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Quelle est la différence entre un régime LOW CARB et un régime CYCLIQUE ?
NOUVEAU 👉 Quelle est la différence entre un régime LOW CARB et un régime CYCLIQUE ?
Vous voulez savoir ce qu’il faut choisir comme diète entre la cyclique et la low carb ? Lisez la suite pour obtenir des informations et regardez la vidéo en bas de page si vous faites du sport. Efficacité du régime low carb et cyclique pour la musculation Dans le monde du fitness, la question est souvent : quel régime est le plus efficace pour la prise de masse musculaire ? Le régime low carb,…
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Développement durable, perturbations , résistance, constance , persistance et résilience écologique.
Le développement durable connaît un engouement notable depuis les deux dernières décennies en raison de la prise de conscience du fait que les ressources sont limitées, que certains écosystèmes sont menacés, avec, comme corollaire, de nombreux préjudices pour la société.
Le développement durable consiste à répondre aux besoins du présent sans nuire aux besoins des générations futures. Il s’agit de tendre vers un équilibre entre le maintien d’un bon développement économique et social, et la préservation de la structure et du fonctionnement des écosystèmes.
La gestion durable des systèmes socio-écologiques consiste, quant à elle, à définir des stratégies de gestion soucieuses de préserver l’intégrité des écosystèmes naturels et anthropiques (productivité, flux de matières et d’énergies, biodiversité, économie etc…).
Les perturbations : un facteur écologique fondamental
Les perturbations constituent des événements discrets dans le temps, souvent Imprévisibles, agissant à toutes les échelles d’espace et affectant une majorité d’écosystèmes terrestres.
L’agent de perturbation possède ses propres caractéristiques : fréquence, prédictibilité, intensité, hétérogénéité spatiale.
En raison de leur extension et leur répartition, les écosystèmes forestiers sont touchés par une grande variété de perturbations : incendies, tempêtes, ouragans, cyclones, tornades, insectes ravageurs, tempêtes de glace, glissements de terrain, avalanches, érosions torrentielles), avec des conséquences importantes sur la biodiversité, les cycles de nutriments, le cycle de l’eau.
Par perturbation, nous entendons tout événement discret dans le temps et dans l’espace provoquant une réduction de biomasse ou une mortalité des entités fondamentales du système, par exemple les arbres dans un peuplement forestier.
En quoi la diversité peut contribuer à augmenter la résistance et la résilience des écosystèmes ?
La résilience au sens de l’écologie (“ecological resilience”) et la résilience au sens de l’ingénierie (“engineering resilience”) .
Les perturbations empêchent le système d’atteindre un équilibre dominé par quelques espèces. En revanche des perturbations trop fréquentes empêchent les espèces de fin de succession de réaliser leur cycle de développement.
Les perturbations peuvent provoquer des bouleversements, des changements radicaux de comportement des systèmes écologiques ainsi que des fluctuations importantes de leurs variables caractéristiques. Elles peuvent en revanche réduire sensiblement la complexité de certaines dynamiques (Chaotiques et cycliques par exemple).
Relations entre résistance, résilience, constance et persistance .
La résilience définit la capacité des systèmes écologiques à maintenir de façon dynamique leurs structures et leurs propriétés, leur organisation, face à des bouleversements du milieu.
La résilience écologique décrit ainsi trois propriétés fondamentales : La quantité de changement que le système peut endurer, la capacité du système à s’auto- organiser, la capacité du système à apprendre et à s’adapter.
La résilience au sens de l’écologie se distingue ainsi de la résilience au sens de l’ingénierie définie par la vitesse de retour à un état de référence après perturbation. Les deux types de résilience sont complémentaires et leur emploi respectif dépend en premier lieu de l’échelle d’étude des systèmes.
Résistance et résilience définissent le comportement d’un système face à une perturbation de forte magnitude ; il s’agit de propriétés intrinsèques au système.
Fort de ces propriétés, les effets des perturbations (événement unique ou régime de perturbation) peuvent conduire à une extinction du système (extinction d’une population), à une extinction de certaines de ses composantes (espèces pour une communauté) ou à une profonde réorganisation de sa structure et de son fonctionnement (ex. dégradation irréversible d’écosystèmes).
En écologie des communautés, la résistance peut être associée à une différence de composition spécifique dans la communauté entre les états avant et après perturbation. Il s’agit de la capacité du système à absorber ou contrecarrer les effets d’une perturbation.
La constance est la propriété de ne pas changer au cours du temps. La constance permet de caractériser des trajectoires pour lesquelles il n’existe pas de formalisme mathématique permettant de tester simplement l’existence ou non d’état d’équilibre.
Made by @themonsterp and inspired by— Perturbations, diversité et permanences des structures dans les écosystèmes forestiers. Thomas Cordonnier.
La persistance représente un critère clé en biologie et en écologie de la conservation car elle exprime le maintien de l’intégrité du système au cours du temps.
En théorie, la persistance est une qualité : on persiste ou on ne persiste pas. En écologie forestière, on parle éventuellement de persistance d’une espèce, de persistance de classes d’âge, ou de persistance d’une structure.
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« anéantir » le dernier roman de Michel Houellebecq prend pour cadre la France en 2027. Une série d’attentat frappent plusieurs pays dans le monde, avec une extraordinaire précision et des modes opératoires très variés. Afin de maîtriser l’information, les auteurs de ces attentats procèdent à un hackage des médias afin de contrôler le contenu des informations sur leurs propres actions. Un homme, retraité des services de renseignement, semble avoir établi un faisceau de corrélations avant qu’un accident vasculaire ne le cloue au silence. Peu à peu, les liens se tissent autour d’une mouvance ésotérique qui convoque le Baphomet : Anagramme du Prophète Mahomet qui était obscure hérésie médiévale. Elle avait notamment servi à Philippe le Bel comme chefs d’accusation pour éradiquer la puissance montante des Templiers.
Il est à chaque fois très confortable d’enfermer un auteur et son œuvre, en un tour de clef, en inférant qu’il ferait « symptôme » dans un paysage par définition asymptomatique... Le symptôme est la voie la plus courte et la plus usuelle de l’absence de réflexion critique ; de celle qui scelle sous le régime d’une métaphore toute réflexion critique. Cette facilité épuise à restituer l’épaisseur d’un auteur ; notamment un auteur de l’envergure de Michel Houellebecq. Un auteur qui, le moins que l’on puisse dire, est clivant : entre ceux qui y voient un prophète et ceux qui le réduisent à un « symptôme ». Dans cet article, nous allons restituer les tensions, les forces et les faiblesses qui apparaissent à la lecture de ce roman.
Publié au tout début de l’année, au édition Flammarion, « anéantir » le dernier roman de Michel Houellebecq n’est pas l’énième roman d’un auteur prolifique. Quand bien même on y retrouve des motifs, ses obsessions, les mêmes personnages ou des paysages qui lui sont propres et le rendent reconnaissables pour ses lecteurs. On aurait tôt fait, dès lors, de réduire roman à une déclinaison des items houellecquiens en rangeant poliment en bonne place dans sa bibliothèque parmi ses autres.
Dans ce roman, Michel Houellebecq, nous introduit dans les arcanes du pouvoir en suivant la vie de Paul Raison, haut fonctionnaire du Ministère de l’Économie et des Finances. C’est assez habile de prendre un personnage établi au cœur de la machine de l’État, dans un pays comme la France ou la sophistication administrative est très prononcée, pour décortiquer nos existences corpusculaires.
Du haut de son bureau, situé au sommet de la gigantesque barre de béton qui surplombe l’autoroute urbaine qui jusqu’au cœur de Paris, en balafrant profondément le tissu urbain du 12e arrondissement Paul Raison a une vue surplombante sur les flux : mécaniques, motorisés ou fluviaux qui nourrissent ses pensées les plus secrètes. Tout autant que la circulation, il observe les méandres du fleuve qui cycliquement absorbe les rives pour en reconfigurer le paysage bien ordonné à l’intérieur des quais. C’est clairement l’une des clefs de l’écriture de Houellebecq. Dans le roman elle nous est donnée dès les premières pages. Houellebecq donne souvent à ses personnages quelque chose comme une seconde chance. Celle d’être appréhender par une forme de grâce poétique qui les délivre temporairement de le plus abjecte trivialité.
Le roman anéantir, l’auteur se joue des frontières entre une description très terre à terre et une teneur poétique ; comme dans ce passage où le père de Paul : handicapé et mutique, est laissé seul dans un fauteuil à roulette dans un parc où il se fait soigné. Son regard reste fixement rivé à un bouquet d’arbre qui lui fait face ; sans qu’on puisse décidé s’il observe la grâce que donne le mouvement des branches traversées par le vent ou si ce n’est pas juste son état végétatif qui le cloue dans cette attitude proche d’un détachement extatique et d’abandon intérieur. L’aspect contemplatif de ses principaux personnages des romans de Houellebecq est rémanent. Ce roman n’y fait pas exception. Peut-être même plus encore que les précédents les descriptions poétiques parcourent tout le roman jusqu’à son dénouement. Ce qui est notable, c’est que ces descriptions ne sont pas forcément appréhendées à partir du regard de personne en pleine santé mais paradoxalement et à deux reprises dans le roman de personnes à la limite de décrépitude physique et mentale. C’est un aspect qui mériterai que l’on s’y arrête tant il semble que, pour l’auteur, l’homme moderne n’arrive à une sorte d’ascèse contemplative qu’en étant préalablement déchu de ses habitus contemporains du fait de sa déchéance.
Comme nous l’indiquions, l’alternance de ces passages poétiques sont contrebalancés par d’autres descriptions plus terre-à-terre. Nous entrons effectivement dans le corps du roman quand Paul Raison descend de sa citadelle de Bercy pour s’intégrer physiquement dans ce paysage qu’il observait en surplomb. C’est un des tours de force d’un roman qui n’en manque pas que d’avoir su restituer très précisément l’un des quartiers les plus méconnu de Paris. Un quartier excentré, en grande partie artificiel, bien que chargé d’histoire. Un ersatz de quartier coincé à l’intérieur du quadrilatère presque parfait que forment la gigantesque « architecture totalitaire », comme l’écrit l’auteur, du Ministère de l’Économie et des Finances, du périphérique, des rails de la SNCF et des rives solitaires de la Seine. Un quartier de prédilection donc pour un amateur d’anecdote comme l’est l’auteur. Il s’est attaché très particulièrement à celle qui concerne l’église Notre-Dame de la Nativité de Bercy sur laquelle l’auteur s’attarde à de nombreuses fois. Détruite et reconstruite à de nombreuses reprises, tout le long de son histoire, cette petite église du 12ième ardt, enchâssé dans la trame urbaine recomposée du quartier de Bercy fait dire au narrateur qu’à elle seule elle résume l’histoire de la chrétienté occidentale. On peut s’étonner que cette réflexion de l’auteur ne se soit pas étendue à tout ce quartier de Bercy. Quartier hybride : ancien et artificiel ; recomposé d’éléments épars de ses structurations successives, non seulement forme un succédané, mais préfigure la France contemporaine : entre mythe, recomposition et amnésie. C’est très frappant quand on traverse le parc de Bercy, la cour Saint-émilion, et jusqu’aux Maréchaux.
