#pommerat
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Preservation, starring Saskia Reeves, is originally a scene from the play Cet Enfant (This Child) by French playwright Joël Pommerat.
youtube
Saskia Reeves in an amazing performance 🤩
#Saskia Reeves#preservation#preservation by max key#max key#preservation short film#talk about range#holy hell#powerful#painful#catherine standish#slow horses cast#slow horses#short films#short film#This Child#Cet Enfant#French play#scene from a play#Joel Pommerat
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I need an interview of Christopher Nolan France Culture style, like when they interviewed Joël Pommerat 3 hours and read his favorites books.
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La parte di me
pommerat- la riunificazione delle due coree
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La pièce "Contes et légendes" de Joël Pommerat diffusée sur Culturebox dimanche 10 novembre 2024.
http://dlvr.it/TG4MmQ
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le billet de Clotilde Campagna
Un corpus pour notre homard (1)
Un corpus pour notre homard (épisode 1)
les propositions de Clotilde Campagna
(Théâtre de Cornouaille, scène nationale de Quimper) :
cadrage :
J'ai bien repensé à ton idée de corps et du lien avec l'adolescence. Quand on est ado, on est moche, on se trouve moche, on a des complexes... Et c'est en même temps la période de toutes les métamorphoses, de toutes les réinventions et définitions de soi.
Comment je me perçois, comment je suis perçu par les autres ?
La sexualisation des corps qui commence aussi, pour le meilleur comme pour le pire, les premières expériences d'ivresse, de sexe, de drogues, c'est ressenti par le corps. La transidentité des jeunes et des ados et souvent les adultes qui dénient ces états et ces identités ressenties et revendiquées si fort par les jeunes.
C'est l'âge où tout est très intense, où Roméo aime en moins de 24h Rosalinde puis Juliette, où Hermia, Héléna, Lysandre et Démétrius vont tester leurs amours et leurs amitiés à l'écart, dans les bois.
C'est aussi l'âge où les adultes voient ces enfants en train de se former. Certains voudraient qu'ils restent des enfants pour toujours (comment ne pas penser à Kleist qui fait de l'ado Petite Catherine une femme enfant virginale), d'autres adultes, plus malveillants, sexualisent et voient déjà les ados comme des adultes matures, prédateurs de jeunes proies (je pense ici au magnifique Daddy de Marion Siéfert).
Les garçons sont inspirés par le youtubeur TiboInShape et vont à la salle pour prendre du muscle : quelle place faire au corps de garçons frêles, fluets, rondelets ?... La question de rentrer ou non dans une case physique, esthétique, est importante et traverse toute l'adolescence.
Les filles cachent leurs jambes par peur de remarques, ou arborent fièrement des crop-top car c'est leur corps, et elles font ce qu'elles veulent.
Quelle est la place des corps non conformes, non genrés, trans dans cette adolescence en 2024 ?
La question du sport à l'adolescence est essentielle aussi : accepter ou non d'être en maillot de bain, de courir, de sauter, tout le monde n'est pas à l'aise. De même que la pratique théâtrale, faire des « browniens » et des petits cortèges en criant "Oh c'est bon, oh c'est bon oh c'est si bon", faut y aller !
Ne pas avoir peur du ridicule ! ce n'est pas donné à tous les ados, ni à tous les adultes !
