#premiers jours de l'année
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Aujourd'hui 20 novembre, c'est le TDOR, le Transgender Day of Remembrance. Un jour où la communauté trans et non binaire se souvient et rappellent les noms de ses mort'es, de celleux que nous avons perdus par assassinats, sui*ides ou précarités.
Les premières victimes sont les femmes trans et personnes transfems noires, latinx, et plus généralement racisées, dû à la violence transmisogyne et raciste étatique.
Nous les recensons et en faisons le décompte tous les ans, même si beaucoup de mort'es restent invisibles, du fait du mégenrage / deadnaming des proches, des journalistes, de la police...etc :
- https://transrespect.org/en/research/tmm/ - https://tdor.translivesmatter.info/reports?view=map Environ 373 personnes trans et non binaire sont mortes depuis un an, dans le monde.
Pour ce jour j'ai décidé de reprendre un ancien dessin que j'avais fait pour l'inktober de 2016, l'année de mon premier coming out.
Si vous ne voulez pas passer ce moment seul'e vous pouvez vous tourner vers vos associations trans et LGBTIA+ qui font des recueillement publique ou en ligne ce soir.
Voici la liste de @orgasolitrans pour les rassemblements qui auront lieu ce soir un peu partout en france :
- https://www.instagram.com/p/DCjH2GuCPfZ/?img_index=1
La vidéo de @aggressively_trans :
- https://www.instagram.com/p/DClWeIOi6OQ/
Plein de force, d'amour et de soutien à nous toustes. Soutenons nous, souvenons nous de nos mortes, battons nous pour nos vies !
#TDOR#tdor2024#transdayofremembrance#transartist#trans#transgender#lgbtia#lgbtiart#transmisogyny#feminism#feminicide#transmisogynoir#transgenre#racism#TDS#deuil#mourning#commemoration#manga studio#illustration#queer#laurierthefox
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21 décembre 2024.... Voici venu le premier jour de l'hiver, le jour le plus court de l'année, celui qui annonce le froid, celui qui nous promet, aussi, un renouveau, des lumières qui vont s'accroître au fil du temps…
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Sir Crocodile et cette terrible, horrible, mauvaise, très mauvaise journée
On Ao3
18+ MDNI
Translated into French by the incredible @amandine-rustal
The original in English
Couple : Crocodile x Lectrice
Avertissements : Lemon sur la dernière partie.
Résumé : Crocodile redoute le seul jour de l'année où tu ne travailles pas : ton anniversaire. En tant qu'assistante personnelle incroyable, il dépend de toi pour presque tout. Comme chaque année, cette journée sans toi est un désastre complet. Mais peut-être qu'il peut sauver quelque chose des décombres. Quelque chose ou quelqu'un qu'il désire depuis très longtemps.
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Sir Crocodile tapota du plat de son crochet la date entourée sur son calendrier de bureau. Demain était son jour le moins préféré de toute l'année. Tu ne prenais qu'un seul jour de congé par an, ton anniversaire. Bien sûr, tu avais aussi théoriquement des week-ends de libres. Mais il y avait toujours un imprévu et tu passais au moins une demi-journée à gérer ses affaires ou ses problèmes personnels chaque week-end.
Il ne t'en voulait pas d'avoir ton anniversaire pour toi, tu étais incroyablement assidue et tu le méritais. Mais sans toi à ses côtés, tout semblait s'écrouler en quelques minutes. Tu étais de loin la meilleure assistante personnelle qu'il ait jamais eue. Peut-être même la meilleure employée qu'il ait jamais eue, surpassant même sa cohorte d'hommes de mains, dotée de fruit du démon, qui tuait pour lui sans discernement.
Bien sûr, il savait que s'il t'appelait sur ton baby den den mushi, tu répondrais et ferais tout ce qu'il voulait. Mais il se sentirait coupable de te déranger. Et la culpabilité était une émotion que Crocodile avait ressentie qu'une seule fois et qu'il ne voulait plus jamais ressentir. Non, il se débrouillerait sans toi demain et te laisserait profiter de ton jour de congé.
Bien qu'il n'ait pas été avenant avec ses hommes du Baroque Works, Crocodile était considéré comme un employeur de premier plan à Rainbase. Une fois qu'il avait trouvé quelqu'un qui était bon dans sa profession, il faisait de son mieux pour le garder à son service. Il traitait son personnel avec respect, le payait très bien et avait établi des directives à suivre pour les employés. Les hommes de mains pouvaient être remplacés, les pirates sanguinaires étaient monnaie courante. Des femmes de ménage, des chefs et des assistants fiables et de haute qualité ? Inestimable.
Et tu étais l'employée la plus fiable, la plus organisée, la plus équilibrée, la plus méticuleuse et la plus travailleuse qu'il n’avait jamais eu.
Au début, il te soupçonnait d'être une utilisatrice de fruit du démon. Cela aurait expliqué comment tu parvenais à tout faire correctement, à temps et si facilement.
Cependant, il s'est vite rendu compte que tu étais juste excellente.
Tu ne suivais pas ses ordres à la lettre, comme certains de ses complices. Tu n'attendais pas qu'il te dise ce dont il avait besoin ou les tâches qu'il voulait faire, tu pensais par toi-même et tu anticipais ses besoins.
Tu n'étais pas une personne qui disait oui à tout, tu exprimais ton opinion s'il te le demandait. Il appréciait ta perspicacité et ton esprit vif. En fait, pendant les années où tu avais travaillé pour Crocodile, tu ne t'étais disputée qu'une seule fois. Et ce n'était même pas une dispute, en fait. Crocodile avait commencé à se laisser pousser une moustache, il pensait que cela ajoutait un peu de royauté à son visage. Tu la détestais et tu lui as dit que cela ne convenait pas à ses traits. Tu avais raison, bien sûr. Il t'avait permis de la raser toi-même, pour ton plus grand plaisir.
Même si ce n'était pas ton jour de congé, Crocodile se souvenait toujours de ton anniversaire. Le tien était le seul, en dehors du sien, dont il avait pris la peine de se souvenir.
Il avait beaucoup d'amantes qui pensaient que les cadeaux attentionnés et romantiques qu'elles recevaient pour leurs anniversaires, leurs anniversaires de mariages ou « juste comme ça » venaient de lui. Mais la vérité était que toutes ses amantes étaient « en couple » avec toi. Tu te souvenais de tous les détails et tu arrangeais tout selon les goûts de ses amantes.
Crocodile n'essayait même pas de se souvenir de leurs noms, les appelant toutes « Poupée » pour s'épargner des ennuis. Il les considérait même comme des jouets interchangeables, facilement remplaçables, stupides, puis finalement sans valeur.
Cependant, tu pouvais lui dire leurs fleurs préférées, leurs pierres précieuses préférées, leurs styles vestimentaires, leurs pointures et toutes autres informations dont il avait besoin. Tu leurs avais envoyé des centaines de cadeaux, sans aucune faute de goût.
En conséquence, Crocodile avait la réputation d'être un vrai romantique, quelqu'un qui écoutait quand ses amantes leurs racontaient des détails personnels. Or, il s'en fichait complètement.
Il s'est arrêté à ton bureau alors que tu terminais ta journée, apportant avec lui un petit sac cadeau accroché à son crochet.
- Joyeux anniversaire, dit-il à voix basse en te tendant son cadeau.
- Quelle agréable surprise Monsieur, dis-tu en le retirant et en l’ouvrant immédiatement.
C’était une succulente agave White Rhino en pot qu’il avait achetée sans ton aide. Elle était chère et rare, mais tu valais chaque centime qu’il avait dépensé pour toi.
- Oh quelle délicate attention ! Merci beaucoup Monsieur !
Tu lui as souri.
Pour certains, cela aurait pu ressembler à un cadeau de piètre qualité, mais Crocodile te connaissait bien. Tu n'aimais pas les fleurs coupées, ni la plupart des bibelots.
Tu étais passionnée par les cactus et les plantes grasses, et tu passais une partie de ton temps, loin de lui, à t'occuper des plantes. Tu avais une collection impressionnante, que Crocodile complétait au fur et à mesure que l'occasion se présentait. Tu t'es levée de derrière ton bureau, l’a contourné et tu t'es mise sur la pointe des pieds. Crocodile s'est mis à ta hauteur et tu l'as embrassé sur la joue en signe de gratitude.
- Quelle merveille avant mon départ Monsieur. Je vous verrai après-demain. S’il y a une urgence, n’hésitez pas à m’appeler.
Crocodile te sourit et s’appuya contre ton bureau. Crocodile savait que tu n’avais aucune intention malveillante en l’embrassant, c’était de l’affection platonique. Mais il appréciait néanmoins cette sensation. Il attendait ce moment avec impatience chaque année.
- Profitez de votre jour de congé.
Il ne le pensait pas, mais il n'allait pas te le dire.
- Merci Monsieur.
Sur ce, tu as soigneusement porté ta plante et tu as quitté le bureau. Crocodile t'a regardé sortir puis a fait la grimace une fois que tu es partie. Ce seraient de longues 24 heures sans toi.
~~~
Le lendemain matin commença mal dès le début.
Crocodile se réveilla tard, son réveil n'avait pas sonné. Il le jeta avec du sable, le détruisant complètement. Il était déjà agacé. Normalement, tu le réveillais doucement avant que son réveil ne le fasse, mais tu n'étais pas là aujourd'hui. Il trouvait que se réveiller au son de ta voix douce et de ton visage calme était une façon apaisante de commencer sa journée.
Crocodile se leva de son lit et se dirigea vers son valet de chambre, pour le trouver vide. Il voulait aussi le détruire, mais il décida qu'il ne devait pas démolir tout ce qui l'irritait aujourd'hui. Il n'aurait plus rien et de plus, ce serait plus de travail pour toi de tout remplacer.
Tu accrochais généralement ses vêtements pour lui après les avoir repassés toi-même, et il voyait rarement la nécessité d'ajuster tes choix. Tu savais ce qu'il aimait et comment il aimait se présenter jusqu'aux boutons de manchette de ses chemise. Crocodile se dirigea vers son grand dressing et regarda les étagères bien organisées de vêtements. Cela faisait un an qu'il n'avait pas eu à le faire lui-même et cette corvée ne lui avait pas manqué.
Il choisit une tenue et se regarda dans le miroir. La tenue manquait d'une certaine élégance que tu pouvais assembler sans effort.