Historiques ou philosophiques ; voir triviales, les références tout autant que les analyses ne manquent pas dans ce roman. C’est peu dire qu’il en est « truffé ». On y voit là une forme de saturation toute contemporaine : celle de la nos sociétés overdosées d’informations de toutes sortes. Houellebecq nous alimente jusqu’à la lie de renseignent sur tout type de sujet. Il prend parfois un malin plaisir à n’omettre aucun détail, rendant souvent la lecture empêtrée de gloses, de digressions, d’analyses dont certaines sont à l’emporte-pièce. Le plus souvent on les trouvera succinctes, comme celles qui concernent les pensées des philosophes, mais la plupart du temps elles tout simplement caricaturales comme des lectures de secondes mains.
Houellebecq use de ces digressions comme un anthropologue collecterait des mythes ; nous entrainant toujours plus loin dans une très longue et minutieuse description de nos habitus modernes. On aura tôt fait de conclure qu’il s’agit d’une description au scalpel du crépuscule du couple hétéronormé dont l’auteur ne prends aucune pincette pour le déconstruire méthodiquement. Très vite il nous conduit dans les recoins de l’intime où vont se nicher les plus triviales descriptions du roman. La ligne de démarcation de la « guerre des sexes » se déplaçant à l’intérieur du frigo du couple que forme Paul Raison et sa femme Prudence. « Un couple hétérosexuel est un couple en instance de divorce » déclare le narrateur dont il décrit l’évolution, en reprenant à Dante sa géographie infernale, l’image des cercles concentriques que forment l’Enfer comme autant de cycle vers l’inéluctable. Il faut attendre la page 350 pour avoir un semblant d’esquisse d’une rédemption sous deux modalités différentes.
Le narrateur, en effet, indique comme solution de prendre exemple sur les animaux et en particulier sur les oies. En laissant, par exemple, son odeur sur sa ou son partenaire et en prenant soin de surtout de ne pas appuyer les premiers attouchements d’un retour en flammes. Tout cela à grand renfort de magie et de cierges déposé dans la modeste église Notre –Dame de la Nativité de Bercy. L’autre type de rédemption prends la forme d’une femme africaine que l’auteur décrit bien sous tous rapport : catholique, bien éduquée, et portant un prénom bien français : Maryse. Ce personnage dont on laissera le lecteur découvrir plus abondamment tout seul, est introduit dans le chapitre en même temps qu’une digression sur un autre type d’immigré comme si leurs figures en formaient l’antithèse. C’est-à-dire l’arabe, « la racaille », comme il est écrit ; précédemment assimilés aux orcs du roman « Le Seigneur des anneaux ». La dites racaille des quartiers populaires reste une racaille même quand elle vote massivement en faveur du candidat au pouvoir pour les présidentielles (Sans doute une des fictions les plus risibles du livre). Celle des classes populaires dont l’horizon se borne aux barres d’HLM en béton dont le narrateur nous dit que Maryse « se méfie instinctivement ». Cette bonne immigrée est donc l’autre solution de rédemption au couple hétéronormé. Elle, elle sait « prends les choses en mains » : sexuellement s’entend, pour leurs faire retrouver leurs naturalités premières. Finalement ces deux formes de rédemptions possibles au couple hétéronormé semblent se faire écho sur le plan d’un retour aux sources naturelles et animale de l’humanité…. La brave Maryse sera finalement expédiée deux dix cents pages plus tard en retournant dans son Bénin natal après avoir prêté de sa personne comme prix à payer de sa parfaite intégration à la famille Raison. On retrouvera encore les immigrés au détour d’une discussion dont se remémore Raison. Dans laquelle, le Ministre de l’Économie et des Finances, lui aurait expliquer qu’ils ne sont ni économiques, ni même réellement humanitaires, et que c’est en conscience qu’ils risqueraient leurs vies. « Ils ont parfaitement compris notre fonctionnement dit Bruno, « La culpabilité, le « christianisme résiduel, ect » ; « Ils savent qu’ils vont être recueilli par un bateau humanitaire ». « La violence est efficace » finit par conclure Monsieur Raison en écoutant le Ministère. Ce passage est anthologique : A grand renfort de citation on y retrouve ce gout houellebecquien pour la glose savante. Il conclut le récit d’un attentat filmé contre un bateau de migrants. Ceux-ci auraient finalement renoncer depuis à faire la traversée en mer. L’immigration peut bien avoir « quelques succès » comme celle de ce dentiste qui vient sauver la bouche fétide et gangrenée du personnage principal mais il faut bien convenir « qu’ils étaient de plus en plus rares » conclut-il.
Si l’on a dit que le roman « anéantir » dispensait de quelques réflexions sur la société hétéronormé et patriarcal, ce qui est immanquable ce sont les prophéties de Houellebecq. L’une d’elle s’est réalisée en cours de publication (nous vous laissons le soin de découvrit laquelle), mais les plus intéressantes quant à l’avenir de la France sont celles qui conditionnent son personnel politique. Au moins une personne figure au premier plan : le « Président » sans qu’une seule foi tout le long des 730 pages que compte le roman son nom soit donné. On l’aura très vite deviné, il s’agit de l’actuel Président de la République. S’il n’est jamais nommé, il fait exception. Certaine on droit à voir figurer sous leurs prénoms comme c’est le cas d’une des figure de l’Extrême-droite actuelle. Le narrateur nous avertit prophétiquement que le « Président » compte rempiler à toutes les élections à venir ; quitte à mettre un factotum comme marchepied entre deux suffrages, suivant scrupuleusement les modifications apportées à la Constitution en 2000. Le pire n’est pas là. On pouvait sans Houellebecq se douter des ambitions du personnage. Ce que l’on apprend c’est que le « Président » serait même capable de contribuer à une élection de l’Extrême-droite si celle-ci pouvait, à son tour, rendre inéluctable son retour aux pouvoirs après que les freins de la Constitution seraient levés.
Le roman est constitué d’une sorte d’épilogue. On bascule dans une autre géographie urbaine, un autre quartier qui semble se déplier du précédent comme s’il en formait depuis le début son horizon. Il en est en tout cas le prolongement naturel. C’est dans cette partie du roman que le titre « anéantir » prend tout son sens. Il est écrit sans lettre capitale comme pour en conserver sa puissance évocatoire sans autre résonance capitale. C’est au cœur de cette anéantissement que la rédemption du couple que forment Paul et sa femme prudence le plus de force. Il n’est guère étonnant que les plus beaux passages du livre se trouvent dans cette épilogue. La maladie y est décrite comme un processus d’anéantissement intime exactement dans les mêmes termes que l’a décrit le savant Claude Bernard. En sorte que le vivant lui-même est corrélé à la mort dès son apparition. Ce sont sans doute les pages les plus justes de tous le roman qui n’en manquent pourtant pas. Si bien des passages peuvent laisser dubitatifs jusqu’à en perdre son lecteur quant aux qualité que l’on prête à Houellebecq. L’épilogue à lui seul concentre toute la force et la beauté d’un très grand écrivain. On y suit jusqu’au plus près de l’intimité, délesté des dernières pudeurs, la maladie et l’amour faisant résonner ce vers biblique qui imprime son timbre au Cantine des cantiques « Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, Comme un sceau sur ton bras; Car l'amour est fort comme la mort ».
Description du quartier : Immeuble totalitaire à partir duquel se décline le quartier et son histoire comme un microcosme emportant avec lui la France en succédanée...
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L'Accident
La Solution finale, c'est la mort.
La mort est l'eros à l'envers.
« Si l’on envisage globalement la vie humaine, elle aspire jusqu’à l’angoisse à la prodigalité, jusqu’à la limite où l’angoisse n’est plus tolérable. Le reste est bavardage de moraliste��� Une agitation fiévreuse en nous demande à la mort d’exercer ses ravages à nos dépens. »
« La mort et la sexualité, au lieu de s’affronter comme principes antagonistes (Freud), s’échangent dans le même cycle, dans la même révolution cyclique de la continuité. »
« Pas de différence entre la mort et la sexualité. Elles ne sont que les moments aigus d’une fête que la nature célèbre avec la multitude inépuisable des êtres, l’une et l’autre ayant le sens du gaspillage illimité auquel la nature procède à l’encontre du désir de durer qui est le propre de chaque être »
« La mise à nu érotique est égale à la mise à mort, dans la mesure où elle inaugure un état de communication, de perte d’identité et de fusion. »
« Procréer, c’est susciter la génération suivante qui innocemment, mais inexorablement, repousse la précédente vers le néant… »
L’accident et la catastrophe
« Il y a un paradoxe de la rationalité moderne et bourgeoise sur la mort. Concevoir celle-ci comme naturelle, profane et irréversible constitue le signe même des « Lumières » et de la Raison, mais entre en contradiction aiguë avec les principes de la rationalité bourgeoise — valeurs individuelles, progrès illimité de la science, maîtrise de la nature en toutes choses. Neutralisée comme « fait naturel », elle devient aussi de plus en plus un scandale. C’est ce qu’Octavio Paz a très bien analysé dans sa théorie de l’Accident (Conjonctions et Disjonctions) : « La science moderne est venue à bout des épidémies et nous a fourni des explications plausibles des autres catastrophes naturelles : la nature a cessé d’être la dépositaire de notre sentiment de culpabilité ; en même temps la technique a étendu et élargi la notion d’accident, et lui a conféré un caractère tout à fait différent… L’Accident fait partie de notre vie quotidienne et son spectre hante nos insomnies…
Le principe d’indétermination en physique et la preuve de Gödel en logique sont l’équivalent de l’Accident dans le monde historique…
Le principe d’indétermination en physique et la preuve de Gödel en logique sont l’équivalent de l’Accident dans le monde historique… Les systèmes axiomatiques et déterministes ont perdu leur consistance et révèlent une faille inhérente. Cette faille n’en est pas une en réalité : elle est une propriété du système, quelque chose qui lui appartient en tant que système. L’Accident n’est ni une exception ni une maladie de nos régimes politiques, il n’est pas non plus un défaut corrigible de notre civilisation : il est la conséquence naturelle de notre science, de notre politique et de notre morale. L’Accident fait partie de notre idée du Progrès… L’Accident est devenu un paradoxe de la nécessité : il possède la fatalité de celle-ci et l’indétermination de la liberté. Le non-corps, transformé en science matérialiste, est synonyme de la terreur : l’Accident est un des attributs de la raison que nous adorons… La morale chrétienne lui a cédé ses pouvoirs de répression, mais en même temps toute prétention morale a disparu de ce pouvoir surhumain. C’est le retour de l’angoisse des Aztèques, quoique sans présages ni signes célestes. La catastrophe devient banale et dérisoire, parce que l’Accident, en fin de compte, n’est qu’un accident. »
« Comme la société en se normalisant fait surgir à sa périphérie les fous et les anomaliques, ainsi en s’approfondissant la raison et la maîtrise technique de la nature font surgir autour d’elles la catastrophe et la défaillance comme irraison du « corps organique de la nature » — irraison insupportable, car la raison se veut souveraine et ne peut même plus penser ce qui lui échappe — insoluble car il n’y a plus pour nous de rituels de propitiation ou de réconciliation : l’accident, comme la mort, est absurde, un point c’est tout. C’est du sabotage. Un malin démon est là pour faire que cette si belle machine se détraque toujours.
