#paysannerie
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Je reprends ma série de vieilles photos. Vie quotidienne à la campagne de Vichel (Auvergne). Un pressoir (1927). J'aime bien ensuite ces villageois, chacun avec un chien ! (1927) Enfin, les moissons (1929) avec, il me semble, une machine à vapeur (sur la dernière à droite). Et on se désaltère entre temps !. Vraiment ces photos prises par mon grand-père maternel sont un témoignage précieux...
#noir et blanc#vintage#campagne#paysannerie#auvergne#vichel#moisson#moissonneuse#cruche#chien#pressoir#viniculture
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Tsé comment montrer la vrai au vrai: ta yeule ça juss l'air bo poué suffix
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"Tout comme le fait (surtout quand on doit par ailleurs s’occuper – sous le commandement éclairé de son épouse – d’un potager de très grande taille) de vivre entouré de sangliers et de chevreuils dont le respect de vos cultures n’est clairement pas le soucis premier, de renards qui tournent sans cesse autour de vos canards et de vos poules, d’étourneaux prêts à faire un sort en quelques instants, dès que le printemps revient, à vos cerisiers, d’escargots et de limaces visiblement très attirées par tout ce que vous plantez (sans même parler d’une multitude d’autres insectes tout aussi voraces et envahissants, de rats, de blaireaux, des taupes ou encore des araignées et des frelons asiatiques) vous conduit également assez vite à dépasser cette vision du monde directement issue des studios Walt Disney que la jeunesse bourgeoise "antispéciste" des grandes métropoles surpeuplées s’est mis en tête d’imposer de toutes les façons possibles, y compris par la violence physique, aux travailleurs les plus pauvres et les plus démunis des territoires ruraux (un "activisme" lui-même méthodiquement encouragé par l’industrie médiatique et qui ne constitue, en somme, qu’une énième adaptation locale de ce "colonialisme vert" déjà expérimenté sur la petite paysannerie africaine par les "experts" attitrés du capitalisme international que j’évoquais au début de cet entretien)."
Jean-Claude Michéa, Extensions du domaine du capital, 2023.
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« La paysannerie prenant racine dans le sol aux portes des grandes villes, qui maintenant — sceptiques, pratiques, artificielles — représentent seules la civilisation, ne compte plus parmi le "peuple" — lequel est maintenant peuple de la ville, masse anorganique.»
Oswald Spengler
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Que nous dit l’architecture contemporaine à propos des peuples ? D’abord qu’il n’est plus de peuple. Si certains en doutaient, qu’ils se fassent une raison : les peuples ont irrémédiablement disparu. Chacun comprendra que nous ne parlons pas ici de l’irréductible tribu amazonienne des Yanomami ou des pygmées d’Afrique centrale – ces sociétés ont encore le loisir de vivre en dehors des canons de l’art mondialisé – mais bien de l’essentiel des sociétés humaines qui prises sous l’angle de leur production artistique, sont rigoureusement pareilles. Partout sévissent les mêmes galeries d’art aux formes futuristes et à la blancheur hygiéniste où pendent des toiles monochromes, des mobiles désarticulés et quelques dessins obscènes tant la pornographie fait encore recette. Partout ce sont les mêmes néo-quartiers construits aux abords des villes, peuplés de ce que Guy Debord appelait « la pseudo-paysannerie » des classes moyennes incapables de trouver en elles la moindre étincelle insurrectionnelle, anesthésiée aux yeux de l’État. C’est enfin la même architecture moderniste qui sévit au centre-ville sous sa forme minimaliste-bourgeoise et en périphérie dans sa version minimaliste-prolétaire. Frank Ghery et Ricardo Bofill, deux faces de la même pièce jouée sans cesse depuis les années 1950. Deux faces du phénomène qui affecte les arts et l’architecture en particulier depuis l’avènement du modernisme et que l’on pourrait résumer ainsi : la déshumanisation.
Noé Morin, L'ARCHITECTURE DESIRABLE
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Ukraine : le juif Blinken suspend les élections indéfiniment
Le juif Anthony Blinken, chef de la diplomatie américaine, était à Kiev pour remonter le moral de son congénère Zelensky, passablement ébranlé par la récente opération russe dans le secteur de Kharkov.
