#bidouilleur musical

[fidjiefidjie]

Bon Matin 🎹 🎻🥁🗣

2️⃣0️⃣2️⃣5️⃣

Magdelaine 🎶 Happy New Year

Avec Albin de la Simone, Abba, Depeche mode, Lino Ventura

[nnjzz]

ALAN COURTIS + RAVI SHARDJA + MUSHROOMS MAKE MUSIC + EAU DE SOURCE

SAMEDI LE 05.10

ALAN COURTIS ar RAVI SHARDJA fr MUSHROOMS MAKE MUSIC fr EAU DE SOURCE fr

OLYMPIC CAFÉ 20 rue Léon  75018 M° Château Rouge

20:00 portes

20:45 ACTION!

P.A.F. 6€

ALAN COURTIS arCompositeur / improvisateur / instrumentiste / bidouilleur de sons et d'instruments / dispositifs sonores / éducateur-psychothérapeute sonore / chaman à ses heures.

A étudié la guitare classique, le piano, la composition et les sciences de la communication.  ��

Membre co-fondateur des mythiques Reynols, membre permanent de 'L'Autopsie A Révélé Que La Mort Était Due À L'Autopsie, il a publié des dizaines ( centaines ? ) d’albums et joué avec une multitude quasi infinie de musiciens.ne.s et non-musicien.nes plus illustres les un.e.s que les autres  ( Pauline  Oliveros, Lee Ranaldo, The Nihilist Spasm Band, Damo Suzuki,  Makoto Kawabata, Eddie Prevost, Mats Gustafsson, KK Null, Richard Bishop, Yoshimi P-Wee, Masonna, Günter Müller, Jason Kahn, Toshimaru Nakamura, Solid Eye, Thomas Dimuzio, Rudolf Eb.Er, Kouhei Matsunaga, MSBR, Yoshida Tatsuya, Tetuzi Akiyama, Lasse Marhaug, Ashtray Navigations, Michael Snow, Birchville Cat Motel, Stilluppsteypa, The New Blockaders, Avarus, Kemialliset Ystävät, etc,  etc, etc (etc).

Sa musique s'articule autour de manipulations in situ de sons préparés, d’interventions sur cassettes / bandes, de traitements de field recordings, concoction de bourdonnement ( drones ) plus ou moins cosmiques, de soli de guitare (ou autre instrument à cordes) électriques ou pas, de détournements d’objets divers, cymbales, synthétiseurs ou outils informatiques, mélangeant l'acoustique à l'électronique, le pataphysique et le banal. NB / Son expérience avec Reynols - groupe formé autour de Miguel, jeune percussionniste-vocaliste atteint du syndrôme de Down - lui a servi d'inspiration, en lui permettant de développer sa propre méthode pour la suite de ses activités dont une bonne partie consiste à créer de la musique avec des personnes atteintes d'un handicap mental. Cf. ses multiples concerts et projets ponctuels comme Mumbling Wolves (UK), Les Harry’s de l’Hôpital de jour d’Antony (FR), DNA? AND? (NO), Club Théo Van Gogh (BE), Institut René Thône (BE), Ampliflied Elephants (AU), Electroability Stavanger (Norway), Daddy Antogna y los de Helio (AR), etc. https://anlacourtis.bandcamp.com/album/tape-works

RAVI SHARDJA fr "Maître Ravi Shardja est un être rare. Sa parole musicale cryptique, tripante et profonde est tout aussi bien inspirée par les expériences de Christoph Heemann période HNAS, Cabaret Voltaire première manière, le kraut le plus obscur que par les musiques carnatiques d'Inde du Sud. Il faut donc éprouver cette offrande pour ce qu'elle est : un pur délire mescalinien à faire passer Enter the void pour un téléfilm M6. "  Si c'est Félix Gatier, le honcho du label L'Eau des Fleurs, qui dit ça : il doit y avoir quelque chose ! 

Le dernier album de RS " Quatre soliloques " est sorti sur ledit label tout juste avant l'été.

" Le schéma est simple et déterminant : un dispositif électronique similaire pour un instrument joué à chacun des soliloques pour une musique directe et introspective, au gré de mes états psychiques. En l'occurrence, une lap steel guitar, une sanza électrique et une guitare basse. Trois instruments pour quatre soliloques, car ici il n'y a pas de logique numérique. La guitare basse parle seule deux fois sur la face S, et c'est ainsi. La parole est bannie. « Quatre soliloques » sans voix ni mots : le titre peut paraître paradoxal, j'en conviens. Toutefois, il aura fallu pas moins de quatre tentatives instrumentalisées pour essayer de traduire le fil de mes émotions et de mon intellect. "

" ( ... ) "le soliloque des pouces " , une très belle plage sonore mélodique clôturant l'une des deux faces, et qui aurait trouvé sa place, aux côtés de la musique expérimentale de Stanley Levine, au milieu de "We Can't Go Home Again", le film expérimental de Nicholas Ray... " 

( Philippe Robert / merzbo_derek ) 

Un live pour " lapsteel guitar / basse/  électroniques." dans l'esprit de l'album donc en perspective.

