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#prière pour obtenir la justice de dieu
christophe76460 · 10 days
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PRIÈRE DU ROI SALOMON POUR OBTENIR LA SAGESSE
SAGESSE 9:1–18
Dieu des pères, Seigneur de miséricorde, qui avez fait l'univers par votre parole,
et qui, par votre sagesse, avez établi l'homme pour dominer sur toutes les créatures que vous avez faites,
pour régir le monde dans la sainteté et la justice, et exercer l'empire dans la droiture du cœur,
donnez-moi la Sagesse qui est assise près de votre trône, et ne me rejetez pas du nombre de vos enfants.
Car je suis votre serviteur et le fils de votre servante, un homme faible, à la vie courte, et peu capable de comprendre le jugement et les lois.
Quelqu'un serait-il parfait parmi les enfants des hommes, s'il manque de la sagesse qui vient de vous, il sera compté pour rien.
Vous m'avez choisi pour régner sur votre peuple, et juger vos fils et vos filles.
Et vous m'avez dit de bâtir un temple sur votre montagne sainte, et un autel dans la cité où vous demeurez, sur le modèle du saint tabernacle que vous avez préparé dès l'origine.
Avec vous est la Sagesse qui connaît vos œuvres, qui était là quand vous faisiez l'univers, et qui sait ce qui est agréable à vos yeux, et ce qui est juste selon vos commandements.
Envoyez-la de vos cieux très saints, envoyez-la du trône de votre gloire, afin qu'elle m'assiste dans mes labeurs, et que je connaisse ce qui vous est agréable.
Car elle connaît et comprend toutes choses, et elle me conduira avec prudence dans mes œuvres, et me gardera par sa gloire.
Et ainsi mes œuvres vous seront agréables, je gouvernerai votre peuple avec justice, et je serai digne du trône de mon père.
Quel homme, en effet, peut connaître le conseil de Dieu, ou bien peut pénétrer ce que veut le Seigneur?
Les pensées des hommes sont incertaines, et nos opinions sont hasardées.
Car le corps, sujet à la corruption, appesantit l'âme, et sa demeure terrestre accable l'esprit aux pensées multiples.
Nous avons peine à deviner ce qui est sur la terre, et nous trouvons avec difficulté ce qui est sous notre main: qui donc a pénétré ce qui est dans le ciel?
Qui a connu votre volonté, si vous ne lui avez pas donné la Sagesse, et si vous n'avez pas envoyé d'en haut votre Esprit saint?
Ainsi ont été rendues droites les voies de ceux qui sont sur la terre, et les hommes ont appris ce qui vous est agréable, et ils ont été sauvés par la Sagesse.»
SOYEZ REMPLIS DU SAINT ESPRIT ET ALLEZ DANS LA PAIX 🌿 DU CHRIST! ✝️ ALLEZ POUR LA PAIX, 📖 ALLEZ FAIRE LA PAIX 🤝
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ameretat · 10 months
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Saint Thomas d'Aquin, prière pour obtenir les vertus
Ô Dieu qui pouvez tout, qui savait tout, qui n'avez ni commencement ni fin, vous qui donnez les vertus, les conservez et les récompensez, daignez me stabiliser sur le sol ferme de la foi, me protéger de l'inexpugnable bouclier de l'espérance, me parer du vêtement nuptial de la charité.
Donnez moi la justice de vous être soumis, par la prudence d'éviter les pièges du diable, par la tempérance de garder un juste milieu, par la force de supporter patiemment l'adversité. [...]
Apprenez moi à garder la règle dans ma tenue, ma démarche et mes gestes, retenir sur mes lèvres toute parole vaine, préserver mes pas de tout écart, empêcher mes yeux de divaguer, défendre mes oreilles des rumeurs, tenir le front humblement incliné, élever mon esprit vers le ciel, mépriser ce qui passe, ne désirer que vous seul, dompter ma chair, purifier ma conscience, honorer les saints, vous louer dignement, progresser dans le bien et couronner mes bonnes actions par une sainte mort.
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tagnon123 · 2 years
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rituel Pour gagner un procès
rituel Pour gagner un procès
  c’est un rituel extraordinaire qui peuvent vous aider gagner un procès déjà en une journée,ingrédients Amon man wé +avi poudre noire qu’on trouve sur le mur dans une cousine ou derriere les marmites +badékpèvi dé,un petit bambou +ado urine zanzan ton kpédé +bliki brique kabi sè pierre wéfaire le mélangé du ado urine avec du avi poudre noire sur le mur de la cusine pour avoir une sorted’encre…
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yes-bernie-stuff · 2 years
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LUNDI 2 MAI
DE QUI DÉPENDRE ?
« ET MON DIEU POURVOIRA À TOUS VOS BESOINS » PHILIPPIENS 4.19
Comment savoir si on compte sur les gens plutôt que sur Dieu ? Par exemple, quand on en veut à son patron parce qu’on n’a pas obtenu l'augmentation escomptée. Ou quand on se met en colère contre un proche parce qu'il nous refuse un prêt. C’est frapper à la mauvaise porte pour obtenir un bienfait ! Oui, ça fait mal quand les efforts ne sont pas reconnus. Pourtant, Dieu utilise des personnes comme instruments pour nous bénir, mais lui seul doit être la source de toute bénédiction ! La Bible dit : « Garde-toi de dire en ton cœur : ma force et la vigueur de ma main m'ont acquis ces richesses. Tu te souviendras de l'Éternel, ton Dieu, car c'est lui qui te donne de la force pour acquérir ces richesses » (De 8.17-18). « Lorsque Dieu donne à quelqu'un d'être riche et de jouir de sa fortune, il peut profiter de la part qui lui revient, du produit de son travail. C'est là un don de Dieu » (Ec 5.19). « Elle ne se rendait pas compte que c'est moi qui lui donnais […] l’argent et l’or » (Os 2.10). Pourquoi ? Elle a ignoré Dieu et oublié qu'il était la véritable source. En général, on recherche et on entretient les relations gratifiantes. Donc, si on reconnaît que Dieu est la source de toute bénédiction, on s’engage dans une vraie relation avec lui. C'est pourquoi Jésus a dit : « Cherchez premièrement son royaume et sa justice, et tout cela vous sera donné par-dessus » (Mt 6.33). Il suffit de chercher Dieu, semer généreusement dans son royaume, s’attendre à ce qu'il réponde aux besoins, et tous nos efforts seront bénis.
B365 — Plan de lecture
Deutéronome 11
Prière du jour
Apprends-moi mon Dieu à dépendre de toi seulement.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2022
Publication
Parole du jour
© PHARE MEDIA 2022
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Une prime jeunesse en prison
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Chen Xi La province de Hebei
 Je suis née dans une famille heureuse, et depuis mon enfance j’adore Jésus avec ma mère. Quand j’avais quinze ans, ma famille et moi, convaincus que Dieu Tout-Puissantest Jésus venu de nouveau, avons accepté avec joie Son œuvre des derniers jours.
 Un jour d’avril 2002, quand j’avais dix-sept ans, une sœur et moi étions dans un endroit où nous accomplissions nos devoirs. À 1 h du matin, nous étions profondément endormies chez notre hôte quand nous avons soudainement été réveillées par des coups bruyants et pressants sur la porte. Nous avons entendu quelqu’un crier dehors : « Ouvrez la porte ! Ouvrez la porte ! » Dès que la sœur qui nous accueillait l’a ouverte, quelques policiers sont entrés brusquement et ont dit agressivement : « Nous sommes du Bureau de la sécurité publique ». Entendre ces trois mots, « Bureau de la sécurité publique », m’a immédiatement rendue nerveuse. Étaient-ils là pour nous arrêter à cause de notre foi en Dieu ? J’avais entendu parler de frères et sœurs qui avaient été arrêtés et persécutés à cause de leur foi ; se pourrait-il que cela fût en train de m’arriver alors ? Juste à ce moment-là, mon cœur s’est mis à battre violemment, boum boum, boum boum, et prise de panique, je ne savais pas quoi faire. J’ai donc prié Dieu à la hâte : « Dieu, je T’implore d’être avec moi. Donne-moi la foi et le courage. Quoi qu’il arrive, je serai toujours prête à témoigner pour Toi. Je Te prie aussi de me donner Ta sagesse et de m’accorder les paroles que je dois dire, afin que je ne Te trahisse pas et que je ne vende pas mes frères et sœurs. » Après cette prière, mon cœur s’est progressivement apaisé. J’ai vu ces quatre ou cinq méchants flics fouiller la pièce comme des bandits, fouiller la literie, chaque armoire, chaque boîte et même ce qui se trouvait sous le lit jusqu’à ce qu’ils aient enfin trouvé des livres de paroles de Dieu ainsi que des CD d’hymnes. Le chef me dit d’une voix impassible : « Le fait que tu sois en possession de ces choses constitue la preuve que tu crois en Dieu. Viens avec nous et tu pourras faire une déposition. » Choquée, j’ai dit : « S’il y a quelque chose à dire, je peux le dire ici ; je ne veux pas aller avec vous. » Il a immédiatement souri et a répondu : « N’aies pas peur, faisons un petit voyage pour faire une déposition. Je te ramènerai ici très vite. » Le prenant au mot, je suis allée avec eux et je suis montée dans la voiture de police.
 Je n’ai jamais pensé que ce petit voyage serait le début de ma vie en prison.
 Dès que nous sommes entrés dans la cour du poste de police, ces méchants flics ont commencé à me crier dessus pour que je sorte du véhicule. Leurs expressions faciales avaient changé très rapidement et soudainement, ils semblaient être des personnes complètement différentes de celles qu’ils avaient été avant. Lorsque nous sommes arrivés au bureau, plusieurs policiers robustes sont entrés après nous et se sont tenus à ma gauche et à ma droite. Leur pouvoir sur moi désormais assuré, le chef du groupe des méchants flics hurla contre moi : « Comment t’appelles-tu ? D’où viens-tu ? Combien êtes-vous au total ? » Je venais à peine d’ouvrir la bouche et j’étais en train de répondre quand il s’est jeté sur moi et m’a giflée deux fois : baf ! baf ! J’étais sidérée à n’en pouvoir parler. Je me suis demandé : « Pourquoi m’a-t-il frappée ? Je n’avais même pas fini de répondre. » Pourquoi étaient-ils si brutaux et non civilisés, complètement différents de ce que j’avais imaginé de la police du peuple ? Ensuite, il m’a demandé quel âge j’avais, et quand je lui ai répondu honnêtement que j’avais dix-sept ans, baf, baf, il m’a encore frappée au visage et m’a grondée pour avoir menti. Après cela, peu importe ce que je disais, il me donnait des coups à tort et à travers au visage, à tel point que je voyais des étoiles, ma tête tournait, un « wham wham » retentissait dans mes oreilles, et mon visage brûlait de douleur. C’est alors que j’ai finalement compris : ces méchants flics ne m’avaient pas du tout amenée là pour me poser des questions ; ils voulaient simplement utiliser la violence pour me forcer à me soumettre. Je me suis souvenue avoir entendu mes frères et sœurs dire qu’essayer de raisonner avec ces policiers vicieux ne marcherait pas, mais au contraire, cela ne causerait que des ennuis sans fin. Maintenant, après en avoir moi-même fait l’expérience, je n’ai dès lors plus prononcé un mot, peu importe ce qu’ils demandaient. Quand ils ont vu que je ne voulais pas parler, ils m’ont crié dessus : « Fille de pute ! Je te donnerai de quoi réfléchir ! Sinon, tu ne nous donneras pas un compte rendu véridique ! » Après avoir dit cela, l’un d’eux m’a férocement frappée deux fois dans la poitrine, me faisant tomber lourdement au sol. Il m’a ensuite donné deux violents coups de pied et m’a tirée du sol pour me crier de m’agenouiller. Je n’ai pas obéi, alors il m’a donné quelques coups de pied dans les genoux. La vague de douleur intense qui m’a envahie m’a forcée à m’agenouiller brusquement en me heurtant les genoux au sol. Il m’a saisie par les cheveux et m’a tirée avec force vers le bas, puis il m’a violemment tiré la tête en arrière, me forçant à lever les yeux. Il m’a insultée en me rouant le visage de coups encore quelques fois, et ma seule sensation était que le monde tournait. À cet instant-là, je suis tombée au sol. Juste à ce moment-là, le chef des méchants flics a soudainement repéré la montre sur mon poignet. La regardant avec convoitise, il a crié : « Qu’est-ce que tu portes là ? » Aussitôt, un policier m’a attrapé le poignet et a arraché la montre avec force, puis l’a remise à son « maître ». Voir un tel méchant comportement m’a remplie de haine à leur égard. Après cela, quand ils me posaient plus de questions, je les regardais en silence, et cela les exaspérait encore plus. Un des vicieux flics m’a attrapée par le col comme s’il ramassait une petite poule, et m’a levée du sol pour me rugir dessus : « Ô, tu es une grande fille, n’est-ce pas ? Je te dirai quand te taire ! » En disant cela, il m’a brutalement frappée deux ou trois fois de plus et j’ai encore été violemment jetée au sol. À ce moment-là, tout mon corps souffrait insupportablement et je n’avais plus aucune force pour lutter. Je suis juste restée par terre les yeux fermés, sans bouger. Dans mon cœur, je suppliais Dieu avec insistance : « Dieu, je ne sais pas quelles autres atrocités cette bande de méchants flics va commettre contre moi. Tu sais que j’ai une petite stature et que je suis faible physiquement. Je T’implore de me protéger. Je préfère mourir plutôt que d’être un Judas et Te trahir. » Lorsque je priais, les paroles de Dieu m’éclaireaient intérieurement : « Tu dois souffrir pour la vérité, te donner à la vérité, tu dois endurer l’humiliation pour la vérité, et pour gagner plus d’elle tu dois subir plus de souffrance. C’est ce que tu devrais faire. » (« Les expériences de Pierre : sa connaissance du châtiment et du jugement », La Parole apparaît dans la chair). Ces paroles de Dieu m’ont donné un pouvoir infini et m’ont fait reconnaître que c’est seulement dans un état de souffrance que l’on peut comprendre et obtenir encore plus de vérité. Je savais que si je n’avais pas souffert physiquement ce jour-là, je n’aurais pas vu les vrais visages de ces méchants policiers et j’aurais plutôt continué à être trompée par leur façade. La raison pour laquelle Dieu est venu au milieu des humains pour S’engager dans une œuvre si ardue est précisément de permettre aux hommes d’obtenir la vérité afin qu’ils puissent distinguer entre le noir et blanc, le bien et le mal ; c’est pour qu’ils puissent comprendre la différence entre la justice et le mal, la sainteté et la laideur. C’est pour qu’ils sachent qui doit être méprisé et rejeté, et qui doit être adoré et admiré. Ce jour-là, j’ai clairement vu le laid visage de Satan. Tant qu’il me restait encore un souffle en moi, je témoignerais pour Dieu, et je ne céderais jamais aux forces du mal. Juste à ce moment-là, j’ai entendu quelqu’un à côté de moi dire : « Comment se fait-il qu’elle ne bouge plus ? Est-elle morte ? » Après cela, quelqu’un m’a délibérément écrasé la main avec son pied, appuyant fort dessus tout en criant férocement : « Lève-toi ! On va t’emmener ailleurs. Si tu ne parles toujours pas quand on y arrivera, tu auras ce qui t’attend ! » Étant donné que les paroles de Dieu avaient augmenté ma foi et ma force, je n’avais pas du tout peur de leur intimidation. Dans mon cœur, j’étais prête à combattre Satan.
