Tumgik
#pas de sens particulier
lours-postal · 2 years
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2022 – 07
ailleurs
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kilfeur · 5 months
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On se doutait un peu que Vaggie était un exorciste mais le simple acte d'avoir épargner un enfant. Subit une horrible blessure en plus de perdre son oeil ainsi que ses ailes. La scène était horrible mais j'aime bien la scène où justement Charlie tombe sur Vaggie, certains se demanderaient ce qu'elle faisait là justement. Mais comme on sait pas combien de temps s'est passé exactement entre l'extermination et leur rencontre ?
Ça pourrait signifier que Charlie essayait peut être de trouver des survivants et est tombé sur Vaggie. Bien que la rencontre peut faire pas mal penser au diable qui tombe sur une âme perdue. J'étais tombée sur des posts sur le fait que Charlie pourrait devenir le diable vu que Lucifer ne semble pas avoir ce titre vu que Sera dit qu'il est un ange déchu mais pas "le roi des enfers" ou bien "le diable". L'idée que Charlie le soit prend de plus en plus forme, avec Alastor qui serait le murmure à son oreille. Vaggie qui serait l'ange déchue que Charlie recueille.
Et vu qu'Emily et Charlie semblent être similaire au première abord, dans le sens qu'elles semblent ignorantes mais ont un caractère similaire en plus de la relation parentale qu'elles partagent. Je me dis que si Emily descend en enfer, elle pourrait devenir un ange déchue mais pas par Charlie. Car on a bien un démon qui pourrait tirer cet avantage en particulier.
There was some suspicion that Vaggie was an exorcist, but the simple act of sparing a child… Suffered a horrible injury as well as losing her eye and wings. The scene was horrible, but I like the scene where Charlie stumbles upon Vaggie, some might wonder what she was doing there. But since we don't know exactly how much time passed between the extermination and their meeting?
It could mean that Charlie was trying to find survivors and came across Vaggie. Although the encounter could be quite reminiscent of the devil stumbling upon a lost soul. I'd come across posts about Charlie becoming the devil, as Lucifer doesn't seem to have that title, as Sera says he's a fallen angel but not "the king of hell" or "the devil". This idea of Charlie's is taking shape, with Alastor as the whisperer in his ear. Vaggie as the fallen angel Charlie takes in.
And given that Emily and Charlie seem to be similar at first glance, in that they seem ignorant but have a similar character in addition to the parental relationship they share. I'm thinking that if Emily goes down to hell, she could become a fallen angel, but not by Charlie. Because we do have a demon who could use that particular advantage…
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e642 · 2 months
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Je me suis souvent demandé quelles sensations j'avais pu laisser ou pouvais laisser à ceux que j'aime. Pas forcément mes amis ou ma famille, plutôt les personnes importantes que j'ai aimées (très peu finalement). La première impression qu'ils aient pu avoir de moi ne m'a jamais tant intéressée que ça, en revanche, l'impression de tous les jours, celle des fois où on se voit, celle du quotidien, oui. Je sais que moi, j'ai toujours été attentive aux détails, aux odeurs, aux sourires, aux expressions, à la douceur de la peau, à son aura, à la sensation d'être contre la personne. J'aurais tellement aimé savoir ce qu'il ressentait et j'aimerais tellement savoir ce qu'il ressent. Est-ce que j'ai une odeur pour lui ? Réconfortante ? Douce ? Chaude ? Qu'est-ce qu'elle inspire ? De quoi elle donne envie ? Ma présence aussi. Est-ce que mes étreintes ont un goût particulier ? Un goût familier de chez soi ? Quelque chose qui soulagerait ? Que l'on voudrait prolonger ? Qu'on attend à la fin de la journée ? Je me demande s'il fait comme moi, quand on est collés, peau à peau et silencieux, est-ce qu'il s'imprègne ? Est-ce que ce voile de chaire voluptueux est apaisant ? Est-ce qu'il pourrait être celui de n'importe qui ou c'est le mien ? Quand j'arrive. Quand je sors du train, ou que je suis sur le quai, ou devant sa porte, ou n'importe où et qu'il me voie, qu'est-ce qu'il ressent ? Est-ce que c'est propre à moi ? Ce que j'amène ici c'est la réussite ou l'échec de la création du typique, du spécial, de l'appropriation. Ai-je réussi à lui créer des déclinaisons de sensations et d'émotions ? Par là, j'entends, est-ce que j'ai réussi à lui donner l'envie de moi, la joie de moi, le réconfort de moi, le sensoriel de moi, la chaleur de moi, la colère de moi, etc. Je sais que toutes mes émotions sont fractionnées pour ma part. J'ai une joie, une tristesse, une hâte, un réconfort, un désir, un intérêt, un amour général et ça enveloppe différemment chaque être de ma vie. C'est particularisé. Je ne ressens jamais la même chose d'une personne à l'autre, et pourtant, je ressens toujours la même chose quand c'est la même personne. Pour que les gens dans ma vie le soient, c'est qu'ils sont particuliers, ce qui induit de leur créer des nuances émotionnelles différentes et toutes valables. C'est pour ça que je me demande si moi, je suis une pluralité de sentiments et d'émotions spécifiques pour lui. Je n'avais jamais réellement réussi à mettre le doigt sur cette sensation. Cette envie d'être unique dans la manière d'être reconnue, ressentie et éprouvée par l'autre. Comme de l'adn, personne n'a le même, les émotions c'est pareil. Je serais toujours profondément frustrée de ne pas pouvoir connaître la réponse mais ça me rassure aussi de l'ignorer. Réaliser que je ne suis pas vécue de manière individuelle, propre, distinctive, me briserait. Pouvoir subdiviser les émotions (sans qu'elles n'en perdent leur essence) et les tailler pour qu'elles représentent tout ce qu'on projette, admire, aime de l'autre c'est, à mon sens, la vraie sentimentalité.
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 166
Cela faisait déjà quelque semaines que Xavier m'avait demandé de passer chez eux. Je savais qu'ils m'attendaient avec un cadeaux.
Nous finissons par trouver un soir alors que Marc est en déplacement.
Quand j'arrive Laure est encore seule. Bisou avec la langue. Collée contre moi, je la sens chaude. Je le lui dis. Elle m'avoue que quand elle sait que je viens, ça l'excite. ;L'idée de se faire prendre en même temps des deux cotés (cul et chatte) et même de voir son mec me sodomiser, ça l'excite un max.
Je passe ma main entre ses cuisses et je la retire trempée, elle n'a pas mis de culotte ! Sa main à elle est venue se plaquer sur mes jeans et masse la déformation du tissus que ma bite provoque vers la gauche. Je calme le jeu en attendant son mari.
Heureusement il ne tarde pas. Il vient directement me rouler un patin et enfile un doigt dans sa femme qui nous colle. Ils sont chauds tous les deux et nous passons directement au sexe ! Xavier nous emmène à sa salle de muscu et à poils nous commençons la partie de plaisir.
Comme à chaque fois nous débutons par Laure. Elle se laisse envahir par nos sexes. Bouche, chatte et anus nous voient passer plusieurs fois. Elle n'a maintenant plus de difficultés à se prendre les 26cm x 6,5 dans ses trous. Cela me vaut à chaque fin de séance un remerciement particulier.
Grâce à l'action conjuguée de nos bites et nos langues, nous la faisons jouir deux fois. Premier tableau : je la prends par derrière alors qu'elle chevauche son mari. Je m'introduis dans son cul alors qu'elle est toujours planté sur Xavier. C'est divin ! je sens au travers de ses muqueuses l'autre bite qui occupe son vagin. Quand Xavier reprend ses va et vient, nos glands se frottent l'un contre l'autre et nous sentons bien le passage de nos couronnes. Je dois me distraire un peu si je ne veux pas jouir aussitôt. Je me calme au moment où elle à son premier orgasme, sinon les compressions de ses muscles vaginaux m'achèveraient.
Deuxième tableau : inversion des rôles, je suis dans sa chatte, compressé par la queue de son mec en train de la sodomiser. Là, je ne crains pas de partir trop vite, je suis moins serré que dans son cul.
troisième tableau : Xavier délaisse sa femme, je prend sa place dans son cul. J'y suis quelques instants un peu au large, le temps que l'anneau se resserre sur ma queue. Je le sens venir dans mon dos. Je devine ce qui m'attend, sa grosse bite dans mon trou ! Il sait que je ne suis pas un coutumier de ses dimensions et commence par me bouffer l'oignon. Sa langue fait merveille, je m'ouvre et le sens la rentrer d'au moins un cm. Faut dire qu'il est habitué à manger la chatte et le cul de sa meuf. Après sa langue, il y va de ses doigts plein de gel et ne cesse que quand il en fait coulisser 3 sans résistance. Même ainsi je me sature en poppers ! Les 6,5cm de diamètre, plus encore que les 26 de long posent problème dans les premières minutes, bon après c'est bien sûr les 26cm qui ont un peu de mal à se frayer un passage ! Je me plante bien dans le cul de Laure et attend l'assaut de son mec. Alors que j'ai encore la tête bouillante (et le trou ramolli) par le poppers, il présente son gland sur ma rondelle. Excité, je veux en finir vite et recule sec. Son gland volumineux me pénètre. Je sens mon sphincter se refermer derrière la couronne. Xavier me prend alors par les hanches et pousse son bassin. Mm par mm, il fait entrer les 26cm de sa grosse pine. Je ne débande pas dans le trou de Laure. Je prend un plaisir fou à me faire écraser la prostate par son mandrin. Une fois au fond de mon cul, nous restons quelques instants sans bouger, tous les trois à écouter les sensations provoquées par le partenaire. Il recule me retenant contre son bassin jusqu'à ce que seul mon gland reste dans sa femme. Là, il me relâche et me dit d'y aller. Je vais passer comme cela un bon moment à coulisser dans le trou de sa meuf alors que le pieu de son mec me perfore l'anus. Je me plante au fond du cul de Laure, ça me libère l'anus. Je recule et m'enfonce le sexe de Xavier alors que la pression sur ma bite disparaît. Je ne jouis que quand, trop excité, Xavier me maintient planté dans sa femme et qu'il me laboure à fond. Je ne peux plus me retenir et explose. J'arrive à bloquer les mouvements de piston de Xavier et ça le fait juter à son tour. Je suis anéanti ! Xavier trouve encore la force de titiller de ses doigts le clito de madame et de lui tirer un troisième orgasme. Etalés sur le sol nous mettons 1/2 heure à récupérer.
Quand nous nous relevons, je boxe par jeux les pecs de Xavier en lui disant qu'il me ruine l'anus à chaque fois qu'il y passe. Il me répond que je ne dois pas détester cela car j'y revient régulièrement (ok, j'aime bien et aussi l'enveloppe qui va avec). Comme ils m'invitent à diner, je préviens Samir que je ne renterais pas très tôt. Nous mangeons très bien dans un restaurant 2* Michelin et au dessert, Xavier me tend un boite cubique noire. J'avais oublié qu'ils voulaient m'offrir un cadeaux pour les avoir " décoincé " de leur misère sexuelle. J'ouvre et trouve une montre super originale à une seule aiguille, Suisse bien sûr, la montre pas l'aiguille !
