#questionidiote
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Qui n'a jamais eu peur de poser une question par crainte de passer pour un idiot ? 🤨 Grosse erreur, comme l'explique Confucius, car la curiosité intellectuelle est enrichissante & fait grandir 😊 Posez des questions, vivez, vibrez 😍 😘 #vivezvibrez #boosterdebonheur #bienetre #question #peurdeposerunequestion #bienetremaker #affirmation #mindsetbonheur #croissancepersonnelle #curiositeintellectuelle #clefdubonheur #defipersonnel #questionidiote #curiosité #citationmotivante #enrichissement #recherchedubonheur #bonheurmaker #penseepositive #inspirationalquote #instaquote #mindset positif #coachingpersonnalisé #laetitia #confucius #selfempowerment #feelgood #wonderflow #sowonderflow (à Ile-de-France, France) https://www.instagram.com/p/CAicN_BhbFc/?igshid=w32qrzdukdex
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Le président du CA de Proximus depuis 5 ans.
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Question #jeuqi #coachculturel lol #questionidiote #reponseidiote
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Dieu est-il vraiment nécessaire ?
Issue d'une excellente institution catholique sise dans le 7e arrondissement (pour ceux qui l'ignore, pour un Français, il n'y a de 7e arrondissement qu'à Paris) reconnue - comme l'ensemble de ses alter ego - pour sa capacité à fabriquer les meilleurs athées, j'ai donc évacué la question.
Mais pour ceux qui n'ont pas eu cette chance, et que cela préoccupe encore, je tiens à dire, sans prosélytisme aucun, que l'on vit (et que l'on meurt, même si dans mon cas, la question est encore théorique) beaucoup mieux sans qu'avec. Je m'explique.
La religion (je parle de celle qui est culturellement mienne, par ignorance des autres) s'est patiemment construite au fil des siècles, elle a su fait appel toutes nos petitesses : d'abord l'orgueil - qu'elle condamne par ailleurs - en plaçant l'homme au sommet de la création, seul animal dont l'âme est immortelle (ça ne peux évidemment pas finir comme ça et puis plus rien... comme finissent le scolopendre ou le romarin). Ensuite l'appât du gain, pour ceux qui ont su en profiter : qu'un type dépenaillé cloué sur une croix parce qu'il a prêché le don de soi, l'humilité et la pauvreté, orne les cavernes dorées du Vatican ne choque personne. Et bien d'autres encore : la paresse de la pensée, pour ceux qui préfèrent laisser cette activité à d'autres ; la fascination pour les people (reines, évêques ou star du show-biz) ; les lieux qui semblent au-delà de l'échelle de l'homme : les églises (ou les gares, les musées, les palais) et j'oubliais... l'esprit de clocher "c'est nous qu'on a la vraie foi, la vraie croix, la vraie rotule de Sainte Rita"...
Dans toute religion, les interdits et les devoirs des fidèles ont une utilité pratique (ou en ont eu une). Si en 325, le concile de Nicée interdit aux prêtres de se marier, c'est que l'épiscopat craint que les fils héritent des paroisses de leur pères. S'il faut accepter la souffrance en attendant l'eden, c'est sans doute que les gens qui souffrent sont plus faciles à manipuler que les autres.
Par ailleurs, si le meurtre vous envoie directement en enfer, c'est qu'il met en danger la cohésion de la société, car la religion édicte aussi des règles sociales qui sont pleines de bon sens, mais a-t-on véritablement besoin d'elle pour faire ce que la logique nous dicte ? J'ai saoûlé ma voisine en lui passant du Nick Cave en boucle toute la nuit = je vais expier mes crimes dans d'atroces souffrances versus je n'ai pas été gentille avec ma voisine = elle ne manquera pas une occasion de me faire chier en retour.
Est-il plus moral de faire le bien par conviction personnelle - et par expérience - que d'agir sous la menace d'une punition divine ? Vivre avec un épée de Damoclès au-dessus de la tête ne rends personne meilleur car lorsque vous croyez, vous croyez aussi que tout ce que vous faites a des conséquences sur votre vie future...
Savoir que tout ce qui m'arrive est le fruit du hasard (ou de ma propre responsabilité), me remplit d'aise. À bord de la même galère avec tout ceux (et ce) qui m'entourent, issue du même arbre phylogénique, je me sens moins seule depuis que Darwin m'a délogé de mon piédestal à coups de pieds au cul.
