#peterhujar
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Peter Hujar, Paul Thek in the Palermo Catacombs II, 1963
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Photos from 'The Disco Files 1973–78: New York's Underground, Week by Week' by Vince Aletti (with interview by Fran Lebowitz) — back in stock from D.A.P. Publishing! In 1973, Aletti became the first person to write about the emerging disco scene. His engagement with disco nightlife continued throughout the decade as he wrote his weekly column for 'Record World' magazine, which incorporated top ten playlists from DJs across the US (such as Larry Levan, Larry Sanders, Walter Gibbons, Tee Scott and Nicky Siano) alongside Aletti's own writings and interviews. As disco grew from an underground secret to a billion-dollar industry, Aletti was there to document it, and 'The Disco Files' is his personal memoir of those days, containing everything he wrote on the subject (most of it between 1974 and1978) augmented with photography by Peter Hujar and Toby Old. This book is the definitive and essential chronicle of disco, true from-the-trenches reporting that details, week by week, the evolution of the clubs, the DJs, and above all, the music, through magazine articles, beautiful photographs, hundreds of club charts and thousands of record reviews. Pictured here: 1. Drag Queens Mugging, Halloween (II), 1978, © @peterhujararchive 2. New Orleans Dancefloor © Tony Old 3. Refreshments at New York, NY 4. Onlookers at Roseland © Tony Old 5. The men's room at G.G. Barnums © Tony Old 6. Boys at Les Mouches © Tony Old 7. Upside Down at Les Mouches © Tony Old 8. Portrait of Vince Aletti, © @peterhujararchive Read more via linkinbio. @vincealetti #vincealetti #discofiles #vincealettidisco #disco #discoplaylist #peterhujar #tonyold https://www.instagram.com/p/CpBGaeGJdbf/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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The Stooges photographed by Peter Hujar, 1971
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#thestooges #peterhujar #rockphotography #protopunk #iggypop
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Peter Hujar
“Canal Street Piers: Window Paintings”, 1983
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Paul Thek Lying Down in the Forest, Peter Hujar, 1956, printed 2013, Harvard Art Museums: Photographs
Harvard Art Museums/Fogg Museum, Schneider/Erdman Printer's Proof Collection, partial gift, and partial purchase through the Margaret Fisher Fund © The Peter Hujar Archive LLC Size: 25.4 × 33 cm (10 × 13 in.) Medium: Pigmented ink print
https://www.harvardartmuseums.org/collections/object/356251
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Peter Hujar, Orgasmic Man (III), 1969 © 1987 The Peter Hujar Archive LLC; Courtesy Pace/MacGill Gallery, New York and Fraenkel Gallery, San Francisco
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Expo de "Speed of life" de Peter Hujar Fait parti des classiques à connaître. #peterhujar (à Jeu de Paume) https://www.instagram.com/p/B5F5hRvCGAI/?igshid=hlktomns32q3
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Sublime / Peter Hujar... . . . #photo #exposition #candy #paris #peterhujar #jeudepaume #florist #flower #flowers #bouquet #composition #dark #frenchflorist #dahlia #flowergrower #fleuristeparisien #loveflowers🌸 #monmetiermapassion #officineflorale (à Jeu de Paume) https://www.instagram.com/p/B4pI4YRiGwD/?igshid=269jxagleyfp
#photo#exposition#candy#paris#peterhujar#jeudepaume#florist#flower#flowers#bouquet#composition#dark#frenchflorist#dahlia#flowergrower#fleuristeparisien#loveflowers🌸#monmetiermapassion#officineflorale
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#EthylEichelberger photographed by #PeterHujar, 1983
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Ces derniers temps je suis incapable de former le moindre mot et je songe parfois que les pleurs ou l’angoisse m’ont vidé de toute émotion. J’ai gardé cette pulsion qui me pousse à faire des choses, par exemple filmer un rituel pour mettre en scène mon chagrin. C’est bientôt l’hiver et je roule vers l’une des seules forêts encore préservées de toute la côte, à l’ouest de new york, pour me filmer en train de me baigner dans un lac. Je tiens la super-8 dans mes mains et je tourne et tourne dans les bois et je songe aux derviches, à l’enivrante liberté que l’on trouve dans la mort. J’ai pris la voiture pour me rendre dans un cimetière au nord de new york en ce jour grisâtre rythmé par de brusques averses de pluie sur mon pare-brise sale. Tous ces nids d’oiseaux accrochés au faîte des arbres dépouillés. Ici tout est fertile et noir, mouillé et marron ; l’obscurité grave et dense de ses photographies. Je foule la terre boueuse du cimetière et longe les énormes tracteurs inanimés et les sillons qu’ils ont creusés, jonchés de cailloux et de terre humide ; je lui parle, au début j’ai eu tant de mal à me promener ainsi en le cherchant que j’en riais