Il en a profité pour donner aux goyim davantage d’informations à propos de ce pourquoi ils meurent avec un enthousiasme qui ne se dément pas.
Des épouses, des mères et des sœurs en action pour « libérer » leurs hommes des mains des chasseurs de la junte de Kiev.
« Les goyim pourront voter » a assuré Blinken, mais seulement lorsque les Russes auront quitté le territoire de l’ancien état ukrainien, y compris la Crimée.
Comme les Russes n’ont l’intention d’aller nulle part et que l’armée ukrainienne n’a pas les moyens de les envoyer où que ce soit, cela implique ipso facto la suspension des élections ad vitam aeternam.
Les élections en Ukraine auront lieu lorsque tous les Ukrainiens pourront voter, tous. – Blinken
Ainsi, tant que la Russie détiendra des territoires, il n’y aura pas d’élections, même en cas de cessez-le-feu ou de paix à long terme.
Le secrétaire d’État Antony Blinken se rend en Ukraine, proclame l’importance d' »élections libres et équitables », puis approuve la suspension indéfinie des élections en Ukraine jusqu’à ce que « les conditions le permettent »
En attendant, puisque les élections sont suspendues indéfiniment, les juifs restent au pouvoir.
Non pas que les élections les en chasseraient, de toute façon.
N’importe quel goy qui s’opposerait à la tenue d’élections serait estampillé ennemi de la démocratie, mais pas les juifs.
Voilà de quoi rassurer Zelensky qui va pouvoir mobiliser la paysannerie slave pour garantir la sécurité de ses coffres forts pendant encore un an ou deux.
Blinken est ensuite allé se détendre en ville devant un public enthousiaste.
Quand Macron va voir ça, il ne va se dire qu’une seule chose : « Je dois jouer de la musique pour avoir l’air cool et faire des millions de vues sur Twitter ».
Démocratie Participative
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La Magie de Noël - ( I ) : Que de regrets il faut avoir...
Question idiote : Combien de fois par jour entendez-vous réciter ce lieu commun absurde par des gens qui le répètent parce qu'ils l'ont entendu.... sans le moindre rapport avec quelque réalité que ce soit ? Au pifomètre, à raison de 5 fois minimum par ''JT'', et de 3 ''JT'' par jour, la réponse est : ''entre 15 et 20 fois par jour''. C'est un bourrage de crâne ''ad nauseam'' (= à en vomir, en latin. Ça a l'air moins vulgaire dans une langue dite morte). La grosse dame dans la charcuterie responsable de son surpoids, le grand-père devant un jeu ''vintage'' made in China dont le mode d'emploi est... ''du chinois'', la jolie jeune maman qui achète des canards à la grippe aviaire pour le ''réveillon''... n'ont qu'un mot à la bouche : ''c'est la magie de Noël''.
Je, vous, tu, il, ou elles, ne nous sommes jamais demandé ce que cette affirmation devenue rituelle mais restant sans objet ni raison d'être pouvait bien vouloir dire, dans ces circonstances. Après des heures à me gratter l'occiput (qui, on ne le dira jamais assez, n'a rien à voir avec une femme de mauvaise vie qui aurait été tuée !), je crois avoir enfin trouvé la ou une bonne réponse. Cela veut dire... ''rien''. En fait, c'est un mot-valise qui cache le néant d'une pensée qui n'en est plus une, quelque chose comme ''dépenser de l'argent'', comme Tartarin de Tarascon criait ''Fen dé brut'' (faisons du bruit) : acheter trop de cadeaux aux enfants, préparer trop des habituelles ripailles inhabituelles (toutes mauvaises pour la santé), décorer un sapin dit ''de Noël'' sans raison particulière (sauf, peut-être, la date ?), boire du (mauvais) vin chaud en se gelant les pieds dans un ''Marché de Noël'' sur-bondé, et surtout sacrifier à une joie factice, convenue (ici écrit en un seul mot, par respect pour mes semblables) qu'il est devenu routinier d'appeler ''les Fêtes de fin d'année'' et dont l'apothéose, c'est à dire le triomphe du néant absolu, tombera la semaine suivante.