Je détache ma Tag-Heuer Monaco de tous les jours et la remplace par leur montre. Grand cadran noir, rond, qui virilise le poignet qui le porte. Très sobre elle est d'un chic fou, bien moins ostentatoire que le premier cadeau d'Emma (avec ses diamants roses), Je me lève et au risque de choquer les " bien pensants " embrasse Laure sur la bouche ainsi que Xavier.
Quelques jours plus tard, j'ai reçu un coup de fil de Daniel (mon vendeur Suzuki). On papote quelques instants sur le taf : vente et son taf : Escort. Il me dit qu'il commence à ne plus avoir de complexes rapport à sa culture et qu'il apprécie de plus en plus son " client ". Il me dit que bien qu'il ait été en combi moto ou à cause de cela, son " client " l'a emmené dernièrement dans un grand restaurant où son accoutrement faisait vraiment tâche ! Je lui demande si cela l'avait gêné. Il me dit que finalement il n'en n'avait rien eu à faire. Il avait même noté chez les serveurs, une certaine connivence. En attendant, ils avaient passé un bon moment, son " patron " s'amusant même des regards réprobateurs qui provenaient des tables voisines. Coté sexe, ça le fait bien aussi. Comme ils sont tous les deux recto/verso, il n'y a pas de manque (contrairement à Kev et son Boss). Je lui demande quand il pourra passer avec Cédric et nous tombons d'accord pour le WE qui suit, Marc sera présent. Il aime trop les ptits mecs pour que je le prive d'une baise avec Cédric.
Ils arrivent dès le vendredi soir (même si ils travaillent le samedi matin pour Cédric et toute la journée pour Daniel). J'irai d'ailleurs le chercher à midi (Cédric).
Nous les débarrassons de leurs combi moto, ils restent en shorty et t-shirt. Cédric est très à l'aise et saute alors dans les bras de Marc pour lui rouler un patin, pendu à son cou, les jambes autour de sa taille. Comme il ne veut pas en descendre, Marc le porte jusqu'au salon. Nous les suivons en échangeant les dernières nouvelles et les retrouvons Marc dans un canapé et Cédric en train de glisser le long des ses jambes. Quand il est à genoux, il lui écarte les cuisses et s'occupe à défaire les boutons du Jeans. Nous le regardons faire et j'appelle Ammed pour qu'il nous serve l'apéro.
Il n'a pas fallu beaucoup de temps à Cédric pour arriver à ses fin et qu'il libère le sexe de Marc. Il ne reste pas à l'air libre très longtemps et se retrouve couvert par la bouche vorace de Cédric. Je fais attention et je m'aperçois qu'il réussit à le manger en entier. J'en discute avec Daniel qui me confirme que tous les jours il lui fait la gorge pour qu'il s'entraine et maîtrise les réflexes associés au passage de la glotte. Je le félicite car le résultat est là. Marc apprécie les progrès. Devant tant de bonne volonté, il prend la tête de Cédric entre ses mains et gère le pompage de sa bite. Entre autre il teste la capacité respiratoire de son suceur en maintenant progressivement de plus en plus longtemps son gland au fond de sa gorge. Ce n'est pas Ric mais il arrive à tenir un bon moment sans respirer. Sans ôter la bite de Marc de sa bouche, il se défait de son shorty et de ses chaussettes et passe de la position sur les genoux à 4 pattes, nous présentant son petit cul étroit, véritable appel au viol. Marc nous demande de bouger et de lui préparer le cul. En vitesse nous nous mettons aussi à poil et commençons à lui travailler le trou. Bien souple, peu être un peu plus que dans mon souvenir. Daniel me rassure et me dit qu'il a été obligé de le sauter à midi, tellement il (Cédric) était excité de passer son premier WE chez nous.
Je passe en premier et Kpoté enfonce mes 20cm dans son cul. Bâillonné par la queue de Marc, il ne peut manifester. Je le prends par les hanches et le lime sèchement. A chaque fois que je suis au fond de son cul, je pousse encore pour qu'il s'enfonce la queue de Marc jusqu'à ce que son front butte sur les abdos. Il arrive a se dégager de Marc juste le temps de nous déclarer que c'est trop bon et de reprendre sa pipe là où il l'avait laissée. C'est vraiment adorable autant de bonne volonté ! Je vais pour céder ma placer à Daniel mais il me dit de continuer, lui a le privilège de l'enculer tous les jours. Il se place dans mon dos et glisse sa bite entre mes cuisses, son gland me caressant les couilles. Je lui dis de mettre une kpote et j'ai juste le temps de me mettre un peu de gel qu'il se présente à mon passage arrière et défonce la porte. Bon, très bon même ! Se faire enculer alors que soi même on est en train de faire la même chose c'est divin. Marc ne tient plus, il repousse Cédric et le prend par les épaules pour le relever. Je me retrouve la nouille à l'air ! Il se rassoit dans le canapé, se kpote et demande à Cédric de s'assoir sur sa bite en lui tournant le dos. Une fois Cédric bien planté dessus, il bascule en avant et le met à 4 pattes devant moi. J'ai juste à prendre sa tête entre mes mains pour lui indiquer le chemin de ma queue (dkpotée).
Photo : Daniel m'encule alors que je me fais sucer par Cédric lui même enculé par mon mec qui en se penchant un peu vient me rouler un patin. Trop bon cette situation ! Cédric s'applique à me sucer et à m'avaler le gland, même si les coups de rein de Marc désordonnent, de temps en temps, le rythme.
Marc, à force de taper dans sa prostate, fait jouir Cédric. Après ça part en cascade. Marc se verrouille au fond du cul de Cédric et large la sauce dans sa kpote, ce faisant il pousse Cédric à me manger entier et je ne peux me retenir et je lui envoi mon apéritif maison direct dans l'estomac. Il se recule juste pour accueillir ma dernière giclée dans sa bouche et la garder pour en tartiner mon gland avec sa langue. Mes éjaculation se sont accompagnées d'autant de contractions anales et le massage de celles ci sur la bite de Daniel qui était dedans l'a fait exploser. En ressortant brusquement, il a réussi à m'en foutre plein le dos.
Le dos essuyé avec sollicitude par Ammed, j'attends que nous ayons tous repris nos souffle pour proposer un douche.
Sous les jets d'eau, nous nous mettons à trois pour laver Cédric. Pas un mm² de sa peau ne nous aura échappé. Puis c'est le tour de Daniel, moi et nous finissons par Marc. Il avait eu le temps de recharger les batteries et nous a présenté ses 22cm raide au rinçage. Comme nous ne pouvions le laisser dans cet état pour le dîner, J'ai poussé sur la tête de Cédric et ce dernier, sans se faire prier, l'a gratifié d'une bonne pipe. Cette vue m'a fait bander à mon tour et Daniel, sans que je lui demande, s'est agenouillé à coté de Cédric et me sucer aussi.
Photo : Marc et moi, debout, épaule contre épaule, le dos en appui sur le carrelage de la douche avec entre nos pieds Daniel et Cédric à genoux en train de téter nos bites.
Marc à juté le premier sur les épaules de Cédric. Libéré, ce dernier s'est couché sur le carrelage pour sucer Daniel. Le ballet de sa langue sur mon gland et ma hampe a eu raison de ma résistance et j'ai, à mon tour, éjecté mon sperme sur ses épaules et le dos de Cédric. Peu de temps après ce dernier avalait la production de Daniel. Nous nous sommes mis à trois pour faire jouir Cédric. Coincé dans les bras de Marc, je l'ai sucer jusqu'à l'os pendant que Daniel lui bouffait les tétons. Il n'a pas fallut 5 minutes pour qu'il explose à son tour.
Nouvelles douches pour tous et nous sommes remontés diner.
JARDINIER
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abridurif · 2 months
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Je ne puis tout bonnement pas croire aux conclusions que je tire de mon état actuel, qui dure déjà depuis presque un an, il est trop grave pour cela. Je ne sais même pas si je puis dire que c’était là un état nouveau, j’en ai connu d’analogues, je n’en ai pas encore connu d’identiques. Car je suis de pierre, je suis comme ma propre pierre tombale, il n’y a là aucune faille possible pour le doute ou pour la foi, pour l’amour ou la répulsion, pour le courage ou pour l’angoisse en particulier ou en général, seul vit un vague espoir, mais pas mieux que ne vivent les inscriptions sur les tombes. Pas un mot – ou presque – écrit par moi ne s’accorde à l’autre, j’entends les consonnes grincer les unes contre les autres avec un bruit de ferraille et les voyelles chanter en les accompagnant comme des nègres d’Exposition. Mes doutes font cercle autour de chaque mot, je les vois avant le mot, allons donc ! le mot, je ne le vois pas du tout, je l’invente. Ce ne serait pas encore là le pire, mais il faudrait que je pusse inventer des mots propres à chasser l’odeur de cadavre dans une autre direction, afin qu’elle ne nous saisisse pas aussitôt à la gorge, moi et le lecteur. Quand je m’assieds à ma table de travail, je ne me sens pas plus à l’aise que quelqu’un qui tombe sur la place de l’Opéra en plein trafic et se casse les deux jambes. Les voitures, silencieuses en dépit du vacarme, cherchent de tous côtés à gagner toutes les directions. Mais mieux que les agents de police, la souffrance de cet homme assure l’ordre, cette souffrance qui lui ferme les yeux et vide la place et les rues, sans que les voitures soient obligées de faire demi-tour. Tant de vie lui fait mal, car il est, lui, un obstacle à la circulation ; mais le vide n’est pas moins affreux, il déchaîne sa souffrance proprement dite. Kafka, Journal, 1910
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Seule une critique de l’idéologie pourrait permettre au sujet de s’extraire de l’impasse discursive dans laquelle se sont enfoncées les "démocraties occidentales", en prise aux puissants Denkverbot (interdit de penser) que sont:
-L’innovationnisme technologique
-L’écologisme-climatisme
-Le lgbtisme-féminisme
-L’antiracisme…
qui par le surmoi social (Kultur-Überich) qu’ils font peser sur le sujet du discours courant, ouvrent la porte à un fascisme numérique supranational plus toxique, régressif et dévastateur que tout ce que l’humanité a connu jusque là…
L'illustration la plus courante de l'idéologie est probablement celle de Marx, le célèbre "cela, ils ne le savent pas, mais ils le font".
On attribue donc à l'idéologie une certaine naïveté constitutive: l'idéologie méconnaît ses conditions, ses présuppositions effectives, son concept même implique un écart entre ce qu'on fait effectivement, et la "conscience fausse" qu'on en a.
