#plan d’eau
Explore tagged Tumblr posts
manolomun63 · 2 years ago
Text
Tumblr media
5 notes · View notes
fitnessmith · 3 months ago
Text
Quels aliments éviter pour sécher ?
Découvrez les aliments à éviter en musculation pour réussir votre sèche et atteindre une définition musculaire optimale. Pour voir ça, rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés », ou rendez-vous dans votre boîte mail !
Dans un monde parfait, aucun aliment ne serait à éviter pour sécher. Malheureusement, il y a toute une liste d’aliments qui peuvent freiner vos progrès si vous souhaitez faire une sèche en musculation. Je vais vous détailler pourquoi certains aliments peuvent ralentir votre perte de graisse. Ici, je ne parle pas du petit régime pour perdre du poids, mais de la sèche en musculation pour avoir les…
0 notes
kingonews · 2 years ago
Text
OCCUPATION ANARCHIQUE, ILLÉGALE ET CONTRE-NATURE DES BERGES ET DES RIVES DE NOS PLANS D’EAU: LE GOUVERNEMENT DONNE JUSQU’AU 31 MAI 2023 AUX OCCUPANTS POUR LIBÉRER LES LIEUX.
Cotonou, le 22 mars 2023 N° 248/MCVDD/MAEP/DC/SGM/DGEC/ADELAC/DG/DIA/SP COMMUNIQUE CONJOINT Le Ministre du Cadre de Vie et du Développement Durable et le Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche communiquent : Il nous a été donné de constater une prolifération préoccupante de l’occupation anarchique, illégale et contre-nature des berges et des rives de nos plans d’eau, notamment, le…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
abridurif · 4 months ago
Text
Le sentiment du temps avait subi la même altération que le sentiment de l’espace ; ce ruban d’eau courante, cet escalier roulant avec son sinistre arrière-plan de mort semblait souvent s’immobiliser, et souvent s’écouler sans aucun lien avec le reste. Il suffisait d’un instant de la vie extérieure pour qu’il disparût intérieurement sans qu’aucune trace permît de déceler s’il s’était agi d’une heure ou d’une minute. Robert Musil, L’Homme sans qualités, Éditions du Seuil, 1956
9 notes · View notes
carolemm · 1 month ago
Text
Tumblr media
Douceur du dimanche sur le plan d’eau d’Ecluzelles (28)
3 notes · View notes
steff-02 · 2 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Comme on est un peu en retard niveau post, on va condenser ces trois derniers jours.
Nous sommes parti 3 jours en safari dans le parc Hwange. Ce fut trois jours haut en couleur et plein de revirement de situation, mais on vous en dira plus de vive voix autrement j’écrirais un roman 😅
Tout d’abord, quel bonheur de repartir en safari. Être là, en pleine savane, et de voir tous ces animaux sauvages, plus majestueux les un que les autres. En plus, cette fois-ci, j’ai un super téléobjectif qui zoom loin loin loin et avec lequel j’ai pu beaucoup m’amuser. C’est un peu un jeu, un challenge, que de faire la plus belle photo de chaque animal. On a pas vu tous les animaux que l’on espérait mais les principaux y étaient. Il fait très chaud et tout est très sec, à certain endroit la verdure se fait rare et beaucoup de point d’eau sont asséchés. On pense que plusieurs animaux ont migré pour des régions plus vertes.
Niveau organisation, le parc n’est pas au top. Déjà pour réserver les logements c’était toute une histoire et sur place c’est pas bien mieux. Il n’y a pas de plan du parc et les panneaux indicatifs sont rares et lorsqu’ils y sont, ils sont parfois cassés. On roule un peu à l’aveugle…À l’intérieur du parc aucun petit restaurant ni-même de shops. Il y a quelques place de pic-nic, parfois abandonnées et délabrées. Un seul campement, à l’entrée du parc, dispose d’un service de restauration, les autres en sont dépourvus (sauf les Lodges privées à plusieurs centaines de dollars la nuit). Pour 14’600km2 c’est peu.
On a trouvé dommage que les infrastructures ne soient pas à la hauteur du parc, pourtant il y a du potentiel ! Et ça ferait de la bonne pub pour développer le tourisme zimbabwéen, car nous ne sommes pas beaucoup 😅
Ce soir, pour notre dernier soir de safari, nous dormons dans le même Lodge que la nuit avant le safari, comme ça la boucle est bouclée ;) cette fois nous ne sommes pas les seuls dans le complexe, c’est cool de voir l’endroit habité. En plus nous avons été surclassé dans une meilleure chambre. Elle est très belle, toujours sans climatisation mais elle a deux fenêtres, ça fera courant d’air au moins 🤷🏽‍♂️
3 notes · View notes
booksfromtheunderground · 1 year ago
Text
Écrire comme Nathalie Sarraute
Après avoir suivi la routine d'écriture très casanière de Susan Sontag, il était temps d'écrire dans un hors de soi, de rendre son bureau d'écrivain toujours plus nomade. C'est pourquoi j'ai choisi, pendant une journée, de m'essayer à la routine d'écriture de Nathalie Sarraute.
