Petit Chaperon Rouge » ou « Les habits neufs de l’Empereur ». Hôtel Transylvanie est l’une des franchises cinématographiques originales Sony Pictures Animation qui a connu le plus de succès à ce jour. Les trois premiers films ont réalisé un box-office combiné de plus de 1,3 milliard de dollars. Le dernier film de la série, Hôtel Transylvanie 4 : Transformanie, sortira cet été. https://www.youtube.com/watch?v=Up3tqlCM_aQ&feature=youtu.be Nous sommes très heureux de retourner à l'Hôtel Transylvanie pour une nouvelle aventure effrayante et amusante pendant la saison d'Halloween. Nous sommes ravis de pouvoir intégrer notre propre et unique histoire dans ce monde incroyable et de raconter à nouveau des contes de fées classiques en utilisant les personnages excentriques de la franchise Terry Malham, PDG d’Outright Games
Tumblr media
Read the full article
0 notes
journaljunkpage · 6 years
Text
EN TOUS GENRES
Tumblr media
Stéphanie Pichon / Marcela Santander Corvalan, Disparue © A Monot
TRENTE TRENTE 
La 16e édition du festival continue de proposer des formes artistiques que l’on ne voit pas (souvent) ailleurs : du court, du bizarre, de l’inclassable, du dérangeant. Aux frontières du trouble, Trente Trente essaime désormais sur toute la Nouvelle-Aquitaine. En attendant d’autres destinations dans un futur proche. Gros plans sur quelques lignes fortes et nouveautés 2019.
1. Transgenre
Sans s’en rendre compte, dit-il, Jean-Luc Terrade, maître de Trente Trente depuis ses débuts, a programmé cette année trois artistes transgenres. Sorour Darabi avance depuis deux soli dans une direction performative où tout se mêle danse, texte, chant, conférence. Et l’autobiographie iranienne comme toile de fond. Farci.e, ce solo qui l’a découvert.e, questionne la langue française : « Comment penser le genre dans une langue qui donne un sexe aux idées ? En français, un objet qu’on n’arrive pas à nommer, on l’appelle une chose. Alors, un corps qu’on n’arrive pas à genrer, c’est une chose ? Une chose, en français, c’est féminin. Alors, toutes les choses sont féminines ? » Depuis il y a eu Savušun et Alexandre, aux côtés de Paul/a Pi, danseuse brésilienne rencontrée au master exerce du centre chorégraphique de Montpellier. Tous.tes deux ayant aussi décidé de brouiller les pistes sur le plateau, comme ce Ecce (H)omo présenté à Pau. Paul/a Pi s’y inspire des danses de Dore Hoyer, danseuse expressionniste allemande, autour de cinq affects : orgueil/vanité, désir, haine, peur, amour. L’occasion d’ausculter la notion d’archives, de ré-interprétation, de l’appropriation aussi. Et puis, créé aux Sujets à vif d’Avignon, il y aura L’Invocation à la muse de Vanasay Khamphommala et Caritia Abell. Des parcelles de BDSM, des zestes de performance, des soupçons de poésie, pour un duo qui bouscule les assignations genrées de la muse antique.
2. Femmes
Sur les 32 artistes invités de la 16e édition, une douzaine sont des femmes. Soit un petit pic, même si 30 30 n’est pas encore à du 50 50. On verra donc Leïla Ka, dans son solo Pode ser au Performance, les chorégraphes Gaëlle Bourges, Gwendoline Robin et Kaori Ito lancées dans de drôles de duos à Cognac et Elsa Guérin avec son exposition circassienne à Boulazac.
Sans toutes les citer, on retiendra la venue de la danseuse chilienne Marcela Santander Corvalán et son solo Disparue en trois lieux différents (Limoges, Bordeaux, Pau). La danseuse, qui travaille depuis longtemps aux côtés de Mickaël Phélippeau, a collaboré avec Dominique Brun et fait équipe avec Volmir Cordeiro – un autre habitué de Trente Trente –, tient dans ce solo une position accroupie. « Je plonge dans cette posture fantôme, proche du sol, pour visiter la mémoire des gestes qui la constituent. » De cette position basse, elle fait pièce, rapprochant bassin et sol, mais aussi bassin et visage mobile, dans une nouvelle circulation des appuis et du mouvement. Dans son habit rouge à franges, ce grand plié décentre aussi nos regards, générant des images venues de postures et de cultures lointaines. Une cérémonie d’en bas et de l’au-delà.
3. Cinéma
C’est le retour de la soirée Trente Trente à l’Utopia, qui a déjà existé il y a longtemps, « sept ou huit ans » hésite Terrade, et rassemble cette année quatre courts métrages choisis pour leurs formats et leurs qualités plastiques.