des spectacles :
- Neige de Pauline Bureau (adaptation du conte de Blanche-Neige) : https://www.part-des-anges.com/spectacles/en-tournee/neige/
- Daddy de Marion Siéfert : https://marionsiefert.com/spectacles/daddy/
- jeanne_dark de Marion Siéfert : https://marionsiefert.com/spectacles/_jeanne_dark_/
- Niquer la fatalité de Estelle Meyer et Margaux Eskenazi: https://lesplateauxsauvages.fr/estelle-meyer-23/
- Hen de Johanny Bert : https://www.theatrederomette.com/hen-johannybert
- Le pédé du collectif Jeanine Machine : https://www.collectifjeaninemachine.com/about-1
- Carte Noire nommée Désir de Rébecca Chaillon: http://dansleventre.com/wordpress/en-tournee/
- Pinocchio de Alice Laloy : https://www.sappellereviens.com/spectacles/pinocchiolive/
- Pour un temps, soit peu de Laurène Marx: https://www.theatre-paris-villette.fr/spectacle/pour-un-temps-sois-peu/
- La Dispute de Mohammed El Katib : https://www.theatredelaville-paris.com/fr/spectacles/saison-2019-2020/theatre/la-dispute-1
- Contes et légendes de Joël Pommerat : https://www.portestmartin.com/contes-et-legendes
Beaucoup de spectacles parlent des (très) jeunes filles, mais peu de spectacles parlent des garçons, ni des ados avec des ados (sauf le Daddy de Marion Siéfert), et qu'à chaque fois, ce sont évidemment des points de vue d'adultes sur les ados. De même, il y a peu d'intersectionnalité. Ce sont des histoires et non pas des vérités, il y a toujours une part de biais, tout n'est pas englobé... Mais est-ce seulement possible ?
d'autres textes non théâtraux :
- Zizi Cabane de Bérangère Cournut
- Le coeur du pélican de Cécile Coulon
- Inséparables de Sarah Crossan
- Et devant moi, le monde de Joyce Maynard
- Sois jeune et tais-toi de Salomé Saqué
- La BD Mes 14 ans de Lucie Mikaelan (+++++, adapté d'un podcast.... Tiens ça serait marrant d'adapter un podcast pour la scène, il y a des paroles qu'on ne trouve nulle part ailleurs)
- Les BD Pucelle (t1 et 2) et Jumelle (t1 et 2) de Florence Dupré La Tour (le rapport au corps et à la sexualité, le fait d'avoir une jumelle)
des podcasts :
- Entre de Charlotte Puldowski (donne la parole à des ados ou pré-ados sur pleins de sujets): https://louiemedia.com/entre
- Ou peut être une nuit de Charlotte Puldowski sur l"inceste : https://louiemedia.com/injustices-2/ou-peut-etre-une-nuit
- Bienvenue au lycée professionnel, (La Série Documentaire): https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/serie-bienvenue-au-lycee-professionnel
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Rendez-vous avec des humanoïdes
B Smart, 2 avril 2024 | Pièces de théâtre, séries télévisés, les robots entrent en scène. David Lacombled, président de La villa numeris, a apprécié la pièce de théâtre de Joël Pommerat dans laquelle il voit la préfiguration d’un monde où les robots vont monter en puissance.
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je met ces 2 images ensembles car je ne sais pas trop comment les décrirent ,
la 1er est une illustration sortie de mon cerveau et la 2eme la petite cendra aka cendrillon de la pièce de théâtre du même nom de Joël Pommerat , une trés belle pièce que je n’ai pas vus en physique mais qui à été filmé et qui est vraiment trés chouette
voilà le lien de la pièce si il y a des intéressés :
https://drive.google.com/file/d/1h39ISieLjWo8MNjADAGGKX1upv7ZRKDA/view?usp=sharing
#art#aquarelle#watercolor#watercolour art#théâtre#drame#drama show#pommerat#joël pommerat#cendrillon#cinderella
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Les Deux corps écotés
À propos de La Réunification des deux Corées de Joël Pommerat au TNP - Villeurbanne du 10 Janvier au 1er Février 2019. Séparer les deux Corées pour parler des sexes et des races amoureuses. Dresser une typologie calculée des histoires relatives aux scènes d’amour du quotidien. Un traité aurait pourtant tout arrangé. En voilà l’esquisse où s’affrontent deux rangs de spectateurs : l’une de Pommerat, l’autre de moi.
Un homme se réveille dans son lit et voit sa femme le quitter avec un sac sur le dos. L’homme est défait par ce surprenant départ. Et pourtant l’histoire s’arrête là, au moment précis où l’autre a décidé de dire « c’est fini ».
