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Quels aliments éviter pour sécher ?
Découvrez les aliments à éviter en musculation pour réussir votre sèche et atteindre une définition musculaire optimale. Pour voir ça, rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés », ou rendez-vous dans votre boîte mail !
Dans un monde parfait, aucun aliment ne serait à éviter pour sécher. Malheureusement, il y a toute une liste d’aliments qui peuvent freiner vos progrès si vous souhaitez faire une sèche en musculation. Je vais vous détailler pourquoi certains aliments peuvent ralentir votre perte de graisse. Ici, je ne parle pas du petit régime pour perdre du poids, mais de la sèche en musculation pour avoir les…
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OCCUPATION ANARCHIQUE, ILLÉGALE ET CONTRE-NATURE DES BERGES ET DES RIVES DE NOS PLANS D’EAU: LE GOUVERNEMENT DONNE JUSQU’AU 31 MAI 2023 AUX OCCUPANTS POUR LIBÉRER LES LIEUX.
Cotonou, le 22 mars 2023 N° 248/MCVDD/MAEP/DC/SGM/DGEC/ADELAC/DG/DIA/SP COMMUNIQUE CONJOINT Le Ministre du Cadre de Vie et du Développement Durable et le Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche communiquent : Il nous a été donné de constater une prolifération préoccupante de l’occupation anarchique, illégale et contre-nature des berges et des rives de nos plans d’eau, notamment, le…
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#ILLÉGALE ET CONTRE-NATURE DES BERGES ET DES RIVES DE NOS PLANS D’EAU: LE GOUVERNEMENT DONNE JUSQU’AU 31 MAI 2023 AUX OCCUPANTS POUR LIBÉRER#OCCUPATION ANARCHIQUE
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Le sentiment du temps avait subi la même altération que le sentiment de l’espace ; ce ruban d’eau courante, cet escalier roulant avec son sinistre arrière-plan de mort semblait souvent s’immobiliser, et souvent s’écouler sans aucun lien avec le reste. Il suffisait d’un instant de la vie extérieure pour qu’il dispar��t intérieurement sans qu’aucune trace permît de déceler s’il s’était agi d’une heure ou d’une minute. Robert Musil, L’Homme sans qualités, Éditions du Seuil, 1956
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As the media would describe it, Cordelia and Edward's relationship was "too good to be true." For a commoner marrying into The Family, the years-long relationship was, until her pregnancy, without scandal or complaint. No former lovers, bitter parents, or scorned ex-friends came out with anything negative or salacious about Miss Cordelia Easton. The daughter of a corporate middle manager and a retired government receptionist, Lady Delia, a moniker given by tabloids, was always considered an exceptional and necessary addition to the Royal Family. Palace "insiders" spoke of her closeness with Her Majesty, a stark contrast from her embrace of her daughter-in-law and future Queen Consort, HRH Victoria, Princess of Belen. The public saw her as the perfect pair for their beloved (then) Prince "Eddie" Belen. He was (and arguably still is) dutiful and dull, cliche as it is. And it was clear that when his time came, he'd need a consort capable of anchoring him to Earth, with his "people," the very thing Königs enthusiastically works against. Even during the height of their first and only significant media "scandal," the couple remained steadfast, and Cordelia, as noted in an unofficial account of the couple's courtship, "was utterly unbothered, which only intensified the media's desire to break her, or at least try."
Transcript Below:
[offscreen] jeux d’eau plays
Cordelia: humming
Edward: continues playing
Cordelia: Come on, they’re waiting for us…
Edward: They can wait…music continues
Cordelia: Do you remember our exit plan?
Edward: The cottage in Genera…
Cordelia: I think about it often…
Edward: We weren’t serious, Delia.
Cordelia: Weren’t we…
Edward: Fine. We leave tonight. chuckles
Cordelia: chuckles If only…
Edward: *Yeah, if only…
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Comme on est un peu en retard niveau post, on va condenser ces trois derniers jours.
Nous sommes parti 3 jours en safari dans le parc Hwange. Ce fut trois jours haut en couleur et plein de revirement de situation, mais on vous en dira plus de vive voix autrement j’écrirais un roman 😅
Tout d’abord, quel bonheur de repartir en safari. Être là, en pleine savane, et de voir tous ces animaux sauvages, plus majestueux les un que les autres. En plus, cette fois-ci, j’ai un super téléobjectif qui zoom loin loin loin et avec lequel j’ai pu beaucoup m’amuser. C’est un peu un jeu, un challenge, que de faire la plus belle photo de chaque animal. On a pas vu tous les animaux que l’on espérait mais les principaux y étaient. Il fait très chaud et tout est très sec, à certain endroit la verdure se fait rare et beaucoup de point d’eau sont asséchés. On pense que plusieurs animaux ont migré pour des régions plus vertes.
