#quinzième semaine
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christophe76460 · 7 months ago
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⁉️POURQUOI LA FÊTE DES SEMAINES EST DEVENUE PLUS TARD LA PENTECÔTE ?
La fête des semaines est l'une des grandes fêtes juifs recommandées par Dieu.
En effet, les juifs ont 4 grandes fêtes recommandées par Dieu en accord avec Lévitique 23 : 4-6 et Exode 34 : 22.
👉 LA PREMIÈRE FÊTE ; c'est la pâque.
👉 LA DEUXIÈME FÊTE ; c'est du pain sans levain.
👉 LA TROISIÈME FÊTE ; c'est des semaines (Pentecôte plus tard ).
👉LA QUATRIÈME FÊTE ; C'est des récoltes (plus tard fête des Tabernacles).
➡️C'EST QUOI LA FÊTE DES SEMAINES ?
La fête des semaines est une fête de la récolte du froment et de l'orge.
C'est-à-dire : c'est un jour où les juifs se réjouissaient à cause de la récolte du froment (Blé tendre) et de l'orge. Et ils offraient aussi une offrande d'action de grâce volontaire à Dieu ( Deutéronome 16 : 10 ).
➡️À QUELLE DATE CÉLÉBRÉE-T-ON CETTE FÊTE ?
Cette fête était célébrée sept semaines après le premier jour de la fête du pain sans levain.
C'est-à-dire : on commençait à compter les sept semaines ( équivaut à 49jours ) le deuxième jour de la fête du pain sans levain qui durée sept jours.
➡️QU'EST-CE QUI PROUVE CELA ?
👉1A. Tout d'abord : la pâque était célébrée le quatorzième jour du mois de nisan (Mars-Avril) entre les deux soirs ( équivaut à 18 heure ).
La fête du pain sans levain était célébrée à partir du quinzième jour de ce mois jusqu'au vingt et unième jour ( 7 jours au total ) toujours de ce mois. ( Lévitique 23 : 4-6).
👉1B. Dans la fête du pain sans levain, le premier jour et le septième jour étaient considérés comme un jour sabbatique.
C'est-à-dire : le travail était interdit et il y avait une réunion solennelle dans le temple accompagné du sacrifice exigé pour cette fête ( Lévitique 23 : 7-8).
Ainsi, le comptage de sept semaines ne pouvait pas se faire le premier jour ( le 15 ) de cette fête. Voilà pourquoi cela se faisait le second jour ( le 16) et ce c'est même jour qu'on apportait la gerbe de la première récolte pour qu'elle soit agitée par le sacrificateur ( Lévitique 23 : 10-11).
➡️POURQUOI LA FÊTE DES SEMAINES EST DEVENUE PLUS TARD LA PENTECÔTE ?
À une certaine période non déterminée, cette fête change non seulement d'appellation mais aussi de signification.
POURQUOI ?
Parce que certains juifs ont découvert ( selon une source que l'on ignore) que la loi fut donnée cinquante jours après la pâque.
Ainsi, vu que la loi fut donnée avant l'apparition de cette fête, c'est la raison pour laquelle ils attribuèrent la signification de : << la fête du don de la loi >> qui est représentée par le nom << Pentecôte >>, à cette fête des semaines.
➡️POURQUOI CHOISIR LE NOM PENTECÔTE ?
Parce que le nom Pentecôte est tiré du grec : pentecostè ; qui signifie : << cinquantième >>.
De ce fait, si l'on compte en commençant de la pâque jusqu'à la fête des semaines, cela nous donne un total qui est de 50 jours.
➡️QUE SIGNIFIE CETTE FÊTE DE LA PENTECÔTE POUR LES CHRÉTIENS ?
La fête de la Pentecôte ( cinquante jours après la pâques ) pour les chrétiens, signifie : le jour où il eut l'effusion du Saint-Esprit sur les disciples du seigneur Jésus-Christ y compris les apôtres, ressemblés dans la chambre haute à Jérusalem. Pentecôte est aussi, peut-on dire, le jour de naissance de l'Église chrétienne.
🛑NB : Peut importe la divergence au niveau de la définition de la Pentecôte, cela n'exclut en rien la définition de cette fête pour les chrétiens qui est (le jour où il eut l'effusion du Saint-Esprit...).
QUE DIEU VOUS BÉNISSE AMPLEMENT 🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏
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shalomelohim · 9 months ago
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Se préparer pour les Convocations de la Sainteté de Dieu : Pessah (La Pâque), la Fête des Pains sans levain, la Fête des Prémices
“ L'Eternel parla à Moïse, et dit : Parle aux enfants d'Israël, et tu leur diras : Les fêtes de l'Eternel, que vous publierez, seront de saintes convocations. […] Voici les fêtes de l'Eternel, les saintes convocations, que vous publierez [respecterez] à leurs temps fixés. Le premier mois, le quatorzième jour du mois, entre les deux soirs, ce sera la Pâque de l'Eternel. Et le quinzième jour de ce mois, ce sera la fête des pains sans levain en l'honneur de l'Eternel ; vous mangerez pendant sept jours des pains sans levain. Le premier jour, vous aurez une sainte convocation : vous ne ferez aucune oeuvre servile (jour chômé). Vous offrirez à l'Eternel, pendant sept jours, des sacrifices consumés par le feu. Le septième jour, il y aura une sainte convocation : vous ne ferez aucune oeuvre servile. (jour chômé) “ (Lévitique 23:1-8)
Tout le Peuple d’Israël (spirituel) est convié à ces Convocations de Sainteté (Juifs et Goyim) qui se dérouleront :
Du Lundi 22 avril au soir - pleine lune le 24 - au Mardi 30 Avril 2024 au soir.
Selon les instructions suivantes :
1. PESSAH (La Pâque)
. Le 23 avril 2024 - jour chômé (début le 22 au soir)
“ Le premier mois, le quatorzième jour du mois, entre les deux soirs, ce sera la Pâque de l'Eternel. “ (Lévitique 23:5)
2. LA FETE DES PAINS SANS LEVAIN
Pleine Lune : le 24 Avril 2024 à 01h51
Pendant 7 jours, nous consommons du pain sans levain symbole de la pureté du Mashia’h et de ceux qui sont appelés à le suivre.
. Du 24 Avril 2024 (début le 23 au soir) au 30 Avril 2024 (jour chômé) au soir 
Et le quinzième jour de ce mois, ce sera la fête des pains sans levain en l'honneur de l'Eternel ; Vous mangerez pendant sept jours des pains sans levain. Le premier jour, vous aurez une sainte convocation : vous ne ferez aucune oeuvre servile (chômé). Vous offrirez à l'Eternel, pendant sept jours, des sacrifices consumés par le feu. Le septième jour, il y aura une sainte convocation : vous ne ferez aucune oeuvre servile (chômé). ” (Lévitique 23:6-8)
Puis, il y a la fête de l’Omer, des Prémices ou Premiers Fruits qui consistait à apporter une première gerbe d’orge au prêtre afin que celui-ci la présente rituellement devant le Seigneur dans le Sanctuaire.
L’offrande de la première gerbe, prémices de la moisson, était le symbole précurseur du Seigneur Yahshua / Jésus ressuscité, le Fils premier-né, qui se présenta devant le Père Tout-Puissant.
Elle a lieu le lendemain du shabbat pendant la fête des pains sans levain (soit le 28 avril cette année) qui correspond au début du décompte de l’Omer (7 semaines ou 50 jours) pour arriver jusqu’à Shavouot / Pentecôte.
Ces convocations solennelles sont l’occasion pour Lui de nous “ peser spirituellement “ et d’évaluer nos progrès par rapport à l’année passée.
Qu’avons-nous appris en une année ?
Quels sont les actes que nous avons posés selon la volonté de Son Plan pour nous ?
Est-ce que nous grandissons spirituellement au fur et à mesure que les événements mondiaux se déroulent ou est-ce que l’on reste sur : “Dieu t’aime”, “Ne crains rien”, “Il va venir t’enlever dans x jours” ?
Voilà les questions qu’il faut nous poser.
Voyons-y l’opportunité de revenir aux anciens sentiers - racines hébraïques de la foi - afin de grandir spirituellement, d’approfondir notre sanctification et de découvrir Elohim et Yahshua sous de nouveaux aspects.
Il souhaite se révéler à Son Peuple pour cette Ordonnance biblique qui est l’une des plus importantes et qui demande une préparation.
Que le Ruah Ha Kodesh éclaire celles et ceux qui pensent que cette fête est maintenant abolie et puissent s’y intéresser afin de commencer à la respecter selon son niveau de compréhension et la mesure de sa foi.
“ Tes préceptes sont pour toujours mon héritage, Car ils sont la joie de mon coeur. J'incline mon coeur à pratiquer tes statuts, Toujours, jusqu'à la fin. “ (Psaume 119:11-12)
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Célébrons-nous Pessah de la Bible ou Pâques, fête païenne ?
Pessah
“ Vous conserverez le souvenir de ce jour, et vous le célébrerez par une fête en l'honneur de YHWH ; vous le célébrerez comme une loi perpétuelle pour vos descendants. “ (Deutéronome 12:14 - Institution de la Pâque)
VS
Pâques
“ Vous annulez ainsi la parole d’Elohim au profit de votre tradition.” (Matthieu 15:6)
Source : Juda & Ephraïm
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wiwsport · 2 years ago
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pompadourpink · 3 years ago
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Hi! Which one is hard to read: Le Dernier Jour Du’n Condamme or Notre Dame de Paris? Thanks in advance!
Hello, Notre Dame de Paris without a doubt! Le dernier jour d'un condamné (100 pages) is the inner monologue of a man who is about to be executed and freaking out; there are no locations, characters, zero plot, he's just thinking about life.
First paragraphs:
Bicêtre. Condamné à mort ! Voilà cinq semaines que j'habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids ! Autrefois, car il me semble qu'il y a plutôt des années que des semaines, j'étais un homme comme un autre homme. Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée. Mon esprit, jeune et riche, était plein de fantaisies. Il s'amusait à me les dérouler les unes après les autres, sans ordre et sans fin, brodant d'inépuisables arabesques cette rude et mince étoffe de la vie. C'étaient des jeunes filles, de splendides chapes d'évêque, des batailles gagnées, des théâtres pleins de bruit et de lumière, et puis encore des jeunes filles et de sombres promenades la nuit sous les larges bras des marronniers. C'était toujours fête dans mon imagination. Je pouvais penser à ce que je voulais, j'étais libre.
