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genshinlearnfrench · 1 year ago

Text

Teyvat Géo Magazine édition spéciale - Voyage d'Alice à Inazuma

Original text is available via this link, the same as in the posts with words from Mondstadt and Liyue travel guides. Here are the words I highlighted from the latest travelogue by Alice:

⛰️

Le Mont Yougou - Mt. Yougou

luxuriant - luscious

pousser - to grow

à l’extrémité nord - at the north end

sanctuaire - sanctuary, shrine, temple

je suis triste à l’idée de... - I am saddened to think

comme autrefois - as in the past

ivre - drunk

j’étais loin de m’imaginer que - l never imagined that; little did I know that

saouler - to get drunk

se ridiculiser - to make a fool of oneself, to embarrass oneself

je passe pour - I look like

s'humilier - to humble oneself; to humiliate oneself

frustrant - frustrating, vexing

embêter - to bother, to mess with, to tease

un peu plus - a little more

🍡

La Cité d’Inazuma - Inazuma City

le feu d’artifice - firework

surdité - deafness, hearing loss

frileux - chilly; cautious

diluer - to dilute, to water down

la combustion de métaux - combustion of metals

faire des essais - to experiment, to conduct tests

un gâchis - a waste, a mess

soi-disant - allegedly; so-called

c’est à n’y rien comprendre - that doesn't make any sense; I just don't understand it

discuter à propos de - to talk about

faire quelques commentaires constructifs - to provide some constructive feedback

la cerise sur le gâteau - the icing on the cake, the cherry on the cake

grincheux - grumpy, grouchy

provoquer par inadvertance - to inadvertently cause, to accidentally provoke

une aile - wing

panser - to heal, to bandage

tout de même - nonetheless, anyway

au passage - by the way, in the process

fâcheux - unfortunate

passer ses journées - to spend ones' days

expressément - specifically

ordonner à qn de faire qch - to order someone to do something

lâcher l'affaire - drop the case, abandon the process, let it go

⚡️

Tatarasuna

surplomber - to overhang

encercler - to encircle, to surround

un haut-fourneau - blast-furnace

la forge - forging, blacksmithing

le tamahagane - tamahagane (Japanese steel)

incessamment - imminently

le ponte - big shot, big deal

fabriqué à partir de - made of, crafted from

la divinité - deity, divinity

vaincre - to defeat

disposer d’un poste officiel - to have an official position

subordonné(e) - subordinate

jouir de - to benefit from

obéir volontiers - to obey willingly

froncer les sourcils - to frown

commode - comfortable, convenient

n’avoir pas de racines - to have no roots

pour la plupart - predominantly, for most

se différencier les uns les autres - to differentiate themselves from one another

entonner - to sing, to intone

le rapprochement - reconciliation

les cicatrices des brûlures à haute température - scars from high temperature burns

sans doute - probably

personnes dont les jours sont comptés - people whose days are numbered

prendre la liberté de - to take the liberty of

apporter des modifications à la configuration - to make configuration changes

la vanne - valve, gate

le panneau - panel

accessoirement - incidentally; additionally

la housse de protection - protective cover

rudimentaire - rudimentary, primitive

agréablement surpris - pleasantly surprised

fou de rage - enraged, furious

la production a chuté - production decreased, output fell

se déglinguer - to fall apart

la surchauffe - overheating

une guerre devait bientôt éclater - a war was soon to break out

subir des dégâts - to take damage

du moins - at least

selon mes critères personnels - according to my personal criteria

peut-être même que - maybe even

la survenue - occurrence

être ravi de - to be delighted with, to be excited to

leurs prédictions se révéleront fausses - their predictions will prove false

🐍

Île de Yashiori - Yashiori Island

selon les dires de - in the words of someone, according to someone

se prémunir contre qch - to guard against something

la charabia - gibberish

lampadaire - floor lamp; street lamp

la vénération - worship

autre part - somewhere else

un récit de voyage - travelogue

restons en là pour les discussions académiques - let’s leave it for academic discussions

c'est d'un ennui - it's so boring

accueillir chaleureusement - to give a warm welcome

outre cela - moreover

qch abrite de - something is home to

un endroit animé - a lively place

la propagation - spread

contracter une maladie chronique - to develop a chronic disease

une exposition prolongée - long-term exposure

un os - bone

certes - certainly, indeed

goûteux - tasty

ces derniers temps - lately, these days

piéger - to trap

spécialement prévue à cet effet - specially provided for this purpose

être retenue par - to be restrained by

la prêtresse - priestess

le rabat-joie - killjoy

#genshin impact #french language #language learning #translation #inazuma #french vocab

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lautone · 3 years ago

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Si ces 15 animaux croisent votre route, c’est que « l’au-delà » vous contacte

Lorsque certains animaux croisent notre route, ils veulent nous faire passer un certain message.

Plusieurs tribus amérindiennes croyaient que chaque animal avait son propre message.

Les animaux sont des êtres conscients et sensibles et il est important que nous traitions tous les êtres vivants avec la même dignité et le respect que nous attendons.

Les anciens ont toujours considéré les animaux comme sacrés et leur comportement était souvent utilisé comme des indices et des signes sur ce que la Terre Mère pourrait faire.

En regardant le comportement des animaux, nous pouvons mieux comprendre l’énergie qui nous entoure et avoir une vision plus approfondie des messages et des signes intuitifs.

Tout comme nous avons des guides spirituels, nous avons aussi des animaux spirituels. Souvent, ils entreront dans notre vie pour nous donner un message ou pour nous enseigner quelque chose sur notre propre capacité et notre force.

Parfois, un animal entrera dans notre vie pour une courte période comme un moyen pour nous signaler que nous devons faire attention à quelque chose.

Si ces 15 animaux croisent votre route, c’est que « l’ au-delà » vous contacte :

Animaux messagers communs et leur signification

Faucon:

Le faucon a des yeux vifs et des ailes fortes. Si vous voyez continuellement des faucons ou des images de faucons, il se peut que vous ayez besoin de regarder quelque chose plus attentivement avant de continuer.

Cela peut aussi signifier qu’une leçon importante va bientôt avoir lieu dans votre vie.

Aigle:

L’aigle est un signe de protection spirituelle et de passage à un niveau de conscience supérieure.

Si vous voyez à plusieurs reprises des images d’aigle dans votre vie, il se pourrait que vous transcendiez ou que vous vous déplaciez dans un nouveau domaine de la conscience.

Corbeau:

Généralement considéré comme un mauvais présage, voir un corbeau peut indiquer que vous êtes prêt à lâcher-prise de quelque chose ou que vous vous préparez à entrer dans un cycle de «mort et de renaissance».

Voir un corbeau indique très rarement la mort physique, mais c’est un signe d’une renaissance prochaine.

Chouette:

Voir une chouette indique que vous devez faire attention à votre intuition et à votre sagesse.

Le chouette est également un rappel qu’il faut faire attention à tous les sentiments intuitifs que vous recevrez car ils tentent de vous indiquer la bonne direction.

La chouette peut également être un signe que vous devez tenir compte de votre vérité et agir à partir d’un lieu d’authenticité.

Cardinal:

L’oiseau cardinal a souvent été associé à recevoir un message d’une figure paternelle décédée ou d’un guide spirituel masculin.

Si vous voyez à plusieurs reprises des cardinaux, cela pourrait vous rappeler que vous êtes aimé et protégé par cet homme, ou un rappel pour rester fort et confiant dans le chemin sur lequel vous marchez.

Geai bleu :

Voir un geai bleu est souvent associé à recevoir un message d’une figure féminine décédée ou d’un guide spirituel féminin. Si vous voyez à plusieurs reprises des geais bleus, il est possible que ce soit pour vous rappeler de continuer vos projets créatifs en cours.

Cela pourrait également indiquer que votre famille a besoin de vous ou que l’unité familiale est importante.

Mante religieuse:

La mante religieuse vient nous rappeler qu’il est temps d’amener la paix et la tranquillité dans notre vie. La mante religieuse vient en tant que messager pour nous rappeler le pouvoir de l’immobilité et créer de l’espace dans notre vie pour ce que nous aimons faire.

Voir une mante religieuse à plusieurs reprises peut également signifier qu’il y a un message auquel vous devez faire attention ou quelque chose qui vous manque.

Lézard:

Si vous voyez à plusieurs reprises des lézards ou des images de lézards, cela peut indiquer que vous devez accorder plus d’attention à vos rêves et vos objectifs. Peut-être avez-vous perdu de vue tout ce que vous pouvez réaliser ou peut-être ressentez-vous du négatif à propos de vos capacités pour réaliser tout ce que vous désirez.

Voir un lézard est un rappel que vous avez le pouvoir et que vous devez consacrer plus de temps à cultiver votre chemin le plus élevé.

Serpent:

Voir un serpent est un rappel puissant de votre force de vie et de vos passions. Si vous voyez à plusieurs reprises des serpents ou des images de serpents, cela pourrait indiquer que vous devez faire attention à vos passions et mettre plus d’énergie dans leur poursuite.

Voir un serpent peut également indiquer que vous entrez dans un lieu de guérison et de renouvellement.

Araignée:

Les araignées portent un puissant symbolisme sur la création et la connectivité spirituelle. Lorsque vous voyez souvent des araignées, cela peut indiquer que vous devez tenir compte de votre potentiel créatif et suivre toutes les idées ou inspirations que vous devez créer.

Cela peut également être un signe de votre connectivité au monde spirituel et peut-être aussi indiquer que l’esprit essaie de vous envoyer un message ou un rappel sur cette connexion.

Libellule:

Voir une libellule est un rappel que vous n’êtes pas seul et que vous êtes très protégé par vos anges gardiens et vos guides spirituels.

Si vous voyez à plusieurs reprises des libellules, cela peut également indiquer que vous êtes sur le bon chemin et que vous vous dirigez dans la bonne direction pour votre âme.

Coccinelle:

La coccinelle est généralement considérée comme un signe de bonne chance et indique que les choses sont sur le point de changer en votre faveur. Voir des coccinelles ou des images de coccinelles à plusieurs reprises peut également indiquer que vous avez besoin d’être reconnaissant pour tout ce que vous avez et la direction que prend votre vie.

Les coccinelles peuvent également vous indiquer un bon moment pour vous permettre d’obtenir vos meilleurs rêves et souhaits.

Papillon:

Les papillons viennent vous rappeler le pouvoir de la transformation et qu’il faut évoluer en interne avant de pouvoir passer à l’extérieur. Si vous voyez à plusieurs reprises des papillons, il se peut que vous ayez besoin de changer ou de libérer des pensées ou des sentiments qui vous retiennent.

Voir un papillon peut également indiquer un cycle de transformation ou de croissance dans votre vie.

Loup:

Si vous voyez à plusieurs reprises un loup ou une image d’un loup, cela peut indiquer qu’il est temps pour vous de faire attention aux personnes qui vous entourent.

Si vous voyez un loup, c’est peut-être aussi un signe que vous devez apprendre à accepter l’aide des autres.

Renard:

Le renard vient rappeler qu’il pourrait y avoir une autre façon d’aborder de votre vie ou de voir des choses. Si vous voyez à plusieurs reprises des renards ou des images de renards, il se pourrait que vous deviez ajuster votre réflexion sur quelque chose et votre façon d’aborder les choses.

Les renards peuvent aussi rappeler de chercher de la joie, de ne pas prendre les choses au sérieux et de rire des petites choses.

L’utilisation de votre intuition sera la clé pour déterminer quels messages un animal particulier essaie d’apporter dans votre vie. Utilisez ceci comme un guide, mais si vous avez trouvé cette page, il est très probable que le message écrit ici soit pour vous.

Cet article est basé uniquement sur des témoignages et l’expérience personnelle des auteurs et sur les manifestations riches et nombreuses qu’ils ont eu l’immense chance et bonheur de recevoir.

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toonpunk-game · 4 years ago

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Fluff Updates: Part 2

Next up: a bunch of stuff about Saskatoon, the default setting’s central location; and the country surrounding it, the United Canadian and American States.

Saskatoon

Let’s make this clear: while the UCAS still acknowledges Ottowa as its capitol, Saskatoon is nothing less than the very center of the world today. There is no other city that unites so many different pillars of finance, industry, science, and politics; and for the last 200 years, it has been to the world as New York was to the 1900s. In Saskatoon, you can find the Morbux Company’s interplanetary center of operations; the United Planetary Council; the world’s largest Inkman asylum; the Babblebones Museum of History and Science; the only publicly-available space elevator; and a thriving, storied, culture.

Like many great cities, Saskatoon rose to prominence because of its location. For reasons which are not yet fully understood, the Saskatoon general area has the highest elemental ink concentration in the entire world—roughly 1 part per 120, which skirts the safe limit for human beings. This not only makes it extremely livable for inkmen of all kinds; but also makes the production and operation of ink-assisted technology significantly easier than any other place—today, a full 40% of publicly-distributed augments are manufactured within the Saskatoon city limits, by over 15 different companies; and many other corporations rely on the natural ink levels to create engines, batteries, computers, and much more.