Selon la BNF,
C’est sans doute au cours de la deuxième guerre mondiale – parce qu’à l’époque il s’agissait des rares lieux chauffés en permanence – que Sarraute conçut le rituel d’écriture qu’elle suivit presque jusqu’à sa mort, à 99 ans. Tous les matins, même le dimanche, elle se rendait à un café, « Le Marceau », avenue Marceau, à cinq minutes à pied de chez elle. Elle s’asseyait toujours à la même table et se faisait servir une tasse de café et un pot d’eau chaude. Elle se munissait de feuilles volantes, de ses cahiers de brouillon et de deux stylos feutres, au cas où l’un d’eux viendrait à lui faire défaut. Le café était tenu par des Libanais et les conversations en arabe, qu’elle ne comprenait pas, lui permettaient paradoxalement de se concentrer. Dans ce brouhaha ambiant, elle pouvait sans déranger murmurer ce qu’elle était en train d’écrire.
Tumblr media
Pour commencer à écrire, je me suis donc rendue dans la matinée dans un café non loin de chez moi, je me suis assise devant une fenêtre et j'ai pris un thé (évidemment). J'avais plusieurs objectifs d'écriture ce matin-là : écrire un peu dans mon journal, faire de l'écriture automatique puis me concentrer sur un appel à textes en anglais. Le tout sur papier, puisque Nathalie Sarraute écrivait sur feuilles.
Tumblr media
J'ai passé une dizaine de minutes sur mon journal, comme un échauffement. Puis, j'ai utilisé une autre de mes méthodes "d'inspiration" pour lancer une session d'écriture automatique : j'ai tiré au hasard une carte dans mon jeu de tarot (j'utilise Le Tarot surréaliste) et noté sa signification. Je suis tombée ce jour-là sur le 10 de bâtons, la suite des bâtons représentant la folie et le 10, selon Massimiliano Filadoro, le Blanc-Seing. J'ai pris quelques notes sur ce que ls significations données m'inspiraient, puis j'ai amorcé un récit.
Finalement, cette histoire m'a semblée parfaite pour intégrer mon recueil de nouvelles en cours d'écriture. J'en ai rédigé une page, puis j'ai échaffaudé un plan narratif assez vague pour me permettre une certaine liberté dans la rédaction. En tout, j'ai passé une heure sur ce début de nouvelle.
Tumblr media
J'ai terminé cette matinée d'écriture en me concentrant sur un appel à textes, celui du tout nouveau magazine littéraire & artistique Nowhere Girl Collective, fondé par Dakota Warren. Le thème de l'appel à textes de novembre est ouroboros, un symbole cyclique qui renvoie à l'auto-manducation, à l'autodestruction et au cycle de la vie. À partir de ce sujet, j'ai rédigé le premier jet d'un poème :
Tumblr media
Ayant rempli tous mes objectifs d'écriture pour la journée, je me suis alors rendue au cinéma pour voir Le Règne animal, réalisé par Thomas Cailley. La question du devenir-animal y rejoint celle du devenir soi et du coming of age, mêlant ainsi réflexion sur l'adolescence et, plus généralement, sur la nature humaine. J'ai beaucoup aimé ce film, très bien réalisé et qui aborde avec justesse la notion de deuil.
Tumblr media
Alors, plutôt Susan Sontag ou Nathalie Sarraute ?
Pour ma part, la routine de Sarraute m'a complétement séduite, et m'a qui plus est permise de trouver un café près de chez moi, parfait pour aller écrire dans un équilibré mélange de bruits ambiants et de silence, de mouvement et de tranquillité. Mes productions m'ont beaucoup plus plues que celles écrites la semaine dernière, dont je me suis très rapidement détachée ; j'ai amorcé une nouvelle qui me plaît bien plus que la précédente et je suis pour l'instant relativement satisfaite du poème écrit pour l'appel à textes.
Sur ce, l'on se retrouvera dans un prochain article.
Littérairement vôtre,
Ève
me trouver ailleurs :
♤ threads ♤
♧ instagram ♧
11 notes · View notes
leparfumdesreves · 1 year ago
Text
CHRISTMAS TIME
Un enfant transforme la Vie quotidienne en Aventure, le sable en Château, la peinture en Oeuvre d'Art, la flaque d’eau en Océan, les plans en Surprises et les habitudes en Vie...❤️
6 notes · View notes
oldsardens · 10 months ago
Text
Tumblr media
Marjorie Schiele - Paysage au plan d’eau. 1949
4 notes · View notes
neant-blanc · 8 months ago
Text
Tbilissi (ge) -> Sadiqli (az) – 18.11.23
Je sors la tête de ma tente dans l’air gris de l’aube imminente. J’ai passé la nuit dans un no man’s land, au pied d’un pylône électrique. Après avoir empaqueté mes affaires, tandis que je mâche distrai-tement une barre de céréale en attendant que la luminosité soit suffisante pour mon départ, je regarde mon embarcation sur l’herbe mouillée, la boule au ventre. Je l’avais gonflé la veille, en plein cœur de la capitale géorgienne sur un quai du fleuve, me rendant déjà compte de l’absurdité de mon plan. J’avais refusé alors de me résigner à la dure réalité, même après que des hommes soient venus m’empêcher de prendre le large, mi-amusés, mi-consternés par mon aventure. Un barrage hydraulique en amont ? Non, j’ai vu qu’il était en aval. De forts courants ? On dirait pas. La police va m’arrêter ? C’est mon problème… La honte m’avait rendu mauvais et je les avais envoyés se faire voir, marchant comme un forcené sur plusieurs kilomètres avec tout mon barda, quittant la ville jusqu’à atterrir ici pour passer la nuit et retenter ma chance. Maintenant, la vision de mon « bateau » me revient dans les dents : je me suis