J'ai énervé un témoin de Jéhovah avec ce truc, et pourtant ils sont pas faciles à énerver.
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Un (gros) cerveau est-il un handicap ?
La bipédie a permis à l'homme de développer son cerveau en réduisant la musculature nécessaire à soutenir la tête au-dessus du vide. Au-delà de l'ironie du fait que cet outil dont nous sommes si fier, ce siège de la conscience et de la créativité, ne serait en fait qu'une conséquence de modifications dont l'objectif était purement pratique, ne s'agirait-il pas d'une vraie "fausse bonne idée" évolutive.
Un gros cerveau a une conséquence physique évidente : une grosse tête. Toutes les femmes qui ont accouché savent qu'il ne s'agit pas d'un avantage dans cette circonstance, car si la bipédie a libéré le cerveau elle a aussi réduit le bassin. On ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre soupirent les évolutionnistes.
Mais le cerveau a un autre inconvénient, il faut le nourrir et l'utiliser sans cesse, sinon il se retourne contre vous sans la moindre pitié pour son propriétaire. C'est un peu comme si les muscles de votre bras commencerait à faire n'importe quoi, à distribuer les baffes alentour ou même à vous-même, dès que vous ne vous en servez pas suffisamment. Le cerveau a un ego aussi démesuré que l'homme : l'indifférence le rend fou. Il fonctionne de plus sur le principe du mouvement perpétuel, incapable d'inactivité, incapable de rester en place une seconde jusque dans notre sommeil. Pour éviter qu'il finisse par tourner comme un hamster dans sa roue pour finalement nous agresser au coin du bois, il faut donc sans cesse fixer son attention, l'anesthésier avec des séries tv, le flouer avec des centres d'intérêt, lui apprendre des trucs, voire l'alcooliser sinon...
C'est l'Ennui!- L'oeil chargé d'un pleur involontaire, Il rêve d'échafauds en fumant son houka. Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat, Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère! Charles Baudelaire - Les fleurs du mal - Au lecteur
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Les chiens peuvent-ils servir d'enfants ?
Lorsque ma boulangère me demande si j'ai des enfants, et que ma réponse est non, elle lance un regard attendri à mon chien et me lance pleine de compassion "Alors c'est votre bébé"
Cela arrive trop souvent pour que je m'étonne. Bien sur, au début - car cela n'arrive qu'à partir d'un certain âge, celui où la dame de la parfumerie ne sélectionne plus que des antirides dans les échantillons gratuits qu'elle glisse dans votre sac - j'avais tendance à rester bouche bée devant un tel manque de discernement. En effet, point n'est besoin d'analyses ADN pour remarquer les différences morphologiques entre Homo sapiens et Canis familiaris. Ensuite, je me suis lancée dans un long exposé sur les barrières à la reproduction qui définissent les espèces, avec un succès mitigé. Désormais, je réponds oui, ce qui d'expérience est la meilleure façon de faire plaisir à l'interlocuteur, de lui retourner sa sollicitude et d'obtenir du crédit sur les croissants.
Bien entendu, les idées reçues sur les "propriétaires" de chiens sont légions : le chien comble un manque affectif ou le besoin d'exercer une autorité, le maître est généralement un antisocial et j'en passe.
Peu d'anthropologues se sont penchés sur le sujet jusqu'à Dominique Guillo (et son braque de Weimar) qui rétorque que si le chien comblait un manque affectif, les familles n'auraient pas de chiens, que le chien motive ne nombreuses interactions sociales entre humains : suffit de le promener dans la rue pour faire connaissance de tous les propriétaires du voisinage (ce que j'ai pu vérifier personnellement). On dit que le chien choyé est une mode récente et urbaine, c'est sans doute vrai. Certaines anecdotes prouvent le contraire : l'un de mes amis qui travaille avec les pêcheurs de "petit métier" me raconte que l'un d'entre eux partage toujours son sandwich avec lui... même si l'autre Homo sapiens de l'équipage n'a rien à manger : misanthropie ou lien d'amitié ?
La vérité est qu'il y a autant de motivations à adopter un chien, qu'il y a de chiens et de maîtres, autant d'interactions différentes entre les deux espèces, qu'il a de personnalités de chiens et de personnalités d'hommes.
Mais, dire que j'ai un chien parce que, justement c'est un chien, c'est trop long à expliquer à ma boulangère qui conclurait rapidement que je n'aime pas les enfants, comme si aimer un animal impliquait qu'on déteste tous les autres.
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