also not necessarily related with the last post but with the og, like uhmmmm i don't like going farther than calling a man babygirl/wife bc actual truthing about someone's identity is fucking weird
but. like. since others brought it up. it is weird how you can go around calling miss asian fetishism gway a woman like nbd all based on that time he wore drag & some comments about gender that were cringe even back then. but the second you say something like that about a nonwhite guy you got the gender police on your ass like..... uhmmmm wonder why.
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I WAS NOT READY FOR THAT
wtf đ
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Youre not a socialist
I believe in equality for everyone.
-Mahatma Gandhi
If you can feel that staying human is worth while, even when it can't have any result whatever, you've beaten them.
-George Orwell, 1984
The greatest purveyor of violence in the world : My own Government, I can not be Silent.
-Martin Luther King Jr.
O.K., so Iâm not so smart. Iâm working class. But itâs the working class that keeps the world running, and itâs the working class that gets exploited. What the hell kind of revolution have you got just tossing out big words that working-class people canât understand? What the hell kind of social revolution is that? I mean, Iâd like to make the world a better place, too. If somebodyâs really being exploited, weâve got to put a stop to it. Thatâs what I believe, and thatâs why I ask questions. Am I right, or what?
-Haruki Murakami, Norwegian Wood
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Lucie comment ça va en ce soir d'élections et de dissolution de l'assemblée
J'Ă©tais trĂšs contente d'ĂȘtre au travail aujourd'hui pour ĂȘtre avec les copains profs et qu'on discute de façon Ă©nervĂ©e de ce qu'il se passe ensuite !
Grave triste, effrayée et énervée, mais je refuse de céder au désespoir et c'est important qu'on reste mobilisés et qu'on politise le plus rapidement possible le plus de monde possible
Ah et fuck les mĂ©dias pour le tapis rouge qu'ils ont dĂ©roulĂ© Ă l'extrĂȘme droite et fuck Macron voilĂ
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Dépolitiser la littérature met des vies en danger
Permettez-moi de faire au plus simple dans ce billet, parce que je m'adresse essentiellement Ă des personnes qui, comme moi, Ă l'Ă©poque oĂč je ne comprenais pas ce que le mot "politique" impliquait, n'ont que peu de notions. Si vous souhaitez nuancer mon propos ou partager des ressources, n'hĂ©sitez pas Ă laisser des commentaires.
Cela semble exagĂ©rĂ© comme titre ? Et pourtant, il n'en est rien. Depuis que je suis sur les rĂ©seaux sociaux, et en particulier dans la sphïżœïżœre littĂ©raire de divers milieux numĂ©riques, beaucoup ont clamĂ© haut et fort qu'il fallait "cesser de tout politiser" ou d'arrĂȘter d'Ă©voquer les questions relatives Ă la place de la politique dans nos ouvrages. Comme si dire que la littĂ©rature a un rĂŽle social et politique, c'Ă©tait prĂȘter trop d'importance, ou trop de sĂ©rieux, Ă "un simple loisir". Chose que beaucoup de personnes pensent, la rĂ©duisant ainsi Ă un rĂŽle unique : celui de nous divertir. Or, notre maniĂšre de nous divertir est bien plus politique que vous ne le pensez.
Introduction
Si vous n'en ĂȘtes pas convaincu-e, c'est peut-ĂȘtre que vous ne vous ĂȘtes pas interrogĂ©-e sur le sujet, ce qui est normal, personne ne l'a vraiment appris. C'est en faisant des recherches, en rencontrant des gens ou en militant qu'on peut en venir Ă se questionner. Au cĆur de notre imaginaire collectif, nous n'avons de cesse de voir partout des domaines relatifs au divertissement ĂȘtre rĂ©duits Ă une seule fonction : divertir. Certes, elle n'est pas nĂ©gligeable, et elle est tout aussi importante Ă considĂ©rer. Sauf que c'est aussi un moyen de porter des idĂ©es. La mentionner chaque fois que l'on parle de politique a Ă©tĂ©, dans bien des situations, une façon de dĂ©lĂ©gitimer des critiques, qui visaient, entre autres, des idĂ©es conservatrices et oppressives. Donc des idĂ©es susceptibles de mettre des personnes en danger, car les mettre en avant et les banaliser normalise des violences : le racisme, la misogynie, le validisme, la grossophobie, etc.