nerveusement, « Et si je ne te trouvais pas, Peter ? ». Tant d’agitation et d’allées et venues erratiques entre son carré de terre et la voiture, les cigarettes grillées, l’appareil récupéré sur le siège arrière, emporté sur la tombe anonyme pour prendre les fleurs de Neal en photo, « Il adorait les fleurs, il en raffolait… » Des mois et des mois de maladie et la maison était toujours pleine de fleurs, certaines si grosses, si sauvages qu’elles ne ressemblaient plus à des fleurs, mais à des êtres cueillis au bord de talus lunaires. Tous ces mouvements erratiques avant que je m’arrête enfin, avant que j’arrive à vaincre mon agitation. Je marchais d’avant en arrière, en proie à une extrême confusion. Je lui parlais à nouveau. Je suis terriblement gêné de lui ouvrir mon cœur. L’œil plane dans les airs à quelques centimètres au-dessus de ma tête ; je m’observe en train de le regarder, lui ou son excroissance terrestre – la terre grasse et meuble – et je regarde son âme ; son corps recroquevillé qui surgit juste au-dessus du sol, invisible ; ses yeux intacts et sensibles ; et lui, derrière moi, s’observant s’élever dans les airs par-dessus mon épaule, il me voit regarder la terre fraîchement retournée sous laquelle il repose. J’essaie de lui parler car je me demande s’il sait que je suis là, s’il me voit. Je sais qu’il me voit, il est dans le vent, dans l’air qui m’entoure. Il est la brume légère qui couvre les champs. Il est dans son appartement en ville. Il est derrière moi. Il fait humide et froid mais j’aime cela. J’aime la façon dont ça engourdit mes doigts blancs et rouges au niveau des articulations. Autour de moi des inconnus tassent la terre devant des pierres tombales ; des voitures sont garées le long des routes et des vallées et des crêtes jusqu’à perte de vue, ici tout est déchiqueté et déraciné – les marques humides sur la terre, les tracteurs, les tombes fraîchement creusées et les nids d’oiseaux géants détrempés qui semblent avoir été posés par des mains invisibles sur les fourches des branches. Je lui parle avec une conscience aigu�� d’être en vie et de parler à mes impressions, mes souvenirs de lui, je fais taire mes doutes. Je sais qu’il est là et je le vois. Je sens sa présence dans ce trou sous la terre. Je le vois nu, sans le couvercle de la méchante boîte en pin. La boîte a cessé d’exister, il n’y a plus que l’immense étendue de la terre, les champs, les arbres fourchus et moi, ma silhouette dans la brise humide, les nuages de gaze, les nuages de gris qui s’entremêlent dans le brouillard et je lui dis que j’ai peur et que je suis perdu et je pleure et je lui dis combien je l’aime combien il compte pour moi et tout ce qui me passe par la tête, tant de contradictions et tant d’effroi et tant d’amour et tant de solitude.
David Wojnarowicz, Au bord du gouffre (1991), Éditions du Rocher/Le Serpent à plumes, 2004, pour la traduction française.
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Ahh, Peter Hujar. In this case, a selection of photographs by Hujar curated by Elton John (yes, THE Sir @eltonjohn ) for the new monograph published by @fraenkelgallery Pictured here: 1. John Kelly (I), 1981 2. Beauregard's Dog Pilar, 1983 3. Ethyl Eichelberger as Auntie Belle Emme, 1979 4. Portrait of Ethyl Eichelberger (II), 1981 5. Waves, Fire Island, 1966 6. Skippy (Boa Constrictor), 1985 7. Cockette in a Blond Wig, 1971 8. Peggy Lee, 1974 9. Chuck Gretsch (with Cigar), 1981 Elton John writes: "Though I became a serious – one might even say addicted – collector of photographs in the early 1990s, it wasn’t until 2012 that I acquired my first photograph by Peter Hujar. His work was not well-known back then, and it took a while before I came across it. In the years since acquiring that first Hujar I’ve added fourteen more. Hujar’s humanity, depth, and sensual insights aren’t for everyone, and don’t need to be, but once his pictures get into your bloodstream they are impossible to shake." Read more via linkinbio. #peterhujar #eltonjohn @peterhujararchive https://www.instagram.com/p/Cnm-3OHJbm_/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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#peterhujar #1985 https://www.instagram.com/p/BnuRRGRHYww/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=169gh8uymvyb
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photos from Peter Hujar : Speed of Life exhibit at Berkeley Art Museum
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Peter Hujar
“Richard - Shoes”, 1979
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Paul Thek in the Surf, Fire Island, Peter Hujar, 1966, printed 2013, Harvard Art Museums: Photographs
Harvard Art Museums/Fogg Museum, Schneider/Erdman Printer's Proof Collection, partial gift, and partial purchase through the Margaret Fisher Fund © Peter Hujar Archive Size: 20.3 × 25.4 cm (8 × 10 in.) Medium: Pigmented ink print
https://www.harvardartmuseums.org/collections/object/356250
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