Il ajusta son crochet, il avait l'air terne. Tu le polissais toujours pour lui jusqu'à ce qu'il brille. Il fallait s'en contenter, il était déjà en retard pour une réunion qu'il avait convoquée. Il quitta sa chambre pour la salle à manger, à la recherche de son café corto. Il y avait une carafe de café filtre qui l'attendait sur la table, mais pas d'espresso. Il y avait aussi un impressionnant plateau de pâtisseries sucrées. Tu savais que Crocodile voulait d'abord un café corto, puis du café filtre, un cigare et pas de nourriture.
Était-ce si difficile de reproduire tout ce que tu faisais en une seule journée ? Aucun membre du personnel ne pouvait rivaliser face à cette petite femme ?
Crocodile sonna un domestique et demanda l'espresso. On lui apporta un americano. Il soupira et se frotta les tempes avec sa main.
La journée s'est ensuite dégradée.
Tu avais préparé ton absence la veille, en laissant des notes et en organisant ce que tu pouvais anticiper. Crocodile avait un autre membre du personnel sur place, qui répondait aux appels que tu aurais normalement pris. Mais même sans ton aide, ce fut un désastre complet. Crocodile était habitué à ce que tu prennes des notes pour lui pendant les réunions et il avait oublié d'apporter un stylo et du papier. À la fin de la réunion, il avait oublié la moitié des chiffres de la présentation trimestrielle. Tout semblait avoir besoin de ta touche, de ton aide, de ta prévoyance pour se dérouler sans problème.
Les choses allèrent de mal en pis.
Les réunions dévièrent du sujet, les rapports contenaient des données incorrectes, les ennemis n'étaient pas torturés et il avait oublié de nourrir les bananawanis à temps.
La nouvelle se répandit rapidement que Crocodile était de mauvaise humeur. Tout le monde connaissait la raison, mais personne n'osait en souffler mot. Malgré ses vœux pieux, la table de la salle de réunion avait maintenant plusieurs trous de la taille de son crochet et son bureau était recouvert de sable. Il se pencha en arrière sur sa chaise et tira une longue bouffée de son cigare. Tu aurais déjà tout arrangé pour apaiser sa colère.
Ce n'était même pas toutes les petites choses de la journée de travail que tu organisais. Tu étais experte dans l'art d'anticiper ses besoins avant même qu'il ne se rende compte qu'il voulait quelque chose, et d'organiser sa vie de manière à ce qu'elle convienne à quelqu'un de sa condition. Tu le comprenais mieux que quiconque. Oui, Miss All Sunday s'occupait de Rain Dinners, mais tu gérais Crocodile.
Il s'assit et se rappela l'une des fois où il t'avait appelé au milieu de la nuit. Il essayait de ne pas perturber ton sommeil, mais parfois il fallait le faire. Une de ces occasions s'était produite lorsqu'il avait invité Dracule Mihawk chez lui. Ils avaient discuté et bu, jusqu’à tard dans la nuit. Aux premières heures du matin, il t'avait appelé pour te demander de la nourriture pour accompagner leur vin.
- Bonjour Monsieur, comment puis-je vous aider ?
Ta voix était endormie, il vit son escargot répondre les yeux embrumés mais toujours avec un sourire.
- Je m'excuse pour cet appel tardif. J'aimerais avoir des rafraîchissements.
- Bien sûr Monsieur, l'escargot regarda quelque chose. Il est 2 h 50. J'avais prévu que vos rafraîchissements préférés soient livrés à 3 h. Préférez-vous attendre dix minutes ou préférez-vous que je vous apporte quelque chose immédiatement ?
Tu n'étais pas facétieuse, Crocodile savait que s'il te le demandait, tu aurais de la nourriture pour lui à 2 h 59, quoi qu'il arrive.
- 3 h, c'est bien, merci.
- J'espère que vous pourrez pardonner mon impertinence Monsieur. J'ai également inclus quelques rafraîchissements qui pourraient être plus au goût de votre invité.
Mihawk haussa un sourcil.
- Très attentionnée. Bonne nuit.
- Bonne nuit Monsieur.
Et bien sûr, à 3 heures du matin pile, un plateau de plats préférés de Crocodile, accompagnée d'une importante quantité d'alcool, lui a été livré par un serveur à l'air fatigué. Crocodile s'est servi des raviolis frais et a offert le plateau à Mihawk. Mihawk a refusé, car il dégustait les gambas à l'ail et du jambon.
- Tu as une assistante formidable, dit Mihawk une lueur d’intrigue sur le visage. Les plats sont excellents, transmets-lui mes remerciements.
Mihawk inclina la tête vers Crocodile. Crocodile sourit, tu l’avais rendu fier.
En interrompant son voyage dans le passé, il entendit le téléphone sonner pour ce qui lui sembla être la millionième fois ce jour-là. Miss Merry Christmas décrocha le combiné. Il pouvait entendre la moitié de la conversation.
- Allo ? Non, elle n'est pas là aujourd'hui, c'est son anniversaire. Je ne pense pas que vous vouliez… êtes-vous sûr… laissez-moi voir.
Miss Merry Christmas regarda Crocodile dans son bureau et cria à travers la porte ouverte :
- C'est Doflamingo, voulez-vous le prendre ?
Crocodile voulait la tuer sur le champ. Son sable tourbillonnait déjà derrière lui. Elle avait dit à Doflamingo que c'était ton anniversaire.
Après que Crocodile avait eu commencé à t'emmener aux réunions des grands corsaires, l'idiot tape-à-l'œil avait essayé de te faire déménager à Dressrosa et de travailler pour lui.
Crocodile ne s'inquiétait pas de te voir le quitter pour un autre employeur. Par contre, cette pensée pesait lourdement sur son esprit et lui causait une immense colère lorsqu'il t'imaginait passer du temps avec Doflamingo. Mais ce n’était pas de la jalousie, Crocodile ne serait jamais jaloux d'un employeur qui recruterait une personne aussi intelligente et lucide que toi.
De plus, « Mademoiselle Sur Le Point D'Être Empalée » lui avait demandé s'il voulait prendre l'appel. Maintenant, Doflamingo savait qu'il était là et il devait prendre l'appel sinon il risquait une crise de colère de la part de ce roi gâté. Il se dirigea vers le den den mushi, qui avait l'air plutôt satisfait.
- Quoi ?
- Alors c'est son anniversaire aujourd'hui, hum ? Je vais devoir lui envoyer quelque chose de sympa, peut-être de la lingerie... tu en veux aussi ? Fufufufufufufu.
Crocodile espérait que Vegapunk inventerait bientôt un moyen de tuer quelqu'un grâce à un den den mushi. Il s'occuperait de Doflamingo plus tard, il n'était pas d'humeur à accepter les quêtes amoureuses idiotes du roi de Dressrosa. Il raccrocha délicatement, tapotant doucement l'escargot dans le dos avec sa main. L'escargot avait survécu parce qu'il en avait tué un, une fois par colère, après un appel similaire et cela t'avait bouleversé. Crocodile n'aimait pas quand tu étais bouleversé. Tu avais même pleuré à cause de l'escargot et Crocodile s'était senti coupable. Il avait encore moins aimé ça.
Il avait besoin d'un verre.
~~~
Crocodile quitta son bureau pour se rendre au restaurant de Rain Dinners. Il avait un mal de tête épouvantable et il a failli crier ton nom pour te demander de l'aide. Chaque année, ton anniversaire lui faisait réaliser à quel point il dépendait de toi, alors chaque année, il augmentait ton salaire le lendemain. Il se fit une note mentale pour faire la même chose demain.
Crocodile était assis à sa place préférée, fumait son cigare et buvait son whisky pur. Les barmans étaient compétents et n'avaient pas besoin qu'on leur dise ce qu'il voulait boire. Il réfléchissait à certains des rapports que lui avaient communiqués ses sbires lorsqu'il t’aperçut, seule, en train de boire un verre de vin au bar. Crocodile fut surpris, boire seule, en ce grand jour ?
Crocodile savait que tu avais une relation amoureuse antérieure à ton embauche. Crocodile n'avait jamais aimé ton partenaire, mais tu semblais assez heureuse. Il ne comprenait pas pourquoi quelqu'un de ton calibre, de ton intelligence et de ta beauté était avec un tel perdant, mais pour ton bien, il ne l'avait pas tué.
Crocodile se ressaisit et se dirigea droit vers toi au bar. La foule s'écarta facilement pour lui, beaucoup essayant d'attirer son attention. Certaines de ses poupées essayèrent de lui toucher le bras ou de lui parler, mais il ne leur accorda même pas un regard. En venant à tes côtés, tu levas les yeux vers lui et lui souris faiblement.
- Bonsoir Monsieur.
Tu étais absolument ravissante, aussi belle que le jour où il t’avait rencontrée. Normalement, tu portais des vêtements simples, mais bien coupés au travail. Cela n’avait pas empêché son imagination de s’emballer lorsque tu portais tes jupes crayons ou tes hauts légèrement décolletés.
Il ne comptait plus le nombre de fois où il avait voulu détacher tes cheveux de leur coiffure et y passer ses doigts. Ou le nombre de fois où il avait voulu déchirer ta jupe et de te posséder lorsque tu te penchais sur son bureau.
Il avait envisagé à maintes reprises de te séduire, mais au final, il te respectait trop pour le faire. Il ne voulait pas interférer si tu étais déjà en couple, aussi pathétique que soit ton choix. De plus, il ne savait pas ce qu’il ferait sans toi si son intérêt n’était pas réciproque et que tu partais. Il ne voulait même pas envisager cette possibilité.
Aujourd'hui, tu étais habillée de façon plus chic que d'habitude, ta silhouette saisissante se parait d’une élégante robe noire qui dévoilait ton dos de manière provocante. Il réprima son envie de passer son crochet le long de ta colonne vertébrale pour voir si cela te faisait frissonner. En repensant à toi, il remarqua que tes yeux étaient légèrement rouges et gonflés. Il posa sa grande main sur ton épaule.
- Qu'est-il arrivé à cette… personne … avec qui vous passez habituellement du temps ?
Il ne pouvait pas appeler ce garçon un homme, encore moins un petit ami. Il avait de la chance que Crocodile se souvienne de son existence. Et qu'il continue à le lui permettre.
- Nous ne sommes plus ensemble Monsieur.
Tes yeux se remplirent de larmes. Crocodile était assis sur le siège à côté du tien.
- Vous avez rompu aujourd’hui ? Demanda doucement Crocodile ne voulant pas t’embarrasser ou te contrarier davantage.
- Oui Monsieur.
Tu as regardé ton verre de vin, faisant tournoyer doucement la boisson.
- Voulez-vous qu’il soit mort ?
Crocodile aurait juré que son crochet tremblait. Il ne pouvait imaginer de meilleure fin pour la soirée. Peut-être que cela sauverait cette terrible journée.