Ainsi cette culture rationaliste est-elle atteinte, comme nulle autre, de paranoïa collective. Le moindre incident, la moindre irrégularité, la moindre catastrophe, un tremblement de terre, une maison qui s’effondre, le mauvais temps — il faut qu’il y ait un responsable — tout est attentat. »
« Car nul ne sait jusqu’où la « pulsion de mort », amorcée par l’accident ou la catastrophe, peut se déchaîner à cette occasion et se retourner contre l’ordre politique. »
« Il est remarquable que nous soyons revenus, en plein système de la raison, et en pleine conséquence logique de ce système, à la vision « primitive » d’imputer tout événement, et la mort en particulier, à une volonté hostile. Mais c’est nous, et nous seuls qui sommes en pleine primitivité (celle justement dont nous affublons les primitifs pour l’exorciser), car cette conception chez les « primitifs » correspondait à la logique de leurs échanges réciproques et ambivalents avec tout ce qui les entourait, si bien que même les catastrophes naturelles et la mort étaient intelligibles dans le cadre de leurs structures sociales — alors que chez nous elle est franchement paralogique, c’est la paranoïa de la raison, dont les axiomes font partout surgir l’inintelligible absolu, la Mort comme inacceptable et insoluble, l’Accident comme persécution, comme résistance absurde et méchante d’une matière, d’une nature qui ne veut pas se ranger sous les lois « objectives » où on l’a traquée. D’où la fascination toujours plus vive pour la catastrophe, l’accident, l’attentat : c’est la raison elle-même traquée par l’espoir d’une revanche universelle contre ses propres normes et ses propres privilèges. »
« Nous sommes tous des otages, c’est là le secret de la prise d’otages, et nous rêvons tous, au lieu de mourir bêtement à l’usure, de recevoir la mort, et de donner la mort. »
La mort vient punir la culpabilité impardonnable
« Le désir de tuer coïncide souvent avec le désir de mourir soi-même ou de s’anéantir » — « l’homme désire vivre, mais il désire aussi n’être rien, il veut l’irréparable, et la mort pour elle-même. »
Le poétique, c’est l’insurrection du langage contre ses propres lois.
— L'échange symbolique et la mort, Jean Baudrillard
EDIT - 16/11/24 (pour toi)
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"Le jeûne intermittent appliqué au régime keto"
Le jeûne intermittent est une méthode de jeûne cyclique qui connaît un regain de popularité dans le domaine de la perte de poids et du mode de vie sain. Cette méthode consiste à alterner des périodes de jeûne avec des périodes de repas normaux. Lorsqu'elle est combinée avec un régime riche en graisses et faible en glucides, également connu sous le nom de régime keto, elle peut
jeûne intermittent keto
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Langue naturelle
Il arrive à la Nature ce qui arrive aux langues civilisées, à savoir la disparition de la subtilité, de la nuance, de la différenciation. Quel rapport entre le français écrit, récité ou déclamé de Racine, Molière, Hugo et l’ersatz langagier éructé sur les ondes médiatiques, le franglais du quotidien et le globish des réseaux dits sociaux ? Retrouvera-t-on jamais la faune et la flore des campagnes de l’Ancien Régime, ou même celles d’avant 1918, au milieu de cette France des zones commerciales, des pesticides, du macadam et de l’abattage industriel ? L’appauvrissement des ressources est exactement parallèle, pour ne pas dire consubstantiel, car les savoirs ne sont plus transmis et l’on favorise l’immédiateté et la rentabilité au détriment du temps biologique et cyclique. La mémoire humaine se vide des outils de l’intelligence – le temps de la réflexion, le sens des nuances, la joie de transmettre – comme la Nature perd ses ressources fondamentales – l’espace, l’air, l’eau, l’obscurité. Mais a-t-on jamais eu besoin d’apprendre à nommer ce qui déjà n’existe plus ? La perte de substance de la vie humaine qui génère l’étiolement du langage, et le fait que cette triste humanité entraîne dans sa chute le décor qui l’environne, sont des phénomènes synchronisés. L’humain honteux tente encore, pensant au regard furieux que ses aïeux porteraient sur lui, de sauver les apparences en constituant des “réserves naturelles”, des “espaces protégés” ou la Nature, étroitement surveillée et “gérée” par des gens qui l’ont rencontrée à l’école, est supposée fonctionner en vase clos – sorte de Disneylands naturalistes conçus sur le modèle des parcs nationaux américains. Il en va de même pour notre pauvre langue qui tente de s’accrocher aux pages tristement closes des dictionnaires académiques. Quelques établissements universitaires s’amusent encore à jouer avec le souvenir de la finesse étymologique et celui du sens particulier, de l’exception, de l’usage populaire. Mais à quoi bon ? Qui sauvera l’outarde canepetière et l’imparfait du subjonctif ? L’habitat de l’une est saccagé, l’emploi de l’autre est ignoré. Ce sont les mots qui définissent la beauté d’un lieu… retirez-lui sa magie et la poésie disparaît. J.-M. M.
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Entrer en Avent
Les échéances et les dates importantes ne manquent pas dans notre calendrier mondial. Au milieu de tant d'événements, le commencement d'une nouvelle année liturgique risque de ne guère retenir l'attention. Pourtant l'Église nous invite à vivre quatre semaines d'Avent.Il est bon pour nous de voir ce que signifie ce temps de l'Avent, comment il est structuré, et comment il est célébré par la liturgie. Temps de l'avènement ou de la venue du Seigneur, l'Avent appelle de notre part attente et vigilance : une vigilance tournée vers Noël mais aussi vers Pâques, une vigilance qui trouvera son accomplissement dans la vigile pascale.
Le dimanche 28 novembre, nous allons entrer en Avent : un Avent qui cette année comptera quatre semaines complètes, et aura donc sa durée maximale. Il est moins facile de caractériser l'Avent que de caractériser le carême, et donc il n'en est que plus nécessaire de mieux connaître ce temps, pour mieux le vivre et mieux le célébrer, individuellement et en communauté, que celle-ci soit paroissiale ou religieuse. Au début d'un nouveau temps liturgique et d'une nouvelle année liturgique, il convient de proposer une réflexion sur notre manière d'habiter le temps, mais aussi sur les sentiments et comportements humains que nous vivons davantage tout au long de ces quatre semaines. Après quoi, nous proposerons deux approches de l'Avent : une approche humaine et psychologique, puis une approche fondée sur les textes de la liturgie.
Habiter le temps :
Nous allons donc entrer en Avent. Nous quittons le temps « ordinaire » pour aborder le temps de l'Avent et commencer une nouvelle année liturgique. Puis, dans quelques semaines, nous serons au 1er janvier 2022 et entrerons dans une nouvelle année civile. Nous vivons dans le temps. Que faut-il entendre par là ? En fait, chacun de nous habite plusieurs temps, plusieurs espaces temporels. Nous habitons d'abord des temps linéaires, qui ont un commencement et une fin. Nous nous situons dans l'histoire de l'humanité, dont les origines demeurent imprécises, et qui aura son terme à la fin du monde. Par ailleurs, en disant que nous sommes en 2021 ou 2022 (après J.-C.), nous nous situons dans une histoire « chrétienne », qui a commencé avec la venue du Christ et s'achèvera avec son deuxième avènement. Tout homme se situe également à un moment donné de l'histoire de son pays, avec des repères qui varient d'un pays à l'autre : avant ou après la guerre, avant ou après l'indépendance, avant ou après l'avènement ou la chute d'un régime, etc. Enfin, chacun de nous habite son temps personnel, qui a commencé à sa naissance et se terminera à sa mort : chacun a son présent, son passé et son avenir. Toutes ces histoires sont linéaires, les jours s'ajoutant aux jours et les années aux années. Mais nous habitons aussi un temps cyclique, qui se renouvelle et se répète. Trois cycles structurent le déroulement de notre vie. D'abord le cycle quotidien, du jour et de la nuit, fondamental pour la vie de l'homme, avec l'alternance mystérieuse de l'activité et du sommeil. Notre vie suit également le cycle hebdomadaire, ce cycle de sept jours, scandé pour les chrétiens par la célébration dominicale et pour tous par le loisir de fin de semaine. Enfin, nous parcourons le cycle annuel, vécu très différemment selon la condition de chacun : très important pour le cultivateur, moins important pour le citadin qui attend seulement la période d'été pour les vacances, vécu de façon originale et arbitraire par tout le monde scolaire et universitaire, qui découpe l'année en semestres ou en trimestres. Ainsi, nous habitons à la fois des temps linéaires et des temps cycliques ou circulaires. Une remarque, dont devra tenir compte la liturgie, s'impose immédiatement : une ligne a un commencement, mais un cercle ou un cycle n'a pas de point initial ; on ne peut dire où commence une roue. Cela se vérifie pour les trois cycles - quotidien, hebdomadaire, annuel - que nous avons indiqués. Le jour commence officiellement à 0 heure mais, en fait, il commence au lever du soleil ou au lever de l'homme, et, pour la Bible, il commence la veille, lorsque tombe la nuit : « Il y eut un soir et il y eut un matin : premier jour » (Gn 1, 5). Au moins pour les dimanches et les solennités, la liturgie a conservé ce système : l'Avent commencera donc dès le 27 novembre au soir, avec les premières vêpres du dimanche. Une divergence semblable existe pour le début de la semaine : le dimanche en est-il le premier jour, selon la conception de l'Ancien Testament et du Nouveau Testament ainsi que de la liturgie, ou bien est-il le septième jour, où l'homme se repose après tout le travail de la semaine ? Les agendas et calendriers font du dimanche le dernier jour de la semaine, celle-ci commençant le lundi matin. Il n'est pas moins difficile de fixer le début de l'année. Officiellement, depuis quelques siècles, l'année civile commence au 1er janvier, après avoir commencé au 1er mars, au 25 mars ou à Noël. Mais l'année scolaire, universitaire, professionnelle, commence en septembre ou en octobre. Seuls les chrétiens, et même les plus attentifs d'entre eux, remarquent le début de l'année liturgique au premier dimanche de l'avent, donc à une date variable, proche du 1er décembre. Ainsi, nous habitons à la fois un temps linéaire, ou plusieurs temps linéaires, et trois temps cycliques, que nous parcourons chaque jour, chaque semaine, chaque année (à quoi s'ajoute encore la très subtile division en mois). La ligne traverse les cercles, la trajectoire historique traverse la triple périodicité cosmique et humaine. Nous vivons une étrange combinaison de l'irréversible et du répétitif. De toute façon, le temps se déroule, le temps enroulé est déroulé comme un fil, et nous vivons « au fil du temps ».
Approche humaine de l'avent :
Les années succèdent aux années, mais elles ne sont pas identiques. Notre année 2011 a eu ses caractéristiques personnelles, familiales, professionnelles, politiques, internationales, et l'année 2022 sera différente. De même, les années liturgiques se suivent, mais ne sont pas identiques. Si la liturgie célèbre la relation entre Dieu et les hommes, Dieu ne change pas, mais les hommes changent, dans leur situation personnelle et plus encore dans leur situation ecclésiale, nationale et mondiale. En cet Avent 2021, un Sauveur vient dans le monde, mais le monde de 2021-2022, avec ses problèmes et ses conflits, n'est pas identique à celui de l'année dernière ou à celui de l'année prochaine. Du point de vue humain, chaque Avent est unique et irréversible. Le mot « Avent » traduit le latin adventus qui signifie « avènement, venue ». En ce temps de l'Avent, le Seigneur vient vers nous, et nous célébrons et attendons sa venue. Divers sentiments qui appartiennent à notre expérience humaine parcourent ce temps de l'Avent, se retrouveront dans la liturgie, et caractérisent notre attitude chrétienne pendant ces quatre semaines.
