#prix des libraires du québec
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Les 24 finalistes du Prix des libraires du Québec 2023
Organisé par l’Association des libraires du Québec, le Prix des libraires souligne la sortie d’œuvres marquantes dans les catégories bande dessinée, essai, poésie et roman-nouvelles-récit (les trois genres dans la même catégorie) avec son volet adulte.
#litterature francophone#littérature#littérature québécoise#prix litteraire#prix des libraires du québec#recueil de poésie#poésie#essai#roman#livres#jury#récompenses#distinction#canada#librairie#libraires
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Merci ‘Prix des Libraires du Québec’! And a big thanks to my Québécois publisher #CommeDesGeants.
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La Nature ne pense qu’à ça ! – Concours littéraire
Félicitations à tous les participants !
La 12e édition du concours de nouvelles du Muséum d’histoire naturelle de Toulouse a connu un beau succès ! Le Muséum a, en effet, enregistré à la clôture des participations, le mardi 2 janvier 2024, près de 150 contributions en provenance de la France métropolitaine, mais pas seulement. Une sélection de jolie facture qui continue de s’ouvrir à l’international en transitant par des pays tels que la Belgique, le Cameroun, l’Italie, le Québec ou la Suisse !
Un grand bravo aux lauréats !
Le jury s’est réuni le jeudi 11 avril 2024 afin de tenir sa délibération désignant les 6 lauréats auxquels s’ajoute un Prix spécial du jury. La sélection a été âpre et les débats animés !
Mais c’est sans compter sur le professionnalisme du jury, heureux d’annoncer les résultats suivants, dans les 2 catégories adulte et jeunesse :
1. Palmarès dans la catégorie auteurs adultes :
1er prix : « À l’abordage» de Gérard BASTIDE (81240)
2e prix : « Un si bel endroit » de Pierre-André MARTIN (14000)
3e prix : « Le goût du blanc » de Philippe FRÉMONT (31400)
Les 19 autres nouvelles pré-sélectionnées dans la catégorie adultes étaient : “L'été sans cigale" de Zoé AUBRY (24000), "Ah ! Le bonheur" de Chloé BAHUAUD (44000), "Transes-positions" de Jean-Pierre BEAUFILS (30250), "Romance anti-cafard" de Marlène BERTRANINE (92600), "Beaux et fragiles" de Sébastien BOULADE (31400), "L'échappée belle" d'Emmanuel BROC (32600), "L'homme d'en face" de Marie-Christine DELAUCHE (75005), "Je suis la Vouivre et je le resterai" de Sabine GENTY (11420), "Mille millions de Figaro" de Thomas GHIBAUDO (13580), "La Trompette des anges" de Jocelyn HÉRITIER (07400), "Ondine" de Jacques LAGNEAUX (Belgique), "De rerum natura" de Raphaël LE MAUVE (17000), "L'Homme de la montagne d'en haut" de Jean-Luc MERCIER (66160), "Jean-Calude Gasoil ne pense qu'à ça" de Monique NICQUE (34110), "Prendre son pied par les cornes" de Pierre POISSON (81000), "Tchechihila" de Nathalie QUQUE (31140), "Sex machine" de Chantal REY (82000), "Thisbé et Pyrame, les amants légendaires" d'Anne-Marie RICHOU (31770), "Les escarpins" d'Anne RODES (93100).
2. Palmarès dans la catégorie auteurs de moins de 18 ans :
1er prix : « Dead Flowers » de Louise CONFAIS (31560)
2e prix : « Marrante l’amante » de Marius SANTRAN (33800)
3e prix : « Un amoureux transi » d’Abel PAPAIX (31410)
Les 3 autres nouvelles pré-sélectionnées dans la catégorie auteurs de moins de 18 ans étaient : "Les Pasiphaés" de Juliette GORIAUD (31460), " Au fil des fourmis" de Maïa HELFER (Suisse) et "Félin pour l'autre" de Margaux POQUET-BELLELE (31130).
3. Le Prix spécial du jury :
« Romance anti-cafard » de Marlène BERTRANINE (92600)
Retrouvez le billet d’annonce des résultats sur le Facebook du Muséum : Facebook du Muséum de Toulouse
Le muséum va très bientôt e-publier le recueil des nouvelles lauréates. Les premiers prix des 2 catégories (Gérard Bastide et Louise Confais) seront lus à voix haute le samedi 8 juin 2024, dans l’auditorium du Muséum, lors de la rencontre littéraire et de la remise des prix aux 6 lauréats et au Prix spécial du jury.