Whereas NDP is a long novel (940 pages) with a lot of movement, many details about the history, politics, habits of the time and the vocabulary is a lot more complex (I remember the beginning (a description of the prep for an event and the context around it, but mostly a lot of ornamental talking) was off-putting and it started being enjoyable at least 60 pages in). If you fully want to understand what's going on, you'll have to research a lot of words and hope that you can find an explanation in English. I will say I enjoyed this one a lot more in the end, but feel free to take your time reading it (and take notes, there's so much to remember).
First bits:
Il y a aujourd'hui trois cent quarante-huit ans six mois et dix-neuf jours que les parisiens s'éveillèrent au bruit de toutes les cloches sonnant à grande volée dans la triple enceinte de la Cité, de l'Université et de la Ville. Ce n'est cependant pas un jour dont l'histoire ait gardé souvenir que le 6 janvier 1482. Rien de notable dans l'événement qui mettait ainsi en branle, dès le matin, les cloches et les bourgeois de Paris. Ce n'était ni un assaut de picards ou de bourguignons, ni une châsse menée en procession, ni une révolte d'écoliers dans la vigne de Laas, ni une entrée de notredit très redouté seigneur monsieur le roi, ni même une belle pendaison de larrons et de larronnesses à la Justice de Paris. Ce n'était pas non plus la survenue, si fréquente au quinzième siècle, de quelque ambassade chamarrée et empanachée. Il y avait à peine deux jours que la dernière cavalcade de ce genre, celle des ambassadeurs flamands chargés de conclure le mariage entre le dauphin et Marguerite de Flandre, avait fait son entrée à Paris, au grand ennui de Monsieur le cardinal de Bourbon, qui, pour plaire au roi, avait dû faire bonne mine à toute cette rustique cohue de bourgmestres flamands, et les régaler, en son hôtel de Bourbon, d'une moult belle moralité, sotie et farce, tandis qu'une pluie battante inondait à sa porte ses magnifiques tapisseries.
(And since we're talking about Hugo, I have to recommend Les Mis and The man who laughs which are some of my absolute favourite French novels).
Hope this helps! x
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rachelsurseine · 3 years ago
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Ex diebus – Canto secondo
De David Hockney à Fra Angelico
Il y a quatre ans, quand je travaillais au Centre Pompidou, mon badge me permettait d’entrer gratuitement aux expositions du musée, et d’y rentrer accompagnée. J’ai bien profité de cet avantage. Cet été-là, il y avait deux expositions à l’affiche, l’une sur Walker Evans, un photographe, et une rétrospective d’un artiste contemporain, David Hockney. Je suis d’abord allée voir une première fois avec Pierre l’exposition sur Walker Evans, dont la photographie vernaculaire en noir et blanc correspondait tout à fait à mes goûts. Puis je suis allée avec Pierre et Armand voir celle sur David Hockney, qui est peut-être le peintre figuratif le plus connu actuellement. Je ne connaissais pas sa peinture avant de voir la rétrospective, mais j’avais compris que c’était l’un des artistes majeurs d’aujourd’hui.
J’ai donc pu découvrir certaines des œuvres les plus connues d’Hockney, notamment The Splash. J’ai été séduite par son style, qui me fait penser à la peinture d’Hopper, mais en plus moderne, plus joyeux, en version californienne d’une certaine manière. Arrivée vers la fin de l’exposition, tout à coup, c’est le choc. Je tombe sur son Annonciation et je suis frappée par la beauté de ce tableau. Pour moi c’est le point d’orgue de l’exposition.
Je suis touchée par la grâce des traits qui me rappellent l’imagerie médiévale, par cette couleur rose, si moderne, mais qui par contraste ajoute une touche de merveilleux à cette scène biblique. Ce tableau saisit pour moi quelque chose de la beauté universelle. Je trouve l’idée très audacieuse, et le résultat absolument réussi.
Je suis restée de longues minutes devant cette Annonciation, et je suis retournée la voir quelques semaines plus tard.
Depuis ma rencontre avec le tableau d’Hockney, je rêvais de voir le tableau qui l’avait inspiré, la version de Fra Angelico. C’est ce que je suis allée chercher à Florence.
L’étape obligée de cette escale à Florence était donc le couvent San Marco et nous y sommes allés le lendemain de notre arrivée. Avant d’y aller, j’avais pris soin d’écouter sur France Culture l’analyse du tableau par Daniel Arasse, historien de l’art spécialiste de la Renaissance italienne et dont l’analyse de la Joconde lue par ma professeure de français en prépa m’avait laissé un souvenir impérissable.
J’étais si pressée de voir l’Annonciation que j’ai sauté les premières salles (avant d’y revenir plus tard) pour aller la contempler. Elle est située à l’entée d’une grande salle et on y accède en haut d’un escalier, l’effet est assez saisissant. Je n’ai pas été déçue.
Ce que j’aime particulièrement dans la composition de Fra Angelico, c’est l’arrière plan verdoyant à gauche. L’herbe parsemée de fleurs et cette végétation luxuriante derrière cette simple palissade. Il s’en dégage une sérénité qui confère à la scène un supplément de solennité et de calme. Pour moi cela a quelque chose du jardin d’Éden, comme si la scène ne se passait pas vraiment sur Terre. Et puis j’aime beaucoup l’expression du visage de Marie et ses bras qui enserrent son ventre d’un geste doux. Oui, c’est une scène biblique, oui, c’est un topos. Mais je trouve que dans cette représentation de Marie à qui l’Archange vient annoncer qu’elle enfantera le Christ, on peut y voir toutes les femmes qui apprennent qu’elles vont avoir un enfant. Bien sûr, je suis aussi touchée de me dire que cette fresque à plus de cinq cent ans et que vu du quinzième siècle français, c’est d’une modernité incroyable. Enfin, j’aime la profondeur des couleurs des tenues des personnages, le rose pour l’Archange et le bleu pour Marie, évidemment, le travail délicat des drapés, différent pour l’un et l’autre. Le choix d’un plumage multicolore pour l’Archange pourrait presque rompre l’harmonie du tout, mais c’est la petite bizarrerie qui attrape l’œil et nous attire dans la scène.
Pour l’occasion, je portais un haut bleu, d’un bleu marial. Il convenait pour le musée du matin, San Marco, et pour celui de l’après-midi, le museo Bardini.
Nous n’aimons pas visiter les lieux les plus courus des villes, par crainte de la foule. Je préfère chercher dans le Routard ou sur Internet des visites qui correspondent à ce qu’on aime. C’est souvent de la photographie : l’exposition sur Cartier-Bresson à Venise, celle de Martin Parr à Brest l’année dernière, le musée Helmut Newton à Berlin il y a deux ans, une exposition sur Cartier-Bresson en Amérique à Lucques il y a trois ans. Et quand ce n’est pas le Moyen Âge, c’est le XIXe siècle. Stefano Bardini était un collectionneur d’art qui incarne cette mouvance de redécouverte et d’étude des arts anciens durant le XIXe siècle. La particularité de son musée est que les œuvres de différentes époques sont disposées thématiquement (une salle pour les sculptures, une pour les tapis, une pour les armes, etc.) sur fond bleu russe, selon le vœu et le choix de Bardini. Le lieu, un palais florentin, offre un décor sublime à la collection. J’ai adoré cette visite, nous avions le musée pour nous tous seuls. Là ce n’était pas la beauté d’un chef d’œuvre mais la beauté par l’accumulation des œuvres qui se répondaient entre elles dans cet océan de bleu.
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lesecumeurs · 4 years ago
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“Actuellement, je ne pense plus aux concerts, cela ne me manque même pas.”
Luc est la première personne à avoir envoyé une lettre de candidature pour figurer parmi les Ecumeurs. Avec un argument massue : un document Excel sur lequel ce complétiste averti a répertorié depuis 1999 tous les concerts auxquels il a assisté. Mélange parfait de folie et de rigueur : il était digne de figurer parmi ses pairs. Quand j’ai recontacté Luc il y a quelques semaines pour lui proposer d’apporter son grain de sel à cette nouvelle série de billets, je ne pensais pas que l’expression serait aussi bien adaptée. 
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Salut Philippe,
Superbe initiative que cette réanimation des Ecumeurs à la lecture des évènements récents. Nous avions tous besoin d’en parler en vrai. Déjà, le pitch est parfait : et toi, comment ça va ? Cela me rappelle celui de ce film de Rouch/Morin, 1961 : c’est quoi le bonheur ? Longtemps pour moi, tout s’est confondu. Les concerts rythmaient ma vie, constituaient ma passion principale, ma raison d’être (écouter de la musique, voir les copains, boire des coups), le squelette de mon existence. De mon emploi du temps en tout cas, c’est certain. Et 2020 a tout bouleversé. Ces douze derniers mois, j’ai beaucoup changé et relativisé plein de choses.
La première période de ma vie de concerts s’est achevée le 11 mars 2020, à FGO Barbara, avec Jawhar, dans une ambiance de fin du monde. Cette impression étrange d’être présentement et possiblement en train de déconner grave. Qu’il ne faudrait pas être là, que c’est à la limite du sérieux : sans masque, un verre à la main, au milieu d’inconnus, dans une période où tout commence à devenir hors de contrôle. Et ce sentiment aussi désagréable que persistant qu’il s’agissait là du dernier évènement du genre avant très longtemps.
J’ai revu cinq concerts depuis juin dernier. Deux devant le théâtre de Montreuil dont surtout le premier, sorte de pseudo revisitation de Las Ondas Marteles pour lequel j’ai assisté aux balances au hasard d’une balade. Une relecture de « Gambling Bar Room Blues » de Jimmy Rodgers a accroché mon oreille au loin. J’ai tout de suite voulu connaître la suite et suis revenu quelques heures plus tard voir le concert. Et de me retrouver dans le même état, de me revoir à 20 ans à mon arrivée à Paris : cette fascination du live, cette liberté absolue de voir la musique jouée devant moi. Une expérience formidable, comme une révélation – une renaissance serait plus exacte pour le coup –. 
Autre ambiance quelques semaines plus tard, dans un terrain vague du côté des Murs à Pêches, toujours à domicile. La soirée de clôture de la brasserie La Montreuilloise avait été le prétexte d’une série de concerts suivie d’un DJ set reggae/ska, sorte de reconnexion insouciante, sans masques, sous les étoiles dans la chaleur suffocante de l’été. Pour le quatrième, l’occasion m’a été donnée de voir mes favoris de Arlt pour la quinzième fois, sur le rooftop de Petit Bain, en septembre, version duo. Comme une impression de retrouver des membres de sa famille proche, perdus de vue après une séparation impromptue. Assez amusant de voir que le confinement (enfin le premier maintenant) avait largement été mis à profit par Sing Sing pour écrire ce cinquième album, que l’on a maintenant plus que jamais hâte de découvrir. Enfin en octobre, j’ai assisté à la présentation du nouveau projet de la Novia (Au Seuil Du Vent) avec l’immense Jacques Puech en ouverture. On aurait presque pu se croire dans le monde d’avant : la Marbrerie configurée assise, tables rondes et chaises autour, en mode distancié, ni plus ni moins que comme les soirs de faible affluence. Bref, de ce 8 octobre dernier 2020 date la dernière mise à jour de mon fichier Excel. Je vais d’ailleurs être dans l’obligation de neutraliser l’année 2020 – voire davantage d’ailleurs – pour ne pas altérer mes précieuses statistiques.