Quelques notions
"Discriminations", "oppressions". Voici des formes de violences dont vous connaissez peut-ĂȘtre les noms, ou que vous avez pu lire sur les rĂ©seaux. Ce sont des violences basĂ©es sur des critĂšres arbitraires qui consistent Ă marginaliser, exclure, des groupes de personnes du fait qu'elles ne correspondent pas Ă des normes Ă©tablies ou Ă un modĂšle social dĂ©fini selon des hiĂ©rarchies, et cela varie en fonction des pays et cultures (aux causes et consĂ©quences sociologiques et historiques diffĂ©rentes). Le fait d'ĂȘtre un homme blanc (au sens littĂ©ral comme au sens social), cisgenre, riche, valide, neuroT, hĂ©tĂ©ro, mince, etc fera que vous serez valorisĂ©-e en France par exemple. Il vous sera plus facile d'obtenir un logement, un travail et d'autres avantages, au dĂ©triment d'autrui parfois. Pour peu que vous n'entriez pas dans ces critĂšres, et que vous ne faisiez pas partie d'un groupe haut dans la hiĂ©rarchie, vous pouvez donc subir des violences. Les degrĂ©s dĂ©pendent du milieu oĂč vous Ă©voluez en sociĂ©tĂ©, de l'exposition Ă ces derniĂšres, de vos liens sociaux et divers autres facteurs.
Le conservatisme est, d'aprĂšs le dictionnaire de l'AcadĂ©mie française : "une doctrine ou Ă©tat dâesprit qui tend Ă sâopposer Ă toute modification ou innovation, par attachement aux pratiques traditionnelles ou Ă un ordre existant". C'est donc un ensemble d'idĂ©es qui tend vers le maintien de ces derniĂšres. Dans une sociĂ©tĂ© aux pensĂ©es conservatrices, il est donc frĂ©quent que les normes, injonctions et modĂšles soient dĂ©fendus au point de rĂ©primer des idĂ©es qui osent s'y confronter, puisqu'elles sont banalisĂ©es et institutionnalisĂ©es. Cet "attachement" dĂ©crit dans cette dĂ©finition n'existe non pas que pour la valeur sentimentale des traditions (argument souvent utilisĂ© par la droite et l'extrĂȘme droite qui jouent sur les paniques morales et la fameuse "perte des valeurs et de notre identitĂ©"). Il est aussi prĂ©sent parce que conserver ces hiĂ©rarchies favorise et avantage des groupes privilĂ©giĂ©s (ceux qui sont donc en haut) au dĂ©triment des autres par leur exploitation. Il s'agit lĂ d'un rapport de force se trouvant ĂȘtre le rĂ©sultat d'Ă©vĂšnements socio-historiques, et cet ensemble d'Ă©lĂ©ments (idĂ©es, rapport de force et un pouvoir institutionnel et gouvernemental) forme un systĂšme.
Ă prĂ©sent que vous avez quelques notions, humblement dĂ©finies, sachez que les idĂ©es (vous vous en doutez) ne se prĂ©sentent pas que sous la forme d'injonctions. Elles circulent Ă travers notre maniĂšre de vivre, et bien sĂ»r, notre maniĂšre de se divertir. Et oui. MĂȘme l'humour est un vecteur d'idĂ©es. C'est parce qu'on normalise certaines blagues, basĂ©es sur des clichĂ©s oppressifs, qu'elles perdurent. En les rĂ©duisant Ă du divertissement, on minimise et sous-estime l'impact qu'elles peuvent avoir dans nos reprĂ©sentations et elles finissent par perdurer en perpĂ©tuant des violences dĂ©jĂ existantes (parfois en les augmentant dans des pĂ©riodes de tensions politiques, comme lorsque des idĂ©es progressistes ou des luttes prennent de l'ampleur ou que des droits sont enfin obtenus).