Niveau organisation, le parc n’est pas au top. Déjà pour réserver les logements c’était toute une histoire et sur place c’est pas bien mieux. Il n’y a pas de plan du parc et les panneaux indicatifs sont rares et lorsqu’ils y sont, ils sont parfois cassés. On roule un peu à l’aveugle…À l’intérieur du parc aucun petit restaurant ni-même de shops. Il y a quelques place de pic-nic, parfois abandonnées et délabrées. Un seul campement, à l’entrée du parc, dispose d’un service de restauration, les autres en sont dépourvus (sauf les Lodges privées à plusieurs centaines de dollars la nuit). Pour 14’600km2 c’est peu.
On a trouvé dommage que les infrastructures ne soient pas à la hauteur du parc, pourtant il y a du potentiel ! Et ça ferait de la bonne pub pour développer le tourisme zimbabwéen, car nous ne sommes pas beaucoup 😅
Ce soir, pour notre dernier soir de safari, nous dormons dans le même Lodge que la nuit avant le safari, comme ça la boucle est bouclée ;) cette fois nous ne sommes pas les seuls dans le complexe, c’est cool de voir l’endroit habité. En plus nous avons été surclassé dans une meilleure chambre. Elle est très belle, toujours sans climatisation mais elle a deux fenêtres, ça fera courant d’air au moins 🤷🏽♂️
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Écrire comme Nathalie Sarraute
Après avoir suivi la routine d'écriture très casanière de Susan Sontag, il était temps d'écrire dans un hors de soi, de rendre son bureau d'écrivain toujours plus nomade. C'est pourquoi j'ai choisi, pendant une journée, de m'essayer à la routine d'écriture de Nathalie Sarraute.
Selon la BNF,
C’est sans doute au cours de la deuxième guerre mondiale – parce qu’à l’époque il s’agissait des rares lieux chauffés en permanence – que Sarraute conçut le rituel d’écriture qu’elle suivit presque jusqu’à sa mort, à 99 ans. Tous les matins, même le dimanche, elle se rendait à un café, « Le Marceau », avenue Marceau, à cinq minutes à pied de chez elle. Elle s’asseyait toujours à la même table et se faisait servir une tasse de café et un pot d’eau chaude. Elle se munissait de feuilles volantes, de ses cahiers de brouillon et de deux stylos feutres, au cas où l’un d’eux viendrait à lui faire défaut. Le café était tenu par des Libanais et les conversations en arabe, qu’elle ne comprenait pas, lui permettaient paradoxalement de se concentrer. Dans ce brouhaha ambiant, elle pouvait sans déranger murmurer ce qu’elle était en train d’écrire.
Pour commencer à écrire, je me suis donc rendue dans la matinée dans un café non loin de chez moi, je me suis assise devant une fenêtre et j'ai pris un thé (évidemment). J'avais plusieurs objectifs d'écriture ce matin-là : écrire un peu dans mon journal, faire de l'écriture automatique puis me concentrer sur un appel à textes en anglais. Le tout sur papier, puisque Nathalie Sarraute écrivait sur feuilles.
J'ai passé une dizaine de minutes sur mon journal, comme un échauffement. Puis, j'ai utilisé une autre de mes méthodes "d'inspiration" pour lancer une session d'écriture automatique : j'ai tiré au hasard une carte dans mon jeu de tarot (j'utilise Le Tarot surréaliste) et noté sa signification. Je suis tombée ce jour-là sur le 10 de bâtons, la suite des bâtons représentant la folie et le 10, selon Massimiliano Filadoro, le Blanc-Seing. J'ai pris quelques notes sur ce que ls significations données m'inspiraient, puis j'ai amorcé un récit.
Finalement, cette histoire m'a semblée parfaite pour intégrer mon recueil de nouvelles en cours d'écriture. J'en ai rédigé une page, puis j'ai échaffaudé un plan narratif assez vague pour me permettre une certaine liberté dans la rédaction. En tout, j'ai passé une heure sur ce début de nouvelle.
J'ai terminé cette matinée d'écriture en me concentrant sur un appel à textes, celui du tout nouveau magazine littéraire & artistique Nowhere Girl Collective, fondé par Dakota Warren. Le thème de l'appel à textes de novembre est ouroboros, un symbole cyclique qui renvoie à l'auto-manducation, à l'autodestruction et au cycle de la vie. À partir de ce sujet, j'ai rédigé le premier jet d'un poème :
Ayant rempli tous mes objectifs d'écriture pour la journée, je me suis alors rendue au cinéma pour voir Le Règne animal, réalisé par Thomas Cailley. La question du devenir-animal y rejoint celle du devenir soi et du coming of age, mêlant ainsi réflexion sur l'adolescence et, plus généralement, sur la nature humaine. J'ai beaucoup aimé ce film, très bien réalisé et qui aborde avec justesse la notion de deuil.