 Plus tard, j’ai été escortée au Bureau de la sécurité publique du comté. Quand nous sommes arrivés à la salle d’interrogatoire, le chef de ces méchants flics et son entourage m’ont entourée et m’ont interrogée à plusieurs reprises, marchant de long en large devant moi et essayant de me forcer à trahir les guides de mon Église ainsi que mes frères et sœurs. Lorsqu’ils ont vu que je n’allais toujours pas leur donner les réponses qu’ils voulaient entendre, les trois m’ont giflée plusieurs fois à tour de rôle. Je ne sais pas combien de fois ils m’ont frappée ; tout ce que j’entendais, c’était baf ! baf ! quand ils me frappaient au visage, un son qui semblait résonner avec un volume particulier au milieu de cette nuit tranquille. Leurs mains étant devenues endolories, les méchants flics ont commencé à me frapper avec des livres. J’avais un goût salé dans la bouche et du sang tombait goutte à goutte sur mes vêtements. Ils m’ont battue jusqu’à ce qu’à la fin, je ne ressentais plus la douleur ; je sentais que mon visage était simplement enflé et engourdi. Finalement, voyant qu’ils n’allaient pas obtenir de précieux renseignements de ma bouche, les policiers vicieux ont sorti un carnet téléphonique et, satisfaits d’eux-mêmes, ont dit : « Nous avons trouvé ça dans ton sac. Même si tu ne nous dis rien, on a encore un tour dans notre sac ! » Tout à coup, je me suis sentie extrêmement anxieuse : si l’un de mes frères ou sœurs répondait au téléphone, cela pourrait mener à son arrestation. Cela pourrait aussi les lier à l’Église, et les conséquences pourraient être désastreuses. Juste à ce moment-là, je me suis souvenue d’un passage des paroles de Dieu : « Dieu Tout-Puissant domine toute chose et tout événement ! Tant que nos cœurs se lèvent vers Lui en tout temps, que nous entrons dans l’esprit et nous nous associons à Lui, alors Il nous dévoilera toutes les choses que nous cherchons et Sa volonté nous sera certainement révélée ; nos cœurs seront alors dans la joie et la paix, stables avec une clarté parfaite. » (Déclarations et témoignages du Christ au commencement). Les paroles de Dieu m’ont montré la voie de la pratique et le chemin que je devais suivre. À tout moment donné, Dieu avait toujours été le seul sur Qui je pouvais compter, ainsi que mon unique salut. J’ai donc prié Dieu à maintes reprises, L’implorant de protéger ces frères et sœurs. Par conséquent, lorsqu’ils ont composé ces numéros de téléphone un par un, certains appels ont sonné sans que personne réponde, tandis que d’autres ont tout simplement mené à rien. En fin de compte, crachant des jurons de frustration, les méchants flics ont jeté le carnet téléphonique sur la table et ont cessé d’essayer. C’était vraiment un exemple de la toute-puissance et de la souveraineté de Dieu et de Ses merveilleuses actions ; je ne pouvais m’empêcher d’exprimer mes remerciements et ma louange à Dieu.
 Néanmoins, ils n’avaient pas baissé les bras et ils ont continué à m’interroger sur les affaires de l’Église. Je n’ai pas répondu. Irrités et exaspérés, ils ont trouvé un moyen encore plus méprisable de me faire souffrir : l’un des méchants flics m’a forcée à m’accroupir, et je devais tendre les bras à la hauteur de mes épaules et je n’avais pas l’autorisation de bouger du tout. Sous peu, mes jambes ont commencé à trembler et je ne pouvais plus tenir les bras étendus, et mon corps a commencé à se relever involontairement. Le policier a pris une barre de fer et m’a regardée comme un tigre surveillant sa proie. Dès que je me suis levée, il m’a frappée brutalement sur les jambes, provocant tellement de douleur que j’ai failli retomber à genoux. Au cours de la demi-heure qui a suivi, chaque fois que mes jambes ou mes bras bougeaient, même un peu, il me battait immédiatement avec la barre. Je ne sais pas combien de fois il m’a frappée. Parce que j’avais été accroupie pendant une si longue période, mes deux jambes sont devenues extrêmement enflées et étaient insupportablement endolories, comme si elles étaient fracturées. Au fil des heures, mes jambes tremblaient encore plus fort et mes dents claquaient continuellement. À ce moment-là, j’avais l’impression que ma force allait céder et que je risquais de m’évanouir. Cependant, les méchants flics, juste à côté, se moquaient simplement de moi et me ridiculisaient, ricanant constamment et riant de moi méchamment, comme des gens qui essayaient cruellement d’amener un singe à faire des grimaces. Plus je regardais leurs visages laids et méprisables, plus je ressentais de la haine pour ces méchants flics. Je me suis soudainement levée et je leur ai dit d’une voix forte : « Je ne m’accroupis plus. Allez-y, condamnez-moi à mort ! Aujourd’hui, je n’ai rien à perdre ! Je n’ai même pas peur de mourir, alors comment aurais-je peur de vous ? Vous êtes des hommes forts, mais tout ce que vous semblez savoir faire, c’est persécuter une petite fille comme moi ! » À ma grande surprise, après que j’ai dit cela, le groupe de méchants flics a proféré quelques jurons de plus et puis a cessé de m’interroger. À ce moment-là, je me suis sentie très excitée, et j’ai compris que c’était Dieu qui manœuvrait tout pour me rendre parfaite : une fois la peur extirpée de mon cœur, mon environnement a changé en conséquence. Au fond de mon cœur, j’ai vraiment compris la signification des paroles de Dieu : « On dit : « “Le cœur du roi est un courant d’eau dans la main de l’Éternel ; Il l’incline partout où il veut.” Alors, n’est-ce pas encore plus le cas avec ces moins-que-rien ? » J’ai compris qu’aujourd’hui, Dieu avait permis que la persécution de Satan m’atteigne, non pas pour me faire souffrir intentionnellement, mais plutôt pour l’utiliser afin de me permettre de prendre conscience de la puissance des paroles de Dieu, de me conduire à me libérer du contrôle de la sombre influence de Satan, et de plus, de me faire apprendre à compter sur Dieu et à me tourner vers Dieu quand je suis en danger.
 Cette meute de méchants flics m’avait tourmentée presque toute la nuit et au moment où ils ont arrêté, il faisait jour. Ils m’ont fait signer mon nom et m’ont dit qu’ils allaient me détenir. Après cela, un policier âgé, feignant d’être gentil, m’a dit : « Mademoiselle, regardez, vous êtes si jeune — dans la fleur de votre jeunesse —, alors vous feriez mieux de vous dépêcher et d’expliquer clairement ce que vous savez. Je vous garantis que je les obligerai à vous libérer. Si vous avez un problème, n’hésitez pas à me le dire. Regardez, votre visage a gonflé comme une miche de pain. N’avez-vous pas assez souffert ? » Juste à ce moment-là, je me suis souvenue des paroles de Dieu : « Pourquoi employer diverses astuces pour tromper le peuple de Dieu ? » (« L’œuvre et l’entrée (8) », La Parole apparaît dans la chair). Je me suis également souvenue de quelque chose que mes frères et sœurs avaient dit lors des réunions : pour obtenir ce qu’ils veulent, les méchants flics utilisent à la fois la carotte et le bâton et recourent à toutes sortes de ruses pour te tromper. En pensant à cela, j’ai répondu au policier âgé : « Ne faites pas comme si vous étiez quelqu’un de bien ; vous faites tous partie du même groupe. Que voulez-vous que je confesse ? Ce que vous faites s’appelle extorquer des aveux. C’est une punition illégale ! » En entendant cela, il a pris un air innocent et a rétorqué : « Mais je ne vous ai pas frappée une seule fois. Ce sont eux qui vous ont frappée. » J’étais reconnaissante pour la direction et la protection de Dieu, qui m’a permis de vaincre une fois de plus la tentation de Satan.
 Après avoir quitté le Bureau de la sécurité publique du comté, j’ai été directement enfermée dans le centre de détention par ces policiers. Dès que nous avons franchi la porte d’entrée, j’ai vu que l’endroit était entouré de murs très hauts surmontés par du fil barbelé à boudin électrifié, et dans chacun des quatre coins se trouvait ce qui ressemblait à une tour de sentinelle. Des policiers armés y montaient la garde. Tout cela semblait très sinistre et terrible. Après avoir franchi plusieurs portails en fer, je suis arrivée à la cellule. Lorsque j’ai vu les couettes vétustes et recouvertes de lin sur le kang glacé, qui étaient à la fois noires et sales, et lorsque j’ai senti l’odeur âcre et infecte qu’elles dégageaient, je ne pus m’empêcher de ressentir une vague de dégoût me traverser, laquelle a été très vite suivie d’une vague de tristesse. Je me suis dit : comment des hommes peuvent-ils vivre ici ? Ce n’est rien d’autre qu’une porcherie. Au moment du repas, chaque prisonnier n’a reçu qu’un petit pain cuit à la vapeur, acide et à moitié cru. Même si je n’avais pas mangé de la journée, voir cette nourriture m’a vraiment fait perdre l’appétit. En plus, mon visage était tellement gonflé à cause des coups reçus des flics, et je le sentais tendu comme s’il était enveloppé de ruban adhésif. Ouvrir la bouche pour parler me faisait mal, et encore plus pour manger. Dans ces conditions, j’étais d’humeur très sombre et je me sentais fortement lésée. L’idée que je serais obligée de rester là pour endurer une existence si inhumaine m’a rendue si émotive que j’ai involontairement versé quelques larmes. Juste à ce moment-là, je me suis souvenue d’un cantique des paroles de Dieu : « Dieu est venu sur cette terre souillée et endure silencieusement les attaques violentes et l’oppression des humains. Il n’a pas résisté une seule fois et n’a jamais fait de demandes excessives à leur égard. Dieu réalise toutes les œuvres dont l’humanité a besoin : enseigner, éclairer, reprocher, raffiner par les paroles, rappeler, exhorter, consoler, juger et révéler. Il fait chaque pas pour le bien des hommes et pour les purifier. Bien qu’Il enlève le futur et le destin des hommes, toutes les actions de Dieu sont pour leur bien. Chacun de Ses pas est fait pour l’existence des hommes et pour fournir à toute l’humanité une merveilleuse destination sur terre. » (« Le Dieu concret apporte subtilement le salut à l’humanité », Suivre l’Agneau et chanter de nouvelles chansons). Lorsque j’essayais de comprendre les paroles de Dieu, je me sentais extrêmement humiliée et honteuse. Dieu était venu du ciel à la terre — de là-haut jusqu’aux profondeurs les plus basses — allant de la position de l’Être le plus honorable à celle d’un homme insignifiant. Le Dieu saint est venu dans ce monde dégoûtant et sale de l’humanité et a interagi avec les humains corrompus, mais toutes ces souffrances, Dieu les a endurées en silence. Dieu n’avait-Il pas souffert beaucoup plus que moi ? En tant qu’être humain profondément corrompu par Satan et sans aucun honneur digne de mention, comment n’ai-je pas pu endurer cette petite souffrance ? Pendant cette période horrible et sombre, si je n’avais pas eu la chance d’être soutenue par Dieu pour pouvoir Le suivre, alors il serait impossible de savoir dans quelle situation j’aurais été, ou si oui ou non j’aurais même été encore en vie. Le fait que je me sentais lésée et triste à cause de cette petite souffrance et que je refusais de l’accepter montrait que je manquais vraiment de conscience et de rationalité. Réalisant cela, j’ai cessé de me sentir lésée et j’ai trouvé en moi une certaine volonté pour endurer mes épreuves.