fait arnaquer. Je l’ai acheté l’avant-veille dans une petite boutique de pêcheur. Un raft comme on en utilisait au centre nautique sur le canal, quand j’étais petit. Il était même en devanture, gonflé, avec les rames et tout… Rien à voir avec le jouet pour piscine qui se dessine de plus en plus nettement devant moi à mesure que le soleil grimpe derrière les collines. Je me fais discret jusqu’au pont dont les rambardes sont déjà occupées par des pêcheurs, leurs lignes tombant verticalement au milieu du cours d’eau. Je ne réfléchis pas, je veux me mettre à l’eau le plus vite possible, surtout ne pas me faire alpaguer une seconde fois. Avec mon gros sac sur les jambes, l’autre derrière mon dos, je peux à peine pagayer. J’oriente l’embarcation pour rejoindre le centre du fleuve, le courant m’entraîne rapidement, en silence. J’ai un regain d’espoir en voyant le paysage périurbain défiler, et même un peu de joie à louvoyer sur la surface lisse de la Koura. Peut-être que ça va marcher au final ! Les premières rapides couleront mes illusions une dizaine de minutes plus loin. Pris de panique en voyant les remugles aspirer mon bateau, je rame frénétiquement pour passer sur les côtés qui ont l’air plus calmes. Impossible. Je m’accroche à mon pauvre jouet qui se fait ballotter dans tous les sens, protégeant comme je peux mes affaires qui menacent de tomber par-dessus bord. J’en ressors trempé et avec la sombre réalisation que si un vrai obstacle se dresse sur mon chemin, je ne serais pas en mesure de l’éviter. J’affronte encore quelques remous qui ponctuent le fleuve. Le débit est bas du fait de la saison et de la largeur du cours d’eau, les rochers du fond affleurent, créant des tourbillons et des courants forts en surface qui me happent malgré mes luttes à la rame. J’aurais parcouru une dizaine de kilomètres tant bien que mal jusqu’à ce que je m’échoue sur des cailloux qui déchirent le fond de mon navire. Les boudins d’air sous mes fesses se vident, abaissant dangereusement ma ligne de flottaison. Je dérive lamentablement sans plus tenter quoi que ce soit. Sur la rive, des pêcheurs me regardent passer, stoïques. Le naufrage est si pitoyable que j’en rigole et leur fait un petit signe de la main ; il restera sans réponse. J’arrive avec peine à rejoindre la berge et m’extirpe de l’épave. Je suis trempé, mes sacs aussi. Me voilà Robinson à défaut de Jack Sparrow.
3 notes · View notes
kamomille9 · 2 years ago
Text
Fanfic Pendranièvre
Avec toutes les fanfictions que j'ai lu sur Arthur et Guenièvre dans l'univers d'AA je me lance enfin !!! Vive KAAMELOTT et mon chéri qui m'a fait découvrir cette série et qui maintenant s'en mord les doigts parce que j'arrête pas de les regarder XD
Bonne lecture à toutes et tous !!
Le Cœur a ses raisons…
Résumé : Après la faute commise par Arthur avec Dame Mévanwi, Guenièvre décide que c’en est trop. Elle veut partir. Pour aller où ? Rejoindre Lancelot ? Certainement pas ! Guenièvre voulait être libre et quel était l’intérêt de quitter l’homme que l’on aime pour un homme que l’on n’est pas sûre d’aimer ? Elle avait besoin de plus de certitudes car tout ce que la Reine de Bretagne avait jamais voulu c’était aimer et être aimer en retour…
Chapitre 1 : l’Annulation
Guenièvre Pendragon pensait avoir une patience et une tolérance infinies. Cependant, même la Reine du Royaume de Logres avait ses limites. Son mari avait joué avec ces limites pendant près de 15 ans et aujourd’hui la jeune femme ne pouvait pas laisser passer cette trahison. La femme d’un chevalier… Mévanwi de Vannes… Cette goutte d’eau avait fait déborder le vase de Guenièvre. Il lui semblait que son cœur, saignant depuis des années de la maltraitance émotionnelle de son mari, avait fini par s’ouvrir en deux. L’air lui manquait terriblement et les larmes coulaient abondamment sur ses joues laiteuses.
La nuit était pourtant calme au château de Kaamelott durant laquelle elle avait surpris le Roi avec sa nouvelle conquête. Recroquevillée dans son lit, elle n’arrivait pas à calmer la tempête qui régnait dans sa poitrine. Elle ne pouvait tout simplement plus supporter sa condition de Reine de Bretagne. Il fallait qu’elle fasse quelque chose, qu’elle se sorte de cette situation avant qu’elle ne meure de chagrin ou qu’elle finisse par se jeter par la fenêtre de sa chambre… Elle y avait tant pensé durant ses dernières années ou le poids de la solitude se faisait de plus en plus oppressant. Seulement, à quoi cela servirait-il ? Arthur lui avait dit lui-même : elle n’était « Rien » …
Lorsque le jour se leva enfin, elle avait pris sa décision : elle ne voulait plus être la femme d’Arthur Pendragon. Elle n’était pas aussi bête que son mari et la cour du château le pensait. Elle savait que ce n’était pas si simple d’annuler un mariage… En tout premier lieu, elle devait se renseigner sur la manière dont elle devait procéder… Les lois bretonnes étaient complexes, elle aurait donc besoin d’un spécialiste pour l’aiguiller discrètement sur la marche à suivre. Elle savait que le Père Blaise se levait toujours très tôt. Elle prit donc le temps de s’habiller d’une robe bleu clair toute simple ne nécessitant pas l’aide d’Angharad. Elle n’avait pas envie de voir son amie et bonniche avant que son plan ne soit mis en marche.
