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Bon Matin💙🎸🎹🥁🆕️
Magdelaine 🎶 Revenir aux choses belles, fragiles
Avec Christian Bobin, Yodelice, Benjamin Biolay, Tim Dup, Philarmonie de Paris, Agnès Obel, Chilly Gonzales....
#new clip#magdelaine#christian bobin#revenir aux choses belles fragiles#bidouilleur musical#yodelice#agnes obel#benjamin biolay#philarmonie paris#music video#tim dup#clip music video#youtube#bon matin#fidjie fidjie
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@ Philarmonie de Paris
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Robert Doisneau Music
Clémentine Deroudille
Flammarion, Paris 2018, 192 pages, 19,5x25cm, ISBN 978-2-08-020374-8
euro 20,00
email if you want to buy [email protected]
Philarmonie de Paris Cité de la musique
Previously unpublished photographs and iconic portraits of musicians from the 1950s through the 1980s offer a new perspective on Doisneau's remarkable talent. Master photographer Robert Doisneau's passion for the joyful energy inherent in the music world comes alive in images that cover the musical spectrum, from classical and jazz to be-bop to the roots of modern rap and alternative rock. With camera in hand, Doisneau crisscrossed Paris to capture intimate moments with star musicians such as Eartha Kitt in a jazz club, Django Reinhardt at home, and Yehudi Menuhin backstage, or with locals at a neighborhood dance or jamming in a brass band. His portraits were commissioned for stars from Juliette Gréco to Charles Aznavour to Claude François, and a new generation of musicians in the 1980s including Rita Mitsouko and Les Négresses Vertes. This book--curated by the photographer's granddaughter to accompany an exhibition at the Philharmonie de Paris--includes more than one hundred photographs, many previously unpublished, that showcase the artist's mastery in editing, special effects, photomontage, collage, photo distortions, and splits.
05/11/24
#Robert Doisneau#music#Juliette Gréco#Eartha Kitt#Django Reinardt#Aznavour#Les Négresses Vertes#Claude françois#photography books#fashionbooksmilano
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Adrien M & Claire B | En amour https://www.artlimited.net/agenda/adrien-m-claire-b-en-amour-exposition-installation-philarmonie-paris/fr/7585599
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Costumes pour le personnage du "Tigre" et de l'"Aigle" par Jean-Marc Stehlé pour "La Flûte Enchantée" de Mozart (1791) à l'Opéra National de Paris (2000) présentés à l'exposition “Musicanimale - Le Grand Bestiaire Sonore” de la Philarmonie de Paris, janvier 2023.
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George Benjamin. Lessons in Love and Violence. Philarmonie de Paris, 12 octobre 2023.
PARTITIONS, NOTES (AUTOMNE 2023)
1-Lessons in Love and Violence, George Benjamin/Martin Crimp. Le 12 octobre 2023, Philarmonie de Paris, dans le cadre du festival d'automne. Direction du compositeur. Mise en espace. Ce qui est frappant : l'opéra et ses effets reculent devant la musique et la simplicité des enjeux de disposition et de mise en scène. Éclatent la complexité des moyens musicaux mis en oeuvre, et la richesse et la variété instrumentale. Très belle précision de la direction, renforcée par l'extraordinaire acoustique de la salle. Exemple : les éléments de percussions qui rythment l'ensemble, très curieux, sons rares à peine perceptibles. Renforcé également : la gémellité des deux barytons (Stéphane Degout, le roi et Gyula Orendt, Gaveston, son amant) qui sont très simplement rapprochés, et comme tendrement unis, par leurs voix (scène 6, entremêlement des voix, et aussi de nombreux moments de superposition. Rares duettos). Jouer des contrastes cependant, dans une même tessiture : prouesse.
Tout est bien là-dedans : progression dramatique sans effets, par la seule musique ; le pouvoir royal (arbitraire), bien rendu, avec ses basculements tragiques : l'amour vaincu, la rigueur (compréhensible, il s'agit de sauver l'État) de Mortimer, qui se transforme en dictature ambitieuse. Aimé aussi : le jeune homme, qui devient roi en remplacement de son père. Cruel à la fin, dont le rôle s'épanouit à ce moment seulement, sans pitié pour sa mère. Joué (ténor : James Way) avec retenue (donc : glaçant). A la fin, le jeune roi a interdit la musique. Puis, théâtre dans le théâtre, on représente une conspiration, où l'amant du vieux roi apparaît comme un spectre. Le spectacle condamne la reine...Un nouveau tyran est né. Ce seront donc les mêmes jeux de pouvoirs, la même cruauté, mais l'amour en moins.