 Un demi-mois s’est écoulé et le chef de ces méchants flics est revenu m’interroger. Voyant que je restais calme et sereine, et que je n’avais aucune crainte, il cria mon nom et hurla : « Dis-moi la vérité : dans quel autre endroit as-tu été arrêtée auparavant ? Ce n’est certainement pas ton premier séjour ici à l’intérieur, sinon, comment pourrais-tu être aussi calme et aguerrie, comme si tu n’avais pas peur du tout ? » En l’entendant dire cela, je ne pouvais m’empêcher de remercier et de louer Dieu dans mon cœur. Dieu m’avait protégée et m’avait donné du courage, me permettant ainsi de faire face à ces méchants policiers sans aucune crainte. Juste à ce moment-là, la colère est montée dans mon cœur : vous abusez de votre pouvoir en persécutant les hommes pour leurs croyances religieuses, en arrêtant, intimidant et blessant sans raison ceux qui croient en Dieu. Vos actions sont contraires à la légalité et aux lois du ciel. Je crois en Dieu et je marche sur le bon chemin ; je n’ai pas enfreint la loi. Pourquoi devrais-je avoir peur de vous ? Je ne succomberai pas aux forces maléfiques de votre gang ! J’ai alors répondu : « Pensez-vous que partout ailleurs c’est si ennuyeux que je voudrais vraiment venir ici ? Vous m’avez fait du tort et m’avez malmenée ! Tout autre effort de votre part pour extorquer des aveux ou m’incriminer sera inutile ! » En entendant cela, le chef des méchants flics est devenu si furieux que la fumée semblait être sur le point de sortir de ses oreilles. Il a crié : « Tu es sacrément trop têtue pour nous dire quoi que ce soit. Tu ne parleras pas, hein ? Je vais t’infliger une peine de trois ans, puis nous verrons si tu diras la vérité ou non. Je te défie de rester têtue ! » Alors je me suis sentie tellement indignée que j’aurais pu exploser. D’une voix forte, j’ai répondu : « Je suis encore jeune ; que représentent trois ans pour moi ? Je sortirai sortie de prison en un clin d’œil. » En colère, le méchant flic s’est levé brusquement et a crié à ses laquais : « J’abandonne, vous, continuez à l’interroger. » Il a ensuite claqué la porte et est parti. Voyant ce qui s’était passé, les deux flics ne m’ont plus questionnée ; ils ont simplement achevé la rédaction d’une déposition que je devais signer et sont sortis. Être témoin de la défaite des flics m’a rendue très heureuse. Dans mon cœur, je louais la victoire de Dieu sur Satan.
 Pendant le second tour d’interrogatoire, ils ont changé de tactique. Dès qu’ils sont entrés, ils ont fait semblant de s’inquiéter pour moi : « Tu es ici depuis si longtemps. Comment se fait-il qu’aucun membre de ta famille ne soit venu te voir ? Ils ont dû t’abandonner. Et si tu les appelais toi-même et leur demandais de venir te rendre visite ? » Entendre cela m’a rendue insupportablement maussade. Je me suis demandé : papa et maman auraient-ils vraiment arrêté de se soucier de moi ? Cela fait déjà un demi-mois et ils savent sûrement que j’ai été arrêtée ; comment pourraient-ils avoir le cœur de me laisser souffrir ici sans même venir me voir ? Plus j’y pensais, plus je me sentais esseulée et impuissante. Je m’ennuyais de la maison et mes parents me manquaient, et mon désir de liberté devenait de plus en plus intense. Involontairement, mes yeux débordèrent de larmes, mais je ne voulais pas pleurer devant cette bande de méchants flics. Silencieusement, je priais Dieu : mon Dieu, en ce moment je me sens très malheureuse et dans la douleur, et je suis très impuissante. Je Te prie d’arrêter mes larmes de couler, car je ne veux pas laisser Satan voir ma faiblesse. Cependant, pour l’instant, je ne peux pas saisir Tes intentions. Je Te supplie de m’éclairer et de me guider. Après ma prière, une idée m’est soudainement venue à l’esprit : c’était la ruse de Satan ; ces flics avaient semé la dissension, tentant de déformer ma vision de mes parents et de m’inciter à les haïr, dans le but ultime de profiter de mon incapacité à résister à ce coup pour que je tourne le dos à Dieu. De plus, leur tentative de me faire entrer en contact avec ma famille pourrait bien être une ruse pour amener les membres de ma famille à apporter une rançon pour réaliser leur arrière-pensée d’extorquer un peu d’argent, ou peut-être qu’ils savent que tous les membres de ma famille croient en Dieu et souhaitent profiter de cette occasion pour les arrêter. Ces méchants flics débordaient vraiment de stratagèmes. Sans l’illumination de Dieu, j’aurais pu téléphoner chez moi. N’aurais-je pas alors été indirectement un Judas ? Alors, j’ai secrètement déclaré à Satan : vil diable, je ne te permettrai tout simplement pas de réussir ta tromperie. À partir de maintenant, que ce soit des bénédictions ou des malédictions qui descendent sur moi, je les porterai seule ; je refuse d’impliquer les membres de ma famille, et je n’influencerai absolument pas la foi de mes parents ou l’accomplissement de leurs devoirs. En même temps, je suppliais aussi silencieusement Dieu d’empêcher mes parents de me rendre visite, de peur qu’ils ne tombent dans le piège de ces méchants policiers. J’ai alors répondu de façon nonchalante : « Je ne sais pas pourquoi les membres de ma famille ne sont pas venus me voir. Quelle que soit la façon dont vous vouliez me traiter, je m’en fous ! » Les méchants flics n’avaient plus de carte à jouer. Après cela, ils ne m’ont plus interrogée.
 Un mois s’est écoulé. Un jour, mon oncle est soudainement venu me rendre visite, disant qu’il était en train d’essayer de me sortir de là dans quelques jours. Quand je suis sortie de la salle de visite, je me sentais extrêmement heureuse. J’ai pensé que je pourrais enfin de nouveau voir la lumière du jour, ainsi que mes frères, mes sœurs et mes proches. J’ai donc commencé à rêver et à attendre avec impatience que mon oncle vienne me chercher ; chaque jour, je gardais les oreilles ouvertes au bruit des gardes qui m’appelleraient pour me dire qu’il est temps de partir. Comme je m’y attendais, une semaine plus tard, un garde est effectivement venu m’appeler. Mon cœur était sur le point de sortir de ma cage thoracique lorsque je suis joyeusement arrivée à la salle de visite. Mais quand j’ai vu mon oncle, il a baissé la tête. Il y eut un long moment avant qu’il ne dise sur un ton découragé : « Ils ont déjà scellé ton sort. Tu as été condamnée à trois ans. » Quand j’ai entendu cela, j’étais stupéfaite. J’étais absolument incapable de penser. J’ai retenu mes larmes et aucune goutte n’a coulé. C’était comme si je ne pouvais plus rien entendre de ce que mon oncle disait après cela. En transe, je suis sortie en titubant de la salle de visite, je sentais mes pieds pesants comme s’ils étaient remplis de plomb, chaque pas plus lourd que le précédent. Je n’ai aucun souvenir de la manière dont je suis retournée dans ma cellule. Quand je suis arrivée, je suis restée figée, complètement paralysée. Je me suis dit : chaque jour du dernier mois ou plus de cette existence inhumaine s’est écoulé si lentement, et je l’ai senti comme une année ; comment vais-je pouvoir survivre à trois longues années ? Plus je m’y attardais, plus mon angoisse grandissait, et plus mon avenir semblait indistinct et insondable. Incapable de les retenir plus longtemps, j’ai fondu en larmes. Dans mon cœur, cependant, je savais sans aucun doute que personne ne pouvait plus m’aider ; je pouvais seulement compter sur Dieu. Dans mon chagrin, j’étais de nouveau venue devant Dieu. Je me suis ouverte à Lui en disant : « Dieu, je sais que toutes choses et tous les événements sont entre Tes mains, mais en ce moment mon cœur se sent complètement vide. J’ai l’impression que je suis sur le point de m’effondrer ; je pense que ce sera très difficile pour moi d’endurer trois années de souffrance en prison. Dieu, je Te prie de me révéler Ta volonté, et je T’implore d’augmenter ma foi et ma force afin que je puisse me soumettre complètement à Toi et accepter courageusement ce qui m’arrive. » Juste à ce moment-là, les paroles de Dieu m’ont éclairée de l’intérieur : « Pour tout le monde, le raffinement est atroce et très difficile à accepter ; cependant c’est au cours du raffinement que Dieu rend manifeste son juste tempérament envers l’homme et rend publiques ses exigences pour l’homme, et fournit plus d’éclairage, et plus d’émondage et de traitement ; en comparant les faits et la vérité, Il donne à l’homme une plus grande connaissance de lui-même et de la vérité, et donne à l’homme une plus grande compréhension de la volonté de Dieu, permettant à l’homme d’avoir un amour plus vrai et pur de Dieu. Tels sont les desseins de Dieu dans la réalisation du raffinement. » (« Ce n’est qu’à travers le raffinement que l’homme peut véritablement aimer Dieu », La Parole apparaît dans la chair). « Au cours de ces derniers jours, vous devez rendre témoignage à Dieu. Quelle que soit votre souffrance, vous devrez aller jusqu’à la fin, et même à votre dernier souffle, vous devez toujours être fidèle à Dieu et à la merci de Dieu ; c’est ce qui est d’aimer véritablement Dieu, et seulement cela est le témoignage fort et retentissant. » (« C’est seulement en passant par des épreuves douloureuses que tu peux réaliser que Dieu est agréable », La Parole apparaît dans la chair). Grâce à l’éclairage et l’orientation de Dieu, j’ai commencé à réfléchir sur moi-même et j’ai progressivement découvert mes faiblesses. J’ai vu que mon amour pour Dieu était frelaté et que je ne m’étais pas encore soumise à Dieu de façon absolue. Depuis mon arrestation et au cours de mes luttes contre ces méchants flics, j’avais fait preuve de courage et d’audace, et je n’avais pas versé une seule larme tout au long de ces séances de torture, mais ce n’était pas ma véritable stature. Tout cela avait été la foi et le courage qui m’avaient été donnés par les paroles de Dieu, lesquelles m’avaient permis de vaincre la tentation et les agressions de Satan à maintes reprises. J’ai aussi vu que l’essence des méchants flics m’avait été invisible. J’avais pensé que la police du PCC était respectueuse des lois et qu’en tant que mineure, je ne serais jamais condamnée ou, qu’au pire, je ne serais enfermée que pour quelques mois. J’avais pensé que je n’aurais plus qu’à endurer un peu plus de douleur et d’épreuves et que je n’aurais qu’à tenir le coup un peu plus longtemps, puis cela passerait ; je n’avais jamais pensé que je pourrais passer trois ans ici à vivre cette vie inhumaine. Juste à ce moment-là, je ne voulais pas continuer à souffrir ou à me soumettre à l’orchestration et aux arrangements de Dieu. C’était différent du résultat que j’avais imaginé, et il se trouve que cela révélait ma véritable stature. C’est seulement à ce moment-là que je me suis rendu compte que Dieu regarde vraiment profondément dans les cœurs des hommes et que Sa sagesse est vraiment exercée sur la base des plans de Satan. Satan souhaitait me tourmenter et m’épuiser complètement par cette sentence de prison, mais Dieu avait profité de cette occasion pour me permettre de découvrir mes faiblesses et de reconnaître mes insuffisances, accentuant ainsi ma soumission réelle et permettant à ma vie de progresser plus rapidement. L’éclairage de Dieu m’avait fait sortir de ma situation difficile et m’avait donné une puissance infinie. Mon cœur s’est soudainement senti plein et lumineux, et j’ai compris les bonnes intentions de Dieu et je ne me suis plus sentie misérable. J’ai décidé de suivre l’exemple de Pierre en permettant à Dieu de tout orchestrer, sans une seule plainte, et de faire face calmement à tout ce qui pourrait arriver à partir de ce jour-là.
 Deux mois plus tard, j’ai été transporté dans un camp de travail. Lorsque j’ai reçu les documents de mon verdict et que je les ai signés, j’ai découvert que la peine de trois ans avait été commuée en un an. Dans mon cœur, j’ai remercié et loué Dieu encore et encore. Tout cela était le résultat de l’orchestration de Dieu, et je pouvais y voir l’amour et la protection immenses qu’Il me réservait.
Dans le camp de travail, j’ai découvert un côté encore plus cruel et plus brutal des méchants policiers. Très tôt le matin, nous nous levions et allions travailler, et nous étions sérieusement surchargés de tâches chaque jour. Nous devions travailler pendant de très longues heures tous les jours, et parfois nous travaillions vingt-quatre heures sur vingt-quatre pendant plusieurs jours. Certains prisonniers sont tombés malades et ont dû être placés sous perfusion intraveineuse ; le taux d’égouttement devait être réglé à la vitesse la plus rapide pour qu’ils puissent retourner rapidement à l’atelier et reprendre le travail. Cela a mené la majorité des condamnés à contracter par la suite des maladies très difficiles à guérir. Certaines personnes, parce qu’elles travaillaient lentement, étaient fréquemment victimes de violence verbale de la part des gardes ; leur langage grossier était tout simplement impensable. Certains détenus violaient les règles pendant qu’ils travaillaient et donc étaient punis. Par exemple, ils étaient « mis sur la corde », ce qui signifiait qu’ils devaient s’agenouiller au sol et avoir les mains attachées derrière le dos, obligés de lever les bras douloureusement jusqu’au niveau du cou. D’autres étaient attachés à des arbres avec des chaînes de fer comme des chiens et étaient flagellés impitoyablement avec un fouet. Certains détenus, incapables de supporter cette torture inhumaine, essayaient de se laisser mourir de faim, mais les méchants gardes menottaient leurs chevilles et leurs poignets et tenaient fermement leur corps, introduisant de force des tubes et des liquides en eux. Ils craignaient que ces prisonniers ne meurent, non parce qu’ils chérissaient la vie, mais parce qu’ils avaient peur de perdre la main-d’œuvre bon marché qu’ils fournissaient. Les actes maléfiques commis par les gardiens de prison étaient vraiment trop nombreux pour être comptés, tout comme les incidents sanglants et d’une violence effroyable qui se sont produits. Tout cela m’a fait voir très clairement que le Parti communiste chinois était l’incarnation de Satan qui était dans le monde spirituel ; c’était le plus mauvais de tous les démons et les prisons sous son régime étaient l’enfer sur terre — pas seulement de nom, mais dans la réalité. Je me souviens de certains mots inscrits sur le mur du bureau où j’ai été interrogée, qui ont attiré mon attention : « Il est interdit de battre les gens à volonté ou de leur infliger des châtiments illégaux, et il est encore plus interdit d’obtenir des aveux par la torture. » Cependant, en réalité, leurs actions étaient ouvertement opposées à cela. Ils m’avaient battue sans raison valable, moi, une fille qui n’était même pas encore adulte, et m’avaient soumise à des châtiments illégaux ; de plus, ils m’avaient condamnée simplement à cause de ma croyance en Dieu. Tout cela m’avait fait voir clairement que le PCC utilisait des ruses pour tromper les gens en prétendant que tout allait bien. C’était exactement comme Dieu l’avait dit : « Le diable ligote fortement tout le corps de l’homme, il couvre ses yeux et scelle ses lèvres fermement. Le roi des démons a tout saccagé pendant plusieurs milliers d’années jusqu’à nos jours alors qu’il surveille toujours la ville fantôme, comme si elle était un « palais des démons » impénétrable ; […] Ancêtres des anciens ? Leaders bienaimés ? Ils s’opposent tous à Dieu ! Leur ingérence a tout laissé sous le ciel dans un état de ténèbres et de chaos ! Liberté de religion ? Les droits et intérêts légitimes des citoyens ? Tout cela n’est qu’une ruse pour camoufler le péché ! » (« L’œuvre et l’entrée (8) », La Parole apparaît dans la chair). Après avoir vécu la persécution des mauvais policiers, j’ai été totalement convaincue de ce passage des paroles prononcées par Dieu, et j’en ai maintenant une connaissance et une expérience réelles. De plus, dans le camp de travail, j’avais vu de mes propres yeux la laideur de toutes sortes de personnes : les visages répugnants de ces serpents opportunistes et enjôleurs qui cherchaient à s’attirer les bonnes grâces des capitaines, le visage cruel d’hommes férocement violents et déchainés qui persécutaient les faibles, et ainsi de suite. Pour moi qui n’avais pas encore mis les pieds dans la société, durant cette année de vie en prison, j’ai finalement clairement vu la corruption de l’humanité. J’ai découvert la trahison dans le cœur des hommes et je me suis rendu compte à quel point le monde humain pouvait être sinistre. J’ai aussi appris à faire la distinction entre le positif et le négatif, le noir et le blanc, le juste et l’injuste, le bien et le mal, le louable et le méprisable ; j’ai vu clairement que Satan est laid, mauvais, brutal, et que seul Dieu est le symbole de la sainteté et de la justice. Dieu seul symbolise la beauté et la bonté ; Dieu seul est amour et salut. Sous le regard attentif et la protection de Dieu, cette année inoubliable a passé très vite pour moi.