L'attente : Nous avons tous l'expérience de l'attente : attendre un bus qui n'arrive pas, une lettre qui pour nous est importante, une personne qui est en retard. L'attente n'est pas seulement passive. Dans le verbe « attendre », il y a le mot « tendre », avec son élan, son mouvement, son dynamisme. Le temps de l'Avent ne consiste pas à attendre de façon passive le jour de Noël, mais à nous mobiliser pour aller à la rencontre de celui qui vient. À notre attente de Dieu, répond l'attente de Dieu sur nous : Dieu nous attend, le Sauveur nous attend. Dans la Règle de saint Benoît, il est écrit : « Le Seigneur nous attend chaque jour ». Il y a donc une attente réciproque pendant ces quatre semaines. La vigilance : Beaucoup de textes de l'Avent nous invitent à la vigilance, et nous savons que l'attente s'accompagne d'attention et de vigilance : il ne faut pas laisser passer, sans nous en apercevoir, celui que nous attendons. Dans notre monde et notre langage, deux groupes de personnes semblent spécialistes de la vigilance : les vigiles qui de diverses manières assurent la sécurité, et les moines trappistes qui se lèvent la nuit pour célébrer l'office des vigiles. Les vigiles chargés de la sécurité ou de la protection regardent, observent, pour maintenir le bon ordre : sans eux, c'est le désordre et l'insécurité. La vigilance ou la veille des trappistes est différente : ils veillent tandis que les autres dorment. Ils veillent sur le monde, sur l'ordre entre le ciel et la terre. Leur regard est tourné à la fois vers Dieu et vers les hommes : contemplation et compassion. _Le désir : L'attente s'accompagne bien souvent du désir, de l'impatience du désir, et la liturgie de l'avent mentionne souvent le désir. Il vaut la peine de relever l'étymologie de ce mot, qui vient du latin desiderium, composé du préfixe de, qui marque l'absence, et de sidus, qui signifie « étoile » et que nous retrouvons dans « sidéral ». Le désir est donc, au sens premier, la recherche de l'étoile qui nous manque. Au temps de l'Épiphanie, les mages seront heureux de retrouver l'étoile qui les conduira à la crèche. Et durant l'avent nous sommes habités par le désir de contempler l'Étoile, l'Étoile de David, le Christ lumière. La patience : Certains d'entre nous sont patients par nature, et d'autres sont impatients, comme l'enfant qui veut que son « désir » soit réalisé dans l'instant. Dans la vie humaine, la patience a une double signification et une double fonction. D'une part, elle représente la force de l'homme adulte qui accepte la durée, qui comprend le sens du temps, qui reconnaît la nécessité d'une élaboration et d'une maturation. La patience est donc signe de maturité et de maîtrise de soi. Mais elle peut aussi être signe de faiblesse : se résigner à attendre, sans avoir le courage de prendre une décision : « il est urgent d'attendre ».Le deuxième sens de la patience est la force de l'homme qui sait supporter l'épreuve et la souffrance. Ici encore, l'étymologie est éclairante. Le mot « patience » vient du latin pati, « souffrir », dont vient également « passion ». L'homme patient est capable d'affronter la souffrance ; il ne se laisse pas accabler ou anéantir ; il trouve même dans l'épreuve l'occasion de grandir, de se dépasser et d'apprendre la compassion. Il arrivera souvent que l'homme ait à unir et pratiquer ensemble les deux formes de la patience. Le malade qui va chez le médecin ou entre à l'hôpital devient un patient : un patient qui attend, de multiples façons, et un patient qui souffre dans son corps et dans son esprit. De même, l'homme affronté à l'épreuve, au danger, à l'incertitude, fait lui aussi l'expérience de la patience d'un temps dont il ne connaît pas le terme (quand serai-je libéré ?) et de la patience au sens de souffrance physique et morale. Ceux qui sont retenus en otage sont les exemples extrêmes de cette double patience.
Pour le chrétien et pour l'Église, les quatre semaines de l'Avent constituent un stage annuel de patience, un stage d'attente, de vigilance et de désir, à l'horizon duquel se profile le temps de la Passion et de la Résurrection.
C'est l'Avent
Voir en ligne : Avent
Article déjà paru sur notre site internet en novembre 2011.Avec l'aimable autorisation des éditions du Cerf et l'auteur de cet article Mr Philippe Rouillard.
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Piloter un hélico
Contrairement à l'avion à voilure fixe, le profil aérodynamique principal de l'hélicoptère sera l'ensemble de pales tournantes (rotor) monté sur son fuselage sur l'arbre articulé (mât) associé aux commandes du moteur et de la circulation aérienne du véhicule. Comparé à un avion, la queue d'un hélicoptère est presque allongée ainsi que le gouvernail de petite taille; la queue est installée avec un minuscule rotor anti-couple (rotor de queue). Le train d'atterrissage est parfois composé de patins au lieu d'assemblages de pneus. Le fait que l'hélicoptère acquière sa puissance de levage grâce à une voilure tournante (le rotor) complique considérablement les facteurs impactant son vol, car en plus la transformation du rotor mais il monte et descend également dans un mouvement de battement et est affecté par le mouvement horizontal ou droit dans l'héli seul. Contrairement aux profils aérodynamiques typiques, les profils aérodynamiques hélicoïdaux sont généralement symétriques. La collection d'accords d'un rotor, tout comme la collection d'accords d'une aile, est certainement une ligne imaginaire entraînée de votre avantage supérieur à la frange arrière du profil aérodynamique. Le vent d'un membre de la famille est la trajectoire du vent par rapport au profil aérodynamique. À l'intérieur d'un avion, l'itinéraire de vol à partir de l'aile est fixé en fonction de son vol aérien en avance; à l'intérieur d'un hélicoptère, Helicoland la trajectoire de vol du rotor s'améliore vers l'avant (pour la zone de nez de l'hélicoptère) puis vers l'arrière (vers la queue de l'hélicoptère) au cours de ce processus de mouvement arrondi. Le vent relatif est certainement considéré comme parallèle et opposé à la trajectoire de vol de la compagnie aérienne. En considérant les voyages en hélicoptère, le flux de vent relatif pourrait être affecté par la rotation des pales, le mouvement latéral de l'hélicoptère, le battement des pales du rotor et la vitesse et la direction du vent. Dans les voyages en avion, le vent qui souffle généralement est un mélange de la rotation de la pale du rotor et du mouvement du hacheur. Comme une hélice, le rotor a une position de tangage, qui est la perspective impliquant l'avion horizontal de rotation à partir du disque de rotor ainsi que la ligne d'accord du profil aérodynamique. Le pilote utilise la gestion de tangage combinée et cyclique (voir ci-dessous) pour faire varier cet angle de tangage. Dans un avion à voilure fixe, la perspective de l'assaut (l'angle de l'aile par rapport au flux de vent relatif) est essentiel pour déterminer la portance. Il en va de même à l'intérieur d'un hélicoptère, où la perspective de l'agression est certainement la position à laquelle le membre de la famille qui souffle le vent satisfait la ligne d'accord de la pale de rotor. La perspective de l'attaque et l'angle de tangage sont deux conditions distinctes. Une position différente de la pale du rotor modifie son angle de frappe et donc son élévation. Une position de tangage accrue (jusqu'au début du décrochage) augmente la relance; une position de pas inférieure le réduira. Les lames de coupe individuelles du rotor ont leurs angles de pas modifiés séparément. La vitesse du rotor contrôle également la portance: plus les tours par minute (tr / min) sont élevés, plus la montée est importante. Néanmoins, l'initiale fera normalement un effort pour avoir un régime de rotor constant et modifiera définitivement la poussée de montée en fonction de l'angle de frappe. Tout comme l'avion à aile réparée, la densité de l'atmosphère (le résultat de la chaleur de l'air, de l'humidité et des contraintes) affecte les performances de l'hélicoptère. Plus la densité est élevée, plus l'augmentation sera générée; plus la densité est faible, moins il y aura d'augmentation. Tout comme dans le plan à voilure fixe, une modification de l'élévation entraîne également une amélioration de la traction. Lorsque l'élévation est plus grande en augmentant la taille de l'angle de tangage et donc la perspective d'attaque, la traction augmentera et ralentira le régime du rotor. Une puissance supplémentaire sera demandée pour conserver un régime souhaité. Par conséquent, alors qu'un hélicoptère est affecté comme un avion traditionnel par les facteurs de montée, de poussée, de poids corporel et de traînée, son mode de transport aérien induit d'autres effets.