Dans ma chambre, un soir de printemps, j’ai moi aussi fait face aux adieux de la première fille que j’ai aimé. Il était minuit et j’avais peur ; elle a pleuré, je ne suis pas arrivé à la rassurer. Nous avons décidé de nous quitter. Sauf que ma copine n’a pas pris son sac à dos : elle est restée dans mon lit, cette nuit-là, pour me parler de nous dans le creux de nos bras.
Un couple de parents rencontrent un maître d’école. Ils lui assènent des mots violents alors qu’ils découvrent que cette personne d’autorité, à qui ils avaient fait confiance, n’était qu’un homme malsain, pervers et qui pensait bien faire en massant leur enfant. Le gosse était absent de la scène.
Le cardinal Barbarin avance devant Lyon, une croix brandie au-dessus de sa tête et regarde le diocèse dont il est l’ange protecteur en contrebas. J’avais pris la coutume de scruter depuis la fenêtre de ma meilleure amie les lumières de la Basilique Notre-Dame de Fourvière. J’avais cru en un symbole réconfortant, égal à la tour Eiffel parisienne ou au Fernsehturm berlinois. Mais le film de François Ozon détruisit brutalement cette réalité : ne faire confiance à personne et les hautes lumières tombent, mon amour.
Une prostituée se tient sur le plateau de Pommerat et harangue un jeune homme noir. Il décline l’offre mais la marchande insiste : il ne connaît rien, lui, des possibilités de son corps et ne veut pas la découvrir, elle, qui offre son humanité, son corps fébrile et ses bras en argent. Commence ainsi une longue discussion, basée sur les règles du jeu battus par un néo-libéralisme primaire. A la fin, ils se sautent.
En contrebas des routes qui mènent à Vienne, cette cité antique qui s’aplatit le long du Rhône et qui m’ouvrait les portes de l’infâme autoroute A7, toujours corrompue par le trafic des voitures, des petites camionnettes, rouges, blanches et noires demeurent. À travers leurs vitres, je distinguais parfois une silhouette ; lorsque le trafic s’intensifiait, je discernais des visages et j’imaginais des noms, des parcours attachés à ces personnages. Je me demandais la raison d’un choix aussi radical, forcément crucial et qui n’est pas réductible à une question de marchandise.
Sur la scène, les acteurs conduisent des auto-tamponneuses et s’amusent à entrer en collision les uns dans les autres. Les vives lumières des appareils donnent à la salle une ambiance de fête votive, de vogue de champs de mars : l’action dramaturgique fait office d’intermède musicale au cœur de la mise en scène. Les histoires d’amour sont toutes des électrocutions publiques ; la musique de fin de ballet des voitures, actionnée par le forain à qui on ne donne pas d’ordre, incarne la rupture des amoureux.
J’avais vu ce jeune garçon le matin même. À la nuit tombée, il écartait les chaises pour laisser passer les visiteurs, les bagarreurs et les amis des amis qui voulaient s’amuser sur son manège. On était en Juillet et il était torse nu tandis que pendait autour de son cou une fine chaîne en argent scintillant. Il ne me remarquait pas mais j’avais acheté pour trente euros une quinzaine de jetons, ce qui m’avait permis de conduire ses fameuses voitures tamponneuses. Il finit par me voir mais seulement. J’avais manqué. Écarté par les derniers badauds, je m’assis sous un gros chêne et regardai avec une attention toute relative l’agitation téméraire des derniers forains, jusqu’à qu’il ne reste que trois camions et des pisseurs égarés sur le sol laissé vaquant par ces voyageurs.
La femme ne se mariera pas car son futur mari a couché avec toutes ses sœurs. L’homme dînera avec sa femme et verra son ex-copine venir chercher des clés. Une prostituée tentera de retenir un client qu’elle aime ; il prit peur.
Les frustrations des garçons et des jeunes gens civilisés, en vingt petits morceaux, mis en scène par Joël Pommerat. La peur d’être abandonné par une femme, comme le motif récurrent de l’homme contemporain. La marchandisation des corps et les thèmes du libéralisme amoureux houellebecquien plaqués sur le vivant. A la sortie du TNP, mes amis avaient aimé ou adoré. Sous les flocons, je fus habité d’un sentiment de solitude étrange : je n’avais pas aimé cette pièce misogyne. J’avais chaud, il était vingt et une heure et personne ne m’attendrait.