Elle traversa donc le château, rasant les couloirs, ne croisant que les quelques serviteurs s’affairant avant le réveil des bourgeois. Guenièvre finit par atteindre la salle des archives sans encombre. Le Père Blaise était effectivement là, griffonnant sur un parchemin, concentré sur sa tâche. Elle racla légèrement sa gorge afin de signifier sa présence au cureton qui releva finalement le nez de son papelard.
_ Ma Reine !? Il est rare de vous voir ici de si bon matin.
_ Oui… C’est-à-dire que j’avais une question a vous posé plus ou moins urgemment, voyez-vous ? répondit-elle, forçant un sourire sur son visage fatigué.
_ Si je peux vous aider…
_ Il ne s’agit pas de moi mais d’une amie… Elle souhaiterait se renseigner sur comment faire annuler un mariage. Quelles seraient les conditions requises ?
_ Il est très difficile voir quasiment impossible d’annuler une union au royaume de Logres… répliqua le Père Blaise en fronçant les sourcils.
_ Je m’en doute bien ! Mais quels seraient les prérequis ? Peut-être ses raisons entrent-elles dans le cadre de la juridiction !
Le prêtre, outre le fait d’être extrêmement surpris par l’éloquence de sa Reine, commença tout de même à fouiller dans son barda afin de trouver la loi demandée. Il finit par trouver un petit parchemin listant les conditions à remplir afin de rompre une union légitime.
_ Y a-t-il eu bigamie, fraude ou manque de compréhension ?
_ Pas à ma connaissance, accorda Guenièvre, feignant de réfléchir intensément.
_ Il y a aussi la non-consommation de l’union, ajouta-t-il en haussant les épaules.
_ Ce qui veut dire ?
_ Ce qui veut dire que si pour toute raison l’un des époux n’a pas été capable de consommer le mariage, cela peut donner lieu à une annulation.
Les choses de l’amour dont elle avait toujours été privée… Guenièvre ne pouvait pas mieux tomber, elle rentrait pile-poil dans cette catégorie. Néanmoins, il y avait un hic…
_ Comment est-il possible de prouver que le mariage n’a pas été consommé comme vous dites ?
Le Père Blaise fronça à nouveau les sourcils d’incompréhension. Où la reine voulait-elle en venir à la fin ?
_ Je suppose qu’un examen gynécologique effectué par un médecin assermenté, ou ce qui s’en rapproche le plus, prouvant la pureté de la femme devrait suffire.
Guenièvre hocha alors la tête comme si l’information ne lui était pas plus importante que cela…
_ Et une fois les preuves rassemblées, les époux doivent-ils signer un papier stipulant l’annulation du mariage où les preuves suffisent-elles ?
Il se pencha une nouvelle fois sur le texte de loi avant de répondre par la négative. Pas besoin de signer quoique ce soit, l’attestation et le texte de loi suffiront.
_ Je vous remercie Père Blaise de m’avoir accordé un peu de votre temps. Puis-je emprunter cette loi ? Je vous la rendrais très certainement demain après l’avoir montrée à mon amie, s’empressa-t-elle d’ajouter en voyant sa réticence.
_ Bien entendu… mais demain sans faute alors !
_ C’est promis !
La reine pris donc le parchemin, le roula délicatement avant de souhaiter une bonne journée au prêtre. Guenièvre avait bien remarqué les expressions du cureton, elle savait qu’il se doutait de quelque chose et se fit la réflexion de lire attentivement le texte de loi afin de vérifier par elle-même ses dires. Une première étape de franchie, il fallait à présent passer à la suivante… Dans ce château, il n’y avait qu’une personne qui soit familière avec les examens et autres petits bobos de l’assistance : Merlin.
Il était tôt. Le château était encore largement endormi quand Guenièvre atteignit le laboratoire du druide. Elle espérait juste qu’il serait déjà réveillé. Elle frappa donc poliment avant d’entrer doucement dans la pièce. Il n’y avait personne mais elle entendait distinctement des bruits de pas venant de l’arrière.
_ Ma Reine ? Vous êtes bien matinale aujourd’hui !
L’enchanteur remarqua alors le sourire d’agacement se peignant sur son charmant visage.
_ Je sais… J’ai besoin de vous pour une affaire assez délicate…
_ Si cela concerne la magie s’est inutile, il est nul en sortilège ! scanda Elias en débarquant dans la pièce à son tour.
_ Rassurez-vous Elias, ça n’a rien à voir ! rétorqua Guenièvre alors que Merlin ouvrait déjà la bouche afin d’enguirlander son collègue.
_ Ah ? Pourquoi donc avez-vous besoin de moi alors ?
_ Comme je vous le disais c’est assez délicat mais vous êtes la seule personne en qui je peux avoir confiance et dont la déclaration ne pourra être contestée.
Merlin et Elias se regardèrent alors à la fois surpris et curieux. Ils n’osèrent ouvrir leurs bouches, attendant que la reine se décide.
_ Je souhaiterais que vous effectuiez un examen gynécologique.
Les deux hommes ouvrirent grands les yeux.
_ Mais pourquoi donc ? et sur qui ?
_ Sur moi-même, afin de vérifier ma condition d’une part et de lever le doute sur un point en particulier.
_ Sur quel point ? demanda alors Elias, craignant ce que la Reine allait répondre…
_ Ma virginité.