Alors, plutôt Susan Sontag ou Nathalie Sarraute ?
Pour ma part, la routine de Sarraute m'a complétement séduite, et m'a qui plus est permise de trouver un café près de chez moi, parfait pour aller écrire dans un équilibré mélange de bruits ambiants et de silence, de mouvement et de tranquillité. Mes productions m'ont beaucoup plus plues que celles écrites la semaine dernière, dont je me suis très rapidement détachée ; j'ai amorcé une nouvelle qui me plaît bien plus que la précédente et je suis pour l'instant relativement satisfaite du poème écrit pour l'appel à textes.
Sur ce, l'on se retrouvera dans un prochain article.
Littérairement vôtre,
Ève
me trouver ailleurs :
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CHRISTMAS TIME
Un enfant transforme la Vie quotidienne en Aventure, le sable en Château, la peinture en Oeuvre d'Art, la flaque d’eau en Océan, les plans en Surprises et les habitudes en Vie...❤️
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Marjorie Schiele - Paysage au plan d’eau. 1949
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Tbilissi (ge) -> Sadiqli (az) – 18.11.23
Je sors la tête de ma tente dans l’air gris de l’aube imminente. J’ai passé la nuit dans un no man’s land, au pied d’un pylône électrique. Après avoir empaqueté mes affaires, tandis que je mâche distrai-tement une barre de céréale en attendant que la luminosité soit suffisante pour mon départ, je regarde mon embarcation sur l’herbe mouillée, la boule au ventre. Je l’avais gonflé la veille, en plein cœur de la capitale géorgienne sur un quai du fleuve, me rendant déjà compte de l’absurdité de mon plan. J’avais refusé alors de me résigner à la dure réalité, même après que des hommes soient venus m’empêcher de prendre le large, mi-amusés, mi-consternés par mon aventure. Un barrage hydraulique en amont ? Non, j’ai vu qu’il était en aval. De forts courants ? On dirait pas. La police va m’arrêter ? C’est mon problème… La honte m’avait rendu mauvais et je les avais envoyés se faire voir, marchant comme un forcené sur plusieurs kilomètres avec tout mon barda, quittant la ville jusqu’à atterrir ici pour passer la nuit et retenter ma chance. Maintenant, la vision de mon « bateau » me revient dans les dents : je me suis fait arnaquer. Je l’ai acheté l’avant-veille dans une petite boutique de pêcheur. Un raft comme on en utilisait au centre nautique sur le canal, quand j’étais petit. Il était même en devanture, gonflé, avec les rames et tout… Rien à voir avec le jouet pour piscine qui se dessine de plus en plus nettement devant moi à mesure que le soleil grimpe derrière les collines. Je me fais discret jusqu’au pont dont les rambardes sont déjà occupées par des pêcheurs, leurs lignes tombant verticalement au milieu du cours d’eau. Je ne réfléchis pas, je veux me mettre à l’eau le plus vite possible, surtout ne pas me faire alpaguer une seconde fois. Avec mon gros sac sur les jambes, l’autre derrière mon dos, je peux à peine pagayer. J’oriente l’embarcation pour rejoindre le centre du fleuve, le courant m’entraîne rapidement, en silence. J’ai un regain d’espoir en voyant le paysage périurbain défiler, et même un peu de joie à louvoyer sur la surface lisse de la Koura. Peut-être que ça va marcher au final ! Les premières rapides couleront mes illusions une dizaine de minutes plus loin. Pris de panique en voyant les remugles aspirer mon bateau, je rame frénétiquement pour passer sur les côtés qui ont l’air plus calmes. Impossible. Je m’accroche à mon pauvre jouet qui se fait ballotter dans tous les sens, protégeant comme je peux mes affaires qui menacent de tomber par-dessus bord. J’en ressors trempé et avec la sombre réalisation que si un vrai obstacle se dresse sur mon chemin, je ne serais pas en mesure de l’éviter. J’affronte encore quelques remous qui ponctuent le fleuve. Le débit est bas du fait de la saison et de la largeur du cours d’eau, les rochers du fond affleurent, créant des tourbillons et des courants forts en surface qui me happent malgré mes luttes à la rame. J’aurais parcouru une dizaine de kilomètres tant bien que mal jusqu’à ce que je m’échoue sur des cailloux qui déchirent le fond de mon navire. Les boudins d’air sous mes fesses se vident, abaissant dangereusement ma ligne de flottaison. Je dérive lamentablement sans plus tenter quoi que ce soit. Sur la rive, des pêcheurs me regardent passer, stoïques. Le naufrage est si pitoyable que j’en rigole et leur fait un petit signe de la main ; il restera sans réponse. J’arrive avec peine à rejoindre la berge et m’extirpe de l’épave. Je suis trempé, mes sacs aussi. Me voilà Robinson à défaut de Jack Sparrow.