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Yet another Cinderella story
Hey, I’m writing something for @huntlowweek
Day 1: Masked Strangers
read on ao3
A few minutes before midnight
She breathes in the air of the garden. The ballroom is so full of life, so full of light. People are dancing and talking and singing, playing with their masks, playing parts, playing games. They look like the are having fun, and she was, for a time.
She danced, for a time, and she spotted a white cat mask in the crowd that made her heart skip a beat, her guts churn. Green hair and a long black dress, Willow didn’t even need that much. She could have recognized Amity by the way her hands move, by the way she walks, by the sound of her voice when she fends off a suitor, by the itch in her laugh when she meets with Skara and Boscha.
She should have known Amity would be here. The whole city was invited after all, without distinction.
They said it was what the prince asked for. They said he wanted to make friends without having to worry about his status. For his birthday. They said it would be a ball for all, and for a time, Willow did feel welcome. Now she’s scared of going back inside, her hands are closed in angry fists, and she closes her eyes to control her anger. She doesn’t want to be called half-a-witch. Or weeping willow. Or low-life. Not tonight; she put on her favorite shoes and she made this mask herself. So she tries to focus on the sound of the artificial waterfall, of the cicadas singing in the bushes.
She wishes she could press her eyes, if only to make sure the tears wouldn’t fall, but the rules were strict. Taking off the mask is prohibited. So she keeps it on, and if she cries she will have to go home.
“I like your shoelaces.”
“Thanks, I stole them from the president.”
It was a reflex. Maybe she does spend a bit too much time on the internet. She can’t see the face that matches the voice, but the person is dressed in gold, and his mask gleams in the moonlight. There is a beat of silence, and she waits, eager. Maybe she made her first friend of the night. Maybe he likes the same things she likes. If he is here and not inside, does that mean he enjoys walks in parks? Does he struggle to find friends, a sense of belonging, here too?
“We… we don’t have a president?”
The voice is genuinely confused, and she looks down at her shoes. Yellow rangers, and in place of the shoelaces she got them with, long, enchanted thorns. So that they wouldn’t sting her. She feels her face reddening, and this time she is glad she is wearing a mask. Her shoelaces are genuinely dope. She feels stupid. She scoffs. “Right.”
“Except if you… Do you come from a place where there is a president? How is it? Did you ever vote?”
She smiles as an answer before realizing chances are he can’t see it. The garden isn’t so well lit. It is a quiet atmosphere.
“No, I’m from the city. I would be too young to vote.”
“How old are you?”
“Thirteen.”
“Just like me!”
The voice is louder, it’s a little explosion. His whole body exclaimed this, and it makes her laugh. It’s like he never met anyone his age. She hears him grumble, she can see his shoulders going down, but she can’t make out the words. His tone changed though, drastically. He apologizes, and she takes a few steps towards the garden. He seems nice. And if he doesn’t know her name, doesn’t know who she is… It can be fine.
“I was going for a walk, do you want to come? We could play a game.”
“Yes!” She hears him laugh, but soon he uncovers his wrist. Sitting there is a golden watch, and he grumbles again. “Oh, no, actually, I can’t. I’m almost late.”
She looks at her phone. It is midnight soon. She does have a curfew, and she guessed he has too. She is near the entrance, it will be easy to find her fathers. It’s sad. She wishes she could have talked to him more. She is about to say something, but he talks before she has the chance.
“My mother is going to call me. At midnight, for my birthday. She promised. My uncle said she was excited to call me.”
His voice is bubbly, he talks so fast he almost stutters, and she hopes he can hear her smile. “Oh. Happy birthday, then!”
He thanks her, and she looks around. No taking off the mask, no giving names. She is a bit sad she has to leave, but now that she thinks of it, she is a bit tired. “I have to go, so…”
“Sure! Oh, wait!”