Due to strict zoning laws enacted during the I-day reconstruction, the Saskatoon municipal area has kept a comparatively low population density—with only 15 million residents, it is one of the few major metropolitan areas that has not reached 5000-persons-per-kilometer. Even with that said, it remains a popular travel destination, and accommodates nearly 3 million tourists a day.

Despite its global importance, Saskatoon is very much a city with two sides; and it is hounded by a shockingly high crime rate and a historically dark reputation. The high ink level means that, during I-day and Bloody March, numerous highly destructive ink-beings manifested there: dragons, archdemons, killer clowns, and more. In many ways, it was the epicenter of the bloodshed; and by the time it was over, much of the city and surrounding areas had been completely leveled.

During the arduous decade-long reconstruction effort, most of the survivors were confined to refugee camps. There, many dispossessed Saskatoonians adopted drug use, and violent crime—habits which were not necessarily relinquished upon their return to ordered society. While those original perpetrators are by now long deceased, they did successfully lay the groundwork of several criminal spheres, which persist even today: illegal augmentation, opioids, arms dealing, and mafia protection rackets are disappointingly common within the city, despite over a century of prosperity.

According to the UCAS census bureau’s 2302 report, between 5% and 7% of Saskatoon residents have been arrested during their life—the highest arrest rate in the country. However, many of these arrests are made by private security companies, and do not result in a later conviction: of the nearly 1 million arrests made annually, only 120 thousand of these are carried out by the Saskatoon PD—while the majority of PMC arrests are made for unsubstantiated claims of assault, vandalism, or trespassing. This statistic is often used as a case against the legal power of PMCs, by critics who maintain that they are knowingly abusing their power as a form of intimidation. However, those who support their power of arrest often dismiss the Saskatoon arrest rate as a statistical outlier with no broadly applicable significance.

UCAS

The most powerful nation on the North American continent is the United Canadian/American States—more commonly shortened to UCAS. Formed after the oust of Chairman Moirus III, and the collapse of the USA, the UCAS is commonly described as the only true megacapitalist country on the planet Earth—something which has made it a favorite of the Morbux Corporation, and frequently pushed it into opposition with more heavily regulated nations around the world. With over 5 billion residents, the UCAS accounts for almost 20% of the global population; and it was the second nation to be interglobally recognized as a Superduperpower, shortly after the DPRC.

Of the UCAS’ approximately 20 million kilometer area, only 8 million is incorporated metropolitan zones—meaning that despite its large population, the UCAS actually has one of the highest percentages of rural territory in the Western world. Most of this is given over to factory farming of corn, potatoes, and crickets, all of which are staples of modern-day convenience food; and which, taken together, make up almost 15% of Canadian exports. The majority of industrialized territory accommodates numerous different manufacturing industries, the most profitable of which is consumer augmentation—thanks in large part to the unparalleled manufacturing capability of the Saskatoon general area.

According to the 2302 Population Census, there are roughly 4.4 billion UCAS citizens, and 1.6 billion of these live on or beneath the poverty line; despite this, UCAS citizens hold an estimated 48% of the planet Earth’s GDP—due mostly to the large number of mega-gloms headquartered there: a reported 2003 trillionaires live in the UCAS, while several thousand more are certified billionaires. Fully 60% of Canadian citizens, across all wealth bands, are inkmen of some description; the third-highest amount in the world, behind North Ireland and New Songhai.

FORMATION OF THE UCAS

Nutocracy

Prior to the Canadian/American unification, both countries observed independent systems of governance—the former as a federal monarchy, and the latter as an informal plutocracy. During the second half of the 20th century, and the earliest parts of the 21st, America was the dominant superpower on the planet Earth; but during the 2020s its fortune began to steadily decline. Underneath the Thomas Thunder administration, sweeping budget cuts and comically far-reaching corruption scandals left many American federal agencies derelict in their duties; so a number of government services—most prominently roadwork, education, emergency rescue, disaster relief, and environmental protection—were co-opted by private organizations. Many of these were initially started as PR moves by larger companies but grew into separate organizations over time. For example, the famous pornography website BootyBank.com began planting forests for use as carbon sinks—a movement which later coalesced into the thriving BotanyBank charity.

Over the next few years, growing disillusionment with the ailing political corpus lead to the rise of the “Neo-populist” movement: an offshoot of free-market libertarianism catalyzed by the New Rockefellers’ respective cults of personality. The mainstream media of the time labeled the NP movement a “threat to the American way of life” and derisively referred to them as the “cult of the billionaire”; but a dogged and understated media campaign successfully won them the hearts and minds of numerous people across Cob Country, the Rust Belt, and the Western Seaboard.

The growth of the Neopop movement was concerning to many people. The cornerstone of their rhetoric was the Smithian idea of incentivizing the rich to aid the poor, which they argued could be accomplished by selectively dissolving and privatizing government services: that is to say that in the absence of government, it would become the best interest of American corporations to fill the vacuum with a private service. Many critics on the political left argued that this would pave the way for a corrupt plutocratic government; and in one particularly memorable press address, Republican Senator Mathieu Willaby referred to the Neopops as “a series of fascists nesting in the hollowed-out corpse of the Republican party”; but this alarmism generally failed to resonate with the American public in the face of the Neopops’ calm and understated campaigning.

Instead of the fiery political rhetoric of the mainstream, Neopop candidates—usually running on the Republican platform and funded by the New Rockefellers—would perform a series of public services in an underprivileged area, and use this in its entirety as their campaign rally. Despite some initial trepidation, the house Republicans elected to toe the Neopop line for the sake of maintaining a unified conservative majority on capitol hill. During the 2026 mid-term elections, Neopop party members secured bipartisan nominations and successfully won seats in 187 congressional districts—becoming the de facto largest voting bloc in congress, despite not actually being recognized as a political party in itself.

The Neopop Dream

In 2032, the Neopop party won their biggest success when President Walter Sturm was elected to his second term of office on his “corporate castles” platform: a sweeping series of deregulations which promised to remove power from the government while empowering American business owners to make more significant contributions to the legislative process. Despite enormous pushback from the political left, the American congress ratified several laws and a constitutional amendment.

The most important of these was the 28th Amendment to the Constitution of the United States, which signed into law the ability of civilian groups or people to unilaterally appoint a congressional representative in exchange for an annual payment to the federal reserve. This more or less allowed the extremely wealthy to buy voting power, and was heralded by American Neopop conservatives as a revolution of democracy: proponents argued that this was a way for the movers and shakers of American society to directly raise the quality of life and economy without being bogged down by obstinance and inefficiency in the legislative body.

Also of great significance was House Bill 6274, which instituted a federal-level plan to gradually defund state-operated police departments over the following 10 years while replacing them with for-profit [b]Rights Protection Agencies[/b]. These RPAs would function identically to municipal police departments, with the major difference being that they would only take a small portion of their funding from the city: the majority of their funding would come from individual citizens, who would be allowed to opt into preferential treatment in exchange for larger monthly payments. During the months leading up to its ratification, critics of HB6274 attempted to frame it as the gateway to systemic oppression by the wealthy; but these were successfully deflected by the Neopops’ insistence that it was merely the difference between “total protection by the police” and “deluxe total protection”.

These concerns were, of course, almost [i]immediately[/i] vindicated by the Cordon of Alabama three months after HB6274’s ratification. Sadly, by that point the damage was done; and over the next 4 years the cordons of Michigan, Missouri, and Arizona solidified America’s new paradigm as a land of haves-and-have-nots. Most of these cordons targeted minority groups in rural and subrural areas—which provoked further outrage from the citizenry. Since the 2020s, it had been the fashion among affluent African and Latino Americans to seek Canadian residence; and in 2036, this trend spiraled into the first American Refugee Crisis. By 2040, nearly 46 million Black or Hispanic Americans were refugees, with 27 million receiving asylum in Canada or Germany. By I-day, 52 million people had been displaced by the effects of HB6274 and the worst was yet to come.

The Second Immigration Crisis

When I-day finally came, it was enough to break the USA right in half. An estimated 3.1 billion people abruptly materialized, and America was worse-equipped to handle them than most: despite having vast swathes of inhabitable land, most of it was on the relatively arid great plains. The humid areas best suited to accommodate the inkish population were congregated around the gulf of Mexico, the Mississippi river, and the great lakes—all of which had been ravaged by a combination of 6274’s aftereffects and seasonal flooding. The country was, simply put, not ready for that number of people: the government briefly deployed the national guard, and then the army, to try and quell the chaos—but the sheer number of people meant that establishing conventional refugee camps was impossible. Throughout March and April it became clear that there was no protocol or organization in place which could even remotely address the ongoing issues.

On March 24, 2042, President Timothy Malthus issued the executive order for the military to indiscriminately employ lethal force against inkish refugees and burn any life-bearing paper. Violence erupted up and down the Mississippi, and bonfires dotted the country. Progress came at a glacial rate: it was nothing less than an act of genocide, but it was being committed against a people that could seldom ever die. America seemed poised on the edge of a long and brutal war with no clear end, of a sort that had not since been seen since the Mexican drug war of prior decades. Inkmen were executed on sight without trial or trepidation, treated as no more than pests.

Then, an unexpected source promised some measure of salvation. On March 29, the Canadian government declared its borders unconditionally open to American inkmen and life-bearing paper. This was not in itself particularly surprising, and was a continuation of the country’s refugee-friendly politics: during the first American immigration crisis, Canada had installed numerous far-reaching refugee housing measures to accommodate some 3.5 million American refugees; and when I-day came, their extant temp-housing corpus was prepared for 4 million people. This was not nearly vast enough to accommodate the influx of American inkmen; but it did not have to be.

During experimentation conducted on several survivors of the Saskatoon blitz, the Canadian government had accurately ascertained the physiological needs of inkish beings. Knowing that they technically required nothing but ink and space, both of which Canada had in abundance, the house of commons made a calculated gamble and opened the border. Meanwhile, PM Katie Sheffield declared a public order emergency with a very simple provision: inkish persons would be allowed to deposit their homepages at public refugee camps, where they would be held by the government; but past that, they would be required to wait in the wilderness until such a time as the government could organize them into formal labor groups. While unpleasant, these conditions were favorable to being shot on sight; and most able-bodied American inkmen fled to Canada.

Canada in the Ascendency

Over the next 16 months, the Canadian government successfully organized 12,400 migrant building projects across the uninhabited sectors of Manitoba, Saskatchewan, and Nunavut. These projects relied on local resources and highly specialized construction which leveraged the inkmen’s limited physical needs: their homes did not need bathrooms or kitchens, which meant space could be devoted entirely to living and utility. At the time, this was heralded as an unrivaled display of bureaucratic aptitude; but in 2032 declassified government documents revealed this to be the work of a clandestine “crisis council” formed from some of Western Animation’s finest minds. This council, which had been kept secret to avoid public concern, included such disparate luminaries as Croesus Catsby, Princess Ember, Quincey Quark, and Vernon Vernacular.

The ultimate goal of admitting the inkish refugee population was to eventually dissolve their temporary settlements and integrate them into broader Canadian society. The government, under advisement by the crisis council, was not merely counting on inkish persons to equal the economic power of meatish refugees, but to exceed it: in an internal memo to PM Sheffield, Catsby outlined his expectation that [i]“the inkish population will be an unprecedented economic force: we can be trained out of our reliance on sleep and food, and can survive all but the most dangerous climes. We will produce and consume more in this service economy than any living creature. A naturalized inkish populace will be worth ten times its weight in gold.”[/i]

This turned out to be something of an understatement. Over the next 20 years, Canada became the world’s greatest economic superpower—eclipsing America after 3 years, Germany after 6 years, and China after 9 years. Opening the job market to inkmen allowed numerous highly-specialized highly-trained people to enter the workforce almost instantly, while the ballooning population and expanding cityscapes meant supply could barely keep up with demand. Secondly, the country’s high ambient ink reserves allowed local manufacturers to mass produce precious materials at an unmatched rate with virtually no carbon footprint or additional infrastructure necessary.

The American Experiment’s Ignominious Ending

In the South, things were boiling over. It is possible that, had the second crisis not occurred, America would have enjoyed relative success for some time; but in 2045, the post I-day tension reached its promised conclusion. On February 2, the Inkish States of America launched a coordinated bombing attack on the cities of Atlanta, Chicago, and New York—at long last bringing the United States into its long-anticipated Second Civil War. The ISA, based out of the depopulated rural regions, launched a violent guerilla campaign against urban America. This campaign was aided by millions of meatmen sympathetic to the Inkish cause, especially on the western seaboard. On February 4th, President Benjamin Huxley declared a state of martial law; but a combination of numerous factors meant that the military deployment was largely ineffective. By November of that year, casualties had risen to over 800 US Soldiers and 1200 ISA fighters—while the New Rockefellers had uniformly rebased to Canada.