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Carb Cycling Musculation : Perdre de la graisse sans sacrifier vos performances
Le Carb Cycling en Musculation : Perdre de la graisse sans sacrifier vos performances. Le carb cycling aide à brûler les graisses et booster vos performances. Découvrez comment optimiser votre entraînement avec cette méthode. Pour voir ça, rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien, fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés » ou rendez-vous dans votre boîte mail. #carbcycling #musculation #pertepoids #fitness #régime #nutrition #nutritionfitness #glucides #diète #fitnessmotivation #entraînement
Le “carb cycling“, ou cyclage des glucides, est devenu une stratégie populaire dans l’univers du fitness et de la musculation. Cette méthode promet de vous aider à perdre de la graisse tout en maintenant vos performances. Mais qu’est-ce que le carb cycling exactement, et pourquoi tant d’athlètes et pratiquants de musculation l’adoptent-ils ? Dans cet article, nous explorons en profondeur ce…
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En voyage avec Marcus Aurelius
Marcus Aurelius
Marcus était un empereur romain passionné de philosophie, cependant, pas un philosophe-dirigeant dans la perception de Platon. Entre autres choses, il n'a pas réussi à entreprendre le programme ardu de révision nécessaire à Platon, et de toute façon, la philosophie que Marcus adopte, bien que platonicienne dans certains endroits, est clairement généralement stoïcienne par nature. Néanmoins, cela pourrait aussi être une erreur de négliger Marcus, de l'emmener chercher un penseur au second prix qui devenait empereur. Nous avons maintenant, dans ses écrits, pratiquement rien de moins qu'un type de distillation de l'approche stoïcienne qui est filtrée à travers les besoins pratiques d'un individu en possession d'une énergie politique monumentale. Son chemin vers le pouvoir était rare. Marcus a été utilisé et présenté correctement par son grand-père, l'empereur Antonius Pius (lui-même utilisé par l'empereur Hadrien). En vivant tous les équilibres, Marcus était un excellent étudiant de la rhétorique, de la poésie et de la législation, mais il semble avoir pris une fascination jeune et incroyablement ardente pour le point de vue, en particulier les articles de l'Épictète stoïcien. Avec un groupe d'âge précoce, peut-être aussi jeune que 11 ans, il a commencé à s'habiller clairement et à adhérer à ce qu'il avait considéré comme un régime sévère de recherche, voyage entreprise Le Caire de frugalité et de déni personnel d'un stoïcien. Peut-être est-il allé trop loin, car il y a des records que sa santé globale a endurée. À la mort d'Antonius, Marcus et son inutile frère Lucius, également utilisé par Antonius, montèrent sur le trône. Il est clair que Marcus aurait pu gouverner seul, mais étonnamment, il a décidé d'offrir la règle des articulations de Lucius. Ils ont partagé le pouvoir jusqu'à la mort de Lucius en 169 après JC. Marcus a alors gouverné par vous-même, et par tous les équilibres en général bien, jusqu'à sa mort, peut-être de troubles, tout en menant une campagne de marketing près du haut Danube. Si sa mort semble angoissante, ce n'est vraiment rien comparé aux difficultés de Rome pendant son règne. Il était presque continuellement en guerre avec les Parthes; les barbares en danger dans les hautes frontières de la France; il a investi des années à combattre les tribus allemandes sur le Danube; il réprima deux révoltes de lieutenants récalcitrants; sa moitié probablement, beaucoup moins meilleure, Faustine, est décédée brusquement; Rome a enduré un minimum d'un problème principal pendant sa ligne directrice, avec la famine, les inondations, les incendies et les tremblements de terre; et un seul de ses enfants est décédé plus jeune. Son enfant survivant, Commodus, était vil et n'aurait pas été beaucoup plus confortable et facile. Les stoïciens considèrent la nature comme seule divine et cyclique - la considération est clairement panthéiste - consistant en des périodes de vie et de conflagration cataclysmique, éternellement répétées. Les stoïciens ultérieurs impliqués seuls plus avec les valeurs que la métaphysique, et certainement le cerveau romain utile de Marcus est presque entièrement préoccupé par la façon dont on devrait vivre. Néanmoins, l'opinion selon laquelle le caractère est, pour une raison quelconque, à la fois divin et se déplaçant sur un certain chemin, en dépit de nos alternatives, explique en partie le regard du stoïcien selon lequel l'existence dirigée en équilibre avec la nature est l'existence idéale, l'existence vertueuse. De plus, cela clarifie la fameuse indifférence inébranlable des stoïciens à l'égard de l'argent et du malheur. Tout ce qui nous arrive fait partie du déroulement de tout programme divin qui est à la fois au-delà de notre pouvoir d'affecter et, lui-même, finalement excellent. Une image stoïcienne qui fait l'idée est celle de l'animal lié à l'arrière d'un wagon. Si le chariot bouge, votre chien peut soit être traîné en jappant, aboyer et étrangler seul en tirant dans le sens inverse, ou il peut calmement aller avec lui. Votre chien part exactement dans le même chemin quoi qu'il décide de faire; sa seule vraie sélection est de savoir comment elle fait face à son destin payé. Comme Marcus se le rappelle constamment, un stoïcien doit faire une variation entre ce qui dépend de nous et ce qui n'est pas autant que nous. En cela, il fait écho à Epictète: «A nous sont l'opinion, l'impulsion, le désir, l'aversion. … Pas autant que nous sommes le corps, la maison, les antécédents, le bureau. »Si l'on commet l'erreur de supposer, par exemple, que votre position sociale dépend de vous, dans votre sphère de contrôle, vous serez insatisfait ; vous allez vous considérer comme lésé par ceux qui vous négligent pour votre promotion et déplorent vos échecs. Les déceptions, cependant, ne sont généralement pas celles que vous avez. Vous avez simplement le pouvoir sur vos opinions et vos attitudes, et ici, seul, la vertu est facile pour le stoïcien.
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Les recommandations de la Haute autorité de santé
Voici de quoi clore cette semaine de sensibilisation! Le 17 janvier 2018, la Haute autorité de santé (HAS) a ENFIN, sorti de nouvelles recommandations pour la prise en charge de l’endométriose (les dernières dataient de 2006). Les associations Endofrance et Endomind, ont participé à leur élaboration. Quitte à me farcir lire tout ça, je me suis dit que j’allais vous en faire un résumé, qui vaut ce qu’il vaut. Du simple mémo de quatre pages au dossier complet de quatre-cents pages, je m’appuie ici sur celui de quarante afin d’avoir des informations complètes mais néanmoins compréhensibles par le commun des mortels. A noter que toutes les recommandations ne se valent pas. Elles sont classées ainsi:
A : preuves scientifiques établies (Niveau de preuve 1 = élevé)
B : présomptions scientifiques (NP2)
C : faible niveau de preuves (NP3 et 4)
AE : accord experts
Il est indiqué en préambule que l’adénomyose (= endométriose ayant infiltré le muscle utérin) n’a pas traitée. Paradoxalement, dans le dossier de 400 pages, elle est évoquée 114 fois. Seuls trois cas d’endométrioses sont étudiés: péritonéale, ovarienne et profonde et ce choix n’est pas justifié. En ce qui concerne l’adénomyose, les médecins ne sont pas tous d’accord. Certains estiment que c’est un phénomène naturel, passé 40 ans, et que c’est quand cela arrive avant que c’est anormal et qu’il s’agit d’endométriose utérine et non d’adénomyose. Ce qui peut explique son exclusion.
Les experts se sont mis d’accord pour “prendre en charge l’endométriose lorsqu’elle a un retentissement fonctionnel (douleur, infertilité) ou lorsqu’elle entraîne une altération du fonctionnement d’un organe.”(AE) Cette recommandation découle probablement du fait qu’aujourd’hui il n’existe pas de traitement spécifique et que les traitements ne sont pas dépourvus d’effets secondaires.
“Les données de la littérature ne sont pas en faveur d’une progression de l’endométriose au fil du temps, que ce soit en termes de volume ou de nombre des lésions.”(C, NP3) Dès lors, la HAS estime qu’il n’y a pas de données suffisantes pour préconiser un suivi systématique par imagerie des patientes diagnostiquées.
Bien qu’il existe environ 25% de cas asymptomatiques (réf. Endométriose: vaincre la douleur et l’infertilité, Giselle Frénette) les experts se sont accordés (AE) sur le fait qu’il n’est pas recommandé de faire un dépistage de la population en général. Une décision de bon sens, si l’on devait faire passer les tests pour toutes les maladies à l’ensemble de la population, nous passerions notre vie à faire des dépistages...
“À noter que les symptômes douloureux comme la dysménorrhée intense ou les dyspareunies profondes, sont fréquents en population générale (C) et ne sont pas systématiquement reliés à l’endométriose (C).“ “L’endométriose peut être associée à une modification des seuils douloureux avec discordance anatomoclinique (phénomène de sensibilisation) renforçant la douleur (B).” Cette dernière phrase me pose problème, outre le fait qu’il ne faudrait pas que cela accrédite l’accusation de douillette, la perception de la douleur est effectivement modifiée mais dans tous les sens. Ainsi les endométriosiques développent une résistance à la douleur. Si celle-ci peut-être utile, notamment lors des accouchements, elle nous rend aussi dangereuse pour nous même. J’ai ainsi passé une semaine avec une infection urinaire, trop habituée aux douleurs pelviennes pour réagir, et j’ai réagi une fois que j’ai eu de la fièvre et des douleurs au niveau des reins. Et ce genre d’histoires donne généralement lieu à un concours lors de rencontre entre malades! “Le syndrome douloureux chronique des patientes atteintes d’endométriose peut être responsable d’un retentissement physique, psychique et social important.”(C) Une reconnaissance de l’impact de l’endométriose sur nos vies, des plus appréciable.
Les experts sont d’accord sur le fait qu’en “cas de dysménorrhée isolée, sans autre symptôme douloureux ni souhait de grossesse immédiat, la recherche d’une endométriose n’est pas recommandée en cas d’efficacité de la contraception hormonale sur la dysménorrhée.”(AE) A mon sens, il s’agit de reculer pour mieux sauter puisque le jour où la patiente arrêtera la pilule pour avoir un enfant, il faudra qu’elle court après les médecins pour avoir le diagnostic, le tout dans la souffrance. Et si elle ne veut pas d’enfant, comme dirait l’adage populaire “pas de bras, pas de chocolat”! Je fait partie des cas qui ont connu une "explosion” de l’endométriose (rupture de kyste, occlusion intestinale, appendice qui se nécrose, embolie pulmonaire,...) et qui est donc arrivée aux urgences avec un manque cruel d’informations médicales sur son cas. Avoir un diagnostic et des images précises, permet d’éviter de se retrouver dans de telles situations, en contrôlant la maladie ou, à défaut, permet aux urgentistes de mieux appréhender le problème. Sans compter qu’une fois que l’endo “explose” l’état de santé se dégrade rapidement et qu’il faut se traîner de cabinet en cabinet. Ainsi cet accord des experts semble être plus un aveu de manque cruel de moyens, qu’une réelle recommandation... (Intuition confirmée par la conférence des portes ouvertes de l’hôpital Saint-Joseph.)
La stratégie diagnostique préconisée est la suivante :
“Chez les patientes souffrant de douleurs pelviennes chroniques, il est recommandé de rechercher une endométriose profonde en cas de douleur à la défécation pendant les règles, de signes urinaires cycliques, de dyspareunie profonde intense, ou d’infertilité associée.”(B)
“L’échographie pelvienne et l’IRM apportent des informations différentes et complémentaires.”(AE) (Le lavement rectal permet une meilleur visibilité et de ne pas avoir recours au gel de contraste au niveau du rectum et du vagin.) Dans ce paragraphe il est question de la qualification des radiologues car un non-spécialiste peut passer à côté de lésions endométriales. Il existe aussi des examens pour les atteintes spécifiques au recto-sigmoïde ou au niveau urinaire. La coelisocopie diagnostique n’est envisagée qu’en dernier recours, notamment en absence de d’imagerie objectivant l’endométriose.
La HAS reconnaît la nécessité de donner des informations claires aux patientes, notamment sur la fertilité. Une bonne chose car il ne se passe pas une semaine sans que je rencontre une jeune diagnostiquée, qui en raison des gros titres, est persuadée qu’elle est forcément infertile (pour rappel, cela concerne 30 à 40% des malades et la moitié réussira malgré tout à tomber enceinte). Une notice d’information est recommandée. “Au moment du choix du traitement, il est recommandé d’informer les atteintes sur les alternatives thérapeutiques, les bénéfices et les risques attendus de chacun des traitements, le risque de récidive, et de prendre en compte les attentes et les préférences de la patiente. Avant la chirurgie, des informations supplémentaires seront apportées sur son déroulement, son objectif, les inconvénients et les bénéfices escomptés, ses possibles complications, ses cicatrices, ses suites ainsi que le déroulement de la convalescence.” Il serait urgent que cette recommandation soit mise en oeuvre! Comme l’explique Anne Steiger donc son ouvrage, le plus souvent choisir un médecin c’est adhérer à telle ou telle chapelle. Certains médecins proposent donc uniquement le traitement qui a leur préférence. De m��moire, tous les livres témoignages sur l’endométriose évoquent une ménopause chimique plus ou moins imposée, sans en connaître tous les effets secondaires “tout au plus quelques bouffées de chaleur”... Quant aux chirurgies, il n’est pas rare non plus que les patientes se réveillent avec un ovaire ou une trompe en moins, ou encore une poche en plus, sans que ces risques ait été évoqués auparavant. Un traitement hormonal doit donc se prendre en tenant compte de l’avis de la patiente (notamment de ses précédentes réactions à un tel traitement). Il est, par ailleurs, préconisé de prescrire la ménopause chimique avec une add back therapy (macroprogestatif et oestrogène) pour limiter la baisse de densité minérale osseuse et limiter les effets secondaires. La prise en continue de pilule oestro-progestative fonctionne, de facto, sur les douleurs menstruelles mais pas forcément sur les douleurs pelviennes non-cycliques et la dyspareunie.