Ainsi on passera des Indes Galantes de l’acclamé Clément Cogitore, photographe et cinéaste, commandé par la 3e scène de l’Opéra de Paris, où des krumpers se retrouvent au plateau vénérable de l’opéra Garnier, pour réinterpréter du Rameau avec ferveur et subtilité, au plus expérimental Quelque chose des hommes de Stéphane Mercurio, troublant échange entre un père et un fils. The Barber Shop de Gustavo Almenara et Émilien Cancet raconte comment, dans la jungle de Calais, les séances de coiffeur improvisé ramènent les hommes à des pensées intimes et des drames vécus.
Quant à Habana d’Édouard Salier, il commence lui aussi chez le coiffeur pour dériver ensuite dans La Havane version dystopique. Le réalisateur bordelais signe là un moyen métrage noir et blanc léché, où caméra au poing, il suit son personnage dans une Havane des temps futurs, dévastée par la guerre et la pollution.
4. Futur(s)
Trente Trente va-t-il continuer sur sa lancée les années à venir ? Continuer sur son expansion régionale ? Terrade rumine encore d’aller respirer un peu ailleurs. Plus loin encore que Pau et Limoges, avec des envies parisiennes dès 2021. Sans perdre de vue les partenariats régionaux, d’autant que de nouveaux s’annoncent, notamment avec Saintes, il préférerait un Trente Trente en plusieurs temps. Bordeaux en janvier, puis ailleurs au printemps. Histoire que les formes de rue puissent aussi y trouver leur place. À suivre.
Trente Trente, du vendredi 18 au jeudi 31 janvier. www.trentrente.com
0 notes
songedunenuitdete · 5 years
Text
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]
Nombre de pages : 226 pages Éditeur : Nobi Nobi Collection : Shôjo Date de sortie : 02 Octobre 2019 Langue : Français ISBN-10: 2373492830 ISBN-13: 978-2373492835 Prix éditeur : 7.90€
De quoi ça parle ?
Il était une fois un monde rempli de royaumes où la magie faisait loi. Dans le Grand Nord, deux chats trouvent un miroir qui a le pouvoir de leur montrer les êtres qu’ils chérissent le plus. Mais le miroir est cassé… Les chats vont devoir arpenter différents royaumes afin de retrouver les cinq éclats manquants du miroir, logés dans des cœurs meurtris. Leur quête les mènera chez Poucette, la Petite Sirène, le Roi Nu, la petite fille aux allumettes, pour se terminer chez la légendaire Reine des Neiges. Un recueil de contes magique ![/box]
Mon avis : 
C’est la première fois que je me retrouve confronté au talent de Tomoko Hako. Et si j’avais craint au début d’avoir le droit à une revisite passable ou trop surjouée, après quelques pages tournées, je n’ai pu que me rendre à l’évidence, en plus d’être originales et bien pensées, ses réinterprétations ont de quoi plaire aussi bien au grand qu’au petit public.
De Poucette, à la Petite Sirène, en passant par les habits de l’Empereur, la petite fille aux allumettes et la Reine des Neiges, ce volume nous délivre 5 petits one-shot, qui invitent à redécouvrir de façon féerique ces contes cultes d’Hans Christian Andersen. Il est intéressant de voir comment certains de ses contes, dont certains n’ont pas de dénouement heureux (la petite fille aux allumettes pour exemple) sont repris sous le coup de crayon de Tomoko Hako. Et ne vous y trompez pas, elle s’inspire bien des vrais contes, pas des revisites déjà connues, comme c’est le cas avec la Reine des neiges de Disney. Elle s’inspire de ce qui existe et en fait quelque chose qui diverge légèrement de la réalité, mais reste dans son contexte, tout en y mettant quelques touches personnelles.
Le coup de crayon est fin et doux. J’ai craqué pour les graphismes que je trouve somptueux. Tomoko Hako a trouvé le moyen de lier les contes entre eux d’une façon aussi subtile qu’originale, avec un simple fil rouge. J’espère retrouver cette magie dans les deux prochains tomes consacrés cette fois-ci aux frères Grimm.
En somme, je recommande chaudement cette magnifique revisite qui fera aussi bien plaisir au grand qu’au jeune public.
[Chronique manga - Angie] Mon #avis sur La Reine des neiges et les cinq éclats de Tomoko Hako paru chez @nobi_nobi : Un premier volume féerique et une revisite faite avec brio. Nombre de pages : 226 pages Éditeur : Nobi Nobi Collection : Shôjo Date de sortie…
0 notes