Retour dans le rétroviseur maintenant, voilà un an. L’éloignement de Paris durant deux mois m’a permis d’effectuer un sevrage en douceur. Où j’étais, même en temps normal, ma frénésie de concerts n’aurait jamais pu être assouvie, la question ne se posait de toute façon pas. Comme mis devant le fait accompli. Pourtant la musique était, durant cette période trouble, omniprésente. Entêtante même, en boucle. Elle n’avait pas quitté ma vie, juste sa transposition scénique mise entre parenthèses. Et puis il n’a fini par rester que les émotions. Lesquelles ont fini par prendre le dessus. Débordantes.
J’ai finalement mis à profit cette période pour me reconnecter à moi-même. Et arrêter de me nourrir de la créativité des autres pour me forcer à développer la mienne, de façon bien involontaire mais comme si un espace s’était libéré. Evidemment pas une créativité musicale – j’en serais bien incapable – mais dans un tout autre domaine : la cuisine. Et ce n’est pas les stories de Jason Williamson de Sleaford Mods sur Instagram qui me contrediront ! Ce que je retiens aussi, c’est que ces circonstances m’ont laissé du temps. Du temps pour prendre du recul sur plein de choses. Sur ce que je voulais vraiment. Sur une vie sentimentale en plein chamboulement et renouvellement. Sur le fait de réfléchir à ce dont j’avais envie : maintenant et dans l’absolu.
Alors oui, cela paraît étrange à avouer, mais cette pause a été salvatrice. Il y aura un avant et un après cette crise sanitaire. Actuellement, je ne pense plus aux concerts, cela ne me manque même pas. J’irais même jusqu’à dire que je me sens plus libre sans. Mais bien-sûr, quand tout ce bordel sera derrière nous, je retournerai voir des concerts. Probablement, très au-delà de la norme communément répandue. Mais pas avec la même intensité qu’auparavant. Encore une fois, j’ai changé. La paternité avait déjà modifié mon investissement mais c’est désormais un profond changement de paradigme auquel je fais face. Que j’ai accepté et maintenant dépassé.
Pour revenir au questionnement de départ : oui ça va bien. Vraiment très bien en fait bizarrement.
Mais j’ai aussi immensément hâte que les concerts reprennent, on ne va pas se mentir.
Photo : Benoit Grimalt, 2014.
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misskittyspuffy · 5 years ago
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Infiltré (Chap. 2)
Couple : Buffy/Spike
Localisation : Post-série (post-Chosen 7x22, post-NFA, 5x22)
Résumé : Un nouvel ennemi fait son arrivée à Sunnydale. À la tête d'une organisation de vampires particulièrement puissante et bien structurée, il semble avoir des choses à régler avec la Tueuse, qui est devenue sa première cible. Afin de leur permettre de riposter, le Scooby est alors contraint d'infiltrer Spike dans leur organisation.
Lien Ao3 - Chapitre 1
Note : cette fanfiction prend place après la fin des séries Buffy et Angel (environ un an et demi après la fin d'Angel). Spike est bien mort en se sacrifiant, et il est revenu à Wolfram & Hart dans un premier temps, avec la Angel Team, la seule différence est que Sunnydale n'a jamais été détruit, seul le lycée l'a été. Buffy & co continue donc de vivre dans la maison Summers, et Spike a fini par rejoindre sa Tueuse.
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CHAPITRE 2 - La “session” témoin de l’échec
Quand le combat s’était engagé lors de leur patrouille dans le cimetière de Restfield, Buffy et Spike avaient su que la partie était gagnée d’avance. Il s’agissait de trois néo-vampires qui n’avaient aucune expérience —et ils savaient pertinemment que leur force surnaturelle ne les sauverait pas. C’est pourquoi ils avaient décidé de faire traîner un peu plus longtemps leur danse du soir avec les vampires concernés, qui avaient eu la malchance de croiser leur chemin.
Après une vingtaine de minutes d’un combat d’une facilité déconcertante, la Tueuse finit par enfoncer un pieu dans le cœur de la dernière de ces créatures aux dents pointues, qui était restée en piste plus longtemps que les autres.
Spike avait contemplé la scène depuis l’arbre contre lequel il s’était adossé, une jambe relevée contre son tronc.
« Les vampires ne pigent vraiment rien à mes vannes, » s’exaspéra la jeune femme.
« “Je vais te pieuter avant que tu te pieutes’’, » cita Spike en haussant un sourcil. « C’est vraiment ça ta vanne ? Je t’ai connue plus inspirée, » s’amusa t-il.
« Bah… oui, » commença Buffy avec évidence. « Il va forcément aller se coucher, “se pieuter’’ quand le jour se lèvera, » dit-elle en formant des guillemets avec ses doigts, « mais je l’ai pieuter avant ! »
Un blanc.
Spike prit une moue contrite. « Je t’ai déjà dit que ton humour était à retravailler, amour. »
Il rangea son pieu à sa ceinture.
« Quoi ?! Mais je suis très drôle ! »
« Il y a quelques réparties à renouveler… »
Buffy prit un faux air offusqué. « Je suis très drôle, » insista t-elle. « C’est eux qui ne sont pas bon public. Et je commence à croire que toi non plus… ! »
Elle prit une moue boudeuse. Spike eut un petit sourire en coin, secouant la tête.
« Laisse-moi reformuler ma pensée : tes vannes ne sont pas appréciées à leur juste valeur par les autres, mais moi je les aime quand même. » Il approcha d’elle, prenant ses mains entre les siennes. « Mais je ne sais pas si je suis bon juge… »
« Et pourquoi ça ? »
« La partialité, toussa, toussa, » dit-il d’une voix cajoleuse.
Ses bras vinrent entourer la taille de la jeune femme, qui enroula ses bras autour de son cou.
« Toi ? Tu m’es partial ? » fit-elle mine d’être étonnée.
« Hum hum, » confirma t-il.
Il déposa un baiser sur le recoin de sa bouche, descendant le long de sa jugulaire jusqu’à atteindre son cou.
« Spike, non, » sortit faiblement Buffy au bout de quelques secondes.
« Non à quoi ? » dit-il innocent, en continuant sa douce entreprise.
La bouche de la jeune femme s’incurva, un soupçon d’amusement s’éveilla dans son regard. « Tu crois que je te vois pas venir ? »
« Hum, hum… »
Malgré elle, Buffy laissa échapper un long soupir de contentement. Ses yeux s’étaient fermés sous la douceur de ses baisers. Pour un meilleur accès, le vampire avait écarté la masse de cheveux blonds qui tombaient sur son épaule et les avaient amenés de l’autre côté de sa nuque. Instinctivement, la jeune femme avait penché la tête sur le côté, lui laissant ainsi un meilleur accès.
« Spike… grève… du sexe… Pour une semaine. Tu te rappelles ? » marmonna t-elle doucement.
« Non, et toi ? » fit-il mine de répondre.
Un sourire amusé se forma sur les lèvres de la jeune femme. Elle mit un certain temps à se résoudre à mettre fin à sa douce inquisition, s’écartant très légèrement de lui, mais restant néanmoins très proche de son visage.
« Hum hum, oui, tu te souviens, il y a deux jours. Juste avant notre passionnante discussion sur l’existence des Leprechauns, » fit-elle mine de lui rappeler.
« Qui a parlé de grève du sexe ? Toi ? »
Elle apposa une main caressante contre sa joue.
« Tu as une mémoire franchement sélective, » le taquina t-elle.
« Une mémoire qui m’arrange, » dit-il avec un sourire innocent.
Il se pencha à nouveau vers elle, capturant ses lèvres dans un long baiser, qui devint très vite langoureux. Plusieurs minutes passèrent, et celui-ci ne fit que s’intensifier. Perdus dans le moment, ils se déplacèrent machinalement et heurtèrent rapidement la façade d’un mausolée qui se trouvait non loin d’eux. Buffy se retrouva rapidement adossée contre la surface froide du monument funéraire. Passant ses mains sous ses fesses, Spike la souleva avec légèreté et les jambes de la jeune femme vinrent entourer sa taille.
Rapidement, les mains de la Tueuse commencèrent à se balader sous le tee-shirt du vampire, sa ceinture fut débouclée, et Spike décida de les faire passer à l’étape supérieure en se mettant à dévêtir la jeune femme à son tour. Alors que le vampire blond quittait ses lèvres pour à nouveau embrasser le haut de sa poitrine et de son cou, Buffy profita que ses lèvres soient à nouveau libres pour parler.
« Que les choses… soient bien claires… » dit-elle entre deux soupirs de plaisir, « un, je t’en veux toujours. Et deux, c’est toi qui as craqué. Pas moi. »
« Je prends toute la responsabilité, aucun problème, » dit-il avant de l’embrasser à nouveau passionnément.
***
« Je t’avais dit que Rebecca n’oserait pas se pointer ! Pas après ce qui s’est passé ! »
Attrapant le bras de son amie de fac pour l’encercler avec le sien, deux jeunes femmes avaient une discussion animée. Les deux étudiantes venaient de quitter le Bronze et se rendaient à présent au domicile de l’une d’elles, leurs démarches rendues quelque peu fragiles par leurs consommations alcoolisées du soir.
« Elle aurait dû ! Elle n’avait rien à se reprocher ! C’est pas de sa faute si Krissy lui a fait ce coup là… » réagit vivement son amie en réponse, alors qu’elles empruntaient une rue moins fréquentée.
« Alicia, tu sais très bien qu’il va lui falloir du temps… » répondit l’autre jeune fille, nommée Juliet. « Attends, je vais regarder si elle a posté quelque chose… »
« Ouais, mais tu ne crois pas que -… »
La jeune femme s’interrompit brusquement, visiblement alerte.
« Que quoi ? » demanda son amie, plongée dans son téléphone et peu attentive à ce qui les entourait.
« Shh ! T’as pas entendu ? » répondit inquiète la nommée Alicia.
Devenue alerte à son tour, Eliza tourna la tête de droite à gauche, attentive. « T’as entendu un bruit ? » demanda t-elle, après n’avoir rien constaté.