Curieux aussi : le ton grave et guerrier du cor/Dissonances des timbales/longs moments de cordes pincées/un diminuendo de castagnettes/des accès violents et emportés à la harpe (surprenant). Deux harpes/Absence de mise en scène classique opéra : excellente compréhension musicale, élucidation et exposition de chacun des personnages très bien rendues. De ce point de vue la direction de George Benjamin est détaillée, très claire.
Lent retour, très tranquille. Songeur bien sûr. Taboulé frais vers Laumière. Soirée heureuse.
2-Lohengrin. Wagner, mise en scène Kirill Sebrennikov. Opera Bastille, samedi 14 octobre 2023.
Vu il y a peu, avec Jenny, à Valence, La femme de Tchaïkovski du même Sebrennikov, précieux et maniéré, mais qui témoignait d'un univers chargé et lourd, décoratif et outré qui pouvait bien convenir à Wagner, me semblait il. Heureux d'être là, à saisir peut-être une occasion de rentrer dans Wagner, qui ne m'a jamais vraiment emballé (fatras mythologique, embardées sans joie, religiosité et grandiloquence musicale etc...). Mais ratage à peu près total, évident dès les premières scènes. Il m'a semblé que la direction d'orchestre était trop étale et ne variait pas ses effets. Pas de grâce des héros, pas de liberté face à leur destin (ils ne 'jouent' rien, donnés d'avance...Sans doute : la guerre, incessante et oppressante, ne leur laisse-t-elle pas le choix) Le choeur, par exemple, 'suit' la pièce, ne transforme rien, ne pèse sur rien. Grandeur, certes, et ampleur mélodique, mais à quoi on ne s'attache pas. Le fracas de la guerre, son décor, ses ruines, (qui ne sont pas dans le livret), insistant, emportent tout.
La mise en scène surtout est morcelante, diffractée et parfaitement envahissante. Sebrennikov nous impose trois (!) Elsa, comme démultipliées, dont deux danseuses, agitées. Simplisme des choix et décors, des oppositions : héroïnes chevelues/tondues, par exemple. Une croix lumineuse, aussi, dont notre orthodoxe ne peut se priver. Des sabres laser...La video répète les scènes, certaines projetées à l'envers. La division de l'espace, en lieux de projection distincts, force à la dispersion et heurte la réception (du chant en tout cas) : on y perd la ligne chantée, bien sûr...Ces pièces d'un appartement sont autant de cases et de cages (on rajoute même des cloisons) qui empilent les éléments dramatiques, qui dispersent le regard et l'attention, un vrai labyrinthe de points de vue. Un gros plan insistant sur un tourne disque est gênant. On a même droit à un cercle de lumière = le cercle des dieux : tout ce qui apparaît comme des artifices de remplissage, littéraux. Je ne suis pas mélomane, mais il me semblait que l'orchestre n'arrivait pas à suivre, et pataugeait. Lohengrin : héroïsme des forêts et des grands espaces, qui est ici rapetissé à de trop nombreuses scènes d'intérieur.
J'assiste au désastre sans plus prendre de notes, à partir du moment où j'ai compris ; ne prends pas la peine de vérifier que tout sombre dans les dispositifs choisis, avec constance. Le tout est écrasé par la guerre, Lohengrin en soudard de journal télévisé, épais, aux déplacements sans grâce. Mais la vidéo est charmée par un jeune homme (effet publicitaire et homoérotique). Drame guerrier, contemporain, qui oublie la légende du chevalier au cygne, dont on a perdu la jeunesse. Je suis sans doute passé à côté du Lohengrin de Piotr Beczala, dont un article confus du Monde, lu après coup, m'apprend que c'est un grand wagnérien. Regrets supplémentaires, donc.
Payé trop cher (183 €, me force à l'économie pour le reste de l'année). Regrette mon argent. Bien placé cependant.
