#pot de fleur orangé
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Contemporary Patio in Bordeaux Inspiration for a mid-sized, modern backyard patio renovation using concrete pavers and a pergola
#pot de fleur orangé#poutres apparentes métal#chaise de salle à manger blanche#sol béton ciré blanc#murs blancs
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Marseille Pool Example of a mid-sized trendy backyard stone and rectangular lap pool design
#cactus#jardin arboré#piscine avec vue sur mer#margelle de piscine en pierres naturelles#pot de fleur orangé#muret extérieur#pool
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Le Orange
Je pleure en Orange et je vis
Sous les coeurs d'Anges
Je saigne en Orange
Jouie ce mélange de fruits
Je ris ,saute et court
Fume les pleurs de Dieu
Des pétales d'amour
Ce sont des fleur des cieux
Sous le Ciel qui vole à l'étalage
Des pots de miel aux nuage
Je m'enivre d' hallucinations
De son sourire allure papillon
Je ris ,saute ,subit viols et tortures de l'âme
Je crie ,apôtre du vide murmurant mes lames
Car je pleure en Orange
Comme une fleur qui dérange
Je cri et saigne en Orange
Sainte immaculée
Débridée je vous mange
Moi la putain allumée
Je suis une femme couleur Aurore
Couleur d'une flamme d'éternité
Mais jamais d'argent ou d'or
Je préfère larmes et vérité
Car je prie en Orange
Me caillasse le crâne et l'esprit en Orange
Meurt en moi même puis crie en Orange
Jouie en mes fous poèmes en Orange
Chante et vous danse en Orange !
Dans la cause et luttes pour les femmes en Orange
Ou que j'ose prier de mon âme les flammes d'Ange
Car je crie en Orange
Peint en Orange dans ce refrain alors dort l'Ange !
Car le démon frétille en Orange
Minuit ,en Orange
Midi des soleils et leur mélanges
Encore et encore
Je meurt en Orangé
Le corps ou la mort
Je dois déranger
La Vérité ?
Je ne sais pas ?
Je suis un Arc en ciel..
Mais le Orange fait brûler mon ciel
Accouchant Vie et son crépuscule Éternel
Nébuleuse
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Transparent le jour pour des amours nocturnes
Comme d’habitude, elle ne me remarqua pas. Elle passa devant moi fixant du regard les élèves perturbateurs dans le couloir sans même un bonjour. Son air sévère, ses cheveux tirés en arrière, sa tenue de chef d’entreprise lui valurent le joli sobriquet de « peau de vache » des étudiants les plus respectueux, car pour les autres, c’était plutôt proche de « la salope ». Et quand elle me croise, je ne peux pas dire le contraire puisqu’elle m’ignore totalement.
Mon statut de bibliothécaire ne me permettait pas d’entrer dans les petits papiers de la proviseure-adjointe. On ne fréquentait pas le même monde. Alors c’est tout à fait normal bien qu’impoli que de passer sans même un sourire ou un bonjour quel que soit l’endroit. Devant le CDI, dans les couloirs du collège, dans les bureaux administratifs, dans la cantine. Elle avait ses proches, j’avais les miens et c’était très bien.
Je la regardai crier sur les élèves. Ils devaient être en étude, dès lors, elle les amena directement en salle de surveillance. Les quatre adolescents ne faisaient pas les fiers. Elle avait la réputation de pratiquer la boxe française et ça chez les jeunes, ça se respecte. Avant d’ouvrir la porte de la bibliothèque, je la regardai marcher comme un homme dans son tailleur de grenouille de bénitier. A travers le hublot de la porte, je l’ai revue accompagnant une pionne qu’elle engueulait parce qu’elle venait de faire son taf. Un peu plus tard, elle entra dans le centre de documentation. Comme à chaque fois, elle passa devant moi ; assis derrière le bureau de l’entrée, j’enregistrai le prêt d’un livre. Elle ne répondit pas à mon salut mais à celui de l’élève qui attendait le livre. Elle partit afficher son sourire à ma supérieure, lui annonçant une bonne nouvelle dont on n’avait que faire. Puis, elle sortit sans même un regard dans ma direction.
Il en était de même à la cantine. Je mangeai avec les profs qui ne me considéraient pas comme un surveillant ou un banal assistant. J’étais leur égal. Avec eux, je m’amusais, nos discussions étaient délirantes. Soudain, elle entra avec son air pet sec. Elle prit un plateau avant de faire la queue et de se servir. Dans la salle voisine, à la table la plus proche des élèves, un troisième ne put retenir une connerie à son sujet: « Tiens, vlà peau de vache ! Elle va encore prendre de la salade pour garder la ligne... C’est normal pour une vache ! » A ses mots, s’ajoutèrent ceux de ses camarades à l’humour libidineux genre : « il serait temps qu’elle bouffe de la saucisse, ça la décoincerait » mais aussi, « je me ferai bien un sauté de vache…Faut la décoincer du cul, elle sera plus aimable » et j’en passe. Aucun prof n’intervint en jouant les sourds malgré leurs sourires pincés.