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Villa Unión y Termas de Fiambala 💧
Après San José des Chacal, nous avons repris la longue route vers Salta. Nous avons refait un tour vers Rodéo avant le départ pour pouvoir refaire la sublime route que nous avions vu et nous en avons profité pour laisser de l’eau au petit temple érigé par mon père et Nico.
Suite à cela, nous avons mis le cap vers Villa Union car nous avions pour plan d’aller voir deux parcs classés par l’UNESCO : le parc Ischigualasto et le parc Talampaya. Nous voulions aussi en profiter pour aller à la Laguna Brava, un lac de fou rempli de flamands roses.
Malheureusement, Villa Union a été une grosse déception.
Dans cette zone, rien ne se fait sans guide et tout est très cher. Comptez entre 60 et 80€ par personne pour la visite des parcs qui se fait uniquement dans des bus touristiques ou dans sa propre voiture au milieu d’une caravane de véhicules. De plus, la Laguna Brava était fermée jusqu’à nouvel ordre à cause de la neige. Ici, le touriste français est vu comme un pigeon qui doit dépenser le triple de ce que dépense un local pour la moindre visite. Cette vérité était déjà assez présente sur tout le continent Argentin mais elle ne nous a jamais paru aussi flagrante qu’à Villa Union où les prix y sont exorbitants.
Nous n’avions pas envie de faire partie de cet engrenage et nous étions plutôt short sur l’argent après les réparations de la voiture. Nous avons donc fait l’impasse sur toutes ces visites et avons repris la route. A force de recherches nous avons quand même pu trouver une petite pépite à visiter totalement gratuitement : La Banda Florida, une version miniature de l’impressionnant canyon que vendait le parc Talampaya.
De retour dans notre Doudi Cuatro en direction du Nord, nous avons fait une halte dans un petit restaurant Libanais, le tout premier de notre voyage ! Agréablement surpris par cette découverte culinaire qui nous changeait du bife et des milanaises, nous avons pris le temps de déjeuner là. C’est autour de délicieux mezzes libanais et sandwichs falafels que nous avons fait la rencontre de Georges et son épouse, les deux patrons du restaurant. Georges est un argentino-libanais qui parlait parfaitement français et avec qui nous avons discuté un long moment. C’était une rencontre passionnante durant laquelle nous avons appris plein de choses sur le Liban et sur la famille de Georges (son fils est réalisateur et il a fait un court métrage en partenariat avec l’institut du monde Arabe, rien que ça !). Avant de partir, la femme de Georges nous a donné le meilleur plan que l’on a eu depuis le début du voyage : LES THERMES DE FIAMBALA !
Ces termes cachées au milieu des montagnes, près de la ville de Fiambala, sont un plan très local et peu connu des touristes. Elles n’apparaissent d’ailleurs pas dans les résultats de recherche Google Maps quand on tape le mot « termas ». Nous nous sommes donc empressés de nous y rendre.
Nous sommes arrivés à Fiambala, une très jolie petite ville dont les alentours sont à tomber par terre tant ils sont beaux. Nous avons bu un coup sur la place en observant les centaines de motos défiler devant nos yeux. En effet, depuis la crise, tout le monde ou presque circule en moto, un moyen de transport plus économique et facile à réparer.
Nous avons pris le créneau du soir pour les thermes, 12€ par personne pour 4h à mariner dans l’eau chaude : un plan en or !
Les thermes sont sublimes. Après une fastidieuse montée en voiture dans les hauteurs rocheuses, vous vous retrouvez au milieu de 15 bassins d’eau chaude naturelle provenant directement des montagnes. Tout est en pierre, les locaux s’y prélassent en partageant les ragots du moment et vous avez même un restaurant à bon prix pour vous requinquer entre deux baignades. C’était un paradis sur terre ! Nous nous y sommes rendus le dimanche soir et malgré la foule nous avions largement l’espace pour profiter de l’endroit. Nous avons décidé d’y retourner le mardi matin pour avoir les thermes rien que pour nous.
Après une nuit dans la pampa, nous sommes partis explorer le cañon del Indio le lundi, un magnifique canyon de pierres rouges qui s’étend sur quelques kilomètres.