3-La femme sans ombre, Richard Strauss, opéra de Lyon, dimanche 22 octobre 2023, mise en scène Mariusz Trelinski. Direction Daniele Rustoni. Une grande 'machine', peu montée et réduite ici à un orchestre disons...normal. Pour une musique très riche, variée, sonore et éclatante.
Le livret est mythologique, féérique, et ça éclate dès la mise en place, dès les premières notes : une gazelle, fille du roi des esprits est blessée à la chasse par l'empereur ; elle est transformée en femme, qu'il aime. Elle vit au palais, mais rêve du royaume des humains, où elle doit chercher une ombre. Mais elle doit enfanter, sinon l'empereur sera pétrifié. Tout le spectacle va être marqué par la féérie du lancement. Très beau tout au long. Atmosphère magique et mythologique, féérique donc, à quoi s'oppose le prosaïsme du monde des humains, que l'héroïne veut rejoindre. La pièce est au point de rencontre des deux mondes, décors et chants, héros et héroïnes. Le décor est tournant : parfois dépouillé et sombre chez les dieux, et au contraire sordide et encombré chez les pauvres hommes/prolos : superbe rendu de cette situation de départ, tension tenue tout au long, les deux mondes sont constamment exposés, et opposés. La mise en scène tient les deux bouts de l'intrigue.
Passer de l'autre côté du miroir, accéder à sa véritable nature, pour l'impératrice, et, pour le teinturier et sa femme, ne pas tuer, rester du côté des humains et de la vie ...Le monde des dieux est radical, c'est celui des idées, de l'idéal qui dicte sa loi ; le monde des humains est bienveillant, hésitant, mais sûr finalement de sa vraie nature. Au point de rencontre des deux monde, la tragédie, forcément. Exemple : la nourrice (Lindsay Ammann, glaçante, très dure dans les aigus), guide de l'impératrice semble être la maîtresse de la nuit, très beau rôle, voix inquiétante. En regard, de l'autre côté du miroir, la très belle voix de basse, envoutante de Barak (Joseph Wagner), prolétaire au grand coeur, magnanime et généreux : 'je ne t'en veux pas/mon coeur est joyeux/Ich zürne dir nicht/Bin freudigen Herzens' (à sa femme qui se rebelle et ne veut pas d'enfant, au premier acte)
Très beau final : Barak : 'je vais chanter la joie/comme personne ne l'a chantée/Je vais travailler/comme personne n'a travaillé' (Nun will ich jubeln/Wie keiner gejubelt/Nun will ich schaffen/wie keiner geschafft). A quoi répond l'impératrice : 'Toutes deux élues/pour jeter une ombre/Toutes deux trempées/A la flamme de l'épreuve (Schatten zu werfen/beide erwält/Beide in prüfenden/Flammen gestählt) Importance et grande beauté (très conclusive) de ce final dans mes notes, que je complète ici de la citation exacte, prise dans le programme.
Suivre Joseph Wagner, très belle voix de basse, qui emporte le reste, qui tire vers les vibrations intimes, convaincant, chaleureux. Il insiste dans le final : 'à la flamme de l'épreuve...' (sous entendu, l'épreuve du monde...) Très beau.
Impeccable ouverture de saison à Lyon. J'ai distrait ce billet de mon abonnement offert par Jenny au prochain Noël. Vif plaisir, qui dure. Voyage (train) avec Patrick Bombrun, tout à sa passion opératique. Amical.
4-La Esmeralda, de Louise Bertin, à l'opéra de Saint-Etienne, mardi 7 novembre 2023, avec Anna et Liam. Mise en scène de Jeanne Desoubeaux. Avant les Bouffes du Nord, à Paris, en décembre. Réduction de la partition à un court ensemble chambriste, bien, précis tout au long, mais insuffisant à 'porter' le drame, perdu dans un spectacle de grand guignol.
Choisi pour Hugo et Notre Dame de Paris, pour 'montrer' à Liam : grande différence avec Hansel et Gretel, même endroit, qui lui avait tant plu la saison dernière.
Rareté de Louise Bertin , femme compositrice (en 1836.) Unique livret d'opéra de Victor Hugo. Direction de Berlioz à l'époque. Bref un morceau d'histoire : on y traîne le petit fils, qui se laisse faire, volontiers.