« Ouais… c’était probablement un chat, » tenta de sa rassurer la jeune femme. « J’ai paniqué trop vite. »
« Traînons pas, » ajouta néanmoins son amie en accélérant leur pas.
Elles longèrent une succession de devantures de restaurants fermés à cette heure tardive, quand Alicia fut soudainement saisie par le bras et Juliet attrapée par la taille et jetée contre le mur de la ruelle. Après des tentatives infructueuses pour se débattre et leur échapper, les cris des deux jeunes femmes furent rapidement maîtrisés par les mains de leurs agresseurs, qui les écrasèrent contre leurs bouches.
La peur s’inscrivit sur leurs visages quand elles réalisèrent l’une comme l’autre que leurs oppresseurs, qui étaient au moins une dizaine, avaient des crocs et d’affreux plis qui déformaient leurs fronts. Leurs yeux s’agrandirent de terreur et leurs hurlements sortirent en un son étouffé.
« Emmenez-les, » sortit la voix grave du commanditaire de l’attaque. « Et pas touche à une seule goutte de leur sang ! »
Les deux jeunes femmes furent jetées à l’arrière d’un fourgon.
« Le patron veut que ses repas lui arrivent en vie. »
***
Le lendemain, assise sur le comptoir de la cuisine, Dawn vidait un paquet de chips entamé quelques minutes plus tôt.
« Willow arrive à quelle heure vendredi ? » demanda t-elle la bouche pleine.
Buffy terminait de nettoyer la tasse qu’elle venait d’utiliser et coupa l’eau de l’évier. « Le soir, à sept heures. »
« Je passerai vous chercher après le boulot pour qu’on y aille ensemble, » rebondit Alex.
Les deux jeunes femmes lui adressèrent un regard entendu.
« J’ai tellement hâte de la revoir ! » lança Dawn enthousiaste. « Ça fait quoi ? Deux mois qu’on ne l’a pas vue ? »
« À peu près, ouais, » répondit la Tueuse après une courte réflexion. « Mais il y avait du boulot par là-bas. »
« J’attends son rapport détaillé sur cette histoire de Leprechauns. Tu te rends compte Buffy, des Leprechauns ! »
L’aîné Summers eut un petit sourire. « Je ne suis pas sûre… c’est juste la quinzième fois que t’en parles, » la taquina t-elle.
« Je me demande quels pouvoirs ils avaient… oh et où est-ce qu’ils vivaient ! » continua Dawn, indifférente aux propos de sa sœur.
La Tueuse posa une main contre le bras de sa cadette. « Tu vas avoir tout le temps du monde de lui poser ces questions, » dit-elle patiente.
Dawn lança négligemment le paquet de chips sur le comptoir central. « J’aurais pas dû manger autant, » dit-elle en posant une main contre son estomac, visiblement mal en point.
« Tu devrais surtout arrêter de manger des cochonneries, » lança Alex tout en aspergeant un pancake de sirop d’érable.
Un blanc. Les deux jeunes femmes lui lancèrent un regard consterné.
« Alex, t’es le Roi de la malfouffe, » lança Buffy en soulevant un sourcil.
Le jeune homme parut soudain embarrassé. « Victoire par chaos, » admit-il en enfournant une première bouchée de son pancake.
Des pas en approche de la cuisine se firent entendre et Spike fit son apparition dans l’embrasure de la porte. Naturellement, Buffy abaissa les volets de la pièce afin d’amoindrir la luminosité. Il était midi passé et le soleil était à son zénith.
« Salut tout le monde ! » lança t-il en arrivant.
« Hey Spike ! » lança Dawn avec un enthousiasme tout modéré, son ventre la faisant encore souffrir.
« Hey, » dit Buffy à son tour, avec un sourire tendre.
Le vampire déposa un rapide baiser sur les lèvres de sa Tueuse, alors qu’il passait à proximité d’elle. Il se dirigea ensuite vers le frigo et sur le chemin, tapota légèrement l’épaule d’Alex.
« Tout va comme tu veux, Harris ? »
« Comme sur des roulettes, » répondit celui-ci la bouche pleine.
Spike prit une pochette de sang dans le réfrigérateur et coupa l’embout avec ses dents.
« Toujours partante pour le cours de conduite ce soir demi-portion ? » demanda le vampire à Dawn, tout en déversant le liquide dans sa tasse.
« Yep, toujours ! » dit la jeune fille passablement dégoûtée par ce qu’il s’apprêtait à consommer.
« Ah ! Dawnie va enfin apprendre à conduire ! » s’exclama le Charpentier. « Il serait temps. »
« J’aurais pu lui apprendre aussi, » dit Buffy.
Dawn, Spike et Alex échangèrent des regards embarrassés. Le vampire fit mine de se concentrer un peu plus sur sa tasse, qu’il mit à chauffer au micro-onde.
« Tu finis tard ce soir, Buffy, tu te souviens ? » rebondit sa sœur, profitant de l’excuse.
La jeune femme poussa un soupir. « C’est vrai… J’ai rarement des après-midis aussi chargés en rendez-vous. Comptez peut-être pas sur moi pour le dîner. »
Le temps que sa tasse chauffe, le vampire blond se dirigea vers sa Tueuse. Il se mit derrière elle et l’encercla de ses bras. Buffy appuya instinctivement son dos contre son torse, tandis que la joue du blond vint reposer contre ses cheveux.
« Je vais y aller, » lança Alex en avalant sa dernière bouchée de pancake. « Je vous dépose ? » dit-il à l’adresse de Buffy et Dawn.
« Je veux bien, » dit la jeune Summers, « je ne me vois pas marcher jusqu’à l’arrêt de bus dans mon état, je me sens vaseuse. Je vais chercher mes affaires ! » dit-elle en partant en direction de l’étage.
« Buffy ? »
« Sans moi, merci ! J’ai mon premier rendez-vous dans deux heures et j’ai quelques petites choses à finir avant de partir. »
Alex eut un sourire forcé, l’air gêné. « Et je ne tiens pas à savoir quoi, » dit-il en regardant Buffy et Spike alternativement.
Le vampire parut amusé et la Tueuse leva les yeux au ciel.
« Alex ! Je t’ai déjà dit qu’on était désolés pour l’autre fois… » commença doucement la jeune femme.
« Pas moi, » marmonna le vampire en haussant les épaules.
« Spike, commence pas… » murmura Buffy en tournant légèrement son regard vers lui.
« Vous inquiétez pas pour moi… je dis juste, je préfère encore me nettoyer les yeux à l’eau de javel que de voir ça à nouveau… »
« C’est dommage, tu pourrais apprendre deux-trois trucs Harris, ça te ferait pas de mal, je suis sûr ! » lança Spike taquin.
« Je me débrouille très bien, merci, » répondit Alex en apposant ses mains contre sa taille.
« Et puis, quelle idée de débarquer sans frapper… » dit la jeune femme.
« Buffy, il y a pas de porte à l’entrée de votre cuisine ! » rétorqua Alex. « Écoutez, je vais pas vous faire un procès pour vous être autorisés ce petit plaisir dans la cuisine, je l’ai déjà fait, mais… »
Buffy l’interrompit. « Dans la mienne ?! » dit-elle en ouvrant de grands yeux.
« Hey, t’as pas le droit de me juger, pas après ce que j’ai vu ! » dit Alex.
La Tueuse leva les mains en réflexe défensif. « Je juge pas, je suis juste étonnée. »
« Tu sais, juste avant la grande bataille… L’Apocalypse, ça exacerbe les émotions. »
La Tueuse prit une voix plus douce. « Anya ? »
« Ouais… » dit-il en baissant la tête. « Bref, plus de ça à des heures de haute fréquentation, » reprit le jeune homme d’une voix impérative.
« On fera en sorte de protéger tes yeux chastes à l’avenir, » ricana Spike.
« Je n’ai pas des yeux chastes ! » s’offusqua Alex. « T’aimerais me voir à l’action ? » lui retourna t-il.
Le vampire haussa une épaule. « J’ai vu pire dans ma centaine d’années d’existence, je m’en remettrai. »
Dawn fit à nouveau son entrée dans la cuisine, son sac de cours accroché à son épaule.
« C’est bon, je suis prête ! On y va ? »
« Avec plaisir Dawnie, » lança le jeune homme d’une voix exaspérée, en emboîtant ses pas.
Buffy et Spike entendirent vaguement la plus jeune Summers interroger Alex sur l’objet de leur conversation, plus loin dans le couloir, ayant perçu une atmosphère quelque peu électrique quand elle les avait rejoints.
« Ce sera définitivement une expérience à renouveler, » taquina Spike dans le creux de l’oreille de la Tueuse.
Il déposa un baiser sur sa nuque. Ils étaient toujours étroitement enlacés.
« Hier soir ne t’a pas suffi ? » s’amusa t-elle.
« Depuis quand une session nous suffit, amour ? » dit-il en lâchant la pression autour de sa taille et en prenant la direction du micro-onde pour y récupérer son repas.
Buffy leva un sourcil. « Euh… Une session ? T’appellerais ce qu’on a fait hier “une’’ session ? Sérieusement ? »
« Tant que ça ne dure pas plus de deux heures, c’est petit joueur en ce qui nous concerne, » dit-il nonchalamment en testant la température du contenu liquide de sa tasse.
Buffy eut une moue approbatrice, forcée d’admettre qu’il n’avait pas tort.
« On ne s’est pas privés au retour non plus, ceci dit… »
« Certes… » concéda t-il. « “Grève du sexe’’, » reprit-il amusé. « Je t’avais dit que tu ne tiendrais pas, » ajouta Spike, sachant pertinemment que ça l’agacerait. « Deux jours exactement ! T’as tenu deux jours. »
La mâchoire de la jeune femme se décrocha. « QUOI ? Qu’advient-il de ton “je prends toute la responsabilité’’ ? » s’offusqua t-elle.
« C’est pas moi qui avais pris la résolution d’une grève du sexe, » se dédouana t-il.
« Ah ! » dit-elle en ouvrant grand la bouche, désabusée. « Ça c’est la meilleure, j’arrive pas à croire que tu retournes ça contre moi… ! C’est toi qui as commencé à balader tes lèvres partout sur moi ! »
« Et je savais que tu craquerais, » dit-il avec un petit air fier.
« On appelle ça de la triche, Spike, » dit-elle en croisant les bras. « Ce n’était pas de mon fait. »
Il haussa un sourcil. « Sans vouloir te contredire, il y avait quand même pas mal de trucs qui étaient de ton fait hier soir. »
« Ce qui se passe après ne compte pas ! »
« D’accord, ok, je dis plus rien, » dit-il avec un petit sourire en coin, en la regardant avec malice.