Le mardi matin nous sommes retournés à 8h du matin aux thermes. Pari gagné, nous avons eu les thermes rien que pour nous pendant deux bonnes heures avant de voir quelques locaux débarquer. Un pur bonheur !
Nous sommes repartis détendus et heureux vers Cafayate, la dernière étape avant Salta !
Je vous raconte la suite dans le prochain post.
Besitos,
Luna.
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Jour 13 - Lumière sous la porte
Un plan parfait. C’est un plan parfait. J’avais préparé mon coussin et ma couverture d’avance. J’avais bougé le fauteuil pour faire face à la porte du salon - et je tiens à dire qu’il était très lourd mais que je suis très forte pour mon âge, ça oui ! J’ai même mis la petite chaise, de quand j’étais bébé, à côté pour me faire une table. J’ai même caché des biscuits et une bouteille d’eau sous le vieux fauteuil ! Donc j’étais super-prête !
Et mon plan se déroule à merveille ! On est tous allé dormir et puis quand j’ai entendu que ça ronflait, je suis descendue avec Monsieur Tchoum - c’est mon chien en peluche - et puis j’ai enjambé Tommy - c’est mon vrai chien - et puis j’ai été dans le bureau et j’ai fermé la porte. Mon plan est parfait, car, vous voyez, si la porte elle est fermée, on me voit pas, hein. Mais moi je vois la lumière sous la porte. Et comme papa il a installé des lampes que tu claques dans tes mains pour allumer, ben il va pas avoir le choix. Pour aller chercher les en-cas à l’autre bout du salon, il va devoir allumer. Et moi je vais le voir, hein, sous la porte. Et puis je vais l’entendre… Mais j’espère que Tommy va pas lui faire peur en aboyant, mais bon, comme il m’a vu passé, il pensera que c’est moi je crois ?
Bon donc je m’installe dans le fauteuil du bureau, avec ma couverture, mon coussin, mes biscuits et ma bouteille d’eau - non, Tommy tu peux pas avoir le chocolat c’est dangereux pour les chiens et puis maman t’a donné un snack avant dodo - et j’ai même pas eu peur du noir ! Bon, aussi parce que la lumière de la rue est très forte et donc elle passe sous le rideau. Bon, donc je suis installée et maintenant j’attends. Et quand je verrai la lumière sous la porte… Ah oui si tu veux, tu peux venir dans le fauteuil avec moi, oui, Tommy…
Et quand je verrai la lumière sous la porte…
Oups, j’ai pas mis ma main devant la bouche.
Je dois rester concentrée.
Oh c’est long, hein…
Mais rester concentrée sur la lumière sous la porte…
Donc je dois….
… Rester éveillée…
… Parce que je veux voir…
“Ma chérie ? Saint-Nicolas est passé !”
Et zut !
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Royal Enfield Classic 350
Drennec lake in the background
Le lac du Drennec est le deuxième plan d’eau du Finistère. Ce lac artificiel d’environ 110 hectares a été construit en 1981 afin d’approvisionner en eau potable près de 400 000 habitants du Finistère. Cette retenue d’eau douce, sur laquelle les ormes et les peupliers forment ombrage, constitue un des plus grands réservoirs à truites en France et donc un endroit privilégié pour pratiquer la pêche sportive ou la pêche à la mouche.
Lake Drennec is the second largest body of water in Finistère. This artificial lake of approximately 110 hectares was built in 1981 to supply drinking water to nearly 400,000 inhabitants of Finistère. This freshwater reservoir, on which elms and poplars provide shade, constitutes one of the largest trout reservoirs in France and therefore a privileged place for sport fishing or fly fishing.
Photo : Frédéric Poirier
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Une alimentation vivante de l'Océan
Produits de la mer, naturels, certifiés.
Les algues marines, de véritables super aliments, sont de plus en plus plébiscitées par les consommateurs soucieux de leur santé et de l'environnement. En effet, elles regorgent de nutriments essentiels - vitamines, minéraux, oligo-éléments, antioxydants- tels que les protéines, le potassium, les fibres, les vitamines (dont la vitamine C ou B12 ....), le calcium, le magnésium, l'iode et bien d'autres
Mais les bienfaits des algues ne s'arrêtent pas là. Leur culture ne requiert pas d'eau supplémentaire (donc ne puisent pas dans nos réserves d’eau douce), de pesticides ni d'engrais, ce qui en fait une option durable pour l'environnement. De plus, les algues absorbent le CO2 plus efficacement que toute autre plante terrestre, ce qui en fait un allié de poids dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Consommer des algues, c'est donc non seulement bénéfique sur le plan nutritionnel, mais aussi un geste concret pour l'environnement.