Le but de l'analyse critique-idéologique est donc de détecter, derrière l'universalité apparente, la particularité d'un intérêt qui fait ressortir la fausseté de l'universalité en question: l'universel est en vérité pris dans le particulier, déterminé par une constellation historique concrète…
Mais aujourd’hui, sous la pression persistante du wokisme, qui dans le déni du réel où il se fonde, est à considérer comme la religion païenne sans transcendance des postmodernes qui couvre les Denkverboten cités plus haut, l’argumentation rationnelle n’a plus droit de cité, le discours courant ne dépasse plus le niveau de l’opinion, et toute pensée, tout argument, tout raisonnement sont automatiquement ravalés à une opposition binaire: pro- ou anti–, pour ou contre, -phile ou -phobe. Voilà donc le formidable exploit d’essorage et d’aplatissement des consciences opéré en un peu plus de cinquante ans par l’idéologie libérale-libertaire dont se soutiennent les technologies dites "numériques", le sacro-saint mythe progressiste identifié aux seules performances machiniques du calcul: 0 ou 1.
À l’opposé de cet obscurantisme new-age, pour ceux qui ont appris à compter jusqu’à trois, il y a la découverte freudienne de l’inconscient dont les conséquences restent encore largement ignorées plus d’un siècle après…
La psychanalyse n’est pas à réduire au rang d’une technique destinée à "thérapier le psychique", à son niveau le plus fondamental, l’analyse offre l’expérience de ce qu’il en est — en vérité et dans le Réel — de l’impossible et donc des possibilités de l’ex-sistence humaine la plus radicale, à savoir la sienne.
Que «la société» procède du refoulement et pas l’inverse, voilà la véritable subversion freudienne, voilà le dire de Freud qui est encore loin d’avoir fait son chemin, notamment chez l’immense majorité de ceux-là même qui se réclament de la psychanalyse.
Ce n’est pas "moi" qui m’inscris dans la société mais bien l’Autre qui est toujours déjà là, en moi, non pas sur un mode identificatoire, mais par césure. Je ne suis pas étranger à la société, il y a toujours déjà un étranger qui vit en moi.
Nous sommes disjoints de nous-mêmes, décentrés, déjetés, dégénérés, c'est le sens de ce qui, en psychanalyse, a pris le nom de "castration symbolique", qui est un pléonasme car c’est le symbolique, le langage, qui nous a toujours déjà coupé de nous-mêmes en colonisant notre corps jusqu’à la dernière de nos cellules.
Si nous communiquons avec d’autres, c’est parce que nous ne pouvons pas directement communiquer avec nous-mêmes, nous avons toujours besoin de la médiation de l’Autre.
L’Autre c’est le lieu du langage, le trésor des signifiants.
Pour le sujet humain, ce qui se passe ce sont des mots, c’est le désir en tant que désinence du dire qui fait la loi au sujet, et c’est le langage qui fait la loi du désir.
Le vrai malaise dans la civilisation aujourd’hui, c’est de ne plus apprendre à parler…
La caste des médiocrates au pouvoir, des politiciens professionnels de gauche ou de droite a consolidé son empire par l'emploi d'une langue simplifiée, binaire, proche du modèle informatique.
L'emploi de cette novlangue, hégémonique dans les médias, rend incapable l'accès à la dialectique et donc à la pensée.
Nous ne savons plus parler, nos lèvres sont sèches et les mots sont déjà morts avant de passer la barrière de nos dents.
Apprendre à parler présuppose toujours d'apprendre à lire, puis écrire, et aussi dessiner, composer comme on aiguise une lame, comme on répète des enchaînements pieds-poings, apprendre à parler c'est apprendre à se battre.
Le combat n’est pas un moyen, le combat est une fin.
Comme disait Platon «seuls les morts auront vu la fin du combat.»
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ernestinee · 4 months
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Je termine à l'instant "L'été de la sorcière" de Nashiki Kaho.
L'histoire commence par la mort de la grand-mère de Mai. Le livre raconte les souvenirs de Mai, alors qu'elle vivait dans une maison de la campagne japonaise, avec cette mamy, surnommée La sorcière de l'ouest, qui lui montre comment comprendre la nature et écouter les petites voix qui la guident. Mélange de plongée en enfance, développement personnel et acceptation de ce qu'on ne peut comprendre ni maîtriser.
La lecture est fluide, comme souvent lorsque le texte est traduit du japonais. Je suis d'ailleurs tentée de trouver la version originale, pour voir quels mots ont été employés dans les superbes descriptions de paysages et de sensations.
Évidemment avec l'enfance que j'aie eue, je me suis identifiée à Mai à 200%. J'ai gardé certains passages qui m'ont profondément touchée tant j'ai ce sentiment de les avoir vécus moi-même il y a bien longtemps.
La plupart de ces extraits sont des sensations dans des lieux, en particulier ceci :
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Percevoir la volonté d'un lieu, depuis toujours j'ai l'impression de personnifier la nature, parfois me sentir accueillie, parfois me sentir jugée, ou cette sensation d'oppression lorsqu'il neige et que le sol me semble étouffer sous l'épais manteau, j'ai des dizaines d'exemples dans lesquels les lieux me semblent vivants, avec leur propre volonté et leur langage, comme dans cet extrait :
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Et puis l'observation, la fascination pour le brouillard, découvrir son origine, son mouvement, sa sérénité et le confondre lui aussi avec des émotions :
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Et enfin cet extrait qui décrit parfaitement la douleur de l'absence, le creux brûlant de vide et coulant gluant dans tout le corps, en particulier quand des remords viennent s'ajouter à la peine.
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Je sens cette entaille tellement fort, tellement précisément.
Ce livre était trop rapide à lire, j'avais envie de passer davantage de temps avec Mai, la voir grandir et, j'espère, rester proche de la nature et utiliser les savoirs acquis lors des journées passées avec sa grand-mère. J'ai un petit goût de pas assez, de fin trop rapide. Est-ce parce que j'ai apprécié le livre ou est-ce plus objectif que ça ? On va dire que c'est la première option.
⭐⭐⭐⭐⭐
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contesdefleurs · 2 months
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Dépolitiser la littérature met des vies en danger
Permettez-moi de faire au plus simple dans ce billet, parce que je m'adresse essentiellement à des personnes qui, comme moi, à l'époque où je ne comprenais pas ce que le mot "politique" impliquait, n'ont que peu de notions. Si vous souhaitez nuancer mon propos ou partager des ressources, n'hésitez pas à laisser des commentaires.
Cela semble exagéré comme titre ? Et pourtant, il n'en est rien. Depuis que je suis sur les réseaux sociaux, et en particulier dans la sphère littéraire de divers milieux numériques, beaucoup ont clamé haut et fort qu'il fallait "cesser de tout politiser" ou d'arrêter d'évoquer les questions relatives à la place de la politique dans nos ouvrages. Comme si dire que la littérature a un rôle social et politique, c'était prêter trop d'importance, ou trop de sérieux, à "un simple loisir". Chose que beaucoup de personnes pensent, la réduisant ainsi à un rôle unique : celui de nous divertir. Or, notre manière de nous divertir est bien plus politique que vous ne le pensez.
Introduction
Si vous n'en êtes pas convaincu-e, c'est peut-être que vous ne vous êtes pas interrogé-e sur le sujet, ce qui est normal, personne ne l'a vraiment appris. C'est en faisant des recherches, en rencontrant des gens ou en militant qu'on peut en venir à se questionner. Au cœur de notre imaginaire collectif, nous n'avons de cesse de voir partout des domaines relatifs au divertissement être réduits à une seule fonction : divertir. Certes, elle n'est pas négligeable, et elle est tout aussi importante à considérer. Sauf que c'est aussi un moyen de porter des idées. La mentionner chaque fois que l'on parle de politique a été, dans bien des situations, une façon de délégitimer des critiques, qui visaient, entre autres, des idées conservatrices et oppressives. Donc des idées susceptibles de mettre des personnes en danger, car les mettre en avant et les banaliser normalise des violences : le racisme, la misogynie, le validisme, la grossophobie, etc.
Quelques notions
"Discriminations", "oppressions". Voici des formes de violences dont vous connaissez peut-être les noms, ou que vous avez pu lire sur les réseaux. Ce sont des violences basées sur des critères arbitraires qui consistent à marginaliser, exclure, des groupes de personnes du fait qu'elles ne correspondent pas à des normes établies ou à un modèle social défini selon des hiérarchies, et cela varie en fonction des pays et cultures (aux causes et conséquences sociologiques et historiques différentes). Le fait d'être un homme blanc (au sens littéral comme au sens social), cisgenre, riche, valide, neuroT, hétéro, mince, etc fera que vous serez valorisé-e en France par exemple. Il vous sera plus facile d'obtenir un logement, un travail et d'autres avantages, au détriment d'autrui parfois. Pour peu que vous n'entriez pas dans ces critères, et que vous ne faisiez pas partie d'un groupe haut dans la hiérarchie, vous pouvez donc subir des violences. Les degrés dépendent du milieu où vous évoluez en société, de l'exposition à ces dernières, de vos liens sociaux et divers autres facteurs.
Le conservatisme est, d'après le dictionnaire de l'Académie française : "une doctrine ou état d’esprit qui tend à s’opposer à toute modification ou innovation, par attachement aux pratiques traditionnelles ou à un ordre existant". C'est donc un ensemble d'idées qui tend vers le maintien de ces dernières. Dans une société aux pensées conservatrices, il est donc fréquent que les normes, injonctions et modèles soient défendus au point de réprimer des idées qui osent s'y confronter, puisqu'elles sont banalisées et institutionnalisées. Cet "attachement" décrit dans cette définition n'existe non pas que pour la valeur sentimentale des traditions (argument souvent utilisé par la droite et l'extrême droite qui jouent sur les paniques morales et la fameuse "perte des valeurs et de notre identité"). Il est aussi présent parce que conserver ces hiérarchies favorise et avantage des groupes privilégiés (ceux qui sont donc en haut) au détriment des autres par leur exploitation. Il s'agit là d'un rapport de force se trouvant être le résultat d'évènements socio-historiques, et cet ensemble d'éléments (idées, rapport de force et un pouvoir institutionnel et gouvernemental) forme un système.
À présent que vous avez quelques notions, humblement définies, sachez que les idées (vous vous en doutez) ne se présentent pas que sous la forme d'injonctions. Elles circulent à travers notre manière de vivre, et bien sûr, notre manière de se divertir. Et oui. Même l'humour est un vecteur d'idées. C'est parce qu'on normalise certaines blagues, basées sur des clichés oppressifs, qu'elles perdurent. En les réduisant à du divertissement, on minimise et sous-estime l'impact qu'elles peuvent avoir dans nos représentations et elles finissent par perdurer en perpétuant des violences déjà existantes (parfois en les augmentant dans des périodes de tensions politiques, comme lorsque des idées progressistes ou des luttes prennent de l'ampleur ou que des droits sont enfin obtenus).