- Non merci Monsieur.
Tu n’avais pas le même penchant pour la violence et la soif de sang que lui. Crocodile ne s’en souciait pas. Il n’aimait pas tellement les plantes grasses. Vous pouviez tous les deux avoir des passe-temps différents et arriver à bien travailler ensemble.
- Vous n’avez pas besoin de perdre votre temps à me consoler Monsieur. J’aimerais que vous profitiez de votre soirée. Quelques-unes de vos amantes sont ici, si vous voulez que je vous rappelle leurs noms.
Crocodile s’en moqua.
- Comme vous le savez, je fais toujours exactement ce que je veux.
Tu hochas la tête. Comme s’il allait renoncer à passer du temps avec toi pour une femme sans nom.
- Où travaillait-il déjà ?
Crocodile allait le faire traquer, juste pour… s’amuser.
- C'est le directeur général de Fantasia, répondis-tu les sourcils froncés.
C'était un casino concurrent, il n’était même pas dans le top trois de Rainbase.
- Il a dit que je suis trop impliquée dans ma carrière, que je ne passe pas assez de temps loin du travail. Que ma vie tourne autour de la vôtre.
Tu levas les yeux, déjà repentante :
- Je m'excuse Monsieur. Vous n'avez pas demandé de détails.
Crocodile balaya tes inquiétudes d'un geste de la main. Il aimait que tu lui fasses part de tes sentiments et de tes opinions. Crocodile prit le plat de son crochet et le plaça sous ton menton, levant ton visage pour regarder le sien. Une larme coula sur ton visage.
- Certaines personnes ne comprennent pas le dévouement. La loyauté. Le devoir. La passion.
- Passion Monsieur ?
Ton visage rougit légèrement à cause du vin… ou peut-être du contact intime. Crocodile réalisa tardivement son faux pas. Il n'avait pas eu l'intention de révéler son désir, surtout quand tu étais déjà si bouleversée. Il retira à contrecœur son crochet de dessous ton joli visage.
- Voulez-vous que je vous raccompagne chez vous ?
Crocodile changea de conversation au cas où tu te sentirais mal à l'aise.
- Oui, merci Monsieur, tu sembles surprise de son offre et de l’avoir acceptée.
Naturellement, il voulait s’assurer que son employée préférée était chez elle en toute sécurité. Il n’avait jamais fait ça pour quelqu’un d’autre, mais cela ne voulait rien dire. Cela n’avait certainement rien à voir avec ta tristesse et ta vulnérabilité. Il t’a tendu la main et tu as descendu avec précaution de ton tabouret de bar. Crocodile t’a guidé jusqu’à la porte avec son crochet sur ton dos nu. Il a regardé attentivement et s’est rendu compte qu’il avait raison, tu avais la chair de poule.
Vous avez tous les deux traversé la ville plongée dans l'obscurité en silence, profitant du beau temps. C'était une autre chose que Crocodile appréciait chez toi : tu ne ressentais pas le besoin de remplir le silence avec des bavardages insignifiants.
Plus la promenade durait, moins Crocodile était content. Il te payait très bien, pourquoi ne vivais-tu pas dans la partie luxueuse de la ville ?
Tu avais tourné au coin des rues de bas quartiers, jusqu'à ce que vous arriviez à un immeuble d'appartements à l'aspect miteux et vous vous êtes arrêtés sur le pas de la porte. Crocodile aurait préféré le brûler que d'y mettre les pieds.
- C'est ici que j'habite Monsieur, merci de m’avoir raccompagné.
Crocodile regarda une fois de plus le bâtiment en briques qui s'effondrait.
- Pourquoi ? S’exclama Crocodile.
Il avait presque coupé son cigare en deux.
- Je vous demande pardon Monsieur ? Confuse face à sa question.
- Pourquoi vivez-vous ici ? Je vous paie bien, je sais que vous pouvez vous permettre de meilleures conditions de vie.
Ton visage rougit.
- Ne vous inquiétez pas Monsieur. La situation s'est résolue d'elle-même.
Crocodile plissa les yeux. Cela avait donc un rapport avec ce garçon. Avais-tu remboursé une partie de ses dettes de jeu ? Il allait garder un œil sur lui. Crocodile le savait bien, il possédait un casino et avait vu ce genre d'idiot des milliers de fois. Cela ne marcherait pas et ta situation de vie actuelle non plus.
- En effet. Vous allez emménager dans mon manoir.
Crocodile était ravi de ce résultat. Il n'avait pas aimé que tu vives si loin de lui. Il avait toujours un service de sécurité qui te suivait quand tu n'étais pas avec lui, mais ça ne lui semblait jamais suffisant. Avec le niveau de connaissance intime que tu avais de lui et de ses affaires, il était toujours inquiet que tu sois kidnappée ou torturée.
Honnêtement, s'il l'admettait à lui-même, il s'inquiétait. Un autre sentiment qu'il n'aimait pas.
Non, cela fonctionnerait parfaitement. Il n'aurait pas à être distrait par des pensées concernant ton bien-être et tu serais plus proche de lui à tout moment.
- Monsieur, ce n'est pas… approprié, as-tu rétorqué.
Il n'avait pas pensé aux implications de te faire venir, mais dans ce cas précis il ne pensait pas avec son entrejambe.
- N'importe quoi. Vous aurez toute l'aile Est pour vous. Décorez-la comme vous le souhaitez, je vous fournirai une allocation logement. Je vous attendrai ici cinq minutes. Rassemblez ce dont vous aurez besoin pour la nuit. Daz viendra chercher le reste de vos affaires demain.
- Monsieur, est-ce vraiment…
Tu avais croisé les bras sur ta jolie poitrine.
- Le compte à rebours a commencé.
Sa volonté était gravée dans la pierre, même ton agacement ne pouvait l’en dissuader. Tu as soupiré, levé les yeux au ciel et tu es entrée rapidement dans le bâtiment. Peut-être qu’une bonne chose était ressortie de cette terrible, horrible, mauvaise, très mauvaise journée.
~~~
Crocodile était extrêmement heureux du résultat de sa décision. Il se sentait en paix en sachant qu'il pouvait te protéger et te garder à l'abri de ceux qui chercheraient à prendre le pouvoir sur lui. Ou pire encore, d'autres magnats essayant de recruter tes services pour les leurs. Il avait surpris Mihawk en train de te parler tranquillement après la dernière réunion des grands corsaires, et tu avais ri de quelque chose qu'il avait dit.
Il ne t'empêcherait pas d'avoir une conversation avec l'épéiste, mais il n'aimait pas ça. Il savait que même Sengoku avait essayé de te recruter comme Marine. Tu as refusé toutes les offres et tu es restée avec Crocodile. Il ne s'inquiétait pas de ta loyauté, mais Crocodile n'aimait pas l'attention que tu recevais des autres. Tu étais son assistante personnelle et Crocodile n’aimait pas partager.
Il a essayé de te donner ton espace et de te permettre d'avoir ta propre vie personnelle au sein du manoir. Il ne voulait pas te contrôler, il savait que tu étais indépendante. Mais comme vous partagiez désormais le même manoir (gigantesque), il te voyait parfois en dehors de tes heures de travail. Il te voyait flâner dans les jardins, à t'occuper de tes plantes, regarder les étoiles depuis le balcon.
Quand tu ne travaillais pas, tu t'habillais de manière plus décontractée, permettant à Crocodile de voir davantage ton corps. Le fait que tu ne l'appelais que « Monsieur », même en dehors du travail n'aidait pas. Il avait longtemps fantasmé sur ta voix sensuelle disant « Oui Monsieur » et « Non Monsieur » dans un cadre plus intime. Il avait essayé avec plusieurs de ses poupées, mais aucune d'entre elles n'y parvenait. Seul ton « Oui Monsieur » faisait battre son cœur.
~~~
Plus tu vivais dans son manoir, plus Crocodile devenait méfiant quant à la nature de tes sentiments à son égard. Crocodile n'était pas du genre à demander directement, mais tu semblais avoir des sentiments qui surgissaient de temps en temps.
Une fois, il t'avait demandé d'aider une poupée à partir le lendemain matin, après une nuit dans sa chambre et tu avais catégoriquement refusé.
C'était la première fois que tu refusais une tâche qu'il te demandait. Et tu n'avais pas reculé. Tu as dit que cela dépassait le cadre de tes fonctions, mais que tu enverrais une femme de ménage.
Si Crocodile avait dû mettre une émotion dans ton ton, cela aurait été de la jalousie.
D'autres fois, il t'avait surprise en train de le fixer, de rougir et de détourner le regard quand il l'avait surpris. Vous travailliez ensemble depuis des années, mais avec la proximité et ton nouveau statut de célibataire, peut-être que tes sentiments étaient en train de changer.
Crocodile voulait tester sa théorie. Un jour, alors que ta jupe crayon était particulièrement serrée, il t'a appelée dans son bureau à domicile. Il était adossé à sa chaise, fumant un cigare comme d'habitude, des papiers sur son bureau.
- Oui Monsieur ?
Tu te tenais à l’entrée du bureau.
- Entres, je ne mords pas.
Tu t’es immédiatement rapprochée de son bureau, une légère confusion sur le visage. Normalement, il essayait de te parler de la manière la plus professionnelle possible, et tu avais immédiatement remarqué le changement dans son langage.
- Jettes un œil aux derniers chiffres de Rain Dinners. Je sais que les calculs sont corrects, mais il manque quelque chose.
Tu t’es approchée à côté de lui et tu t’es penchée pour lire, comme tu l'avais fait tant de fois auparavant. Mais cette fois, il a posé sa main sur le bas de ton dos. Tu n'as rien dit, mais il t’a entendu inspirer. Intéressant.
Tu as passé un moment à feuilleter les pages.
- Je vois le problème Monsieur, dis-tu toujours penchée.
Crocodile se leva et se pencha à côté de toi, t’emprisonnant d’un bras.
- Je m’excuse. Il vous manque une page du rapport.
Tu rougissais furieusement, mais tu continuas :
- Je vais vous en procurer une copie.
Tu étais énervée.
- Merci, c’était tout, souffla Crocodile dans le creux de ton oreille.
Tu frissonnas sous le contact rapproché. Crocodile se rassit dans son fauteuil, te libérant. Tu courus pratiquement hors de la pièce, le visage aussi rouge que si tu avais passé toute ta vie dans le désert d'Alabasta. Très intéressant.
~~~
Crocodile voulait fixer des limites claires et obtenir ton consentement avant de faire quoi que ce soit. Il te respectait en tant que personne et si tu devais refuser, il voudrait quand même te garder comme employée.