RS - qui est aussi dans une vie parallèle et sous son vrai ( ? ) nom civil, compositeur de musiques de films -  pratique en solo une forme de musique décalée / mutante / déviante " et plus ou moins free et il lui arrive aussi de faire de même ou pas du tout pareil au sein de différentes formations dont il est un éminent membre telles que GOL, Couloir Gang, Art & Technique, ou, plus récent, WolfLand. Il joua notamment avec Tony Allen, Jello Biafra, Charlemagne Palestine, Charles Hayward, Iancu Dumitrescu, Ghédalia Tazartès, Brunhild Ferrari, Günther Schickert, Vincent Epplay... .. 

https://www.youtube.com/watch?v=lOV_s4pVIUo

https://www.youtube.com/watch?v=6Ch3TsrZe2w

MUSHROOMS MAKE MUSIC fr " Les champignons ne se contentent pas de pousser silencieusement sous nos pieds ; ils tissent des connexions, des flux d’énergie que nous pouvons traduire en sons. Ces sons, eux-mêmes, sont comme des récits, à la fois intimes et collectifs, émergeant du sol pour nous rappeler notre interdépendance avec des formes de vie que, souvent, nous ignorons. Dans ces réseaux souterrains où les filaments s’étendent, où la matière vivante communique en secret, il y a une dynamique subtile qui touche à nos propres structures humaines : des systèmes de pouvoir, des hiérarchies écologiques, des dialogues impossibles. MMM propose une musique improvisée à la croisée de la science et de l’art, ne se limitant pas à une exploration d’impulsions sonores, le quatuor interroge notre propre existence au sein d'un écosystème plus vaste, où chaque être joue un rôle, même ceux que l'on ne voit pas. MMM invite à regarder de plus près nos interactions avec la nature, à questionner ce que signifie vivre en réseau avec d'autres formes de vie, et à réévaluer nos interactions dans les systèmes complexes. "

Nouvelle formation composée de : Sig Valax - Persephone + Électronique Christian Delecluze - Field Recordings + Électronique David Lara - Senza, Bol Tibetain + FX Olivier Lasson - Électronique (Enner ou Pulsar23), Petits objets

EAU DE SOURCE fr

Meryll Hardt (alias Eau de source) a fabriqué son propre proto-instrument de musique, lors d'une recherche-création dédiée à la voix et l’ensemble vocal artificiels. À la manière d’un thérémine polyphonique, il met en jeu un dispositif de hand tracking et Max msp. En direct et en différé, sans claviers et sans boutons, les sons de la voix, mais aussi d’autres sons  (de l’oscillateur à la bagarre de chats) sont manipulés dans l’éther, par les doigts de la main.

Artiste pluridisciplinaire (performance/installation, cinéma et musique), Meryll est passée récemment par un Master en Création Musicale et Arts Sonores (Univ. Gustave Eiffel et Ina GRM). https://www.instagram.com/meryll_hardt/

Fly - Jo L'Indien

[floppydics]

Vous savez comment ça se passe quand on veut choper un bouquin et que l’entièreté de la bibliothèque vous dégringole sur le coin de la gueule. Et bien c’est la même chose avec les rééditions australiennes vaguement “wave” des années 80. Pas moins de quatre disques très étonnants sortis indépendamment les uns des autres rien que cet été, et une subite envie d’aller tronçonner l’arbre qui cache la forêt de l’imaginaire en slip kangourou...

D’où ce micro-mix à options multiples :

Côté synthé/new age, il faut absolument écouter le Cool Change de Peter Westheimer (Left Ear Records), compile géniale de morceaux choisis et d’inédits d’un mec qui fût tour à tour médecin, acteur et politicien mais absolument pas relou question musique. Bien plus lo-fi qu’un Eric Serra, il ne faudra pas beaucoup d’imagination non plus pour voir en lui l’un des pères spirituels de John Maus. Ce disque m’a tenu au frais tout l’été et devrait continuer à faire le taff en arrière saison sans problème.

Pour la disco-déconne, on s’en réfèrera plutôt à Asphixiation (What is This Thing Called ‘Disco’ ?, Chapter Music), one shot conceptuel torché en cinq jours par un gamin de vingt balais à peine, déjà gloire locale à l’orée des années 80 et artiste multi-talents en devenir. Un projet qui, s’il tient plus du post-punk et de l’électronique parfois dure, n’en demeure pas moins charmant à l’oreille et plutôt bien ficelé pour un truc qui se veut second degré.

Les pop-wavers pur jus, quant à eux, se retrouverons peut-être dans les recherches mélodiques d’Ironing Music (Ironing Music, Medical Records). Ces démos restées longtemps dans des placards et concomitantes d’une carrière avortée restent d’une modernité indéniable et sont emplies de bonnes idées. Dommage juste que ces idées soient bouffées par une franche exaltation toute juvénile qui finit à la longue par courir sur le haricot. Mais de belles fulgurances malgré tout.

Enfin, en guise de numéros complémentaires, on pourra se pencher sur la compilation OZ Waves (Efficient Space) qui offre un panorama intéressant de ce que l’underground australien semblait proposer en cette fameuse décennie. Le spectre est assez large, entre artistes bidouilleurs et d’autres plus accessibles qui auraient franchement pu casser la baraque dans les milieux autorisés. Des rendez-vous manqués à mettre autant sur le compte de l’insularité que sur celui de tirages ridicules. Double peine donc. Aussi saluons le boulot des défricheurs de l’extrême pour ces coups de projos fort salutaires.

[alagrandepasserelle]

ça se passe en février 2019

Jusqu’au 24 février à la médiathèque EXPOSITION « SOUS-VITRINES / COLLECTION HIVER »

Les vitrines des espaces Patrimoine/Mer Marine de la médiathèque présentent chaque saison une sélection thématique choisie parmi les des documents conservés dans les réserves patrimoniales. Au programme cet hiver : une balade sur le sentier des douaniers, la découverte d’un ouvrage d’exception de Marin-Marie acquis en 2018, à moins que vous ne préfériez rejoindre les équipages et les états-majors sur le pont d’un navire du début du 19e siècle.

Accès libre.

Samedi 2 et dimanche 3 février de 14 h à 17 h 30 à la médiathèque FESTIVAL DES LIBERTÉS NUMÉRIQUES

Samedi 2 février LIBÉRER SON PC !

L’Atelier de la Flibuste vous invite à venir découvrir des alternatives libres et gratuites à Windows, Office et les outils Google afin de ne plus être dépendant des grandes sociétés du numérique.

Tout public. À partir de 12 ans. Sur inscription à la médiathèque.