Dire "ce n'est qu'un récit" quand on parle de littérature en ignorant (volontairement ou non) son rôle politique, cela fait partie de la dépolitisation. C'est-à-dire nier ou retirer dans notre propos le caractère, le rôle et l'impact politique (au sens social du terme) que peuvent avoir des livres. Des personnes vont les lire et des idées seront diffusées à travers ces lectures, d'une manière ou d'une autre. En dépolitisant des sujets qui concernent des vies humaines (souvent des groupes oppressés et discriminés), nous les mettons donc en danger. En dépolitisant la littérature, nous maintenons des idées destructrices.
La dépolitisation de la littérature
Plusieurs auteurices ont présenté des œuvres avec des idées oppressives (participant de fait à des violences visant des groupes de personnes pour leurs origines, couleur de peau, handicaps, identité de genre, religion, orientations romantico-sexuelles, et bien d'autres choses...). Que cela soit volontaire ou non, les mêmes arguments, plus que discutables, sont encore tenaces de nos jours : "ce n'est que de la fiction" ; "mon livre n'est pas politique, il est divertissant" ; "il faut arrêter de tout politiser, c'est juste un récit".
La politique n'est pas détachable de toute sphère ou domaine, car elle les influence en permanence. Elle est présente dans notre langage et nos représentations, d'où l'importance de ne pas négliger sa présence dans la littérature. Certain-e-s pourraient dire qu'il ne s'agit là que de questions culturelles : en réalité, les deux sont très liés. Les cultures se sont construites autour d'environnements, de sociétés, elles-mêmes grandement liées à des évènements et évolutions socio-historiques, comme mentionné plus tôt, qui ont émergé parce qu'elles ont été portées par des idées.
Répandre l'idée selon laquelle il faut différencier politique et divertissement/littérature, c'est passer à côté du rôle que l'on a. C'est aussi dépolitiser notre propre place d'écrivain-e et/ou lecteurice. En tant qu'individu membre d'une société, qui que l'on soit, on porte, diffuse, partage un regard politique sur notre monde de manière consciente et/ou inconsciente. Ignorer cela, ne pas prendre en compte la place que la politique prend dans les milieux littéraires, c'est participer, volontairement ou non, au maintien de violences. Ne pas agir, c'est devenir complice.
Conclusion
Il est vrai que se positionner, agir, sur des sujets politiques, s'éduquer, apprendre, n'est pas toujours chose aisée. C'est un inconfort que l'on doit surmonter si l'on souhaite contribuer à une littérature plus éthique engagée. L'esprit critique garantit une forme d'autonomie et une liberté de penser, qu'il faut considérer avec sérieux, selon moi. Au-delà de l'aspect moral (ce n'est pas un combat entre le bien et le mal). N'est-il pas plus enviable de prendre conscience et comprendre la société dans laquelle on évolue ? Dans les milieux centrés sur l'écriture, on parle davantage de diversité, d'inclusivité, ce qui montre que les mentalités ont évolué et qu'il est possible de surmonter cet inconfort. Il devient moindre grâce au travail collectif réalisé dans nos luttes et nos efforts individuels.
Plus tard, j'envisage de présenter quelques ressources pour compléter ce modeste billet. J'espère qu'il éclaircit un peu plus les enjeux présentés. La dépolitisation touche bien d'autres domaines, alors gardons en mémoire que la politique ne concerne pas que le vote ou les débats.
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Merci pour ta lecture, à bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
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lisa972kdlz · 6 months
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(Bon, il fallait quand même que je mette la version française par solidarité pour mes congénères qui auraient du mal avec l'anglais et qui passeraient par là pour des raisons obscures xD)
Théories Dreamtale :
Voici une liste de quelques théories à propos de l'histoire de Dreamtale qui laisse encore des trous très intéressants à essayer de combler. Pensées philosophiques et scientifiques m'ont amenées à concrétiser ces théories, pourtant, si je m'y suis inspirée, ce n'est pas sur ces points de vue que je me porterai, mais bien sur un point de vue purement artiste. Petit à petit la philo et la science s'est perdue dans mes divagations pour laisser place à des imaginations qui semblent s'emboîter. L'artiste imagine. Il triche, il ment, il n'a cure des réalités concrètes. La seule science sur laquelle je me positionne, finalement, ce sont les éléments apportés du canon de Dreamtale, du moins ceux que j'ai réussi à piocher. Peut-être aurais-je manqué certaines informations qui iraient détromper ces hypothèses, auquel cas il serait courtois de me le faire savoir.
De manière plus chill, je suis juste une ado avec un esprit débordant qui adore élaborer des théories tarabiscotées avec ce que j'ai sous la main, et que j'écris ça principalement pour m'amuser ^^
Ce n'est absolument pas parce que je pense que c'est vrai, en fait je ne pense pas une seconde avoir raison, donc on ne peut pas trop appeler ça des théories... Juste des spéculations, des idées à propos de Dreamtale que je voulais partager. Presque des headcanons, mais tout de même basé sur des éléments concrets du canon.
Mais commençons, première théorie !
☁︎ Canon/Fanon :
Tout d'abord, pourquoi est-ce que j'insiste autant sur la canonicité ? Parce que concernant Dreamtale, la frontière entre le Fanon et Canon n'est pas toujours très comprise, étant donnée qu'il y a pas mal d'idées reçues à ce sujet.
Le fait est que je considère le Fanon et le Canon de Dreamtale comme deux mondes totalement distincts, et pourtant, comprenez que je déteste adhérer à des variantes de ci et de ça pour tout et n'importe quoi. L'idée de séparer viscéralement le côté Canon et le côté Fanon d'une œuvre me semble dénué de sens, surtout dans la carde d'un monde ouvert où chaque univers est une pièce d'un puzzle plus grand, où le monde qu'on nous présente est fait pour être un immense terrain de jeu.
Et puis à ce stade, si on fait cela avec cet univers, on pourrait faire de même pour toutes les histoires existantes. Néanmoins, pour CE monde en particulier, ça me paraît important.
Car il y a une différence cruciale qui sépare C!Dreamtale et F!Dreamtale, une différence qui modifie complètement l'interprétation de l'œuvre. Le Fanon ne fait pas juste quelques modifications d'interprétation... Il change carrément la nature même d'un personnage : Nightmare Corrompu.
Et ça, bah... C'est un peu compliqué de ne pas séparer, surtout quand la version Fanon est aussi populaire... Canon, il est mort et son corps appartient à un autre personnage qui a lui-même une personnalité et un Background à lui. Fanon, il est vivant. Piégé, emprisonné, manipulé, séparé en deux personnalités (Night et Mare) ou foncièrement mauvais selon les cas, mais vivant.
Night vit un peu le syndrome d'Asriel. C'est parce que les fans d'Undertale n'ont pas pu accepter sa mort que les premiers AU's ont été créés. Et pour Dreamtale, il y a eu une telle mésentente à ce propos (car en lisant le Prologue, tout le monde était d'accord sur le fait que Nightmare Corrompu était...bah... Nightmare (je vous rassure c'était pas évident–)), que la majorité pense que c'est ça l'officiel.
On peut ajouter à cela le fait que la plupart du temps, dans les histoires très fanons, les deux autres arbres n'existent pas ou ne sont jamais mentionnés, que Corrompu (je refuse de l'appeler "Nightmare" tout simplement parce que ce n'est pas Nightmare), n'est pas une personne à part entière, voire n'existe pas du tout, que Dreamtale est un AU d'Undertale et donc fait de codes comme les autres AU's, mais tout cela dépend encore des gens selon leur interprétation et leurs connaissances vis-à-vis du vrai Dreamtale.
De manière plus tranchante, et si la frontière est toujours confuse : F!Dreamtale appartient au Multivers d'Undertale tandis que C!Dreamtale est son propre univers.
Vu que j'aime autant ces deux aspects l'un que l'autre et afin de mettre tout le monde d'accord, j'ai élaboré une mini théorie :
Le Dreamtale Fanon, étant le Dreamtale développé par les fans se basant sur la croyance que Nightmare Corrompu est plus ou moins Night, s'est tellement éloigné de son histoire d'origine (Il se consacre davantage sur la relation "frères brisés" des deux jumeaux, leur développement mutuel et leurs relations avec les personnages du Fandom Undertelien), qu'au fur et à mesure, en posant racines dans le monde d'Undertale et par l'influence des créateurs, Dreamtale se serait "dédoublé". Cette doublure aurait ensuite fusionné avec les codes du Multivers d'Undertale, parce que Dreamtale s'y est tellement bien intégré que cette version de lui a fini par s'imprimer au sein même du noyau et des codes. C'est pour ça qu'on ne mentionne pas toujours les autres arbres, étant donné qu'eux n'ont jamais rejoint le Multivers d'Undertale, voire qu'on ne les mentionne JAMAIS pour les AU's de Dreamtale comme Swapdream ou les Multivers alternatifs comme Dreamswap, Swapverse, etc. C'est pour ça que Dream et Nightmare existent dans les Multivers/AU's alternatifs et pas le reste (Vampireverse, Empireverse, Minuscultale et Cie)
Au final, cela donne deux Dreamtale :
Le Dreamtale Canon, qui appartient à Joku,
Le Dreamtale Fanon, qui appartient au FandomÀ Joku aussi.
Bah oui, ça reste Dreamtale en fait, donc ça appartient toujours à Joku quoi que veuillent les haters ◖눈ᴥ눈⁠◗
Duh.
Également, cela n'empêche certainement pas d'imaginer des fanfics fanons qui se basent sur le C!Dreamtale, c'est même conseillé pour le mettre en avant comme il le mérite. D'où l'idée de séparer complètement ces versions, car les fans peuvent faire des fanfictions sur le Canon, et bien que fanon, ce ne sera pas la version F!Dreamtale.
Deux mondes prenant des chemins thématiques différents créés par l'incertitude de la mort de Night (comme un "Night de Schrodinger"  ͡⁠°⁠ ͜ · ͡⁠°⁠)
Théorie suivante !
☁︎ Lien Arbre des Sentiments/Créateurs :
C'est une question que je me suis posée en m'interrogeant sur les diverses attaques de Dream et Corrompu. Là où Dream a besoin d'un corps pour tenir, Corrompu possède tellement de pommes noires qu'il tient physiquement en place sans enveloppe charnelle, et à peu près correctement. Énergies positive et négative ont des fonctionnements différents ? Est-ce parce que Corrompu possède plus de pommes qu'il tient mieux ? Qu'est-ce l'énergie positive et négative dans Dreamtale ?
Au début, j'étais partie du principe que l'énergie, étant ce qui compose absolument toutes les choses existantes, les humains comme les monstres, pouvait être utilisée par Dream et Corrompu pour être convertie soit en énergie magique, soit en énergie physique. Comme Dream n'a qu'une pomme et possède un corps, il convertit cette énergie en énergie magique, ce pourquoi il possède une âme similaire à celle des humains et serait en mesure de guérir comme le fait la magie verte, ou faire des dégâts comme avec la magie blanche. Quant à Corrompu, ne possédant pas de corps propre et ayant amassé assez de puissance avec ses centaines de pommes, il serait obligé de convertir l'énergie négative en énergie physique. Cela nécessiterait beaucoup de puissance, et donc expliquerait pourquoi, malgré le fait qu'il soit plus fort que Dream, il n'est pas 999X plus fort que lui. Il utilise déjà une grande partie de son énergie à simplement... Tenir en place sans fondre.