Dire "ce n'est qu'un récit" quand on parle de littérature en ignorant (volontairement ou non) son rÎle politique, cela fait partie de la dépolitisation. C'est-à -dire nier ou retirer dans notre propos le caractÚre, le rÎle et l'impact politique (au sens social du terme) que peuvent avoir des livres. Des personnes vont les lire et des idées seront diffusées à travers ces lectures, d'une maniÚre ou d'une autre. En dépolitisant des sujets qui concernent des vies humaines (souvent des groupes oppressés et discriminés), nous les mettons donc en danger. En dépolitisant la littérature, nous maintenons des idées destructrices.
La dépolitisation de la littérature
Plusieurs auteurices ont prĂ©sentĂ© des Ćuvres avec des idĂ©es oppressives (participant de fait Ă des violences visant des groupes de personnes pour leurs origines, couleur de peau, handicaps, identitĂ© de genre, religion, orientations romantico-sexuelles, et bien d'autres choses...). Que cela soit volontaire ou non, les mĂȘmes arguments, plus que discutables, sont encore tenaces de nos jours : "ce n'est que de la fiction" ; "mon livre n'est pas politique, il est divertissant" ; "il faut arrĂȘter de tout politiser, c'est juste un rĂ©cit".
La politique n'est pas dĂ©tachable de toute sphĂšre ou domaine, car elle les influence en permanence. Elle est prĂ©sente dans notre langage et nos reprĂ©sentations, d'oĂč l'importance de ne pas nĂ©gliger sa prĂ©sence dans la littĂ©rature. Certain-e-s pourraient dire qu'il ne s'agit lĂ que de questions culturelles : en rĂ©alitĂ©, les deux sont trĂšs liĂ©s. Les cultures se sont construites autour d'environnements, de sociĂ©tĂ©s, elles-mĂȘmes grandement liĂ©es Ă des Ă©vĂšnements et Ă©volutions socio-historiques, comme mentionnĂ© plus tĂŽt, qui ont Ă©mergĂ© parce qu'elles ont Ă©tĂ© portĂ©es par des idĂ©es.
Répandre l'idée selon laquelle il faut différencier politique et divertissement/littérature, c'est passer à cÎté du rÎle que l'on a. C'est aussi dépolitiser notre propre place d'écrivain-e et/ou lecteurice. En tant qu'individu membre d'une société, qui que l'on soit, on porte, diffuse, partage un regard politique sur notre monde de maniÚre consciente et/ou inconsciente. Ignorer cela, ne pas prendre en compte la place que la politique prend dans les milieux littéraires, c'est participer, volontairement ou non, au maintien de violences. Ne pas agir, c'est devenir complice.
Conclusion
Il est vrai que se positionner, agir, sur des sujets politiques, s'éduquer, apprendre, n'est pas toujours chose aisée. C'est un inconfort que l'on doit surmonter si l'on souhaite contribuer à une littérature plus éthique engagée. L'esprit critique garantit une forme d'autonomie et une liberté de penser, qu'il faut considérer avec sérieux, selon moi. Au-delà de l'aspect moral (ce n'est pas un combat entre le bien et le mal). N'est-il pas plus enviable de prendre conscience et comprendre la société dans laquelle on évolue ? Dans les milieux centrés sur l'écriture, on parle davantage de diversité, d'inclusivité, ce qui montre que les mentalités ont évolué et qu'il est possible de surmonter cet inconfort. Il devient moindre grùce au travail collectif réalisé dans nos luttes et nos efforts individuels.
Plus tard, j'envisage de présenter quelques ressources pour compléter ce modeste billet. J'espÚre qu'il éclaircit un peu plus les enjeux présentés. La dépolitisation touche bien d'autres domaines, alors gardons en mémoire que la politique ne concerne pas que le vote ou les débats.
Merci pour ta lecture, Ă bientĂŽt pour de nouvelles aventures ! đ
Si cela vous intéresse, vous pouvez me retrouver sur les réseaux sociaux et lire mes projets publiés ici, à bientÎt ! :
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We are finally a politised part of the bureaucracy, Both Senators Cruz(may he burn in hell for all eternity) and Tester have sworn to block any appointments to the Amtrak board by Joe Biden due to the current appointments having too much representation for the NEC, which might be illegal, but still, come on.
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Ciseaux Fanzine
Des fanzines queer mais pas queâŠ
Pourquoi pas interviewer des acteurs du DIY ?