Dimanche 3 février COMMENT PROTÉGER SES DONNÉES PERSONNELLES ? DES DONNÉES PERSONNELLES AU BIG DATA : LES ATELIERS PARTICIPATIFS

Votre ordinateur, votre téléphone, vos comptes de réseaux sociaux savent beaucoup de choses sur vous et vendent ces informations. Les membres de l’Atelier de la Flibuste vous présenteront comment éviter que vos petites données ne finissent dans le Big Data. Pensez à apporter votre ordinateur et/ou votre téléphone portable.

Tout public. À partir de 12 ans. Sur inscription à la médiathèque.

Dimanche 3 février de 14 h 30 à 17 h 30 au 4e lieu APRÈS-MIDI JEUX

L’univers des nouveaux jeux de société est beaucoup plus vaste, riche et varié que vous ne pouvez l’imaginer. Partant du principe que l’on n’arrête pas de jouer parce qu’on vieillit, mais qu’on vieillit parce qu’on arrête de jouer, les animateurs du Corsaire Ludique vous le confirment une fois par mois à La Grande Passerelle !

Accès libre

Mercredi 6 février à 15 h et 16 h 30 au 4e lieu CONTE MUSICAL : LE PETIT SOLDAT DE PLOMB

Par l’ensemble des flûtes traversières du Conservatoire Claude Debussy

Un petit garçon reçoit en cadeau une boîte de 25 soldats de plomb. L’un d’entre eux est différent des autres, il n’a

qu’une seule jambe... Les élèves du conservatoire interprèteront les aventures de l’intrépide soldat et de la petite danseuse, avec la voix complice de Marc Botrel.

Accès libre. À partir de 4 ans. Durée : 35 min

Mercredi 6 février à 15 h 30 à la médiathèque QUI LIT RÊVE À LA PASSERELLE

Une plongée dans des histoires à rire, à rêver, mais aussi à frissonner ! Une garantie de menus surprise à partager sans modération, entre petits et grands !

Accès libre. À partir de 3 ans, accompagnés d’un adulte.

Jeudi 7 février à 18 h 30 au 4e lieu

CONFÉRENCE HISTOIRE DE L’ART, PAR L’ACADÉMIE MALOUINE D’ARTS PLASTIQUES   > ANNULÉE

Du 8 février au 3 mars JAZZ À LA GRANDE PASSERELLE

La Grande Passerelle accueillera cette année encore les artistes phares du festival Jazz à l’Étage. Savourez les trois concerts-rencontres exceptionnels proposés au cœur de la médiathèque, initiez-vous aux percussions avec l’immense Bijan Chemirani, explorez l’exposition photographique de Sophie Le Roux, (re)découvrez le talent des musiciens malouins, profitez de la programmation cinéma du Vauban 2… Une programmation décidément très riche construite autour des grands noms qui font l’actualité du jazz.

Programmation complète  http://alagrandepasserelle.tumblr.com/post/182470703503/jazz-%C3%A0-la-grande-passerelle

Samedi 9 février à 10 h 30 à la médiathèque LES PETITES OREILLES DE LA PASSERELLE

Le rendez-vous des tout-petits et des adultes les accompagnant : parents, grands-parents…

Un bain de lecture et de partage en quelques mots, quelques notes et une petite pause tout en douceur dans le monde de l’imaginaire…

Accessible aux enfants âgés de 0 à 3 ans, accompagnés d’un adulte.

Gratuit, sur inscription à la médiathèque (places limitées).

Samedi 9 février de 15 h à 17 h à la médiathèque ATELIER : "ÉCOUTE LE MONDE"

Avec Electroni[k]

La Grande Passerelle fait appel à un nouveau partenaire : jusqu’au mois de juin, Electroni[k] vous propose de

nouvelles expériences musicales… Accompagné de Benjamin le Baron, artiste et bidouilleur sonore, participez à la composition de portraits sonores des lieux emblématiques ou méconnus du quartier de la Gare. De l’enregistrement des sons à l’écriture du scénario jusqu’au montage, réalisez une cartographie sonore pour (re)découvrir votre ville par l’oreille.

Adultes et enfants à partir de 10 ans.

Participation gratuite, sur inscription à la médiathèque.

Dimanche 10 février au Vauban 2 FESTIVAL TRAVELLING

Cette année encore, Le Vauban 2 accueille le festival Travelling et pour cette édition anniversaire (30 ans), l’équipe du festival propose un tour du monde cinématographique avec escales au cœur des villes – monde !

L’édition 2019 rendra hommage aux films et cinéastes emblématiques des plus grandes cités de cinéma et fera la part belle aux jeunes auteurs de villes émergentes façonnées par la mondialisation : 30 villes-mondes / 30 villes-cinéma ! Au programme : Les aristochats de Wolfgang Reitherman, Les bonnes manières de Juliana Rojas et Marco Dutra, Les ailes du désir de Wim Wenders et la projection du film Derniers jours à Shibati en présence de son réalisateur Hendrick Dusollier.

Du 13 février au 5 mars au Vauban 2 FESTIVAL TÉLÉRAMA ENFANTS

3.50 € la séance pour tous, avec le Pass dans Télérama ou sur le site telerama.fr

Samedi 16 février de 14 h à 17 h 45 à la médiathèque INSTALL PARTY : DÉCOUVERTE D’UN RASPBERRY PI, L’ORDINATEUR QUI A LA TAILLE D’UNE CARTE DE CRÉDIT

L’Atelier de la Flibuste vous propose de venir vous initier au Raspberry Pi pour faire vos premiers pas en programmation informatique. En parallèle, les bénévoles vous proposeront des alternatives libres et gratuites pour changer votre système d’exploitation et tous les outils nécessaires à vos activités numériques.

Tout public, à partir de 12 ans.

Participation gratuite, sur inscription à la médiathèque.