Décevant. Manque d'ampleur et de moyens. Pas de belle voix. L'aimantation d'Esmeralda n'opère pas, sans désir objectif : Esmeralda est une jeune femme sans charme, mal sapée : on ne comprend pas le basculement de tous les hommes confrontés à sa beauté, mal rendue. Pas de grâce dans les mouvements, et pas d'envoûtement par le chant. Le viol d'Esmeralda est confus, très mal rendu (sous-vêtements couleur chair de contre-sens), avec un Phoebus bien peu dangereux, et approximatif tout au long, à la gestuelle par trop vulgaire et caricaturale. Frollo s'éjacule dessus : ça va bien comme ça.
On commence (trop long) par une cour des miracles (pauvres costumes, chorégraphie courte et confuse) qui alourdi tout le début et mélange tout : pas d'effet de contraste : laideur populacière//séduction du beau monde. On ne se relève pas de ce début laborieux. D'autant qu'une scène doublonne : une ripaille de cabaret, vraie redite. Dans les deux cas, un Quasimodo anecdotique et banal, qui ne signe pas l'amour fou du petit peuple pour une Esmeralda, dès lors sans soutien, qui sera laissée aux crimes (sexuels)(de premier degré) de Frollo et Phoebus.
On s'ennuie tous les trois, mais on décide que c'était une bonne 'sortie'...Prévu : Brundibar à Lyon, avec Liam, en mai...
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music | Philip Glass / EINSTEIN ON THE BEACH at Philarmonie de Paris
Nov 23 - Nov 26 Grande Halle de La Villette, duration: approximately 3h30
Opera by Philip Glass and Robert Wilson Booklet by Christopher Knowles, Samuel M. Johnson, Lucinda Childs André de Ridder, musical direction Jürg Henneberger, musical director Susanne Kennedy
When they created Einstein on the Beach in July 1976 in Avignon, Philip Glass, Bob Wilson and Lucinda Childs launched a monumental pave into the operatic pond, while returning to the sources of the genre: the myth.
To ancient mythologies, the three creators however prefer a modern mythology: that, founding, of our societies of the atom and space: “[Einstein on the Beach] speaks of this character, of this mythical god that man of the street knows as well as the ancient Greeks knew the gods of Olympus in the time of Euripides,” says Bob Wilson. And, in fact, to make the scientist appear on stage, all it takes is a few emblematic images: a mustache, wild, graying hair, deep dark circles, a stuck out tongue, a violin… For his part, Phil Glass draws on his experience Hindustani music, which he studied in particular with the great Ravi Shankar, giving the work an almost liturgical ritual aura.
Production Theater Basel (Basel) in collaboration with the Berliner Festspiele (Berlin) and the Wiener Festtwochen (Vienna).
Co-directed by La Villette (Paris), Festival d'Automne à Paris, Philharmonie de Paris.
Einstein On the Beach by Philip Glass, Robert Wilson, © 1976 Dunvagen Music Publishers Inc,
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benhoward_ gram
Heading back out on the road again!
Starting off in Europe this Spring...