_ Ma Reine… Pourquoi voudriez-vous…
_ Cela ne regarde que moi ! Mais sachez que j’aurai besoin d’une attestation signée de votre main, en fait de vos mains à tous les deux tant qu’à faire, stipulant les résultats exacts de l’examen.
_ Ma Reine… dans quel but voudriez-vous…
_ Ma question est : pouvez-vous le faire ou non ? coupa Guenièvre une seconde fois.
Pour une fois, les deux enchanteurs ne savaient vraiment pas où se mettre et restaient étonnamment silencieux.
_ Dites-le moi tout de suite si vous ne pouvez pas afin que j’aille quérir le médecin du village qui lui saura ! s’exclama-t-elle devant le mutisme des deux acolytes.
_ Très bien, ne vous énervez pas…
Sans un mot, Elias commença par dégager la table de tous les objets s’y trouvant. Ils la nettoyèrent comme ils purent avant de la recouvrir d’un drap et de demander à Guenièvre de s’y allonger.
L’examen ne dura pas si longtemps que cela : quinze à vingt minutes tout au plus, mais pour Guenièvre, qui n’avait jamais été touchée, il sembla durer une éternité. Pour la première fois, les deux enchanteurs travaillèrent de concert afin d’effectuer leur tâche du mieux possible. Elias utilisa même un ou deux sortilèges afin de confirmer leurs conclusions. Ils devaient se couvrir un maximum et être sûrs de leur résultat si jamais on venait leur demander des comptes. Ce moment gênant passé, ils se penchèrent sur une feuille de parchemin vierge et commencèrent à écrire leurs conclusions.
_ Pouvez-vous en faire trois exemplaires, je vous prie, dont un que vous garderez pour vous ?
Merlin et Elias acquiescèrent d’un commun accord et finalement tendirent à la reine ses deux parchemins attestant de son indubitable virginité.
_ Je vous remercie bien… murmura-t-elle doucement gardant encore quelques instants la tête baissée avant de la relever dignement en sortant du laboratoire.
Une fois partie, Merlin et Elias poussèrent un soupir comme si la pression s’évacuait finalement de leur corps.
_ Ça craint ça… mais là vraiment ! commenta Elias en levant les bras au ciel.
_ Je ne sais pas ce qu’il a bien pu faire cette fois… mais c’était la fois de trop visiblement… ajouta Merlin en s’appuyant sur la table.
_ J’ai toujours dit qu’elle finirait par craquer ! C’est un miracle qu’elle soit restée aussi longtemps vu comment il la traite ! poursuivit l’enchanteur vêtu de noir.
_ Je le sais bien ! Mais malgré tous mes efforts j’ai jamais pu lui faire comprendre à cette tête de mule que Guenièvre était faite pour lui !
Elias leva les yeux au ciel mais préféra ne pas répondre. Jamais au grand jamais le roi n’acceptera ce fait.
En ce milieu de matinée, le château de Kaamelott n’avait jamais paru aussi calme… C’était le calme avant la tempête.
-o-
Voilà pour ce premier chapitre ! j'espère qu'il vous plaira !
20 notes · View notes
carretera-de-mis-suenos · 9 months ago
Text
Villa Unión y Termas de Fiambala 💧
Après San José des Chacal, nous avons repris la longue route vers Salta. Nous avons refait un tour vers Rodéo avant le départ pour pouvoir refaire la sublime route que nous avions vu et nous en avons profité pour laisser de l’eau au petit temple érigé par mon père et Nico.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Suite à cela, nous avons mis le cap vers Villa Union car nous avions pour plan d’aller voir deux parcs classés par l’UNESCO : le parc Ischigualasto et le parc Talampaya. Nous voulions aussi en profiter pour aller à la Laguna Brava, un lac de fou rempli de flamands roses.
Malheureusement, Villa Union a été une grosse déception.
Dans cette zone, rien ne se fait sans guide et tout est très cher. Comptez entre 60 et 80€ par personne pour la visite des parcs qui se fait uniquement dans des bus touristiques ou dans sa propre voiture au milieu d’une caravane de véhicules. De plus, la Laguna Brava était fermée jusqu’à nouvel ordre à cause de la neige. Ici, le touriste français est vu comme un pigeon qui doit dépenser le triple de ce que dépense un local pour la moindre visite. Cette vérité était déjà assez présente sur tout le continent Argentin mais elle ne nous a jamais paru aussi flagrante qu’à Villa Union où les prix y sont exorbitants.
Nous n’avions pas envie de faire partie de cet engrenage et nous étions plutôt short sur l’argent après les réparations de la voiture. Nous avons donc fait l’impasse sur toutes ces visites et avons repris la route. A force de recherches nous avons quand même pu trouver une petite pépite à visiter totalement gratuitement : La Banda Florida, une version miniature de l’impressionnant canyon que vendait le parc Talampaya.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
De retour dans notre Doudi Cuatro en direction du Nord, nous avons fait une halte dans un petit restaurant Libanais, le tout premier de notre voyage ! Agréablement surpris par cette découverte culinaire qui nous changeait du bife et des milanaises, nous avons pris le temps de déjeuner là. C’est autour de délicieux mezzes libanais et sandwichs falafels que nous avons fait la rencontre de Georges et son épouse, les deux patrons du restaurant. Georges est un argentino-libanais qui parlait parfaitement français et avec qui nous avons discuté un long moment. C’était une rencontre passionnante durant laquelle nous avons appris plein de choses sur le Liban et sur la famille de Georges (son fils est réalisateur et il a fait un court métrage en partenariat avec l’institut du monde Arabe, rien que ça !). Avant de partir, la femme de Georges nous a donné le meilleur plan que l’on a eu depuis le début du voyage : LES THERMES DE FIAMBALA !