Jeudi 21 février à 18 h au Vauban 2 LES RENCONTRES LITTÉRAIRES DE L’ENCRE MALOUINE : YAHIA BELASKRI

Après des études de sociologie, Yahia Belaskri travaille aux ressources humaines dans diverses entreprises algériennes puis se tourne vers le journalisme. Un an après les événements du 5 octobre en Algérie, il vient vivre en France où il devient journaliste à Radio France Internationale (RFI). Il écrit de nombreux articles sur les relations franco-algériennes, l’immigration et le dialogue des cultures dans le bassin méditerranéen. Romancier, il publie Le bus dans la ville en mars 2008, Si tu cherches la pluie, elle vient d’en haut, qui obtient en 2011 le Prix Ouest-France Étonnants Voyageurs, Une longue nuit d’absence en 2012, Les fils du jour en 2014, et cette année Le livre d’Amray aux Éditions Zulma.

Yahia Belaskri est un humaniste, dont le propos réveille les consciences par ce rêve de fraternité qui illumine tous ses livres.

Accès libre, dans la limite des places disponibles.

Samedi 23 février de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h 45 au 4e lieu L’INVENTION DU CINÉMA

Avec L’oeil d’Oodaaq

À partir de l’extrait d’un ouvrage de la médiathèque, réalisez une courte animation en intervenant directement sur de la pellicule cinématographique 16 mm. Après avoir numérisé le film, apprenez à synchroniser créations visuelles et sonores.

Adultes et enfants à partir de 8 ans.

Participation gratuite, sur inscription à la médiathèque.

Mercredi 27 février d 14 h à 17 h à la médiathèque ATELIER GRAPHISME

À l’aide de logiciels de graphisme, venez créer la décoration de la borne d’arcade de la médiathèque qui sera inaugurée le 9 mars dans l’espace Jeux vidéo : à vos tablettes graphiques !

Participation gratuite, réservée aux 12-17 ans, sur inscription à la médiathèque (places limitées).

Billetterie disponible au Guichet culture

Saison musicale du Conservatoire Claude Debussy Pépite “Voyage cosmique” - 8 février 2019 à 20h30 au Théâtre Chateaubriand

Saison musicale La Nouvelle Vague

Saison culturelle des Théâtres de Saint-Malo

Concerts jazz La Fabrique à Concert Yukata Shiina 5tet - 9 février 2019 à 21h au Théâtre Chateaubriand Thomas Bramerie Trio - 27 avril 2019 à 21h au Théâtre Chateaubriand

Festival International du Cirque de Bretagne - 9 mars 2019 à l’Hippodrome de Saint-Malo (billetterie disponible courant février)

Concert Ars Viva et l'Orchestre Métropolitain de Rennes - 31 mars 2019 à 16h à l’église Sainte-Croix (billetterie disponible courant février)

Revue littéraire malouine -  L'Hermine et la Plume n° 1 & 2

Revue littéraire de L'Encre Malouine n°2 et n°3

Et à partir du 8 février, inscriptions (gratuites) à l’atelier percussions animé par Bijan CHEMIRANI, proposé le samedi 23 février à 11h dans la cadre de Jazz à la Grande Passerelle

[fanfare-namaspamus]

Adieu chère Tanzanie

Acte I : Le pestacle !

Après ces 5 semaines à Msamaria, l’heure fatidique du spectacle était arrivée ! La dernière semaine ayant été pleine de rebondissements en tout genre, les répétitions ont été assez difficiles, mais les enfants étaient tellement forts qu’on était tout à fait confiants *humhum…*

     Une des dernières répétitions du Haka

Jeudi 1 juin arrive … rendez-vous à 14 heures au Kilimanjaro café lounge pour un début prévu à 15 heures. La pression monte et les enfants arrivent au compte-goutte, mais dans leurs plus beaux habits ... tout en jaune ! Pendant ce temps-là nous mettons en place la tombola (je vous le dis par avance, la seule personne ayant acheté un ticket a été Louis !).

Les enfants avaient pourtant passé presque 2 heures à faire de jolis dessins pour les lots de la tombola.

Finalement, le temps que tous les enfants arrivent et que le sound-système soit installé, le spectacle commence vers 16 heures ! Presque à l’heure donc !

C’est un peu anxieux que nous faisons commencer le premier numéro, mais très vite on se sent soulagé, les enfants chantent fort et sont à fond dans le spectacle ! Les numéros s’enchaînent bien et le public, composé exclusivement d’étrangers réagit bien ! Tout le monde est heureux, et le spectacle s’achève sur la reprise de Don’t stop believing avec tous les enfants. Namaspamus se met ensuite à jouer, et la foule des enfants occupe le premier rang.

A la fin du show, tous les enfants ont un grand sourire sur le visage et il en est de même pour le public du café : opération réussie ! On retiendra, entre autres, une phrase de la part d’une néo-zélandaise: « Je n’aurai jamais pensé en me levant ce matin voir un numéro de Haka, réalisé par des enfants tanzaniens, encadré par des français en Tanzanie ! »

       Sacrée troupe de petits poussins

Finalement nous quittons les enfants qui repartent avec des bonbons et des sodas vers l’association. Mais ne vous en faites pas, nous sommes retournés les voir entre 2 cessions d’enregistrement et de mixage, pour partager une dernière partie de foot, une dernière course en brouette, ou encore pour quelques chatouilles d’adieu.

Signé : Pas Louis ;)

Acte II : Et si on faisait un CD trop cool ? Ouiii !

En tout cas on a essayé. L’aventure commence par la recherche tout à fait hasardeuse d’un studio d’enregistrement avec Arthur. Après plusieurs prises de renseignements auprès des autochtones, nous sommes tombés sur un petit studio au cœur d’une petite maison très modeste ayant pour unique accès, des chemins de terre. Une rencontre incroyable a alors eu lieu !