Pendant ce temps, Je relisais le petit mot: « Ce soir, devant le restau place royale ». C’était son écriture. Elle avait déposé le message discrètement sur mon bureau en entrant dans la bibliothèque. Il était volontairement chiffonné pour passer inaperçu et ne pas être lu par un autre. S’ils savaient qu’on était ensemble depuis la fac, ils me détesteraient ou l’apprécieraient. Je rangeai le mot, lorsqu’elle passa devant notre table sans jeter le moindre regard envers moi. Elle s’adressa à un prof d’anglais au sujet d’un projet pédagogique, à une prof de math lui demandant des nouvelles de son fils malade. Puis elle partit rejoindre la bureaucratie, des secrétaires gloussant autour du CPE à l’apparence de Johnny Depp version 21, jump Street. Elle accompagna les glouglous en riant avec elles sur les blagues à deux balles du bellâtre.
Dès qu’on se croisait dans la journée, elle faisait mine de ne pas me connaitre, marchant en faisant du bruit avec ses talons hauts. Ils étaient reconnaissables de loin et résonnaient dès qu’elle s’engouffrait dans un couloir désert. Mon après-midi se passa à conseiller, surveiller et gronder les élèves trop-bruyants. Puis vint la fermeture. Elle passa devant moi, la sacoche en épaulière. Elle entra dans la bibliothèque pour dire au revoir à la documentaliste en chef sans même jeter un œil sur moi. Après son départ, je remarquai un nouveau petit morceau de papier froissé sur le bureau que je venais de ranger : «Ne tarde pas ».
Elle attendait sagement sur la terrasse du restaurant, une cigarette à la main. Elle souffla de la fumée lorsque je me présentais. Elle se leva, nous nous embrassâmes sans se soucier de savoir si quelqu’un nous connaissait. Elle portait sa jolie robe rouge, celle que je lui avais achetée pour son anniversaire. Ensuite, je me suis assis en face d’elle, juste avant l’arrivée du serveur. Elle était souriante, me regardait avec des yeux qui pétillaient. Je vis le reflet de mon propre regard dans le sien. Elle me parla de la journée qu’elle a eue et que je connaissais déjà. Dès lors, je posai mon index sur ses lèvres rouges en signalant que maintenant, il n’y a plus de collège, il n’y a plus de travail. Il ne reste plus qu’elle et moi. Elle sourit de nouveau et me laissa prendre une bouffée sur sa cigarette. Pendant que nous choisissions dans le menu, elle s’amusait à me faire du pied.
Comme des amoureux, on picorait dans les deux assiettes, goûtant le plat de l’autre comme pour apprendre à se connaitre. Nous restâmes longtemps à manger et se parler tendrement. Quand vint l’addition, le cuistot, un cousin, nous rejoignit en apportant une bouteille de cognac pour une dégustation digestive. Loin d’être amateur de ce genre d’alcool, j’appréciai toutefois son arôme fort et boisé. Elle taquina légèrement en disant qu’il y avait de la poire. Mon cousin répondit avec un air sérieux : « Il y en a !».
Les clients étaient tous partis depuis longtemps quand nous quittâmes le restaurant. La nuit s’offrait à nous sur cette place soudainement vide de gens et de voitures. Nous marchâmes, sans penser que la nuit était à nous. Elle commença par marcher sur le rebord de la fontaine pour en faire le tour. Elle semblait danser cherchant sans oser à tomber dans l’eau. Mais au dernier moment, je la retins et l’attirai vers moi. Alors, comme une folle envie, nous dansâmes au son d’une musique imaginaire et silencieuse. J’avais en tête : « I’m Kissing you » de Des’ree.
Nous sortîmes de notre slow en entendant les sifflements d’un groupe de jeunes qui se promenaient. Nous abandonnâmes la rue en se tenant par la main comme deux idiots amoureux. Puis, alors que nous arrivions devant chez moi, elle chuchota simplement qu’elle avait envie d’entendre la mer. Il était tard, pourtant, nous nous dirigeâmes vers ma voiture et partîmes pour une escapade nocturne. Il était définitivement fini le moment où j’étais transparent.
Il n’y avait pas beaucoup de circulation. Nous hésitâmes entre plusieurs endroits. Finalement, nous partîmes en direction de Pornic et ses plages isolées. Le trajet me parut agréablement long. Elle regardait l’obscurité du ciel qui se confondait avec le paysage. Tout était noir, impossible de reconnaitre quoi que ce soit. De temps en temps, elle frémit prise par le froid qui s’engouffrait dans la voiture ; elle utilisa mon manteau comme couverture et doucement, elle ferma les yeux en affirmant qu’elle se sentait bien. Les feux des quelques véhicules rencontrés m’éclairaient. Moi aussi, je me sentais bien !
Quand nous arrivâmes à destination, elle sortit de la voiture avant même que j’éteigne le moteur. Elle retira ses chaussures et courut sur le sable. L’odeur iodée m’enivrait agréablement. Le bruit des vagues l’attira comme une mouche sur un pot de miel. Je la cherchai au milieu de l’obscurité dans laquelle scintillait des milliers d’étoiles. On ne voyait rien à l’horizon, pourtant, par beau temps, on pouvait apercevoir l’ile de Noirmoutier. Soudain, elle m’appela. Je la retrouvai assise sur le sable. Elle écoutait la mer divaguer. Je m’assis à côté d’elle. Elle posa sa tête sur mon épaule. J’oubliai l’odeur iodé pour son parfum de vanille et de fleur d’oranger. Dans la tête, la voix de Des’ree continuait à chanter Roméo et Juliette.