Et n'oublions pas le plaisir gustatif ! le gout umami, si délicat, Les algues marines sont également délicieuses, ce qui en fait un incontournable dans une alimentation saine et équilibrée. En résumé, les algues marines sont des super aliments à inclure sans hésitation dans son régime alimentaire pour une santé optimale et un impact positif sur la planète.
Nous travaillons avec des producteurs basés sur la côte Atlantique, qui sont engagés à utiliser les ressources de manière responsable : c’est un élément majeur dans le choix de nos producteurs. https://www.lequotidienaunaturelshop.com
Vente aux particuliers et vente en gros
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Juillet-août. De retour au travail après avoir nagé dans un lac tout juste rempli – après vidange : poissons neufs, algues fraîches, pierres non polies sur plages vides. Rien d’aimable pour le dos. En haut, une pluie bienfaisante pour l’humanité nous a poussés devant la télévision de l’hôtel, pas regardée depuis les années 10 : clips le matin, policiers le soir. Elise découvre chaque fois le coupable et dénoue les intrigues avant l’heure. Tu devrais être scénariste, lui dis-je. Je ne peux pas, me dit-elle, il faut que ça existe déjà.
J’ai filmé tout l’été en gros plan : le soleil, les traînées d’avion, et, sur la route, quand elle conduisait, les châteaux d’eau et éoliennes. On oublie le zoom moche des téléphones qui donne un grain si beau.
Actuellement dans l’openspace, donc, où une collègue présente des arguments pour la fessée éducative, que j’écoute d’une oreille distraite en tentant d’illustrer une couverture sur la psychiatrie. “Quand il pleure, je le fous sous la douche, ça le calme. C’est qui le patron ?” Je ne lui réponds plus depuis que j’ai appris à la considérer comme une entité irréelle, un PNJ ronchon sans incidence. On ne se met pas en colère contre un programme sans lien avec la suite de l’histoire.
Le soir, avant de dormir, avec Elise, nous jouons à Wikipédia. C’est au premier qui, partant par exemple de la page Citron, arrivera à Marlène Schiappa en n’utilisant que les hyperliens bleus, sautant d’une page à une autre. Elise perd souvent car elle se met à lire les articles qui l’intéressent en cours de jeu. J’étais sur la page Fromage, me dit-elle.
Quelques phrases :
Soyez vous-même, tous les autres sont déjà pris. (Oscar Wilde)
Mauve roule et n’en revient pas. Les gens sont vraiment des putains de grosses merdes, légère averse et ils font tous comme si c’était de l’acide. (Clémentine Haenel, dans Pleins Phares, à paraître le 7 septembre)
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Fanfic Pendranièvre
Avec toutes les fanfictions que j'ai lu sur Arthur et Guenièvre dans l'univers d'AA je me lance enfin !!! Vive KAAMELOTT et mon chéri qui m'a fait découvrir cette série et qui maintenant s'en mord les doigts parce que j'arrête pas de les regarder XD
Bonne lecture à toutes et tous !!
Le Cœur a ses raisons…
Résumé : Après la faute commise par Arthur avec Dame Mévanwi, Guenièvre décide que c’en est trop. Elle veut partir. Pour aller où ? Rejoindre Lancelot ? Certainement pas ! Guenièvre voulait être libre et quel était l’intérêt de quitter l’homme que l’on aime pour un homme que l’on n’est pas sûre d’aimer ? Elle avait besoin de plus de certitudes car tout ce que la Reine de Bretagne avait jamais voulu c’était aimer et être aimer en retour…
Chapitre 1 : l’Annulation
Guenièvre Pendragon pensait avoir une patience et une tolérance infinies. Cependant, même la Reine du Royaume de Logres avait ses limites. Son mari avait joué avec ces limites pendant près de 15 ans et aujourd’hui la jeune femme ne pouvait pas laisser passer cette trahison. La femme d’un chevalier… Mévanwi de Vannes… Cette goutte d’eau avait fait déborder le vase de Guenièvre. Il lui semblait que son cœur, saignant depuis des années de la maltraitance émotionnelle de son mari, avait fini par s’ouvrir en deux. L’air lui manquait terriblement et les larmes coulaient abondamment sur ses joues laiteuses.