Un grand merci au jury !
Jessica Arduin (Psychologue clinicienne), Laëtitia Bartholome (Service Expositions, Muséum), Audrey Bonniot (Service Bibliothèque & Documentation, Muséum), Caroline Chevalier-Galant (Service Bibliothèque & Documentation, Muséum), Évelyne Cocault (Comédienne de Théâtre amateur), Astrid Conan (Relation Visiteurs-Billetterie support qualité, Muséum), Christel Dubois (Professeure d'anglais, auteure), Lucie Ferlet (Pôle jeunesse, Médiathèque José Cabanis), Nelly Faria (Service Offre Commerciale, Muséum de Toulouse), Caroline Goursat (Étudiante, libraire), Marie-Noëlle Jornat (Philosophe, lectrice), Florence Lamotte (Directrice commerciale chez Piktos), Lolita Lorenzon (Pôle jeunesse, Médiathèque José Cabanis), Gaëlle Mahé (Lectrice et auteure), Sylvie Marquez (Association Toulouse Polars du Sud), Bernard Meyer (Docteur en Philosophie, enseignant, comédien), Serge Nicolo (Écrivain, Régisseur des Collections, Musée Paul Dupuy), Cristina Noacco (Auteure, maître de conférence en littérature médiévale), Cédric Pignat (Écrivain, enseignant, lecteur), Julien Philippe (Professeur-documentaliste) et Emmanuelle Viguié (Graphiste, dessinatrice, lectrice).
Au plaisir de vous retrouver et d’échanger avec vous samedi 8 juin, au Muséum de Toulouse !
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The winners of the Youth Booksellers Awards announced
After winning the Governor General’s Literary Award last November, children’s books Clover And Cancer ascending ostrich are again rewarded. The album written by Nadine Robert and illustrated by Qin Leng as well as the novel for teenagers by Julie Champagne are among the eight winners of the Prix des libraires du Québec, youth section, unveiled on Tuesday. Posted at 11:00 a.m. “I already felt…
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#31
Jean D’Amérique
Né en Haïti en 1994, Jean D’Amérique est poète, dramaturge et romancier. Il dirige le festival Transe Poétique et la revue de poésie Davertige. Il a publié plusieurs recueils de poèmes : Petite fleur du ghetto (Atelier Jeudi Soir, 2015), mention spéciale du Prix René Philoctète, Nul chemin dans la peau que saignante étreinte (Cheyne, 2017), Prix de Poésie de la Vocation, et Atelier du silence (Cheyne, 2020). Auteur de plusieurs pièces de théâtre, il a reçu le Prix Jean-Jacques Lerrant des Journées de Lyon des Auteurs de Théâtre pour Cathédrale des cochons (éditions Théâtrales, 2020). Son premier roman, Soleil à coudre_, est paru chez Actes Sud en 2021. Pour la conversation mondiale, il nous propose un poème inédit : "_citoyen de la république-fenêtre".
Maude Veilleux
Maude Veilleux est née en Beauce en 1987.
Elle a publié plusieurs fanzines ainsi que deux recueils de poésie : Les choses de l'amour à marde et Last call les murènes aux Éditions de l'Écrou. Le vertige des insectes, publié chez Hamac, est son premier roman et a fait partie de la liste préliminaire du Prix des libraires du Québec. Elle vit et travaille à Montréal.
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Max, de Sarah Cohen-Scali
Max, de Sarah Cohen-ScaliApesar de ser um tanto quanto lombrado de início, com um feto narrador do mal, o que é até engraçado de se imaginar, o romance narra a história chocante do bebê protótipo perfeito do programa Lebensborn.
Iniciado a partir de 1933, por Heinrich Himmler, implementado na Alemanha e estendido a outros países ocupados durante a Segunda Guerra Mundial, este programa se caracterizava por nada mais nada menos que a reprodução forçada com base na eugenia nazista e um processo de germanização de crianças de outras nacionalidades. Em nota, a autora traz a informação de que estima-se que o número de crianças tiradas de suas famílias foi superior a duzentos mil.