A force de tricher avec tout, à commencer par la suppression de la seule et unique raison d'être de ce ''tintouin'', ces foules font un peu de peine, à en être presque sympathiques, puisqu'il est évident qu’elles n'ont aucune chance de trouver ce qu'elles cherchent en se soumettant à des pratiques qui ressortissent d'une toute nouvelle pseudo-religion (mauvaise aussi !), la religion de l'instant, du fugitif, du faux-semblant, une Fête de Sainte Consommation et de Sainte Boubouffe réunies, comme si le seul fait de consommer un peu (?) plus que d'habitude pourrait leur apporter quoi que ce soit de plus, de nouveau, de différent. Ces rites dévoyés n'ont en général qu'un seul aboutissement : la gueule de bois dans les jours qui suivent !
Ce qui pouvait être considéré comme ''magique'', c'était de naître, grandir, aimer, travailler, vieillir et mourir dans un pays aussi beau et aussi doux à vivre que l'était notre France. Mais ça, c'était avant. Avant les éoliennes, avant les campements de migrants, ces villages nomades de tentes errantes qui migrent au gré d' ''ONG'' au service des passeurs –et du Mal, en général--... avant la violence endémique, les quartiers ''réservés''(à ceux qui n'ont pas le plus petit droit de s'y trouver). Il se vend de la drogue partout, la paysannerie se meurt, la bourgeoisie est assassinée par un fisc anthropophage, la violence est devenue endémique et les mensonges règnent, en maîtres incontestés. On meurt du traitement politique des épidémies imposé par nos élites indignes qui ''ont envie d'emmerder'' ceux dont ils doivent protéger la liberté, l'égalité et la fraternité (Ah ! Celle-là... Il ne reste d'elle que son épitaphe gravée sur nos anciens monuments en voie de délabrement sans retour possible !).
Ce qui était ''magique'', c'était avant les restrictions, avant le lent naufrage de tout notre système hospitalier, de notre école, de notre ''Justice'' si injuste, de notre police mal traitée, de notre industrie cassée, avant la grande pénurie --d'essence, de liberté, de médecins, de médicaments, de gaz et d'électricité, et bientôt de tout ce que nos incapables –sauf de discours creux et de paroles vides-- avaient pour seule et unique mission de protéger... et qu'ils ont remplacé par des amendes, des impôts supprimés mais vite remplacés par des taxes encore plus confiscatoires... C'était avant le triomphe de l'inflation, de l'Etat qui endette nos enfants et leurs enfants pour camoufler sa propre impéritie, avant les mesures aussi inutiles que liberticides tendant à nous faire croire que les vagues petites vagues --de 5 à 9, d'après ceux qui n'en savent rien mais n'ont pas le courage de le reconnaître-- d'un virus qui l'est tout autant (vague), sont autant de tsunamis (on voit des vaguelettes).
Tout ça, c'était avant, cet ''avant'' dont il est interdit d'avoir la nostalgie, qu'il est défendu de regretter... C’était avant que notre France ne découvre la destruction systématique (= ''par système'') qui a commencé avec l'élection du lamentable Hollande et qui se continue, sous notre nez et à notre barbe, jour après jour, heure après heure, décision (mauvaise) après décision (mauvaise). Ce superbe édifice a tenu sur sa lancée et couru sur son erre pendant une toute petite dizaine d'années. Et tout d'un coup, la toile de fond genre Potemkine s'est brusquement déchirée et on a vu que le roi est nu, et ses sujets avec lui, en plein appauvrissement, privés (en leur racontant le contraire) de liberté, de revenus, de chaleur dans leur ''chez eux'', de foie gras, de paracétamol, d'essence abordable... et de train, par la disgrâce de syndicats sans foi ni loi... autre que leur satané ''droit de grève''...
Et pourtant, que de beaux symboles passent, cette nuit-là, à portée de ces mains qui refusent de s'ouvrir ! Souvenez-vous... Dans la douceur de merveilleux chants (dits, justement, ''de Noël'') une nuit d'amour évoquait dans la tendresse et l'émotion la naissance d'un petit bébé juif, il y a 2000 ans et plus –aux erreurs de calcul près, mais ça n'a aucune importance : c'est ''hors sujet''-- qui va devenir, de très très loin, l'événement le plus important de toute l'Histoire de l'Humanité ! Il faut ''se souvenir'' (c'est une façon de parler) qu'en ce temps-là, l'islam n'avait pas tout transformé en haine comme à Bruxelles. Les Mages venaient de Babylone, sans problème... les bergers amenaient leurs troupeaux où bon leur semblait... tout le monde allait et venait sans contrainte, dans la ''Pax Romana'' décomplexée (là où nous avons honte de parler du temps où la ''Pax Franca'' permettait une concorde –fût-elle de surface-- entre les hommes (je l'ai bien connue, vécue, fréquentée, aimée, et je peux en parler, contrairement à ceux qui croient stupidement la vulgate de gauche qui fait un enfer de ce paradis relatif (je vous en parlerai bientôt, c'est promis.).