Nous restâmes presqu’une heure à braver le froid et le vent sur la plage. Nous discutâmes de nous, de nos souvenirs d’étudiants, du weekend prochain. Elle proposa de rendre visite à sa famille, elle voulait que je vienne. Je demandai en souriant quel intérêt alors que d’habitude, on s’aime en secret. Elle laissa échapper un soupir et passa son bras contre ma taille pour mieux m’enlacer. Elle avait froid, moi aussi, mais on était bien.
Nous dormîmes dans la CORSA après avoir fait l’amour. C’était un jeu entre elle et moi. Nous commençâmes dans l’auto et finîmes complètement nus sur le capot. Entretemps, nous avions dansé nus sur le parking au son d’une playlist de chansons espagnoles. C’était une envie, une folie de s’afficher comme la fois où nous avons sauté par-dessus le portail fermé d’un parc parce qu’elle voulait baiser sur un banc public. Comme les nombreuses fois où nous avons baisé contre un mur dans une ruelle perdue, dans un champ sous le clair de lune. Comme la fois où nous sommes entrés au collège en pleine nuit et fait l’amour sur son bureau. Je ne fermai l’œil qu’une heure après, on se berçait sur la banquette arrière sans pouvoir vraiment dormir.
Le soleil se levait à peine quand nous retournâmes sur Nantes. Il sortait fièrement son jaune orangé de l’arrière-pays. Je la déposai, rentrai chez moi prendre une douche. Ensuite, je partis travailler. Au collège, elle passa à côté de moi sans même dire bonjour, sans me regarder. J’étais de nouveau transparent jusqu’au soir, jusqu’à notre prochaine folie nocturne.
Alex@r60 – août 2020
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Les COTYLEDON macrantha sont au plus beau ! Cette plante succulente est une merveille. Ce cotyledon se développe en touffe basse. Ses tiges se ramifient en gardant leur extrémité dressée. C’est en début d’année que l’on voit apparaître le fleurs, un bouquet de clochettes rose orangé. On peut le cultiver en pot ou coupe mais il peut aussi agrémenter un jardin sec si l’on a la chance de ne pas avoir de fortes gelées en hiver. Sa rusticité, -5*C dans un sol bien drainé. #cotyledon #cotyledonmacrantha #macrantha #plantesucculente #succulente #cactus #plantegrasse #lescacteesdestjean #lescacteesdesaintjean #pepiniere #pepinieredrome (à Les cactées de st jean) https://www.instagram.com/p/CZglwN2sOqV/?utm_medium=tumblr
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CHELIDOINE MAJEURE (Chelidonium majus) (Grande éclaire, Herbe aux verrues, Herbe aux boucs) Quand on voit la quantité de noms populaires sous lesquels céteaux livres de simples, on peut s’imaginer combien cette plante, aujourd’hui considérée comme une mauvaise herbe vénéneuse, était appréciée de nos ancétres. Le mépris, dans lequel elle est tombée aujourd’hui, ne peut s’expliquer que par l’effet de la campagne de propagande lancée par l’industrie chimique pharmaceutique lors de ses débuts, pour détourner le peuple des simples et pouvoir ainsi lui vendre des médicaments chimiques. La grande éclaire a une tige ramifiée et atteint de 30 ä 80 cm de haut. Sa floraison débute en mai, se poursuit tout l’été et une partie de l’automne. Les feuilles sont dentelées et ressemblent ä celles du chàne. Quand on rompt, soit la tige, soit la racine, un suc orangé épais s’écoule. Elle pousse de préférence au sud, à la lisiére des bois, le long des murs, des clotures et des talus. Qu’elle que soit la sécheresse, la séve orange coule toujours de la partie brisée de la plante. Méme en hiver, quand la neige recouvre tout, on peut récolter de la grande éclaire pour peu qu’on sache ou elle pousse. La plante a une action dépurative et active la production du sang. Je la conseille avec de l’ortie et de bourgeons de sureau, contre la leucémie. Toutefois, il faut boire au moins deux litres de cette tisane journellement pour obtenir un bon résultat. La grande éclaire est le meilleur moyen de guérir les graves maladies du foie si on l’utilise fraiche. On extrait le jus dans une rèpe centrifugeuse de ménage (ou au mixer, N.D.T.) en employant des plantes lavées et égouttées. On boit ce jus coupé de 2 fois son volume d’eau tiede par gorgées au long de la journée. Elle a une excellente influence sur le métabolisme par ses vertus dépuratives du sang et du foie. Contre les maladies de la bile, des reins et du foie, il faut employer la grande éclaire. Du vin de grande éclaire est employé avec succés contre la jaunisse (30 g de grande éclaire fraiche avec les racines, macérés pendant une ou deux heures dans 1/2 litre de vin blanc). Les hémorroìdes avec brélures anales, les brélures et les douleurs quand on urine, les sifflements d’oreille reluvent de son action. Dans ces cas, on peut utiliser le jus centrifugé dilué dans de l’eau tiede ou deux ä trois tasses de tisane (ébouillantée, pas bouillie) à boire par gorgées réparties sur la journée. En usage externe, on l’utilise contre les affections dermiques, les œils-de-perdrix, les verrues et les dartres inguérissables. La cataracte et les taches sur la cornée disparaissent sous son action. Le jus agit méme contre les hémorragies et les décollements de la rétine. Il faut prendre une feuille de grande éclaire, la laver, puis Écraser la tige friable entre le pouce et l’index