         Emmanuel faisant les réglages sonores de la batterie

Emmanuel Swai alias Mr Magician nous proposa de collaborer avec lui pour enregistrer notre CD dans son tout mignon petit studio fait main. Mr Magician est très accueillant, très enthousiaste et curieux car il n’a pas l’habitude d’enregistrer des cuivres. Son truc à lui c’est le gospel. Mais il est aussi brillant musicien et bidouilleur si bien qu’il saura toujours nous booster et nous donner un petit coup de pouce magique dans les moments difficiles. Et il y en a eu. L’enregistrement s’est effectué un par un, avec une leading track dans les oreilles. (Ça veut dire qu’on enregistre une première fois tous ensemble, puis que chacun rejoue sa partie avec cette piste dans les oreilles. Cela permet un plus grand niveau de détail sur l’enregistrement final même si on dispose seulement de quelques micros). Nous nous sommes donc lancés dans un enregistrement long et fastidieux de plusieurs journées. Nous avons tous vécu cet enregistrement différemment mais je ne crois pas avoir été le seul à être en difficulté lors de ce périlleux exercice. En effet, seul devant le micro et harnaché de fils et d’un gros casque, l’excitation du live et l’énergie de groupe disparaissent et en plus, on ne peut même pas danser sans tout casser… Pas facile cette histoire !

     Mathieu en a bien profité pour travailler son suédois !

Finalement on s’en est sorti, et dans la bonne humeur en plus, thank you Mr Magician ! Il s’en suit une phase de mixage de plusieurs jours également, dans laquelle Luc, Arthur et moi avons collaboré avec Mr Magician. Il aimait bien ça ! Pendant l’enregistrement il donnait son avis et pendant le mixage il attendait le nôtre. Ce fut donc un riche échange musical et humain durant la semaine entière de travail sur ce CD.

Je ne sais pas s’il est bien, mais je crois que je prends pas trop de risques en disant que cet enregistrement a été une magnifique expérience pour chacun de nous. En tous cas on a gagné un super fan,et si un jour vous voulez enregistrer un CD en Tanzanie, je vous recommande Mr Emmanuel Swai. J’attends avec impatience mes premiers salaires pour me construire un petit studio comme Mr Magician !

              A droite, l’instrument magique !

A présent, il est venu le temps des débats houleux pour trouver le titre et se mettre d’accord sur les divers aspects artistiques et marketing de ce nouveau CD.

(Super titre) bientôt dans les bacs !!!

En exclusivité je vous mets la première note du CD : La bémol

Alors il vous plait pour le moment ?

 Théo le rigolo

Acte III : Les 8 fauves en pleine savane !

     Alignement de gnous à l’infini dans le Ngorogoro

Le spectacle passé, le CD enregistré, le temps des vacances était venu ! Au cours de nos précédentes semaines nous avions rencontré un guide du nom de Tosha qui, « crois moi s’il vous plait », ne fait pas de bénéfices sur les activités qu’il propose ! Nous avions déjà testé des sorties d’une journée avec lui, et nous avons décidé de partir en safari via son agence : “Tosha trecking and safari”.

C’est donc très impatient de voir la faune de la savane que nous sommes monté dans la grosse Jeep le lundi matin. Une grosse Jeep pour 10 personnes, plus les tentes, sacs de couchage, et tout ce qu’il faut pour nourrir un tel groupe pendant 5 jours ! Nous rencontrons aussi Nicolas, notre guide/conducteur, qui est dans le milieu depuis 23 ans … autant vous dire qu’il savait où il allait même en plein milieu de la brousse !

       Notre bolide

1ère étape, rejoindre le premier parc (logique non ?) : le Tarangire, situé à plus de 4 heures de route de Moshi. Mais ça c’était sans compter sur la panne de la voiture ! Un arrêt technique au beau milieu d’Arusha pour réparer le moteur s’impose. Le safari commence bien ! Malgré tout, après 2 heures de réparation nous reprenons la route et choisissons plutôt d’aller vers le lac Maniara, un autre parc, plus petit que le Tarangire que nous pourrons donc visiter en un temps plus court !

Nous rencontrons ici les premiers éléphants, singes, girafes, gnous, buffles, mais surtout de nombreux oiseaux, venus d’Europe comme par exemple des pélicans, des cigognes. On teste aussi le toit ouvrant de la Jeep permettant d’avoir une superbe vue sur les paysages. Il faut bien avouer qu’a 8 à l’arrière on est un peu serré pour regarder par le toit, mais les animaux sont là et l’incident du matin est très vite oublié !

        “Je la connais celle la ! C’est la cigogne de mon voisin !”

Le soir nous logeons dans un camping, mais avec des tentes en dur et des toilettes et douches individuelles. Il y a même une piscine ! Du grand luxe !

Le lendemain, nous devons traverser le parc du Ngorongoro pour nous rendre jusque dans le Serengeti, le parc réputé pour ses félins ! Une grosse journée de route, il faut presque 5 heures pour rejoindre l’entrée du parc, mais les paysages encore une fois valent le coup d’œil ! On passe au milieu de villages massai, et beaucoup d’enfants se trouvent sur le bord de la route, accompagnant des troupeaux de vaches ou de moutons.

     Les troupeaux de grosses chèvres du Serengeti

A peine arrivés au Serengeti on trouve sur le bord de la route deux guépards tentant de chasser. Encore une fois les éléphants sont au rendez-vous, mais on trouve également un nombre incalculable de gazelles et antilopes ! Et chanceux comme nous sommes nous apercevons même trois léopards. Enfin … l’appareil photo d’Arthur aperçoit les queues de ces dits léopards, pour être plus précis ! Autour de nous, tous les autres touristes ont des appareils photos avec des objectifs monstrueux, alors on fait vraiment très amateurs avec notre appareil. Peu importe nous repartons à la chasse aux animaux. Beaucoup de zèbres, d’antilopes, de zèbres, de gazelles, de zèbres …. Oh ! Une girafe !