C'était ça, ''la magie de Noël''. Pas les mensonges, les interdits, les non-dits, pas –ou ''pas que''-- la boustifaille, le champagne dit ''festif'' puisqu'il fait oublier plus vite de l'affreuse réalité, et surtout pas l'interdiction des crèches –seule chose vraie dans tout ce charivari, donc seule chose qu'il leur reste à supprimer. C'était cultiver des souvenirs de ''veillées'', de jolis ''petits Noëls'' repris en chœur par la famille, la joie de déposer un santon ''Enfant Jésus'' dans la crèche, au pied de l'arbre, les bougies, la douceur authentique (sans chichis, sans fla-flas, sans tous les excès --de mauvais goût-- devenus rituels), les petits cadeaux modestes, le plus souvent ''faits main'' mais avec tant d'amour... toutes choses pratiquement oubliées par de jeunes générations qui ont fini, sous les pressions inhumaines exercées contre elles par des ennemis du bonheur des Hommes, par accepter que la vérité officielle pouvait avoir le moindre lien, le moindre rapport, avec la ''vraie vérité''. Et de croire que le bonheur pouvait venir d'une ''tablette'' modèle ''XYZ'' offerte au petit dernier par un gentil grand-père qui ignore tout des dangers inhérents aux ''réseaux''...
Je suis triste, ce soir : je cherche partout leur ''magie de Noël'' dans leur exaspérant et épouvantable ''Jingle Bells'', entendu et supporté mille fois, dès qu’on va faire des courses. C’est le seul air autorisé depuis que les vrais chants de Noël sont interdits dans les boutiques par la ''police des mœurs à la française'', bien plus insidieuse, vicelarde et rigoriste que son équivalent iranienne, mais je n'arrive pas à la trouver ! Je retourne à la mienne, de magie, et je file donc mettre un énième ''coup d'amour'' à ma crèche provençale, dont je vous parlerai aussi, un jour prochain. (à suivre).
H-Cl
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@editionsjclattes #Madelaineavantlaube de @sandrinecolletteofficiel est un #conte pour adulte sur la #révolte, l’amour et l’espérance. Servi par un style exceptionnel, ce roman plonge au cœur d’une #paysannerie rude et ancestrale où la nature est présente #rl2024
#thriller #booktreat #booktread #booksragram #bookrecommendations #bookstragram ⬇️ https://vagabondageautourdesoi.com/2024/11/02/madelaine-avant-laube-rl2024/
#billet littéraire#chronique littéraire#chroniques littéraires#littérature contemporaine#littérature francaise#litterature contemporaine#roman#littérature française#chronique livre#bric à brac de culture
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Sortir ce week-end à Montbéliard
Voici la sélection ToutMontbeliard.com d’idées sorties pour ce week-end : VENDREDI 4 OCTOBRE 2024 - Octobre Rose 2024 dans le Pays de Montbéliard > infos - Montbéliard Festival Tattoo à la Roselière de Montbéliard SAMEDI 5 OCTOBRE 2024 - Octobre Rose 2024 dans le Pays de Montbéliard > infos - Octobre Rose 2024 à Arbouans : marche solidaire, parking Salle polyvalente, départ à 14h00 - Capitale française de la Culture : (retour à la fête) Karstique, au Conservatoire du Pays de Montbéliard, de 17h30 à 1h00 > infos - Capitale française de la Culture : tournée du spectacle "Réveiller Champerriet !", à Bavans, Salle des Fêtes, à 20h00 > infos - Capitale française de la Culture : projection du film "Nature au jour le jour" de Dominique Delfino, à Semondans, Mairie, à 20h15 > infos - Fête de la Science à Montbéliard, au Pavillon des Sciences, de 10h00 à 18h00 > infos - Concert par les Amis de l'Orgue de Saint-Martin à Montbéliard : "Beethoven, ballades écossaises et irlandaises", Eglise mennonite de la Prairie Route de Grand-Charmont, à 20h00 - Montbéliard Festival Tattoo à la Roselière de Montbéliard - Exposition "Chroniques de l'intimé" avec la photographe Célia Freyburger à Audincourt, au Ph'arts, 8 rue de Seloncourt , de 14h00 à 18h00, organisée par l'association