Jâai rencontrĂ© OphĂ©lie au Salon « DIE or DIY » en dĂ©cembre 2021, une autre fanzineuse posĂ©e Ă cotĂ© de mon stand. Nous avons donc pris le temps de discuter, Ă©changer nos fanzines et ça a accrochĂ©.
Le caractĂšre Ă©clectique et du genre LGBT / Queer mâa interpellĂ© ainsi que le style punkzine Ă lâancienne. Elle a donc susciter ma curiositĂ© sur son travail de longue haleine et je lui ai proposĂ© une interview.Â
Elle mâa aussi appris le mot « DYKE » qui nâest pas dans le contexte une lame de roche magmatique à vous de chercher.
Elle a posé avec un tee shirt RIV qui lui va à ravir dans la thématique Cult of ride. Merci !!!
Peux-tu présenter « Les Ciseaux Fanzine » ?
« Les Ciseaux Fanzine », câest un ensemble de fanzines autour des thĂ©matiques fĂ©ministes et queer et de façon plus gĂ©nĂ©rale, sur la culture, le cinĂ©ma, la littĂ©rature, la musique avec parfois un humour dĂ©calĂ©.
Jâutilise le terme « queer », signifiant Ă lâorigine « bizarre », « inadapté », pour dĂ©signer une identitĂ©, une culture et une communautĂ© aussi qui remet en question les genres et une sociĂ©tĂ© dans laquelle le patriarcat est le modĂšle dominant. Pour moi, câest un terme avec un sens politique qui sous-entend un certain engagement. Se revendiquer « queer » revient Ă politiser sa sexualitĂ© en remettant en question la sociĂ©tĂ© dans laquelle cette derniĂšre doit/essaie de sâĂ©panouir. Ătre « queer », câest remettre en question les injonctions genrĂ©es de notre sociĂ©tĂ©.Â
Jâai choisi le format du fanzine Ă lâĂšre du numĂ©rique car jâaime Ă©normĂ©ment lâobjet livre et la libertĂ© quâoffre ce moyen dâautoĂ©dition (mise en page, distribution, thĂšmes, Ă©criture etc.) Ă travers le DIY et jâadore aussi lâesthĂ©tique « punk ».
Quand et pourquoi avoir commencé à écrire ?
Vers lâĂąge de 10-11 ans jâai commencĂ© Ă Ă©crire mes premiers textes et des sortes de fanzines. Je crĂ©ais mes propres magazines de A Ă Z. Jâavais envie de partager des articles, des illustrations, des jeux, et surtout un objet « livre ». JâĂ©tais fascinĂ©e par cet objet et par lâunivers de lâĂ©dition. Jâaimais lâidĂ©e dâĂȘtre libre, dâillustrer mes propres histoires et de les partager. Je me rĂ©fugiais aussi dans lâĂ©criture pour rĂ©flĂ©chir aux premiĂšres attirances, Ă une identitĂ© en construction. La fiction permettait davantage de libertĂ©s, on ose davantage Ă©crire ce que lâon a peur de dire. Ainsi, mon premier « roman » racontait une histoire dâamour entre deux ados. CâĂ©tait une sorte de refuge.
Tes ources dâinspiration ? Pour qui ?
Jâai toujours Ă©tĂ© inspirĂ©e par la culture fĂ©ministe et lesbienne. Jâavais lu MĂ©moires dâune jeune fille rangĂ©e de Simone de Beauvoir en 3Ăšme. CâĂ©tait un peu complexe mais je lâavais dĂ©vorĂ© avec passion. Dans la bibliothĂšque familiale, vers lâĂąge de 16 ans je suis tombĂ©e sur Claudine Ă lâĂ©cole de Colette et ce fut une rĂ©vĂ©lation. Jâai ensuite imprimĂ© les poĂšmes de Sappho traduits par RenĂ©e Vivien puis les poĂšmes dâamour lesbien de RenĂ©e Vivien elle-mĂȘme. Jâai ensuite dĂ©couvert, via internet, dâautres artistes, auteures, rĂ©alisatrices lesbiennes et fĂ©ministes. Et jâai eu envie dâĂ©crire pour partager toutes ces dĂ©couvertes car souvent câĂ©taient des femmes peu connues du grand public. Jâavais envie de partager ces rĂ©fĂ©rences dans les cultures fĂ©ministe et lesbienne. Ado, jâaurais aimĂ© tomber sur un fanzine me prĂ©sentant toutes ces icĂŽnes inspirantes. Câest vrai quâĂ prĂ©sent il y a les sĂ©ries et les influenceuses des rĂ©seaux sociauxâŠ
Le public visĂ© est principalement les femmes, les personnes queer mais en rĂ©alitĂ©, il est important que chacun·e se sente concerné·e et curieux·se de toute cette culture pour dĂ©construire les prĂ©jugĂ©s et vivre dans une sociĂ©tĂ© plus inclusive et donc Ă©galitaire. On revient ici Ă lâidĂ©e dâengagement liĂ©e au terme « queer ».