Max cresce separado da mãe, que desde antes do seu nascimento é submetida aos princípios de Lebensborn, e, então, recebe uma educação nazista, sem afetividade e em função da guerra. Vive no Heim, lar de crianças do próprio programa, e vivencia os piores horrores, sendo usado, inclusive, para o sequestro de crianças.
Mais tarde, vai para Kalish, uma "escola" para crianças polonesas retiradas de seus pais, e conhece Lukas, um menino revoltado, judeu, polonês, com características físicas de um ariano. A partir de então, se tornam amigos e Max passa a conhecer afetividades estando ligado a outro ser humano. Aos poucos, começa a questionar suas crenças nazistas de modo que, até o fim da história, ele vê o mundo de uma forma diferente.
Publicado em 2012 na França e editado no Brasil em 2016, "Max", de Sarah Cohen-Scali, foi premiado 12 vezes, contando com o Prix Sorcières , na categoria "Novel for Teenagers" , e o Prix jeunesse des libraires du Québec.
A autora francesa estudou letras, filosofia e artes. Se dedica a diversos gêneros de literatura desde 1995, tendo como preferência o romance noir. Sarah Cohen-Scali recebeu diversas premiações em trabalhos como "Connexions dangereuses", "Créature contre créateur", "Phobie", "Gingo" e etc.
A minha experiência com o romance foi de surpresa atrás de perturbação. É o primeiro livro dedicado a narrar, de forma ficcional, parte da vida das mulheres e crianças submetidas ao programa nazista Lebensborn. A voz do personagem narrador choca e embrulha o estômago ao descrever com naturalidade uma série de violências cometidas por nazistas e todos os horrores que são próprios das guerras. Fica o AVISO DE GATILHO!!
É uma narrativa com linguagem fácil, rica em descrições, baseadas em fontes importantes, do que seria a educação nazista, do papel da propaganda no regime ditatorial, da alienação generalizada entre as pessoas envolvidas, e, também, da resistência das mulheres alemãs e polonesas, apesar de provarem dos horrores da guerra, de estarem submetidas à exploração sexual e reprodutiva por parte dos nazistas e de serem punidas, pelos Aliados, por violências brutais que o exército nazi cometeu em territórios ocupados. Mulheres na resistência foi, para mim, o ponto forte do livro.
Concebido sem amor, sem Deus, sem lei, sem nada além da força e da raiva, Max me fez chorar na biblioteca por algumas tardes. Recomendo a leitura para aqueles que buscam compreender melhor o momento histórico sob a perspectiva de mulheres polonesas e alemãs e crianças do programa asqueroso Lebensborn.
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Je voudrais qu'on m'efface, Anaïs Barbeau-Vallette // Chronique de Claire Augé
A Hochelaga-Maisonneuve, on rencontre Roxane, Mélissa et Kevin. Trois enfants qui luttent dans la tempête du quotidien, mal de mères et pères à la dérive. Trois enfants qui rêvent de liberté, d’horizon, de Saint-Laurent et de Russie. Les courts chapitres entremêlent dans un montage alterné cinématographique les vies de ces enfants, comme si, si l’on demeurait avec eux trop de lignes, ils s’effaroucheraient et quitteraient le texte. Le lecteur a ainsi l’impression d’apprivoiser ces enfants, écorchés par la vie. En manque d’adultes, en manque de Super-héros. Alors, le lecteur ne peut que les observer, stupéfait, eux qui crient leur désir de liberté et s’accrochent, forts et positifs, nouveaux héros, tambour battant sur une mélodie de Vivaldi, à la vie. Ici, on n’a pas le temps de pleurer ; on ramasse les bouteilles vides, on essaye de démarrer la machine à laver, on fouille les placards pour trouver de la mayonnaise pour le repas. Anaïs Barbeau-Lavalette évoque ces enfants comme des « petits battants du quartier » qui « jettent une nouvelle lumière sur le monde » et cela sonne juste.
L’écriture est incisive et pudique ; elle laisse la poésie s’infiltrer dans ses silences : les rues de Montréal entre le coin des prostituées, le garage, l’Armée du Salut et l’école s’imposent.
Le Bloc est le plus haut de la rue. Y dépasse les autres maisons.
Du dernier étage, tu vois jusqu’à Notre-Dame.
C’est la seule affaire que Roxane aime de ce quartier-là. De sa chambre, elle peut voir loin.
Jusqu’au fleuve.