mouillés. Le jus ainsi préparé est étalé sur l’œil fermé, en direction du coin de l’œil. Quoiqu’on n’en mette pas directement dans l’œil, celui-ci en profite. Il faut procéder ainsi pour la cataracte et la perte de l’acuité visuelle et aussi ä titre préventif pour les yeux sains en cas de surmenage. Moi-méme, j’apprécie cette action bienfaisante quand, tard dans la nuit, je réponds au courrier. Trés fatiguée, je descends au jardin, prends une feuille de grande éclaire et m’en enduis comme indiqué ci-avant. Chaque fois, j’ai l’impression bienfaisante de retirer le voile de fatigue étendu sur mes yeux. Les pharmacies homéopathiques préparent une teinture de grande éclaire dont on peut prendre dix à quinze gouttes dans un peu d’eau. Il y a quelques années, on me rapporta le cas d’une paysanne qui avait sous la paupiére gauche une induration rouge et grosse comme un pois. L’ophtalmologiste, qu’elle était allée consulter pour se faire prescrire des verres, remarqua la chose qui ne lui plut pas. Elle avait cela depuis 7 ou 8 ans sans en étre préoccupée. Le médecin fit un prélévement et l’envoya au laboratoire pour examen. C’.tait un cancer de la peau. Pour la jeune femme, ce fut un dur choc, comme vous pouvez le penser. Comme la famille de cette jeune femme fait partie de nos relations, je pus lui conseiller d’utiliser de la grande éclaire. C’était en février, aprés un hiver doux. La grande éclaire supporte l’hiver et reste verte. Je conseillai donc de déterrer une plante et de la mettre dans un pot pour l’avoir . portée de main. Elle devait se mettre du jus orange 5 à 6 fois par jour sur la partie malade. Comme l’induration était sur le bord de la paupiére, je lui fis remarquer que le jus était inoffensif pour l’oeil. Je lui dis aussi d’aller une fois par mois à Bruxelles pour une séance de rayons, comme le médecin l’avait ordonné, d’autant que ces rayons ne détruisent pas ces tumeurs, mais bien souvent attaquent les parties saines de la plaie et nécrosent les os. J’eus la joie, avant la No.l, d’apprendre que cette tumeur maligne avait disparu. Quand la jeune femme vint me voir, elle me sauta au cou dés la porte. Le médecin, à qui elle venait de rendre visite, lui avant moi lui demanda, émerveillé du résultat, ce qu’elle avait fait. .Une fois par mois les rayons à Bruxelles, répondit-elle. . Si ce sont ces rayons qui ont guéri cela, c’est un miracle! à dit-il. Au cours de ce traitement, elle avait pu entrevoir des visages rongés jusqu’a l’os par les rayons, et elle m’avoua qu’elle n’aurait jamais pu supporter cette .preuve si je ne lui avais entre temps rendu courage, foi et confiance. Encore une priére à vous tous qui lisez ces lignes: conseillez votre entourage dans un pareil cas et épargnez à votre prochain une fin horrible. A notre époque, ou l’environnement est pollué, les cas de verrues qui s’enflamment se multiplient. Elles grossissent et se transforment en cancer de la peau. Les poils sur le visage et une pousse anormale des poils sur les bras et les jambes de la femme indiquent une perturbation des reins. Les parties affectées seront badigeonnées avec du jus de grande éclaire que l’on prépare avec la centrifugeuse familiale (ou au mixer). (Ce jus se garde six mois au congélateur.) On laisse pénétrer quelques heures, on se lave ensuite avec un savon doux et on enduit ensuite la peau devenue un peu séche avec de la pommade de souci, de l’huile de camomille ou de millepertuis (voir utilisation). De plus, il faut faire une cure de tisane d’ortie: trois à quatre tasses dans la journée ainsi que des bains de siége à la préle pour améliorer l’irrigation sanguine des reins (voir préle des champs). UTILISATION Tisane: Une cuillére à thé bien remplie dans 1/4 de litre d’eau bouillante. Jus frais: Feuilles, tiges et fleurs sont à passer à la ràpe centrifugeuse (ou au mixer) aprés lavage et égouttage. Teinture: Reméde homéopathique à se procurer en pharmacie. Vin de grande éclaire: 30 g de grande éclaire avec racines sont recouverts de 1/2 litre de vin blanc. Laisser macérer 1 à 2 heures, égoutter et presser les plantes. A boire par gorgées. #remedes #naturels #sante #environnement #ecologie #pinextract #bioleven #remieldie https://www.bioleven.be/blogs/bio-leven
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6 Livres sur achat tillandsia que vous devriez lire
Production et vente d'orchidées tropicales, pépinière placé, un service de livraison de proximité des adresses localisées au sein des codes de poste et est possible, au tarif de 4, 50 €.
Forme une branche allongée aux feuilles de couleur vert-olive. De croissance immédiate, forme une toupet florifère en plusieurs années. Feuillage plus fin que cette variété Major. Il possède un pseudobulbe plus gros et les feuilles sont striées longitudinalement.
Le commerce en ligne de Cactus est fermé. Connus et vraiment répandus, feuillage argentin à laisser retomber. Peut être divisé en plusieurs petites touffes. Feuillage vert et rigide qui apporte du volume chez vos compositions. Superbe feuillage vert profond qui rappelle celui-ci de l'orchidée, élastique, retombant. Cet appareillage n'est pas disponible en ligne mais vous pouvez https://www.tillandsia-prod.com/ l'acheter en boutique.