« Clairement, tu prends beaucoup trop ton pied à me faire tourner en bourrique, » dit Buffy en lui lançant un torchon en pleine tête.
Spike eut un franc éclat de rire. « Si peu… Et je prends toujours mon pied avec toi, amour, » finit-il avec un haussement de sourcil suggestif.
La Tueuse leva les yeux au ciel et eut un sourire amusé, se retenant de rire à son tour. Elle jeta un œil à l’horloge.
« Faut que j’aille finir de m’occuper de la lessive avant de partir. »
Le blond fit un signe de la main. « Laisse, je la ferai. »
Elle approcha de lui à nouveau et déposa un baiser contre sa joue. « Ça marche. Prends mon débardeur et ma jupe d’hier soir, ils sont sur le sol de la chambre. De l’herbe s’est incrusté dessus, à cause de… tu sais. Notre session. »
« No problem, » dit-il. « Je suis coincé ici jusqu’à la tombée de la nuit, je comptais lire et regarder Passions, mais je suis pas contre de quoi m’occuper. »
Le regard de Buffy s’illumina. « Oh ! Tu peux m’enregistrer l’épisode ? »
Quand leur relation avait commencé à prendre ses marques et à s’installer dans la routine, Spike avait converti Buffy à sa série préférée —malgré les réserves initiales de cette dernière. La Summers savait qui plus est que sa mère avait également été une grande fan de Passions. En dépit de sa réluctance d’apparence, dans les premiers temps, face à cette tentative de conversion à cette série culte, une partie d’elle avait finir par être contente de retrouver Joyce dans cet anodin choix d’activité. Très vite, elle avait découvert que la série était addictive.
« Je peux faire ça, » répondit-il avant de boire une gorgée.
La Tueuse entama le mouvement pour sortir de la cuisine. « Je monte me changer. »
 À SUIVRE...
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TRADUCTION FRANÇAISE (de moi)
HEUTE
Pour le quinzième anniversaire (2004 - 2019) - Le quotidien "Heute" en Autriche - un magazine complet - avec 16 interviews de témoins contemporains
Dont un très intéressant avec Tom Neuwirth à propos de Conchita Wurst
2014
L'année Conchita: "C'est aussi surréaliste que c'était à l'époque"
Victoire au concours de l’Eurovision ("C’était trop"), la vie et la raison pour laquelle Tom place maintenant son personnage de fiction en arrière-plan. L'interview.
Lui ou elle, c'est la question. Et on a facilement la réponse. Avec sa perruque à cheveux longs, Tom Neuwirth est Conchita. Pour son nouvel album "T.O.M. - Truth Over Magnitude", le nom de cet homme de 30 ans est seulement Wurst. Nous avons rencontré Tom pour une conversation.
"Heute": Il y a cinq ans, vous avez remporté le concours de l’Eurovision à Copenhague. Le ressentez-vous comme plus réel ou est-ce déjà loin?
Tom Neuwirth: «C’est aussi surréaliste qu’à l’époque. La seule différence, c’est que je me suis habitué à cette vie. Mes souvenirs du concours de l’Eurovision sont totalement privés quand j’étais enfant avec mes parents, c’était si formidable - et puis, soudainement, je suis celui qui reste à la fin. Cela ne me sortira jamais complètement de l’esprit.
"Heute": Comment furent les semaines et les mois suivants?
Tom: C'est difficile de rester dans le moment. Un jour, tu te tiens sur le plateau avec Karl Lagerfeld et le lendemain au gala amfAR. Les choses deviennent absurdement normales. La seule chance est de suivre le courant! Si j'avais à nouveau un tel succès, j'aurais maintenant d'autres outils pour en profiter. C'était trop.
"Heute": Comment sont les moments où vous êtes seul?
Tom: J'aime être seul. J'aime parler aux gens, mais c'est épuisant. Vous devez donner beaucoup pour être généreux. Mais surtout après la victoire, j’ai eu des moments où je n’appelais plus personne mais restais couché. Cette année, au concours de l’Eurovision à Tel-Aviv, je me suis couché à 4 heures du matin et je me suis dit: quelle belle vie!
"Heute": Nous avons certainement vu comment vous avez changé en cinq ans, non?
Tom: À l'époque, je ne suivais pas les règles, mais je rencontrais des règles dans le personnage de fiction. Maintenant, il n'y a pas de règles du tout. Avec une telle attitude sans compromis, les gens peuvent bien vivre. Tout le monde est reconnaissant si vous prenez une décision pour eux. Et à Tel Aviv, je me suis dit que comme je m'entraînais comme un fou, ils devraient le voir clairement. Quand je rentre, je veux que tout le monde sache que je suis là. Si personne n'avait parlé de la combinaison en résille, j'aurais été vexé.
"Heute": Mais beaucoup ont également dit que non seulement un homme avec une chanson avait gagné, mais tout un mouvement - pour la tolérance, l'égalité et l'humanité. Beaucoup ont laissé entendre que le gagnant musical 2014 aurait dû être le duo "The Common Linnets". Est-ce que ça fait mal?
Tom: Allons, je m'en fiche. Bien sûr, ils ont eu beaucoup plus de succès commercialement, joué par toutes les radios, c’est aussi un titre d’enfer. Le mien était un moment, une mise en scène. Je fais surtout ce que j'aime et ce n'est pas nécessairement ce que les gens veulent. J'ai toujours su que je voulais être une star, divertir les gens. Je suis fils d’hôteliers, vous apprenez quelque chose comme ça.
"Heute": Où sont tous les vêtements et les perruques de Conchita?
Tom: Les tenues sont en partie dans les archives de Thomas Kirchgrabner et Juergen Christian Hoerl ou ici à l'agence. Sûrelent pas à la maison. Elle apparaîtra encore et encore étonnamment. Mais cinq ans, c'est très long pour moi, je m'ennuie vite. Je devais découvrir par moi-même comment travailler.
"Heute": Tout le monde attendait le grand moment de re-transformation. En fait, vous ressemblez déjà à Tom. Êtes-vous reconnu par plus de gens dans la rue maintenant?
Tom: Il y a toujours des lunettes ou un peu de maquillage. J'ai complètement sous-estimé cela. Personne ne me reconnaissait quand je sortais de Conchita, mais maintenant, ça va très bien. Je n'ai plus de problèmes avec ma personne. Par exemple, lorsque je sors manger avec mes amis, une salutation inattendue vient de la cuisine, le verre est rempli et je suis en extase. Et ils disent: "Mec, as-tu des tomates dans les yeux? Ils te regardent de toute façon." Mais il y a trois ans, je ne voulais pas être regardé et reconnu. J'avais l'image d'une diva tragique, comparable à l'impératrice Elisabeth, qui était ma rérérence pour l’humeur. Incroyablement belle, mais souffrant. De nos jours, je dis en moi-même: regarde moi!
"Heute": Une partie de votre travail consiste à présenter de grands spectacles - comme "Amadeus" ou "Life Ball". Chapeau bas, cette année, vous avez démontré votre talent d'acteur. Un metteur en scène a-t-il déjà appelé?
Tom: Gery Keszler dit que je suis sans limites . Et puis je peux tout faire. Ce que je fais doit être amusant avant tout. Nous avons répété pendant des semaines. J'ai trouvé un personnage et je l'ai joué. Je suis sûr que je vais faire un film ou une pièce de théâtre, et enfin, il y aura certainement une comédie musicale, très sombre (grand sourire).
"Heute": Le 25 octobre votre nouvel album "T.O.M." sera publié. Un grand jour?
Tom: Un très grand jour, mon troisième album studio, il y a tellement de mouvement dedans. Pour chaque chanson, il y a une vidéo, j'ai pensé au concept, toujours une nouvelle chorégraphie, je ne veux pas me répéter. Il a grandi pendant un an. Et je ne peux pas dire aujourd'hui à quoi je ressemblerai pour la sortie de l'album au WUK le 2 novembre.
"Heute": La Coupe de l’Eurovision a changé votre vie de manière fondamentale. A-t-elle une place d'honneur?
Tom: Malheureusement, je ne sais pas pour le moment où se trouve exactement la coupe. Bien que nous ayons emménagé avec l'agence il y a quelques mois, nous n'avons pas encore tout résolu.
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darkpalmor · 2 years ago
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9 NOVEMBRE 2022
Programme or not programme ?
1°) Lettre de vacances (5 minutes) : Retour gâché. On écrira à un nouvel ami, rencontré pendant les vacances d’été, pour lui faire part d’un sentiment de gâchis éprouvé au retour (gâchis matériel, spirituel, mental, sentimental, etc.).
Chère Clémentine, me voici de retour dans mon petit chez-moi, après ces trois semaines au Cap Ferrat, la tête pleine de bons souvenirs. Mais… Il y a un « Mais ». J’ai l’impression confuse que nos discussions si sérieuses cet été, ces partages de souvenirs très personnels, ce sentiment trouble que nous avons cru éprouver en même temps l’un pour l’autre, comment te dire ? J’ai la certitude que tout cela, c’était du temps perdu. Des paroles perdues, du blabla. Que nous nous sommes égarés. Bref, pendant trois semaines j’ai imaginé un avenir riant et double. Maintenant que j’ai retrouvé mon poisson rouge, ma concierge, ma bibliothèque et ma collection de films érotiques, je suis sûr que j’aurais mieux fait de continuer mes lectures ici, à l’ombre, au lieu de bronzer sentimental, de faire le ménage comme d’habitude tous les deux jours et de voir ma boulangère et mon fromager régulièrement. Avec ceux-là, c’est du sérieux. Donc, vois-tu, Clémentine, les vacances de rêve, de rêveur plutôt, ce n’est pas pour moi. Aussi nous allons sagement déprogrammer nos calendriers de rencontres des mois à venir, mettre à jour nos carnets d’adresses ? Etc. Bien cordialement, Nicolas.
2°) Écriture longue (15-20 minutes) : Critique littéraire. Rédiger un article de critique littéraire d’un ouvrage imposé, avec une identification du genre, de l’auteur, puis un bref résumé et un commentaire sur le style, le contenu, l’intérêt de l’œuvre dans la production de l’auteur, etc. Au programme, des romans, de la poésie, du théâtre. Pour aujourd’hui, voici l’œuvre à exploiter : La ruine de l’accessoire, de Charles Goubert, 2022, éditions /irrégulières.