Jusqu’au bout du monde.
Dans cette ville où le froid ne cesse de mordre, la langue du quartier s’élève. Le lecteur français se trouvera grisé, intrigué face à cette langue exotique, si éloignée de celle des banlieues métropolitaines. Ici, se mêlent aux expressions de la pauvreté des expressions québécoises. Il faut se laisser porter par le rythme et le sens apparaîtra, clair et incisif : cri de liberté, cri de détresse, cri d’espoir dans une réalité crue. Lumineux. Simple et honnête. Sans pathos. Réaliste.
- T’as-tu faite tes devoirs ?
Pas le goût d’te parler, ça dit dans sa tête. Pas le goût. Pas le goût. Pas le goût.
Retourner dans sa chambre. Vite.
- Hey ! Parle à ta mère, crisse.
- Ben là, m’man…
- Tu veux pas m’parler ?
Elle a la voix qui dégouline.
- …
- Ben c’est ça, tabarnak… Sèche toute seule.
- Louise, ta gueule !
Lui, crachant sa fumée.
Je voudrais qu’on m’efface est une lecture qui s’ancre en nous. On referme le livre étonné d’avoir découvert à travers cette petite fenêtre un monde poétique et pudique où derrière les cris de souffrance étouffés on demeure stupéfait face à une telle force et un tel courage.
Anaïs Barbeau-Lavalette est une réalisatrice québécoise talentueuse. Je voudrais qu’on m’efface est son premier roman ; paru en 2010, il a été finaliste au Prix des Libraires du Québec en 2011. En France, son dernier roman La femme qui fuit se trouve facilement ; Je voudrais qu’on m’efface paraît indisponible. Si vous arrivez à dénicher cet ouvrage, n’hésitez pas : je crois qu’il ne faut pas qu’il s’efface.
Claire Augé
Je voudrais qu'on m'efface, Anaïs Barbeau-Vallette. Editions Fides, 2012.
#roman#québec#littérature#littérature contemporaine#anais barbeau-vallette#claire augé#enfants#enfance#pauvreté#conseil de lecture#livres de femmes#chronique
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«Reine de miel» est le premier roman de Simon Paradis. Il fait partie de la liste préliminaire du Prix des Libraires du Québec 2019, catégorie roman québécois. C’est l’histoire de sept générations d’apiculteurs qui parcourent l’Amérique à la recherche de pollen, de reines uniques, de nouvelles conceptions de ruches. La quatrième de couverture est prometteuse, peut-être trop 😕 Mes attentes non pas été comblées, j’avais envie de plus de surréalisme ou d’évasion, peut-être? Les chapitres se suivent, mais ne sont pas reliés. Les époques sont toutes mêlées et les noms des personnages si peu communs que ça en devient confus, on ne sait plus où on est rendu. En fait, ça m’a beaucoup fait penser au style d’Éric Dupont, sans le vocabulaire recherché. Donc si vous aimez le genre de «La fiancée américaine» ou de «La route du lilas», «Reine de miel» est pour vous. Si vous êtes de super amateurs de miel aussi, vous serez servis: toute la production et la recherche sont très bien expliquées ☺️🍯
29/01/19
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Sélectionné Prix des libraires du Québec catégorie Essais.