Pour finir, des coussins d’air complémentaires sont utilisés pour la fois d'isolant contre la majorité des variations de température et d’amortisseurs contre les chocs. L'emballage est effectué soigneusement de façon dans protéger la plante des chocs survenant pendant le transport. J'en ai acheté différents pour en effectuer un rideau végétale, c'est super facile de culture et ça donne de la dimension chez ma collection d'orchidée.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait. Rosette de couleur verte se colorant de rouge en son centre au moment de une floraison.
Tillandsia ressemblant à un stick aux fines feuilles vert clair. Gent peu courante dans croissance modérée dont les pousses se recourbent en destination haut. Très belle fleuron en tube d'un rouge vif éclatant. Espèce au feuillage vert demandant de nombreuses vaporisations régulières.
L’orchidée est couchée au sein de un matelas de coussins d’air dans un carton renforcé. Son pot se révèle être fermement ancré au sein du carton avec des crochets en plastique et des élastiques épais.
L'excès d'arrosage peut ralentir le flux d'oxygène presque les racines et ainsi fragiliser cette plante.
Sur ces côtes d’Amérique du Sud, les tillandsias poussent accrochés à tous les parois rocheuses. Cela n’est donc point une erreur que de les poser entre deux acceptez ou deux maous coquillages, en consacrant soin de convenablement les caler. On l’appelle aussi mousse espagnole ou barbe de vieillard. À l’état naturel, il vit accroché aux branches des axes, en plein terroir ou à mi-ombre. Il aime la majorité des climats assez frappés et humides. Laissez-le dehors jusqu’à la température nocturne de 5 °C.
d’engrais pour orchidée 2 fois chaque mois dans la belle saison. Les feuillages gris supportent plus la chaleur que les feuillages verts. En poursuivant votre navigation en ce qui concerne le site, vous acceptez l'utilisation un ensemble de cookies pour vous présenter notamment des publicités ciblées selon vos centres d'intérêt. Une vous proposons de réaliser vos murs végétaux et aquarelles végétalisés avec nôtre cadres vierges.
Gent dont l'aspect correspond à T. albertiana avec un feuillage vert grisâtre. Forme une touffe assez dense avec un ensemble de inflorescences portant plusieurs fleurs de couleur jaune orangé très agréablement parfumées. Diversité aux fleurs orangées très parfumées!
Cactées, succulentes, Bonsaïs, tourbière et très multiples variétés de fleurs. Site réservé uniquement aux professionnels, point de vente à tous les particuliers. Les coûts sont stipulés en euros, éco-contributions incluses, hors taxe primo de nos entrepôts, TVA et frais de port en sus.
Vous tiendrez tout l'équipement et accessoires pour élaborer et créez seul votre mur végétal. L’ensemble pend d’une branche ou d’un support sur 1 à plusieurs mètres tel que une longue barbichette de vieillard.
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Le village endormi
Trois années passées sans déambuler dans Castelnau-de-Montmiral, la séquence devait prendre fin. Cet hiver, la démangeaison prit un tour fulminant.
Je cédai donc à l'appel mystérieux de ce village à proximité duquel j'avais vécu quelques mois et où, les mardis en matinée, je faisais le tour du petit marché des producteurs locaux. Au printemps, j'achetais au sympathique maraîcher qui m'initia au jardinage en terres calcaires, des plants et aux autres, les belles saisons, des fromages de chèvre ou de brebis et de la charcuterie, produits parfaits qui me plongèrent durablement dans une addiction au “bien manger d'ici”. L’idée de m’en déprendre un jour ne m’est jamais venue.
En ce début de cet après-midi, la lumière venue du ciel était juste assez propice à la révélation des petits trésors architecturaux que cette petite bastide occitane recèle sans chercher ni à les cacher ni à les afficher trop ostensiblement, mais en ces moments de grand calme, j'évitais la pollution visuelle, sonore et olfactive des automobiles (il en circule habituellement quelques unes) comme les nombreux promeneurs du printemps et de l'été qui ne sont pas tous photogéniques ni disposés à fournir matière à d’inutiles souvenirs. Curieuse impression : un village amoureusement bâti et entretenu par des générations d'hommes et de femmes dont les derniers de la chaîne des transmissions s'étaient comme volatilisés. On ne les devinait pas davantage se dissimulant dernière leurs volets clos ni s'activant dans l'intimité des logis aux fenêtres fermées. Un village fantôme provisoire dont on savait ou pressentait qu'il saurait à nouveau grouiller de vie et attirer des milliers de touristes qui, sûrement, ne viendraient pas là par hasard.
Le tracé des rues, par bonheur, échappe à la dictature des droites, des perpendiculaires et des angles ordinaires, des voies qui s'aventurent parfois sous les planchers des maisons aux poutres de chênes plusieurs fois centenaires ou sous des voûtes sombres de pierres. La géométrie retenue s'est adaptée au relief au sommet duquel le village s'est installé et à la fantaisie des bâtisseurs et de leurs donneurs d'ordre. Comme souvent, avec vue à 360° pour voir venir de loin les indésirables et les intimider ou se préparer à les repousser vaillamment.