Tu as de multiples facettes parfois satirique puis poétique dans ton écriture ?
Documentaires, poĂ©tiques et parfois satiriques, il y a un peu de tout dans mes fanzines. La tonalitĂ© peut varier parfois dâune page Ă lâautre. Jâai une petite prĂ©fĂ©rence pour la poĂ©sie pour la beautĂ© du mot et des images.
Concernant lâaspect satirique, lâidĂ©e est de faire bouger les lignes, dâheurter le lecteur ou la lectrice pour le/la faire sortir de sa zone de confort et rĂ©flĂ©chirâŠ
Le Statut LGBT revendiqué ? Vulve féministe ? Sororité ? Explique nous?
Oui, je revendique le statut dâartiste LGBT+, queer mĂȘme, parfois lesbien-queer. Câest vrai quâil y a beaucoup de termes mais les sexualitĂ©s et cultures liĂ©es Ă ces identitĂ©s sont elles-mĂȘmes extrĂȘmement variĂ©es. Je ne me reconnais pas dans la culture « mainstream » trĂšs hĂ©tĂ©ronormĂ©e avec un humour qui repose trĂšs souvent sur des stĂ©rĂ©otypes sexistes ou de genres qui, moi, ne me font pas vraiment rire, sur des rapports de domination homme/femme dans lesquels je ne me reconnais pas, et avec lesquels je suis en dĂ©saccord. Et comme je le disais plus haut, je me dĂ©finis Ă©galement comme une artiste queer dans le sens oĂč je souhaite Ă©galement lutter pour dĂ©construire les clichĂ©s de genre et faire exister, rayonner, grĂące Ă mes mots, mes collages, mes dessins les cultures LGBT+ trop souvent Ă©cartĂ©es.
Plus que « vulve fĂ©ministe », je nâavais encore jamais entendu cette expression, je dirai « clitoris fĂ©ministe » car cet organe a trop longtemps Ă©tĂ© mis Ă part, oubliĂ© volontairement. Actuellement on en entend beaucoup parler, il Ă©tait temps !
Et oui pour la sororitĂ©. Câest un mot extrĂȘmement important dont encore certaines personnes mĂ©connaissent encore lâexistence. Il existe une fraternitĂ© dans notre sociĂ©tĂ© que lâon trouve presque naturelle, inconsciemment. Une union masculine est quelque chose de communĂ©ment admis que lâon nâinterroge jamais (on le voit bien au travail ou dans les Ă©missions de tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ© ou de divertissement qui reflĂštent merveilleusement bien notre sociĂ©tĂ©). Tandis que la moindre union de femmes est immĂ©diatement vue comme une dangereuse coalition Ă dĂ©truire le plus rapidement possible⊠car ce serait le signe dâun « fĂ©minisme » contre les hommes⊠Il y a un vrai problĂšme sociĂ©tal Ă ce niveau-lĂ . Une peur et un rejet des unions de femmes. Insister sur la sororitĂ© est pour moi un chemin vers lâĂ©galitĂ© de tous, hommes, femmes, personnes non-binaires. Dans un idĂ©al dâadelphitĂ©, terme sans dimension genrĂ©e.
La Place des femmes dans la société actuelle ? les femmes sont-elles biens dans leurs corps ?