« Je vous invite à lire son livre, vous allez voir, c'est vraiment intéressant, et c'est une réflexion qui reste par la suite, sur notre rapport à la machine et sur notre place dans la cité... »
« Dans la ville de demain, la voiture n'aura pas lieu d'être. Pour vous en convaincre Olivier Ducharme se propose de remettre les pendules à l'heure avec cet essai courageux et lucide. »
« Ce qui est fascinant dans le parcours historique présenté par Olivier Ducharme, c’est à quel point aucune promesse pour régler le trafic n’a fonctionné. »
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Concours Québec - Un sac à dos rempli de fournitures de newell brands
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JOYEUX ANNIVERSAIRE DANY LAFERRIÈRE. ÉCRIVAIN ET SCÉNARISTE HAÏTIEN. ÉLU À L'ACADÉMIE FRANÇAISE LE 12 DÉCEMBRE 2013. Né à Port-au-Prince en 1953 d’un père intellectuel et homme politique, Windsor Klébert Laferrière, et d’une mère archiviste à la mairie de Port-au-Prince, Marie Nelson, Windsor Klébert, qui deviendra Dany, passa son enfance avec sa grand-mère, Da, à Petit-Goâve, dans cet univers dominé par les libellules, les papillons, les fourmis, les montagnes bleues, la mer turquoise de la Caraïbe et l’amour fou pour Vava. Ces épisodes heureux sont relatés dans deux de ses romans : L’Odeur du café et Le Charme des après-midi sans fin. À la fin de ses études secondaires au collège Canado-Haïtien, Dany Laferrière commence à travailler à l’âge de dix-neuf ans à Radio Haïti Inter, et à l’hebdomadaire politico-culturel Le Petit Samedi soir. Il signait, à la même époque, de brefs portraits de peintres dans leur atelier pour le quotidien Le Nouvelliste. À la suite de l’assassinat de son ami Gasner Raymond, trouvé sur la plage de Braches, à Léogâne, le 1er juin 1976, il quitte précipitamment Port-au-Prince pour Montréal. Cet évènement sera raconté dans son roman Le Cri des oiseaux fous. Il débarque dans une ville en pleine effervescence des Jeux olympiques et à la veille des élections historiques qui amèneront l’équipe de René Lévesque au pouvoir pour changer à jamais le paysage politique du Québec. Seul, il observe cette ville nouvelle, et s’acclimate difficilement à l’hiver, parcourant le quartier latin fourmillant d’artistes où il dépose ses pénates. C’est un homme libre de vingt-trois ans qui s’engage dans une nouvelle vie tout en luttant pour échapper à la nostalgie, à la solitude et à la misère. Pendant huit ans, il enchaîne les emplois précaires, parfois dans des usines en banlieue de Montréal, logeant dans des chambres « crasseuses et lumineuses » sans cesser de caresser un vieux rêve d’écrivain. Il se procure chez un brocanteur de la rue Saint-Denis cette fameuse machine à écrire Remington 22, qui l’accompagnera pendant une dizaine de romans. Le voilà installé dans sa baignoire « rose » avec du mauvais vin pour lire tous ces écrivains qu’il ne pouvait se payer à Port-au-Prince : Hemingway, Miller, Diderot, Tanizaki, Gombrowicz, Borges, Marie Chauvet, Bukowski, Boulgakov, Baldwin, Cendrars, Mishima, Marquez, Vargas Llosa, Salinger, Grass, Calvino, Roumain, Ducharme, Virginia Woolf... Il deviendra le lecteur passionné, « l’homme-livre » que l’on connaît. Paraît, en 1985, le roman Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer, qui explose dans le ciel littéraire du Québec. À la suite du succès éclatant de son premier roman, la nouvelle télévision Quatre Saisons l’embauche en 1986 pour présenter la météo. Le Québec reçoit le choc d’un Noir annonçant la neige et les angoissantes blancheurs de février, tout cela avec légèreté et humour. Un nouveau personnage est né dans le paysage télévisuel. Ce qui l’amènera à la fameuse émission de Radio-Canada, La Bande des six, qui réunit six des meilleurs chroniqueurs de la presse québécoise. 1986, c’est aussi la mort de Jorge Luis Borges, ce vieux maître aveugle de Buenos Aires qu’il ne cessera jamais de lire. 1986, c’est surtout la fin de la dictature des Duvalier et un premier bref retour en Haïti. Avec son ami, l’écrivain Jean-Claude Charles, il parcourt le pays tout en tenant une chronique quotidienne pour Le Nouvelliste sur la débâcle des tontons macoutes et la fin du régime des Duvalier. 