J'aime bien entrer dans le village par l’ austère porte d'entrée “Ouest” en forme d'ogive. Un aspect un peu froid ou neutre qui contraste avec la chaleur et la majesté des courtes rues fidèlement pavées à l'ancienne (ce qu'il me plaît de croire), zigzagant, descendant, remontant en desservant les belles maisons de pierres blanches et de briques rouge-orangé, avec ou sans colombages et alignant, un peu à l'abri des larges avant-toits et débords de toiture, sous les persiennes colorés des bâtisses, maints pots de fleurs garnis, laissés là en toutes saisons.
On dira des maçons de jadis qu'ils faisaient feu de tout bois ou plutôt construction de tout matériau disponible, je préfère croire qu'ils avaient le goût des mélanges et des compositions abstraites, de types patchwork minéral, lorsqu'ils comblaient une ouverture ou réparaient un mur au moyen d'un joli amalgame anarchiquement ordonné, de briques, de pierres et de liant, tel ce mur de la photographie qui m'a inspiré une petite imitation pratique dans le mur d'entrée de ma maison…
Yves Rebouillat
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Comment planter un grenadier
Il y a très peu de choses tout aussi délicieuses dans ce monde qu’une grenade bien juteuse. L’intérieur luisant du fruit brille comme s'il était composé de rubis comestibles. Si vous aimez les grenades (Punica granatum), essayez de les faire pousser vous-même. Même si cette plante a plus l’air d’un buisson que d’un arbre, vous pouvez quand même lui donner la forme d’un arbre. Lisez l’article suivant pour savoir comment planter votre propre grenadier. Choisissez une variété de grenadiers. Le punica granatum est un petit arbre à feuilles caduques. Il va pousser jusqu’à 2 mètres et demi de hauteur et porter des fleurs orangées pendant tout l’été. La variété naine appelée nana serait plus basse (environ un mètre) et il vaut mieux la faire pousser dans des pots. Vous pourriez aussi préférer les fleurs à froufrous qui poussent sur la variété Beautiful. Il existe plusieurs façons de faire pousser un grenadier : à partir d’une pousse, d’une bouture ou d’une graine. En faisant pousser un grenadier à partir d’une graine, vous n’avez pas la garantie d’obtenir la variété que vous souhaitez et vous devrez attendre entre trois et quatre ans avant que l’arbre ne produise des fruits. Si vous voulez savoir comment faire germer des graines de grenade, vous trouverez sûrement cette information en faisant des recherches sur Internet.
Procurez-vous une bouture ou une pousse de grenadier. Vous pouvez acheter des pousses de grenadier en jardinerie. Assurez-vous d’acheter la variété qui produit des fruits si vous voulez déguster des grenades de votre jardin. Cependant, si vous avez un ami qui possède un grenadier, vous pouvez aussi lui demander de vous donner une bouture. Coupez une branche d’au moins 30 cm de long. Recouvrez la partie coupée de la branche d’hormones de bouturage pour faire pousser des racines.[1]Vous devez prélever la bouture entre février et mars lorsque la plante est encore en sommeil. WH.shared.addScrollLoadItem('img_446694fb39')
Choisissez un endroit de votre jardin qui reçoit beaucoup de lumière du soleil. Les grenadiers adorent la lumière du soleil et ne produiront des fruits que si vous les installez au soleil. S'il n’y a aucun endroit de votre jardin qui reçoit la lumière du soleil pendant toute la journée, choisissez l’endroit le moins souvent ombragé.[2] Choisissez un sol qui draine bien l’eau. Les grenadiers ne supportent pas bien les sols qui retiennent trop d’eau. À la place, vous devez leur procurer un sol bien aéré ou même sableux. Certaines personnes qui font pousser des grenadiers maintiennent un sol légèrement acide, même s'ils poussent aussi très bien dans des sols légèrement alcalins. En règle générale, les grenadiers vont s’adapter au sol dans lequel ils sont plantés, du moment que celui-ci ne retient pas trop d’eau.[3] Protégez votre grenadier du vent et d’une humidité trop forte. Plantez votre grenadier dans un endroit chaud et sec correctement protégé des vents forts. Évitez de le planter dans une zone de votre jardin humide, sombre ou froide. N’oubliez pas que les grenadiers préfèrent les climats chauds et secs.[4] Plantez le grenadier. Vous devez planter votre arbre au début du printemps après les dernières gelées. Sortez doucement la pousse de son pot. Lavez environ 2 cm en bas des racines pour retirer l’excès de terreau. Cette étape aide la plante à s’établir plus rapidement que les plantes qui sont transplantées directement du pot dans la terre. Creusez un trou de 60 cm de profondeur et de large et mettez-y la pousse de grenadier.[5]Si vous faites pousser le grenadier à partir d’une bouture, aérez le sol et plantez-y la branche verticalement pour que la partie coupée se retrouve entre 14 et 16 cm dans la terre et pour que la partie qui porte les bourgeons pointe vers le ciel.[6]
Arrosez l’arbre immédiatement après l’avoir planté. Cela permet d’installer le sol tout autour des racines. Après ce premier arrosage, arrosez la plante tous les deux ou trois jours jusqu’à ce que vous voyiez des feuilles. Ces nouvelles feuilles vous indiquent que la plante s’est bien adaptée à son nouvel environnement. Petit à petit, vous ne devez plus arroser la plante que tous les sept à dix jours.[7]Lorsque l’arbre fait des fleurs ou produit des fruits, donnez-lui un bon arrosage une fois par semaine. S'il pleut, il n’est pas nécessaire de l’arroser aussi souvent.[8]
Fertilisez la plante une fois qu’elle est bien établie. Les fertilisants à base de sulfate d’ammonium sont parfaits pour les grenadiers. Vaporisez environ un tiers de tasse de fertilisant trois fois lors de la première année (le mieux serait de l’appliquer en février, en mai et en septembre).[9] Débarrassez-vous des mauvaises herbes tout autour de l’arbre. Vous ne devez pas laisser les mauvaises herbes ou d’autres plantes entrer en compétition avec votre arbre. Désherbez la zone autour de l’arbre et recouvrez-la de paillis organique. Le paillis permet d’éviter l’apparition de mauvaises herbes tout en maintenant l’humidité au niveau du sol.