Non, je ne pense pas que la plupart des femmes soient si bien dans leurs corps. Câest dâailleurs encore une chose difficilement acceptĂ©e car cela passe pour un discours « victimisant ». Mais câest un fait : le corps des femmes est encore trop souvent instrumentalisĂ©, commentĂ© et sexualisĂ© dans tous les domaines. Dans le monde du ride, par exemple, on voit encore trop de meufs hyper sexualisĂ©es vs des mecs en t-shirts et pantalons larges⊠A quel moment on fait du skate ou du bmx en string et soutif ?!
Tu as fait un fanzine spécial Roller Derby, rider pour toi cela épanoui la femme ? Que penses-tu de notre fanzine Cult of ride justement ?
Vous la retrouverez dans les salons DIY et les fanzinothÚques lyonnaises comme Café Rosa ou La luttine ainsi que sur Etsy.
Et son univers sur instagram.
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Un amphithéùtre
Il Ă©tait une fois un amphithĂ©Ăątre. Une femme sâavance. Chignon blond, costume tailleur, rouge Ă lĂšvre et pour son assemblĂ©e un grand sourire. Elle est fiĂšre, sur son regard ça se voit, dans son discours ça sâentend. La voilĂ qui commence par une pluie de remerciements. Câest un bien joli cadre pour parler de fĂ©minisme et dâĂ©cologie, politiser ces luttes, en faire un front commun, telle la thĂ©matique du jour : l'Ă©cofĂ©minisme ! Les autres femmes et leurs chignons applaudissent. Bravo, bravo ! Quelles belles idĂ©es ! Oui soyons toutes sĆurs, trions nos dĂ©chets et mangeons bio ! La satisfaction se lit sur leurs visages. Que de bonnes intentions en perspective ! Oui, câest certain, le monde changera enfin sous les belles actions de leurs petites mains manucurĂ©es ! Au fond de la salle, elle les regarde, toutes mignonnes Ă sâagiter parler compost et graines de courge, elles ont tout compris, oui, câest ça⊠Elle pourrait crier et sâĂ©nerver, casser lâambiance, reprendre son Ă©tiquette de rabat-joie en insistant sur les enjeux dĂ©coloniaux, sur la place des pauvres dans les luttes Ă©cologistes et des autres minoritĂ©s, les queers, les racisĂ©es, les invalides, Ă oser parler dâoppression et de radicalisation⊠Oui, elle pourrait prendre le rĂŽle de la angry black woman puisque câest ce que tout le monde attend dâelle, si facile Ă incarner quand on se retrouve seule au milieu de jolies bourgeoises trop parfumĂ©es qui croient avoir tout compris Ă la vie. Elle pourrait, oui, et parfois elle le fait et elle lâassume. Ce quâon pense dâelle nâest pas son problĂšme, tant quâelle aura des choses Ă dire, elle les dira. MĂȘme sâil faut parfois crier pour se faire entendre. Et quand ça ne suffit pas, elle se lĂšve et elle sâen va, claquant la porte sur tous ces jolis sourires. La rabat-joie, câest elle, oui, et bien tant mieux. Si sa colĂšre permet de faire entendre les histoires et les voix de toustes celleux qui dĂ©vient et dĂ©rangent, ainsi soit-elle. Son Ă©cofĂ©minisme sera pluriel, Ă©motionnel et rebelle ou il ne sera point.
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On m'y reprendra pas à dire que je veux qu'on repolitise la vie publique si ce qu'il faut pour que ça arrive c'est un réel danger des nazis au pouvoir ptn (<- mensonge, on politise TOUT allez)
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Oh actually I can think of some attempts at "middle ground" by one historian in particular: Jean-Clément Martin. Which is quite ironic because he is much more of a defender of Robespierre than even Peter MacPhee is. But I think that's precisely the reason - when one's ideas can be perceived as somewhat radical in the field of history, today's compulsion seems to be to temper them with some "reasonable" "balanced" "moderate" views, to avoid a perceived weakening of the overall argument.
Martin's attempts involved, I feel, erasing Robespierre's at least symbolic importance - and thus in the political psyche and public opinion, extensive perceived influence during the end of his lifetime - to present him as "a deputee amongst others", and refusing any contemporary reclaiming of the Frev by Left parties because he can't accept the politisation of the Revolution's ideas as their natural continuation. If anything, I find the lack of nuance in these statements to undermine his work.