Ces termes cachées au milieu des montagnes, près de la ville de Fiambala, sont un plan très local et peu connu des touristes. Elles n’apparaissent d’ailleurs pas dans les résultats de recherche Google Maps quand on tape le mot « termas ». Nous nous sommes donc empressés de nous y rendre.
Nous sommes arrivés à Fiambala, une très jolie petite ville dont les alentours sont à tomber par terre tant ils sont beaux. Nous avons bu un coup sur la place en observant les centaines de motos défiler devant nos yeux. En effet, depuis la crise, tout le monde ou presque circule en moto, un moyen de transport plus économique et facile à réparer.
Nous avons pris le créneau du soir pour les thermes, 12€ par personne pour 4h à mariner dans l’eau chaude : un plan en or !
Les thermes sont sublimes. Après une fastidieuse montée en voiture dans les hauteurs rocheuses, vous vous retrouvez au milieu de 15 bassins d’eau chaude naturelle provenant directement des montagnes. Tout est en pierre, les locaux s’y prélassent en partageant les ragots du moment et vous avez même un restaurant à bon prix pour vous requinquer entre deux baignades. C’était un paradis sur terre ! Nous nous y sommes rendus le dimanche soir et malgré la foule nous avions largement l’espace pour profiter de l’endroit. Nous avons décidé d’y retourner le mardi matin pour avoir les thermes rien que pour nous.
Tumblr media Tumblr media
Après une nuit dans la pampa, nous sommes partis explorer le cañon del Indio le lundi, un magnifique canyon de pierres rouges qui s’étend sur quelques kilomètres.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Le mardi matin nous sommes retournés à 8h du matin aux thermes. Pari gagné, nous avons eu les thermes rien que pour nous pendant deux bonnes heures avant de voir quelques locaux débarquer. Un pur bonheur !
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Nous sommes repartis détendus et heureux vers Cafayate, la dernière étape avant Salta !
Je vous raconte la suite dans le prochain post.
Besitos,
Luna.
3 notes · View notes
lequotidienaunaturelshop · 11 months ago
Text
Une alimentation vivante de l'Océan
Tumblr media
Produits de la mer, naturels, certifiés.
Les algues marines, de véritables super aliments, sont de plus en plus plébiscitées par les consommateurs soucieux de leur santé et de l'environnement. En effet, elles regorgent de nutriments essentiels - vitamines, minéraux, oligo-éléments, antioxydants- tels que les protéines, le potassium, les fibres, les vitamines (dont la vitamine C ou B12 ....), le calcium, le magnésium, l'iode et bien d'autres
Mais les bienfaits des algues ne s'arrêtent pas là. Leur culture ne requiert pas d'eau supplémentaire (donc ne puisent pas dans nos réserves d’eau douce), de pesticides ni d'engrais, ce qui en fait une option durable pour l'environnement. De plus, les algues absorbent le CO2 plus efficacement que toute autre plante terrestre, ce qui en fait un allié de poids dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Consommer des algues, c'est donc non seulement bénéfique sur le plan nutritionnel, mais aussi un geste concret pour l'environnement.
Et n'oublions pas le plaisir gustatif ! le gout umami, si délicat, Les algues marines sont également délicieuses, ce qui en fait un incontournable dans une alimentation saine et équilibrée. En résumé, les algues marines sont des super aliments à inclure sans hésitation dans son régime alimentaire pour une santé optimale et un impact positif sur la planète.
Nous travaillons avec des producteurs basés sur la côte Atlantique, qui sont engagés à utiliser les ressources de manière responsable : c’est un élément majeur dans le choix de nos producteurs. https://www.lequotidienaunaturelshop.com
Vente aux particuliers et vente en gros
3 notes · View notes
romainmeynier · 1 year ago
Text
Juillet-août. De retour au travail après avoir nagé dans un lac tout juste rempli – après vidange : poissons neufs, algues fraîches, pierres non polies sur plages vides. Rien d’aimable pour le dos. En haut, une pluie bienfaisante pour l’humanité nous a poussés devant la télévision de l’hôtel, pas regardée depuis les années 10 : clips le matin, policiers le soir. Elise découvre chaque fois le coupable et dénoue les intrigues avant l’heure. Tu devrais être scénariste, lui dis-je. Je ne peux pas, me dit-elle, il faut que ça existe déjà.
J’ai filmé tout l’été en gros plan : le soleil, les traînées d’avion, et, sur la route, quand elle conduisait, les châteaux d’eau et éoliennes. On oublie le zoom moche des téléphones qui donne un grain si beau.
Actuellement dans l’openspace, donc, où une collègue présente des arguments pour la fessée éducative, que j’écoute d’une oreille distraite en tentant d’illustrer une couverture sur la psychiatrie. “Quand il pleure, je le fous sous la douche, ça le calme. C’est qui le patron ?” Je ne lui réponds plus depuis que j’ai appris à la considérer comme une entité irréelle, un PNJ ronchon sans incidence. On ne se met pas en colère contre un programme sans lien avec la suite de l’histoire.
Le soir, avant de dormir, avec Elise, nous jouons à Wikipédia. C’est au premier qui, partant par exemple de la page Citron, arrivera à Marlène Schiappa en n’utilisant que les hyperliens bleus, sautant d’une page à une autre. Elise perd souvent car elle se met à lire les articles qui l’intéressent en cours de jeu. J’étais sur la page Fromage, me dit-elle.