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La ruine de l’accessoire, pour un essai, c’est réussi. Charles Goubert, notre illustre théoricien de la faillite des sociétés modernes, vient de signer son quinzième ouvrage, encore une fois à propos de la futilité du monde. Il y examine méthodiquement comment la majeure partie de nos préoccupations, de nos visées et ambitions personnelles, sociales et morales, s’est depuis une décennie concentrée sur trois ou quatre « problèmes » prétendus, problèmes qui occupent tout notre « temps de cerveau disponible », sans même que nous puissions envisager d’en venir à bout. Et Goubert, par contrecoup, explore minutieusement les points obscurs de notre champ de vision, les petits sujets dont nous devrions nous préoccuper, et il en conclut brillamment que nos vies seraient « moins moches et moins inutiles » si nous consentions à n’être que des humains normaux, si nous acceptions de ne plus nous soucier à mort d’écologie marine, de relations internationales, de métaphysique ou de religions. Et il illustre son propos. Voici quelques exemples qui montreront pourquoi on doit lire son livre, et suivre ses conseils. Pourquoi négligeons-nous la pâtisserie ou la vannerie au profit des séances de fitness et de marche nordique ? Ne ferions-nous pas mieux d’aller aux champignons ou de planter des tulipes et des crocus en cachette dans les pelouses municipales, au lieu de nous épuiser en joutes verbales électorales et dans des combats idéologiques perdus d’avance contre l’obscurantisme ? Puisque – de toute façon – les machines et les robots nous remplaceront après nous avoir détrônés et détruits, profitons des plaisirs accessoires aussi longtemps qu’ils nous sont accessibles. Relisons Charles Goubert, et prenons des cours de cuisine ou de tricot.
3°) Droit de réponse (10-15 minutes) : Un héros de fiction — souvent mécontent — répond à son auteur. Le loup de la fable « Le Loup et l’Agneau » écrit à La Fontaine et réclame une réécriture.
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Monsieur Jeannot, permettez-moi cette réclamation relative à la fable où vous me donnez un si vilain rôle. Sachez que ma famille et moi-même, ma tribu, ma race si j’ose dire, voyons d’un très mauvais œil que vous donniez la place de la victime à une bestiole dont vous autres, les humains, vous souciez si peu en vérité, une bête à couscous et à gigots, une enveloppe vide d’intelligence et bonne à faire des tricots, cette bête que vous engraissez en troupeaux immenses et bêlants, que vous protégez de vos clôtures électrifiées et de vos horribles chiens patous. Apprenez aussi que le royaume des eaux nous appartient, nous les sauvages, et qu’en effet la bave et les pattes sales des brebis, béliers et agneaux, ne contribuent pas à en améliorer la qualité ; nous autres, les loups, ne buvons qu’en lapant, penchés au-dessus de l’eau claire, nous ne nous roulons pas dans notre abreuvoir. Nous protégeons la nature, nous la régulons. Et enfin, mon cher Jeannot, nous sommes des juristes accomplis, nous avons nos lois, vous ne pouvez en dire autant, petit écrivaillon de mes deux. Et quand vous prétendez que « sans autre forme de procès » je « l’emporte et puis le mange », c’est faux. Il y a eu une grand Jury. Il y a eu une instruction du dossier, des juges intègres, une décision motivée. Et cet avorton qui n’avait pas trois semaines à survivre, tant il était mal soigné, a reçu le châtiment prévu par nos règlements. Donc, je vous en prie, revoyez un peu votre copie. Mettez un tribunal dans votre campagne, un avocat, respectez les règles darwiniennes de la sélection des espèces, et resituez l’affaire à la lumière des déclarations de Maître Yannick Jadot et du Traiteur de la rue Saint-Désiré, mon vieux. Sinon, nous les loups, nos cousins les chiens libres, nous irons pisser dans votre Fontaine, fût-elle majuscule, espèce de prétentieux ! Au plaisir d’avoir de vos nouvelles, Jeannot. Votre Loulou.
4°) Caviardage (10-15 minutes) : C’est le contraire de la gonflette. On reçoit une page photocopiée d’un livre quelconque, et on noircit tous les mots qu’on ne veut pas garder, de manière à laisser apparaître un court texte d’une vingtaine ou trentaine de mots au maximum. Boris Vian, Et on tuera tous les affreux, Chapitre XVI.
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Le poème des caviardages
Je vois bien, Mais Mike doit avoir un plan. Mike fait le mur en aplatissant des lézards un peu partout. Un nouveau coup me rassure ; le chien souffle et s’éloigne furtivement.
Gary et Andy, gardiens ! Mike a l’automatique, Noonoo descend le chien. Mike fait des coups partout. Le chien souffle, sa voix est assez sympathique dans ce souterrain, mais Mike avance sa silhouette. Et soudain, un gargouillement de Mike. Je fonce !
Je vois bien qu’il y a des gardiens : le couloir descend enfin, et recule. Je n’ai pas besoin de lézards ! Mais je me sens en forme pour un coup dur. Mike s’est tu. Je suis une galerie, de gros poteaux sans colle. Il m’a donné une petite matraque sympathique dans ce souterrain, mais j’ai des poteaux, je fonce…
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christophe76460 · 2 years ago
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Les saintes convocations de l'Éternel
Fêtes déjà accomplies par Jésus-Christ lors de son ministère terrestre :
1. Fête de la Pâque
2. Fête des Azymes (pains sans levain)
3. Fête des Prémices
4. Fête de Shavouot (semaines) ou de la Pentecôte
Fêtes qui seront accomplies par Jésus-Christ lors de son avènement AU COURS DU SEPTIÈME MOIS DE LA MÊME ANNÉE (jour et heure connus du Père SEUL) :
5. Fête des Trompettes (la première résurrection)
6. Fête des Expiations (yom kippour)
7. Fête de Succot (cabanes ou tabernacles)
Lévitique, 23:4‭-‬44
Voici les fêtes de l'Éternel, les SAINTES CONVOCATIONS, que vous publierez à leurs TEMPS FIXÉS.
1. Fête de la Pâque de l'Éternel
LE PREMIER MOIS, le QUATORZIÈME JOUR du mois, ENTRE les deux SOIRS, sera la PÂQUE DE L'ÉTERNEL ;
2. Fête des pains sans levain de l'Éternel
Et le QUINZIÈME JOUR de CE MOIS, sera la fête DES PAINS SANS LEVAIN À L'ÉTERNEL ; vous mangerez des pains sans levain pendant SEPT JOURS. Le premier jour vous aurez une SAINTE CONVOCATION ; vous ne ferez aucune œuvre servile. Vous offrirez à l'Éternel, pendant SEPT JOURS, des sacrifices faits par le feu. Le SEPTIÈME JOUR il y aura une SAINTE CONVOCATION ; vous ne ferez aucune œuvre servile.
3. Fête des prémices de l'Éternel
L'Éternel parla encore à Moïse, en disant : Parle aux enfants d'Israël, et dis-leur : Quand vous serez entrés au pays que je vous donne, et que vous en ferez la MOISSON, vous apporterez au sacrificateur une gerbe, PRÉMICES DE VOTRE MOISSON. Et il AGITERA LA GERBE DEVANT L'ÉTERNEL, afin qu'elle SOIT AGRÉÉE POUR VOUS ; LE SACRIFICATEUR L'AGITERA LE LENDEMAIN DU SABBAT. Vous sacrifierez aussi, le jour où vous agiterez la gerbe, un AGNEAU d'un an, SANS DÉFAUT, en HOLOCAUSTE à l'Éternel; Et son offrande sera de deux dixièmes de fine farine arrosée d'huile, en sacrifice fait par le feu, d'agréable odeur à l'Éternel, et sa libation sera du vin, le quart d'un hin. Vous ne mangerez ni pain, ni grain rôti, ni grain en épi, jusqu'à ce même jour-là, jusqu'à ce que vous ayez apporté l'offrande à votre Dieu; c'est une ordonnance perpétuelle pour vos générations, dans toutes vos demeures.
4. Fête de la Pentecôte de l'Éternel
Vous compterez aussi, à partir DU LENDEMAIN DU SABBAT, DÈS LE JOUR OÙ VOUS aurez apporté la GERBE qui doit être AGITÉE, SEPT SEMAINES ENTIÈRES. Vous compterez CINQUANTE JOURS jusqu'au LENDEMAIN du SEPTIÈME SABBAT ; et vous offrirez une nouvelle offrande à l'Éternel. Vous apporterez de vos demeures deux pains, pour une offrande agitée; ils seront de deux dixièmes de fleur de farine, cuits avec du levain : ce sont les prémices à l'Éternel. Vous offrirez aussi avec le pain, sept agneaux d'un an sans défaut, et un jeune taureau, et deux béliers, qui seront en holocauste à l'Éternel, avec leur offrande et leurs libations, en sacrifice fait par le feu, d'agréable odeur à l'Éternel. Vous offrirez aussi un bouc pour le péché, et deux agneaux d'un an en sacrifice de prospérités. Et le sacrificateur les agitera avec le pain des prémices, en offrande agitée devant l'Éternel, avec les deux agneaux; ils seront consacrés à l'Éternel, pour le sacrificateur. Vous publierez la FÊTE CE JOUR MÊME ; vous aurez une SAINTE CONVOCATION ; vous ne ferez aucune œuvre servile. C'est une ordonnance perpétuelle dans toutes vos demeures, d'âge en âge. Et quand vous ferez la moisson dans votre pays, tu n'achèveras point de moissonner le bout de ton champ, et tu ne ramasseras point les restes de ta moisson; tu les laisseras pour le pauvre et pour l'étranger : Je suis l'Éternel, votre Dieu.
5. Fête des trompettes de l'Éternel (la première résurrection des morts en Christ)
L'Éternel parla encore à Moïse, en disant : Parle aux enfants d'Israël, et dis : Au SEPTIÈME MOIS, au PREMIER JOUR DU MOIS, il y aura pour vous un JOUR de REPOS, une COMMÉMORATION publiée AU SON DES TROMPETTES, une SAINTE CONVOCATION ; Vous ne ferez aucune œuvre servile; et vous offrirez à l'Éternel des sacrifices faits par le feu.
6. Fête des expiations de l'Éternel
L'Éternel parla aussi à Moïse, en disant : Le DIXIÈME JOUR DE CE SEPTIÈME MOIS sera le JOUR DES EXPIATIONS ; vous aurez une SAINTE CONVOCATION, vous HUMILIEREZ vos âmes, et vous offrirez à l'Éternel des sacrifices faits par le feu. Vous ne ferez aucune œuvre ce jour-là; car c'est le JOUR DES EXPIATIONS, où doit être faite pour vous l'expiation devant l'Éternel votre Dieu. Car toute personne qui ne S'HUMILIERA pas ce jour-là, sera RETRANCHÉE du MILIEU de SON PEUPLE. Et toute personne qui fera ce jour-là une ŒUVRE QUELCONQUE, je la DÉTRUIRAI du MILIEU de SON PEUPLE. Vous ne ferez AUCUNE ŒUVRE ; c'est une ordonnance perpétuelle pour vos générations, dans toutes vos demeures. Ce sera pour vous un sabbat, un JOUR DE REPOS, et vous HUMILIEREZ vos âmes. Le NEUVIÈME JOUR DU MOIS, au SOIR, d'un SOIR à l'autre SOIR, vous célébrerez votre sabbat.