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La France silencieuse, ultime rempart face Ă la subversion islamiste
Lâentrisme palestinien Ă Sciences-Po nâest pas le problĂšme : depuis les annĂ©es soixante-dix, lâEducation nationale et lâUniversitĂ© sont les terrains privilĂ©giĂ©s de lâagitation subversive de la gauche. (Jâai eu, Ă cette Ă©poque, ma part dâĂ©ducation marxiste Ă la facultĂ© de droit de Nantes). Mais cette politisation restait jusquâalors une anomalie contournable. Elle devient prĂ©occupante quand elleâŠ
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Mode de vie Atalanien (en bref)
Atalan est un univers médiéval-fantasy qui, de ce fait, impose un certain nombre de rÚgles particuliÚres propres au genre.
(tw : génocide, discriminations raciales et magiques, peine de mort...).
Univers magique.  Tout d'abord, Atalan se situe aux confins entre l'imaginaire et le monde réel. Univers fantasy, le forum repose sur un systÚme de magies diverses, qui ne sont pas toutes acceptées dans l'empire.
Le Vif est la magie majoritaire dans l'empire, du fait de la prĂ©sence importante des LaĂ«ris. Si elle est parfaitement acceptĂ©e et mĂȘme encouragĂ©e, le lien avec un animal lignĂ©Â est puni de peine de mort.
La magie du Dessin (autrement appelĂ©e l'Imagination) est bien perçue partout dans l'empire. Elle est de plus extrĂȘmement rĂ©glementĂ©e par les Sentinelles, et les utilisations nĂ©fastes et mortifĂšres de ce pouvoir sont punies par la loi du Conseil.
Seule la sorcellerie occulte des Fiel est mal perçue partout dans l'empire, Ă l'exception des terres orageuses de Junfark. Elle entraĂźne crainte et rejet, et nombreux.ses sont les Fiel Ă avoir dĂ» cacher leurs talents par crainte d'ĂȘtre banni.es d'autres terres.
Enfin, la magie elfique est reçue comme une bénédiction divine par l'ensemble de l'empire ; elle est celle des guérisseur.es et, de ce fait, elle entraßne dans son sillage gratitude et reconnaissance.
Enjeux politiques.  La domination de l'empire a longtemps été sujet de tensions entre les différentes peuplades d'Atalan. Ce sont les Laëris qui prirent la main sur l'ensemble du continent, d'abord dans la douleur et le sang, avant que ne fut actée cette forme de régence par un traité signé des représentant.es de chaque race.
Si l'empereur est issu des Laëris, celui-ci s'est engagé depuis des siÚcles à respecter la culture de chaque contrée, et la division de l'empire se fit sur ces conditions. Chaque race s'est vue dotée d'une terre, dans une répartition équitable.
L'empire d'Atalan est semblable Ă un monde fĂ©odal. Les instances politiques ressemblent Ă des Ă©toiles aux multiples ramifications. Les LaĂ«ris (l'autoritĂ© centrale) n'interviennent dans les rĂ©gences internes qu'en cas d'extrĂȘme nĂ©cessitĂ©, et s'appuient davantage sur des hiĂ©rarchies locales. C'est ainsi que les SyrĂ n, notamment, purent conserver leur autoritĂ© rĂ©gionale avec leur propre Conseil.
Modes de vie
( ATMOSPHERE GENERALE ) La vie Ă Atalan Ă©tait douce et apaisĂ©e, avant que ne ressurgissent les tensions || interraciales ||. Depuis lors, les expĂ©ditions punitives pullulent dans l'empire, les Fiel sont particuliĂšrement mal vu.es ; et les elfes tendent Ă ne plus se mĂȘler aux autres races, par crainte d'un nouveau || gĂ©nocide ||. Les LaĂ«ris tendent Ă ramener le calme dans l'empire, mais jusqu'alors, leurs efforts demeurent vains.