Quelques phrases :
Soyez vous-même, tous les autres sont déjà pris. (Oscar Wilde)
Mauve roule et n’en revient pas. Les gens sont vraiment des putains de grosses merdes, légère averse et ils font tous comme si c’était de l’acide. (Clémentine Haenel, dans Pleins Phares, à paraître le 7 septembre)
6 notes · View notes
coach-redaction-memoire · 1 year ago
Text
Tumblr media Tumblr media
2. Étape 2. La recherche exploratoire
Avant de plonger dans le vif du sujet, je tiens à t’avertir, toi qui te lance dans l’exercice de la rédaction du mémoire que cela nécessite de consentir à beaucoup de sacrifices tant dans sa vie sociale que dans ses routines habituelles.
Le mémoire un d’abord et avant tout un exercice de réflexion, de raisonnement qui nécessite de respecter une structure de pensée très rigoureuse et cohérente de la question de départ à la conclusion.
1. La question de départ.
Comme l’enquêteur débutant qui est envoyé constater un crime, l’étudiant qui se lance dans un travail de mémoire est totalement déboussolé à l’entame de sa recherche. Pour vous aider à structurer une méthode cohérente, vous devez de prime abord trouver une bonne question de départ. Celle ci servira de fil d’Ariane tout le long du travail pour ramener le chercheur à l’essentiel à chaque fois que la tentation le prendra de divaguer hors des champs de pâturage qu’il s’est délimités.
NB: je ferai une capsule vidéo pour donner des exemples simples de types de questions de départ pour vous inspirer dans cette phase.
Une bonne question de départ cherche toujours à comprendre le pourquoi d’une situation, d’un fait social ou organisationnel, d’un contexte économique ou d’un fait de droit. Faites simple alors et demandez-vous le pourquoi du problème que vous comptez étudier dans le cadre du mémoire.
Maintenant que le problème de la question de départ est réglé, vous devez mettre les pieds dans le plat et vous lancer. Imaginez que vous êtes dans la situation du soldat qui part en mission d’éclairage pour identifier le terrain sur lequel doit se dérouler des combats. Il doit identifier les points d’intérêt stratégiques et tactiques comme les cours d’eau, les reliefs spécifiques, les caractéristiques des défenses fixes et mobiles de l’adversaire, la composition de son armée etc. À l’image donc du soldat, vous devrez explorer le terrain de recherche dans lequel vous comptez vous lancer et à cet effet, je vous recommande cette démarche très simple:
a. Les lectures exploratoires.
À l’heure de l’IA et de la 5G, faire une recherche exploratoire est devenue une chose beaucoup plus simple qu’il y a quelques décennies.
Google: Allez sur Google et tapez le thème du mémoire sur la barre de recherche et mettez entre parenthèses (livres, articles scientifiques, théories). Ensuite vous sélectionnez une liste de 6 travaux que vous jugerez à priori les plus intéressants et vous les lisez de manière méthodique et en diagonale mais de manière à véritablement en pénétrer le sens et déterminer le lien avec votre thème de recherche.
IA GÉNÉRATIVES :ChatGPT OU GOOGLE BARD
L’autre approche très simple, mais tout aussi pratique est de demander à l’assistant IA de vous proposer une liste des 10 travaux (livres, rapports, articles scientifiques) les plus pertinents pour explorer sur les plans théorique et empirique les orientations de recherches à privilégier.
Il est dès lors important de comprendre le mode de fonctionnement de ces IA afin de savoir comment les utiliser pour en tirer les meilleurs résultats. Savoir écrire des prompts de qualité s’avère de facto une compétence indispensable. Mais vous pouvez utiliser ce modèle de prompt ci:
Agir comme un enseignant chercheur aguerri en situation exploratoire de sa recherche et me proposer les ouvrages les plus pertinents pour analyser la problématique relative à (vous mettez le thème du mémoire) dans le pays (identifier le pays et la période):
L’IA vous proposera ainsi une liste de travaux que vous pourrez exploiter en respectant les consignes que je donne dans ce texte.
Une fois ces travaux exploités et des notes de lectures réalisées, vous devez dès lors chercher à vous rapprocher de personnes dont les compétences sur la question sont avérées pour leur exposer vos questions sur le thème de votre recherche mais dans un but purement exploratoire. L’objectif étant de vous permettre de comprendre les enjeux du problème à étudier, les causes probables, les acteurs clés à identifier, les difficultés à anticiper etc…
À ce stade, vous devez laisser votre curiosité et votre sens critique et analytique s’exprimer. Accordez vous entre les salves de lectures et d’entretiens avec les personnes ressources, des temps de réflexion. Passez et repassez en revue le problème sous plusieurs angles en vous basant sur les données ou connaissances recueillies durant vos recherches exploratoires et à chaque fois, réalisez des notes de réflexions qui synthétisent les idées force que vous avez, les contradictions qui se posent à vous mais surtout les impasses de raisonnement auxquelles vous êtes à chaque fois confronté.
Enfin toutes ces étapes réalisées, vous avez suffisamment de matériau pour commencer la rédaction de votre projet de mémoire.
N’oubliez pas de liker et recommander. Posez vos questions dans la rubrique y relative et nous pourrons échanger sur vos travaux.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Quelques illustrations des œuvres d’art exposés actuellement à St Louis et que je vous recommande vivement d’aller voir.