 Maintenant, quand j’y pense, bien que j’aie subi des souffrances physiques pendant cette année en prison, Dieu a utilisé Ses paroles pour me guider et me conduire, faisant ainsi mûrir ma vie. Je suis reconnaissante pour la prédestination de Dieu. La possibilité de mettre le pied sur ce bon chemin de vie était la plus grande grâce et la plus grande bénédiction que Dieu m’ait accordée. Je Le suivrai et L’adorerai pour le restant de ma vie !
   Source: L’Église de Dieu Tout-Puissant
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eglise22 · 4 years
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Homélie du 34è dimanche du temps ordinaire A - Solennité du Christ Roi
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Sommes-nous déjà allés dans un tribunal pour voir la manière dont se déroule un procès ? Et pourtant, l'actualité ne manque pas de relater chaque semaine des jugements devant différents tribunaux : civils, correctionnels, assise, commerce, prudhommes … Un jugement, cela fait peur la plupart du temps. Nous n'aimons pas passer devant les tribunaux. C'est normal. C'est une grande part de nous-mêmes qui est mise à nu. En plus, nous avons peur d'être mal jugés. Et pourtant, dans un état de droit, nous souhaitons que la justice passe et les actes commis pour nuire, notamment au plus fragile, au plus faible, soient sanctionnés !
L'évangile de ce jour, au tout début de la Parabole du Jugement dernier, Jésus dit : « Quand le Fils de l'homme viendra dans la gloire, il siègera sur son trône de gloire. » (Mt25) Peut-être que certains d'entre vous, dans votre enfance, vous avez été bercés par la figure d'un Dieu Juge, d'un Dieu de la peur, de la terreur, d'un Dieu voyeur, d'un Dieu vengeur ? Certes, l'Evangile de Matthieu nous présente le Christ comme celui qui a reçu du Père le pouvoir royal de rendre la justice au dernier jour. Or, la justice du Christ nous réserve ici bien des surprises. Les brebis comme les chèvres en sont toutes étonnées.Sur quoi le Christ s'appuie-t-il pour juger les hommes et les femmes ?Cette page nous dit quelque chose de surprenant pour nous qui sommes croyants. Elle nous dit que la seule condition qui fait qu'on est justifié, ajustés, aux yeux de Dieu, c'est l'attitude de bonté dont on aura su témoigner auprès des plus petits. Ce qui nous sauvera de la condamnation du mal, c'est la charité et rien d'autre.Selon la parabole, ce n'est donc pas la foi qui compte d'abord mais la charité, l'amour désintéressé pour les plus démunis. Bien plus que la foi, c'est la charité en acte qui touche Dieu. Saint Paul dans sa première lecture aux chrétiens de Corinthe écrit en conclusion de son hymne à la charité : « Nous voyons actuellement de manière confuse, comme dans un miroir ; ce jour-là, nous verrons face à face. Actuellement, ma connaissance est partielle ; ce jour-là, je connaîtrai parfaitement, comme j'ai été connu. Ce qui demeure aujourd'hui, c'est la foi, l'espérance et la charité ; mais la plus grande des trois, c'est la charité. » (1Co13,12-13)
La parabole que nous accueillons aujourd'hui en cette solennité du Christ Roi de l'univers, replace donc au cœur de nos vies croyantes l'exigence de la charité.Et l'évangile insiste sur le caractère désintéressé, absolument gratuit de la charité.
Les justes en effet s'étonnent : « 'Seigneur, quand est-ce que nous t'avons vu… ? Tu avais donc faim, et nous t'avons nourri ? Tu avais soif, et nous t'avons donné à boire ? Tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu'à toi ? » Et le Christ leur répond. « Chaque fois que vous l'avez fait à l'un de ces plus petits qui sont mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait ».Dans la parabole, les justes sont tellement désintéressés dans leur charité qu'ils n'ont pas d'abord pensé à la portée de leurs actes. Ils n'ont donc pas aimé pour recevoir en retour. Ils ne se sont pas tournés vers les plus pauvres pour récolter la monnaie de leur pièce. Ils ne les ont pas aimés pour obtenir une récompense de Dieu. Ils ne savaient pas d'ailleurs qu'en les aimant ainsi, c'est le Christ qu'ils aimaient. Les justes ont aimé ces gens gratuitement, sans aucune arrière-pensée, pas même spirituelle. Et c'est pourquoi leur amour est pur et qu'il touche Dieu. Ces justes ont finalement aimé les hommes comme Dieu aime les hommes, sans aucune condition, sans retour sur lui-même. Dieu, dans les évangiles, aime les hommes parce qu'ils sont des hommes, un point c'est tout, et, quand ils sont en perdition, il lui faut absolument les sauver comme l'exprime si merveilleusement le prophète Ezéchiel dans la première lecture : « La brebis perdue, je la chercherai ; l'égarée, je la ramènerai. Celle qui est blessée, je la panserai. Celle qui est malade, je lui rendrai des forces. » (Ez,34,16)
Cet amour désintéressé pour l'humanité se vérifie avant tout dans l'amour des plus petits. Prétendre aimer les hommes c'est aimer tous les hommes. Aimer tous les hommes c'est croire que tout être humain est digne d'amour parce qu'il y a une part respectable et sacrée en chaque homme, et qu'il s'agit de commencer concrètement par prendre soin des plus fragilisés qui risquent à cause de cela d'être les plus méprisés. C'est lorsqu'on aime l'homme de cette manière-là que Dieu s'en trouve touché. C'est ce témoignage de la charité qui sauve les hommes.Cela ne vaut pas dire que la foi n'est rien et qu'elle ne sert à rien. Mais, la foi n'est rien si elle ne se transforme pas en charité. Cet amour désintéressé et de respect pour nos frères et sœurs en humanité, envers les plus démunis, est une nécessité de l'Evangile : c'est là que conduit la foi, c'est là la voie royale pour servir Dieu.
Rendons grâce ce matin dans la prière de l'Eucharistie pour toutes les personnes engagées, individuellement ou collectivement, pour prendre soin de leurs frères et sœurs et continuons d'entendre l'appel du Christ Roi, mais un roi serviteur qui s'est dépouillé pour nous et par amour gratuit, à témoigner personnellement et collectivement de la charité de Dieu au milieu des hommes, des femmes, des jeunes et des enfants, plus encore en ces jours si troublés. Que cet appel trouve, ce dimanche, écho dans notre prière et dans notre eucharistie. Amen.
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blogdimanche · 5 years
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Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 6,1-6.16-18: 
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples :
1 « Ce que vous faites pour devenir des justes, évitez de l’accomplir devant les hommes pour vous faire remarquer. Sinon, il n’y a pas de récompense pour vous auprès de votre Père qui est aux cieux.
2 Ainsi, quand tu fais l’aumône, ne fais pas sonner la trompette devant toi, comme les hypocrites qui se donnent en spectacle dans les synagogues et dans les rues, pour obtenir la gloire qui vient des hommes. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont reçu leur récompense.
3 Mais toi, quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que fait ta main droite,
4 afin que ton aumône reste dans le secret ; ton Père qui voit dans le secret te le rendra.
5 Et quand vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites : ils aiment à se tenir debout dans les synagogues et aux carrefours pour bien se montrer aux hommes quand ils prient. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont reçu leur récompense.
6 Mais toi, quand tu pries, retire-toi dans ta pièce la plus retirée, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret ; ton Père qui voit dans le secret te le rendra.
(…)
16 Et quand vous jeûnez, ne prenez pas un air abattu, comme les hypocrites : ils prennent une mine défaite pour bien montrer aux hommes qu’ils jeûnent. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont reçu leur récompense.
17 Mais toi, quand tu jeûnes, parfume-toi la tête et lave-toi le visage ;
18 ainsi, ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement de ton Père qui est présent au plus secret ; ton Père qui voit au plus secret te le rendra. »
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Commentaire de Mt 6,1: 
« Ce que vous faites pour devenir des justes, évitez de l’accomplir devant les hommes pour vous faire remarquer. Sinon, il n’y a pas de récompense pour vous auprès de votre Père qui est aux cieux. »  (Mt 6,1) La vraie « justice » au sens biblique consiste à être en harmonie avec le projet de Dieu et non à accumuler des pratiques, si nobles soient-elles. La fameuse phrase du livre de la Genèse — « Abraham eut foi dans le Seigneur et pour cela le Seigneur le considéra comme juste » (Gn 15,6) — nous a appris que la justice est d’abord justesse, au sens d’un instrument de musique, accord profond avec la volonté de Dieu. Ainsi les trois pratiques — prière, jeûne, aumône — sont-elles des chemins de justice. Par la prière, nous laissons Dieu nous ajuster à son projet ; nous disons : « Que ton nom soit sanctifié, que ton Règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. » Et nous attendons de lui qu’il nous enseigne les vrais besoins du Royaume. Jésus fait précéder l’apprentissage du Notre Père de cette autre recommandation : « Quand vous priez, ne rabâchez pas comme les païens ; ils s’imaginent que c’est à force de paroles qu’ils se feront exaucer. Ne leur ressemblez donc pas, car votre Père sait ce dont vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez » (6, 7-8). Le jeûne est bien dans la même ligne : cessant de poursuivre ce que nous croyons nécessaire à notre bonheur, et qui risque peu à peu de nous accaparer, nous apprenons la liberté et recherchons les véritables priorités ; car « l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu », disait Jésus en jeûnant lui-même (Mt 4,4). Et, un peu plus loin, dans ce même discours sur la montagne, il reprend ce thème : « Ne vous inquiétez pas en disant “Qu’allons-nous manger ? Qu’allons-nous boire ? De quoi allons-nous nous vêtir ?” – Tout cela, les païens le recherchent sans répit -, il sait bien, votre Père céleste, que vous avez besoin de toutes ces choses. Cherchez d’abord le Royaume et la justice de Dieu et tout cela vous sera donné par surcroît » (Mt 6, 31-33). Quant à l’aumône, elle est le fruit de notre ajustement à la volonté de Dieu, puisqu’elle fait de nous des miséricordieux. Le mot « aumône » est de la même famille que « eleison » ; faire l’aumône, c’est ouvrir nos cœurs à la pitié. Car Dieu veut le bonheur de tous ses enfants et la justice au sens de l’harmonie avec Lui comporte donc inévitablement une dimension de justice sociale. La parabole du jugement dernier, dans le même évangile de Matthieu (25, 31-46) le confirme : « Venez, les bénis de mon Père, recevez en partage le Royaume qui a été préparé pour vous depuis la fondation du monde. Car j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger… et les justes s’en iront à la vie éternelle. »
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mipaoconference · 5 years
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Thème: Y a-t-il un homme?
 
Ésaïe, 59:16 - Il voit qu`il n`y a pas un homme, Il s`étonne de ce que personne n`intercède; Alors son bras lui vient en aide, Et sa justice lui sert d`appui.
 
Les Écritures d'aujourd'hui sont si perspicaces et me rappellent que, s'il y a un homme pour prier, il y a un Dieu pour répondre. Mais la question est: y a-t-il un homme? Même si Dieu est souverain, il cherche désespérément un être humain qui intercéderait dans la prière afin d'établir son conseil sur terre.
 
Une responsabilité élémentaire de chaque chrétien est d'intercéder, ou de se mettre à l'écart pour les autres par la prière.
Un intercesseur est celui qui plaide (en tant que pacificateur) ou cherche à obtenir une faveur de Dieu pour quelqu'un d'autre. Il est aussi celui qui offre la prière ou la supplication pour un autre, comme Jésus-Christ, qui intercède auprès du Père pour nous.
 
Voici quelques qualités d'un intercesseur:
 
1. Un intercesseur est altruiste.
Il devrait être une personne qui ne va pas toujours à Dieu pour lui-même, mais demande toujours la faveur de Dieu pour les autres. Comme le maître de maison dans Luc 11: 6, un intercesseur ne prie pas pour lui-même toujours. 1 Timothée 2: 1-4 nous enjoint également de toujours prier pour les autres.