Si vous le souhaitez, donnez une forme d’arbre à votre grenadier. Même si les grenadiers sont plutôt des buissons que des arbres, vous pouvez les tailler pour leur donner une forme d’arbre, et c’est ce que font de nombreuses personnes. En vous servant de cisailles ou de sécateurs, coupez les surgeons (les petites branches qui donnent au grenadier sa forme de buisson) qui poussent à la base du tronc pour lui donner une forme d’arbre. Vous devez commencer peu de temps après que la plante se soit installée. Si avoir un arbre ou un buisson est le dernier de vos soucis, laissez la plante pousser naturellement.[10] Coupez les parties mortes ou abîmées de la plante. Bien qu’il ne soit pas nécessaire d’élaguer les grenadiers, vous devez tout de même couper les branches mortes ou en train de mourir chaque printemps pour aider la plante à pousser. Vous pouvez aussi clairsemer les branches si vous pensez que cela est nécessaire.[11]Si vous faites pousser le grenadier dans un pot, vous devez le tailler et en prendre soin pour qu’il garde la forme et la taille que vous voulez.
Prenez soin de la santé de votre grenadier. Évitez l’apparition de moisissures en faisant bien attention de ne pas trop l’arroser. Les deux problèmes majeurs du grenadier sont les pucerons et le virachola isocrates (une espèce de papillon). Vous pouvez tuer les pucerons en aspergeant l’arbre d’un insecticide acheté dans une jardinerie. Le virachola isocrates n’est pas très répandu et ne devrait pas être un problème. S'il venait à en devenir un, utilisez un insecticide contre les larves de papillons pour en débarrasser votre arbre.[12]Même si les papillons ne sont pas dangereux en général, cette espèce de papillon produit des larves qui grandissent à l’intérieur de la grenade et qui rendent le fruit impropre à la consommation. WH.shared.addScrollLoadItem('img_b38a39a6aa')
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Le lisianthus
Le lisianthus
Et si on allait voir du côté du Far Ouest. C’est là que se trouvent les racines d’une belle fleur qui porte un beau nom : le lisianthus. Sa symbolique est sympathique - il est entre autres synonyme de gratitude -ce qui en fait un cadeau idéal.
Couleurs et formes
Le lisianthus a de multiples talents et existe en blanc, crème, bleu, rose, lilas, violet et saumon. Certaines fleurs ont même des pétales multicolores. Ses pétales sont par ailleurs très doux et délicats. Il s’agit donc de les manipuler avec amour !
Symbolisme
Le lisianthus doux et aimable, est doté d’une puissante symbolique. Cette fleur est en effet synonyme d’appréciation, de gratitude et de charisme. Cela en fait le candidat idéal pour un cadeau à offrir à quelqu’un que vous appréciez particulièrement… ou pour vous -même !
Origine
Le lisianthus est originaire d’Amérique du Nord. Il y pousse dans les lits des rivières dans le désert et les prairies. Dans les états du Texas, Nebraska, Nevada et Colorado, on l’appelle également gentiane des prairies. Bien qu’originaire d’Amérique, c'est au Japon qu’a commencé l’ascension de cette superbe fleur vers la gloire. Ce sont en effet des cultivateurs japonais qui, dans les années trente du siècle dernier, ont fait des croisements avec cette gentiane de prairie. C’est ainsi qu’est né le lisianthus que nous connaissons aujourd’hui.
Inspiration pour un bouquet
Mettez de la joie dans la maison avec le lisianthus ! Ces curieuses fleurs rendent joyeux et sont faciles à combiner avec d’autres fleurs. Le lisianthus ouvre dans ce domaine de nombreuses possibilités. Faites un beau bouquet avec des Cynorhodon ou faux fruit de l’églantier, des anthuriums, Cotinus et mures. Placez le tout dans un pot robuste en terre cuite avec des lignes subtiles sur les bords. Les couleurs pâles rendent l’ensemble très romantique. Les fleurs semblent emprisonnées dans un bouquet débordant d’amour.