Concernant les adolescentes, il est recommandé en première intention de les mettre sous pilule et il n’est pas recommandé de les mettre sous ménopause chimique, en raison des risques sur la masse osseuse.
Bien qu’il n’y ait pas de données suffisantes pour recommander un régime alimentaire ou des suppléments vitaminiques, “l’acupuncture, l’ostéopathie et le yoga ont montré une amélioration de la qualité de vie.” Une étude a aussi démontré une efficacité modérée des herbes chinoises.
En France, contrairement aux chirurgiens pratiquant l’exérèse totale, rare sont les médecins acceptant d’opérer sans ménopause chimique préalable. Or, à contre courant, les experts se sont mis d’accord sur le fait qu’il “n’y a pas de preuve permettant de recommander systématiquement un traitement hormonal préopératoire dans le seul but de prévenir le risque de complication chirurgicale, de faciliter la chirurgie, ou de diminuer le risque de récidive de l’endométriose.” Les traitements sont à privilégier plutôt que de recourir à l’opération, selon le groupe d’étude. Et en cas d’opération il faut privilégier la cœlioscopie. “Les techniques d’exérèse et de destruction ont des efficacités comparables pour l’amélioration des douleurs.”(B) en ce qui concerne l’endométriose pelvienne. Cependant le groupe d’experts, nuance ensuite pour les endométriomes. “Il manque des études de bon niveau de preuve comparant la kystectomie à la destruction au laser ou à l’énergie plasma pour recommander ces techniques en remplacement de la kystectomie.” “Une évaluation de la réserve ovarienne peut être utile avant la chirurgie pour endométriose.”
Voilà, difficile de résumer ce texte barbare en quelque chose de digeste mais j’espère qu’au moins vous avez compris dans quelles directions la France se dirige pour notre prise en charge. Personnellement j’ai noté des avancées (encore faut-il qu’elles soient appliquées...) mais il reste beaucoup à faire et je ne suis pas fan de l’option “tout pilule” mais je vous laisse vous faire votre propre opinion. Soyez des patient.e.s éclairé.e.s et prenez soin de votre santé!
#HAS#recommandations#document officiel#bonnes pratiques#endolecture#recommandation de bonnes pratiques
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Les fondations philanthrocapitalistes et l'écologisme corporatiste
Les deux exemples, ci-après, des financements de l’ONG de Jane Goodall (Jane Goodall Institute) et de l’ONG 350(.org), sont assez représentatifs de la manière dont fonctionne l’écologisme grand public. Les personnalités et les organisations de premier plan de l’écologisme, celles dont les médias parlent souvent, sont rarement révolutionnaires, pour ne pas dire jamais. Leur discours se limite souvent à diverses platitudes, à l’encouragement de toutes sortes de fausses solutions et à l’énonciation de propositions relativement creuses, ou pire (faire cesser la pauvreté/développer les énergies et technologies vertes/développer le bio/aller au travail à vélo/développer le développement durable/voter pour les gentils/etc.). Et leurs actions à du palliatif (qui peut néanmoins, dans certains cas, s’avérer réellement important).
Le financement de l’ONG de Jane Goodall
Le financement de l’ONG 350.org
Les mêmes raisons qui poussent les médias de masse (qui, dans l’ensemble, appartiennent à[1] — et véhiculent grosso modo l’idéologie de — la même classe d’individus que l’on retrouve derrière les fondations philanthrocapitalistes) à promouvoir l’écologisme des grandes ONG et de quelques personnalités subventionnées (par le privé ou le public), poussent les fondations philanthrocapitalistes privées et/ou les organismes publics à financer ces ONG et ces individus : ils sont inoffensifs pour la société industrielle capitaliste actuelle.
Ainsi l’ONG 350.org a-t-elle été créée et continue-t-elle d’être financée par l’argent des Rockefeller et de beaucoup d’autres ultra-riches capitalistes ; ainsi la fondation Jane Goodall est-elle financée par diverses fondations philanthrocapitalistes et même directement par quelques corporations, dont une compagnie aérienne ; et ainsi du WWF, qui est financé par et qui collabore avec diverses multinationales (Coca-Cola, HSBC, etc.) et fondations ; et ainsi de la fondation GoodPlanet de Yann Arthus-Bertrand, « fondée avec le soutien de trois banques […] : BNP Paribas, la banque suisse Lombard Odier, et Cortal Consors, filiale de BNP spécialisée dans le trading en ligne pour les particuliers », qui collabore avec Total[2] et est « financée notamment par des dons d’entreprises, comme Casino, Suez ou BNP[3] » ; ainsi le film Demain de Cyril Dion a-t-il été subventionné par l’AFD et coproduit avec France Télévisions, de même que son film documentaire Après-Demain ; etc.
Au bout du compte, ces ONG et personnalités grassement subventionnées, financées et médiatisées constituent une sorte de caution écologiste de la société industrielle capitaliste. Elles permettent de canaliser et de contrôler les inquiétudes populaires vis-à-vis du sort du monde naturel. Leur écologisme est à l’écologie ce que les régimes électoraux modernes sont à la démocratie. Une imposture. À propos de ces écologistes grand public, l’Encyclopédie des Nuisances de Jaime Semprun écrivait, dans son Adresse à tous ceux qui ne veulent pas gérer les nuisances mais les supprimer, en juin 1990, qu’ils :
« sont sur le terrain de la lutte contre les nuisances ce qu’étaient, sur celui des luttes ouvrières, les syndicalistes : des intermédiaires intéressés à conserver les contradictions dont ils assurent la régulation, des négociateurs voués au marchandage (la révision des normes et des taux de nocivité remplaçant les pourcentages des hausses de salaire), des défenseurs du quantitatif au moment où le calcul économique s’étend à de nouveaux domaines (l’air, l’eau, les embryons humains ou la sociabilité de synthèse) ; bref, les nouveaux courtiers d’un assujettissement à l’économie dont le prix doit maintenant intégrer le coût d’un « environnement de qualité ». On voit déjà se mettre en place, cogérée par les experts « verts », une redistribution du territoire entre zones sacrifiées et zones protégées, une division spatiale qui réglera l’accès hiérarchisé à la marchandise-nature. Quant à la radioactivité, il y en aura pour tout le monde.
Dire de la pratique des écologistes qu’elle est réformiste serait encore lui faire trop d’honneur, car elle s’inscrit directement et délibérément dans la logique de la domination capitaliste, qui étend sans cesse, par ses destructions mêmes, le terrain de son exercice. Dans cette production cyclique des maux et de leurs remèdes aggravants, l’écologisme n’aura été que l’armée de réserve d’une époque de bureaucratisation, où la « rationalité » est toujours définie loin des individus concernés et de toute connaissance réaliste, avec les catastrophes renouvelées que cela implique. […]
Ce n’est donc pas une espèce de purisme extrémiste, et moins encore de « politique du pire », qui invite à se démarquer violemment de tous les aménageurs écologistes de l’économie : c’est simplement le réalisme sur le devenir nécessaire de tout cela. Le développement conséquent de la lutte contre les nuisances exige de clarifier, par autant de dénonciations exemplaires qu’il faudra, l’opposition entre les écolocrates – ceux qui tirent du pouvoir de la crise écologique – et ceux qui n’ont pas d’intérêts distincts de l’ensemble des individus dépossédés, ni du mouvement qui peut les mettre en mesure de supprimer les nuisances par le « démantèlement raisonné de toute production marchande ». Si ceux qui veulent supprimer les nuisances sont forcément sur le même terrain que ceux qui veulent les gérer, ils doivent y être présents en ennemis, sous peine d’en être réduits à faire de la figuration sous les projecteurs des metteurs en scène de l’aménagement du territoire. Ils ne peuvent réellement occuper ce terrain, c’est-à-dire trouver les moyens de le transformer, qu’en affirmant sans concession la critique sociale des nuisances et de leurs gestionnaires, installés ou postulants. »
Leur critique de la gestion des nuisances, qui est aussi une critique de la gestion des inquiétudes et des contestations populaires, rejoint en cela la dénonciation de l’ONGisation de la résistance formulée, entre autres, par Arundhati Roy :
Gil Scott-Heron l’avait chanté, la révolution ne sera pas télévisée, et le le collectif INCITE! d’ajouter à raison qu’elle ne sera pas non plus subventionnée.
Nicolas Casaux
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Ainsi l’ONG 350(.org) a-t-elle été créée et continue-t-elle d’être financée par l’argent des Rockefeller et de beaucoup d’autres ultra-riches capitalistes ; ainsi la fondation Jane Goodall est-elle financée par diverses fondations philanthrocapitalistes et même directement par quelques corporations, dont une compagnie aérienne ; et ainsi du WWF, qui est financé par et qui collabore avec diverses multinationales (Coca-Cola, HSBC, etc.) et fondations ; et ainsi de la fondation GoodPlanet de Yann Arthus-Bertrand, « fondée avec le soutien de trois banques […] : BNP Paribas, la banque suisse Lombard Odier, et Cortal Consors, filiale de BNP spécialisée dans le trading en ligne pour les particuliers », qui collabore avec Total[2] et est « financée notamment par des dons d’entreprises, comme Casino, Suez ou BNP[3] » ; ainsi le film Demain de Cyril Dion a-t-il été subventionné par l’AFD et coproduit avec France Télévisions, de même que son film documentaire Après-Demain ; etc.
Au bout du compte, ces ONG et personnalités grassement subventionnées, financées et médiatisées constituent une sorte de caution écologiste de la société industrielle capitaliste. Elles permettent de canaliser et de contrôler les inquiétudes populaires vis-à-vis du sort du monde naturel. Leur écologisme est à l’écologie ce que les régimes électoraux modernes sont à la démocratie. Une imposture. À propos de ces écologistes grand public, l’Encyclopédie des Nuisances de Jaime Semprun écrivait, dans son Adresse à tous ceux qui ne veulent pas gérer les nuisances mais les supprimer, en juin 1990, qu’ils :
« sont sur le terrain de la lutte contre les nuisances ce qu’étaient, sur celui des luttes ouvrières, les syndicalistes : des intermédiaires intéressés à conserver les contradictions dont ils assurent la régulation, des négociateurs voués au marchandage (la révision des normes et des taux de nocivité remplaçant les pourcentages des hausses de salaire), des défenseurs du quantitatif au moment où le calcul économique s’étend à de nouveaux domaines (l’air, l’eau, les embryons humains ou la sociabilité de synthèse) ; bref, les nouveaux courtiers d’un assujettissement à l’économie dont le prix doit maintenant intégrer le coût d’un « environnement de qualité ». On voit déjà se mettre en place, cogérée par les experts « verts », une redistribution du territoire entre zones sacrifiées et zones protégées, une division spatiale qui réglera l’accès hiérarchisé à la marchandise-nature. Quant à la radioactivité, il y en aura pour tout le monde.