 
  2. Un intercesseur sait que s'il n'intercède pas, il y aurait un désastre.
Tout bon intercesseur a le sentiment d'urgence d'une catastrophe imminente et est conscient que s'il ne se tient pas à la brèche, il y aurait un grand tort. Dans Genèse 18: 20-32, après que Dieu eut parlé, si Abraham n'avait pas intercédé par la prière, son neveu Lot aurait été détruit à Sodome et Gomorrhe.
 
3. Un intercesseur prie jusqu'à ce qu'il voie les résultats.
Il doit invoquer Dieu jusqu'à ce que ce pour quoi il prie soit établi. Dieu demande les Elie, Moïse, Étienne et Abraham d'aujourd'hui. En tant qu'intercesseurs, nous devons prier jusqu'à ce que quelque chose se produise. Nous devons prier comme Élie a prié jusqu'à ce qu'il pleuve pour son pays (1 Rois 18: 41-46).
 
Frères et sœurs, lorsque nous intercédons pour les autres, Dieu fait de nos affaires ses affaires. En tant que véritables intercesseurs, nous devons être prêts à tout mettre en œuvre pour que les autres soient sauvés et pour qu'ils voient des résultats ou des percées dans leur vie.
Prière: Notre Père céleste, alors que je passe du temps à intercéder pour les autres, fait que mes propres percées se manifestent au nom de Jésus, Amen.
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shalomelohim · 5 years
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Par son intercession, Abraham, sauve Lot du feu de la destruction
Le péché de Sodome et Gomorrhe s'intensifie. YHWH décide de les détruire par le feu.
YHWH confie son projet à son ami Abraham. Aussitôt, ce dernier pense à son neveu Lot. Il plaide sa cause devant Elohim. Abraham ne craint pas de marchander le salut de son neveu :
“ Mais Abraham se tint encore en présence de YHWH. Abraham s’approcha, et dit : Feras-tu aussi périr le juste avec le méchant ? “ (Genèse 18:23)
A la suite de l’intercession d’Abraham, YHWH, avant la destruction de Sodome, envoie des anges arracher Lot à la destruction.
L’amour fraternel ne représente pas une nouvelle doctrine que nous annonçons, mais une nécessité.
L’amour fraternel correspond à une des clés que Yahshua nous confie avec les clés du royaume. Les chrétiens ont tendance à se focaliser sur un aspect de la vie chrétienne : par exemple certains sur la relation avec le Père, d’autres sur Yahshua ou le Ruah Ha Kodesh.
Ce type de relation symbolise le bras horizontal de la croix. Souvenons-nous que la croix est constituée de deux bras. Les deux sont imbriqués, incrustés l’un dans l’autre.
Certes, la communion verticale doit se vivre intensément. Toutefois, elle ne trouvera sa plénitude que si nous vivons la communion fraternelle. Si nous pensons être chrétiens pour nous-mêmes, nous nous séduisons, nous sommes dans l’erreur et l’autosatisfaction.
Yahshua se tenait dans la communion avec le Père et dans la communion fraternelle
Dans la lettre adressée aux sept Eglises de l’Apocalypse, une seule ne reçoit pas de reproches de la part de Yahshua, l’Eglise de Philadelphie, dont le nom signifie : amour fraternel ou communion fraternelle. C’est l’Eglise du temps des réveils.
Actuellement, les prophètes tirent la sonnette d’alarme pour nous avertir que nous sommes au temps de l’Eglise de Laodicée : l’Eglise de la tiédeur. Laodicée, signifie : justice du peuple…et non justice d’Elohim.
Cette Eglise se croit riche. Mais elle dort sur ses lauriers.
Yahshua lui dit : “ Tu te crois riche, mais tu n’es riche que de richesses naturelles. Tu ne désires, tu ne recherches plus les richesses spirituelles, celles qui ne sont pas visibles. Repens-toi. “
Suis-je bien positionné dans le corps de Yahshua ? Suis-je bien édifié sur la pierre angulaire, c'est-à-dire Yahshua ?
La qualité de la relation que nous développons et pratiquons dans la communion fraternelle représente la qualité de la relation que nous avons avec le Père.
L'amour ne conduit pas au péché. L'amour veut et désire le bien de l'autre.
Si je suis la cause de la chute du frère ou de la sœur, cela signifie que tout en croyant l'aimer je me trompe, je me séduis moi-même. L'amour est gratuit, il ne désire rien obtenir. Si je désire obtenir quelque chose du frère ou de la sœur, c'est que je cherche à combler un besoin, un manque qu’Elohim seul peut combler.
Dans cette situation je me mens, je suis aveugle, je vois en lui ou en elle le moyen de combler des besoins. La source de ce manque est due sans doute à des émotions blessées ou à la convoitise.
Si nous aimons vraiment un frère, une sœur, nous ne le ou la détournerons pas de sa communion avec Yahshua, ni de sa communion avec le Père ni de sa communion avec le Ruah Ha Kodesh. Nous l'aiderons à se préserver du péché, nous l'aiderons à grandir. Attention à nos motivations et nos paroles, ne cherchons pas dans les autres ce qu’Elohim seul peut combler et satisfaire dans nos vies.
Elohim nous donne un bien durable. Ce que nous obtenons du frère ou de la sœur, pour combler nos besoins ou nos désirs, sera passager, furtif. Cela risque d'être comme une eau qui ne désaltère pas, ou qui éveille un désir grandissant. Dans ce cas, nous allons souffrir et faire souffrir.
Les obstacles à la communion fraternelle Bien sûr, certains penseront spontanément à l'égoïsme, à la jalousie. D'autres se rappelleront des blessures du passé, causées par le rejet, la trahison, etc.
Souvenons-nous que Yahshua a connu et porté tout cela sur la croix pour nous offrir en échange la guérison.
Dans la nature, de nouvelles épines se forment chaque année. Dans le domaine spirituel c'est le même principe. Regardons bien ce qui se passe dans le naturel et nous saurons voir dans le spirituel, avec l'aide du Ruah Ha Kodesh, pour interpréter ou réinterpréter ce que nous vivons.
***Il y a des victoires que nous obtiendrons seulement dans la communion fraternelle.***
La Bible nous en donne un exemple:
“ Amalek vint combattre Israël à Rephidim.  Alors Moïse dit à Josué : Choisis-nous des hommes, sors, et combats Amalek ; demain je me tiendrai sur le sommet de la colline, la verge de Dieu dans ma main.  Josué fit ce que lui avait dit Moïse, pour combattre Amalek. Et Moïse, Aaron et Hur montèrent au sommet de la colline. Lorsque Moïse élevait sa main, Israël était le plus fort ; et lorsqu’il baissait sa main, Amalek était le plus fort. Les mains de Moïse étant fatiguées, ils prirent une pierre qu’ils placèrent sous lui, et il s’assit dessus. Aaron et Hur soutenaient ses mains, l’un d’un côté, l’autre de l’autre ; et ses mains restèrent fermes jusqu’au coucher du soleil.  Et Josué vainquit Amalek et son peuple, au tranchant de l’épée. “ (Exode 17:8 à 13)
Josué représente chacun d’entre nous, quand nous sommes dans les problèmes, dans la tentation par exemple. Il nous appartient de mener le combat dans la vallée, comme Josué : personne ne devait prendre sa place pour obtenir la victoire. C’était à lui de combattre jusqu’à la victoire complète.
Mais seul, il en était incapable. Dans une bataille comme celle-ci, sachons qu’elle se livre à deux niveaux :
- Au niveau naturel, sur le terrain, comme Josué dans la plaine.
- Au niveau spirituel dans les lieux célestes. Il est alors nécessaire de nous tenir sur la montagne.
Josué ne peut se tenir dans la plaine et sur la montagne en même temps. La victoire se trouve dans la stratégie d’Elohim. Elle s’obtient obligatoirement dans le modèle de la victoire de la croix avec ses deux bras, l’un vertical, l’autre horizontal.
Moïse qui se tient sur la montagne commence à intercéder en faveur de Josué. Tant que Moïse lève ses mains vers Elohim, Josué se tient dans la victoire sur ses ennemis. Il ne s’agit pas de gagner une bataille, mais une guerre qui doit passer par l’extermination de l’adversaire. Quand Moïse se fatigue, ses mains se baissent et Josué est obligé de céder le terrain conquis. L’ennemi redevient le plus fort.
Aaron et Hur, un de chaque côté, viennent au secours de Moïse, et l’aident à garder ses mains levées. Mais avant, ils décident de le faire asseoir sur une pierre.
“ Les mains de Moïse étant fatiguées, ils prirent une pierre qu’ils placèrent sous lui, et il s’assit dessus. Aaron et Hur soutenaient ses mains, l’un d’un côté, l’autre de l’autre ; et ses mains restèrent fermes jusqu’au coucher du soleil. “ (Exode 17:12)
Ici, le mot pierre, en hébreu, est le même mot que la Bible utilise pour parler de la pierre angulaire rejetée par les hommes : ce terme désigne Yahshua.
Autrement dit, Aaron et Hur ont fait asseoir Moïse en Yahshua. Pourtant Moïse avait le bâton avec lequel il a ouvert la Mer Rouge. Sur la montagne, Moïse a bien levé son bâton comme pour ouvrir la mer. Mais dans la situation présente, il n’a pas obtenu le même résultat.
Pourquoi ? Elohim désirait lui apprendre une nouvelle stratégie.
Elohim veut nous apprendre de nouvelles stratégies. Pour détruire un ennemi, la prière ne suffit pas, il faut combattre, sans omettre toutefois la prière, la louange, la proclamation de la parole.
*** Demandons et combattons selon les plans d’Elohim. ***
Envisageons d’autres stratégies selon les circonstances. Par exemple, que se serait-il passé si Moïse, Aaron et Hur étaient descendus dans la plaine pour combattre aux côtés de Josué ?
Ils auraient mené un combat dans la chair. Quelle était la nature de leur ennemi ? Spirituelle.
La chair peut-elle gagner un combat contre un ennemi spirituel ? Non, évidemment et d’autre part, c’était le combat de Josué. Il aurait été privé de la victoire. Moïse, Aaron et Hur se seraient retrouvés dans la compassion charnelle, dans un rôle de faux sauveurs, et connu l’échec total.
Avant de combattre, identifions la nature de notre ennemi : ici Amalek représente Satan lui-même.
Envisageons la stratégie contraire consistant à se tenir tous les quatre sur la montagne, implorant, criant à Elohim d’arrêter cet ennemi qui leur bloquait la route. Le peuple dans la vallée aurait été sauvagement massacré.
La Parole nous dit que le secours nous vient de YHWH. Oui c’est vrai, cependant nous aurons toujours à exercer notre foi en étant actif, en menant le combat contre l’adversaire, comme dans l’exemple donné ci-dessus.
Il  nous est donné pour nous montrer combien nous avons besoin les uns des autres, de notre complémentarité. Mais chacun à notre place, et en nous tenant dans la stratégie d’Elohim.
Elohim ne nous demande pas de gagner un combat pour le frère ou la sœur. Mais de les aimer et de les aider à gagner leur combat.
C’est ainsi que nous nous stimulerons et que nous marcherons sur la voie royale.
Source : parolevivante.net
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82 Grâce à la Grande Tribulation, j’ai récolté de formidables bénéfices
   RONG Guang La ville de Zhengzhou dans la province de Henan
 L’œuvre de Dieu visant à sauver les gens est si merveilleuse et si sage. En 1996, nous sommes tous entrés dans la grande tribulation grâce à la disposition de Dieu. Mais quand la tribulation est arrivée sur nous, personne ne s’en est rendu compte ; tout s’est passé si naturellement, ma vraie nature et ma situation indigne d’opportuniste se sont révélées au cours de la tribulation.
 En juin et juillet 1996, je me trouvais dans une autre partie du pays pour accomplir mon devoir impliquant de l’écriture. Un jour, le chef de cette région est venu nous dire que la situation récente n’était pas très bonne et que Sœur unetelle avait été arrêtée par le grand dragon rouge. Quand nous en avons entendu parler, nous avons voulu prier pour cette sœur et ne pouvions guère penser à autre chose, car nous savions tous qu’il était monnaie courante que des gens soient arrêtés pour leur croyance en Dieu en Chine, pays qui persécutait Dieu de la sorte. Mais, cela eut lieu seulement quelques jours avant que nous apprenions qu’un certain nombre d’autres frères et sœurs avaient été arrêtés. Quelques jours se sont encore écoulés et, nous avons appris qu’environ une douzaine d’autres croyants avaient été arrêtés, et que beaucoup de disciples connus, qui officiaient comme leaders dans la famille de Dieu, avaient été secrètement inscrits sur la liste des personnes recherchées. L’arrestation de certains avait été mise à prix. Les leaders locaux figuraient aussi sur la liste noire du grand dragon rouge. J’ai senti que les choses tournaient mal : on aurait dit que le grand dragon rouge essayait de détruire les croyants d’un seul coup. Nous sentions planer une sorte de terreur dans l’atmosphère qui nous enveloppait ; nous ne savions pas quoi faire dans ce genre de situation ; nous voulions entrer en contact avec notre supérieur pour lui demander comment procéder, mais nous ne pouvions entrer en contact avec lui. Plus tard, j’ai découvert que la tribulation avait commencé un mois plus tôt. La parole de Dieu s’est réalisée : « lorsque Dieu frappera le berger, les brebis du troupeau seront dispersées et, à ce moment-là, vous n’aurez aucun vrai conducteur. Les gens seront divisés. Ce ne sera pas comme maintenant où vous pouvez vous rassembler en congrégation ». Or, à ce moment-là, nous avions l’esprit engourdi et n’osions pas nous laisser aller à de folles suppositions ni définir l’œuvre de Dieu. Nous ne savions donc pas que c’était la grande tribulation. Tout ce que nous pouvions ressentir, c’était la main sombre du grand dragon rouge qui se rapprochait de nous et que notre travail n’avançait pas pour des raisons objectives. Face à une situation désespérée de ce genre, nous avons vaguement pris conscience que l’œuvre avait été entravée par la main de Dieu ; Dieu nous poussait à arrêter l’œuvre et à nous cacher, et retourner sans tarder dans notre pays d’origine. Ainsi, nous serions plus en sécurité. Par conséquent, nous fûmes obligés de nous disperser et de retourner dans notre pays d’origine.