J'avais également suggéré que si l'un venait à acquérir toutes les pommes, non seulement il bénéficierait d'un corps stable, mais en plus il serait capable de convertir cette énergie comme bon lui semblerait. Corrompu pourrait alors générer des attaques magiques ET avoir un corps physique.
Le truc, c'est que... Dreamtale ne fait pas partie d'Undertale en réalité. Donc il n'y a pas de dualité Magie/Physique. Et même en admettant que Dream convertisse cette énergie en énergie magique parce qu'il copie inconsciemment le fonctionnement de son monde d'adoption, j'ai vérifié et il attaque bien canoniquement avec de L'ÉNERGIE positive et pas de la magie à base d'énergie positive. Son âme est intégralement d'énergie positive étant donné que personne ne peut l'atteindre à par Corrompu. L'énergie apparaît sous plusieurs formes, mais je ne pense pas qu'on puisse maîtriser avec une forme aussi pure...
Tout cela peut encore tenir en place, mais ce qui me gêne le plus serait que l'énergie pure aurait... Un côté positif et un côté négatif ? Relatif aux sentiments qui plus est ? Pourquoi pas, mais ça me plaît pas trop.
Cette énergie est matérielle, palpable. On pourrait s'arrêter sur le fait que ce n'est qu'une énergie magique comme on en trouve partout dans les histoires et ne pas se poser plus de questions, et... Ouais, qu'on s'en fout un peu au final.
Mais j'adore me creuser la tête pour trouver des réponses aux questions que personne ne se pose alors je continue èwé–
À quelle sorte d'énergie cela ferait-il référence ? Pas l'énergie dans le sens scientifique, car elle est indépendante de quelconque émotion, tandis que dans Dreamtale, l'énergie positive par exemple, est reliée directement aux sentiments positifs.
Parce que arbre des SENTIMENTS–
Le plus plausible que j'ai trouvé, ce serait que les énergies positives et négatives soient liées à l'énergie spirituelle : les auras, la méditation, dont les preuves d'existence sont assez floue dans le monde des créateurs. Mais dans le monde de la fiction...? Et si ?
Cette énergie de la conscience existe, qu'elle soit réelle ou non. Et si elle ne se trouve pas dans le monde réel, tant qu'il y a des gens pour y croire, c'est qu'elle se trouve dans le monde de la fiction. Et si les fruits de l'arbre des sentiments étaient la manifestation physique et matérielle de cette énergie spirituelle produite par la conscience des créateurs ? Tout comme un monde est créé par un esprit créateur, et si Dream et Nightmare étaient les gardiens des sentiments de la fiction en tant qu'incarnation directe des émotions que les créateurs inculquent dans leurs œuvres ? Ça pourrait être la raison pour laquelle Dreamtale n'est pas fait de codes, car il est l'incarnation directe d'une philosophie et pas simple un univers de fiction parmi tant d'autres.
J'arrive pas à savoir si ça paraît trop évident ou au contraire trop tiré par les cheveux ^^"
C'est le concept dans Underverse qui m'y a fait penser... Il y a des références entre ce que sous-entend Nightmare dans 0.6 et les créateurs qui déchirent leurs propres univers, car ils sont emplis d'émotions négatives. Underverse n'est pas canon, mais rien n'empêche d'appliquer cette idée de lien créateur/sentiments dans Dreamtale.
Surtout que ça permet d'imaginer quelque chose d'encore plus gros et qui pourrait marcher par rapport aux trois arbres...
Mais avant cela, petite théorie sur Corrompu parce que plus on en apprend sur lui, plus ce personnage est... Mystérieux.
☁︎ Y'a quelque chose de pourri au Royaume de Dreamtale :
Depuis que j'ai su que les trois arbres faisaient partie non pas du Multivers d'Undertale mais de tous les autres Multivers, je me suis demandée pourquoi ce serait Corrompu qui incarnerait le Mal absolu, lui et pas un autre. Après tout, des seigneurs du mal, on en connait plein, n'est-ce pas ? N'est-ce pas un peu prétentieux de se dire au-dessus de tout le monde ?
Un détail cependant, une nuance, marque toute la différence.
Par définition, Corrompu n'incarne pas le Mal, mais les sentiments négatifs. Il les incarne parce qu'il est devenu leur gardien, leur porteur. Ce que je veux dire, c'est que les pommes noires et le Mal ne sont pas liés... Les pommes noires ne sont pas fondamentalement mauvaises, elles n'ont pas de conscience, elles sont neutres, elles existent pour l'équilibre et ont une utilité propre.
Corrompu est le Mal pour une autre raison. Il l'est parce qu'il est tout simplement mauvais. Si l'incarnation des sentiments négatifs est méchante, ce n'est pas parce que les émotions négatives ou les pommes sont méchantes, mais parce qu'elles sont elles-mêmes corrompues, aliénées par une conscience qui les manipule de façon irresponsable. Pourquoi l'Entité ressentirait-elle de la haine ? De la haine et pas du désespoir ou de l'effroi ? Parce qu'elle était déjà emplie de haine, ou bien qu'elle a une personnalité battante qui lui permettent d'exploiter cette émotion pour ses sombres projets. Signe que Corrompu ne serait pas digne d'être leur porteur ? Après tout il n'est pas leur gardien de base, c'était Nim, puis Nightmare.
Donc de ce point de vue là, cela ne l'empêche pas d'être une allégorie à l'échelle de toutes les dimensions (ou d'une grande zone des dimensions, si on n'aime pas le fait que Dreamtale soit lié à tous les univers de fiction.) Une allégorie des sentiments négatifs qui n'a pas lieu d'être et qui donne une image erronée de ce que sont les sentiments négatifs en réalité. Les sentiments négatifs ne sont ni bons ni mauvais, ils ne veulent aucun mal aux autres. Celui qui leur veut du mal, c'est l'Entité.
C'est un simple méchant qui a mis la main sur un pouvoir qui ne lui appartient pas.
...
Peut-être pas un "simple" méchant non plus ?
Car, autre théorie, je pense que Corrompu est ce quatrième gardien dont a parlé Joku. Premièrement parce que je ne sais pas qui il pourrait être d'autre, mais aussi parce qu'il est au courant pour les autres dimensions hors Undertale. Comment le saurait-il s'il ne venait pas de l'extérieur ? Qui serait ce quatrième gardien sinon, et pourquoi Joku le mentionnerait ? De plus, avec cette théorie, certains éléments s'emboitent, notamment sa stratégie de manipuler Nim (Nim est loin d'être idiote, il n'aurait sans doute pas réussi aussi facilement s'il ne la connaissait pas déjà un minimum), afin de créer Dream et Nightmare, divisant les forces, tout cela dans le but de trouver une enveloppe tout en prenant possession de l'arbre des Sentiments...
Comme un plan réfléchi depuis des années et des années. Ajoutant l'anecdote que les gardiens des arbres ne seraient pas les gardiens originaux et que Nim aurait appris quelque chose d'affreux à propos d'eux avant de partir pour Undertale, on pourrait penser qu'une menace pourrie tirait déjà les ficelles dans l'ombre, bien avant la naissance de nos chers jumeaux.
Mais alors, que chercherait Corrompu ? Quel serait son plan final ? Répandre la négativité sur toutes les dimensions et régner en maître en tant que Dieu vivant ?
Très beau programme... Mais et si on poussait légèrement plus loin ?
☁︎ Les Sentiments, la Vie, la Magie :
Pourquoi trois arbres ? Pourquoi CES trois arbres ? Pourquoi les placer au centre des Multivers ? Pourquoi les sentiments, la vie et la magie sont le cœur des mondes ? Quel lien peut-on leur donner ?
Les sentiments, bon ok, ça marche... La vie et la mort, logique... La magie ? Pourquoi la magie ? La magie n'est pas un élément nécessaire dans les Multivers, parfois elle est même inexistante... Pourquoi un arbre de la magie et pas un arbre des âmes, ou encore un arbre des vertus et des péchés par exemple ? Undertale est très lié à la magie, mais c'est pas le cas de tous les mondes...
C'est là qu'on reprend l'idée comme quoi les pommes sont les formes matérialisées des sentiments que les créateurs appliquent à leurs œuvres... Est-ce que ça marche aussi avec la Magie et la Vie ?
Et oui. Les arbres ne se contentent pas de s'occuper des Sentiments, de la Vie et de la Mort et de la Magie... Ils reflètent ce dont ont besoin les créateurs pour créer.
Les sentiments, comme on l'a dit, sont exactement ce qui permet de trouver l'inspiration, d'alimenter l'imagination comme on entretient un feu. Tant que les sentiments demeurent, la passion et l'inspiration aussi.
La vie, elle, est tout simplement ce qui permet à une œuvre d'être, de rester. La vie est le nid dans lequel baigne l'esprit, elle rassemble les expériences du créateur, les loge, les préserve. On pourrait aussi dire que plus il y a de vies pour être témoin d'une œuvre, plus une œuvre est dite réelle.
L'inspiration, d'accord... Le terrain, d'accord... Mais qu'est-ce qui manque pour créer quelque chose à partir de rien ? Pour rendre vrai l'irréel ? Matériel l'immatériel ?
Rien de plus qu'un peu de magie ✨ !
Pas la magie qu'on trouve en fiction avec des sorciers et qui suit une pseudo logique scientifique, non... La magie dans le sens : croire en quelque chose d'irrationnel. Croire que ces mondes existent, avoir foi sans avoir besoin de preuve. Accepter l'imagination. Pas dans une connotation religieuse, mais plus dans le sens : Magie = Suspension consentie d'incrédulité.
Les Sentiments : Le combustible.
La Vie : Le comburant.
La Magie : L'étincelle.
Le triangle du feu est complet.
À eux trois, et si ces arbres formaient l'équivalent de la Triforce de la Création elle-même ?
Les Sentiments pour la stimuler, la Vie pour la maintenir, la Magie pour la concrétiser.
Que se passerait-il, si par malheur, un être mal attentionné parvenait à s'emparer du pouvoir de ces trois arbres ? Quelles en seraient les conséquences ? Au final, peut-être que cette Entité mystérieuse ne désire pas seulement la pomme dorée dont Dream a la garde ?
Et si ces trois arbres marchent très bien ensemble, de quoi s'occuperait le quatrième gardien ?
Il serait le gardien originel ?
Ou l'exact opposé de la Création : la Destruction et le Néant ?
(Et vous, qu'en pensez-vous :3 ? Avez-vous des théories à propos de ce qui va se passer dans la suite de Dreamtale ?)
Dreamtale appartient à Jokublog
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rapha-reads · 1 year
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Allô, y a t'il des lecteurs de Fred Vargas dans le coin ?
Hello, anybody reading Fred Vargas?