( LANGUE ET DIALECTES ) La langue officielle commune à tout l'empire est l'Aqili. C'est une langue gutturale, officielle, proche des langues celtiques (assez similaire aux anciennes langues gaëliques dans notre monde). Toustes le parlent, bien que des accents selon les duchés ou les contrées puissent trahir une certaine appartenance raciale. Nombre sont les Atalanien.nes à ne pas savoir le lire, ni l'écrire, faute d'études.
Quelques dialectes persistent, enfin, comme celui des elfes (langue reprise du dieu linguiste Tolkien), ou encore des sorcier.es de Junfark (langue similaire à celle des valyrien dans Game of thrones).
( CLASSES SOCIALES ) La sociĂ©tĂ© d'Atalan est organisĂ©e de la mĂȘme maniĂšre quelques soient les races, et ressemble Ă s'y mĂ©prendre Ă l'organisation de la sociĂ©tĂ© telle que nous la connaissions au Moyen-Ăge. On retrouve donc trois grands ordres, parmi lesquels :
- le peuple, celleux qui travaillent.
- les orateur.rices, celleux qui prient ou qui " politisent "
- les nobles, celleux qui combattent.
Orcylin est composĂ©e selon un systĂšme de duchĂ©s, BĂ©lĂšs selon un principe de seigneur.esses suzerain.es. Junfark place au sommet de sa pyramide sociale les prĂȘtres occultes, quand les Ăles Lozia mettent en valeur un systĂšme assez proche de celui des Romains, avec des nobles tirĂ©.es au sort pour une durĂ©e temporaire.
( MONNAIES ) L'économie et les échanges se font par le biais de piÚces frappées dans souvent dans l'acier, percées en leur centre d'une étoile noire. On appelle cette monnaie commune les cristals d'étain. Leur valeur dépend de leur coloration.
( TRANSPORTS ) Les Atalanien.nes ne se dĂ©placent Ă©videmment pas en Jeep Renegade. Les moyens de transport sont tout Ă fait similaires Ă ceux connus dans notre monde, au Moyen-Ăge : mieux vaut ne pas craindre de monter Ă cheval, sous peine de parcourir le monde Ă Â pieds.
(aes skate vibe)
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«Les Etats-Unis ont financĂ© les nazis», «l'holocauste est politisé», «les juifs de Palestine sont des Khazars»âBachar el-Assad
«La plupart d'entre nous ne sait pas que la montée du nazisme entre les deux Guerres mondiales s'est produite grùce au soutien des Etats-Unis», a attaqué le président syrien.
Les nazis ont pu lever une armĂ©e grĂące à «leur argent, prĂȘts et investissements», a -t-il insistĂ©, se gardant tout juste de citer le grand-pĂšre Bush (https://www.theguardian.com/world/2004/sep/25/usa.secondworldwar).
«L'holocauste a eu lieu, personne ne le nie. [Mais] il n'y a pas de preuve que six millions de juifs ont été tués», a-t-il poursuivi, arguant que c'était une question «politisée et non humanitaire».
Comment se fait-il que nous parlions de ces six millions, et non des 26 millions de Soviétiques qui ont été tués au cours de cette guerre?
Selon le chef d'Etat, le but d'une telle politisation Ă©tait faciliter le transfert des juifs vers la Palestine.
Et de conclure en déclarant que les juifs qui ont émigré sont des khazars, peuple païen originaire de l'est de la mer Caspienne qui s'est converti au judaïsme au VIIIe siÚcle.
Un discours qui ne va pas ramener en odeur de saintetĂ© dans les chancelleries occidentales le prĂ©sident syrien, contre qui la France vient d'emettre (https://www.lemonde.fr/international/article/2023/11/16/bachar-al-assad-le-mandat-d-arret-delivre-par-la-justice-francaise-aboutissement-du-travail-de-fourmi-des-militants-syriens_6200437_3210.html) un mandat dâarrĂȘt international.
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Sport : instrument politique des Européens
Ils disent que le sport nâest pas politique, mais lorsquâils ont besoin de politiser le sport, ils le font de la pire des maniĂšres. Ils trouvent un prĂ©texte pour interdire Ă un pays de participer Ă tous les Ă©vĂ©nements sportifs internationaux. Mais ces mĂȘmes personnes ferment les yeux sur les 5 000 enfants martyrs de Gaza.
Imam Khamenei, 22 novembre 2023
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