He was walking away and stops in his tracks. She kneels, not saying anything as she undoes her right shoelace. She holds it up, and he just stands there. “You said you liked them. The right one, it’s my favorite. So, a birthday present.”
Hesitantly, his gloved hand accepts it. She’s glad. He doesn’t say anything, not a question, not a thank you, and she wonders if it is too weird of a present. And she hears his breath. Like he is crying. They stand in silence for a bit, interrupted by the palace’s clock. The first bell of midnight, and he jolts, rolling the thorn around his hand. “I’m late!”
“Happy birthday!”
He runs, he probably can’t hear, and she jolts too when she realizes she’s awaited. She doesn’t know his name nor where he lives nor where he goes to school. She wonders if he will lace his shoes with the thorn she gave him. As she walks towards the entrance, stumbling because of her unlaced shoe, she wishes he does. She wishes she sees him again.
#huntlow#huntlow week#hunter toh#willow toh#hunter wittebane#willow park#toh#the owl house#toh fanfic#the owl house fanfic#my writing#cinderella#inspired by pommerat#winter
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Books Read in June:
1). This Child (Joël Pommerat)
2). Top Girls (Caryl Churchill)
3). The Writer (Ella Hickson)
4). A Raisin in the Sun (Lorraine Hansberry)
5). The Beggar Maid (Alice Munro)
6). Sour Heart (Jenny Zhang)
#my literary life#adult booklr#booklist#booklr#joël pommerat#caryl churchill#ella hickson#lorraine hansberry#alice munro#jenny zhang#(interrupting your regularly scheduled silence for books)
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Cendrillon by Joel Pommerat
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GHOST. Hello y'all ! I'm not gonna bon the internets from the 24th to the 28th because work is calling and we're getting two dates for our play in another city ! So yep, don't expect too much from me for the four incoming days ( I'll try to answer to discord messages if I can but I'm managing two trainees and seven actors so my free time is gonna be non existant I guess ). Anyway, I love you guys ♥ see y'all soon
#█ 🔥 . i'm litteraly the hermit card —— « ᵐᵘᶰ . ᵒᵒᶜ »#( bilbo vc : let's go on an adventure )#( ok but i'm so hyped to work again on this play !!!!!!! )#( if ur curious it's a cabaret about gender with the text of joel pommerat and some extract of paris is burning )#( anyway#i'm sending love and good energies to all of you while i'm gone )#( can't wait to shitpost with u again people ! )
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Joël Pommerat
French ” author of performances, practitioner of the stage and manufacturer of plays”. https://second.wiki/wiki/joc3abl_pommerat – – https://lejournaldupeintre2.wordpress.com/ Painting news project Les tableaux du peintre Twitter – – – – https://lejournaldupeintre2.wordpress.com/ Painting news project Les tableaux du peintre Twitter – – – – – – – – – –
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Soundtrack “Die Wiedervereinigung der beiden Koreas” - Mixtape by Yvonne Kespohl
#Soundtrack#Koreas#about love#Stagedesign#la réunification des deux corées#Joël Pommerat#falvien berger#odezenne#m83#corine#vendredi sur mer#vladimir cosma#reality#albin de la simone#fred nevché
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Première session de cégep Les trois livres du dessus, ceux de ma boi Platon et celui de poésie, not fully read. La deuxième photo est semi plus accurate. Semi.
#perrault#cendrillon#art#platon#manikanetish#pommes#natashakfontaine#deniellisbechard#edgar allan poe#la petite fille de monsieur linh#philippe claudel#joel pommerat#yasmina reza#le poids de la neige#christian guay poliquin#le silence des agneaux#thomas harris#station eleven#emily st john mandel#cormac mccarthy#101 famous poems#The Road#naomi fontaine#eric plamondon#aldous huxley#le meilleur des mondes
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Sunset on Chem. des Pommerats
#travel#vacation#france#burgundy#La Roche-Vineuse#Leica#Leica M6#50mm summilux#kodak portra 160#35mm film#analog#color#landscape#nature#panorama#hills#rolling hills#trees#green#fields#vineyard#houses#warmth#sunrays#fall#september#evening#golden hour
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