Il t’a appelé un soir.
Tu es arrivée rapidement, mais dans des vêtements plus décontractés car c'était en dehors de tes heures de travail. Tu portais une robe d'été mi-longue avec un motif à fleurs bleues. Elle accentuait tout ce que Crocodile aimait dans ta silhouette : la perfection.
- Comment puis-je vous aider Monsieur ?
Polie comme toujours.
- Viens ici.
Crocodile t’a fait signe d’un doigt tendu. Tu t’es placée devant lui comme attendu. Il a soigneusement enroulé son crochet autour de ta taille et t’a tirée plus près, juste devant sa silhouette assise.
- C’est mieux.
Il a retiré son crochet.
- Est-ce que ça te plaît de travailler pour moi ?
Tes sourcils se sont levés de surprise.
- Bien sûr Monsieur. C'est le meilleur travail que j'ai jamais eu.
- Te souviens-tu du jour où je t’ai embauché ?
Crocodile tirait sur son cigare, laissant la fumée s’échapper de sa bouche. En même temps, il polissait son hameçon avec un chiffon. Il savait qu’il avait une silhouette imposante.
- Oui Monsieur.
Tu étais fascinée par la vue du crochet doré, brillant dans la lumière tamisée.
- Tu te souviens de notre conversation à propos des bananawanis ?
Tu détournas les yeux de son crochet.
- Oui Monsieur. L’une des conditions d’embauche était d’être à l’aise avec les bananawanis. Vous m’avez demandé si j’avais des inquiétudes quant à la façon de m’occuper d’eux.
Tu devenais nerveuse, incertaine du but de la conversation.
- Tu te souviens de ce que tu m'as dit ? Sourit Crocodile d'un air troublant.
- Oui Monsieur. Ce sont des prédateurs de premier plan, il faut les traiter avec soin et respect. Si vous acceptez votre place sous eux, ils peuvent être affectueux et doux. En cela…
Tu l’as regardé dans les yeux :
- … je doutais qu’ils soient les créatures les plus dangereuses de la propriété.
- Tu crois toujours que c'est vrai ?
Crocodile se redressa de toute sa hauteur, te dominant. Tu levas les yeux vers lui. Tu semblais nerveuse mais pas effrayée.
- Oui Monsieur.
- Et que dirais-tu d'une créature plus dangereuse ?
Il parla à voix basse, regardant ton visage rougir. Il enroula lentement son crochet autour de ta nuque, te laissant le temps de t'éloigner. Tu ne bougeas pas, sauf pour frissonner.
- Ah, probablement la même chose Monsieur. Si j'acceptais ma position de subordonnée, je pense que la plupart des créatures fortes… euh… seraient réceptives.
Crocodile tira doucement sur son crochet, dévoilant ton cou à lui. Il se pencha à ta hauteur, caressant de ses lèvres la partie exposée de ton cou.
- Parles maintenant de tes objections.
Il disait la vérité, la moindre hésitation de ta part et il s’arrêterait immédiatement. Il s’intéressait à la soumission volontaire, rien d’autre.
- Monsieur, je… j'avoue que j'en ai envie, mais je crains de mélanger affaires et passion.
Crocodile sourit à ta déclaration, faisant écho à ses paroles prononcées le jour de ton anniversaire. Tu avais donc été affectée également.
- Si quelque chose de désagréable se produit entre nous, maintenant ou plus tard, je t’assure que nous reviendrons à notre arrangement précédent. Tu ne seras pas renvoyée et ne subiras aucune sanction. Trouves-tu cela acceptable ?
Il préférait perdre son autre main que toi. Tu as hoché la tête.
- Oui Monsieur.
Tu le regardas avec des étoiles dans les yeux.
- Si je fais quelque chose et que tu souhaites mettre un terme à l’expérience, dis « non ». Si tu dis « arrêtez », je ne le ferai pas. Si tu dis « je vous en supplie », cela ne m’émeut pas, pas plus que les larmes. Si tu dis « non », je cesserai immédiatement mes actions. Tu comprends ?
Tu déglutis.
- Oui Monsieur.
- Quel mot mettra fin à quelque chose que tu ne souhaites pas voir arriver ?
- Je vous dis non, Monsieur.
- Très bien. Enlève ta robe.
Tu avais l’air nerveuse, mais tes lèvres se relevèrent aux coins sous son léger compliment. Il savait que tu faisais de ton mieux quand on t’approuvait.
Il se rassit sur sa chaise et admira ton élégance. Tu abaissas lentement les bretelles de ta robe, puis tu en retiras tes bras. Tu ne portais pas de soutien-gorge, tu avais jugé que la robe suffisait. Il avait vu de nombreux strip-teases de ses poupées, tous parfaitement conçus et pratiqués pour enflammer le désir d’un homme. Le tien n’avait aucun artifice, aucune ruse, rien de calculé. Et pourtant, il trouvait ta performance bien plus sensuelle et séduisante.
Il sentit sa verge se raidir davantage à chaque seconde qui passait. Lorsque tes bras furent libres, tu laissas ta robe s’accumuler à tes pieds et tu en sortis. Tu restas immobile, attendant son jugement.
- Absolument magnifique.
Il se releva, tourna lentement autour de toi, laissant le métal de son crochet glisser sur ta peau nue. Il le fit glisser sur ton dos, sur l’arrière de tes bras, sur tes clavicules en faisant le tour de toi. Partout où il le faisait glisser, ta chair se colorait de chair de poule.
- Tu es encore plus belle que je ne l’aurais jamais imaginé.
Tu te figes à ses mots. Il continua à te taquiner avec son crochet.
- Est-ce que ça te rend nerveuse quand je contemple ta beauté ?
- Non Monsieur.
Il finit de te boire et se rassit, écartant les jambes.
- Viens t’asseoir, dit-il d’une voix douce comme de la soie.
Tu t’approchas de lui sans hésiter, tes seins rebondissant doucement tandis que tu marchais. Tu te perchas gracieusement sur le côté de sa cuisse puissante, attendant son prochain ordre. Tu suivais toujours si bien ses ordres, après tout. Il posa son cigare et posa sa main sur ton flanc, te rapprochant de lui.
- Exquise au-delà de toute comparaison.
Rapprochant son visage du tien, il enroula sa main dans tes cheveux, à l’arrière de ta tête. Il tira, inclinant ton visage vers le haut. Tu haletais doucement. Il chercha sur ton visage le moindre soupçon de doute persistant, mais il ne vit que du désir brut.
Il approcha ses lèvres des tiennes très lentement, rampant centimètre par centimètre, sans encore t’embrasser, mais oh si près. Tu essayas de l’atteindre avec ta bouche, mais sa main t’en empêcha.
- Pas besoin de te précipiter, je ne vais nulle part, dit-il en mordant doucement le lobe de ton oreille.
Crocodile n’avait pas en lui la force d’attendre plus longtemps pour t’embrasser. Il approcha ses lèvres des tiennes, ouvrant la bouche. Tu le laissas entrer tandis que sa langue explorait la tienne. Il t’embrassa à son rythme tranquille, te montrant qui avait le contrôle. Il était exigeant et dominant et tu aimais chaque instant.
- Dis-moi, si je te touchais entre tes jambes, est-ce que tu serais mouillée pour moi ? Demanda-t-il en embrassant ta mâchoire.
Tu devins rouge cramoisie, mais sa main dans tes cheveux t'empêcha d'éviter son regard.
- Oui Monsieur.
- Montre-moi.
- Oui Monsieur.
Tu écartas tes cuisses tremblantes pour lui, révélant ta culotte trempée. Il dénoua sa main de tes cheveux et fit glisser un doigt le long de ton bras, de ton ventre, jusqu'à tes cuisses. Il passa la main autour de toi et déchira les côtés de ta culotte, la détruisant et révélant ton entrejambe luisante. Tu haletas mais ne bougeas pas. Il fit glisser un doigt le long de ta fente, sans séparer tes lèvres inférieures, mais les doigts revenant toujours brillants.
- Est-ce que ça fait du bien quand je te touche comme ça ?
- Ou…oui Monsieur, as-tu répondu en retenant un gémissement.
- Tu en veux plus ?
- Oui Monsieur. S'il vous plaît.
Oh, tu n'avais jamais ajouté cette petite supplication auparavant. Crocodile se sentit devenir encore plus dur. Peut-être qu'un jour il te ferait supplier. Mais pas aujourd'hui.
- Monte sur ma cuisse, c'est comme ça que tu vas jouir ce soir.
Il voulait regarder ton visage et profiter du désordre que tu avais fait sur son pantalon. Il aurait tout le temps pour d’autres moments de plaisir. Il t'a déplacée pour que tu sois à califourchon sur sa cuisse.
- Oui Monsieur.
Il était content que tu n’aies pas hésité, que tu sois aussi intéressée à obéir, que lui l’était à commander. Tu as commencé à tournoyer sur son énorme cuisse, émettant de petits gémissements, tes mains sur ses épaules pour plus de stabilité.
Il en a profité pour prendre ta poitrine en coupe, pétrissant le monticule entre ses doigts. Parfois, il regrettait sa deuxième main. C’était l’un de ces moments où il aurait aimé pouvoir sentir tes deux seins en même temps.
Au lieu de cela, il a soulevé sa cuisse pour que tu sois plus près de lui et a penché sa tête pour lécher et taquiner tes mamelons. Tes gémissements n’ont fait qu’augmenter. Il a embrassé toute ta poitrine et ton cou, en s’assurant de laisser quelques marques. Ta tête était rejetée en arrière, tes yeux vitreux alors que tu cherchais ton plaisir. Tes gémissements augmentaient en rythme et en intensité, tu étais proche.
- Demande-moi la permission de jouir, dit Crocodile d’une voix lente.
- S’il vous plaît Monsieur, puis-je jouir ? Répondis-tu rapidement sans arrêter tes mouvements.
Il voulait te récompenser ce soir.
- Oui, tu peux.
Tu gémissais et tu te cabrais plus vite contre sa cuisse, balançant tes hanches en petits cercles. Il pouvait dire au moment où tu succombas, il sentit ton sexe spasmer à travers son pantalon. Il te regardait sortir de l'euphorie, le visage déformé par le plaisir. Il était proche lui aussi, mais ce soir n'était pas pour lui.
Après avoir fini, tu avais besoin d'un moment de repos. Tu appuyais ton front contre sa poitrine, respirant lourdement. Un instant plus tard, il te souleva et t'installa sur son autre cuisse.
- Bonne fille, comme tu as si bien obéi. Regarde le désordre que tu as fait sur moi, dit-il en désignant la tache humide sur son pantalon.