La nuit était pourtant calme au château de Kaamelott durant laquelle elle avait surpris le Roi avec sa nouvelle conquête. Recroquevillée dans son lit, elle n’arrivait pas à calmer la tempête qui régnait dans sa poitrine. Elle ne pouvait tout simplement plus supporter sa condition de Reine de Bretagne. Il fallait qu’elle fasse quelque chose, qu’elle se sorte de cette situation avant qu’elle ne meure de chagrin ou qu’elle finisse par se jeter par la fenêtre de sa chambre… Elle y avait tant pensé durant ses dernières années ou le poids de la solitude se faisait de plus en plus oppressant. Seulement, à quoi cela servirait-il ? Arthur lui avait dit lui-même : elle n’était « Rien » …
Lorsque le jour se leva enfin, elle avait pris sa décision : elle ne voulait plus être la femme d’Arthur Pendragon. Elle n’était pas aussi bête que son mari et la cour du château le pensait. Elle savait que ce n’était pas si simple d’annuler un mariage… En tout premier lieu, elle devait se renseigner sur la manière dont elle devait procéder… Les lois bretonnes étaient complexes, elle aurait donc besoin d’un spécialiste pour l’aiguiller discrètement sur la marche à suivre. Elle savait que le Père Blaise se levait toujours très tôt. Elle prit donc le temps de s’habiller d’une robe bleu clair toute simple ne nécessitant pas l’aide d’Angharad. Elle n’avait pas envie de voir son amie et bonniche avant que son plan ne soit mis en marche.
Elle traversa donc le château, rasant les couloirs, ne croisant que les quelques serviteurs s’affairant avant le réveil des bourgeois. Guenièvre finit par atteindre la salle des archives sans encombre. Le Père Blaise était effectivement là, griffonnant sur un parchemin, concentré sur sa tâche. Elle racla légèrement sa gorge afin de signifier sa présence au cureton qui releva finalement le nez de son papelard.
_ Ma Reine !? Il est rare de vous voir ici de si bon matin.
_ Oui… C’est-à-dire que j’avais une question a vous posé plus ou moins urgemment, voyez-vous ? répondit-elle, forçant un sourire sur son visage fatigué.
_ Si je peux vous aider…
_ Il ne s’agit pas de moi mais d’une amie… Elle souhaiterait se renseigner sur comment faire annuler un mariage. Quelles seraient les conditions requises ?
_ Il est très difficile voir quasiment impossible d’annuler une union au royaume de Logres… répliqua le Père Blaise en fronçant les sourcils.
_ Je m’en doute bien ! Mais quels seraient les prérequis ? Peut-être ses raisons entrent-elles dans le cadre de la juridiction !
Le prêtre, outre le fait d’être extrêmement surpris par l’éloquence de sa Reine, commença tout de même à fouiller dans son barda afin de trouver la loi demandée. Il finit par trouver un petit parchemin listant les conditions à remplir afin de rompre une union légitime.
_ Y a-t-il eu bigamie, fraude ou manque de compréhension ?
_ Pas à ma connaissance, accorda Guenièvre, feignant de réfléchir intensément.
_ Il y a aussi la non-consommation de l’union, ajouta-t-il en haussant les épaules.
_ Ce qui veut dire ?
_ Ce qui veut dire que si pour toute raison l’un des époux n’a pas été capable de consommer le mariage, cela peut donner lieu à une annulation.
Les choses de l’amour dont elle avait toujours été privée… Guenièvre ne pouvait pas mieux tomber, elle rentrait pile-poil dans cette catégorie. Néanmoins, il y avait un hic…
_ Comment est-il possible de prouver que le mariage n’a pas été consommé comme vous dites ?
Le Père Blaise fronça à nouveau les sourcils d’incompréhension. Où la reine voulait-elle en venir à la fin ?
_ Je suppose qu’un examen gynécologique effectué par un médecin assermenté, ou ce qui s’en rapproche le plus, prouvant la pureté de la femme devrait suffire.
Guenièvre hocha alors la tête comme si l’information ne lui était pas plus importante que cela…
_ Et une fois les preuves rassemblées, les époux doivent-ils signer un papier stipulant l’annulation du mariage où les preuves suffisent-elles ?
Il se pencha une nouvelle fois sur le texte de loi avant de répondre par la négative. Pas besoin de signer quoique ce soit, l’attestation et le texte de loi suffiront.
_ Je vous remercie Père Blaise de m’avoir accordé un peu de votre temps. Puis-je emprunter cette loi ? Je vous la rendrais très certainement demain après l’avoir montrée à mon amie, s’empressa-t-elle d’ajouter en voyant sa réticence.
_ Bien entendu… mais demain sans faute alors !
_ C’est promis !
La reine pris donc le parchemin, le roula délicatement avant de souhaiter une bonne journée au prêtre. Guenièvre avait bien remarqué les expressions du cureton, elle savait qu’il se doutait de quelque chose et se fit la réflexion de lire attentivement le texte de loi afin de vérifier par elle-même ses dires. Une première étape de franchie, il fallait à présent passer à la suivante… Dans ce château, il n’y avait qu’une personne qui soit familière avec les examens et autres petits bobos de l’assistance : Merlin.