In January 2046, several key players in the American military industrial complex—including Kingston Aeronautics and the now-defunct Mammoth Motors, both of which had expatriated to Canada—announced a shift in allegiance to the ISA. Historical records show that these decisions were jointly meditated upon, and featured input from many of the New Rockefellers. With the country’s de facto financiers officially pulling out, the American government quickly fell to ruin. On October 16 2046, the Rockefeller-backed ISA laid siege to Washington DC; and on October 31, President Huxley signed the USA’s unconditional surrender before General A. Z. Blowhard.

On November 3rd, ISA members and hopeful statesmen met for a new constitutional convention. Under the official rules of the convention, each of the 50 united states would be assigned a pair of representatives to vote on their behalf. Any humans over the age of 35 and any inkmen over the mental age of 35 would be allowed to submit a bid for a representative position; and over the next 3 days all convention attendees would be allowed to vote on their choice for representative. In theory this would put everyone on an even keel; but in practice people congregated around recognized leaders in politics and industry. Among the elected representatives were several New Rockefellers—namely Bradley Crichton of Megalodon Shipping; Sharlto Butts of Athena Engineering; Susan Surma of Numerik Technology; and Waldo Hammerstein of the Bjurgenstadt holdings firm.

The constitutional convention was dominated by fiery egalitarian rhetoric, with a particular focus on three things: establishing the rights of sapient inkpersons as fully protected citizens; re-instating police forces as government-funded entities; and the reorganization of the American armed forces. Amid the ongoing debates, a new political movement arose: unionism, which advocated for the ISA’s voluntary integration with the Canadian government. Arguing that Canada’s natural ink reserves and ink-friendly policies were ideal for both Meatman-dominated industry and inkish settlers seeking new livelihoods, the unionists (backed by the Rockefellers and many members of the ISA leadership) gained significant traction among the representatives. On November 30th, the constitutional convention voted 61/39 to enter into talks with the Canadian Parliament.

On December 29, 2046, the Canadian parliament and the new constitutional convention jointly ratified a ten-year plan to gradually integrate the two nations into a unified federation. Under the ten-year plan, the Canadian/American border would be effectively dissolved.

In the years since, conspiracy theorists have long argued over whether the unionist party, or perhaps even the entire ISA, was actually a Canadian proxy; but there is no truly compelling evidence to support this theory. It is today commonly accepted as fact that the Rockefeller’s involvement with the ISA was a political gambit designed to ensure their protected status after the collapse of the incumbent government—a collapse which their actions in the previous decades had admittedly helped cause.

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claudehenrion · 5 years ago

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Polémologie.

La Polémologie est un ''discours sur la guerre'', à la fois science, technique et art (au sens étymologique de ''savoir-faire ou maîtrise technique''). Je l'ai beaucoup fréquentée dans mes années d'activité, et un de mes regrets est de n'avoir pas trouvé le temps (la belle excuse !) de suivre les cours de l' IHEDN, où j'ai fait, pourtant, des cycles de conférences sur ''la prise de décisions'', si éloignée de toute idéologie de Gauche, où le ''court-termisme'' ne conçoit qu'une ''polémo au logis'' (en grec : πόλεμος, pólemos = la guerre), si j'ose… Un exemple concret ? Je vous parlais avant-hier soir, vers minuit, du discours de GW Bush en 2005. Trois ans plus tard, B.Obama était élu, et en homme de gauche qu’il est, il fit exploser les impôts et les dépenses ''sociétales''... mais il abandonna tout plan à long terme pour des jours meilleurs, c’est-à-dire le contraire de ce que recommande la ''polémologie'' !

Tous les grands auteurs sur ce sujet (Sun Tzu, Machiavel, Clausewitz ou Gaston Bouthoul, parmi tant d'autres), ont insisté sur quelques principes qui ne sont pratiquement jamais suivis par les dirigeants que le hasard ou leur impéritie a mis devant une situation où ''la guerre'' devient une issue possible. D'abord et avant tout, il faut bien définir contre qui on est, où on va être en guerre. (Nous citions récemment les cas dramatiques de Hollande qui racontait qu'il déclarait la guerre à l'islamisme mais qui refusait de le désigner par son nom... ''de peur de froisser certains'' (-sic ! Quel idiot !), et de Emmanuel Macron qui non seulement avait commis la même erreur ( ‘‘Nous déclarons la guerre contre le séparatisme islamiste’’, discours de Mulhouse, 18 février 2020′’), mais en a rajouté une couche en se déclarant, en plus, ''en guerre'' contre un non-être absolu : le coronavirus ! Sun Tzu doit se retourner, dans l'éternité des 16 enfers du Bouddha ! Passons !

Une seconde phase consiste à établir des limites nettes (mais pas rigides) entre la ''Tactique'' (dont l'impact est à très court terme), ce qui est ''stratégique'', à terme moyen, et ''la politique'', ce qui ressortit des fins finales de l'action. Dans les entreprises, on considère que les échéances relatives à chacune de ce manières de voir le réel et d'agir sur lui sont, en général, de 1 à 6 mois pour ce qui ressortit de la ''tactique'', de 6 mois à deux ans pour le ''stratégique'', et au delà de ce temps pour le ''politique'', avec une règle absolue : sauf en cas de mise en danger de l'entité pour laquelle on se bat, on ne doit jamais sacrifier la stratégie au profit de la tactique (ou le moyen terme au profit du court terme). Dans une guerre, les limites de ces trois facteurs peuvent varier, mais leur existence ne doit jamais être perdue de vue, car il ne servirait à rien d'avoir concocté des plans mirifiques pour ''l'après'' d'une bataille décisive qui a été perdue. Ou encore : il n'y a aucun intérêt à gagner une bataille si on n’avait pas prévu ce que l’on ferait de cette victoire, ensuite.

Or nous nous trouvons, à cet instant précis de notre histoire, sur une pierre en équilibre totalement instable : des années de mauvaise gestion dues à l'absence compète de ''vision du plus long terme'' ont fait que toutes les action entreprises l'étaient dans tous les sens (''on y allait... mais sans savoir où ''!). Nous nous retrouvons totalement démunis ''quand la bise fut venue'', comme dit la Fontaine, en l'espèce un virus ''inconnu'' et une épidémie à peine plus forte que d'habitude... mais qui tombait après des années de diminution des budgets réservés à la Santé, qui devraient être le double de ce qu'ils sont, si on avait suivi ''la pente antérieure'', celle de la sagesse, celle d'une ''gestion en bon père de famille'' (mondialisation effrénée, faux humanisme maso-pervers et libéralisme mal compris commandent !). Il a donc fallu sur-réagir, dans une violence qui a d'ores et déjà mis en danger le fonctionnement du monde entier pour les années à venir. Et peut-être pire, encore !

En ce matin de veille de Pâques où j'écris ce ''billet'', qui paraîtra dans 3 ou 4 jours en fonction de l'actualité, le Figaro, comme toujours seul des quotidiens à dominer encore un peu ce à quoi se résume notre vie (ce confinement ''tactique'', péripétie qui sera même un bon souvenir à raconter aux petits enfants...), se souvient, mais en page 22, tout de même, de cette idée que nous rappelons si souvent, depuis 3 mois : ''pendant les travaux, l'activité continue'', ou ‘’pendant la crise, la vie continue’’... ! Je cite : ''Pendant la pandémie, les conflits armés continuent'' (tu parles d'une découverte !) : Afghanistan, Afrique subsaharienne, Libye, terres où Daesh impose son régime terrifiant pour tout le monde, frontières de l'Europe'' assiégées sur ordre d'Erdogan, le satrape fou... Il constate même que le coronavirus a donné des ailes à la créativité malfaisante des suppôts de Satan, ce ''Cheitane'' qui fait croire aux plus naïfs qu'il s'agit là d'une preuve de la colère d'Allah contre les infidèles. Comme Philippulus, le prophète fou de Hergé, ces oiseaux de malheur crient ''repentez-vous''. Mais eux ajoutent : ''tuez-les tous'' (Sourate II) et étendent les zones où leur folie tue encore mieux qu'un Covid 19.

Monsieur le Président, vous imaginez avoir déclaré la guerre, mais en vous trompant d'ennemi : un virus se combat, il ne fait pas la guerre ! Notre vrai, notre seul ennemi, celui qu'il faut combattre, se nomme ''islam dévoyé'' et même s'il est à bout de souffle lui-même (il est le seul à ne pas le savoir, mais cela ne joue qu'à moyen terme), vous auriez dû intégrer cette donnée fondamentale depuis bien longtemps dans votre dispositif... qui est tout, sauf guerrier, contre lui. Il se combat à coups de lucidité et d'intelligence, et pas avec de merveilleuses infirmières, de fantastiques urgentistes, mais avec des masques, des masques, des masques...

A cause de votre inutile ''communication'' et des règles budgétaires stupides de ''votre'' Europe (la nôtre est tellement différente !), nous continuons à vivre sans vrais moyens de protection, ceux qui sont du ressort de... vous-même, Monsieur le Président : les stocks stratégiques. Confinés par obligation (et ''what else'', quand on est sans armes ?), on se cache, on se terre, on se fait tout petit, on s'enfonce la tête dans le sable, comme même les autruches ne le font pas... La totalité de vos gesticulations en cours ne ressortissent ni de la tactique, ni de la stratégie, ni de la politique, et en tout cas pas d’une bonne pratique de la polémologie, mais de la politicaillerie et de la comm', ce qui n'est ni beau, ni encourageant. En revanche, que ce soit rageant pour ceux à qui vous allez piquer leurs trois sous... oh ! oui !

H-Cl

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ao3feed-eremin · 5 years ago

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Hello Sunshine

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by Ellyzabeth

Hum.

Le bataillon d'Exploration est le nom de L' Agence de Renseignements et de Protection Civile. Eren est intégré au Ailes de la Liberté, branche concentrant les agents de terrains de l'Agence. Eren est majeur. Eren jure, un peu, sait gérer sa colère. Il est chef de son unité, l'unité 4 de renseignements.

Alors qu'il s'apprête à partir en mission en Allemagne pour récupérer des infos au plus près du groupe de trafficants humains appelé :Les Titans, Eren va devoir gérer catastrophe sur catastrophe et mener sa mission à bien.

Du moins il va essayer.

Amusez-vous.

Publi tous les 2 à 3 jours jusqu'à ce que j'en ai marre.

Lisbeth H.

Words: 3808, Chapters: 3/?, Language: Français

Fandoms: Shingeki no Kyojin | Attack on Titan

Rating: Explicit

Warnings: Graphic Depictions Of Violence, Rape/Non-Con

Categories: M/M, Multi

Characters: Levi (Shingeki no Kyojin), Special Operations Squad | Squad Levi, Levi's Parents (Shingeki no Kyojin), Erwin Smith, Erwin Smith's Father, Armin Arlert's Parents, Armin Arlert's Grandfather, Mikasa Ackerman, Hange Zoë, Moblit Berner, Mike Zacharias, 104th Training Corps, Eren Yeager, Eren Yeager's Parents

Relationships: Armin Arlert/Levi/Erwin Smith/Eren Yeager, Mikasa Ackerman/Annie Leonhart, Marco Bott/Jean Kirstein, Moblit Berner/Hange Zoë, Levi/Eren Yeager, Armin Arlert/Eren Yeager, Erwin Smith/Eren Yeager, Levi/Erwin Smith, Armin Arlert/Levi, Armin Arlert/Erwin Smith

Additional Tags: War, Civil War, Post-Traumatic Stress Disorder - PTSD, Anxiety Attacks, Apocalypse, Post-Apocalypse, Fluff and Angst, Fluff and Smut, Domestic Fluff, Oral Sex, Anal Sex, Rough Sex, BDSM, Central Intelligence Agency, Slow Build, Slow Romance, Bunkers, Foursome - M/M/M/M, Torture

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#eremin #ao3feed #fanfic #eren jaeger x armin arlert #armin arlert x eren jaeger

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retouraffectifrapide · 4 years ago

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Comment rendre un homme timide amoureux grâce au rituel a l'ail?

Comment rendre un homme timide amoureux grâce au rituel a l’ail?

Le rituel à l’ail pour conquérir un homme est méconnu du public féminin, bien qu’il soit redoutablement efficace. Vous convoitez un homme en particulier depuis plusieurs jours, semaines, ou mois, et vous n’osez toujours pas l’aborder ? Vous vous sentez peut-être désespérée à l’idée de ne peut-être jamais effleurer ses lèvres ou connaître le fond de sa pensée à votre égard ? Vous êtes une grande…

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csnews · 6 years ago

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Are we watching a real-time extinction of southern resident killer whales?

Randy Shore - October 9, 2018

Images of the orca J35 Tahlequah carrying her dead newborn for a heartbreaking 17 days over 1,600 kilometres were seen around the world. Canadian and American veterinarians and biologists then joined forces in dramatic fashion to diagnose and treat the ailing three-year-old J50 Scarlet from the same pod, but failed to save her life. Three deaths this summer — including the young male L92 Crewser, which disappeared in June — have focused the world’s attention on the difficulties facing southern resident killer whales like never before.

Now, the world will watch as we bring the 74 remaining community members back from the brink, or witness their extinction. Biologists and conservationists hope the celebrity of the Salish Sea’s orcas can be used to save them.