Tu rougis, mais tu lui souris toujours alors qu'il te ceinturait de ses bras. Il t'enveloppa dans une couverture à proximité de son canapé, te permettant de t'effondrer contre sa large poitrine. Il ralluma son cigare et s'assit paisiblement en fumant. Sa verge dure comme du roc attendrait plus tard.
- Merci Monsieur. Puis-je vous poser une question ?
- Bien sûr.
- Est-ce qu’on pourrait… refaire ça un jour ?
Tu avais l’air peu sûre de toi, mais Crocodile t’a souri gentiment.
- Ma chère, libère ton emploi du temps pour ce soir. Et pour le lendemain. Et pour l’avenir proche. Après tout, je ne suis rien d’autre qu’une créature affectueuse et douce.
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100 Days of Productivity [Day: 55] || 100 Jours de Productivité [Jour: 55]
this holiday season I am extra thankful for caffeine, as I would not be surviving without it. I don’t think I’ve gotten to bed before 2A.M. for the last week, but somehow I’m still able to wake up for 6 without a problem. I haven’t been stressed; on the contrary, I’ve been quite satisfied & thankful. looking at where I was at the beginning of this year compared to now is almost surreal. & the best part of it all? I vowed to take this year slowly. I told myself I would stop over-working for the sake of the “grind-set”. the truth — or at least my truth — is that you must first get to know who you are & where your limits really are before you can successfully challenge yourself without burnout. could I have gotten more done? sure. we can always get more done. but that’s because there’s always going to be something else. but I’ve accomplished more than I ever have, & I have the results to prove it.
after finishing my first market weekend, I spent today working on custom orders & answering emails. this is probably one of the last days I’ll have this week to get preliminary work out of the way. I’m making the most of it.
currently listening // labour by Paris Paloma
En cette période de fêtes, je suis particulièrement reconnaissante à la caféine, sans laquelle je ne survivrais pas. Je ne pense pas m'être couché avant 2 heures du matin la semaine dernière, mais j'ai réussi à me réveiller pour 6 heures sans problème. Je n'ai pas été stressé ; au contraire, j'ai été très satisfait et reconnaissant. Regarder où j'en étais au début de l'année par rapport à maintenant est presque surréaliste. et le meilleur dans tout ça ? Je me suis promis de prendre cette année au ralenti. Je me suis dit que j'arrêterais de me pousser jusqu'au point de rupture au nom du "grind-set" dont beaucoup de gens disent qu'il est nécessaire pour réussir. La vérité - ou du moins ma vérité - est qu'il faut d'abord apprendre à se connaître et à connaître ses limites avant de pouvoir se lancer des défis sans s'épuiser. Aurais-je pu en faire plus ? Bien sûr, il est toujours possible d'en faire plus. Mais c'est parce qu'il y a toujours quelque chose d'autre à faire. Mais j'en ai fait plus que je n'en ai jamais fait, et j'ai les résultats pour le prouver.
Après avoir terminé le premier week-end de marché, j'ai passé la journée d'aujourd'hui à travailler sur des commandes personnalisées et à répondre à des courriels. C'est probablement l'un des derniers jours que j'aurai cette semaine pour faire du travail préliminaire. Je vais donc en profiter au maximum.
Chanson // labour par Paris Paloma
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Mon calendrier (partie 1)
Ça faisait un moment que l’idée de refaire entièrement le calendrier du jeu me trottait dans la tête, mais comme c’est un projet particulièrement chronophage, j’avais toujours remis ça à plus tard. Finalement, je me suis lancée, et voilà le résultat !
Le but était de rendre le calendrier aussi fidèle que possible à celui que nous utilisons. J'y ai donc intégré les fêtes « principales » ainsi que quelques jours spéciaux, inspirés (ou non) de la réalité. Bien sûr, c'est une sélection très personnelle.
Pour les saisons, j'ai opté pour une durée de 14 jours : au-delà, c'est un peu long à mon goût, et en dessous, ça passe beaucoup trop vite. J'ai donc dû répartir les 365 jours de l'année dans les 56 petites cases du calendrier — un vrai casse-tête !
Si vous cherchez un calendrier pour des saisons de 28 jours, je vous conseille celui d'Abneliasims, qui m'a beaucoup inspiré.
J’ai pioché des idées un peu partout, et cela a finalement été assez difficile de me restreindre et de trouver le bon équilibre. Je ne l'ai pas encore testé en jeu, donc il se peut qu’il y ait un peu trop d’événements (mais comme tous ne concerneront pas forcément mes Sims, j’en ignorerai sans doute certains). Je pense aussi que je le personnaliserai encore davantage au fil du temps, en fonction du foyer avec lequel je joue.
Printemps - Été
Les cases entourées de bleu correspondent aux jours fériés, tandis que celles entourées de jaune représentent les jours sans école.
J'utilise un mod* qui permet d'ajouter la tradition « vacances scolaires » à un jour férié, offrant ainsi un jour de congé uniquement aux enfants et aux adolescents.
J'ai cherché à utiliser un maximum de traditions du jeu, mais étant donné leur nombre limité, j'ai téléchargé des traditions supplémentaires, notamment celles de Kiara, traduites par Kimikosoma, ainsi que celles de Caradriel (en particulier celles liées à l'écriture et aux enfants).
Enfin, pour ajouter un peu de variété, j'ai remplacé les icônes des jours fériés par de nouvelles*. Celles de Zerbu sont également très réussies.
Regardons cela de plus près…
La Fête du Cinéma : C'est un évènement inspiré du Printemps du cinéma, donc j'imagine qu'il y a des réductions sur le prix des places ce jour là ! Pour les Sims travaillant dans la carrière cinéma, cela peut être l'occasion d'organiser une sorte de festival de Cannes… ou, pour les plus casaniers, de regarder un film bien au chaud dans leur canapé.
La Journée des Farces : J'ai supprimé celle générée par le jeu et l'ai placée au 1er avril pour qu'elle remplace notre Poisson d'Avril !
Les Vacances de Printemps : C'est l'équivalent de nos vacances de Pâques. Grâce au mod mentionné plus haut, il s'agit d'une journée sans école, réservée uniquement aux enfants et aux adolescents. Pour chaque journée de vacances scolaires, à l'exception des journées spéciales, j'ai suggéré une activité à réaliser, mais je prévois d'ajouter de nouvelles traditions au fil des ans, ou en fonction du gameplay que je développe.
La Fête des Œufs : Pas besoin de longues explications : c'est Pâques ! Malheureusement, je n'ai pas pu faire en sorte que cela tombe un dimanche, sous peine de tout décaler. Du coup, j'imagine que mes Sims prendront un jour de congé ou organiseront un grand repas le soir.
Le Jour du Repos : C'est le premier véritable jour férié de mon calendrier : la Fête du Travail ! Bon, pas de chance, c'est un samedi… mais comme dans la vraie vie, on ne choisit pas quand tombe le 1er mai. Et puis, il y a des Sims qui travaillent le week-end ; je suis sûre qu'ils seront ravis !
La Fête du Livre : Le cinéma a sa journée dédiée, alors pourquoi pas la littérature ? Je n'emmène pas souvent mes Sims à la bibliothèque, ce sera l'occasion parfaite pour le faire !
La journée de la Solidarité : Inspirée d'une vraie journée, j'ai choisi d'en faire un jour dédié à la générosité. Au programme : apprécier ce que l'on a et soutenir ceux qui en ont besoin. Ce pourrait être l'occasion pour les Sims célèbres d'organiser un gala de bienfaisance !
La Fête de la Famille : Je voulais créer une journée pour célébrer les gardiens de nos Sims, qu'il s'agisse d'un membre de la famille (parents, grands-parents, adelphes…) ou de toute autre personne prenant soin d'eux.
La Fête de la Musique : C’est un événement très populaire, donc je ne pouvais absolument pas passer à côté ! Que ce soit à la maison ou dans les rues, chaque Sims peut exprimer sa passion pour la musique.
Le Jour du Feux de joie : Inspiré de la fête de la Saint-Jean, ce jour marque l'arrivée de l'été. Elle peut prendre plusieurs formes : organiser un barbecue en plein air ou attendre la tombée de la nuit pour danser et chanter autour d'un feu. J'avais pensé ajouter la tradition "enlever ses vêtements", mais c'était pas très kids-friendly...
La Journée de la Terre : Un peu comme la journée de la générosité, ce jour est dédié à l'écologie. C'est l'occasion idéale de se mettre au jardinage, d'installer des panneaux solaires ou des éoliennes, de faire du bénévolat à un nettoyage de plage, ou même de faire un petit don annuel à une association de protection de l'environnement, comme "La parole aux arbres". Une belle manière de prendre soin de la planète !
La Fête de la Nation : Deuxième jour férié de mon calendrier, elle correspond à notre 14 juillet ! C'est une journée particulièrement appréciée par les Sims travaillant dans la carrière politique.
Les Vacances d'Été : Je trouve qu'il manque vraiment des vacances d'été dans le jeu, et c'est une des raisons pour lesquelles je m'ennuie rapidement avec les enfants. J'ai l'impression qu'ils sont constamment à l'école (et s'ils sont inscrits à une activité extra-scolaire, on ne les voit plus du tout !). Pour ce qui est des adolescents, depuis l'extension Années Lycée, je trouve qu'on en profite un peu plus. Mais dans mon calendrier, il me tenait absolument à cœur d'ajouter une semaine de vacances scolaires pour que l'on puisse pleinement profiter de l'été. Les possibilités sont nombreuses : on peut envoyer ses enfants en colonie de vacances (comme un camp scout à Granite Falls), les faire séjourner chez un membre de la famille, ou encore organiser une journée entre amis dans un centre de loisirs grâce aux groupes. Et bien sûr, il est aussi possible de partir en vacances en famille à l'autre bout du monde, à condition que les adultes prennent quelques jours de congé !
J'imagine que les Sims travaillant dans la carrière éducation pourraient également bénéficier de quelques jours de congé pendant cette période.
La Nuit des Étoiles : Cet événement m'a été suggéré par une amie et il correspond à la période des Perséides. Si comme moi vous ne savez pas ce que c'est : il s'agit d'une pluie de météores annuelle qui se déroule chaque été, généralement entre le 17 juillet et le 24 août. C'est l'occasion idéale pour observer des étoiles filantes, souvent visibles à l'œil nu, surtout lors des nuits dégagées et loin des lumières de la ville.
La Rentrée Scolaire : Parce que toutes les bonnes choses ont une fin... C'est le moment pour nos petits Sims de prendre de bonnes résolutions !