Il était tôt. Le château était encore largement endormi quand Guenièvre atteignit le laboratoire du druide. Elle espérait juste qu’il serait déjà réveillé. Elle frappa donc poliment avant d’entrer doucement dans la pièce. Il n’y avait personne mais elle entendait distinctement des bruits de pas venant de l’arrière.
_ Ma Reine ? Vous êtes bien matinale aujourd’hui !
L’enchanteur remarqua alors le sourire d’agacement se peignant sur son charmant visage.
_ Je sais… J’ai besoin de vous pour une affaire assez délicate…
_ Si cela concerne la magie s’est inutile, il est nul en sortilège ! scanda Elias en débarquant dans la pièce à son tour.
_ Rassurez-vous Elias, ça n’a rien à voir ! rétorqua Guenièvre alors que Merlin ouvrait déjà la bouche afin d’enguirlander son collègue.
_ Ah ? Pourquoi donc avez-vous besoin de moi alors ?
_ Comme je vous le disais c’est assez délicat mais vous êtes la seule personne en qui je peux avoir confiance et dont la déclaration ne pourra être contestée.
Merlin et Elias se regardèrent alors à la fois surpris et curieux. Ils n’osèrent ouvrir leurs bouches, attendant que la reine se décide.
_ Je souhaiterais que vous effectuiez un examen gynécologique.
Les deux hommes ouvrirent grands les yeux.
_ Mais pourquoi donc ? et sur qui ?
_ Sur moi-même, afin de vérifier ma condition d’une part et de lever le doute sur un point en particulier.
_ Sur quel point ? demanda alors Elias, craignant ce que la Reine allait répondre…
_ Ma virginité.
_ Ma Reine… Pourquoi voudriez-vous…
_ Cela ne regarde que moi ! Mais sachez que j’aurai besoin d’une attestation signée de votre main, en fait de vos mains à tous les deux tant qu’à faire, stipulant les résultats exacts de l’examen.
_ Ma Reine… dans quel but voudriez-vous…
_ Ma question est : pouvez-vous le faire ou non ? coupa Guenièvre une seconde fois.
Pour une fois, les deux enchanteurs ne savaient vraiment pas où se mettre et restaient étonnamment silencieux.
_ Dites-le moi tout de suite si vous ne pouvez pas afin que j’aille quérir le médecin du village qui lui saura ! s’exclama-t-elle devant le mutisme des deux acolytes.
_ Très bien, ne vous énervez pas…
Sans un mot, Elias commença par dégager la table de tous les objets s’y trouvant. Ils la nettoyèrent comme ils purent avant de la recouvrir d’un drap et de demander à Guenièvre de s’y allonger.
L’examen ne dura pas si longtemps que cela : quinze à vingt minutes tout au plus, mais pour Guenièvre, qui n’avait jamais été touchée, il sembla durer une éternité. Pour la première fois, les deux enchanteurs travaillèrent de concert afin d’effectuer leur tâche du mieux possible. Elias utilisa même un ou deux sortilèges afin de confirmer leurs conclusions. Ils devaient se couvrir un maximum et être sûrs de leur résultat si jamais on venait leur demander des comptes. Ce moment gênant passé, ils se penchèrent sur une feuille de parchemin vierge et commencèrent à écrire leurs conclusions.
_ Pouvez-vous en faire trois exemplaires, je vous prie, dont un que vous garderez pour vous ?
Merlin et Elias acquiescèrent d’un commun accord et finalement tendirent à la reine ses deux parchemins attestant de son indubitable virginité.
_ Je vous remercie bien… murmura-t-elle doucement gardant encore quelques instants la tête baissée avant de la relever dignement en sortant du laboratoire.
Une fois partie, Merlin et Elias poussèrent un soupir comme si la pression s’évacuait finalement de leur corps.
_ Ça craint ça… mais là vraiment ! commenta Elias en levant les bras au ciel.
_ Je ne sais pas ce qu’il a bien pu faire cette fois… mais c’était la fois de trop visiblement… ajouta Merlin en s’appuyant sur la table.
_ J’ai toujours dit qu’elle finirait par craquer ! C’est un miracle qu’elle soit restée aussi longtemps vu comment il la traite ! poursuivit l’enchanteur vêtu de noir.
_ Je le sais bien ! Mais malgré tous mes efforts j’ai jamais pu lui faire comprendre à cette tête de mule que Guenièvre était faite pour lui !
Elias leva les yeux au ciel mais préféra ne pas répondre. Jamais au grand jamais le roi n’acceptera ce fait.
En ce milieu de matinée, le château de Kaamelott n’avait jamais paru aussi calme… C’était le calme avant la tempête.
-o-
Voilà pour ce premier chapitre ! j'espère qu'il vous plaira !
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