Les caractéristiques du lisianthus
Originaire des régions chaudes des Etats-Unis, le lisianthus ou Eustoma est une plante herbacée, vivace, annuelle ou bisannuelle, appartenant à la famille des Gentianacées. On le désigne par différentes appellations botaniques : eustoma grandiflorum, eustoma russellianum ou encore lisianthus russellianus. Le lisianthus a également son lot de surnoms comme « gentiane des prairies » ou « campanule du Texas ». A l’état naturel, le lisianthus fleurit en période estivale, entre juin et septembre. Sa tige rigide peut atteindre jusqu’à 60 cm de hauteur et ses feuilles, caduques, sont appréciées pour leur forme ovale et leur couleur vert/gris. Mais le charme du lisianthus repose avant tout sur ses magnifiques fleurs, à l’élégance proche de la rose ou de la pivoine lorsqu’elles sont doubles, et aux pétales légers et délicats telles les fleurs de pavot en fleur simple. De nombreuses variétés sont disponibles aujourd’hui, et offrent un vaste choix de coloris : bleu, rose, violet, blanc, vert, orangé, ainsi que des variétés bicolores. Produit aujourd’hui sous serre, le lisianthus est disponible toute l’année chez les fleuristes.
Sa symbolique peut exprimer l’idée d’un propos bien dit mais aussi souligner le souvenir ou la promesse d’un tendre baiser…
L’histoire du lisianthus
Le lisianthus est une fleur relativement récente. Plante sauvage découverte aux Etats-Unis dans le Nebraska et en Louisiane au XIXe siècle, elle y portait alors le nom de gentiane des prairies. Elle fut ensuite multipliée au Jardin de Glasgow en Ecosse en 1805. Les premières graines arrivèrent en Europe en 1831 mais restèrent dans l’anonymat jusqu’en 1902. A cette date, elles apparaissent sur un catalogue allemand. Nouvelle éclipse jusqu’en 1945 où le sélectionneur japonais Sakata s’intéressa à son hybridation et entreprit des travaux de croisement. En 1967, la première fleur blanche apparut. A partir 1982, de nombreuses variétés furent mises au point, tant en fleurs simples qu’en fleurs doubles et aux coloris très variés. C’est à ce moment-là que la fleur refit son apparition en Europe, notamment aux Pays-Bas. On est alors loin de son ancêtre sauvage américain. Il faudra attendre les années 1990 pour que le lisianthus fasse son entrée sur les étals des fleuristes français. Depuis, c’est une des fleurs les plus prisées, aussi bien par les fleuristes pour confectionner des bouquets raffinés ou champêtres, que par les consommateurs.
Certains pays comparent le lisianthus à une rose comme au Danemark, où elle est connue sous le nom de « rose japonaise », en souvenir du pays des premières hybridations.
La signification du lisianthus
Etymologiquement, l’eustoma est composé des mots grecs eu- (beau, bien, bon) et stoma (bouche). Par extension, sa symbolique peut exprimer l’idée d’un propos bien dit mais aussi souligner le souvenir ou la promesse d’un tendre baiser. Le lisianthus délivre également un message de gratitude à son destinataire.
Quelques conseils d’entretien
Le lisianthus a besoin de chaleur et d’humidité et ne survit pas aux températures inférieures à 5°C, voilà pourquoi, excepté dans les régions du Midi, il est difficile de le faire pousser au jardin. Il est alors préférable de l’installer dans un grand pot. Les semis doivent s’effectuer en novembre et février. Pour s’épanouir correctement, votre lisianthus aura besoin de lumère, d’une température de 15°C, et d’un sol bien drainé. Attention toutefois : de fortes chaleurs et trop de soleil lui seraient nuisibles. En pot, vous pourrez ainsi le mettre à l’ombre légère si nécessaire, et le rentrer lors des périodes de froid. Vous pourrez aussi l’installer sous une véranda, ou dans une pièce fraîche et aérée. Prévoyez-lui une terre riche et du terreau, ainsi qu’un apport d’engrais liquide tous les quinze jours et un arrosage régulier. Le lisianthus craint la sécheresse, il faudra donc l’arroser régulièrement pour maintenir la terre légèrement humide.
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🌸 J'ai tenté un kimono 👘
🌸 J’ai tenté un kimono 👘
J’ai tenté un kimono (en satin polyester noir à fleurs de cerisier rouge orangé), j’ai cousu (très rapidement) et j’ai aimé ! Maintenant il me reste plus qu’à améliorer tout ça :) en particulier la largeur dos et la longueur des manches… Comme d’habitude, j’ai pu bénéficier de “l’aide” de ma fidèle assistante-pot-de-colle… J’ai un peu (beaucoup) improvisé, en m’aidant d’un kimono que je possédais…
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JATROPHA podagrica. Originaire d’Amerique centrale, c’est une plante de la famille des EUPHORBIACEES. Caractérisé par son caudex (tige renflée) il a une allure de baobab. Grâce à son caudex il résiste bien aux période de sécheresse, mais cela ne l’empêche pas d’aimer boire. C’est pourquoi ses arrosages en période chaudes doivent être abondant tout en laisser un peut sécher le substrat avant de l’arroser à nouveau. Ses feuilles découpées et larges sont imposantes. Ses fleurs elles, de couleur rouge orangé apparaissent au sommet d’un long pédoncule. Elles dépassent ainsi le feuillage. Cette plante qui dans son habitat peu devenir un petit arbuste restera compacté car cultivé en pot. S’il aime bien la lumière, il conviendra toutefois d’éviter le plein soleil. On le nomme également ventre de bouddha mais aussi arbre bouteille ou arbre corail. #jatrophapodagrica #caudex #succuente #cactus #plantegrasse #lescacteesdesaintjean #lescacteesdestjean #drome #planteexotique #plantetropicale (à Les cactées de st jean) https://www.instagram.com/p/B3EiZS-i4o4/?igshid=11fd0zrn2pxl3
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