 Je n’étais à la maison que depuis une semaine quand une sœur est venue me remettre une lettre disant qu’un frère de notre Église avait été arrêté et que je devais quitter immédiatement la maison. À cette époque, j’étais comme un cerf aveuglé par les phares d’une voiture ; je n’avais pas du tout la foi et n’avais dans mon cœur qu’une seule pensée : me cacher au plus vite et éviter que le grand dragon rouge ne me capture ; le grand dragon rouge est trop pitoyable et cruel, et les méthodes féroces qu’il utilise pour détruire les croyants sont sans précédent. Si je tombe entre les mains du démon, les conséquences seraient inimaginables. Ensuite, une sœur m’a fait venir dans les montagnes pour faire la cuisine à des mineurs. J’étais là en compagnie de deux autres sœurs et nous profitions des moments où personne n’était présent pour manger et boire les paroles de Dieu, échanger et chanter des cantiques. Comme nous avions une réserve de paroles de Dieu, chaque jour était très enrichissant. Cependant, en moins d’un mois, la police est arrivée dans le secteur et je n’eus pas d’autre choix que de partir à la hâte. Ensuite, je suis allée travailler dans un autre restaurant. Tous ceux avec qui j’entrais en contact étaient des incroyants et nous ne parlions pas le même langage ; de plus, je n’avais pas la parole de Dieu dans ce genre d’environnement et il n’y avait personne avec qui échanger, au point que j’avais même du mal à offrir une prière convenable. Je me sentais seule et dévastée, et mon cœur ne pouvait s’empêcher de se plaindre. Je voulais même trahir Dieu et cesser de croire : « Croire en Dieu n’est vraiment pas facile et je suis à fleur de peau à longueur de journée ; j’erre dans un monde dépourvu de justice ; quand ces jours prendront-ils fin ? Si je ne croyais pas en Dieu, si j’optais pour le style de vie facile et stable des incroyants, ne serait-ce pas merveilleux ? » Même si mon cœur pensait de cette façon, je me sentais effrayée et n’osais pas quitter Dieu ; je me sentais dans l’impossibilité de quitter Dieu, la pensée même de Le quitter me faisait souffrir. Pourtant, puisqu’au auparavant, je n’aimais pas lire la parole de Dieu, que je ne recherchais pas la vérité, que je n’accomplissais mes devoirs que dans le but d’obtenir des bénédictions, alors, à partir du moment où j’ai mis de côté les livres de la parole de Dieu, il n’y avait plus une seule ligne de la parole de Dieu dans mon cœur. Sans la parole de vie de Dieu pour me soutenir, j’étais comme une folle qui avait perdu la raison. Je ne savais pas quoi faire de moi-même ni quelle voie poursuivre. Je ne faisais que lutter désespérément au quotidien. Quelle était la volonté de Dieu ? Pourquoi avait-Il pris ces dispositions à mon égard ? Comment pourrais-je pratiquer et satisfaire Dieu ? Je n’avais pas la force de réfléchir à cela, je ne pensais qu’à mes difficultés. À cette époque, j’avais perdu ma foi en la toute-puissance et l’omniscience de Dieu ainsi que ma croyance en la domination universelle de Dieu. Quand une sœur est venue m’inviter à rendre visite à des frères et sœurs, j’ai décliné son offre parce que mon cœur était craintif et lâche. Je n’avais ni foi ni force, je ne comptais que sur mon esprit et mes pensées, croyant que le contexte ne serait pas favorable tant que Hong Kong ne serait pas passée sous autorité chinoise. À la même période, le grand dragon rouge réprimera et éradiquera frénétiquement tous ceux qui croient sincèrement en Dieu. Comme le retour de Hong Kong sous autorité chinoise prendra du temps, il est certain que je dois me protéger. Pendant les deux mois et demi où j’ai travaillé au restaurant, mon cœur s’est éloigné de plus en plus de Dieu, presque au point de seulement reconnaître le nom de Dieu, mais sans avoir Dieu dans mon cœur. Mon cœur était souvent attiré par les plaisirs sensuels ; je voulais fuir Dieu et vivre la vie des incroyants. Cependant, au cours des quelques jours suivants, Dieu et les frères et sœurs m’ont particulièrement manqué ; ma vie ecclésiale antérieure me manquait. Quand j’étais seule, je ne pouvais m’empêcher de pleurer sans arrêt. J’avais le cœur triste : Oh mon Dieu, toute la journée je suis avec des gens qui appartiennent au diable ; quand je ne travaille pas, alors je mange ou ai une conversation ennuyeuse. Toi seul connaît le vide et la douleur dans mon cœur. Oh mon Dieu, quand cette longue nuit finira-t-elle ? Quand serons-nous libres de croire en Dieu, comme par le passé, quand nous vivions dans Ta chaleureuse famille ? Mon cœur était tourmenté comme s’il était envahi de mauvaises herbes et je ne pouvais rester plus longtemps. Il se trouve que s’approchait le Festival de Printemps et j’ai profité de l’occasion pour quitter mon emploi et retourner rapidement chez mes frères et sœurs. Ensuite, je me suis rendue compte que je n’étais pas la seule à entretenir ces pensées ; beaucoup de frères et sœurs avaient réussi à échapper aux arrestations du grand dragon rouge en fuyant vers d’autres régions et avaient vécu la même chose. Ils sont tous rentrés chez eux parce qu’ils pensaient la même chose. C’était le fait de l’aide miraculeuse du Saint-Esprit.
 Quelques jours à peine après mon retour à la maison, une sœur est venue m’informer d’une réunion d’Église. Quand j’entendis la sœur dire que la tribulation était terminée, et que tout était revenu à la normale, et que je pouvais reprendre ma précédente fonction, il me fallut un moment avant de réaliser : « Comment ? La tribulation est terminée ? Il s’agissait de la tribulation ? Il faudra encore quelques mois avant le retour de Hong Kong sous la coupe de la Chine. Comment la tribulation avait-elle pu prendre fin ? Je ne m’attendais pas à cela ! Tout ce que nous avons vécu était la tribulation, maintenant c’est terminé ! Qu’ai-je manifesté pendant la tribulation ? Outre ma lâcheté et mes craintes, je me suis plainte, j’ai fui et j’ai trahi. Je n’ai fait preuve d’aucune foi, sans parler de loyauté et d’amour. Cette fois-ci, Dieu avait testé mon travail et j’avais complètement échoué ». Je baissai la tête, plein de désespoir et le cœur empli de toutes sortes de sentiments. Cette fois-ci, j’ai compris ce que Dieu avait dit avant le début de la tribulation : « Après que Ma propre œuvre sera terminée, la prochaine étape sera que les gens parcourent le chemin destiné. Tous doivent comprendre quel chemin ils devraient parcourir. C’est un chemin de souffrance et un processus de souffrance, et c’est aussi un chemin de raffinement de ta volonté d’aimer Dieu. Dans quelles vérités tu devrais entrer, quelles vérités tu devrais parachever, comment tu devrais expérimenter et à partir de quel aspect tu devrais entrer, tu dois comprendre toutes ces choses. Tu dois t’équiper maintenant. Si tu attends que la tribulation t’arrive, il sera trop tard » (« Comment devrais-tu parcourir la dernière étape du chemin », La Parole apparaît dans la chair). Cette leçon tragique m’apprend ceci : on ne peut pas témoigner dans la tribulation si l’on ne possède pas la vérité et si l’on se repose sur ses propres désirs. Les gens qui vivent l’œuvre de Dieu sans vérité seront certainement entièrement dévoilés ; ils ne pourront absolument plus se cacher ou faire semblant. Sans vérité, vos fondations reposent sur le sable, elles ne résisteront pas à la moindre épreuve. Ce n’est qu’avec la vérité que vous pouvez voir les choses clairement, avoir la foi et la force, être capable de triompher de Satan et mettre la vérité en pratique pour satisfaire Dieu et témoigner pour Dieu. Je me haïssais véritablement : Dieu nous a déjà patiemment dit ces choses il y a bien longtemps et pourquoi ne les ai-je pas crues, pourquoi ne les ai-je pas prises au sérieux ! On ne peut revenir en arrière ; il n’y a pas d’autre choix que de rechercher minutieusement la vérité sur le chemin qui nous attend.
 Quand s’est achevé notre réunion, j’ai entendu une sœur révéler une certaine information en interne : le grand dragon rouge s’acharne toujours à arrêter les croyants et encore plus intensément. Quand j’entendis cela, mon cœur de peu de foi chuchota à nouveau : « Le contexte est tellement tendu et tous les frères et sœurs accomplissent leurs devoirs. Est-ce normal ? Mais ce fait m’a permis de le constater : même si la situation est tendue, les gens n’ont pas peur comme lors de la tribulation ; pendant l’accomplissement de notre devoir, nous avons le cœur particulièrement ferme et paisible, comme si tout le monde oubliait l’information confidentielle transmise par cette sœur. L’Esprit-Saint accomplit aussi un travail énorme dans l’Église ; très bientôt se présentera la grande occasion où l’évangile s’étendra à tous les pays. Nous sommes de plus en plus pris par notre travail et chaque tâche est accomplie sereinement. Presque tous les frères et sœurs accomplissent leur devoir de leur mieux à leurs postes respectifs. Notre progression est en plein essor, juste sous le nez du grand dragon rouge, pourtant, pendant que l’œuvre s’étend si vigoureusement, il n’y a aucune arrestation comme c’était le cas en pleine grande tribulation. Ces faits m’ont permis de voir clairement une vérité : En fait, le grand dragon rouge continue de résister à Dieu, de persécuter Dieu et de contraindre le peuple élu de Dieu ; il n’a jamais cessé et veut assassiner Dieu et Son peuple élu. Parfois, ce n’est pas sur nous que tombe le couteau de boucher qu’il tient dans sa main, et c’est Dieu qui veille sur nous et nous protège. Parfois, nous ne percevons même pas son intention de tuer et c’est Dieu qui étend sur nous Ses grandes ailes pour nous protéger, ce n’est pas que le grand dragon rouge pose son couteau de boucher et arrête sa persécution. Le grand dragon rouge n’a jamais posé son couteau de boucher, il ne le posera jamais ; il tient à résister à Dieu jusqu’ à la fin et plus il se rapproche de cette fin, plus il devient frénétique, parce que le grand dragon rouge est Satan, l’esprit mauvais. Il sait que le jour glorieux où Dieu achèvera Son œuvre de salut sera son dernier jour. Par conséquent, plus la mort se rapproche, plus il lutte. Or, quoi qu’il arrive, l’œuvre de Dieu manie comme un fleuret le grand dragon rouge, c’est un instrument dans les mains de Dieu, c’est un outil destiné à mettre à l’épreuve le peuple élu de Dieu. Sa cruauté ne peut bloquer l’œuvre de Dieu, sans la permission de Dieu, il n’a aucun pouvoir sur le peuple élu de Dieu. Quand Dieu ne lui permet pas de se mettre en chasse, il aura beau avoir le peuple élu de Dieu sous le nez, il ne pourra pas les attraper. Il n’a pas d’autre choix que d’être à la merci de Dieu. Comme le dit la parole de Dieu : « Quand Je commence officiellement Mon œuvre, tous les gens se déplacent comme Je Me déplace, de sorte que les gens à travers l’univers s’occupent en phase avec Moi, il y a de la « jubilation » à travers l’univers, et l’homme est stimulé par Moi. En conséquence, le grand dragon rouge lui-même est fouetté dans un état de frénésie et de confusion par Moi, et sert Mon œuvre et, malgré qu’il soit réticent, il est incapable de suivre ses propres désirs, ne laissant aucun autre choix que de “se soumettre à Mon contrôle” » (« La vingt-neuvième déclaration », Déclarations et témoignages du Christ au commencement). Pendant la grande tribulation, Dieu a permis au grand dragon rouge de persécuter le peuple élu de Dieu, parce qu’Il voulait exploiter le grand dragon rouge et s’en servir au profit du peuple élu de Dieu afin qu’il voie clairement quelle est la substance de la corruption du grand dragon rouge envers Dieu. Si Dieu veillait sur nous et nous protégeait continuellement, sans nous laisser souffrir ne serait-ce qu’un peu de persécution dans la vie réelle, alors nous ne pourrions pas vraiment croire les paroles que Dieu a révélées au sujet de la nature de la corruption du grand dragon rouge ; et nous n’aurions pas conscience de la fidélité de Dieu. Par conséquent, Dieu nous permet de voir la vérité des faits au moment opportun. Ce n’est qu’ainsi que nous pouvons voir que tout ce que Dieu dit est vrai et que le grand dragon rouge est bien l’ennemi de Dieu, c’est-à-dire un esprit mauvais, et qu’il massacre les gens et engloutit l’esprit des gens. Si ces faits n’étaient pas révélés, je serais encore dupée et trompée par lui ; je le croirais encore quand il parle de « liberté de religion » et de « droits juridiques des citoyens ». Aujourd’hui, j’ai personnellement expérimenté la poursuite et la persécution du grand dragon rouge, j’ai vu de mes yeux le visage atroce du grand dragon rouge massacrer le peuple élu de Dieu. Et je sais maintenant que la liberté et la démocratie qu’il proclame ne servent tout simplement qu’à couvrir ses crimes. Je vois maintenant clairement la méchante et déplorable nature démoniaque du grand dragon rouge, et mon cœur le méprise profondément. Je me suis décidée à le trahir et de suivre Dieu jusqu’au bout.