         Si vous voyez les 3 léopards ... vous mentez sûrement !

Le soir tombe et notre troupe va s’arrêter au camping, au beau milieu du parc. Les zèbres broutent tranquillement autour de nous, et le guide nous dit qu’il faut éviter de trop s’éloigner, on pourrait tomber sur les lions … rassurant ! Après le repas, nous profitons de l’absence totale de lumière pour observer les étoiles, on voyait même la voie lactée ! Malheureusement vous allez être obligés de me croire sur parole puisque nous n’avons aucune photo, malgré les nombreuses tentatives de Mathieu.

Fun fact : les rayures des zèbres c’est comme les empreintes digitales : c’est juste moins pratique quand on passe la douane !

Le lendemain c’est départ à 6 heures du matin, pour partir avant même le lever de soleil et profiter au maximum de la matinée pour le game drive (c’est comme ça qu’on appelle le fait d’être à la recherche des animaux). Et ce fut assez fructueux : des fennecs, des hyènes, un énorme troupeau de buffles, et …. Ouiiiiiiiiiii ! Des lions et lionnes ! Même si au début nous étions assez loin d’eux, en continuant le game drive nous avons trouvé des lionnes qui dormaient sur le bord de la route. Nous avons aussi pu observer des hippopotames et des crocodiles. Après cette matinée très remplie, le repas nous attend au camping, et nous devons ensuite repartir vers le Ngorongoro. Sur le chemin du retour, nous trouvons encore quelques lionnes, et surtout un lion dormant au bord de la route ! Et au même endroit que la veille, nous retrouvons aussi nos amis les guépards ! Quelle chance !

         Une vache de la savane 

Non non non, ils ne se battent pas ! Ils se font des bisous .... je crois !

Une journée  typique pour une lionne : dormir, faire 5 mètres pour s’éloigner des touristes, dormir, faire la sieste, faire semblant de chasser pour faire plaisir aux Jeep qui vous regarde, dormir.

On arrive sur le bord du cratère du Ngorogoro pour passer la nuit en camping … seul petit hic, la température qui était scandaleusement basse ! Et ce jusqu’au lendemain à midi !

Encore un lever à 6heures pour partir à l’exploration du cratère ! A peine arrivés, nous tombons nez à nez avec des lions, et lionnes, et aussi un petit chat. Il devait être sacrément rare parce que toutes les voitures le suivaient à la trace et même les guides le prenaient en photo ! On trouve aussi de nombreuses hyènes, et un trrrrrrrès grand nombre de gnous ! On complète aussi notre tableau de game drive en trouvant deux rhinocéros ! Les paysages au sein du cratère sont vraiment magnifiques et ce n’est pas la température qui nous empêche d’en profiter ! 

Il faisait vraiment froid oui ! Mais de là à se transformer en serviette géante ...

Après le repas nous sortons du parc du Ngorongoro pour retourner au camping du premier jour, où un certain Arthur fait un plouf dans la piscine.

Pour le dernier jour, et même si d’après notre guide nous avions été vraiment très chanceux et qu’il ne nous restait plus rien à voir de nouveau, nous allons au Tarangire : le parc aux éléphants ! Et aussi aux baobabs, que l’on peut voir tous les 100 mètres ! Nous trouvons encore de nombreuses girafes, gazelles, et bien sûr des éléphants ! Une autre voiture de touristes, un peu imprudente, à même failli se faire charger par un troupeau d’éléphants, et ce juste devant nous ! C’était assez impressionnant et terrifiant aussi ! Mais tout s’est bien fini, ne vous en faites pas chers lecteurs !

          La patrouille des éléphants ... tadadadam :D

Ainsi s’achève notre safari après ,bien sûr, être rentrés sur Moshi, on n’allait pas rester en pleine brousse ! Que de bons souvenirs, ça valait le coup de venir en Tanzanie 😉

[affairesasuivre]

LE SON DU JOUR #343 : STRUCTURÉ COMME MARK GUILIANA

Batteur de renom qui a joué avec Bowie ou Brad Mehldau, l'Américain sort un nouvel album hautement hybride qui jongle entre jazz et electronica.

Tous les amateurs de jazz contemporain connaissent Mark Guiliana, virtuose débordant d'idées et qui honnit la démonstration (il a fait ses débuts dans des groupes grunge). On a vu et entendu le batteur accompagner David Bowie, Avishai Cohen, Meshell Ndegeocello, Brad Mehldau (au sein du duo Mehliana) ou Dave Douglas. 

Son nouveau BEAT MUSIC ! BEAT MUSIC ! BEAT MUSIC !, qu'il a conçu, composé et joué avec son collectif Beat Music (forcément), est un hommage direct au disque qui a le plus profondément orienté sa vie de musicien – Feed Me Weird Things, premier album publié en 1996 de Tom Jenkinson alias Squarepusher dans lequel le prodige / raver / bassiste britannique présentait pour la première fois sa vision unique de la musique, à mi-chemin de la jungle destructurée au micron près d'Aphex Twin et de la fusion jazz rock trépidante des seventies. La propre fusion de Guiliana est moins éclatée et plus chaleureuse, plus proche de celle des bidouilleurs de library cosmic funky cosmique comme Brian Bennett ou du plus fécond producteur des Cornouailles (par ailleurs ami et collaborateur de Squarepusher), Luke Vibert. Soit le contraire d'un jazz d'esthète ou pontifiant, comme en témoigne le morceau que Libévous propose de découvrir ce jeudi en avant-première et qui évoquerait une fusion furieuse entre l'IDM mélodique de Rephlex, la beat music de J Dilla et les folies synthétiques de Joe Zawinul pour Weather Report. Sortie demain (29 mars), chez Motéma Music.