Non parce que je viens de finir d'une traite le tout nouveau Adamsberg, Sur La Dalle, et j'ai vraiment envie de parler de notre commissaire, de Louis, Violette, toute la bande, de cette nouvelle enquête tarabiscotée et brillante...
No, cuz, I just finished binge-reading the whole new Adamsberg, and I really want to talk about our police chief, Louis, Violette, and the whole Brigade, and this new convoluted and brilliant investigation...
Et aussi demander à la populace pourquoi il n'y a pas plus de fic Adamsberg/Veyrenc. Je suis sérieuse, 2 fics seulement sur AO3, j'ai recherché sur le web et rien d'autre, alors que le potentiel de ce ship, s'il-vous-plaît !
And also wanna ask the crowd why there's not more Adamsberg/Veyrenc works! Seriously, only 2 fics on AO3, and I went searching on the web, nothing more, even though this ship has so much potential!
Et d'ailleurs pour ceux qui ont lu Sur la dalle [I don't think it has been translated in English yet, so I'm not translating this part, but if you're interested in my thoughts on Adamsberg/Veyrenc, send me an ask] , on en parle, de l'immense naturel de Jean-Baptiste pour admirer paisiblement ses collègues hommes ? Comme dans chaque bouquin depuis son arrivée, pas mal de passages sur la beauté de Veyrenc (Jean-Bapt ton crush is showing), et là, le nombre de réflexions qu'il se fait sur le commissaire Matthieu... De l'autre côté, le Matthieu en question est en pâmoison devant Adamsberg aussi, faut le dire. C'était fascinant.
Et dans ce dernier volume, pas de spoilers, mais le seul perso qui soit systématiquement sur la même longueur d'ondes que Adamsberg est Veyrenc. Il n'y a pas un seul moment où il est dubitatif, ou critique, non, au contraire. Ils n'ont définitivement pas assez de "scènes" rien qu'eux deux, mais chacune de leurs conversations en solo ou de leurs interactions devant le reste des personnages les présentent comme étant totalement synchronisés et évoquent leur très longue histoire commune. J'aurais tellement aimé que Vargas nous donne plus d'interactions entre eux deux. Il y a deux passages en particulier qui m'ont rendu folle, le passage du taureau et le passage du "film d'Adamsberg", ceux qui ont lu le livre sauront de quoi je parle.
Bref. Six ans d'attente avant le prochain tome de nouveau ? Je sens que je vais craquer et finir par écrire mes propres "chapitres manquants"... Alleeeez les gars, qu'on remplisse ce tag un peu, à vos stylos et vos claviers ! Je suis sûre que beaucoup d'entre vous peuvent être inspirés.
Anyway. Six more years before the next book again? I feel like I'm going to snap and end up writing my own missing scenes... C'mon guys, let's fill up that tag! I'm sure so many of you could be super inspired.
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De Jem et Tessa à Alec
Memo à l’attention du Consul Alec Lightwood
Re : Relations avec les elfes sauvages
Après plusieurs jours de tensions, nous sommes soulagés d’annoncer que les menaces à l’encontre de Christopher Herondale et Wilhelmina Carstairs semblent avoir été éliminées. Nous sommes entrés en contact avec Gwyn ap Nudd, de la Chasse Sauvage, qui nous confirme que la fée n’ayant prêté aucun serment connue sous le nom de Mère Hawthorn a été déplacée dans un lieu isolé, où elle sera détenue à l’avenir par la Chasse Sauvage.
Malheureusement, la sécurité de Christopher Herondale n’est toujours pas assurée sur le long terme. Je vous prie de trouver ci-joint, à loisir, de la correspondance personnelle contenant davantage de remarques et questions informelles.
Nous soussignés,
James Carstairs
Tessa Herondale-Carstairs
Cher Alec,
J’ai demandé à Jem d’écrire la partie formelle de ce rapport parce que ça me donne la migraine. Je m’en voulais de lui demander, mais il a balayé mes inquiétudes d’un revers de la main : apparemment aucun d’entre nous ne croirait la quantité de documents administratifs que les Frères Silencieux doivent remplir. J’en ai été étonnée parce que j’ai du mal à associer « administratif » et « Cité Silencieuse », mais bon.
Bref, le rapport est exact. Julian Blackthorn, intelligent comme il est, a contacté Gwyn, qui a accepté de s’occuper de Mère Hawthorn. (Julian n’en avait parlé à personne, évidemment, parce qu’il aime ses révélations spectaculaires, comme nous nous en souvenons tous très bien.) Après avoir eu si peur, c’était vraiment magnifique quand la Chasse Sauvage est apparue, a saisi Mère Hawthorn et nous a ramené Mina.
D’ailleurs, Mina est heureuse, en bonne santé et absolument pas bouleversée, contrairement à ses parents. Elle était ravie au plus au point de voir la Chasse Sauvage, et depuis elle n’arrête pas de nous dire avec enthousiasme qu’elle a rencontré beaucoup de chevaux et que les chevaux sont ses amis. Kit, bien sûr, est au moins aussi bouleversé que nous, si ce n’est plus. Il l’a à peine quittée des yeux depuis son retour. Il dormait même par terre dans sa chambre. (Nous y avons installé un clic-clac après les deux premières nuits). Ça l’a fortement ébranlé. Il n’a pas beaucoup souhaité en parler, mais c’est évidemment très pesant pour lui. Depuis l’incident, il a ce regard inquiet que nous lui connaissons bien. Nous craignons qu’il ne commence à comprendre ce que son héritage peut réellement signifier, même si nous avons tout fait pour l’en protéger.
Malgré l’aide de Gwyn, ni Julian ni nous ne savons ce qu’il s’est passé exactement entre la Chasse Sauvage et Mère Hawthorn, et nous sommes peu disposés à le demander. Nous savons que le Royaume des Fées peut être cruel, qu’il est le plus cruel envers son propre peuple, et qu’il a un sens de la justice et de la discipline particulier, qui semble parfois très… inhumain. Ceci dit, nous faisons confiance à Gwyn, notamment parce que nous faisons confiance à Diana Wrayburn. S’il dit que Mère Hawthorn n’embêtera plus Kit, nous le croyons.
Nous ne savons toujours pas parfaitement ce que Mère Hawthorn a dit à Kit pendant qu’ils étaient seuls – quand nous pouvions les voir, et Mina aussi, mais pas les entendre. D’après Kit, c’était seulement ce à quoi nous pouvions nous attendre, mais quand il est revenu vers nous, il avait les yeux hagards. Je voudrais pouvoir exiger de savoir ce qu’elle a dit, ou quelles étaient ses menaces ou révélations, mais je sais que je ne peux pas. Il nous parlera quand il sera prêt.
Cela dit, nous ne savons pas si Mère Hawthorn a des alliés qui pourraient aussi connaitre le secret de Kit. Peu importe comment elle a essayé d’amadouer Kit, nous savons qu’elle a des intentions hostiles. Nous l’avions rencontré à Buenos Aires, avant même de savoir que Kit existait, et elle était très claire. Ses mots me sont restés en tête : « Un Premier Héritier existe encore dans ce monde. Quand le Premier Héritier émergera, dans toute la terrible gloire née du sang de la Cour des Lumières, de celui de la Cour des Ténèbres et de celui des Nephilim, j’espère qu’il détruira les Chasseurs d’Ombres ainsi que le Royaume des Fées. J’espère que le monde entier sera perdu. »
Je ne peux pas regarder Kit – étendu sur le clic-clac dans la chambre de Mina, la main serrée autour d’une des lattes de son berceau, même quand il dort – et penser « terrible gloire ». Il est comme n’importe quel autre Chasseur d’Ombres, une sorte d’ordinaire peu ordinaire. Il aime les films et les soirées spaghetti et il se ronge les ongles. Il n’est qu’une personne, pas un destin.
Pour l’instant, très peu de gens connaissent l’héritage de Kit. Emma et Julian, bien sûr, toi et Magnus, Jace et Clary… même les frères et sœurs de Julian ne savent pas, ou connaissent seulement un vague semblant de vérité. Mais à qui d’autre Mère Hawthorn a pu en parler ? Pas à la Cour des Lumières, certainement : nous sommes tous les deux sûrs que la Reine aurait déjà pris des mesures pour s’emparer de Kit si elle savait. Kieran sait, évidemment, mais nous ne savons à quels membres de la Cour il a pu en parler (d’après Emma, Mark et Cristina connaissent la situation en partie seulement). Kieran est clairement un allié, et sa Cour lui est fidèle. Mais il est facile d’imaginer qu’un courtisan audacieux (ou un elfe sauvage) ait pu découvrir cette histoire et cherche à en tirer profit.
Nous ne pouvons pas ignorer la réalité : les secrets comme celui de Kit finissent par être découverts et ne peuvent pas être protégés indéfiniment. Le garder au sein d’un petit cercle d’amis de confiance, rien qu’entre les Chasseurs d’Ombres, ça fait quand même une douzaine de personnes.
Ce qui nous amène à notre première véritable demande : Magnus pourrait-il venir à Cirenworth rapidement, pour renforcer les sortilèges de protection contre les incursions de ceux qui pourraient vouloir du mal à Kit ? Nous devons reconnaitre que ce n’est qu’une solution temporaire, mais pour l’instant c’est le mieux que nous puissions faire.
Pendant ce temps, nous sommes d’avis (et nous sommes certains que tu seras d’accord) que nous devons essayer de devancer cette menace. Nous avons sollicité Kieran pour que ses espions prêtent attention aux possibles rumeurs au sujet de Kit qui circuleraient dans le Royaume. Serais-tu disposé à faire la même chose, via l’Alliance ? Nous savons que ce n’est absolument pas le bon moment pour toi. Si nous avions pu, nous aurions tout à fait choisi un moment moins politiquement précaire pour présenter ce problème à l’Enclave. Sache que nous te soutenons et serons toujours à tes côtés. Nous nous sommes peut-être retirés de la vie active des Chasseurs d’Ombres, mais nous serons toujours présents si tu as besoin de nous.
Tu as assumé toutes ces responsabilités à un si jeune âge. Ne semble-t-il pas que les responsabilités se présentent toujours à nous Chasseurs d’Ombres trop tôt à l’aube de notre vie ? Je regarde mon cher Kit et je sais. Nous savons tous ce qui se prépare, comme lorsque l’on sait que le soleil va se coucher sur une journée que l’on souhaiterait infinie. La longue journée ensoleillée de l’enfance de Kit est presque terminée. Je tremble à l’idée de ce qu’il va devoir affronter à la tombée de la nuit.
Avec toute notre amitié,
Jem et Tessa.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/697286698428694528/jem-and-tessa-to-alec
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bonsoirs37 · 1 year
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27/05 Étape 53 A Calle de Ferreiros - Santiago de Compostelle
Journée particulière, je dois me faire à l'idée que c'est terminé mais je ne réalise pas encore. Juste un petit frisson lorsque je vois la pancarte SANTIAGO.
Ce matin durant 2h00... personne puis c'est la ruée vers la Cathédrale.