1989, la sortie du film tiré de son premier roman, Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer, lui permet de se familiariser avec le cinéma. Le film provoque un scandale aux États-Unis où la plupart des grands médias l’ont censuré. Le cinéma influence grandement son écriture (Le Goût des jeunes filles). C’est l’époque où il fréquente le petit cinéma « Le Ouimetoscope », découvrant un cinéma d’auteur qui imprègnera son œuvre. En 1990, il quitte Montréal avec sa famille pour Miami, afin d’échapper à l’hiver mais surtout à cette célébrité bruyante qui n’était pas compatible avec le silence intérieur qu’exige le travail d’écrivain. Il écrit paisiblement à Kendall dix romans en douze ans, des livres qui forment l’ossature de son œuvre, dont le fameux cycle haïtien : L’Odeur du café, Le Goût des jeunes filles, Le Charme des après-midi sans fin, La Chair du maître, Le Cri des oiseaux fous, Pays sans chapeau… Miami, c’est l’époque studieuse où l’auteur travaille sans relâche, pas loin d’un petit lac dont il fait le tour chaque matin en ruminant les descriptions et les dialogues à écrire. Printemps 1999, le Québec est le pays à l’honneur au Salon du livre de Paris. Invités de l’émission Bouillon de culture, de Bernard Pivot, avec Robert Lalonde et Gaétan Soucy, les trois écrivains québécois se distinguent ce soir-là. Dany Laferrière va jusqu’à souhaiter que l’on puisse remettre un jour le prix Nobel au Québec pour l’originalité de sa littérature. Retour à Montréal après la sortie du Cri des oiseaux fous, son dixième roman, et fin de l’épisode de Miami. Après une quinzaine d’années de travail acharné, Laferrière décide de cesser d’écrire de nouveaux récits pour prendre le temps de « revisiter » ses précédents romans. Il réécrit six romans, ajoutant de nouveaux chapitres, jusqu’à faire surgir une œuvre plus dense. Le procédé de réécriture à la manière Laferrière étonne considérablement la critique et encore davantage les universitaires. Il redessine lui-même son œuvre, aménageant des passerelles entre les romans jusqu’à découvrir qu’il s’agit en fait d’un seul livre : une Autobiographie américaine. Cette Autobiographie américaine permet de lier les deux cycles, le cycle nord-américain, composé de romans urbains, agressifs, et le cycle haïtien, plus calme et empreint de la tendresse de Da, sauf lorsque l’action se déroule dans l’atmosphère de la dictature. Pendant longtemps, les critiques évoquent une autobiographie en dix romans. Il s’agit, selon Laferrière, d’un ensemble comprenant récits, romans et essais, qui forme aujourd’hui un corpus de vingt-deux ouvrages. Après avoir scénarisé Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer, Le Goût des jeunes filles et participé activement à l’élaboration de Vers le sud, de Laurent Cantet, avec Charlotte Rampling, Laferrière scénarise et réalise son premier film Comment conquérir l’Amérique en une nuit. Il retrouve sur le plateau son vieux complice Maka Kotto dans ce film qui raconte une histoire pas trop éloignée de celle de cet enfant d’Haïti. Une narration où deux hommes échangent leurs expériences. L’oncle, qui vit depuis vingt ans à Montréal, décide de rentrer tandis que son jeune neveu arrive à Montréal pour y rester. On dirait deux paquebots se croisant dans la nuit sans se voir. Les critiques y ont pourtant vu un seul et même personnage : l’auteur n’a fait que mettre en scène deux périodes de sa vie. En novembre 2009, Laferrière fait une rentrée remarquée avec L’Énigme du retour, qui a un vif succès au Québec avant de recevoir le prix Médicis. De nombreux prix suivront, dont le Grand Prix du livre de Montréal, le prix des libraires du Québec, le Combat des livres de Radio-Canada. Janvier 2010, Laferrière se trouve à Port-au-Prince quand le séisme frappe le pays. Il note sur son carnet noir ses observations de manière si spontanée que les lecteurs auront l’impression de vivre l’évènement en direct. Tandis que la télévision montre les immeubles effondrés et compte les morts, Laferrière raconte la vie quotidienne dans une ville complètement brisée et les tentatives désespérées des gens pour garder une certaine dignité dans le malheur. La littérature, en s’éloignant du scandale, nous fait pénétrer dans l’intimité de la catastrophe. Il publie en 2011, L’Art presque perdu de ne rien faire, qui rassemble ses chroniques sur Radio-Canada. Cet essai remporte un étonnant succès critique et de librairie. Deux ans plus tard, en février 2013, il récidive avec