7. Fête des tabernacles ou des cabanes de l'Éternel
L'Éternel parla encore à Moïse, en disant : Parle aux enfants d'Israël, et dis : Le QUINZIÈME JOUR DE CE SEPTIÈME MOIS, ce sera la FÊTE DES TABERNACLES pendant SEPT JOURS, à l'honneur de l'Éternel. Le PREMIER JOUR il y aura une SAINTE CONVOCATION ; vous ne ferez aucune œuvre servile. Pendant SEPT JOURS vous offrirez à l'Éternel des sacrifices faits par le feu. Le HUITIÈME JOUR vous aurez une SAINTE CONVOCATION, et vous offrirez à l'Éternel des sacrifices faits par le feu; ce sera une ASSEMBLÉE SOLENNELLE ; vous ne ferez aucune œuvre servile.
TELLES sont les FÊTES SOLENNELLES de l'Éternel, que vous publierez comme de SAINTES CONVOCATIONS, pour offrir à l'Éternel des sacrifices faits par le feu, des holocaustes, des offrandes, des sacrifices et des libations, CHAQUE CHOSE À SON JOUR ; Outre les sabbats de l'Éternel, et outre vos dons, et outre tous vos vœux, et outre toutes vos offrandes volontaires que vous présenterez à l'Éternel. Mais le QUINZIÈME JOUR DU SEPTIÈME MOIS, quand vous aurez recueilli le produit de la terre, vous CÉLÉBREREZ une fête à l'Éternel PENDANT SEPT JOURS. Le PREMIER jour sera un jour de REPOS, et le HUITIÈME sera aussi un jour de REPOS. Et le premier jour vous prendrez du fruit des beaux arbres, des branches de palmiers, des rameaux d'arbres touffus et des saules de rivière; et vous vous RÉJOUIREZ PENDANT SEPT JOURS DEVANT L'ÉTERNEL, votre Dieu. Vous célébrerez ainsi cette fête à l'Éternel pendant SEPT JOURS DANS L'ANNÉE. C'est une ordonnance perpétuelle pour vos générations; vous la CÉLÉBREREZ LE SEPTIÈME MOIS. Vous demeurerez pendant sept jours sous des tentes; tous ceux qui seront nés en Israël demeureront sous des tentes, Afin que votre postérité sache que j'ai fait habiter les enfants d'Israël sous des tentes, lorsque je les ai fait sortir du pays d'Égypte: Je suis l'Éternel, votre Dieu. Ainsi Moïse déclara aux enfants d'Israël les FÊTES DE L'ÉTERNEL.
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shalomelohim · 2 years ago
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Se préparer pour les Convocations de la Sainteté de Dieu : Pessah (La Pâque), la Fête des Pains sans levain, la Fête des Prémices
Notes :
“ L'Eternel parla à Moïse, et dit : Parle aux enfants d'Israël, et tu leur diras : Les fêtes de l'Eternel, que vous publierez, seront de saintes convocations. […] Voici les fêtes de l'Eternel, les saintes convocations, que vous publierez [respecterez] à leurs temps fixés. Le premier mois, le quatorzième jour du mois, entre les deux soirs, ce sera la Pâque de l'Eternel. Et le quinzième jour de ce mois, ce sera la fête des pains sans levain en l'honneur de l'Eternel ; vous mangerez pendant sept jours des pains sans levain. Le premier jour, vous aurez une sainte convocation: vous ne ferez aucune oeuvre servile (jour chômé). Vous offrirez à l'Eternel, pendant sept jours, des sacrifices consumés par le feu. Le septième jour, il y aura une sainte convocation: vous ne ferez aucune oeuvre servile. (jour chômé) “ (Lévitique 23:1-8)
Tout le Peuple d’Israël (spirituel) est convié à ces Convocations de Sainteté (Juifs et Goyim) qui se dérouleront :
Du Mardi 4 avril au soir - pleine lune le 6 - au Mercredi 11 Avril 2023 au soir.
Selon les instructions suivantes :
1. PESSAH (La Pâque)
. Le 5 Avril 2023 - jour chômé (début le 4 au soir)
“ Le premier mois, le quatorzième jour du mois, entre les deux soirs, ce sera la Pâque de l'Eternel. “ (Lévitique 23:5)
2. LA FETE DES PAINS SANS LEVAIN
Pleine Lune : le 6 Avril 2023 à 06h36 (heure de Paris)
Pendant 7 jours, nous consommons du pain sans levain symbole de la pureté du Mashia’h et de ceux qui sont appelés à le suivre.
. Du 5 Avril 2023 (début le 6 au soir) au 11 Avril 2023 (jour chômé) au soir
Et le quinzième jour de ce mois, ce sera la fête des pains sans levain en l'honneur de l'Eternel ; Vous mangerez pendant sept jours des pains sans levain. Le premier jour, vous aurez une sainte convocation : vous ne ferez aucune oeuvre servile (chômé). Vous offrirez à l'Eternel, pendant sept jours, des sacrifices consumés par le feu. Le septième jour, il y aura une sainte convocation : vous ne ferez aucune oeuvre servile (chômé). ” (Lévitique 23:6-8)
Puis, il y a la fête de l’Omer ou des Prémices, encore appelée la Fête de la Résurrection (offrande à prévoir).
Dans la Torah, cela consistait à apporter une première gerbe d’orge, prémices de la moisson, au prêtre afin que celui-ci la présente rituellement devant l’Eternel  dans le Sanctuaire.
L’offrande de la première gerbe, prémices de la moisson, était le symbole précurseur du Seigneur Yahshua ressuscité, le Fils premier-né, qui se présenta devant le Père Tout-Puissant.
Elle a lieu le lendemain du shabbat pendant la fête des pains sans levain (soit le 9 avril - 8 au soir cette année) qui correspond au début du décompte de l’Omer (7 semaines ou 50 jours) pour arriver jusqu’à Shavouot-Pentecôte.
Rappelons que ce sont des convocations solennelles que Père Céleste adresse à Son Peuple.
Elles sont l’occasion pour Lui de nous “ peser spirituellement “ et d’évaluer nos progrès par rapport à l’année passée.
Qu’avons-nous appris en une année ?
Quels sont les actes que nous avons posés selon la volonté de Son Plan pour nous ?
Est-ce que nous grandissons spirituellement au fur et à mesure que les événements mondiaux se déroulent ou est-ce que l’on reste sur : “Dieu t’aime”, “Ne crains rien”, “Il va venir t’enlever dans x jours” ?
Voilà les questions qu’il faut nous poser.
Voyons-y l’opportunité de revenir aux anciens sentiers - racines hébraïques de la foi - afin de grandir spirituellement, d’approfondir notre sanctification et de découvrir Elohim et Yahshua sous de nouveaux aspects.
Il souhaite se révéler à Son Peuple pour cette Ordonnance biblique qui est l’une des plus importantes et qui demande une préparation.
Que le Ruah Ha Kodesh éclaire celles et ceux qui pensent que cette fête est maintenant abolie et puissent s’y intéresser afin de commencer à la respecter selon son niveau de compréhension et la mesure de sa foi.
“ Tes préceptes sont pour toujours mon héritage, Car ils sont la joie de mon coeur. J'incline mon coeur à pratiquer tes statuts, Toujours, jusqu'à la fin. “ (Psaume 119:11-12)
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*** Allez-vous célébrer Pessah de la Bible ou Pâques, fête païenne ?
Il n’est pas rare de voir dans les assemblées des corbeilles avec des oeufs en chocolat circuler dans les rangs pendant que le Pasteur prêche le sacrifice de Yahshua à la croix. Une abomination !
Pessah
“ Vous conserverez le souvenir de ce jour, et vous le célébrerez par une fête en l'honneur de YHWH ; vous le célébrerez comme une loi perpétuelle pour vos descendants. “ (Deutéronome 12:14 - Institution de la Pâque)
VS
Pâques
“ Vous annulez ainsi la parole d’Elohim au profit de votre tradition.” (Matthieu 15:6)
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C’est le temps de notre libération.
La Paque est l’événement le plus solennel du calendrier sacré.
Durant l’année écoulée, nous avons pêché, agit selon notre propre volonté et notre propre justice :
« Nous sommes tous comme des impurs, et toute notre justice est comme un vêtement souillé ; Nous sommes tous flétris comme une feuille, et nos crimes nous emportent comme le vent. » (Esaïe 64:5).
Les événements en cours ont généré des changements ou des bouleversements dans nos vies pour sortir de Babylone et rejoindre Jérusalem. 
Le parcours a été jonché d’obstacles, de désobéissances, d’adversaires qui nous ont fait chuter.
C’est pour cette raison que nous avons besoin de la Pâque et du sang versé de Yahshua pour le pardon de nos péchés.
Nous devrions nous examiner nous-mêmes, tout au long de l’année – et le faire plus intensément lorsque la Pâque approche.
« Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés. Mais lorsque nous sommes jugés [lorsque Yahshua nous juge parce que nous ne nous sommes pas jugés nous-mêmes], nous sommes châtiés par le Seigneur, afin de ne pas être condamnés avec le monde » (1 Corinthiens 11:31-32).
Lorsque nous nous examinons, nous devons honnêtement évaluer tout ce qui est négatif dans notre vie : nos œuvres, nos pensées et nous repentir de nos péchés.
Notre Père au ciel est un Elohim de paix et d’amour.
Il n’y aura pas de querelles, de disputes ou d’amertume dans Sa Famille.
Ceux qu’Il a appelés Lui auront prouvé qu’ils peuvent régler rapidement les désaccords et faire preuve de sollicitude pour tous, avant d’être changés en êtres spirituels et recevoir la vie éternelle.
« Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde ! Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Elohim ! Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils d’Elohim ! Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le Royaume des Cieux est à eux ! » (Matthieu 5:7-10).
C’est maintenant qu’il faut commencer à mettre en ordre nos maisons spirituelles.
Yahshua veut voir comment nous nous préparerons cette année, avant de prendre le pain et le vin.
Il s’agit de rétablir la paix au sein du corps de Yahshua qui était la perfection incarnée.
Que ce rendez-vous de sainteté de ce prochain Péssah soit rempli de grâce, de bénédiction de la part du Père, par la pleine présence en chacun de vous et dans vos demeures, de Yahshua, Fils, Agneau, Roi et Grand Sacrificateur.