“They are a symbol for a lot of species that share their ecosystem and some of them are doing poorly, too,” said Vancouver Aquarium veterinarian Marty Haulena. Sea stars, chinook and sockeye salmon and rockfish populations are all in distress, but considerably less photogenic than orcas.

“Hopefully the southern residents have the star power to get some attention,” said Haulena. Orcas have strong family bonds, they play, and apparently grieve their losses, making them uniquely relatable.

“That is why we take their deaths so hard,” said Mark Leiren-Young, director of The Hundred Year Old Whale and author of The Killer Whale Who Changed the World.

“The photos of a baby orca leaping through the air that went viral — captioned ‘learning to fly’ — that was J50 Scarlet,” he said. “She was the symbol of a baby boom, the symbol of hope. And this is the whale that we just watched die.”

Scientists who study the West Coast’s killer whales identify individuals by their dorsal fins and a unique white saddle patch. Each gets a number and then a name, and hence a public persona. Vets and biologists are now gearing up to provide personalized medical attention to the southern residents.

Veterinary researcher Joe Gaydos of UC Davis, working with the U.S. National Oceanic and Atmospheric Administration, has created individualized health records for every member, like you and I have with our family doctor.

“We need to know a lot more about the individual health of these animals,” said Haulena. “We can’t treat them as a population anymore. We have so few left that we need to know why every individual has died. And we don’t.”

Gaydos has adapted an approach developed for a closely monitored group of mountain gorillas in Uganda and Rwanda.

“(The gorillas) each have a health record, they are all vaccinated, and they are treated medically when something goes wrong,” Haulena said.

American researchers are able to collect feces, breath samples and “snot” from the southern residents, and use darts to collect samples of skin and blubber, according to Lynne Barre, southern resident killer whale recovery co-ordinator for the U.S. National Oceanic and Atmospheric Administration.

“We slice and dice these samples and cross-reference it with other data in every way we can think of to get a full picture,” she said.

The physical condition of the whales is assessed from photographs and video taken from the water’s surface and from aerial drones.

“So we watch and listen and sometimes even smell their breath,” she said.

Blubber samples in particular reveal the presence of toxins, from long-banned DDT and PCBs to newer threats such as PBDE flame retardants.

“Some of these are endocrine disrupters that are persistent in the environment and accumulate over time, affecting reproduction and the immune system,” said Barre.

A study published last week in the journal Science found that southern residents are moderately affected by PCBs compared to killer whale groups in Brazil and Europe, yet the contamination is predicted to negatively affect their ability to reproduce.

PCBs accumulate and concentrate in fish-eating fish such as chinook.

One sign of hope is that the whales continue to mate and conceive.

Females from J, K and L pods are showing signs of pregnancy and in mid-September the southern residents from all three pods merged into a super-pod near Race Rocks on Vancouver Island.

“We heard that there was a lot of social activity going on,” said Barre.

Time for action

The southern residents that make their summer home in the Salish Sea between the Fraser River and Bamfield on the west coast of Vancouver Island haven’t successfully produced a calf in three years.

Three members died just this summer, including the male L92 Crewser, who was declared missing in June. He was just 23 and in his prime.

Just a decade ago, surviving calves were being born at a rate of three, four or five per year. But since November of 2015, not a single one has survived.

Forty surviving calves have been born to the group since 1998. Over the same period, 73 southern residents have died.

Most cetaceans have a higher mortality rate in the first year of life, said Haulena.

But many of the other 17 orcas that perished since 2012 were in their prime — 13, 18, 20 and 23 years old.

“Orcas in their prime absolutely should be surviving,” he said.

A 27-year-old male, K25, has recently showed signs of decline in aerial photos, which Barre characterized as a “warning signal.”

Evidence points to a lack of food — mainly chinook salmon — as a threat to the orcas’ survival. Underwater noise from shipping, ferries, commercial and recreational fishing boats, and whale watchers interferes with their ability to locate what little prey is available.

Six groups, including the Raincoast Conservation Foundation and the David Suzuki Foundation, asked the courts on Sept. 5 to compel the federal government to issue an emergency order under the Species at Risk Act to protect the southern residents and their main food source, chinook salmon.

The chinook are themselves in deep crisis. The Columbia River chinook are listed as endangered in the U.S., and last week Fisheries and Oceans Canada released data showing this season’s chinook returns in the Fraser River were well below the historical average.

The southern residents, too, are listed as endangered under the Species at Risk Act. The next status after endangered is “extirpated,” meaning they are reproductively non-viable, or dead. Ottawa is taking public input on the Species at Risk Act recovery strategy for northern and southern resident killer whales until Nov. 3.

Earlier this year the litigating groups asked Ottawa to curtail sport fishing and whale watching in critical feeding areas. The government responded by reducing the chinook catch by 25 to 35 per cent and increasing the buffer zone for whale watching to 200 metres.

Parts of the most important foraging areas in the Gulf Islands and the Strait of Juan de Fuca were closed to all fishing and partial closures were implemented at the mouth of the Fraser River.

“Since the death of three whales, including J50, we have upped our ask,” said Misty MacDuffee, a biologist for Raincoast. “Now we want the closure of all marine-based commercial and sport chinook fisheries.”

The groups are also calling for a full ban on whale watching for the southern residents.

Up to two dozen whale-watching vessels follow the group daily in their main feeding areas on the Salish Sea, she said.

Whales or oil?

The plight of the southern residents is now central to the progress of the Trans Mountain pipeline expansion project.

In overturning the pipeline approval, the Federal Court of Appeal ruled that the National Energy Board should have considered the impact of increased tanker traffic on southern resident killer whales.

Federal Fisheries Minister Jonathan Wilkinson hinted this week that further protections for killer whales could come before cabinet decides whether to approve the pipeline again, after the National Energy Board’s do-over review is complete.

The Trans Mountain pipeline expansion would increase the number of large vessels entering the Port of Vancouver by about six per week. The port currently serves 3,200 vessels a year.

Ottawa’s $1.5-billion Oceans Protection Plan — created in advance of Trans Mountain’s original approval — included plans to improve prey availability for the whales and to reduce underwater noise that interferes with the their ability to communicate and locate prey.

The government will invest an additional $167 million over five years in the Whales Initiative, supporting research, enforcement and education, and adding fisheries officers to ensure compliance to new regulations by anglers. Aerial surveillance over critical habitat has been increased by 30 per cent, according to Fisheries and Oceans Canada.

Fisheries and Oceans Canada is spending $9.5 million on chinook habitat restoration on the Fraser, Thompson and Skeena Rivers and salmon streams on Vancouver Island, much of it in collaboration with First Nations.

A $150-million industry-funded oil spill protection plan was suspended when the pipeline approval was overturned.

A recent study published in the Archives of Environmental Contamination and Toxicology suggests that a major oil spill near the orcas’ summer feeding grounds could affect up to 80 per cent of their critical habitat.

Animals such as orcas that spend a lot of time at the water’s surface are most likely to suffer from contact and ingestion of diluted bitumen, the main product to be exported by the proposed pipeline expansion, the authors said.

The port has implemented two programs aimed at reducing the impact of shipping on the southern residents.

Vessels travelling through the Strait of Juan de Fuca have been asked to shift their route as far south as possible within the shipping lane to create more distance between the ships and foraging areas.

In its fourth year, Enhancing Cetacean Habitat and Observation is a voluntary program in which ships are asked to reduce their speed through the Haro Strait to reduce underwater noise.

Underwater microphones installed in the Haro Strait found that noise created by slower vessels was “significantly” reduced, by about 6 to 11 decibels.

“We asked vessels to slow down to 11 knots,” said Carrie Brown, the port’s director of environmental programs. “We’ve had 87 per cent participation by ships in the current slowdown period.”

The program doesn’t have a specific threshold or goal for the level of underwater noise; instead it operates on the notion that any reduction in noise will be of benefit.

American authorities are considering dramatic action to improve chinook stocks and there is real public pressure to demolish four Lower Snake River dams.

Washington Governor Jay Inlee’s Southern Resident Killer Whale Recovery Task Force has just released draft recommendations that include expanding hatchery programs, real-time orca monitoring to close active fisheries when the southern residents are in the area and removing barriers from a river system that has 14 hydroelectric dams.

After the removal of a dam on the Elwha River in 2014, chinook are returning to spawning areas above the former dam site, according to the Klallam Nation.

A massive increase in local populations of harbour seals and sea lions is also contributing to prey scarcity, because they also selectively eat chinook, according to recent research published by the Canadian Journal of Fisheries and Aquatic Sciences.

The report also contemplates “management actions” to control the number of harbour seals in Puget Sound. Earlier this summer, the U.S. federal government authorized a cull of sea lions in the Columbia River.

“If we don’t increase the availability of chinook and lessen the toxic load in the chinook population then we are watching (the southern residents) vanish,” said Leiren-Young.

#news #wild #orca #killer whale #srkw #extinction #conservation #whale #dolphin #cetacean

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traver-sees · 6 years ago

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Lieux#2 - Un mariage vietnamien

Phuong, l'une des "teachers" de Spring Hill s'est mariée. Quang nous avait proposé d'aller au mariage.

Alors, samedi matin à 7h, nous montons dans un bus. On part de Spring Hill, juste Quang, sa famille et nous, les volontaires. Puis, à mesure du trajet, le bus se remplit. Les "teachers" récupérés à Hanoi, à des endroits différents, ou un peu avant sur la route sont élégants. De jolies robes de toutes les couleurs remplissent les sièges vides jusqu'alors.

Je dors beaucoup pendant le trajet. Le réveil a été tôt, vers 5h30 le matin. On ne sait pas grand chose du week-end, si ce n'est qu'on va à un mariage Vietnamien et aussi, dans "la plus grande église d'Asie". Ben* (un autre volontaire) a vérifié. Ce n'est pas la plus grande église d'Asie car elle se trouve en Inde, la plus grande. Peut-être du Vietnam. En tous cas, ce qui est certain, c'est qu'il s'agit de la plus vieille église du vietnam.

On avait tous compris que le mariage se ferait là-bas, dans l’église.

On fait un premier arrêt, près de l'océan.

Il y a des centaines de libellules qui volent. C'est étonnant et beau, comme une chorégraphie de libellules. Je me demande à quel point elles volent et à quel point elle n'ont qu’`a ouvrir leurs ailes et se laisser porter par le vent.

Il y a les ruines de ce qui semble être la fameuse église. Il reste un clocher et les voutes. Pas de trace d'un mariage qui pourrait avoir lieu ici.

La bande de jeune 'teachers' commence un shooting photos qui me laisse les yeux grand ouverts. Je les regarde poser, se prendre en photo. Sous le clocher, sur le muret avec l'océan en arrière plan, contre les briques de ce qui reste de l'église...

Je regarde l'océan. L'eau est couleur de boue, il y a quelques vagues. Je me dit que ça doit s'agiter, au fond. Je retrouve avec plaisir le bruit des vagues transportées par le vent. Il y a des pêcheurs qui rentrent. Les batau sont impressionants. Les chapeaux pointus protègent bien du soleil, ils sont larges et couvrent le visage, le laissant à l'ombre. De loin, j'observe. C'est beau. On dirait presaue un tableau, avec la distance.

Je m'assieds sur un muret au soleil, pour écrire. Je n'ai pas de carnet avec moi, mais je me décide à laisser quelques mots sur mon téléphone. L'une des "teachers" s'avance vers moi et me dit, un peu hésitante, cherchant ses mots en anglais "Teacher, come and play with me?" Elle me montre la plage. Je lui souris, je me lève, je la suis.

Elle me demande mon prénom, je le lui répète plusieurs fois. Je lui demande le sien, elle hésite un peu puis me le dit. Je n'arrive pas bien à le retenir. Je le répète aussi, jusqu'à avoir la bonne prononciation.

Le shooting continue sur la plage et elle me demande si je peux prendre des photos avec mon appareil. Me voilà alors accroupie, les pieds dans l'eau parfois, en fonction des vagues, à photograpier la jolie bande qui essaie de sauter, tous ensemble. Puis elle me fait signe d'y aller, elle prend l'appareil en main. Je crois qu'on n’aura pas réussi à avoir une photo avec tout le monde en plein saut. Mais les rires ont été capturés.

On reste déjeuner là. Fruits de mer.

*H. Xuân Truong - Xa Xuân Ngoc*

Le voyage en bus continue. On s'arrête alors dans une église, cette fois peut-être est-ce vraiment la fameuse église. Je pense qu'il y a un couvent aussi. C'est un énorme ensemble de bâtiments, l'église n'en est qu'une des parties. Je ne sais pas grand chose du Christianisme au Vietnam. Les quelques mots lus dans mon guide expliquent que le catholicisme a été introduit par les français, pendant la période coloniale. Le guide explique que ce qui reste du catholicisme est très imprégné d'animisme, que certains concepts ont été gardés, d'autres non.