Particularité ce matin : comme il a plu la veille, tout au long du chemin je sens l'odeur de l'eucalyptus comme si j'avais ouvert le flacon d'HE d'eucalyptus , très agréable, on a envie de s'installer au bord du chemin. Avec JP, sans se conserter, on a envie d'arriver vite , nous avalons les km, rien de particulier sur le chemin, aujourd'hui c'est le final qui nous motive. Mais nous avons tout de même rencontré des français avec qui nous échangeons.
Santiago, nous y sommes accueillis par la cornemuse, musique de circonstance, et aussi par Paola, l'amie de JP ainsi que Pierre Alain et Marie Claude ...de Suisse . Ils nous faciliteront la tâche pour obtenir la Compostela. Ceci fait, nous déjeunons proche de la Cathédrale puis je vais à mon albergue qui est plutôt sympathique avec des chambres seulement de 4 et un jardin avec Hamacs que je monopolise durant 1/4h pour ma sieste. Royal.
Pour les visites sur Compostelle, il faut réserver, mais seulement le jour même ou par internet, je vais voir ça. Les visites sont commentées...mais seulement en Anglais ou en Espagnol. Rappelez moi nom du chemin ! Camino Francès...
Programme de demain : visite Santiago, comment ? je ne sais pas. Et lundi je vais essayer d'aller à Fisterra.
La météo des jours à venir n'est pas au beau, ils annoncent des orages toute la semaine. Mais moi, je rentre mardi, j'espère qu'il fait beau en Touraine !
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e642 · 4 months
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Dans la vie de tous les jours, je ne suis pas quelqu'un de spécialement agréable. Je fais le béaba, je souris dans la rue aux vieux qui ont l'air tout tristes à ceux qui ont pas l'air tout tristes, mais pas à ceux désagréables. Je réponds dans la rue quand on me pose une question poliment. Je reste cordiale quand on l'est en face de moi. En fait je suis polie avec les gens, même avec ceux que j'aime pas. Mais alors quand j'aime bien quelqu'un il se joue quelque chose en moi de particulier, peu importe mon degré d'appréciation, il faut que je fasse rire la personne. Je sais pas pourquoi. Je me trouve extrêmement drôle et j'ai la sensation que si je fais pas rire la personne en face de moi, je manque quelque chose. C'est une sorte de challenge. Je vis pour saisir chaque occasion de faire une blague ou une remarque qui peut aller de souffler du nez à l'éclat de rire. Et jcrois que ya 3 ou 4 personnes dans ma vie que j'estimais très marrantes qui m'ont dit de me lancer dans le stand up bah la vérité, j'y pense chaque jour. Voilà, si un jour vous me rencontrez, vous saurez 2 choses: si j'essaie de vous faire rire je vous aime bien, si j'essaie pas, je vous aime pas. Plus je fais rire les gens, mieux je me sens. C'est trop bizarre. C'est même pas pour les rendre heureux, ni pour mon ego vraiment, c'est juste que j'ai besoin de ça (c'est peut-être mon ego en fait). On dirait pas que je suis drôle mais en vrai, de fou. C'est la seule réelle qualité que je me donne.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 142
Avec l'été un peu bousculé que j'ai passé, j'avais complètement oublié la commande de mon cockring en or (cf. épisode122). Le vendeur de la place Vendôme m'a appelé pour me dire qu'il était prêt depuis longtemps déjà. Je décide de monter à Paris. Sur l'autoroute j'ai du mal à respecter les limitations de vitesse. D'ailleurs je n'y arrive pas ! j'arrive à Paris sans m'être fait prendre au radar et comme la dernière fois gare le GSXR devant la " boutique ". Mon vendeur m'attendait et c'est lui même qui m'ouvre la porte. impatient le bougre !
Dans un salon particulier, il me présente ma commande. Je la prend en main. Lourd, l'anneau est parfaitement rond, la boule bien régulière me semble un peu plus grosse que sur le modèle. Je le fais remarquer et à l'aide d'un pieds à coulisse électronique, le vendeur en fait la constatation. 1mm de plus de diamètre, ça va me comprimer grave l'urètre. J'en discute avec le vendeur qui me propose aussitôt de faire rectifier le bijou. Mais cela va prendre une semaine et m'obligera à un nouvel aller et retour à Paris avec le risque de nouveau de me faire attraper pour vitesse inconsidérée.
Me voyant pas chaud pour cette dernière solution, il me dit que le mieux serait de le tester. Quelle bonne idée ! Aussitôt dit aussitôt fait, la combi sur les reins, je passe ma bite et mes couilles dans l'anneau en or blanc. Quand je ne bande pas, ça va, normal. Il est lourd et je dois bien le plaquer contre mon pubis. Pour voir en fonction normale, le vendeur s'est agenouillé devant moi et me suce. Il le fait bien et de le voir dans cette position en costume trois pièces me fait vite bander. Je sens bien la boule me comprimer le canal. Ce n'est pas désagréable pour autant. Maintenant il faudrait que je teste en fonction plus hard. Je relève le mec et le pousse sur la table de présentation. Il défait de lui même ceinture et boutons pour descendre pantalon et slip d'un seul mouvement. Je kpote ma bite et comme il s'écarte les fesses pour me dévoiler son trou, m'enfonce dans ce dernier. Il est chaud et je rentre comme dans du beurre. Ma queue gonfle encore. L'anneau est à la limite de la douleur et c'est très bon ! je vais le garder comme ça. Je m'active dans son cul et finis par décharger dans la kpote dans un furieux dernier coup de rein qui lui fait décoller les pieds du sol. Le giclées me semble plus laborieuses mais la pression est plus grande. Je pense que sans kpote je vais juter plus loin encore. Lui s'est sali la main.
Nous nous réajustons et je lui dis que je le prenais quand même en l'état à condition qu'il fasse un geste et de préciser financier. Nous discutons comme des marchands de tapis et j'arrive à lui extorquer 30% (sachant pertinemment qu'ils doublent ou triplent le prix de revient, je n'ai pas de scrupules). Je décide de le garder sur moi pour le retour. Le vendeur me demande, en passant sa main sur mon paquet, s'il y a quoi que ce soit qu'il puisse faire de plus pour moi. Je le remercie mais pour le moment, rien. Il insiste en me disant que si je suis seul sur Paris il se ferait un plaisir de me guider dans les lieux branchés de la capitale. Le retour se fait à la même vitesse que l'aller. Je sens bien l'anneau qui enserre ma tige à la base et quand je suis couché sur le réservoir, mes couilles s'écrasent dessus. Ça me fait bander et me compresse encore plus ! Je n'y tiens plus et m'arrête sur une aire de repos. Personne coté voiture. Je cale et verrouille ma moto puis, le casque à la main je descend coté camions. Là 1/2 douzaine de semis, les 3/4 rideaux tirés. Sur les restants, des chauffeurs assez âgés sauf 2 plus jeunes (25-35ans environ). Je retourne fixer mon casque sur la moto et vais pisser. Pas facile quand on bande ! j'essaye de penser à autre chose et, enfin, y réussi tout en restant raide. C'est à ce moment là qu'un des jeunes chauffeurs entre et s'installe à l'urinoir contigu (alors qu'il y en a 6 de front !).
Il sort un beau service trois pièces couilles rasées et poils taillés et jetant un regard vers le mien, me dit " joli matériel ". Quand je lui dis que je bande depuis Paris, il rigole. J'écarte plus ma combi qu'il voit le cockring et j'ajoute " ça plus le réservoir de ma moto... ". Là il comprend et me dit qu'il faut alors remédier à cela pour que le reste de ma route se fasse dans de bonnes conditions et de prendre ma bite dans sa main. Je le laisse faire. Il me pousse dans les WC pour handicapés et je pose mes fesses contre le lavabo. A genoux, il me suce la teub. Il n'est pas mauvais, mâchoire légèrement trop étroite mais ça passe quand même. Il est vorace à croire que ça fait une semaine qu'il n'a rien sucé ! Lentement il me mange plus et fini par écraser son nez dans mon pubis et son menton sur mes couilles. Il me dit qu'il veut mon jus. Ça me refroidit direct ! J'hésite même à le laisser continuer. Je réfléchis que si il me demande cela c'est qu'il le fait avec d'autre et d'un coup je débande. Le mec est étonné et tourne vers moi un regard interrogatif. Je lui dis que c'est ce qu'il vient de me dire. Il est surpris, habituellement, ça excite les mecs un maximum. Je m'excuse et remballe le matériel. Nous nous séparons sur une poignée de main et une dernière ironie " le résultat voulu (débander) a été obtenu ".
Retour calme jusqu'à la maison. J'arrive à temps pour emmener Jimmy à son rendez vous. C'est maintenant devenu une routine, client connu + opérateur souple et serviable = bon moment pour les deux et bonne rentrée d'argent pour l'opérateur et moi.
Je sais que j'avais presque décidé de raccrocher de ce coté là, mais j'ai du mal à laisser Jimmy et surtout Ed tout seuls. Mon coté sécuritaire ou mon coté voyeurisme ? surement un peu des deux. Je suis discret, avec des personnes consentantes dont je connais les noms et les adresses, je ne crains pas grand chose de ce coté là. d'autant plus que deux personnes dans la sécurité nationale sont parmi mes clients.
Soirée calme. Juste un coup de fil de Daniel (le vendeur de moto) qui stresse un peu pour son deuxième rendez vous. Je lui en demande la cause, sachant que pour sa première prestation, son client avait été ravi. Il me dit que la première fois j'étais à ses cotés. Ça me fait rire et il finit par rire aussi. Je lui dis de rester naturel, pas la peine de forcer sa nature et d'essayer de paraitre différent de ce que l'on est. Il me dit que c'est pas le coté sexe qui l'inquiète mais le reste, la culture générale. Je lui conseille quand il est chez lui de laisser sa télé branché sur les chaines de documentaires et d'infos en continu. Même quand il sera plongé dans une revue moto cela rentrera.
Je lui demande comment ça se passe dans la concession. De ce coté là, pas de changement de rythme, son boss l'encule une à deux fois par semaine et lui se vide dans le jeune apprenti au moins une fois par jour. Il me fait envie ce con ! Je lui dis que j'aimerai bien le rencontrer. Il me propose alors de me l'amener à domicile. Comme c'est un " fou " de belles mécaniques, il sera excité à l'idée de voir et de monter dans une Mercedes SLS AMG.
Marc étant encore en déplacement, je lui propose de ne pas reporter le coup et de me l'amener dès ce soir. C'est OK mais il me prévient qu'il n'est pas très " expérimenté " coté cul. ses pipes ne sont que passables mais son cul vaut le détour.