Journal d’un écrivain en pyjama. Dans cet essai, Laferrière fait l’éloge de ses deux passions : l’écriture et la lecture, en deux cent deux chroniques sur des sujets aussi divers que la place de l’adjectif dans la phrase ou le plagiat dans les mœurs de la littérature. Ce livre intéressera l’écrivain en herbe comme le lecteur passionné. Il préside du 1er au 8 mai 2013 les Rencontres québécoises en Haïti, évènement qui rassemble une cinquantaine d’auteurs et de professionnels du livre haïtiens et québécois. Prix international de littérature décerné par la Maison des cultures du monde, pour L’Énigme du retour, en 2014. Grand Prix Ludger-Duvernay, en 2015. En 2016, docteur honoris causa de Midlebury College (USA) et des universités Paris-Sorbonne et Pierre et Marie Curie. Officier de l'ordre national du Québec (2014), citoyen d'honneur de la ville de Montréal (2014), officier de l'ordre du Canada (2015), compagnon des Arts et des Lettres du Québec (2015). Élu à l’Académie française, le 12 décembre 2013, au fauteuil d’Hector Bianciotti (2e fauteuil) Œuvres Certains ouvrages sont édités chez Grasset : Le goût des jeunes filles (2005), Je suis un écrivain japonais (2008), L’énigme du retour (2009), Chronique de la dérive douce (2012), Journal d’un écrivain en pyjama (2013). 1985 Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer (VLB Éditeur) 1985 Haïti (Québec) - scénario; réalisation Tahami Rached 1987 Éroshima (VLB Éditeur) 1991 L’Odeur du café (VLB Éditeur) 1992 Le Goût des jeunes filles (VLB Éditeur) 1993 Cette grenade dans la main du jeune nègre est-elle une arme ou un fruit ? (VLB Éditeur) 1994 Chronique de la dérive douce (VLB Éditeur) 1996 Pays sans chapeau (Lanctôt Éditeur) 1997 La Chair du maître (Lanctôt Éditeur) 1997 Le Charme des après-midi sans fin (Lanctôt Éditeur) 2000 J'écris comme je vis - entretien avec Bernard Magnier (Lanctôt Éditeur) 2000 Je suis fatigué (Lanctôt Éditeur) 2000 Le Cri des oiseaux fous (Lanctôt Éditeur) 2004 Comment conquérir l’Amérique en une nuit - réalisation et scénario 2005 Les Années 80 dans ma vieille Ford 2006 Je suis fou de Vava - illustrations de Frédéric Normandin (Éditions de la Bagnole) 2006 Vers le sud (Boréal) 2008 Je suis un écrivain japonais (Boréal) 2009 La Fête des morts - illustrations de Frédéric Normandin (Éditions de la Bagnole) 2009 L’Énigme du retour (Boréal) 2010 Conversations avec Dany Laferrière - interviews de Ghila Sroka (La Parole métèque) 2010 Tout bouge autour de moi 2011 L’Art presque perdu de ne rien faire (Boréal) 2013 Journal d’un écrivain en pyjama 2014 L'art presque perdu de ne rien faire (Grasset) 2015 Tout ce qu’on ne te dira pas Mongo (Boréal) 2015 Dany Laferrière à l’Académie française (Boréal) 2016 Mythologies américaines (Grasset) #HUGO #DANYLAFERRIÈRE
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The Booksellers' Prize announces its finalists
The Association des libraires du Québec (ALQ) unveiled Thursday evening the 24 finalists for the Prix des libraires du Québec, which rewards works from here and elsewhere published over the past year. Posted at 7:00 p.m. Five titles were selected by the booksellers’ committees in the Quebec novel-short stories-narrative category, namely The banality of a shotfrom Mali Navia (Leméac), Sailors…
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"Un Livre Pour Les Vacances" Édition 2017
Un livre à votre imago. A défaut ce site, l'Hadopi entend favoriser l'accès aux offres culturelles en ligne. Avec un palmarès également riche (Prix des libraires de ce Québec 2016 / Prix France-Québec / Grand Prix du livre de Montréal), ce roman dans tout pour attirer les regards sur lui. Les fichiers important au format fixe EPUB-3, ces PDF ou les fichiers le texte reformatable sont compatibles au moyen des iPhone, iPad d'Apple et ces Kindle d'Amazon. Voici le recueil à mettre entre ces mains de chacun! Anna Whitt, qui est une fille d'un ange gardien mais aussi d'un ange déchu, s'était promis qu'elle n'accomplirait jamais le travail du père: polluer des âmes. Cf la news du 21/01/2014 afin de plus de détails. page importante demandes de ses fans et acclimatés, elle a décidé de redistribuer ses recettes préférées qui quant à lui ont permis de perdre une forte masse et de retrouver le plaisir de absorber sainement. Ces textes sont courts, parfaitement sélectionnés.