Je me dis, une forme de catholicisme, comme il y en a tant dans le monde maintenant. Je pense à Maman Any alors que je m'assieds sur un des bancs de l'église. Les mêmes que ceux de Martinique cet été, quand je l'ai emmenée à la messe. Je pense à E. Aussi. Je crois que c'est à elles deux que je pense, quand je rentre dans une église.

J'aime cette ambiance. Calme, frais, paisible. Quelques personnes sont à l'intérieur et chantent. C'est la messe. C'est beau, de les écouter.

Je me dis que ça me fait penser aux prières de Tati C., dans le bourdonnement des voix graves et la répétitions de lignes mélodiques. Ca m'apaise, de me rappeler Tati C. En train de réciter son Namyo.

Quang me dit que cette église a été construit par les français. Il me demande si je suis catholique.

On échange quelques mots en chuchotant. Je reste jusqu'à la fin de la messe je crois. En tous cas, les chants se sont arrêtés et les gens se sont levés.

Au fond de l'église, j'avais remarqué que deux vélos étaient appuyés contre l'une des colonnes de l'une des deux rangées de colones centrales qui dessinent l'allée principale jusqu'à l'autel. J'ai trouvé ça surprenant, des vélos dans une église. Ca m'a fait sourire.

Le temps de sortir et de retrouver le groupe, ils étaient en plein dans un second shooting photos, devant l'entrée principale de l'église je pense.

On est restés là un moment.

*H. Y Yên - H. Yên Khang*

Cette fois-ci, lorsqu'on est montés dans le bus, Houa nous a confirmé que nous allions bien au mariage. On est arrivé dans un tout petit village vers 17h ou 17h30 je pense. Le village de la mariée. Il se trouve, qu'au Vietnam, une fois marié, le couple se sépare pour faire la fête, chacun de son côté avec sa famille et ses amis (dans la maison des parents respectifs) et tout le village est invité. Quang nous dit qu’avant de commencer une longue vie commune, il est coutume de passer un moment séparé, avec ses proches respectifs. On partage un repas. A chaque fois qu'un homme de la famille vient se présenter, on trinque avec lui. Il nous sert un petit vert de "vin" (d'alcool) et nous buvons alors qu'il nous remercie d'être venus. Le "Vin" comme nous le présente Quang est un alcool de banane. C'est fort. Ca nous fait rire, on ne comprend pas trop ce qu'il se passe.

Le père de la marié vient, puis le grand-père. Puis un oncle je crois. Enfin, le maître de cérémonie (je ne sais pas s'il est de la famille ou non), se décide à venir environ toutes les cinq minutes pour trinquer avec nous et s'assurer que nos verres sont bien remplis. Difficile de dire non, il insiste à chaque fois, un large sourire aux lèvres. C'est la mère de la mariée qui finit par débarquer en lui disant quelque chose en vietnamien, probablement de nous laisser un peu tranquille. C'est ce que j'imagine.

Chacun a fait un discours. Quang nous a traduit l'idée globale à chaque fois. Mais je crois, en fait, qu'il n'aurait pas eu besoin de traduire tant les yeux des uns et des autres pétillaient. Leurs intonations en disaient déjà beaucoup.

Phuong, la mariée, a l'air vraiment heureuse. Ca se sent. Je sens aussi qu'elle est touchée que nous soyons là.

Après le repas, on va chez la soeur du marié (qui se trouve être la principale adjointe de Spring Hill - c'est elle qui gère toute l'organisation des emplois du temps etc.) qui habite le village d'à côté. Je pense qu'il s'agit de la maison d'amis de la famille. Une grande maison avec un étage.

Je me retrouve à dormir avec Tess* (volontaire) dans la salle dédiée au culte des ancêtres. Il y a un bel autel disposé au fond de la salle et des gravures en chinois (nous dit Quang).

Houa quand elle passe nous dit qu'elle espère qu'on dormira bien, sous la protection des ancêtres de la famille.

C'est un peu difficile de comprendre ce qui se passe. Rien n'est très clair. La majorité du groupe est en bas pour dormir mais il y a beaucoup d'agitation et il est encore tôt. Houa nous parle d'un karaoké chez la soeur du marié, pas loin d'ici. Mais avant, nous dit elle, c'est le temps des douches. Je ne sais pas trop quoi faire, Tess non plus. On finit par se mettre en pyjama.

La soeur du marié débarque pas longtemps après. "Karaoké? My place" et nous fait signe de venir, de la suivre.

On est en pyjama. Mauro* (volontaire) monte et nous explique qu'elle vient de proposer au groupe d'aller faire un karaoké chez elle. On descend. Certaines des teacher sont en pyjama, d'autres en jolies tenues de soirée. On dit avec Tess qu'on va peut-être monter s'habiller avant de partir, mais tout le groupe est déjà en mouvement. L'une des teacher ouvre son menteau pour nous montrer qu'elle aussi, est en pyjama. Quelqu'un nous dit "No problem". Bon. Allons-y. Ben suit, Mauro aussi. Stephanie reste se reposer.

On arrive dans un endroit qui ressemble à un bar de l'extérieur tant il y a d'animation. L'endroit est bondé de monde. Il s'agit en fait de la maison des parents du marié dans lequel a lieu la soirée du mariage. Sur une scène installée dans le fond de la salle, il y a trois musiciens (un petit clavier, une batterie et une guitare) et un jack pour brancher les téléphones. Ca crie dans tous les sens, le son est beaucoup trop fort.

Cette soirée restera la soirée où je me suis retrouvée à chanter sur scène en pyjama dans le karaoké traditionnel d'un mariage vietnamien.

Avec Tess, on a ri et on s'est appelées "les pyjama sisters".

*Trang An*

Le lendemain, le départ a été bien plus tôt que prévu. A 5h30, la soeur du marié est venu nous réveiller. Tout le monde était déjà prêt à partir à 45. Un peu déroutée de tout ce qui se passait (Houa nous avait dit réveil à 6h pour départ à 6h30), je finis rapidement de préparer mes affaires.

Tout le monde est déjà dans le bus quand j'arrive.

On ne sait pas où l'on va.

On arrive à Trang An peut-être une demi-heure une heure après.

Le lieu est aussi appelé 'Along sur un lac". Je crois que ça y ressemble. Le lieu est époustouflant. Une tranquillité que prodigue la grandeur des roches qui émergent du lac.

Un roi vietnamien avait construit son château dans cet endroit afin d'y installer son armée et de défendre les terres contre l'armée chinoise. Ils ont réussi à la repousser.

On fait une balade en barque sur le lac. Si les séances photos continuent, je me laisse bercer par la paisibilité du lac, la fraîcheur de l'eau lorsque j'y glisse mes doigts et la beauté étonnante de tout ce qui entoure. Un peu comme dans une rêverie matinale.

On passe dans des grottes, il faut se baisser tant l'espace entre nos têtes est réduit.

Touhou, une des jeunes 'teacher" qui est avec nous sur la barque demande à Mauro de lui chanter une chanson alors qu'on traverse une cave. Il est embarassé et répond qu'il n'en connait pas et qu'il ne sait pas chanter (il faut dire que Mauro a été sollicité par toutes les jeunes célibataires, Touhou en particulier, pour poser avec elles lors des différents moments "shooting" du week-end".) . Touhou se tourne alors vers moi "Chante moi une chanson!". Ca me fait sourire. Je suis un peu gênée d'abord puis, elle insiste, avec un grand sourire alors je me mets à chanter Summertime, dans l'acoustique de la cave qui s'étend entre l'eau et les roches qui frolent nos têtes.

On s'est arrêtés sur plusieurs ilôts, on a pu entrer dans des temples. Il faut laisser ses chaussures dehors. Ici, on se met pieds nus dès qu'il s'agit de rentrer chez quelqu'un, ou dans un lieu partagé.

Il y a comme un petit muret - le pied de la porte est surelévé. Il faut enjamber pour rentrer. Quang explique que cela marque le passage entre l'intérieur, sacré, et l'extérieur - le reste de la vie je me dis. Une fois qu'on a enjambé le pied de la porte pour rentrer dans le temples, on doit se conformer aux règles du temple les règles de l'extérieur ne sont plus valables.

Je ne sais pas bien quelles sont les règles du temple mais on peut s'y balader, y parler. Tra nous explique que rouge et or sont les couleurs porte bonheur au vietnam, cest pour ça qu'elles sont partout dans les temples

Il y a des autels, de l'encens qui y brûle, des statues imposantes, des gravures en or.

Dans un des temples, lorsque Houa entre, je l'observe prier, discrètement.

Le midi, on est reparti manger dans la maison du jeune marié. Les lendemains de fêtes séparées, il y a toujours une fête commune, dans la maison du mari, un déjeuner partagé, qui permet aussi de faire se rencontrer les villages. On arrive un peu tard. On trinque avec le père du marié, le frère du marié, puis, le marié.

Je m'aperçois que c'est au mariage que j'aurais dit mon premier mot vietnamien à voix haute, comme balbutié la premiere fois : "Kamon", ça veut dire, "merci".

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christophe76460 · 1 year ago

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Luc 19/41... Comme il s'approchait de la Ville, JESUS en la Voyant,..

P L E U R A sur Elle, et DIT / SI Toi aussi en ce jour qui t'Est DONNE , Tu CONNAISSAIS les choses qui APPARTIENNENT à ta PAIX ! Mais MAINTENANT , ellessont Cachées à TES Yeux .

Il VIENDRA sur TOI des jours où tes ennemis t'Environneront de Toutes parts, ils te détruiront , Toi et TES enfants au milieu de Toi, et ils ne laisseront pas en TOI pierre sur pierres, PARCE que Tu n'As PAS CONNU le temps où tu as été VISITEE. !!!

Ne vous y Trompez PAS ! l'Eglise est la méme IMAGE d'ISRAEL !!!

Nous Voyons ENCORE devant nos yeux ,en nos Jours les conséquences de nos Adultères Envers DIEU !!! quand il n'a Plus la Première Place dans notre Coeur . Quand DIEU Est REJETTE en dernière place de notre Coeur, étant REMPLACE par un Veau d'Or pour l'adorer à la Place de Notre PERE !...DANGER !

Tout ce qui PRENDRA la Première place dans Notre Coeur EST Une IDOLE .et Si DIEU Est AMOUR et il l'EST , il EST Aussi un DIEU Jaloux qui ne supporte PAS l'Adultère d'une de CES 2 Femme ISRAEL et l'EGLISE !!!! Rachetée par le Sang de l'Agneau .CHRIST.

Sa Colère s'enflammerait alors sur ELLE si elle l'ABANDONNERAIT pour l'adultère avec le prince de ce monde des ténèbres.

DIEU ne nous a PAS Destiné à la Colère à VENIR, mais à son AMOUR sous l'Abri de ses Ailes, tout comme la Poule Protège ses petits poussins.

Mais SI nous le RENIONS ! alors l'ennemi VIENDRA comme un fleuve pour nous assaillir et nous DETRUIRE nous et nos enfants car nous NOUS Serions éloignés du BERGER et de sa Protection VOLONTAIREMENT.

Quand ISRAEL Reconnaitra ceui qui a ETE PERCE ,(Esaie 53 ) ils se LAMENTERONT dans les larmes et s'Humiliront dans le désespoir et la REPENTANCE du Coeur.

EGLISE !!! Actuellement TU VOIS les conséquences d'ISRAEL et de l'Adultère Spirituel d'ISRAEL ! étant ATTAQUE de toutes parts, par ses ennemis Tyraniques afin que tu RENTRES en Toi Méme pour CRAINDRE de te DETOURNER de celui qui t'a AIME. et ne pas SUBIR la destruction !

J'ai Mis Devant TOI la mort et la VIE !!! CHOISIS la VIE afin que Tu VIVES à l'ABRI du BERGER....

Qu'il te soit FAIT celon ta Foi !!!

AMEN !

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writers-for-consumer-rights · 4 years ago

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ANOTHER RAT BASTARD CEO GOES TO PRISON.

Henry McInnis, CEO, Texas-based group of hospice and home health entities has been sentenced to 15 years in prison for telling patients with long-term, incurable illnesses that they had less than 6 months to live so that the company could enroll them in hospice. The company collected more than $150 million in fraudulent Medicare payments, according to the US Department of Justice.

A federal jury in Brownsville convicted Henry McInnis, 50, Harlingen, of one count each of conspiracy to commit health care fraud, conspiracy to commit money laundering, obstruction of justice as well as six counts of health care fraud. McInnis’s co-conspirator and owner of the hospice and home health entities, Rodney Mesquias, 50, San Antonio, was also convicted following the trial. He was later sentenced to 240 months imprisonment. Two others have pleaded guilty and are awaiting sentencing.

“McInnis, as CEO of the company, directly oversaw a reprehensible criminal scheme that involved the submission of over $150 million in fraudulent bills, the falsification of patients’ medical records, and the payment of unlawful kickbacks,” said Acting Assistant Attorney General Nicholas L. McQuaid, of the Justice Department’s Criminal Division. “The defendant preyed upon some of the most vulnerable members of our society, including many who suffered from diminished mental capacity and who were falsely and cruelly told by co-conspirators that they had only months to live. Today’s significant sentence demonstrates the department’s continued commitment to pursuing individuals, at all levels of corporate management, who engage in criminal schemes that prioritize profits over patient care.”