MAY
18 – La Riviera, Madrid
19 – Santana 27, Bilbao
20 – Palacio de Congresos, Santiago de Compostela
22 – Coliseu Lisboa, Lisbon
23 – Coliseu Porto, Porto
25 – Razzmatazz, Barcelona
26 – Le Rocher de Palmer, Bordeaux
JUNE
15 – Fairview Park, Dublin
19 – Carré Theatre, Amsterdam
20 – Carré Theatre, Amsterdam
30 – Rock Werchter, Werchter
JULY
1 – The Mount, Wasing
2 – Down the Rabbit Hole, Beuningen
4 – Philarmonie de Paris, Paris
6 – Arena Wien, Vienna
7 – Pohoda Festival, Trenčín
9 – Sexto ‘Nplugged, Sesto Al Reghena
11 – Žluté Lázně, Prague
12 – Progresja Summer Stage, Warsaw
14 – Zitadelle, Berlin
15 – Stadtpark, Hamburg
17 – Tonhalle, Munich
18 – X-Tra, Zurich
21 – SWG3 Yard, Glasgow
22 – Alexandra Palace Park, London SOLD OUT
23 – Cardiff Castle, Cardiff
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Le concert de Gilberto Gil à la Philarmonie de Paris à revoir sur France 4 lundi 20 février 2023
http://dlvr.it/SjcQ5D
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Orchestra Santa Cecilia conquista Parigi con Pappano e Olaffson - Musica
“Bello fine e delicato”: grande successo a Parigi per l’Orchestra di Santa Cecilia che si è esibita alla Philarmonie de Paris con la direzione di Antonio Pappano e con la star islandese del pianoforte, Vikingur Olafsson. Dal 23 gennaio Pappano e l’orchestra dell’Accademia di Santa Cecilia – tra le più prestigiose e antiche al mondo – hanno solcato alcuni dei palcoscenici più celebrati…
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Jusqu’au 11 juin 2023, l’exposition « Fela Kuti rébellion afrobeat » à la Philharmonie de Paris nous immerge dans l’univers foisonnant du célèbre musicien nigérian. L’artiste fascine. Sous l’influence de ses racines Yorubas, du funk et des jazzmen Miles Davis, Charlie Parker et John Coltrane, il invente l’afrobeat, une musique à la rythmique entêtante, qui plonge les auditeurs dans une transe éveillée. Ses Queen danseuses aident à l’hystérie. Cette musique est à danser et … à penser. Eveillé à la politique par le black Panther party, Fela Kuti conçoit sa musique comme une arme du futur. Ses textes sont le cri du coeur des exclus nigérians. Ses albums dénoncent la corruption et la brutalité des élites politiques, militaires ou économiques nigérianes. Sur scène, les deux points levés, symbole du black power, il fustige les mentalités néo coloniales qui appauvrissent son pays. Il rêve de l’unité africaine et se présente à l’élection présidentielle du Nigéria avec son parti, le Movement Of People. En publiant sa vision de la reconstruction économique, culturelle, sociale, politique et idéologique de son pays, il franchit le Rubicon. La junte en place brûle sa maison, baptisée République de Kalakuta, et l’emprisonne. Ses séjours en prison sont nombreux. Il y est torturé. Il meurt à 58 ans du sida. Il laisse au Nigéria une empreinte indélébile entretenue par son fils. FELA For Ever Lives Africa Vous appréciez mes idées de sorties culturelles ? Choisissez votre prochaine exposition en vous abonnant à mon compte Instagram paris_aimelart @philharmoniedeparis @felakutiofficial @femiakuti @blklivesmatter @paris_aimelart @paris @timeoutparis @quefaireaparis @paris.explore @paris_art_com @artaparis @paris_culture @expositionparis.info @paris_love_street @parismusees #philharmoniedeparis #felakuti #afrobeat #afrobeatmusic #felakutirebellionafrobeat #nigeria #jazzmusic #blackpantherparty #parisaimelart #paris_aimelart #parisexpos #parisexposition #exposparis #paris #exposition #parismusees #parisculturel #quefaireaparis #artparis #parisart #parisjetaime #parislife #parissecret #parisianlife (à Philarmonie De Paris) https://www.instagram.com/p/Cn2KPIvoF62/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Philharmonie de Paris, Jean Nouvel, Détails
Septembre 2022
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Pierre et Gilles@La fabrique Des idoles - Philarmonie de Paris Conçue comme une installation musicale et visuelle, cette exposition explore l’univers de Pierre et Gilles au long d’un parcours réunissant une centaine de leurs peintures-photographies, mais également de nombreux objets et documents vidéo.
Pierre et Gilles ont photographié et sublimé plusieurs générations de célébrités, d’Étienne Daho à Stromae, de Sylvie Vartan à Nina Hagen, de Claude François à Marilyn Manson, de Lio à Madonna.
Cette exposition conçue comme une installation musicale et visuelle dévoile les secrets de leur fabrique des idoles. Une centaine de leurs peintures-photographies sont réunies, dont certaines exposées pour la première fois. Un juke-box de chansons, deux cents objets issus de leur atelier, des pochettes de disques et des vidéo-clips complètent cet éclairage inédit sur l’histoire d’amour qui lie les deux artistes à la musique.
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Adrien M & Claire B | En amour https://www.artlimited.net/agenda/adrien-m-claire-b-en-amour-exposition-installation-philarmonie-paris/fr/7585599
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