4 notes · View notes
christian-dubuis-santini · 2 years ago
Text
La propagation d’un virus, à qui s’est destiné à s’y confronter (ou pas), est rigoureusement indépendante du vouloir "conscient" du sujet, et a fortiori des doublement mal nommées "mesures sanitaires" puisqu’elles ne sont ni "mesurées" ni "sanitaires", elles sont même tout le contraire de ça, délirantes pour rester dans l’euphémisme, elles constituent une insulte à l’intelligence, à la logique, et annoncent un désastre sans précédent au plan social... Non seulement le confinement, mais l’obligation fétichiste de la muselière pour tous, les "gestes barrières", la "distanciation sociale", le "couvre-feu"... tout cela ne sert strictement à rien, ne ralentit rien du tout dans ce qui est appelé "la circulation du coronavirus", mais s’avère au contraire hautement contreproductif, vous pouvez très bien embrasser quelqu’un qui est porteur du virus et ne pas le contracter, et vous pouvez vous isoler dans votre tour d’ivoire sans voir personne et vous rendre compte que vous avez attrapé le virus, c’est comme ça, à l’opposé des allégations débiles des modélisateurs qui vivent dans leur monde imaginaire bidimensionnel, la contamination n’est pas automatique, cela n’a rien à voir avec une fonction mathématique, et le sujet n’est pas réductible à une statistique, cela peut se voir confirmé désormais en examinant les résultats in vivo recueillis sur plus d’une année, des chiffres qui parlent d’eux-mêmes (Suède, Floride, Texas, Mississipi, les études hautement documentées de l’épidémiologiste le plus réputé au monde: John Ioannidis...): toutes les décisions gouvernementales liberticides sans exception ont autant de fondement scientifique pour lutter contre un virus que les danses de la pluie des indiens du far west pour se concilier les faveurs des frères nuages gorgés d’eau...
Tumblr media
D’une part il n’existe aucune étude scientifique digne de ce nom qu’une agence de santé puisse produire pour justifier la terreur sanitaire orchestrée par la sphère médiatico-politique sans se faire assigner en justice pour faux et usage de faux (le port du masque chirurgical obligatoire dans la rue par exemple), et d’autre part – last but not least comme on dit dans la langue de Shakespeare – ce que nous apprend la psychanalyse c’est que pour le sujet tel qu’il émerge de la découverte de l’inconscient, rien n’est plus difficile à admettre que cette vérité selon laquelle dans ce qui nous sera arrivé de plus réel dans notre vie, nous n’aurons jamais été que les observateurs passifs du destin, que nous soyons tombé amoureux ou malade, nous n’y avons eu aucune prise réelle, nous ne pouvions rien y faire, cela a échappé à notre contrôle, et ce à quoi nous nous trouvons forcé de renoncer dès lors, c’est à l’illusion de la maîtrise, de notre part comme de la part de l’Autre...
Voilà la raison pour laquelle nous compensons notre inquiétude quand à cette incertitude structurelle en nous agitant et en nous engageant dans toutes sortes de d’actions, de distractions, de divertissements...
Mais la peur, pour avoir été en partie refoulée dans l’inconscient, n’en est que plus présente, plus prégnante, plus réelle.
Voilà pourquoi l’idéologie joue sur cette corde sensible en se manifestant brutalement dans la profusion des "informations" destinées à inquiéter, distiller l’anxiété, cultiver la peur, produire l’effroi, afin que le plus grand nombre d’entre nous se réfugie dans une posture de victime...
"Tu es une victime!" est le message type du discours dominant, dont le destinataire se comporte effectivement comme s’il était la victime potentielle de forces irrationnelles absurdes, dans un monde devenu fou, dépourvu de sens et dangereux...
Victime, quel avantage, me direz vous?
C’est une échappatoire commode aux affres de la culpabilité!
Coupable, cela veut dire que ce qui nous arrive aura dépendu de nous, donc nous aurions pu faire (et nous pouvons faire) autrement, nous sauver nous-mêmes, en comptant d’abord sur nos propres forces...
Mais notre jouissance de nous maintenir dans notre "minorité" en attendant de l’Autre — l’État le plus souvent, Big Mother... — une réparation pour notre statut de victime, est trop forte, ce qui nous conduit aussi sûrement à la soumission que du bétail à l’abattoir.
Une psychanalyse réussie aura conclu à l’inconsistance du grand Autre, il n’y a pour le sujet rien d’autre au monde qu’un objet petit a...
Le sujet s’y retrouve dès lors conduit à assumer sa responsabilité, ce en quoi il échappe à l’impasse mortifère de l’alternative victimisation/culpabilité: être responsable cela veut simplement dire qu’il accepte de répondre de sa position de sujet comme rejet de la chaîne signifiante, qu’on le veuille ou non, de notre position de sujet, nous sommes toujours responsable, ceci constitue le fondement indépassable de l’éthique...
Si comme le note dès 1576 La Boétie le peuple "sert si bien et si volontiers qu’à le voir, on dirait qu’il n’a pas seulement perdu sa liberté mais gagné sa servitude", cela tient essentiellement au statut toujours plus en vogue, toujours plus "sociétalement" valorisé, toujours plus médiatiquement exploité de "la victime"...
Et toi, te contenteras-tu de ton statut de victime, ou te donneras tu les moyens de viser à son émancipation par la parole?
Un proverbe Hopi dit: nous sommes ceux que nous attendons...
17 notes · View notes