La Journée du Patrimoine : C'est une journée européenne bien connue, et j'ai choisi de l'élargir pour en faire une célébration de toutes les formes d'arts. J'imagine que ce jour-là, les musées sont gratuits et des réductions sont offertes pour les spectacles, permettant aux Sims de découvrir de nouvelles œuvres ou de participer à un événement culturel.
Voilà pour la première partie !
*Je n'ai pas inclus le lien de ces mod car la moddeuse n'est pas recommandable. Je vous encourage à vous renseigner avant de télécharger quoi que ce soit, afin de soutenir des personnes respectueuses, éthiques et de confiance. Je vous tiendrai informés dès que j’aurai trouvé des alternatives intéressantes pour remplacer ce contenu.
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Mardi
Aujourd'hui, tout est allé de travers. Mais j'ai pris mon premier vrai bain de soleil de l'année et mis mes lunettes noires pour lire Kyoto mon amour de Frédéric Chateau. J'ai contacté la Tasmanie, l'Argentine et les USA sur ondes courtes. Côté musique, j'ai découvert Bekar grâce à L, et j'aime bien. Sinon, j'ai visité ces derniers temps des expositions et vu des films dont je n'ai pas parlé ici. A des moments de plus en plus fréquents, je ne trouve rien à dire à personne. Rien qui soit capable de m'intéresser, écrit Pierre Hebey dans "Le goût de l'inactuel - III". Plus loin, il dit aussi, et ça me touche de près : Il y a des êtres qu'on reste tout ébloui d'avoir connus. Ceux qui, dans le passé, nous ont permis de découvrir l'existence d'une cinquième saison, plus joyeuse, plus riche, plus vivante et plus ensoleillée. Demain, c'est le premier jour du printemps, et cette nuit, la lune est belle. Alors...
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22 décembre 2023.... Voici venu le premier jour de l'hiver, le jour le plus court de l'année, celui qui annonce le froid, celui qui nous promet, aussi, un renouveau, des lumières qui vont s'accroître au fil du temps...
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Du coup maintenant que j'ai un peu de temps, c'est parti pour faire un petit récapitulatif de ces 3 dernières semaines!
Il s'est passé énooormément de choses pendant ma semaine au camp pour enfants avec handicap. Je vais faire des chapitres carrément.
1. L'enfant que je suivais
Il a la maladie de Duchenne. En gros des tissus adipeux se mettent autour de ses muscles. Il a du mal à se déplacer, il doit marcher lentement sinon il tombe facilement. Il peut se déplacer en chaise roulante. C'est une maladie chronique. Il a aussi un léger retard mental. Il a 11 ans.
Je me suis trop bien entendue avec lui. J'ai vu la vie complètement autrement parce que j'ai compris ce qu'était un monde pas adapté à toi. Les jeux où on devait courir c'était mort, les jeux de parcours c'était mort, le château gonflable c'était ultra difficile, rien que traverser le terrain c'était une épreuve,... Bon sinon tout le monde disait qu'il était amoureux de moi, trop chou. Il m'appelait tout le temps en criant avec sa voix aiguë. Tout le monde s'y était habitué. C'était un enfant roi, il piquait facilement des crises. Mais j'arrivais à le calmer. Sauf une fois où j'ai perdu patience et j'ai juste laisser les autres m'aider. D'ailleurs les accompagnants s'entraidaient souvent c'était trop chouette. L'année prochaine, il ne reviendra pas. Il passe au camp des plus grands. Ça va faire bizarre d'avoir un autre enfant que lui. J'imagine pas trop l'expérience avec un autre. Ça me fait un pincement au cœur rien que d'y penser.
2. Les accompagnants
Beaucoup venaient pour la première fois donc il n'y avait pas déjà des groupes partout. C'était tellement plus facile de s'intégrer du coup. C'était génial, je me suis trop bien entendue avec tous les gens. Surtout Cam, le feeling est direct passé avec elle. On se racontait tous les ragots, on restait souvent ensemble. Je me suis trop bien entendue avec son pote Pi aussi. Il est trop bonne ambi en soirée. Il est iconique, c'est un peu une chipie mais dans le sens positif. Je sais pas comment expliquer mais J'ADORE. À la fin ils m'ont dit de revenir l'année prochaine pour être le trio de pestes MDR. Puis y a Alby aussi, j'avais du mal avec elle au début parce qu'elle était toute blasée et j'avais envie de la secouer ahah mais après j'ai appris à la connaître et énorme coup de cœur. Elle est du genre à te poser une question philosophique à un moment hyper random. Elle est super spontanée et vraie. Puis un de mes coups de cœur c'était aussi PW. C'est très bizarre pcq à la base c'est le genre de gars qui m'in-su-pporte pcq il fait des blagues beaufs. Mais on est passés de ennemies to friends et au final c'est peut-être lui qui m'a le plus marqué positivement. En fait je crois qu'au début il me voyait juste comme une belle cruche et moi je le voyais juste comme un beau crétin. Au début il me taquinait, faisait des blagues sexistes, etc. Puis quand on a vraiment parlé j'ai capté que c'était juste un gars pas très fort pour montrer ses émotions, un peu maladroit avec les filles. Je lui ai dit que je détestais son côté beauf et après je ne l'ai plus jamais entendu faire de blagues sexistes. Je me suis trop attachée à lui. Nos moments à deux étaient tellement touchants. Mais ce qui m'a fait trop mal au cœur c'est que c'était son tout dernier camp. Il ne reviendra pas les prochaines années. Ça va être tellement différent sans lui.
Sinon y avait ce gars qui ressemblait au Dieu Grec physiquement et qui m'a perturbé. Je ne l'ai pas calculé le premier jour parce que je voulais me tenir loin de lui mais il est venu vers moi de lui-même le deuxième jour. On a parlé petit à petit durant la journée. Et en fait chaque soir, une fois que les enfants dorment, on fait un débrief entre tous les accompagnants puis on fait une soirée. Et on est restés ensemble toute la soirée. Il était tellement intéressant, il voyage en solo depuis qu'il a 14 ans et ça se voit qu'il en a appris des choses. Puis j'adore son caractère. C'est la définition de la force tranquille. Mais après cette soirée, quand on s'est retrouvés à deux, il m'a embrassé sur la joue. Je m'y attendais pas, c'est arrivé d'un coup. Je ne comprends pas comment les mecs peuvent se permettre d'envahir l'espace personnel de quelqu'un comme si c'était rien. Ça m'a énervée et je l'ai stoppé direct en disant que j'étais en train de construire quelque chose avec le musicien et que du coup je n'étais pas intéressée. Il a compris et a réagit normalement. Après ça, on s'est posés au coin du feu et on a continué à parler. Heureusement, y avait pas de gêne. Il m'a dit qu'il serait content qu'on reste amis maiiiis après il m'a quand-même précisé que si jamais je n'avais plus rien avec qui que ce soit, il était là. MDR. Amis mais pas trop? Par contre cette nuit était trop belle, les étoiles se voyaient parfaitement, y avait des étoiles filantes et même des lucioles. Ce que j'aimais trop aussi avec lui c'est qu'en soirée il était toujours partant pour tout, il était trop bonne ambi. C'était un peu mon pote de soirée quoi. Mais je ne l'ai vu que 3 soirs parce qu'il est parti plus tôt que tout le monde. Mais revenons un peu en arrière. Après le soir où il m'a fait un bisou sur la joue, la grosse gaffe que j'ai faite pcq je suis TROP CONNE, c'est qu'avec encore de l'alcool dans le sang j'ai envoyé un message au musicien pour lui dire que y avait ce gars qui ressemblait au Dieu Grec et que ça me perturbait et qu'il m'a embrassé sur la joue et blablabla. Je lui ai tout expliqué de la pire manière possible comme si c'était juste un pote et que ça n'allait pas avoir de conséquences. Le lendemain, le musicien était trop saoulé mais on s'est appelés et on a tout mis au clair et il m'a demandé de ne plus parler à ce gars. Ce que j'ai donc voulu faire. SAUF QU'IL ME COLLAIT TOUT LE TEMPS. Du coup on a quand-même continué à parler et je l'ai dit après au musicien. J'aime trop qu'on puisse tout se dire et qu'on puisse tout résoudre en communiquant calmement. Ça me met tellement en confiance. Je me sens vraiment en sécurité dans notre relation. Je suis trop heureuse de l'avoir rencontré purée.
Bon je vais m'arrêter là pour le récap du camp en tout cas.
(23/07/2024)
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Je ne sais pas pourquoi mes fics Star Wars s'écrivent autant avec des flashbacks, ce n'est pas un truc dont j'ai l'habitude, mais avec ce fandom ça vient naturellement.
Le début du projet Springbreak, aka la romance-qui-aurait-dû-être-épistolaire, aka la fic où Anakin vit une chanson de Fall Out Boy écrite en 2008 et Obi-Wan une ballade d'été mélancolique :
Deux ans après la fin de la guerre, le Haut Conseil perdit la tête et décréta que tous les chevaliers Jedi ayant été adoubés après le début du conflit devraient effectuer l'année de missions en toute indépendance dont ils avaient été privés. Les talents acquis durant la guerre avaient été, eh bien, guerriers, et il était temps de se remémorer l'origine de leur Mission, qui était pacifiste, et de nombreuses planètes avaient besoin de l'intervention d'ambassadeurs neutres.
Anakin trouva cette décision raisonnable, jusqu'à ce qu'il réalise qu'il était également concerné.
-- C'est une blague ? demanda-t-il à Obi-Wan lorsqu'il reçut son premier ordre, une mission pour bébé Jedi dont le nez produirait encore du lait si on appuyait dessus. Je pourrais effectuer cette mission les mains attachées dans le dos et un bâillon sur la bouche.
Même en tant que mission diplomatique, c'était du niveau zéro. Anakin avait été formé par Obi-Wan Kenobi. Ce n'était pas parce qu'il manquait plus vite de patience qu'il était incapable de régler en cinq minutes ce cas de mariage arrangé.
— Parfait, répondit Obi-Wan avec un sourcil haussé. Elle n'en sera réglée que plus vite. Anakin, dit-il plus fort lorsque ce dernier allait insister. Toi plus que n'importe quel autre chevalier mérite cette année de liberté. Tu es l'un des très, très rares à avoir passé la guerre au côté de ton maître plutôt que d'avoir été déployé ailleurs.
Il lui sourit avec une excuse dans le regard.
— Ça te fera beaucoup de bien de pouvoir agir sans que je sois toujours sur ton dos.
Oh non, songea Anakin en réalisant soudain ce que cette histoire ridicule signifiait vraiment.
On voulait le séparer d’Obi-Wan.