Il entend sensibiliser à l'utilisation du format ePub, qui permet de consulter des livres numériques sur n'importe quel appareil, - contraire du Kindle d'Amazon. Il vous faut simplement cliquer sur le bouton Paypal ci-dessous. Grâce nous aider à payer l'hébergement de la boutique en ligne et les frais divers, en versant quelques euros... awesome and awesome , de nombreux abonnés suivent Tre sur les réseaux sociaux, fascinés via sa transformation personnelle. Le flux RSS vous permet de réceptionner rapidement la liste des dernières parutions en matière de logiciel adéquat de votre choix. Un menu déroulant vous apporte accès aux statistiques des mois antiques.
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JOUR 292 - Rosa Candida, Auður Ava Olafsdottir
Avec son troisième roman, Audur Ava Olafsdottir signe un road-trip islandais où la cocasserie et l’émotion entraînent le lecteur sur une délicate, et magique, montée en grâce.
« Papa dirait : On ne va pas loin avec des rêves, mon petit Lobbi. Maman, elle, aurait dit : Il faut poursuivre ses rêves. »
Le jeune Arnljótur quitte la maison entourée des paysages de lave séchée. Il y laisse son vieux père et son frère jumeau autiste, mais emmène la trace encore vive du décès de sa mère. Mourante dans la voiture qui venait d’avoir un accident, elle a trouvé la force d’appeler les siens et leur transmettre un au revoir assorti de dernières recommandations. Avec son fils, ils partageaient l’amour du jardin et de la serre où elle cultivait des roses ; il en emporte trois boutures dans son coffre. Sur les routes d’Islande et d’Europe, de rencontre en rencontre, il trace un chemin inattendu vers une destination mystérieuse.
« Ceux qui arrivent à entrer un court instant dans la vie des autres peuvent avoir plus d'importance que ceux qui y sont installés depuis des années. »
On me glisse que ce livre est un coussin islandais, ce qui lui va très bien.
D’autres écrivent, un peu de douceur dans ce monde de brute.
Choisissez la métaphore ou le dicton que vous préférez, tant qu’il y a une senteur de rose, des couleurs de vitraux, et la profondeur limpide d’une eau en mouvement.
Réservez-vous en la lecture pour une semaine de coup de blues. Ça vous fera une petite bulle irisée de protection tant que vous le maintiendrez ouvert.
G.C.
Rosa Candida, Auður Ava Olafsdottir. Traduit de l’islandais par Catherine Eyjolfsson. Éditions Zulma, 2010. VO : Afleggjarinn, 2007.
Auður Ava Ólafsdóttir est une écrivaine islandaise. Née en 1958, elle fait ses études en histoire de l'art à la Sorbonne de Paris et a longtemps été maître-assistante d’histoire de l’art à l’Université d’Islande. Directrice du Musée de l'Université d'Islande, elle est très active dans la promotion de l'art. À ce titre, elle a donné de nombreuses conférences et organisé plusieurs expositions d'artistes. "Rosa candida" (Afleggjarinn, 2007) est son troisième roman après "Le rouge vif de la rhubarbe" (Upphækkuð jörð, 1998) et "L'Embellie" (Rigning í nóvember, 2004) qui a été couronné par le Prix de Littérature de la Ville de Reykjavík. "Rosa candida" a reçu deux prix littéraires: le Prix culturel DV de littérature 2008 et le Prix littéraire des femmes (Fjöruverðlaun). Ce roman a été traduit en anglais, danois, allemand, néerlandais, espagnol. Il a également obtenu le Prix des libraires du Québec 2011. Elle reçoit en 2016 le Prix littéraire des jeunes Européens pour son roman "L'exception". Elle vit à Reykjavík avec ses deux filles.
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Parmi les finalistes pour le Prix des libraires du Québec 2021, catégorie poésie: «Pendant que Perceval tombait», quatrième livre de Tania Langlais. Dans ce recueil, la poète nous raconte la mort de la grande romancière Virginia Woolf («le plus beau suicide de la littérature anglaise»), mais aussi celle de Perceval, personnage énigmatique de son roman Les vagues. D’une grande beauté 💚 Extrait:
les vertèbres rompues
mieux qu’à cheval
je te porte en moi
comme une désolation
je corrige la mer
et la répétition :
je m’en viens
doucement
t’ouvrir le ciel
avec un vilebrequin
24/02/21
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