Mode Ouverture DIMANCHE 6 OCTOBRE 2024 - Octobre Rose 2024 dans le Pays de Montbéliard > infos - Les Tambours de la Garde Républicaine à Montbéliard > infos - Fête de la Science à Montbéliard, au Pavillon des Sciences, de 10h00 à 18h00 > infos - Fête de la Paysannerie et des Vieux Métiers à Valentigney, au Musée de la Paysannerie et des Vieux métiers, de 10h00 à 18h00 - Montbéliard Festival Tattoo à la Roselière de Montbéliard - Marché d’automne des commerçants non-sédentaires à Audincourt, centre-ville - Rencontre inter-religieuse à Montbéliard > infos - Marche Gourmande à Vieux-Charmont, environ 9 km au départ du Stade de Vieux-Charmont, jalonnée de plusieurs étapes gourmandes, dans le cadre du Téléthon, organisée par les communes d’Allenjoie, Brognard, Dambenois, Nommay, Grand-Charmont et Vieux-Charmont - Exposition "Chroniques de l'intimé" avec la photographe Célia Freyburger à Audincourt, au Ph'arts, 8 rue de Seloncourt , de 14h00 à 18h00, organisée par l'association Mode Ouverture Une idée sortie à proposer pour un prochain week-end ? Contactez-nous via www.toutmontbeliard.com/contact Read the full article
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Crues diluviennes au Sud-Est..Les palmiers-dattiers survivent
Saoudi El Amalki// Ces derniers temps, des orages torrentielles ont éclaté sur l’espace méridional-oriental du royaume et suscité un profond satisfecit dans les milieux de la paysannerie. Cette allégresse est d’autant plus salutaire que la météorologie annonce d’autres rafales pluvieuses sur tous ces lieux longtemps déshydratés. En dépit des désagréments engendrés par ces torrents sur leurs…
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Pourquoi la paysannerie est-elle en phase terminale ? Qui tire les ficelles du monde agricole, le plus gros marché mondiale (7 000 milliards $) ? Après les manifestations de colère légitime des agriculteurs, Jean-François Auzolle, ingénieur centralien, apporte une série d’explications que les grands médias prennent bien soin de cacher. Le problème est ancien et global. À l’origine : la capitalisation…
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La paysannerie de l’an mil, travailler la terre, jachère à quoi ? : épisode • 2/4 du podcast Histoire de l’agriculture, un monde en révolutions
See on Scoop.it - Les Colocs du jardin
AUDIO • 2/4 : La paysannerie de l’an mil, travailler la terre, jachère à quoi ?. Histoire de l’agriculture, un monde en révolutions est une série inédite proposée par France Culture. Écoutez gratuitement en ligne ce podcast et parcourez tout notre catalogue.
Lundi 26 février 2024
Le Cours de l'histoire
Xavier Mauduit
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« L’histoire universelle a été faite par des ethnies mobiles ; non par une paysannerie sédentaire, mais contre elle. La liberté de la plaine, la liberté de la mer ont produit les créateurs des peuples et des États et les grands hommes d’action. La paysannerie subit l’histoire, qui passe au-dessus d’elle ; ce sont le cavalier et le navigateur qui la font. »
Oswald Spengler, Écrits historiques et philosophiques (1918-1936).
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[ENTRETIEN] Une lueur d’espoir pour la paysannerie française ?
M. Pingeon, éleveur de vaches et céréalier, exploitant non syndiqué de 78 hectares en Seine-Maritime entre Rouen et Dieppe, nous parle de la situation de la paysannerie française et de ses perspectives. Actuellement, la paysannerie se nourrit des miettes laissées par le transformateur et le distributeur et est ballottée au gré des nouvelles normes de la PAC, qui la soumet à une concurrence…
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Causerie populaire libertaire - Paysannerie, pesticides non merci - L'agenda Militant Indépendant
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