 Les tribulations viennent de Dieu et la programmation de leur fin est sans aucun doute entre les mains de Dieu. Lorsque l’œuvre de Dieu produira des résultats, Dieu ne perdra certainement pas de temps. Comme Dieu l’a dit, « Le temps de la tribulation ne sera pas trop long ; elle ne durera même pas un an. Si elle devait durer un an, elle retarderait la prochaine étape de l’œuvre et la stature des gens serait inadéquate. Si elle était trop prolongée, ils ne pourraient pas l’endurer. Leur stature a ses limites » (« Comment devrais-tu parcourir la dernière étape du chemin », La Parole apparaît dans la chair). Dieu a Son plan et Il ne retarde pas l’étape suivante de la diffusion de Son évangile. Dieu a de nous une compréhension approfondie, Il connaît nos statures, Il connaît nos situations et Il n’est pas disposé à laisser perdre des vies humaines. Dieu a fait des projets bien précis pour nous dans Son œuvre, Il a pensé à nos vies à tout point de vue ; mais, pendant ma tribulation, tout ce à quoi je pensais, c’était à ma propre sécurité et si oui ou non j’endurais des difficultés ; je ne pensais pas du tout à Dieu. Je suis vraiment égoïste et pitoyable ; je n’ai pas de conscience rationnelle et je ne suis pas digne de vivre en la présence de Dieu. Dans ma tribulation, Dieu a révélé ma véritable stature, ce qui m’a amenée à avoir une compréhension réaliste de moi-même. J’ai vu combien j’étais pauvre, pitoyable et aveugle ; je voyais que je n’avais ni foi ni amour pour Dieu, mais seulement rébellion et résistance, à un tel point que je pouvais trahir à tout moment et en tout lieu. À cette époque, je pouvais voir le danger qui me menaçait et sentais l’importance de posséder la vérité ; depuis, j’ai toujours soif de vérité. À cette époque, je lisais les paroles que Dieu a révélées au sujet de la nature corrompue de l’homme et je sentais s’animer en moi la parole de Dieu , comme une épée à double tranchant transperçant mes articulations et ma moelle osseusee et révélant la souillure et l’injustice tapies dans les profondeurs de mon cœur. Cela m’a fait voir que j’étais pitoyable et laide, et que j’étais profondément corrompue par Satan. J’ai commencé à me mépriser et à désirer me changer ; j’avais soif d’être une personne sincère. Je sentais que l’œuvre du jugement et du châtiment de Dieu purifiait vraiment les gens et, aussi longtemps que je chercherais sincèrement la vérité, je serais sûrement purifiée et sauvée. La première fois que j’ai senti la grande valeur de la parole de Dieu et l’importance de la vérité, mon cœur s’est réjoui intérieurement : je suis enfin entrée dans ma croyance en Dieu, je marche à grands pas vers un nouveau départ et j’entrevois l’espoir d’obtenir le salut. Par conséquent, j’ai pris une résolution : peu importe à quel point est chaotique le chemin qui m’attend, je resterai toujours ferme et inébranlable à la suite de Dieu et marcherai dans le droit chemin de la vie.
 Les merveilleuses dispositions de Dieu nous ont permis d’entrer involontairement dans la tribulation et de sortir involontairement victorieux de la tribulation. La récolte que nous en avons moissonnée était claire et facile à voir. Par la tribulation, nous voyons que Dieu est tout-puissant et sage ; nous voyons que le grand dragon rouge est incapable et insensé. Il est débridé et sauvage, et n’a pas d’autre choix que d’être involontairement ébranlé par l’œuvre de Dieu ; il sera vaincu à jamais entre les mains de Dieu. Le grand dragon rouge tente vainement d’effrayer le peuple élu de Dieu par une persécution cruelle, et de perturber et démanteler l’œuvre de Dieu. Il ne réalise pas que Dieu utilise ceci pour perfectionner le peuple de Dieu. Même si, de l’extérieur, il semble que la persécution du grand dragon rouge ait touché le peuple, en réalité, tout est arrangé par la toute-puissante main de Dieu. Il disperse les gens et Il rassemble les gens, Il conduit les gens dans des tribulations et Il fait sortir les gens des tribulations ; Il laisse les gens endurer jusqu’à ce qu’ils souhaitent quitter, mais Il a toujours soutenu les gens, relevé les gens, et fait en sorte qu’ils ne puissent pas partir. C’est au milieu de ces merveilleux arrangements de Dieu que les gens sont en mesure de voir clairement la face hideuse du grand dragon rouge et de le mépriser vraiment du fond de leur cœur. Les gens peuvent aussi voir la grande puissance de Dieu et faire l’expérience de l’amour, de la toute-puissance et de la sagesse de Dieu. Ils sont plus fermes et inébranlables dans leur quête de Dieu, et ils peuvent voir leur véritable stature et leurs faiblesses ; leur cœur est animé d’une plus grande soif de Dieu et de vérité. Que Dieu intensifie la grande tribulation est tellement signifiant ; on relève tant de sagesse dans l’œuvre de Dieu. Personne ne peut Le concevoir. Il m’a été donné de prendre part à la grande tribulation organisée par Dieu ; ce fut vraiment l’exaltation de Dieu et Son amour abondant dans ma vie et mon honneur dans cette vie. Chaque fois que j’y réfléchis, je suis submergée d’émotion et je veux rendre grâces et louanges sincères à Dieu. Si je n’avais pas fait l’expérience de la tribulation, je n’aurais pas eu d’autre choix que de suivre aveuglément, de loin, comme un incroyant qui se tiendrait à l’écart des rangs de la formation offerte par le royaume et qui, au final, sombrerait et serait détruit. Si je n’avais pas fait l’expérience de la tribulation, je n’aurais pas eu la vraie foi en Dieu et je ne comprendrais pas la difficulté de l’œuvre de Dieu et qu’il n’était pas facile de sauver les gens. Si je n’avais pas fait l’expérience de la tribulation, je n’aurais pas pu voir le vrai visage du grand dragon rouge et je me ferais encore des illusions sur cette société obscure, j’aurais toujours un penchant pour ce monde et serais incapable de suivre Dieu avec un cœur inaltérable. C’est l’œuvre merveilleuse et sage de Dieu qui m’a conquise ; c’est la toute-puissance et le grand amour de Dieu qui m’ont conduite là où j’en suis aujourd’hui ! Dorénavant, quelles que soient les épreuves et les tribulations auxquelles je devrai faire face, je serai prête à compter sur ma foi et mon amour pour Dieu pour témoigner de Dieu et réconforter le cœur de Dieu.
 Source:  L’Église de Dieu Tout-Puissant
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christophe76460 · 3 months
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Tous les « enfants de Dieu » prient. Ce texte nous exhorte à persévérer dans la prière, afin de recevoir les miséricordes spirituelles promises par le Seigneur. La persévérance de la veuve a été plus forte que la ténacité du juge inique ; elle aurait cependant pu craindre que son insistance lui soit néfaste… Quand notre prière est fervente, elle satisfait notre Dieu. Même jusqu’au « temps de la fin », on rencontrera malheureusement une certaine faiblesse dans la foi…
Il n’y a pas le moindre doute quant à la Venue du Fils de l’Homme en réponse aux cris de ses élus. Le seul doute qui s’élève se rapporte à la foi : une foi vivante se trouvera-t-elle parmi les élus ? Le Seigneur pose la question : « trouvera-t-Il de la foi sur la terre ? » mais Il n’y répond pas. Il semble que l’on peut en déduire que la foi sera à son déclin, ce qui concorde avec ce que Lui-Même déclare ailleurs sans détours : « l’amour de plusieurs sera refroidi » ; (Matthieu 24.12). Si nous avons raison de croire que la fin de la dispensation présente approche, nous ferons bien de prendre cela très à cœur, et de nous ranimer quant à la foi et la prière. Ce n’est que si nous prions constamment que nous ne perdrons pas courage.
Jésus met en scène une veuve : l’exemple extrême et classique (Exode 22.22-24 ; Psaumes 146.9 ; Esaïe 1.17, 23 ; Jérémie 7.6-7) d’une personne sans ressources (incapable de donner un pot-de-vin à un juge injuste pour obtenir gain de cause) et d’un mauvais juge (objet de la vindicte populaire – et légale – en Israël comme dans toute l’Antiquité). L’objet de la contestation est peut-être une propriété que l’ adversaire de la veuve veut lui ravir parce qu’elle ne peut pas rembourser une dette (2 Rois 4.1).
A plus forte raison : si un mauvais juge, qui ne respecte pas Dieu, qui n’a d’égards pour personne et ne se préoccupe de personne, en particulier : ne se soucie pas des veuves, finit quand même par donner gain de cause à cette femme, à combien plus forte raison, le juste Juge de toute la terre, le Défenseur des veuves et des orphelins, défendra-t-il les droits de ceux qu’il a choisis et qui crient à lui jour et nuit. Dieu leur fera justice lorsque Jésus reviendra.
Dans le temps actuel, Dieu ressemble souvent à ce juge qui « pendant longtemps refusa » de faire justice à la pauvre veuve. L’Église, entourée d’adversaires, a un seul recours : Dieu, qu’elle supplie, comme la veuve importune, de défendre son droit.
En plus de l’argument a fortiori que Jésus tire de cette parabole, il lui donne l’assurance formelle que Dieu défendra promptement son droit, mais… « quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il encore la foi sur la terre ? » Trouvera-t-il encore des chrétiens qui continuent à le supplier : « Que ton règne vienne ! Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel » ?
Par cette dernière remarque, Jésus nous enseigne que la balle est dans notre camp : c’est par une prière persévérante que nous pourrons « hâter la venue du jour de Dieu » (2 Pierre 3.12).
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Chapitre 12 La volonté de Dieu est de sauver les gens dans toute la mesure du possible
1. Ne t’inquiète pas seulement de savoir si tu as été prédestiné ou pas par Dieu, inquiète-toi plutôt de ta recherche personnelle
2. Le but de l’œuvre de Dieu dans les derniers jours n’est pas de condamner les gens mais plutôt de les sauver
 Certaines personnes disent : « Je n’ai pas une bonne nature, donc qu’elle suive son cours ! » N’es-tu pas capable d’abandonner la chair ? Ne possèdes-tu pas un cœur et un esprit ? Comment priez-vous chaque jour ? « Chair, sors ! Que la nature suive son cours, Dieu l’a prédestinée ; je n’ai besoin de rien faire. » Est-ce cela ta prière ? Non ! Alors pourquoi n’œuvres-tu pas avec Dieu ? Certaines personnes qui ont commis un petit péché vont supposer : Dieu va-t-il me frapper ? Dieu n’est pas venu cette fois pour frapper les gens, mais au contraire pour sauver les gens dans toute la mesure du possible. Qui est entièrement exempt de faire des erreurs ? Si tout le monde est frappé, alors comment pourrait-on parler de salut ? Il y a des péchés qui sont commis volontairement et d’autres péchés qui sont commis involontairement. Dans le cas de péchés involontaires, tu peux changer après les avoir reconnu donc Dieu te frapperait-Il avant que tu ne changes ? Est-ce ainsi que Dieu sauve les gens ? Ce n’est pas ainsi ! Peu importe si tu commets des péchés involontairement ou à cause de ta nature rebelle, souviens-toi de ceci : Dépêche-toi et réveilles-toi pour voir la réalité en face ! Va de l’avant ; peu importe la situation qui se présente, tu dois aller de l’avant. Dieu œuvre pour sauver les gens et Il ne va pas frapper au hasard les gens qu’Il veut sauver. Quel que soit ton degré de transformation, même si Dieu te frappe à la fin, alors Dieu le ferait surement dans la justice ; lorsque ce temps viendra, Il te le fera comprendre. Mais maintenant ta seule responsabilité est d’aller de l’avant, de chercher une transformation et de chercher à plaire à Dieu ; tu devrais seulement t’inquiéter d’accomplir ton devoir selon la volonté de Dieu. On ne peut pas se tromper ! A la fin, quelle que soit la manière dont Dieu te traite, Il agit toujours en justice ; tu ne devrais pas douter ou t’inquiéter de cela ; même si actuellement, tu ne comprends pas la justice de Dieu, un jour viendra où tu seras convaincu. Dieu ne ressemble certainement pas à un fonctionnaire ou au roi des diables ! Si vous essayez de vous efforcer à comprendre ce point, alors vous finirez bien par croire que l’œuvre de Dieu est de sauver les gens et de transformer leurs tempéraments, si les gens ne révèlent pas leurs tempéraments, alors on ne peut rien faire et il n’y aura aucun résultat. Mais après avoir révélé ton tempérament, continuer sur la même voie causera des problèmes, cela offensera les décrets administratifs et offensera Dieu. Dieu infligera différents degrés de châtiment, et tu paieras le prix pour tes transgressions. Parfois tu deviens inconsciemment dissolu et Dieu te le fait remarquer, Il t’émonde, et te donne un avertissement ; si tu fais mieux, Dieu ne te tiendra pas pour responsable. C’est le processus normal de transformation ; la signification réelle de l’œuvre du salut qui est manifeste dans ce processus. Voilà ce qui est important ! Prends par exemple les limites entre les hommes et les femmes ; aujourd’hui tu agis de manière impulsive lorsque tu prends la main de quelqu’un, mais ensuite tu réfléchis : N’est-ce pas un comportement immoral ? N’est-ce pas un péché ? N’est-ce pas déshonorer Dieu lorsque les limites entre les hommes et les femmes ne sont pas respectées ? Comment pourrais-je faire une chose pareille ? Ensuite tu reviens à Dieu et tu pries : « Ô Dieu ! J’ai encore péché ; ceci n’est pas conforme à la vérité et je hais la chair corrompue. » Ensuite, tu décides de ne plus les toucher ou de ne pas t’approcher trop près d’eux. Est-ce cela la transformation ? Si tu subis cette transformation, Dieu te condamnera-t-Il encore pour leur prendre la main ? Si tu as pris leurs mains et cela ne te semblait pas juste, et tu n’as pas admis ton péché à Dieu, pensant qu’il n’y avait rien de honteux, et si tu ne te hais pas, si tu n’es pas vigilant, ou ne prends pas de décision, alors ensuite tu ne vas pas seulement leur prendre la main, mais les embrasser ! Les choses deviendront de plus en plus graves et cela t’amènera à commettre un péché, et en agissant ainsi, Dieu te condamnera pour tes péchés ; tu pécheras de plus en plus, c’est incorrigible. Si tu n’as révélé qu’un tout petit peu de tempérament corrompu involontairement, et tu peux te repentir, alors Dieu ne te condamnera pas et tu peux toujours être sauvé. Dieu veut sauver les gens, et c’est impossible que les natures des gens ne soient pas révélées dans une certaine mesure ; cependant, tu devrais prêter attention à la repentance et à une transformation rapide. Cela ne satisferait-il pas la volonté de Dieu ? Certaines personnes ne croient pas à cela et toujours, elles développent une attitude de prudence envers Dieu ; ce genre de personne souffrira un jour ou l’autre.