“Families seek to give comfort and support to their ailing loved ones when all other medical options are gone,” said Special Agent in Charge Christopher Combs of the FBI’s San Antonio Field Office. “It is unconscionable and evil to prey upon the most vulnerable in our community to commit fraud against government-funded programs. The FBI is committed to protecting our communities from those who may not have the strength to protect themselves.”

According to evidence presented at trial, McInnis, Mesquias and Merida Group adopted a strategy to market their hospice programs as providing medical benefits “you don’t have to die to use.” They aggressively enrolled patients with long-term incurable diseases, such as Alzheimers and dementia, as well as patients with limited mental capacity who lived at group homes, nursing homes and in housing projects. In some instances, Merida Group marketers falsely told patients they had less than six months to live. They even sent chaplains to the patients based on the false pretense they were near death. The chaplains would discuss last rites and other preparations for imminent death with the patients.

In order to receive reimbursement for hospice services, Medicare requires patients to be suffering from a terminal illness expected to result in death within six months. Not only were some of the patients not expected to die within that timeframe, they were walking, driving, working and, in some instances, even coaching athletic sporting events. However, McInnis and his co-conspirators kept patients on hospice services for multiple years in order to increase revenue from Medicare. Placing patients on such palliative hospice care meant the patients were unable to obtain medical coverage for curative medical services.

In addition to placing unqualified patients on hospice care, McInnis and his co-conspirators also endeavored to keep patients who did qualify for hospice care alive for as long as possible for their own monetary gain. At trial, a co-conspirator testified and explained “the way you make money is by keeping them alive as long as possible.” The jury heard that this included engaging in surgical and other medical interventions designed to extend life through the use of medical technologies, even when such interventions were not consistent with the goals of hospice care.

McInnis had no medical training and worked previously as an electrician. However, he acted as the de facto director of nursing for the Merida Group. Witnesses at trial testified McInnis directed employees to admit unqualified patients to hospice and home health, keep unqualified patients on services for long periods of time and fired and reprimanded employees who refused to participate in the scheme.

McInnis also oversaw and enforced a company-wide practice of falsifying medical records to conceal the scheme. Multiple witnesses testified McInnis ordered employees to alter medical records to make it appear patients were terminally ill. In reality, some were employed or even participating in sporting events. The jury also heard that McInnis explained the purpose of the falsified records was to allow the Merida Group to pass insurance company audits.

As CEO, McInnis also adopted a policy that paid illegal kickbacks. They directed bribes to physicians under the guise of medical director fees to certify unqualified patients for hospice and home health. In some cases, they improperly offered payoffs to marketers in exchange for recruitment of patients who could be placed on extremely expensive hospice services.

The evidence further established McInnis and Mesquias obstructed justice by causing the creation of false and fictitious medical records that allegedly showed patients needed the hospice services. McInnis and others tried to provide these to a federal grand jury in a failed attempt to avoid indictment. The records added false diagnostic information, making it appear patients were dying and eligible for hospice services when, in fact, they were not.

The Department of Health and Human Service – Office of Inspector General (DHHS-OIG); FBI and Texas Health and Human Services Commission conducted the investigation. Assistant Chief Jacob Foster and Trial Attorney Kevin Lowell of the Criminal Division’s Fraud Section and Assistant U.S. Attorney Andrew Swartz of the Southern District of Texas are prosecuting the case.

Writers for consumer right will continue to report on those CEO who take advantage of consumers. We are committed to removing them from the golf course and putting them in prison where they belong.

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blogueericdescarries · 4 years ago

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GMC Canyon AT4 et des nouveautés de Kia, Hyundai et Mercedes!

Le 24 février 2021

Malgré le fait que le créneau des camionnettes pick-up intermédiaire se fait un peu discret (il est surtout «écrasé» par celui des grands pick-up), il continue d’évoluer. Si, pendant un moment, on aura cru qu’il n’y restait plus que deux marques, les Toyota Tacoma et les Nissan Frontier, les administrateurs de GM y ont remarqué un retour d’intérêt et dès 2015, ils ont réagi en «relançant» leurs anciens pick-up intermédiaires, les Chevrolet Colorado et GMC Canyon. La suite, comme on le dit si bien, c’est de l’histoire car, cette décision a incité Ford à relancer son Ranger et à FCA de relancer la Jeep Gladiator. N’oublions pas non plus l’aventure de Honda dans ce domaine avec la Ridgeline.

Donc, aujourd’hui, ce créneau des intermédiaires en est rendu à quelques 48 667 unités vendues au Canada en 2020. Toutefois, GM y a perdu un peu de plumes avec l’arrivée de la concurrence. Il fallait donc que ses Colorado et Canyon soient révisées. C’est de l’une des deux dont il est question ici, la GMC Canyon AT4, une nouvelle finition proposée cette année en remplacement de la All-Terrain.

La GMC Canyon, ici dans sa version AT4, a été révisée avec goût. (Photo Éric Descarries)

Comme on peut le constater, le GMC Canyon de 2021 affiche un avant entièrement redessiné dont le design se rapproche le plus de son «grand frère» le Sierra. Incidemment, si les Canyon vous semblent basées sur les Chevrolet Colorado, vous ne vous trompez pas. Cependant, GM a préféré distinguer ses GMC en les proposant en versions plus élaborées. Par exemple, on pourrait croire que la Canyon AT4 est une version GMC de la Chevrolet ZR2, ce n’en est pas le cas. Évidemment, on voit que la version AT4 est destinée, tout comme la ZR2, aux excursions hors-route. Mais son approche n’est pas aussi «drastique» que celle de la Chevrolet. Elle est plus modérée…même avec ses pneus surdimensionnés de 31 pouces!

La GMC Canyon AT4 vue de l’arrière. (Photo Éric Descarries)

Cette version AT4 n’est disponible qu’en configuration «cabine d’équipe» (crew cab) mais avec une caisse courte ou longue. Pour le moment, le seul moteur disponible est le maintenant «légendaire» V6 de 3,6 litres de GM qui fait 308 chevaux et 275 livres-pied de couple (le moteur turbodiesel à quatre cylindres de 2,8 litres reviendra sous peu au catalogue) avec boîte automatique à huit rapports et boîtier de transfert à deux vitesses incluant la traction intégrale automatique (notez que les versions moins élaborées de Canyon sont toujours livrables avec le quatre cylindres de base). Avec cette finition AT4, l’utilisateur dispose de pneus Goodyear DuraTrac 265/65 R17 d’un diamètre de 31 pouces, d’une suspension adaptée aux besoins de l’AT4 et d’un différentiel autobloquant électronique.

Le tableau de bord n’a pas, pour ainsi dire, changé. Mais il est d’approche conviviale. (Photo Éric Descarries)

Si l’approche de GMC pour l’AT4 n’est pas aussi agressive que celle de Chevrolet pour la ZR2, il faut dire que l’intérieur affiche une finition plus luxueuse incluant même des sièges avant chauffants! Cependant, son tableau de bord conserve des airs de ressemblance avec celui de la Colorado. Notez qu’il ne s’agit pas ici de la version Denali plus luxueuse de la Canyon qui n’a pas d’équivalence chez Chevrolet (même si, malgré tout, on aimerait se sentir dans un environnement plus «recherché», disons)! Néanmoins, tout y est facilement accessible. L’instrumentation y est très lisible et tous les accessoires au tableau de bord facilement manipulables. Au centre de cette planche de bord, il y avait, sur mon véhicule d’essai, un écran plus ou moins petit car ce Canyon n’avait pas de GPS. Si le conducteur tient à un tel accessoire, il devra y brancher son téléphone intelligent (vous aurez compris que les prises AppleCarPlay et Android Auto y étaient d’office). Entre les sièges baquet, il y avait une impressionnante console avec le levier de vitesse et quelques commandes pratiques.

Les sièges d’avant sont surprenants tant ils sont confortables. Toutefois, accéder à la cabine demande un peu d’effort vu qu’il n’y a pas de marchepied. Je conseillerais à un acheteur d’AT4 d’en faire installer des modèles démontables (s’il tient vraiment à faire des excursions hors-route!) qui non seulement facilitera l’accès à l’habitacle mais qui empêcheront les pantalons de se salir sur les seuils de portes. De plus, ces marchepied serviront de garde-boue car les énormes pneus très agressifs lancent de la boue en roulant et celle-ci s’accumulent non seulement sur les ailes arrière mais aussi derrière les poignées de portières ce qui est plutôt désagréable quand vient le temps de les ouvrir!

Les places arrière sont accueillantes mais pas si spacieuses. (Photo Éric Descarries)

Il n’y a pas d’espace de rangement derrière les dossiers d’arrière mais les attaches pour sièges de bébé y sont. (Photo Éric Descarries)

Les places arrière sont accueillantes mais sans plus, l’espace y étant restreint. L’AT4 possède une console centrale arrière escamotable avec appui-bras et porte-gobelet alors que le dossier de la banquette peut se rabattre. Mais il n’y a pas d’espace de rangement derrière ce dossier. En revanche, il y a un tel coffre sous le fauteuil du siège.

La caisse demeure la même. On peut y charger plus de 1500 livres mais toujours pas de 4 x 8 à plat entre les ailes. La finition de protection y est une option…mais pas la neige! (Photo Éric Descarries)

La caisse, elle, n’a rien d’extraordinaire. Elle demeure, comme toutes les caisses de ces petites camionnettes, trop étroite entre les deux passages de roue pour y déposer une planche de 4 par 8 à plat ce qui est parfois embarrassant. Heureusement, le hayon arrière se dépose et se remonte facilement. Mais la marche est haute et il n’y a pas d’escalier escamotable pour accéder à la caisse.

Sur la route

Après avoir grimpé derrière le volant, il est facile de s’ajuster et de trouver une position de conduite respectable. La visibilité y est très bonne et les sièges confortables. Une fois lancé, on reconnaît facilement le son du V6. Il est audible mais pas agressant. Le conducteur a le choix de tourner la commande rotative pour que la motricité aux roues arrière, aux quatre roues ou au système automatique. Une fois en route, on entend le ronronnement des pneus (incidemment, ces gros Goodyear sont «légaux» pour l’hiver au Québec). Le V6 démontre toute sa puissance déplaçant la camionnette de plus de 4400 livres. Il est capable d’accélérations de 0 à 100 km/h en moins de sept secondes et de reprises rassurantes. La direction est plus précise que l’on pourrait croire. Même le freinage se veut rassurant quoi que j’aie des réserves concernant les pneus. Ceux-ci sont excellents dans la boue et la neige profonde. Mais sur la glace et surtout dans la neige mouillée ou la «sloche», ils perdent beaucoup d’adhérence! Je leur préférerais de véritables pneus d’hiver (moins larges) avec lamelles appropriées. Incidemment, il n’y a pas beaucoup d’aide à la conduite dans cette GMC. Qu’importe, de toute façon, j’aime mieux garder l’œil ouvert!

Rien de bien nouveau, le valeureux V6 de GM de 3,6 litres est toujours au catalogue. (Photo Éric Descarries)

Autrement, ce qui m’a plu (et qui a plu à ma passagère) lors d’une petite excursion dans les Laurentides, c’est le confort que l’on vivait dans ce véhicule. En effet, malgré une suspension adaptée aux excursions hors-route, le Canyon AT4 ne sautille pas autant que la concurrence sur les routes endommagées. Décidemment, la suspension peut être ferme, elle n’est surtout pas sèche! Et les sièges avant ne deviennent pas trop durs avec le temps.

Les pneus Goodyear Wrangler DuraTrac d’origine sont homologués pour l’hiver. Ils sont idéaux pour les déplacements dans la boue ou sur terrains rocailleux mais pour l’hiver, je préférerais de véritables pneus à glace. (Photo Éric Descarries)

Par après, ce Canyon m’a plutôt servi pour des déplacements urbains sous une température relativement froide. Malheureusement, je n’ai pu faire des excursions hors-route (mon terrain d’essai privé est toujours sous un épais manteau de neige) mais je ne douterais pas des capacités de la AT4. Sa garde au sol est bonne et les pneus sont faits pour la boue et les terrains rocailleux. Je n’ai rien à redire du V6 (il sert pas mal à tout depuis des années chez GM) ni de la boîte automatique à huit rapports. En passant, la capacité de charge de la caisse est de 1600 livres et celle de remorquage du véhicule est de 3500 livres (7700 livres si l’on opte pour le moteur diesel !). En ce qui a trait à la consommation (essence régulière), j’ai obtenu une consommation moyenne (calcul à la pompe) de 13,6 l./100 km alors que l’ordinateur de bord en avait calculé une de 12,4 tel qu’affichée au tableau de bord. Notez que j’ai conservé la Canyon en mode 4x4 Auto toute la semaine. GM annonce une consommation de 14,0l./100 km en ville et 9.9 sur autoroute.