Par Olivier Lamm— 28 mars 2019 à 10:02

[habitat-domotique]

Mycroft Mark II assistant vocal open source

Un nouvel article à découvrir sur le blog habitat et domotique

Mycroft Mark II assistant vocal open source https://www.habitat-domotique.fr/2018/03/05/mycroft-mark-2-assistant-vocal-open-source/

Dans la suite de notre dossier sur les assistants vocaux connectés, nous allons aujourd’hui vous présenter le Mycroft Mark II de la société Mycroft.

Vous n’êtes sûrement pas passé à côté, 2017 a été l’avènement des assistants vocaux connectés. Chacun vas de son petit argument pour détrôner son conçurent, entre lecture musical, small talks et achat en ligne. Mais un point commun entre tous c’est le flou qui existe autour de la gestion des données privés.

Quelle particularité me dirait vous face aux géants Google et Amazon ? c’est le fait qu’il soit Open Source.

Le problème de la confidentialité des données

Vos données privés valent de l’or que ce soit pour un catalogue client ou pour de la publicité, plus on en sait sur vous et plus on peut vous en vendre.

Sachez que Google Home et Amazon Echo vous écoutent et enregistrent toutes vos conversations et même lorsqu’ils ne sont pas actifs. A cela s’ajoute l’intégration de la publicité avec l’intelligence artificielle. Imaginez-vous demander à votre femme d’acheter du gel douche et de recevoir dans l’heure une offre de réduction pour du gel douche sur Amazon.

Alors comment faire si on souhaite allier vie privé et amour des derniers gadgets ?

Mycroft Mark II l’assistant vocal open source

Dans ce cas il existe Mycroft Mark II un assistant vocal open source. Il a comme ligne de conduite de respecter votre vie privé car il ne stocke pas les extraits vocaux, en plus de cela il est open source et entièrement personnalisable.

Le Mycroft Mark II est plus avancé que son prédécesseur. Il est livré prêt à l’utilisation mais si vous le souhaiter, vous pouvez lui apporter des modifications sans soucis. d’ailleurs le code source de Mycroft est disponible sur GitHub, parfais pour les bidouilleurs.

Comme on peut le constater, coté esthétique, il ressemble beaucoup à un Google Home. Vous l’avez remarqué de suite, il est équipés d’un écran pour un affichage simple et clair c’est clairement un avantage par rapport à ces concurrents. On peut très bien imaginer remplacer votre radio réveil ou votre station météo avec cela.

Coté fonctionnalités le Mycroft Mark II est capable d’un simple “Hey Mycroft” d’exécuter 140 sortes de tâches aussi appelées «compétences».

Cela passe par jouer de la musique, déclencher un minuteur, écouter la radio et bien sur les small talks. A cela s’ajoute la possibilité de l’intégrer à votre solution domotique pour piloter vos volets ou tout autre objet connecté. Et la liste s’allonge grâce à la communauté.

Pour les spécifications technique, c’est du lourd :

Processeur quad-core Xilinx

Tableau de 6 microphones à champ lointain

AEC Hardware, beamforming et réduction du bruit

Son stéréo avec deux pilotes de 2 “(10W)

Écran tactile LCD IPS 4 “

USB Type A

Emplacement pour carte MicroSD

Bluetooth, Wifi

Sortie audio 3,5 mm

Alimentation 18W avec adaptateurs internationaux

Le Mycroft Mark II coûtera dans les 129 $ et devrait être disponible en décembre 2018. Pour soutenir l’initiative rien de plus simple, une nouvelle campagne de crowdfunding est ouverte sur indiegogo et elle fait déjà un véritable carton.

A bientôt pour un nouvel article.

#AssistantVocal, #Domotique, #MycroftAi, #ObjetsConnectés #Domotique

[fidjiefidjie]

Bon Matin🆕️🥁🗣🎸🎹

Magdelaine 🎶 C'est pas la fin du monde

Avec Hooverphonic, Clio, Ludo Pin, Dave Gahan

[nnjzz]

SIMON WHETHAM + LARS ÅKERLUND & ANA ELENA TEJERA + NIELS MESTRE + EMILIA WYSOCKA & FEDEREA

20:00 portes 20:45 ACTION!

P.A.F. 6€

aux NAUTES 1 Quai des Célestins 75004 M° Sully-Morland

SIMON WHETHAM uk Artiste-bidouilleur sonore, il travaille essentiellement sur des sons environnementaux ( field recordings ), ou ceux produits par les objets et appareils électroniques du quotidien détournés, pour en faire des installations ou des instruments de performance, à l’aide de techniques variées afin de révéler des phénomènes souvent imperceptibles ou dissimulés.

Lors de ses performances et installations, le lieu et les objets qui s’y trouvent deviennent des instruments dont il joue. Ses recherches l’ont amené à travailler de plus en plus sur des projets multidisciplinaires, donnant à son travail un aspect plus visuel et tangible. Il explore actuellement différentes manières de conserver des traces physiques du son.

Il collabore régulièrement avec des danseurs, performers, peintres et vidéastes, ainsi que des musiciens et artistes sonores, parmi lesquels Tarab, Scanner, Derek Piotr, Iris Garrelfs, Alan Courtis, Kate Carr, Rhodri Davies…

Nombreux enregistrements sur des labels comme Entr’acte, Gruenrekorder, Mystery Sea, Impulsive Habitat, Unfathomless, Dragon’s Eye Recordings, Line, Crónica, Helen Scarsdale Agency, Flaming Pines, Glistening Examples…

Son travail pourrait faire penser ( ou pas ) à : Son travail peut faire penser à : Cheapmachines / Phil Julian, John Wiese, Mark Durgan. mark Vernon, Andrea Borghi...