 Il a déjà été dit : Les évènements du passé peuvent être effacés par un coup de crayon ; le futur peut être utilisé pour remplacer le passé ; La tolérance de Dieu est illimitée. Mais ces paroles contiennent un principe ; Ce n’est pas la grandeur du péché que tu as commis qui compte à la fin, Dieu peut l’effacer d’un coup de crayon ; toute l’œuvre de Dieu est basée sur des principes. Dans le passé, il existait ce genre de décrets administratifs : Celui qui a commis un certain péché avant d’accepter le nom de Dieu, qu’on le laisse se joindre à la maison de Dieu ; s’il commet encore ce péché après s’être joint, corrigez-le d’une certaine manière ; s’il commet ce péché constamment, alors expulsez-le. Dieu a toujours pardonné les gens dans toute la mesure du possible dans Son œuvre ; dans cette perspective, on peut voir que cette œuvre est vraiment l’œuvre de sauver les gens. Mais dans cette dernière étape, si tu commets toujours des péchés impardonnables, tu ne vas ni pouvoir être guéri ni être capable de changer. Dieu a un processus pour changer les tempéraments des gens et pour sauver les gens. Au cours de ce processus où les gens révèlent leurs tempéraments, Dieu les transformera ; au cours de ce processus où les gens révèlent et transforment continuellement leurs tempéraments, Dieu atteint Son but du salut. Certaines personnes pensent : puisque c’est ma nature, alors je vais l’exposer autant que possible ! Ensuite, je vais la reconnaitre et mettre la vérité en pratique. Ce processus est-il nécessaire ? Si tu es vraiment une personne qui met la vérité en pratique, et si tu vois aussi que tu as des problèmes similaires aux autres, alors tu vas faire de ton mieux pour éviter de faire ces choses. Ceci n’est-il pas une transformation indirecte ? Quelquefois, tu penses agir de cette manière-là, mais avant que tu agisses ainsi, tu en deviens conscient et tu y renonces. Ceci ne permet-il pas d’atteindre le but du salut ? Il y a un processus pour mettre chaque vérité en pratique ; il t’est impossible d’être parfait et d’avoir des pensées pures quand tu commences juste à pratiquer. Il y a encore plusieurs choses qui font que tu te fies totalement à tes pensées, mais après avoir reçu un traitement et avoir été émondé, tu agiras finalement en complète harmonie avec les intentions et les paroles de Dieu. Voilà ce qu’est le changement et la transformation.
                                          Source :  L’Église de Dieu Tout-Puissant
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love-the-lord-blog1 · 7 years
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Le Seigneur Jésus a dit qu’Il reviendra. De quelle manière se produira Son retour ?
La réponse issue de la parole de Dieu :
    Extrait de « Le Sauveur est déjà revenu sur une « nuée blanche », La Parole apparaît dans la chair
   Dieu est incarné dans la Chine continentale, ce que les compatriotes de Hong Kong et de Taiwan appellent l’intérieur des terres. Quand Dieu est venu d’en haut sur la terre, personne dans le ciel et sur la terre ne le savait, car c’est justement ce que signifie « Dieu qui revient de façon dissimulée ». Il a travaillé et vécu longtemps dans la chair, mais personne ne l’a su. Même aujourd’hui, personne ne le reconnait. Peut-être que cela restera une énigme éternelle. La venue de Dieu dans la chair cette fois ne peut pas être connue par qui que ce soit. Peu importe l’envergure et la puissance du travail de l’Esprit, Dieu reste toujours composé, ne se trahissant jamais. C’est comme si cette étape de Son travail se déroulait dans le royaume céleste. Même si c’est parfaitement évident pour tout le monde, personne ne le reconnait. Quand Dieu terminera cette étape de Son travail, tous se réveilleront de leur long sommeil et changeront leur attitude. […] En sauvant l’homme par la croix, Jésus n’accomplissait que le travail de rédemption ; Il ne faisait pas le travail de perfection. Ainsi, seule la moitié de l’œuvre de Dieu était accomplie, et la fin du travail de rédemption n’était que la moitié de Son plan d’ensemble. Comme le nouvel âge était sur le point de commencer et l’ancien sur le point de se retirer, Dieu le Père a commencé à élaborer la deuxième partie de Son travail et à s’y préparer. Dans le passé, cette incarnation dans les derniers jours n’a peut-être pas été annoncée, et donc cela a renforcé le secret entourant cette autre venue de Dieu dans la chair. À l’orée du jour, à l’insu de tous, Dieu est venu sur terre et a commencé Sa vie dans la chair. Les gens ignoraient tout de ce moment. Ils étaient peut-être tous endormis. Plusieurs de ceux qui étaient éveillés attendaient peut-être avec vigilance, et plusieurs priaient peut-être silencieusement Dieu qui est au ciel. Pourtant, parmi tous ces gens nombreux, pas un ne savait que Dieu était déjà arrivé sur la terre. Dieu a travaillé comme cela afin de réaliser plus facilement Son travail et obtenir de meilleurs résultats, et également afin d’éviter plus de tentations. Lorsque l’assoupissement printanier de l’homme aura cessé, l’œuvre de Dieu aura été terminée depuis longtemps et Il partira, mettant un terme à Son itinérance et à Son séjour sur la terre. Parce que le travail de Dieu exige que Dieu agisse et parle personnellement et parce qu’il n’y a aucun moyen pour l’homme de l’aider, Dieu a enduré une douleur extrême pour venir sur la terre et faire le travail Lui-même. L’homme est incapable de représenter le travail de Dieu. Donc Dieu a risqué des dangers plusieurs milliers de fois supérieurs à ceux de l’ère de la Grâce pour descendre où demeure le grand dragon rouge et faire Son propre travail, pour mettre toute Sa pensée et Ses soins à racheter ces gens appauvris, à racheter ces gens embourbés dans le fumier.
    Extrait de « L’œuvre et l’entrée (4) », La Parole apparaît dans la chair
   Maintenant, la nouvelle œuvre de Dieu est commencée, et c’est aussi le début d’une nouvelle ère. Dieu conduit ceux qui sont rachetés dans Sa maison pour commencer Sa nouvelle œuvre de salut. Cette fois, l’œuvre du salut est plus approfondie que dans le passé. Cette œuvre ne sera pas faite par le Saint-Esprit travaillant dans l’homme pour lui permettre de changer par lui-même, ni ne sera faite par le corps de Jésus apparaissant parmi les hommes, et encore moins ne sera faite d’une autre manière. Au contraire, l’œuvre sera fait et dirigé par Dieu incarné Lui-même. Cela est ainsi dans le but de conduire l’homme dans la nouvelle œuvre. N’est-ce pas une grande chose ? Dieu ne fait pas cette œuvre par une partie des hommes ou par des prophéties, mais par Dieu Lui-même…
   Cette fois, Dieu vient faire Son œuvre non dans un corps spirituel, mais dans un corps très ordinaire. Non seulement est-ce le corps de la deuxième incarnation de Dieu, mais aussi le corps dans lequel Dieu est revenu. C’est une chair très ordinaire. En Lui, tu ne peux rien voir qui est différent des autres, mais tu peux recevoir de Lui les vérités qui ne t’ont jamais été dites avant. Cette chair insignifiante est l’incarnation de toutes les paroles de vérité de Dieu, elle assume l’œuvre de Dieu dans les derniers jours et est une expression de tout le tempérament de Dieu que l’homme doit en arriver à connaître. Ne désirais-tu pas ardemment voir le Dieu du ciel ? Ne désirais-tu pas ardemment comprendre le Dieu du ciel ? Ne désirais-tu pas ardemment voir la destination de l’humanité ? Il te dévoilera tous ces secrets qu’aucun homme n’a pu te dévoiler, Il te dira même les vérités que tu ne comprends pas. Il est ta porte d’entrée dans le règne et ton guide dans la nouvelle ère. Une telle chair ordinaire renferme de nombreux mystères insondables. Ses actions peuvent être indéchiffrables pour toi, mais le but de toute l’œuvre qu’Il fait suffit pour que tu voies qu’Il n’est pas une simple chair comme le croit l’homme. Car Il représente la volonté de Dieu, ainsi que le soin apporté à l’humanité par Dieu dans les derniers jours. Bien que tu ne puisses pas entendre les paroles qu’Il dit et qui semblent secouer les cieux et la terre, bien que tu ne puisses pas voir Ses yeux comme des flammes ardentes ni sentir la discipline de Sa tige de fer, tu peux entendre la fureur de Dieu dans Ses paroles et savoir que Dieu a de la compassion pour l’humanité ; tu peux voir le tempérament juste de Dieu et Sa sagesse, et aussi te rendre compte du souci et de l’attention que Dieu a pour l’humanité tout entière. L’œuvre de Dieu dans les derniers jours est de permettre à l’homme de voir le Dieu du ciel vivre parmi les hommes sur la terre et de permettre à l’homme de connaître, obéir, vénérer et aimer Dieu. C’est pourquoi Il S’est fait chair une deuxième fois.
    Extrait de « Le sais-tu ? Dieu a fait une grande chose parmi les hommes », La Parole apparaît dans la chair
    Source : L'Église de Dieu Tout-Puissant
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yes-bernie-stuff · 2 years
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LUNDI 2 MAI
DE QUI DÉPENDRE ?
« ET MON DIEU POURVOIRA À TOUS VOS BESOINS » PHILIPPIENS 4.19
Comment savoir si on compte sur les gens plutôt que sur Dieu ? Par exemple, quand on en veut à son patron parce qu’on n’a pas obtenu l'augmentation escomptée. Ou quand on se met en colère contre un proche parce qu'il nous refuse un prêt. C’est frapper à la mauvaise porte pour obtenir un bienfait ! Oui, ça fait mal quand les efforts ne sont pas reconnus. Pourtant, Dieu utilise des personnes comme instruments pour nous bénir, mais lui seul doit être la source de toute bénédiction ! La Bible dit : « Garde-toi de dire en ton cœur : ma force et la vigueur de ma main m'ont acquis ces richesses. Tu te souviendras de l'Éternel, ton Dieu, car c'est lui qui te donne de la force pour acquérir ces richesses » (De 8.17-18). « Lorsque Dieu donne à quelqu'un d'être riche et de jouir de sa fortune, il peut profiter de la part qui lui revient, du produit de son travail. C'est là un don de Dieu » (Ec 5.19). « Elle ne se rendait pas compte que c'est moi qui lui donnais […] l’argent et l’or » (Os 2.10). Pourquoi ? Elle a ignoré Dieu et oublié qu'il était la véritable source. En général, on recherche et on entretient les relations gratifiantes. Donc, si on reconnaît que Dieu est la source de toute bénédiction, on s’engage dans une vraie relation avec lui. C'est pourquoi Jésus a dit : « Cherchez premièrement son royaume et sa justice, et tout cela vous sera donné par-dessus » (Mt 6.33). Il suffit de chercher Dieu, semer généreusement dans son royaume, s’attendre à ce qu'il réponde aux besoins, et tous nos efforts seront bénis.
B365 — Plan de lecture
Deutéronome 11
Prière du jour
Apprends-moi mon Dieu à dépendre de toi seulement.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2022
Publication
Parole du jour
© PHARE MEDIA 2022
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sakrum1 · 7 years
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Jeudi 17 août 2017 : commentaire Saint Cyprien
Le Seigneur nous oblige à remettre nous-mêmes les dettes de nos débiteurs, comme nous, nous demandons qu'on nous remette les nôtres (Mt 6,12). Nous devons savoir que nous ne pouvons pas obtenir ce que nous demandons à propos de nos péchés, si nous n'en faisons pas autant pour ceux qui ont péché envers nous. C'est pourquoi le Christ dit ailleurs : « C'est la mesure dont vous vous servirez qui servira de mesure pour vous » (Mt 7,2). Et le serviteur qui, après avoir été libéré de toute sa dette, n'a pas voulu à son tour remettre celle de son compagnon de service est jeté en prison. Parce qu'il n'avait pas voulu faire grâce à son compagnon, il a perdu ce dont son maître lui avait fait grâce. Cela, le Christ l'établit avec plus de force encore dans ses préceptes, lorsqu'il décrète... : « Quand vous êtes debout en prière, si vous avez quelque chose contre quelqu'un, pardonnez, pour que votre Père qui est aux cieux vous pardonne vos fautes. Mais si vous ne pardonnez pas, votre Père qui est aux cieux ne vous pardonnera pas non plus vos fautes » (Mc 11,25-26)... Lorsque Abel et Caïn, les premiers, ont offert des sacrifices, ce n'est pas leurs offrandes que Dieu regardait mais leur cœur (Gn 4,3s). Celui dont l'offrande lui plaisait, c'est celui dont le cœur lui plaisait. Abel, pacifique et juste, en offrant le sacrifice à Dieu dans l'innocence, enseignait aux autres à venir avec la crainte de Dieu pour offrir leur présent à l'autel, avec un cœur simple, le sens de la justice, la concorde et la paix. En offrant avec de telles dispositions le sacrifice à Dieu, il a mérité de devenir lui-même une offrande précieuse et de donner le premier témoignage du martyre. Il a préfiguré, par la gloire de son sang, la Passion du Seigneur, parce qu'il possédait la justice et la paix du Seigneur. Ce sont des hommes semblables qui sont couronnés par le Seigneur, et qui, au jour du jugement, obtiendront justice avec lui.
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