Petit reproche, si cette Canyon n’est pas équipée de garde-boues ou de marchepieds, les gros pneus projettent la boue sur ses flancs et les poignées de portières accumulent cette boue. (Photo Éric Descarries)

Le prix de base d’une GMC Canyon AT4 est de 41 898 $. Mon véhicule d’essai avait que peu d’options dont le recouvrement de l’intérieur de la caisse de 550 $ et l’ensemble de remorquage de 295 $. Ajoutez à cela, les (toujours aussi ridicules) 100 $ de la taxe d’accise fédérale pour la climatisation et les 1900 $ de transport et préparation et vous obtenez une facture totale de 44 743 $ plus taxes, bien entendu.

La Canyon AT4 devrait être considérée comme une sorte de concurrente à la Chevrolet Colorado ZR2, à la Jeep Gladiator Mojave, à la Toyota Tacoma TRD et à la Ford Ranger FX4 (ou peut-être Raptor à venir) mais je ne crois pas que GMC ait poussé aussi loin. Qu’importe, ce que j’en retiens, c’est que l’AT4 est plus confortable que prévu, fort possiblement plus que ses concurrentes. Sans pousser aussi loin que la Canyon Denali, cette AT4 présente quand même un certain niveau de luxe. Pas un mauvais choix, loin de là!

Nouveautés!

Nous n’avons pas (peut-être plus) de salons de l’auto. Toutefois, les constructeurs automobile ont choisi le moyen de nous présenter (à tout le monde en même temps) leurs tout nouveaux produits avec des «shows» sur Internet. Donc, cette semaine, nous avons eu droit à plusieurs présentations dont celle de la nouvelle Carnival de Kia.

Carnival n’est pas un nouveau nom pour le constructeur sud-coréen. Cependant, il n’avait jamais été utilisé en Amérique du Nord. Cette fois, il nous arrive sous la forme d’un véhicule hybride à la fois VUS et «van» (fourgonnette) à sept ou huit passagers. Ce faisant, Kia croit relancer l’intérêt pour les vrais «people movers» qu’étaient les fourgonnettes (s.v.p., ne dites pas mini-fourgonnette…il n’y a rien de mini dans ces véhicules!). En passant, il est fortement question de la disparition de la Sedona, du moins de son nom!

Pour le moment, il n’y aurait que le V6 de 3,5 litres au catalogue avec une boîte automatique à huit rapports et que la traction avant. On en saura plus lorsque le modèle nous sera prêté.

Kia nous ramène la fourgonnette à la sauce VUS, la Carnival. (Photo Kia)

Autre nouveauté intéressante, Hyundai annonce l’arrivée prochaine de la Ioniq 5, une sorte de berline sportive toute électrique qui pourrait très bien être une concurrente à la nouvelle Mustang Mach E.

Hyundai nous promet une Ioniq 5 capable de concurrencer la Mustang Mach E. (Photo Hyundai)

Enfin, du côté de Mercedes-Benz, ce constructeur allemand nous a dévoilé une nouvelle version de sa populaire Classe C. Elle a subi un redesign total et elle ne devrait être disponible qu’avec un moteur à quatre cylindres. Toutefois, il semble que c’est son intérieur qui devrait tous nous étonner. À suivre.

La Mercedes-Benz de Classe C fait peau neuve. (Photo Mercedes)

Le tableau de bord assez inusité de la nouvelle Classe C. (Photo Mercedes)

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lautone · 3 years ago

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Les origines païennes de Lucifer et Baphomet :

Il correspond, dans la mythologie grecque, au dieu Héōsphóros (Έωσφόρος), « Celui qui porte l'aurore », aussi appelé Phōsphóros (Φωσφόρος), « Celui qui porte la lumière », du fait que la planète Vénus est encore visible peu avant l'aurore.

Il est le fils d' Eos (déesse de l' aube) et du Titan Astreus et père de Ceice (Ceyx), roi de Thessalie et de Dedalion .

Dans le paganisme Lucifer est un dieu céleste qui vivait sous l'Olympe. Avec les Saisons, auprès de la déesse Aurore il était chargé d'atteler et de dételer les chevaux du char conduit par le Soleil. Il est le guide des Astres. Cette ancienne divinité païenne est toujours visible dans le ciel, c'est l'étoile du matin, la planète Vénus qui brille à l'Orient, avant le lever du Soleil.

Le soir, Vénus brille à l'Occident et prend le nom de Vesper, une autre divinité. Les Grecs connaissaient aussi le dieu Lucifer sous son véritable nom Phosphoros ou Eosphoros. À Babylone, Vénus était l'étoile d'Ishtar, la déesse des batailles, de l'amour et de la fécondité pour les Babyloniens, Astarté pour les Phéniciens ; Inanna pour les Sumériens , de même en Egypte Tioumoutiri était le matin Vénus.

En Grèce Diane (Artémis), la déesse lunaire, était appelée Lucifera, la Porteuse de lumière.

Vénus qui ne s'éloigne jamais de plus de 47°du Soleil a pour autre nom étoile du matin.

Si dans un thème natal Vénus précède le Soleil on la dit étoile de Lucifer, Phosphorus ou encore étoile du matin, car elle annonce le lever du Soleil, le retour de la Lumière sur le monde.

Si elle se tient derrière lui, elle devient Hespérus ou étoile du soir, étoile du berger ou encore Vesper qui protège le coucher du Soleil et en quelque sorte, en prend la relève.

Les phases de Vénus furent attestées très tôt en Babylone, le grand Dieu Marduk enseignait déjà il y a des milliers d'années que cette Planète était la soeur ainée de la Terre, et que beaucoup de choses, d'évenements et de traditions les unissaient à jamais.

Vénus-Ishtar-Isis apparentée à Lucifer porteur de Lumière ? Un lien indestructible avec la Terre ?

Ainsi Isis Lumière protectrice, Bergère scintillante se manifeste comme une Déesse de grande protection aussi bien pour les Humains que pour les Dieux notamment pour son bien-aimé Osiris qu'elle n'hésite pas à protéger de ses ailes bienfaitrices.

l'origine de Baphomet :

Baphomet est une énigmatique figure à tête de Bouc trouvée dans plusieurs cas dans l’histoire de l’occultisme du culte des Templiers.

L'étymologie originel de son nom nous renvoie à père de la compréhension, de la connaissance.

La représentation moderne de Baphomet prend ses racines dans plusieurs sources anciennes, principalement des dieux païens. Il porte ressemblances aux dieux dans le monde entier, y compris l’Egypte, Europe du Nord et en Inde. En fait, les mythologies d’un grand nombre de civilisations antiques incluent une sorte de divinité à cornes. En théorie jungienne, Baphomet est une continuation du dieu-cornu archétype, comme le concept d’une divinité portant des cornes est présente universellement dans les psychés individuelles,de Cernunnos, Pan, Herne, Pashupati...

BAPHOMET incarne l’aboutissement du processus alchimique l’union des forces cosmiques et telluriques pour créer la lumière astral la base de la magie et l’illumination.

Le phallus est une tige liée à deux serpents qui se nomment le caducée qui représente ésotériquement l’activation des chakras de la base de la colonne vertébrale à la glande pinéale en utilisant la puissance serpentine (d’ou les serpents) ou lumière solaire l’équilibre entre le microcosme et le macrocosme.

La tête de bouc représente l’ unissons l’harmonisation entre l’animal et le spirituel. La flamme de l’intelligence qui brille entre ses cornes est la lumière magique de l’équilibre universel l’élévation de l’âme au- dessus de la matière. La tige debout à la place des organes génitaux, symbolise la vie immortel, l’humanité est représentée par les deux seins.

Un symbole de lumière de ses deux mains formant le signe de l’hermétisme l’ une pointant vers la lune blanche l’ autre pointant vers le bas pour le noir ce signe exprime l’harmonie parfaite de la justice.

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tabloidtoc · 4 years ago

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National Enquirer, February 1

You can now buy a copy of this issue for your very own at my eBay store: https://www.ebay.com/str/bradentonbooks

Cover: Conspiracy Exposed! White Supremacists Caused Capitol Riot

Page 2: Friends of scandal-scarred Shia LaBeouf fear he is sliding off the rails now that galpal Margaret Qualley has suddenly dumped him and Shia feels deserted and completely alone since Margaret walked out on him and he was blindsided when the actress took off in the wake of abuse accusations by his past girlfriends and colleagues labeled him difficult -- Shia thought he could count on Margaret to be at his side while he defended himself but she’s been warned by friends and family he’s toxic in Hollywood and that staying with him could ruin her career

Page 3: Siegfried Fischbacher’s sad last days have been full of tears and regret as the ailing entertainer prepares to be reunited in the afterlife with cherished partner Roy Horn -- the German-born illusionist has been fighting pancreatic cancer but after having a malignant tumor removed during a 12-hour surgery last month, Siegfried left the facility to die at Little Bavaria which is the Las Vegas home he long shared with Roy

Page 4: Angelina Jolie has been digging up dirt on ex-husband Brad Pitt’s pals in a desperate bid to get the upper hand in their toxic divorce war -- Angie and her team are still looking for whatever they can get on Brad but he’s so squeaky clean these days they’re turning their attention to the rockers and grungy types that he hangs with in L.A. and it’s all very twisted but Angie is willing to try anything at this point -- Angie and Brad’s custody battle is at a standstill with Angie refusing to budge with her demand for full custody of the kids while Brad wants more visitation rights -- Angie is likely to be barking up the wrong tree because Brad’s friends are sober clean-living types who have been a huge influence in helping him turn his life around but she’s leaving no stone unturned in this divorce fight

* Consciously unconventional Gwyneth Paltrow and husband Brad Falchuk are taking mini-breaks to prove that absence makes the heart grow fonder -- the love is there but Gwyneth is suggesting they try mini-me breaks to keep the embers burning in their relationship and she believes separating from time to time will stir up the passion ad anticipation between them -- Gwyneth often slips off for short trips without Brad and feels no guilt or remorse for it and she encourages Brad to do the same and says it makes her miss him when he’s away

Page 5: Sandra Bullock has become buddies with Will Smith and wife Jada Pinkett Smith and is reaping the benefits of the longtime couple’s hard-earned advice and Sandra’s five-year romance with photographer Bryan Randall has never been better -- the new friendship blossomed after Sandra appeared on Jada’s Red Table Talk show to celebrate frontline workers during the pandemic and Sandra and Jada have gotten really close since then and Jada’s been giving Sandra tips about how to handle the highs and lows of a relationship and learning to appreciate her man

Page 6: Newbie twosome Olivia Wilde and Harry Styles are already shopping for a love shack and they want to be with each other all the time and they both need permanent places to live because Olivia’s been staying at a temporary place and Harry’s been staying with friends and they both want someplace where they can be together in private -- Olivia wants two places which is one where she can be a mother to her kids with ex Jason Sudeikis but she also wants a love nest to share with Harry and they’ve been looking in the Pacific Palisades and Malibu areas because they’re in love but they don’t want to flaunt their relationship in front of her kids; Olivia has too much fondness and respect for Jason to do that

Page 7: Carrie Underwood and husband Mike Fisher have been gushing all over each other but they’ve worked 24/7 for months to avoid a divorce -- they had very real problems that stretched back years because Carrie was either working too hard in the recording studio or on the road or in their home gym and their issues never really got addressed head-on and they were even talking divorce but lockdown has done them both a world of good by forcing them to get to know each other all over again

* Covidiot of the Week -- Bruce Willis got booted from a Los Angeles Rite Aid rather than put on a mask to protect his freaked-out fellow shoppers -- Bruce was wearing a bandana around his neck as he strolled the aisles of the pharmacy but he apparently lacked the strength to pull it up and over his nose and mouth because he refused to wear a mask and he walked out of the store leaving his intended purchases behind rather than respond to a manager’s plea to have some respect for other people

Page 8: Love-starved Kelly Clarkson is having a little “Office” romance with one of the beloved sitcom’s former stars Craig Robinson -- a recent flirt-fest on Kelly’s chat show has left the newly single mother of two singing the comic actor’s praises to pals and he totally swept her off her feet and she thinks he’s cute and one of the funniest guys she’s ever met -- the mutual attraction between the two was immediate and obvious and she’s been reaching out to him on the phone and they’ve been continuing their funny and flirty repartee -- Kelly thinks he’s the perfect catch and wants to start 2021 off on the right foot after all the hell she’s going through in her divorce from Brandon Blackstock

* Embattled Ellen DeGeneres has cooked up a new plan to save her troubled career and marriage: a baby -- last year was the toughest year of her life let alone her career and she’s hoping a baby may be the answer to all her problems -- it was hell at home for wife Portia de Rossi because Ellen was blasting her about anything and everything and Portia declared she had no intention of being Ellen’s personal punching bag and Ellen has now realized how harsh she had been on her spouse of 12 years and that’s when Ellen cooked up the concept of having a baby to bond over and Ellen is convinced that sharing a child will bring them closer together again and is willing to go the surrogate route to make it happen -- she also believes bringing a baby into her life will improve her image and it’s a can’t-lose scenario in her mind