Dire de la pratique des écologistes qu’elle est réformiste serait encore lui faire trop d’honneur, car elle s’inscrit directement et délibérément dans la logique de la domination capitaliste, qui étend sans cesse, par ses destructions mêmes, le terrain de son exercice. Dans cette production cyclique des maux et de leurs remèdes aggravants, l’écologisme n’aura été que l’armée de réserve d’une époque de bureaucratisation, où la « rationalité » est toujours définie loin des individus concernés et de toute connaissance réaliste, avec les catastrophes renouvelées que cela implique. […]
Ce n’est donc pas une espèce de purisme extrémiste, et moins encore de « politique du pire », qui invite à se démarquer violemment de tous les aménageurs écologistes de l’économie : c’est simplement le réalisme sur le devenir nécessaire de tout cela. Le développement conséquent de la lutte contre les nuisances exige de clarifier, par autant de dénonciations exemplaires qu’il faudra, l’opposition entre les écolocrates – ceux qui tirent du pouvoir de la crise écologique – et ceux qui n’ont pas d’intérêts distincts de l’ensemble des individus dépossédés, ni du mouvement qui peut les mettre en mesure de supprimer les nuisances par le « démantèlement raisonné de toute production marchande ». Si ceux qui veulent supprimer les nuisances sont forcément sur le même terrain que ceux qui veulent les gérer, ils doivent y être présents en ennemis, sous peine d’en être réduits à faire de la figuration sous les projecteurs des metteurs en scène de l’aménagement du territoire. Ils ne peuvent réellement occuper ce terrain, c’est-à-dire trouver les moyens de le transformer, qu’en affirmant sans concession la critique sociale des nuisances et de leurs gestionnaires, installés ou postulants. »
http://partage-le.com/2019/01/les-fondations-philanthrocapitalistes-et-lecologisme-corporatiste-par-nicolas-casaux/?fbclid=IwAR0q4JSDcL6kdNwQ1jg4WIGH-xA2rkRUHurxSyRbGd-4_Cy73wcITQJZV9o
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Keto Diet pour débutants – Votre guide complet
Il semble que tout le monde parle de l’alimentation keto, le régime alimentaire riche en graisses et en glucides qui promet de transformer votre corps en une machine à brûler les graisses.
Pour cette raison, le keto a augmenté en popularité au cours de la dernière année comme une stratégie pour perdre du poids rapidement.
Remerciez les fans d’Hollywood et les athlètes professionnels comme Halle Berry, Adriana Lima et Tim Tebow qui ont publiquement promu les avantages de l’alimentation, de perdre du poids à réduire le vieillissement.
Ici, vous avez tout ce que vous devez savoir pour aller à keto.
Qu’est-ce que le régime Keto?
Le régime keto change la façon dont votre corps convertit les aliments en énergie. Manger beaucoup de graisse et trop peu de glucides vous met dans la cétose, un état métabolique dans lequel votre corps brûle les graisses au lieu de glucides comme carburant.
Lorsque votre corps ne peut pas obtenir le glucose à partir de glucides, votre foie convertit les acides gras de votre alimentation en cétones, une source alternative d’énergie. Brûler des cétones au lieu du glucose réduit l’inflammation et stimule la perte de poids.
Le régime keto n’est pas nouveau, et a été autour depuis près d’un siècle. Il a été initialement développé pour traiter les personnes épileptiques. Dans les années 1920, les chercheurs ont constaté que les niveaux élevés de cétone sanguine ont mené à moins de saisies épileptiques dans les patients.
Le régime de keto est encore employé aujourd’hui pour traiter des enfants avec l’épilepsie qui ne répondent pas bien aux médicaments antiépileptiques.
Avantages pour la santé de Keto
Brûlure des graisses : vous pouvez perdre beaucoup de poids, et rapidement, dans le régime keto. Les cétones suppriment la ghréline, votre hormone de la faim, et augmentent la cholécystokinine (CCK), ce qui vous fait vous sentir rassasié. Réduire l’appétit signifie qu’il est plus facile de passer de plus longues périodes sans manger, ce qui encourage votre corps à plonger dans ses réserves de graisse pour l’énergie.
Réduit l’inflammation : le régime de keto est anti-inflammatoire et pourrait protéger contre les maladies dégénératives principales, telles que la maladie d’Alzheimer et le cancer.
Combinez et nourrissez votre cerveau : les cétones ont un impact énergétique immédiat sur votre cerveau et jusqu’à 70 % des besoins énergétiques de votre cerveau lorsqu’il limite les glucides. La graisse nourrit également votre cerveau et le maintient fort. Votre cerveau a au moins 60% de graisse, de sorte que vous avez besoin de beaucoup de bons gras pour le garder en cours d’exécution. Les acides gras essentiels, tels que les oméga-3, aident le cerveau à grandir et à se développer, tandis que les graisses saturées gardent la myéline, la couche d’isolation autour du cerveau, forte afin que les neurones puissent communiquer les uns avec les autres.
Augmenter l’énergie : la cétose aide le cerveau à créer plus de mitochondries, les générateurs d’énergie dans ses cellules. Plus d’énergie dans vos cellules signifie plus d’énergie afin que vous puissiez faire des choses.
Il réduit la glycémie : le régime de keto peut renverser et même guérir le diabète. Le keto stabilise les niveaux d’insuline et réduit la glycémie, au point que de nombreux diabétiques peuvent cesser de prendre leurs médicaments lors du passage à l’alimentation.
Menu diététique Keto: Que manger à Keto
Le régime keto se compose principalement de graisses (75 pour cent de vos calories quotidiennes), certaines protéines (20 pour cent) et une petite quantité de glucides (5 pour cent). Choisissez des aliments à faible teneur en glucides, comme la viande, le poisson, les œufs, les légumes et les bons gras.
Types de keto (standard, cyclique, pointu, sale)
Régime de céto standard : Vous mangez des glucides très faibles (moins de 50 grammes de glucides nets par jour), tout le temps. Certains adeptes de keto ne mangent que 20 grammes par jour.
Régime cyclique de keto : Le régime pare-balles tombe dans cette catégorie. Vous mangez des matières grasses et des glucides (moins de 50 grammes de glucides nets par jour) cinq à six jours par semaine. Le septième jour, augmentez votre apport en glucides à environ 150 grammes, au cours de ce qu’on appelle une journée de rétroaction des glucides.
Le cycle des glucides de cette façon vous aide à éviter les effets négatifs que certaines personnes éprouvent quand ils limitent les glucides à long terme, tels que les problèmes de thyroïde, la fatigue et les yeux secs.
Régime de keto ciblé : Suivez le régime céto standard, mais mangez des glucides supplémentaires juste avant (30 minutes à une heure) de formation de haute intensité. L’objectif du glucose est d’augmenter les performances, bien qu’aucune étude scientifique n’ait établi un lien entre l’hypoglycémie et la réduction des performances de levage de poids.
Alimentation sale de keto : Le keto sale suit la même proportion de graisse, de protéine et de hydrates de carbone que le régime normal de keto mais avec une torsion : il n’importe pas où ces macronutriments viennent. Donc, le dîner pourrait être un Big Mac sans pain avec un régime Pepsi.
Comment savoir que vous êtes en Ketose
Vous êtes en cétose lorsque vos niveaux de cétone mesurent 0,8 (millimoles par litre). Vous pouvez évaluer vos niveaux à l’aide de bâtonnets d’urine, de bâtonnets de sang ou d’un mètre sanguin. Vous pouvez également tester les niveaux d’acétone dans votre respiration à l’aide d’un analyseur de respiration.
Cependant, il suffit de garder une trace de la façon dont votre corps se sent est un moyen simple de savoir si vous avez atteint ce point idéal dans la cétose. Voici des signes que vous êtes probablement en cétose:
Réduction de la faim : Les cétones suppriment vos hormones de la faim, ce qui vous aide à vous sentir rassasié plus longtemps.
Respiration Keto : Les gens éprouvent souvent un goût métallique dans leur bouche en raison des niveaux élevés de cétone.
Perdre du poids : le régime keto brûle les graisses, donc si vous perdez du poids, vous êtes susceptible d’avoir la cétose.
Symptômes pseudo-grippaux : quand il commence, vous pouvez éprouver des symptômes de la grippe keto, tels que des maux de tête, des frissons et des étourdissements.
Article en un coup d’œil
Keto a gagné en popularité au cours de la dernière année comme une stratégie pour perdre du poids rapidement.
Le régime keto se compose principalement de graisses (75 pour cent de vos calories quotidiennes), certaines protéines (20 pour cent) et une petite quantité de glucides (5 pour cent).
Manger beaucoup de graisse et trop peu de glucides vous met dans la cétose, un état métabolique dans lequel votre corps brûle les graisses au lieu de glucides comme carburant.
Brûler des cétones au lieu de glucose stimule la perte de poids, réduit l’inflammation, nourrit le cerveau et augmente l’énergie.
Différents types de régimes keto comprennent le régime alimentaire standard, le keto cyclique et le keto sale.
Vous pouvez tester si vous êtes en cétose à l’aide d’échantillons d’urine, d’échantillons de sang ou d’un mètre sanguin. Ou recherchez ces signes : moins de faim, goût métallique en bouche et Perdre du poids.
Références:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4124736/ https://www.epilepsysociety.org.uk/ketogenic-diet#.XK29pegzZPY https: // aem.asm.org/content/73/4/1073
from Pilules Miracle https://pilulesmiracle.com/keto-diet-pour-debutants-votre-guide-complet/
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Quel est le système cyclique cétogène? À peu près tout ce que vous devez savoir
Cependant, généralement considérée comme rigide, la préparation cétogène ayant de nombreuses variantes.
La préparation régulière au Keto Boost Slim certainement la gamme la plus favorisée, mais il existe de nombreuses autres méthodes pour observer cette routine de graisse compacte, importante et indésirable – telle que la méthode des aliments cétogènes cycliques.
Le logiciel de régime alimentaire céto cyclique consiste à faire la rotation entre une graisse cétogène substantielle et totale du corps, des aliments cétogènes à teneur minimale en glucides, et à préparer un apport en glucides bien meilleur.
Ce petit rapport détaille les avantages, l’article doSpin en tant que (texte) et les moyens standard de la routine alimentaire cyclique.
Quelle est précisément la stratégie de consommation cétogène cyclique?
Le régime alimentaire cétogène est généralement un régime riche en glucides, très petit en glucides.
Lorsque vous poursuivez une stratégie de régime cétogène, vous interdisez généralement les glucides à moins de 50 grammes par jour (un seul).
Lorsque votre consommation de glucides est considérablement réduite, votre corps tout entier doit faire fondre la graisse corporelle pour produire de l’énergie au lieu du glucose ou du sucre dans le sang, à l’intérieur d’une méthode appelée cétose.
Même en cas de cétose, le corps peut utiliser des cétones – sous-produits de la dégradation excessive du corps produite par votre foie – comme source alternative d’énergie (deux).
Cependant, l’approche alimentaire cétogène cyclique est vraiment une variation de votre approche alimentaire cétogène habituelle, vous trouverez des distinctions clés impliquant les deux.
Un régime cétogène cyclique implique l’adhésion à un protocole standard de régime diète cétogène cinq à six fois par semaine, accompagné d’une consommation de glucides 1 à 2 fois supérieure.