LARS ÅSKERLUND & ANA ELENA TEJERA  se / pan vous proposent un spectacle live avec danse circulaire et musique électronique live. Ana Elena Tejera est une artiste multidisciplinaire originaire du Panamá, travaillant avec le cinéma, la performance et la danse et participant à plusieurs festivals prestigieux ces dernières années. En résidence à la Cité Internationale des Arts, Paris. Lars Åkerlund est un musicien électronique et compositeur suédois. Il était l'un des fondateurs du groupe multimédia Lucky People Center et a travaillé avec des musiciens comme Zbigniew Karkowski, Kasper Toeplitz, Dror Feiler entre autres. Résident à la Cité Internationale des Arts, Paris.

Lars Åkerlund est un artiste sonore, compositeur et interprète de musique électronique et électroacoustique originaire de Suède. De formation classique, il travaille également sur la scène musicale underground. Il a fondé des groupes tels que P.I.T.T. (entre autres, avec Zbigniew Karkowski) et le Lucky People Center et récemment le LLLSD (Lab for Life-Long Sound Dysfunctions) qui a tourné en Asie du Sud-Est, en Chine et au Japon en 2018 et 2019.

Il se produit en solo et en collaboration avec d'autres artistes, cinéastes et chorégraphes. Åkerlund vit à Stockholm et travaille en studio avec des ordinateurs, des contrôleurs et des équipements électroniques en direct tels qu'un «  monochord « amplifié.

www.youtube.com/watch?v=Cl3I7dkNTkY

NIELS MESTRE fr

nous proposera un solo bien noise qu'il se propose d'appeler " Guillotine "...  Guitar-hero, évoluant surtout dans le contexte de la scène des musiques improvisées, solo ou pas. Il fut - fun fact -  " dans le temps ", l'un des derniers élèves d'Olivier Messiaen, pendant sept ans au conservatoire Hector Berlioz de Paris. Toujours en équilibre entre improvisation et composition, il se produit fréquemment dans des contextes très différents.  Plusieurs projets, plusieurs cordes. Jjoue ou a joué avec, notamment Didier Malherbe, Sylvain Kassap, Denis Charolles, Phillipe Gleizes, Aymeric Avice, Erick Borelva, Itaru Oki, Makoto Sato, Claude Parle, Hugues Vincent, Xavier Camarasa, Matthias Mahler, Marie Takahashi, Tom Malmendier, Timothée Quost, Jonathan Aardestrup, Raoul van der Weide, Henk Zwerver, Christiane Bopp, Anil Eraslan, Xavier Mussat, Uygur Vural, Richard Comte, Pierre Chaze, Mustafa N'Diaye, Ignass Fofana, Alban Chapelle, Aymeric Avice, Francesco Pastacaldi, Marco Lacaille, Alain Debiossat, René Lacaille, Didier Malherbe, Benoît Mœrlen, Bobby Rangell, Or Solomon, Peter Corser, Laurent Coulondre, Junji Mori, Mushimaru Fujieda, Hiraku Amemiya, Sylvain Kassap, Erick Borelva, Itaru Oki, Makoto Sato, Jef Sicard, Christophe Monniot, Sarah Murcia, François Merville, Stéphane Payen, Régis Huby, Denis Charolles, Magma, Andràs Vigh, Cyprien Busolini, Claude Parle, Yasuhiro Usui, Hugues Vincent, Xavier Camarasa, Philippe Gleizes, Hugues Mayot, Matthias Mahler, Yann Joussein, Geoffroy Gesser, Olivia Scemama, Marie Takahashi, Tom Malmendier, Timothée Quost, Jonathan Aardestrup, Raoul van der Weide, Henk Zwerver, Christiane Bopp, Anil Eraslan, Xavier Mussat

EMILIA WYSOCKA & FEDEREA pl / arg  

 Première d'un nouveau projet collaboratif.

Emilia Wysocka ( artiste/scientifique ) : exerce des systèmes erratiques mais affectifs en utilisant des tables de mixage sans entrée / no-input mixing boards (nimb). Des intensités amplifiées résonnent dans les circuits couplés.

Federea : son travail comprend -à partir d'une approche hétérodoxe et personnelle- les arts sonores et les croisements interdisciplinaires liés aux pratiques artistiques expérimentales dans les domaines de la création spontanée et différée, à travers principalement du piano, de l'électroacoustique, des instruments d'origines diverses et de la voix. https://wysocka.bandcamp.com/

https://federea.bandcamp.com

Fly - Jo L'Indien

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Bon Matin🆕️🎸🎹🗣🥁

Magdelaine 🎶 Octobre

Avec Danièle Lebrun, Francis Cabrel, Chien noir, Charles Baudelaire

[fidjiefidjie]

Bon Matin🆕️🪈🗣🎸🎹

Magdelaine 🎶 Janvier

Avec Edouard Baer, Roza, Hooverphonic, The Barr Brothers ...

[fidjiefidjie]

Bon Matin🆕️🎻🗣❄️🎹

Magdelaine 🎶 Février

Avec Edouard Baer, Adamo, Zazie, Maggie Smith...

[fidjiefidjie]

Bon Matin🆕️🥁🗣🎺🎹

Magdelaine 🎶 Décembre

Avec The Beatles, Big flo et Oli, Jean-Paul Rouve, John Lennon

[fidjiefidjie]

Bon Matin🆕️🎻🎹🗣🎺

Magdelaine 🎶 Novembre

Avec Hubert Mounier, November Ultra, Alan Wilder, Chilly Gonzales...

[fidjiefidjie]

Bon Soir 🗣🎻🥁🪈🎹

Magdelaine 🎶 Peu de chose

Avec Françoise Hardy🌹, Benjamin Biolay, Abd al Malik, Stevie Wonder...

[fidjiefidjie]

Bon Matin🎻🎹🗣🎸💙

"Un petit clin d'oeil à l'actualité ?"

Magdelaine 🎶 Et maintenant

Avec Gilbert Becaud, Guillaume Poncelet, Mozart, Kristin Scott Thomas, Frédéric Pierrot...