Soyons convaincus qu’IL nous fait sortir de nos Égyptes si nous n’hésitons pas à le suivre.
IL nous sanctifie par Sa Parole toute entière (dont la Torah) qui est La Vérité, et nous purifie encore de ce qui n’est pas de Lui en nous lavant les pieds, afin que nous ayons notre part avec Lui dans Son sacerdoce, en fuyant les Babylones et les Egyptes.
Si nous sommes morts avec Lui, nous sommes dans Sa joie et vivant en Lui.
Il revient bientôt. Soyons trouvés fidèles ! Qu’Israël spirituelle vive.
Sources : multiples
Articles en lien avec la préparation de Pessah
Pessah (La Pâque), le précieux joyau des Fêtes de l'Éternel selon le Messie Yéshoua et les Sages
Préparation à la fête de Pessa’h (Pâque) : le grand ménage du levain de l’orgueil !
Il est encore temps de commander les différents livrets afin d’apprendre à célébrer les Fêtes de l’Eternel à la lumière de Yéshoua HaMashia’h.
Forfait Fêtes de l’Éternel et le Calendrier
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leblogdemarinaetjm · 2 years ago
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MARDI 1er NOVEMBRE 2022 (Billet 3 / 4)
Dimanche en fin de journée nous avons décidé d’aller prendre un verre dans l’hôtel-bar (4 Etoiles), inauguré il y a à peine 1 semaine, « La Quinzerie », à 2 pas de chez nous, juste en face de l’ex-Imprimerie Nationale devenue maintenant une annexe du Quai d’Orsay. « Quinzerie » est un jeu de mot entre « quinzième » (nous sommes dans le XVe arrondissement de Paris) et « imprimerie » (clin d’œil à l’ancienne Imprimerie Nationale).
Nous avions entendu parler de leur roof top au 8e étage, avec une superbe vue sur la Tour Eiffel et l’ensemble de Beaugrenelle. Il nous a beaucoup déçu par sa taille (un tiers de notre terrasse, peut-être à peine plus) mais le point de vue sur le « Manhattan du 15e » est intéressant. Certainement encore plus la nuit. Nous reviendrons.
Du coup, c’est au rez-de-chaussée que nous avons commandé un Campari-Spritz qui s’est révélé généreux et bien dosé. Nous avons trouvé la déco du Lobby très réussie et le personnel très sympathique, surtout lorsqu’on leur a dit que nous étions voisins…
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De retour à la maison, Marina a préparé notre dîner, une nouvelle recette : des « TAGLIATELLES AUX TRUFFES ET NOIX DE St-JACQUES ». Vous en trouverez la recette ci-dessous. Nous nous sommes régalés mais c’est un avis tout à fait perso car peut-être n’aimez-vous ni les noix de St-Jacques, ni la truffe, ni les tagliatelles…
________________________________
INGREDIENTS (pour 2 personnes)
200g de tagliatelles
6 noix de St-Jacques
2 cuillères à soupe de vin blanc
75 g de beurre
35 cl de crème liquide épaisse
1 échalote
Huile d’olive
Fleur de sel
Persil
Brisures ou pâte de truffes
PRÉPARATION 
Faire bouillir un grand volume d’eau avec du sel.
Hacher un peu de persil.
Hacher l’échalote et la faire cuire dans un peu de vin blanc. Ajouter le beurre. Une fois qu’elle a doré, ajouter la crème liquide (épaisse) et 2 petites cuillères à café de pâte de truffe. Réserver puis remonter à feu très doux.
Plonger les tagliatelles dans l’eau bouillante et respecter le temps de cuisson indiqué sur la boîte.
Faire chauffer les noix de St-Jacques dans une poêle avec un peu d’huile d’olive pendant 3/4 mn. Il faut qu’elles soient dorées de chaque côté et nacrées à l’intérieur.
En fin de cuisson des tagliatelles, les égoutter, les verser sur la crème, puis mélanger.
Disposer les tagliatelles sur les 2 assiettes chaudes et répartir les noix de St-Jacques sur le dessus. Déposer quelques grammes de pâte de truffe sur chacune d’entre elles et les assaisonner avec un peu de fleur de sel.
Pour finir, éparpiller un peu de persil sur chacune des assiettes et servir aussitôt.
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rouledecannelle · 3 years ago
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TW mal être
J'ai tellement envie de dormir que ça me prend aux tripes
J'ai l'impression que c'est la quinzième fois de la semaine que je me lève du mauvais pied
Comme si chaque pas était un effort surhumain
Y a moyen que je m'écroule avant d'avoir pu tourner mes clefs dans la serrure
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yes-bernie-stuff · 3 years ago
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l’Évangile au Quotidien
l’Évangile au Quotidien
« Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68
Vendredi 30 Juillet
Livre du Lévitique 23,1.4-11.15-16.27.34b-37.
Le Seigneur parla à Moïse et dit :
Voici les solennités du Seigneur, les assemblées saintes auxquelles vous convoquerez, aux dates fixées, les fils d’Israël.
Le premier mois, le quatorze du mois, au coucher du soleil, ce sera la Pâque en l’honneur du Seigneur.
Le quinzième jour de ce même mois, ce sera la fête des Pains sans levain en l’honneur du Seigneur : pendant sept jours, vous mangerez des pains sans levain.
Le premier jour, vous tiendrez une assemblée sainte et vous ne ferez aucun travail, aucun ouvrage.
Pendant sept jours, vous présenterez de la nourriture offerte pour le Seigneur. Le septième jour, vous aurez une assemblée sainte et vous ne ferez aucun travail, aucun ouvrage. »
Le Seigneur parla à Moïse et dit :
« Parle aux fils d’Israël. Tu leur diras : Quand vous serez entrés dans le pays que je vous donne, et que vous y ferez la moisson, vous apporterez au prêtre la première gerbe de votre moisson.
Il la présentera au Seigneur en faisant le geste d’élévation pour que vous soyez agréés. C’est le lendemain du sabbat que le prêtre fera cette présentation.
À partir du lendemain du sabbat, jour où vous aurez apporté votre gerbe avec le geste d’élévation, vous compterez sept semaines entières.
Le lendemain du septième sabbat, ce qui fera cinquante jours, vous présenterez au Seigneur une nouvelle offrande.
C’est le dixième jour du septième mois qui sera le jour du Grand Pardon. Vous tiendrez une assemblée sainte, vous ferez pénitence, et vous présenterez de la nourriture offerte pour le Seigneur.
À partir du quinzième jour de ce septième mois, ce sera pendant sept jours la fête des Tentes en l’honneur du Seigneur.
Le premier jour, celui de l’assemblée sainte, vous ne ferez aucun travail, aucun ouvrage.
Pendant sept jours, vous présenterez de la nourriture offerte pour le Seigneur. Le huitième jour, vous tiendrez une assemblée sainte, vous présenterez de la nourriture offerte pour le Seigneur : ce sera la clôture de la fête. Vous ne ferez aucun travail, aucun ouvrage.
Telles sont les solennités du Seigneur, les assemblées saintes auxquelles vous convoquerez les fils d’Israël, afin de présenter de la nourriture offerte pour le Seigneur, un holocauste et une offrande, un sacrifice et des libations, selon le rite propre à chaque jour. »
Psaume 81(80),3-4.5-6ab.10-11ab.
Jouez, musiques, frappez le tambourin,
la harpe et la cithare mélodieuse.
Sonnez du cor pour le mois nouveau,
quand revient le jour de notre fête.
C'est là, pour Israël, une règle,
une ordonnance du Dieu de Jacob ;
Il en fit, pour Joseph, une loi
quand il marcha contre la terre d'Égypte.
« Tu n'auras pas chez toi d'autres dieux,
tu ne serviras aucun dieu étranger.
C'est moi, le Seigneur ton Dieu,
qui t'ai fait monter de la terre d'Égypte ! »
Évangile de Jésus-Christ selon Matthieu 13,54-58.
En ce temps-là, Jésus se rendit dans son lieu d’origine, et il enseignait les gens dans leur synagogue, de telle manière qu’ils étaient frappés d’étonnement et disaient : « D’où lui viennent cette sagesse et ces miracles ?
N’est-il pas le fils du charpentier ? Sa mère ne s’appelle-t-elle pas Marie, et ses frères : Jacques, Joseph, Simon et Jude ?
Et ses sœurs ne sont-elles pas toutes chez nous ? Alors, d’où lui vient tout cela ? »
Et ils étaient profondément choqués à son sujet. Jésus leur dit : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays et dans sa propre maison. »
Et il ne fit pas beaucoup de miracles à cet endroit-là, à cause de leur manque de foi.
 - © AELF, Paris
« À cause de leur manque de foi »
Certains théologiens récents sont de l'avis que le feu qui brûle et en même temps sauve est le Christ lui-même, le Juge et Sauveur. La rencontre avec lui est l'acte décisif du jugement. Devant son regard s'évanouit toute fausseté. C'est la rencontre avec lui qui, en nous brûlant, nous transforme et nous libère pour nous faire devenir vraiment nous-mêmes. Les choses édifiées durant la vie peuvent alors se révéler paille sèche, vantardise vide, et s'écrouler. Mais dans la souffrance de cette rencontre, où l'impur et le malsain de notre être nous apparaissent évidents, se trouve le salut. Le regard du Christ, le battement de son cœur nous guérissent grâce à une transformation assurément douloureuse, comme « par le feu » ; cependant, c'est une heureuse souffrance, dans laquelle le saint pouvoir de son amour nous pénètre comme une flamme, nous permettant à la fin d'être totalement nous-mêmes et par là totalement de Dieu.
Ainsi la compénétration de la justice et de la grâce se rend évidente aussi : notre façon de vivre n'est pas insignifiante, mais notre saleté ne nous tache pas éternellement, si du moins nous sommes demeurés tendus vers le Christ, vers la vérité et vers l'amour. En fin de compte, cette saleté a déjà été brûlée dans la Passion du Christ. Au moment du jugement, nous expérimentons et nous accueillons cette domination de son amour sur tout le mal dans le monde et en nous. La souffrance de l'amour devient notre salut et notre joie.
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bruxellescity · 4 years ago
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TOP CHEF SAISON 12 : ÉPISODE 15
TOP CHEF SAISON 12 : ÉPISODE 15
Quinzième semaine du plus grand concours de cuisine réservé aux professionnels pour les 4 candidats toujours en lice qui vont continuer leur marathon culinaire avec 2 nouvelles épreuves exceptionnelles ! Leur objectif : récolter 2 pass pour se qualifier pour la demi-finale du concours. L’épreuve de Lionel Giraud : les algues Ce Chef 2 étoiles, sacré « grand de demain » par un célèbre guide, a…
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kianao · 4 years ago
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