Page 9: Kelly Ripa is pushing pal Ryan Seacrest to find new romance online -- Ryan spent the holidays alone after being dumped by his on-off galpal Shayna Taylor but Kelly believes he can find lasting love with an age-appropriate partner -- Ryan is 46 and he’s dated some of the most beautiful women in the world but Kelly thinks he’d do a lot better if he looked for women closer to his age and Kelly has been pushing him to try a dating app like Raya which caters to a star-studded clientele -- Kelly has been happily married for 21 years and wants the same happiness for Ryan and she thinks he can find that by using an app where he can find a woman in his age bracket with similar interests and attitudes

Page 10: Hot Shots -- Malin Akerman hit the road on her bike in L.A., shirtless Justin Bieber hitting the shore in Hawaii, Good Morning America co-host Robin Roberts smoothed back her hairdo on the morning show set, Larsa Pippen posed on her Porsche outside her Miami mansion, dapper dresser Chris Pine shot scenes from the upcoming thriller All the Old Knives in London

Page 11: Dustin Diamond has been hospitalized with searing pain and is undergoing tests to pin down the cause of the mystery ailment but he feared prognosis is cancer which is said to have a history of the disease in his family

* Carol Burnett is overjoyed her temporary guardianship of grandson Dylan Hamilton-West has been extended but remains heartbroken her troubled daughter Erin is not yet prepared to resume her role as a parent -- Los Angeles Superior Court Judge Deborah L. Christian extended the guardianship until November 30 and praised Carol and her husband Brian Miller saying that everything seems to be going along swimmingly -- the judge also ruled Erin will be allowed supervised weekly visits with Dylan

* The house that tragic Glee star Naya Rivera shared with her son Josey in Los Feliz, California is up for sale for $2,695,000 -- Naya purchased the four-bedroom, three-bath home in May 2018 for $1,660,000 just a month before her divorce from Ryan Dorsey with whom she she shared custody of Josey

Page 12: Straight Shuter -- Katie Couric desperately hopes her guest host stint on Jeopardy! will turn into a full-time job replacing the late Alex Trebek -- it will be positioned that Katie is guest-hosting for a week but it’s actually an audition; all the upcoming Jeopardy! guest hosts are being tested out and depending on how they do and how the audience responds one of them will get the gig full-time -- the show is moving very carefully to replace Alex because they get one shot at this and if they hire the wrong person the show is over

* Kathy Griffin won’t ever be able to mend fences with former BFF Anderson Cooper after she posted a gruesome image of Donald Trump’s decapitated head -- Anderson holds a grudge like no other and once you upset him it’s for life -- he isn’t rude and he’s not vindictive but he has zero interest in ever being friends with Kathy ever again

* Image-obsessed Tom Cruise has boosted security since audiotapes were leaked of his meltdown on the Mission: Impossible set -- all phones and non-official recording devices have been banned from the set and Tom has become increasingly annoyed at anything being leaked from his closed set and he’s very controlling when it comes to his image and he’s upped his security to make sure a breach in protocol like that never happens again

* Selling Sunset’s Christine Quinn glams it up for a photo shoot in Bel-Air (picture)

Page 13: Sylvester Stallone is ready to relinquish his title as Tinseltown’s reigning action champ to enjoy the final rounds of his heavyweight career at his new Florida mansion surrounded by his family -- he isn’t hanging up his gloves in the movie business just yet but is content to coast to the final bell at the $35 million West Palm Beach estate with Jennifer Flavin his wife of 23 years -- Sly’s been working his butt off for decades and he’s finally got the perfect place where they can settle down and host their children whenever they want a proper family gathering

* Jennifer Garner hasn’t even moved into her $7.5 million home yet but she’s already installed a state-of-the-art security system to keep it safe -- the safety-conscious mom of three is building her Los Angeles dream home from scratch right around the corner from where she lived with ex-husband Ben Affleck and while the finishing touches aren’t complete she has made serious security arrangements like motion detectors and lights and safes and up to 20 surveillance cameras around the posh pad to keep intruders away from her and the children she shares with Ben: Violet, Seraphina and Samuel -- it’s costing her a fortune but she’ll spend whatever she needs to keep her family safe

Page 14: Crime

Page 15: Accused rapist Danny Masterson could be dumped by the Church of Scientology to protect its leader David Miscavige -- the Church of Scientology is not loyal to anyone but itself and it has no interest in its parishioners even Danny Masterson and if their leader is going to be exposed they will take out Danny in a heartbeat; he’d be excommunicated -- Masterson faces criminal charges he raped three women and he’s also battling a civil suit filed by four women who accuse him of rape and Scientology of intimidating them into silence and not reporting the crimes to police -- attorneys for the fourth woman Marie Bobette Riales are trying to serve a subpoena on Miscavige in a bid to expose the ruthless tactics used by Scientology to hide the twisted secrets of its celebrity members -- the controversial church will do anything including dumping Danny to prevent Miscavige from being dragged into court but if Scientology turns on Danny he could spill all their secrets on the stand

Page 16: Hollywood kid Rumer Willis has rewarded herself for four years of sobriety with a plastic surgery tune-up -- in a photo she recently posted to Instagram her face appeared more streamlined and her new look is likely due to cosmetic enhancements

* Nagging allegations that Kanye West is gay and had affairs with two male beauty gurus could not have come at a worse time for the troubled rapper -- Kanye is furious at the salacious accusations just as his marriage to Kim Kardashian is hanging by a thread and although Kanye is far from homophobic but the last thing he needs right now is to try and fight off rumors about his sexuality just when he’s desperate to save his marriage and he thinks the accusers are just trying to capitalize on his current problems and trying to crush any hope he has of staying together with Kim -- TikTok influencer Ava Louise dropped the first bomb in early January when she claimed Kanye slept with male YouTuber Jeffree Star and that it played a role in the current fractured state of his marriage and less than 24 hours after Ava shared her shocking claims she received a cease-and-desist letter from Kim’s mom Kris Jenner’s communications company -- Jeffree Star took to YouTube to deny the affair -- another male beauty influencer Cole Carrigan then jumped on the bandwagon and claimed to have had a sexual encounter with Kanye at Hollywood’s W hotel and said he had receipts and texts between him and one of the rapper’s bodyguards adding he didn’t want to say too much because he didn’t want a lawsuit from Kim Kardashian West but two days later Cole posted a video of himself with a cease-and-desist letter from the bodyguard’s attorney

Page 17: Only a week after Larry King was hospitalized with a life-threatening COVID-19 diagnosis his estranged wife Shawn splurged on a three-hour shopping spree -- Shawn didn’t seem to have a care in the world when she was snapped browsing for beauty supplies and home furnishings in L.A. while at the same time her soon-to-be ex-husband remained hospitalized in Cedars-Sinai Medical Center after being transferred from the intensive care unit

Page 18: American Life

Page 19: Kim Cattrall’s feud with Sex and the City co-star Sarah Jessica Parker just won’t die -- Kim who played Samantha Jones recently liked a tweet from a fan praising her for not joining her former castmates in an upcoming SATC reboot -- Kim and Sarah reportedly clashed behind the scenes for years

* Amber Heard splashed out more than $1 million in donations toward fulfilling her pledge to give away her $7 million divorce settlement from Johnny Depp -- one of Amber’s attorneys challenged charges from Depp’s legal team who claimed Amber had pocketed the princely sum -- Amber has been delayed in that goal because Johnny filed a lawsuit against her and consequently she has been forced to spend millions of dollars defending his claims against her

Page 20: Daring Duchess Sarah Ferguson has written a racy romance novel and she’s taken inspiration from her very own love life -- the ex-wife of Britain’s Prince Andrew who was scandalously snapped having her tootsies sucked by a suitor in 1992 penned Her Heart for a Compass which is set to be released this summer -- Sarah said the page-turner was inspired by the life of her great-aunt Lady Margaret Montagu Douglas Scott and the work incorporates research into the duchess’ heritage and draws upon her own unique life journey and experiences -- the historical saga is set in the late 1800s

* Hollywood Hookups -- Luke Evans and boyfriend Rafa Olarra split, Megan Fox and Machine Gun Kelly move into together, LeToya Luckett and husband Tommicus Walker split

Page 21: Prince Harry’s sporting a new crowning glory which is a ponytail -- that’s the dish from Rob Lowe who spotted Harry’s new ‘do while driving in their California neighborhood -- Rob said it looked that his hair had grown very long and was pulled back very tightly in a ponytail and he even followed the car to Harry and wife Meghan Markle’s mansion to make sure it was him -- Rob said Harry lives about a mile from him and he’s been very reclusive and seeing him is like seeing the Loch Ness Monster

* George Clooney’s face has blown up like a balloon -- he looked painfully gaunt for months after rapidly dropping 28 pounds to play an ailing scientist in his latest movie The Midnight Sky but once the sickly star has bounced back and judging from his mug he’s apparently been pigging out in a bid to regain the weight he lost

* Brendan Fraser is gearing up for a big career comeback as a 600-pound recluse in Darren Aronofsky’s The Whale -- the choice of the role is ironic as the once-chiseled star seemed to fall out favor with Tinseltown bigwigs when his own weight ballooned -- Brendan is poised to make a whopper of a return to leading man status with meaty character Charlie who is a grief-stricken compulsive eater who seeks to reconnect with his estranged daughter

Page 22: Explosive evidence reveals Earth is in great danger from attacking space aliens but despite a 3000-document cache released by the CIA, the government is still finding ways to classify extraterrestrial information -- the CIA dossier was obtained by John Greenewald Jr. and published on his Black Vault website -- the documents were likely released because of a new law that is part of the recent $2.3 billion COVID-19 relief package passed by Congress requiring government agencies to spill the beans on the UFO data they’ve amassed over 70 years

* Agonizing health woes threaten to push long-suffering Lisa Marie Presley over the edge -- Lisa Marie has been in a lot of pain and years of drug and alcohol abuse have devastated her body -- she’s recently battled liver ailments and an abdominal muscle tear and suffered a hernia and had to have two teeth removed -- in addition to being in physical torment Lisa Marie had to move out of her Los Angeles home while workers addressed a problem with toxic mold -- Lisa Marie was already close to rock bottom after her son Ben Keough killed himself in July and amid her grief she’s still embroiled in a lawsuit with her former manager and locked in an ugly divorce and custody battle with fourth husband Michael Lockwood the father of her twins Harper and Finley

Page 23: As more shocking details emerged from Armie Hammer’s former girlfriends about what they claim are his sick and twisted fetishes for rape, bondage and cannibalism his career is crumbling before his eyes -- although many had trouble believing the depths of depravity allegedly revealed in private messages an anonymous woman claimed the actor sent her, even his estranged wife is shocked and sickened by Armie’s tawdry reported sexual tastes -- this is not the kind of scandal any actor would want to be linked to -- his pals are urging him to get counseling as the scandal could kill the trust-fund actor’s career

Page 25: Cover Story -- It’s just the beginning! Capitol riot conspiracy exposed -- Proud Boys led blood-soaked siege -- 5-page investigative special

Page 29: Outspoken Arnold Schwarzenegger likened the recent attack on the U.S. Capitol which left 5 dead to Nazi violence -- the former California governor and staunch Republican compared the January 6 riots by protestors, who refused to accept the outcome of the 2020 presidential election, to German’s Kristallnacht in 1938 -- in a video address Austrian-born Schwarzenegger who’s held U.S. citizenship since 1983 said Wednesday was the Day of Broken Glass right here in the United States

Page 32: Health

Page 38: Tormented actor Gabriel Byrne confessed he finally confronted the priest who abused him when he was 11 years old and it didn’t go well -- Byrne phoned the pedophilic priest in 2002 but the sicko said he has no recollection and even thanked Gabriel for reaching out -- Gabriel wanted in those last seconds to say that even though he doesn’t believe in Hell he hopes the priest did because he wanted him to be terrified and burn forever but he said nothing because some part of him did not want to hurt an old man with a kindly voice stuck in a retirement home

* Miley Cyrus decorates her home with X-rated doodads -- she said in an interview that she likes sex toys and she buys them for herself but ends up using them for interior design

Page 40: Sleazy sex creep Jeffrey Epstein was nearly snared in a To Catch a Predator-style sting almost five years before the pedophile’s suspicious death in a Manhattan prison dished journalist Chris Hansen -- the former NBC host recently claimed in 2014 or 2015 after Epstein’s first jail stint for soliciting a minor he met with lawyers for some of the sex offenders alleged victims who claimed the financier was abusing underage girls -- they had a big file on it according to Hansen and he was trying to fashion a Predator-like sting operation in which they could catch him but he gave up on his quest because security at Epstein’s NYC and Florida homes made it very difficult to come up with something -- Hansen admitted not nailing Epstein was his biggest career regret

Page 42: Red Carpet -- Taylor Swift at the Grammys

Page 45: Spot the Differences -- Mayim Bialik on the premiere episode of her sitcom Call Me Kat

Page 47: The Odd List

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