Ces temps de consommation élevés en glucides sont parfois parfois appelés «jours de réalimentation», car ils sont destinés à reconstituer les réserves de glucose épuisées de votre corps humain tout entier.
Une fois que vous avez adopté une stratégie d’alimentation cétogène cyclique, vous vous détournez de la cétose au cours d’initiatives de ré-alimentation pour aimer les principaux avantages de l’utilisation des glucides pendant un bref laps de temps.
La stratégie du plan alimentaire cétogène cyclique prévaut entre ceux-ci en quête de développement musculaire et d’efficacité accrue des exercices.
Néanmoins, si vous pensez que cette affirmation manque, de nombreuses personnes pensent que le régime alimentaire cyclique est excellent dans votre édition standard pour augmenter le pouvoir et la masse musculaire.
Pourrait-il être comparable à Carb Biking?
Le régime alimentaire cétogène cyclique sera probablement comparé au cyclisme en glucides – néanmoins, ce n’est pas exactement le même problème.
Le cyclisme en glucides consiste à couper des glucides à des moments choisis parmi les 7 jours où votre consommation augmente chez Some Other. Ordinairement, chaque semaine est divisée en quatre à six jours d’ingestion de glucides et en un à quelques jours d’utilisation optimale.
Cependant, le système est le même, le cyclisme en glucides ne diminue pas la consommation globale de glucides de manière significative pour réussir dans la cétose.
Le cyclisme en glucides est couramment utilisé pour favoriser la diminution de la graisse, augmenter l’efficacité générale et encourager le développement musculaire (quelques-uns).
Comment vous pouvez y adhérer
Il n’existe pas de liste régulière de politiques pour la préparation de produits alimentaires cétogènes cycliques.
Même dans ce cas, tout le monde qui le souhaite doit commencer par remarquer un régime alimentaire cétogène normal, 5 à 6 fois par semaine, ce qui correspond à un apport quotidien en glucides de un à deux jours.
Possibilité Inconvénients
Étant donné que la recherche sur le régime alimentaire céto cyclique est restreinte, ses effets indésirables désagréables sont en grande partie mystérieux.
Jusqu’à ce que les recherches sur l’approche du plan alimentaire soient achevées, il est impossible de déterminer tous ses résultats.
Gardez à l’esprit le fait que de nombreuses personnes peuvent essayer de consommer beaucoup d’énergie lors des opérations de ré-alimentation, contrecarrant ainsi les avantages en termes de réduction de poids de la méthode populaire d’ingestion de céto.
En outre, il devrait être courant que la transition d’un droit normal à un régime alimentaire cyclo-cétonique puisse peut-être être conclue. En bref, l’excès de poids s’accumule – ce qui est généralement la conséquence d’un supplément d’eau qui est définitivement retenu lors de la consommation d’aliments riches en glucides .
En fait, les détaillants de corps humain Presque chaque gramme de glucides dans le muscle avec au moins 3 grammes d’eau (quatorze).
Pour les personnes qui souhaitent fortifier la masse musculaire ou faire progresser la fonctionnalité sportive, cela n’est pas connu. Dans le cas où le régime cyclique du régime alimentaire céto serait beaucoup plus réaliste par rapport à l’ordinaire.
Comme l’exploration prend en charge la méthode standard du programme alimentaire céto pour le développement de la masse musculaire et des opérations d’entraînement physique chez les athlètes, la transition de votre régime alimentaire céto cyclique uniquement pour vos personnes Les gains ne sont probablement pas importants (quinze, seize).
La ligne de dessous
Pour préparer votre régime cétogène cyclique, vous devez adhérer à un programme normal de régime céto cinq à six jours par semaine, accompagné d’une consommation une à deux fois supérieure de glucides.
Cependant, on prétend que ce processus réduira à nouveau les indications de la grippe céto, l’augmentation de l’efficacité sportive et l’augmentation de l’élargissement musculaire, les recherches sur son utilité et les effets négatifs éventuels font défaut.
Quel que soit le type de préparation céto que vous choisissez, il est généralement crucial de choisir des aliments équilibrés et riches en nutriments afin d’accéder à vos ambitions.
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MANIAC - Une série qui ne tourne pas rond
Au commencement, un big bang fait d’images de synthèse disperse au quatre coins de l’écran mille petites particules qui, au gré des collisions et des plans, esquissent une histoire originelle et matricielle. Dans un fatras d’images alternant synthèse et prises de vue réelles, échelles microscopique et macroscopique, organique et minérale, cette première scène retrace brièvement l’histoire de la vie cyclique. Cette histoire, on la connaît déjà, le Roi Lion s’étant chargé de la chanter aux plus jeunes avec son hypnotisant « cycle éternel » de la vie, quand une dizaine d’années plus tard, la soporifique séquence de la création de l’univers dans The Tree of Life de Malick endormait les plus vieux dans les salles obscures. Alors, que peut bien raconter Maniac, sinon ce qui a déjà été vu ou lu ici et ailleurs ? Pas vraiment une question, mais plutôt un constat un brin provocateur : Maniac entend déconstruire le régime sériel classique en travaillant le motif de la boucle. Dangereuse aporie, et rien d’original à l’horizon - Twin Peaks en faisait son leitmotiv (vous l’avez ?) des années auparavant - mais ne dit-on pas que la nouveauté se niche dans la manière de raconter une histoire qui tourne en rond ?
Thérapie de couple
Ce graal de l’originalité, on ne croit pas le trouver dans la longue introduction de la série, fonctionnant en miroir : le premier épisode est alloué à Owen, le second à Annie. Owen, joué par un Jonah Hill amaigri, doit témoigner de la prétendue innocence de son frère, forcément plus apprécié que lui. On comprend qu’Owen est le vilain petit canard de sa riche et étouffante famille à cause de sa schizophrénie, qui l’assaille d’hallucinations à répétition jalonnant son quotidien. Chaque soir, il regagne son appartement, et se plie de mauvaise grâce à la litanie thérapeutique que lui prêche en boucle un médecin sur son poste de télévision vintage. Annie, jeune femme au tempérament imprévisible incarnée par Emma Stone, cherche à revivre inlassablement le tragique accident qui a conduit à la mort de sa sœur, en prenant à cet effet régulièrement une drogue. Les deux personnages trimballent leurs traumatismes tels un boulet jusqu’aux portes d’un laboratoire de test pharmaceutique, qui propose rien de moins qu’enrayer leurs traumas. Le principe est simple : un ordinateur nommé GERTA (rappelant facilement HAL dans 2001) est capable de matérialiser la psyché des patients et de les y plonger, pour qu’ils affrontent leurs peurs en vue de les vaincre. Un certain académisme charpente cette structure, puisque binaire, lente et répétitive. On perçoit pourtant dans ces deux premiers épisodes quelques bizarreries SF intrigantes, fissurant l’édifice classique : un animatronique jouant aux échecs, un « sarcophage » électronique qu’Annie appelle « Papa », le traitement thérapeutique quotidien d’Owen rappelant l’oppression de 1984 d’Orwell, un petit Wall-e arpentant les trottoirs de la ville… Rien de ce que l’univers distille par son décor n’est expliqué, voilant l’intrigue d’une atmosphère étrange fascinante. Ces indices installent une crise dans la gestion du récit, que le troisième épisode va faire disjoncter pour de bon, en réunissant les deux protagonistes.
Court-circuit La première fulgurance de Maniac ne viendra donc pas du récit, comme à l’accoutumée dans les séries ; mais plutôt d’une superbe image poétique évoquant les métaphores visuelles de Michel Gondry dans L’écume des jours : endeuillée par la perte d’un de ses créateurs, GERTA lâche une larme d’étain qui court-circuite le réseau électrique des appareils de test, déréglant au passage le déroulement classique de la série. Car ce n’est pas tant le récit qui est mis en branle que l’esthétique de la série éclatant en morceaux : à partir de ce moment, les escapades oniriques d’Owen et Annie tourbillonnent dans un maelstrom de genres cinématographiques et littéraires très codifiés, comme le film de gangster, le film noir ou encore la fantasy. Empruntant avec malice à l’absurde des frères Cohen, aux casse-têtes mentaux de Nolan et aux plans d’ensemble épiques de Peter Jackson, Maniac prouve qu’elle est davantage le fruit d’une réalisation filmique plutôt que narrative. En effet, le réalisateur se sert du support sériel comme d’une effusion baroque de styles et de tonalités qui se heurtent d’un épisode à l’autre. La série fascine par l’obligation qu’elle impose au spectateur à ne pas se conforter à un seul régime d’image et de ton, bien qu’il finisse par comprendre le nouveau rituel qui s’installe paradoxalement: un épisode pour un genre précis, presque comme un compartimentage. Qu’importe, car c’est de ce genre de paradoxes sériels dont Maniac fait le terreau pour faire germer sa complexité thématique et esthétique ; la série est destinée à être une unique saison fragmentée en dix épisodes, allant d’une durée de 25 à 45 minutes. Ce format protéiforme a de quoi dérouter jusque dans la manière de visionner la série : en intégralité comme un film (auquel cas l’expérience, à la limite de l’indigeste, rappelle Cloud Atlas des sœurs Wachowski) ou de manière fragmentaire comme une série classique ?
GERTA, c’est plus fort que toi
Cette question, pas si anodine, rappelle une problématique vidéoludique : le jeu vidéo est en général un long plan-séquence, uniquement interrompu par les pauses faites entre chaque session de jeu. Le rapport de l’utilisateur au jeu est analogue à celui du spectateur face à un récit épisodique, puisque l’expérience est fragmentée, par la mort de son personnage pour le jeu amenant à réitérer le franchissement de l’obstacle, par le générique de fin pour la série amenant au suivant. En somme, ils partagent tous deux une consommation routinière. En quelque sorte, le joueur se bat contre la machine, qui le plonge dans un monde virtuel, pour prolonger et fluidifier au mieux son expérience de jeu. C’est ce que font Owen et Annie, lorsqu’ils doivent défaire GERTA pour que la simulation ne soit pas leur tombe. Et puis, l’esthétique utilisée pour la réalité convoque une iconographie très stéréotypée du jeu : les écrans pixelisés, un jeu pornographique en réalité virtuelle, les références japonaises, la plasticité de la matière rappelant le matériau des consoles de jeu… On pourrait s’énerver d’un tel déferlement de clichés passéistes, jusqu’à ce qu’on comprenne que cette réalité-là est factice, puisqu’elle paralyse Annie et Owen dans des habitudes qui les entravent. Maniac a compris mieux que n’importe quelle autre production audiovisuelle grand public que le jeu vidéo, c’est aussi permettre au joueur d’être acteur dans une simulation, par l’entremise de l’interactivité. Les deux protagonistes de Maniac plongent dans des univers programmés par l’ordinateur précisément pour se défaire de leur peurs, et devenir enfin auteurs de leur propre histoire afin de sortir de leur cercle vicieux. Dans Maniac, cette interactivité, c’est donc le gros plan d’une main qui tourne la manivelle enclenchant le test, c’est Owen qui doit résoudre un rubik’s cube en le faisant pivoter en cercle, et c’est surtout Owen qui, à l’entrée de la salle de test, touche l’épaule d’Annie pour faire naitre une rencontre, et provoquer un big bang d’histoires qui ricocheront entre elles, sans fin.
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