***
Anakin savait, objectivement, que le Conseil n'aurait pas créé un décret influençant plus de mille cinq cents Jedi juste pour le séparer d'Obi-Wan. Il n'était pas égocentrique à ce point. Et ayant comparé sa mission à celle de plusieurs de ses compagnons de galère, il savait qu'il n'était pas le seul à être traité comme s'il sortait tout juste de la Crèche.
Mais. Il était Anakin Skywalker. Le Héros Sans Peur. Le pourfendeur de Dark Tyranus et Dark Sidious.
C'était complètement ridicule !
Aussi, après quelque jours à râler sombrement avec d'autres vétérans infantilisés, il demanda à voir le Conseil qui le reçut avec une rapidité louche. Clairement, ils s'étaient attendu à ce qu'il proteste.
Mais ils ne s'étaient certainement pas attendus à ce qu'il allait leur sortir.
Tout le monde, tout le monde oubliait qu'il avait été formé par Obi-Wan. Même Obi-Wan.
— Dans sa grande sagesse...
Même pas une pointe de sarcasme dans sa voix, il espérait vraiment qu'Obi-Wan était fier.
-- ...Le Conseil a décidé que les Jedi ayant été privés d'une année de missions en toute indépendance devraient l'effectuer, à dater du premier du mois prochain. Toutefois...
S'ils croyaient qu'il ne voyait pas leur sourire en coin...
— Ils ne sont pas les seuls à avoir été privé de cette expérience nécessaire à tout Jedi. Le chevalier Koestar, la chevalière An'ki, Maître Ost...
Il continua la liste des quatorze noms qu'il avait dénichés dans la base de données de l'Ordre après trois nuits blanches et une quantité de caf à en empoisonner un wookie. Et enfin...
— La chevalière Aïmetyo et... Maître Kenobi.
Et il le savait mieux que personne, il en était la raison. Obi-Wan l'avait pris comme padawan immédiatement et n'était jamais passé par cette étape initiatique.
-- Anakin, soupira l’interpellé en se pinçant le nez.
Le reste du Conseil le regardait avec une stupéfaction non dissimulée. Il les avait coincés, et ils le savaient. S'il y avait non pas un, mais plusieurs précédents, il n'y avait pas de raison qu'il ne puisse y avoir d'autres exceptions. Et Anakin avait toutes ses chances d'en être une.
— Une excellente remarque, déclara Maître Yoda à la surprise générale, y compris celle d'Anakin.
Il ne s'était pas attendu à ce que le Grand Maître soit le premier à céder, et si vite.
— En délibérer, le Conseil doit. À Maître Windu, la liste, remets.
Dérouté, Anakin s'exécuta, soutenant le regard exaspéré du Maître de l'Ordre.
Il sortit de la salle du Conseil avec un léger sentiment de malaise, le mit sur le compte de l'irritation d'Obi-Wan et se promit de l'inviter à dîner pour se faire pardonner, même s’il n'aurait pas dû en avoir besoin.
Il avait fait ça pour leur bien.
***
— Ce n'était pas du tout ce que je voulais, dit-il, horrifié, quelques heures plus tard.
Obi-Wan, avec un stoïcisme né de ses nombreuses années d'expérience, venait de lui montrer un ordre de mission qui faisait passer celle d'Anakin pour une tâche ardue.
Servir de témoin à l'inauguration du nouveau parc naturel maritime dédié à la paix de Champala ? On le prenait pour un padawan ?
— Ils ont complètement perdu la tête, ils ne peuvent pas se passer de toi en tant que conseiller, c'est n'importe...
— Oh, je ne quitte pas pour autant mon poste, répondit calmement Obi-Wan. Au contraire, je sers d'exemple aux autres Jedi, afin de prouver que le Conseil est juste. Merci, Anakin. Sincèrement.
— Obi-Wan...
— Sur ce, je vais te laisser.
— Où est ce que tu vas ?
— Quinlan et Luminara ont une bouteille de Danse-de-Feu antakarien qui porte mon nom. À demain.
Anakin faillit le rappeler, mais choisit sagement de le laisser partir.
Et peut-être qu’il irait voir ce que lui aussi avait de plus alcoolisé dans son placard.
#il y a des chances que je doive le réécrire entièrement parce que le reste a un ton complètement différent#on verra#j'ai presque 8000 mots pour le moment#il ne s'est pas passé grand-chose et je ne sais pas trop ce que la suite va donner#yolo comme disent les plus si jeunes#blabla#mes scribouillis#obikin
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✨ BIENVENUE ✨
2024, faut changer de tête & autres infos requêtes.
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COMMANDES/REQÛETES FERMÉES
avatars; mon ask (ça s'appelle comme ça ?) est ouvert aux propositions, autres suggestions ou commandes pour des lots de 4. je ne garantis pas de les faire, ça dépend de mon inspiration. si vous pouvez fournir une galerie c'est l'idéal, et si, en prime, vous me donnez la vibe de votre personnage, un moodboard ou tout autre élément pour faire en sorte que les avatars collent à celui-ci, je serais aux anges. je suis plus à l'aise avec le noir et blanc, mais si vous ne souhaitez que des couleurs, n'hésitez pas à me le faire savoir; sortir de ma zone de confort est un exercice périlleux, mais je l'apprécie !
crackships; je ne m'étends pas trop dessus, parce que je fais les crackships lorsque je suis sur des forums, inspirée par les personnages que je vois. mais étant en pause rpgique, c'est tout de suite plus compliqué de s'immerger dans les univers. ne voulant pas manquer de rendre justice à vos personnages, je préfère éviter. néanmoins, si on se connaît ou si on s'est connu, n'hésitez pas à venir me poker, on pourrait toujours s'arranger ! 💫
n'oubliez pas la politesse (même si sincèrement, j'ai rarement vu d'abus de ce côté, sauf quand j'ai eu des anglophones dans mes dms) et faites preuve de patience si jamais je ne réponds pas de suite. surtout, merci d'avance pour votre confiance 💜
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ET AUSSI...
quoi de mieux pour commencer l'année que de commencer en remettant un jour un theme tumblr qui n'avait plus rien de viable à cause de cette histoire du javascript que tumblr n'accepte plus...
ça faisait des mois et des mois que je ne pouvais plus le mettre à jour, et ça me rendait dingue. maintenant, c'est chose faite. bon, ne prêtez pas trop attention au côté sommaire de mes tag pages parce que ça a été fait avec les moyens du bord (aka mon cerveau qui en connaît peu sur le code et chat gpt mdr)
en allant sur la side bar du côté, et en cliquant sur "more", vous pouvez retrouver trois pages qui recensent mes avatars, mes crackships et mes gifs. et aussi, un "about me" que j'ai rempli pour le fun. précision pour les crackships, ça ne se voit pas au premier coup d'oeil (grâce à ma nullité mon génie du codage) mais en passant la souris sur un nom, un menu déroulant s'affiche pour dévoiler tous les featurings faits en crackship avec ce faceclaim 🌝
enjoy la vibe lilas, et merci d'être aussi nombreux à me suivre dans mes aventures rpgiques graphiques 💜
direction 2025 et, peut-être, un apprentissage du code (non)
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Aujourd’hui, vendredi 28/06/24, Journée internationale de la phénylcétonurie (PCU) 🙏 et Journée mondiale de la majuscule (Caps Lock Day) ⌨️ Au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. 🌬️
Premier Petit bal de l’été ce soir (vendredi 28/06/24) avec le groupe Red Ballons (rock, funk) place Gabriel Fauré (juste à côté de l’église Saint-Laurent d’Annecy-le-Vieux) à partir de 20h30 💃 Soirée festive et dansante (ambiance guinguette, buvette et petite restauration sur place) 🕺
Qualité de l’air à Annecy : la journée devrait être à nouveau chaude, mais peut être plus nuageuse 🌡 La formation d'ozone devrait donc être encore active, mais sans excès 💨 Les indices ATMO resteraient majoritairement dégradés et pourraient être mauvais sur le centre de la région 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy reste élevé, au niveau 3 en ce qui concerne les graminées (indice communal valable du 15 juin au vendredi 28/06/2024 inclus) 🤧 Personnes allergiques : évitez les activités physiques intenses à l’extérieur (parcs, jardins, etc.) 😷
Les deux dictons du jour avec une sacrée interrogation vu que la Sainte Irénée est la veille de la Saint Pierre, pourvu qu'il ne pleuve pas : « S'il pleut la veille de saint Pierre, la vigne est réduite d'un tiers. » 🌧 « Pluie de la sainte Irénée, réduit la vigne de moitié. » 🍇
Et trois autres dictons du jour pour la route : « À la sainte Irénée, il convient de se remettre à son métier. » 👍 « Le jour de la sainte Irénée est le plus beau de l’été. » 🌞 « Le jour de la sainte Irénée, est l'un des plus beaux de l'année. » 🤩
Bonne fête aux Irénée et demain aux Pierre et aux Paul 😘
Bon cinquième jour de la semaine à tous et à toutes 🌳
��� JamesO PhotO à Annecy le jeudi 27/06/24 📸
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J'ai terminé la nuit dernière de lire Memento Mori de Solédad Cayuela, et c'était sympa. C'est un recueil d'explications à propos des objets et techniques magiques ainsi que la nécromancie. C'était intéressant mais je ne me vois pas pratiquer ce genre de choses. J'ai envie et puis j'ai la flemme parce que je ne suis pas totalement convaincue. Et puis j'ai envie quand même, fin je sais paaaas.
Exemple, le livre débute sur la consécration des objets. Je crois que sans magie, juste par le pouvoir de la persuasion et de la visualisation, c'est possible de donner des intentions aux objets, par exemple un bracelet qui rappellerait que "tu es capable" "ose, fonce", ou "du calme" ou que sais-je. Juste parce qu'en le mettant, on se concentre, on visualise la situation qu'on recherche, on fait le point sur les moyens à mettre en œuvre, sur ce qu'on a déjà essayé et qui n'a pas fonctionné, sur ce qu'il faut changer, et on signe un contrat avec soi-même, et à la vue du bracelet, de l'objet, on se recentre sur ce travail d'introspection et on redevient acteur.ice.
Enfin c'était ma lecture ésotérique de l'année, j'avais mis dans mes objectifs de l'année de faire une recherche sur le plan spirituel et la recherche est toujours d'actualité. Je vais peut-être me diriger un peu sur une sorte d'harmonie à avoir avec la nature. Peut-être dans la lignée de la slow life qu'on a entamée, peut-être en allant marcher plus régulièrement et en notant des observations, peut-être en jardinant avec la Lune comme mon grand père faisait, je ne sais pas encore dans quelle direction ça ira.
La lecture de l'ebook dont je parlais ci-dessus m'a rappelé des événements passés il y a super longtemps. Ma grand-mère paternelle était coupeuse de feu (elle cessait la douleur des brûlures rien qu'en posant les mains) et elle est décédée quand j'avais deux ans. Elle guérissait aussi les verrues, et d'autres choses dont on n'a jamais voulu me parler. J'ai la sensation d'un souvenir très réel où elle me dit qu'un jour elle m'apprendra tout ça. Évidemment elle est décédée avant. J'ai aussi un souvenir plus étrange qui m'est revenu, tout aussi réel alors que celui-là ne peut pas être réel, de moi, adolescente, assise à une table avec ma grand mère décédée depuis des années et mon père décédé depuis peu, papotant avec eux en sachant que la conversation ne durerait pas car ils repartaient juste après. C'est très probablement juste un rêve que j'avais fait à l'époque mais ça m'est revenu en lisant les explications sur la nécromancie.
Bref voilà pour la dernière lecture de l'année, ça clôt le hashtag livres 23 et le billet avec tous les résumés restera épinglé jusqu'au premier livre de 2024 ^^
Ah et rien à voir mais si vous avez un vêtement ou un fauteuil en velours et que ça accroche absolument tous les poils, le truc qui fonctionne le mieux, après une étude approfondie et le test d'une dizaine d'outils, c'est.......
⭐ la brosse raide pour les poils de chats avec des petits pics coudés ⭐ Voilà c'était mon conseil de daronne.
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2024
Ce matin, j'ai vu passé des oies sauvages. Beau présage pour ce premier jour de 2024. Chaque matin du premier Janvier, je cherche un signe que les 12 mois à venir seront bon. L'année dernière, le ciel était rose. Je sais bien que j'y vois ce que j'ai envie d'y voir et que cela ne veut absolument rien dire, mais ça me rassure. Et puis, en centre ville, c'est exceptionnel de voir passé des oies sauvages, alors, qui sait ...
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Thé dont le début de la production serait vers le XVIIIe siècle, le Thé Sencha est le plus courant au Japon vue qu'il peut être bu chaud comme froid. Il est le thé le plus produit avec une production représentant 80 % de Thé au Japon. Sa production est de 80'000 tonnes en 2019. Sa culture en elle-même est produite dans plusieurs zones géographiques, les plus importantes étant celle d'Uji, au sud de Kyoto où 70% de la production est consacrée au Sencha. Cultivé avec la technique du "Ooishita", une technique constante à protéger les plants de théiers de la lumière pendant vingt jours avant la cueillette. Cela est fait afin de réduire l'amertume et de développer un goût plus moelleux et doux. Sa culture se fait entre mai et juin et reste le plus souvent mécanisé de nos jours. Il existe plusieurs variétés de Sencha telle que le Jô Sencha (Sencha Supérieur), le Toku Jô Sencha (Sencha Extra Supérieur), le Hachijuhachiya Sencha (Récolté 88 jours après le début du printemps), le Kabuse/Kabusecha Sencha (Sencha à couvert), Asamushi (Séché à la vapeur légère), Chumushi (Cuit pendant 30-90s à la vapeur), Fukamushi (Sencha cuit à la vapeur pendant 1 à 2 minutes) et le Sincha/Ichibancha (Premier Sencha de l'année).
La période du XVIIIe siècle, celui qui vit donc le Sencha être introduit au Japon correspond à la période dite "Tokugawa" ou l'Époque Edo. S'étalant sur une de l'an 1600 avec la Bataille de Sekigahara jusqu'à l'an 1858 avec le Bakumatsu est une grande période, voyant l'unification du Japon, mais aussi d'un essor de certaines chose, telle que l'agriculture ou bien l'art et les sciences. Durant cette époque, nous pouvons cité les trois grandes phases de dynamisme de la littérature Japonaise qui sont l'ère Genroku (1688 à 1704), la période des ères Hōreki et Tenmei (1751 à 1789) et pour finir la période des ères Bunka et Bensei (1804 à 1824). C'est à cette Époque que le théatre japonais traditionnel "Kabuki" sera aussi créé par celle qu'on considère comme la fondatrice de cet art, Izumo no Okuni. Ainsi, l'Époque Edo reste une période très vaste et très riche à décrire.
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Bon bah, une année de plus et maintenant, on est au quart de siècle ! Aux noms des dieux, si la vingt-troisième était très longue et difficile, la vingt-quatrième est passé à toute vitesse !
C'était vraiment l'année des premières fois j'ai l'impression... première fois que j'ai passé un concours, même si je ne l'ai pas eu (j'ai réussi les écrits, pas les oraux) mais, ce n'est pas vraiment grave, c'était pour un emploi qui vraiment n'était pas fait pour moi et ne plus être dans cette voie m'a fait vraiment du bien.
Première fois que je ne fais pas une rentrée scolaire aussi vu que j'ai eu mon premier travail sur le long terme qui n'est pas un job d'été ou un service civique ! (et j'ai appris qu'il faut que j'aille au cinéma plus souvent l'après-midi, c'est toujours à ce moment-là que j'avais des appels pour un emploi et pour le coup, c'est celui qui m'a recruté ! XD) C'est pas dans ma branche de base mais, j'y suis plutôt bien depuis juillet, et ça me permet d'accumuler des sous pour reprendre mes études quand je pourrais / voudrais, ou alors me permettre d'avoir qu'un emploi à mi-temps pour avoir du temps pour préparer des concours dans mon coin. Ce sera peut-être pour cette année-là, même si je ne me suis pas réinscrite à la fac. On verra bien comment ça va tourner mais pour l'instant, j'aimerais continuer à me faire de l'expérience et voir ce que ça pourrait donner (surtout que je n'ai pas trop le courage de lire de gros livres en ce moment).
Sinon, je suis assez contente de ce que j'ai pu faire cette année du côté créatif ! J'ai pu expérimenté la BD avec celle sur Pan dont je suis toujours très fière, et j'ai fini mon UA avec berserkr!Rodrigue, une réconciliation générale chez les Fraldarius avec Glenn qui survit, et Lambert qui survit aussi pour se prendre toutes les claques qu'il mérite ! J'ai aussi mis ma version d'AM où Rodrigue survit sur AO3 ! Bon, ça fait un moment que je ne l'ai pas mis à jour vu que je me prend la tête avec le passage où Rodrigue et Alix avouent tout ce qu'ils ont sur le coeur à Dimitri vis à vis de Lambert et expliquent toute son histoire mais, je finirais bien par me débloquer. C'est surtout que je ne sais pas si je leur fais avouer à mi-mot à quel point ils en veulent à Lambert à cause d'une ligne que j'ai ajouté lors de la relecture, avec Rodrigue qui marmonne à Félix qu'il serait étonné s'il savait qui il haït le plus au monde, c'est à dire Lambert à cause de tout ce qu'il a fait et son inconscience qui a tué Glenn et Nicola. D'un côté, ça permettrait de répondre à la potentielle question "qui Rodrigue haït tant ?" mais d'un autre côté, ils viennent déjà de refaire le portrait de Lambert devant Dimitri - qui leur a demandé de lui raconté l'histoire de son père sans le ménager - alors, je ne sais pas si ça suffit et j'ai peur que ce soit trop dur s'ils disaient qu'ils ne pardonneront jamais à Lambert ce qu'il a fait et que même avant sa mort, leur relation s'était beaucoup dégradé à cause de son comportement. Je change d'avis tous les jours à ce sujet mais, je finirais bien par me décider... sinon, je laisserais le chapitre comme il est, il répond déjà à pas mal de question.
Pour l'instant, je suis plus dans un moment où je dessine bien plus que je n'écris mais, je m'amuse bien en le faisant, c'est tout ce qui compte ! J'essaye aussi de m'y remettre petit à petit en écrivant une petite histoire tournant autour d'une pierre de résurrection dans l'univers de FE3H, et j'essaye aussi de mettre mes idées en place pour une histoire originale très inspirée de ma manière de voir les Fraldarius mais, dans un autre contexte et sans le boulet du canon au pied ! J'ai aussi ma BD avec Pyrkaïa qui explose Lonato qui suit son cours et même si je n'ai pas trop continué ces derniers jours pour des raisons persos, j'espère réussir à la finir ! Après tout ce temps déjà mis sur les schémas, se serait bête d'arrêter ! Au moins, j'ai fait trois planches cette semaine qui se déroule après la bataille, avec Ashe qui s'isole après avoir vu Lonato qui lui a hurlé dessus après la bataille, avec Pyrkaïa qui vient le voir pour parler. ça lui fera vraiment beaucoup de bien de parler avec elle, surtout que Pyrkaïa est certifiée adulte responsable et devrait trouver les bons mots pour lui, surtout comparée à Lonato qui ne s'est pas fait explosé pour rien. J'essayerais de vous poster des planches, même si je vais avoir un long week-end assez chargé...
Et surtout, je suis contente d'avoir pu discuter avec plein de gens ! Que ce soit IRL ou sur internet ! Que ce soit mes collègues qui sont sympas pour la plupart, mes amis de longue date IRL, ou les gens de Tumblr ! Surtout @ladyniniane ! Je suis vraiment contente qu'on continue à discuter depuis aussi longtemps ! J'aime vraiment nos conversations, et tes idées sont aussi incroyables que toi alors, je suis contente que ça continue et j'espère que ça continuera encore cette année ! J'ai aussi un peu plus parlé avec les personnes qui suivent mon blog ou que je suis (notamment @mwezina qui fait un travail incroyable sur l'étude des cartes de tarot et leur rapport avec FE3H, j'adore ce qu'elle fait !) et je croise les doigts pour que ça continue !
En tout cas, encore merci à tous pour cette bonne année de vie d'écouler et place à la première de mon nouveau quart de siècle !
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premier jour de stage et j'adore être là !!!!!! on arrête pas de parler bd avec le patron de la librairie
on a parlé d'angoulême etc et j'ai failli péter mon crâne quand il m'a dit que possiblement si j'intégrais l'équipe pour la fin d'année il pourrait m'avoir un pass pro 3 jours 😵💫😵💫😵💫😵💫
un moment il me dit "je sais pas si tu sais mais l'année dernière c'était astier le président du jury" j'étais genre "NON JURE" ALORS QUE JE SAVAIS TRÈS BIEN........JE SUIS PAS NÉE DE LA DERNIÈRE PLUIE........ et il me fait "oui je l'ai vu etc etc il a fait une dédicace etc etc" mais j'veux travailler pour ce gars toute ma vie ptn
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