Ils arrivent vers 19h30. l'apprenti en passager de Daniel. Il descend, c'est un gabarit type Jimmy ou Ed, pas grand, pas gros, tête de voyou, en jeans slim et blouson cuir moto. Présentations, il s'appelle Cédric. Il me demande en sautillant où est la Mercedes. J'ouvre la porte du garage, il reste figé 1,2 minutes ;puis il entre. Il hésite entre la caisse et les motos mais fini par privilégier cette dernière. Il tourne autour une fois, deux fois et me demande timidement s'il peut voir le moteur. J'entre dans la voiture, il regarde la cinétique d'ouverture de la portière en aile mouette en fonctionnement puis lève le capot moteur que je viens de déverrouiller et plonge dedans. Je l'entend commenter ce qu'il voit à l'attention de Daniel car moi, coté mécanique, je ne sais que l'utiliser.
Alors qu'il est encore plié sur l'aile de la voiture, je lui mets la main au cul, mes doigts enfonçant le tissus du jeans entre ses fesses et je me couche sur lui pour lui glisser à l'oreille que la visite est payante. Sans se démonter, il me répond " normal pour une telle machine ". On est sur la même longueur d'onde.
Il décolle son bassin de la tôle pour que je puisse défaire sa ceinture et les boutons du jeans. Je tire pantalon et slip en même temps vers le bas dégageant ses fesses. Pendant ce temps là, il examine les différents organes du moteur. Je découvre un joli petit cul tout rond. Je bande à me faire mal (j'ai mis mon nouveau cockring avant qu'ils arrivent ! Je libère mon sexe et le kpote. Obligeamment, Daniel fait couler une pochette de gel entre les fesses de l'apprenti. Je le pousse sur l'aile et pose mon gland sur sa rondelle, je pousse. Il couine un peu à la pénétration bien qu'habitué aux 5,5 de Daniel. Son anneau serre bien ma teub gonflée à mort. Je m'enfonce sans tenir compte de ses gémissement et pose le cockring contre son trou écartelé.
Quand je me retire, il en profite pour se décoller de la tôle. Je pose une mains sur ses hanches et de l'autre vérifie l'état de son sexe. A tâtons, je devine une petite bite (13/14cm) raide, fine (<4cm), surmontant de petites couilles, le tout rasé de près. La situation excite Daniel qui pose ses fesses sur l'aile de la voiture et demande à Cédric de le sucer.
Il n'hésite pas et commence sa sucette. J'ai beau pousser sur son bassin en fin d'enculage, je n'arrive pas à l'enfoncer à fond sur la tige de Daniel. Et ce dernier de me commenter la médiocrité de la pipe. En effet à ce que je vois Cédric n'arrive à lui bouffer que la moitié de sa queue. Il me dit que c'est dommage car comme je peux le constater son cul est très agréable. Je demande à Daniel s'il veut qu'on essaye d'y remédier. Il secoue la tête verticalement. Cédric recrache la bite de Daniel et acquiesce à son tour, il aimerai bien sucer mieux mais n'y arrive pas. Je lui dis que ce n'est qu'une question de technique puisque la volonté il l'a.
Je décule et dékpote. Avec Daniel nous installons Cédric le dos sur un des établis du garage. La tête en dehors du plateau pend de façon à aligner sa bouche avec sa gorge. Je lui fais sniffer un peu de poppers, ça ne peut qu'améliorer sa motivation.
Ainsi préparé, je lui mets ma bite dans la bouche et m'enfonce. Je le laisse jouer un peu de sa langue avec elle. Il tète bien mais pas profond. Je lui dis que je vais maintenant m'enfoncer totalement et lui dit d'avaler quand il sentira mon gland dépasser sa glotte. Un coup de rein sec me fait passer l'entrée de sa gorge. Je le sens avaler et me retire aussitôt, pas la peine de lui provoquer un renvoi. Je le laisse respirer un peu et recommence. Le second passage est plus facile et je vais plus profond. Il me faut bien 1/4 heure pour réussir à tout lui mettre sans qu'il vomisse. Nous faisons une pause. Il s'assoit sur l'établi et me dit que c'est une sensation assez extraordinaire que de sentir un gland dans sa gorge, c'est une dimension autre que la simple pipe. Je lui confirme et lui dis que pour celui qui est sucé, c'est incomparablement meilleur, même si une langue agile qui tourne sur un gland surexcité c'est bon aussi.
Cédric se couche tout seul sur l'établi et attend que l'on remette cela. Un petit coup de poppers (pour lui) et je m'enfonce de nouveau dans sa bouche. il a bien pris le coup et je me sens aspiré vers sa gorge. Une fois, deux fois, puis je cède la place à Daniel impatient de tester les nouvelles capacités de son poulain. Je fais attention que dans sa précipitation il n'étouffe pas Cédric. A limer la gorge avec son gland, il gémit de plaisir. il me dit que c'est infiniment meilleur. Ses deux mains sur les oreilles de Cédric, il s'enfonce dans sa gorge avec la régularité d'un métronome. Cédric calme respire bien. N'ayant pour le moment rien à faire, son cul étant inaccessible de par sa position, je caresse son torse, t-shirt sous les aisselles. son petit gabarit ne l'empêche pas d'être musclé. Ma main courre sur ses abdos et ses pecs exempts naturellement de poils. Je descend plus bas et le branle. Il écarte les genoux (les chevilles entravées par son jeans), c'est un appel à un doigtage. Ma main glisse sous ses couilles et mon majeur suivit rapidement de mon index traversent sa rondelle encore souple du souvenir de ma queue.
Je fouille du regard le garage pour trouver un support adéquat qui nous permettrait à Daniel et moi de nous enfoncer ensemble dans Cédric. Je ne vois que la caisse rose qui emballait le GSXR d'Eric. Couché sur le coté avec un planche dessus ça devrait faire l'affaire. Je les laisse tous les deux le temps d'exécuter mon idée. Puis je reviens à eux et alors que j'attrape Cédric par les pieds, dis à Daniel de le prendre par les bras. Nous le transférons ainsi jusqu'à son nouveau lieu de plaisir. Pas trop mal. Daniel se met à genoux pour replacer sa bite dans la bouche et la gorge de Cédric et moi en face de lui, les chevilles de son suceur sur mes épaules, je m'enfonce à nouveau dans la chaleur de son boyau. Pris des deux coté, Cédric monte tout seul en pression et je jugule au moins deux fois ses montée de foutre avant de le laisser aller. Petite bite, petites couilles mais gros rendement ! il s'en met partout du nombril à sa bouche remplie de Daniel. Je compte au moins 6 à 7 giclées blanches. Je donne quelques coups de reins supplémentaires et sort vite pour lui juter dessus. Mon sperme laisse de longues trainées ;qui croisent celles précédemment dessinées par le sien. C'est alors au tour de Daniel d'y aller de sa contribution. Couvrant le bronzage de notre petit ami d'une nouvelle couche.
J'enlève le plus gros avec du Sopalin et comme il ne peu se rhabiller comme cela, décide que nous allions nous doucher à notre salle de sport qui à une entrée directe sur le coté de la maison. On remonte nos pantalons et ils me suivent au travers de la cour. Dans l'entrée, je fais déchausser avant de traverser notre salle de msucu et d'atteindre les douches communes. Yeux grands ouverts de mes deux acolytes que je pousse sous les douches. Vêtements vite retirés, et l'eau chaude vient nous mouiller. Avec Daniel, je savonne Cédric qui se tord sous les chatouillis que nos mains lui procurent. Sous les jets d'eau, ils n'ont pas vu arriver Ammed qui nous attend avec trois peignoirs sur les bras. Ce n'est que quand je coupe l'eau qu'ils le voient et ont un mouvement de recul. Ammed nous tends les peignoirs et me demande (façon grand style) si ces messieurs dinerons avec moi ce soir.
Il est tard et j'insiste pour qu'ils restent manger avant de partir. Nous montons à la maison par l'escalier intérieur. ;En attendant que le repas soit prêt, je m'alcoolise avec Cédric alors que Daniel se contente d'un jus de tomate retour moto oblige. Nous dinons calmement. Cédric me remercie de lui avoir fait découvrir ses capacités de gorge profonde, Daniel me donne des nouvelles des modifications du GSXR d'Eric...
ils me quittent après 23h.
JARDINIER
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Quelques mots sur l’amour
Si l’on te pose la question: pourquoi l'aimes-tu? et que tu réponds par une liste de "qualités" que tu attribues à la personne aimée, tu commets une offense envers l'amour, tu auras objectivé l'autre, et tu avoues par là même que tu ne sais pas (l')aimer.
Je ne peux aimer quelqu'un que pour ce qu'il n'est pas (mais qu'il pourrait éventuellement devenir si je l'aime assez pour ça).
La seule réponse valable à la question serait: je ne sais pas pourquoi je t'aime, il y a quelque chose en toi qui est plus que toi-même et qui donne un lustre, un éclat particulier, unique à tout ce que tu fais, à tes qualités, et même à tes défauts (peut-être même encore plus à tes défauts)...
L'amour serait toujours là si tous les traits positifs qui déterminent les "qualités" de l'être aimé venaient à disparaître.
L'aimé est en vérité le lieu d'un abîme, toutes ses qualités, ses traits positifs, ses caractéristiques apparaissent comme transsubstantialisées par un "vide" qui leur donne leur éclat unique, et en définitive toutes les qualités de l'être aimé ne sont rien d'autre que la positivation de ce vide lui-même.
Ce "rien", ce facteur inconnu, ce x indéterminé, Lacan l'a épinglé sous le nom d'objet petit a.
Le danger pour l’aimé est de s’imaginer qu'il y a RÉELLEMENT au fond de lui quelque chose d'ineffable qui le rend digne d'être aimé, auquel il s’identifie et qui lui permettrait ainsi d'échapper à la loi (du désir).
Cela permet d’entendre pourquoi Lacan dit qu’aimer, c’est donner quelque chose que l’on a pas à quelqu’un qui n’en veut pas.
Dans le domaine de l'Éros, donc, la position de l'amant (Erastes) et de l'aimé (Eromenos) sont toujours a priori asymétriques.
L'aimé ressent que l'amant voit en lui quelque chose de plus que lui-même, qui provoque son désir.
Cette "chose" en excès qui n'existe que pour le regard de l'amant, c’est l’objet petit a en tant qu’il est l'inscription du désir dans l'objet, ce que l'amant voit comme la part perdue de lui-même contenue dans l'autre.
À ce manque de lui-même (que l'amant voit comme un excès), l'aimé ne peut répondre que par son propre manque, et voilà ce que signifie donner quelque chose que l'on n'a pas (son manque) à quelqu'un qui n'en veut pas (et pour cause...)
C'est aussi pourquoi Lacan dit que l'amour est un sentiment comique.
Ce qui n'empêche pas l'amour d'être sublime, au sens où il sublime le manque lui-même, alors que le désir reste pris dans la logique du "il y a quelque chose qui cloche...", "ce n'est jamais tout à fait ça", l'amour dit au contraire: "c'est ça!", cet être imparfait, faillé, qui ne correspond même pas à lui-même, je l'aime, et je l'aime malgré ses défauts et peut-être même à cause de ses défauts, car il n'est pas là pour combler mon manque, mon manque est constitutif, rien ne saurait le combler.
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gfxced · 9 months
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Feeling things
Si je devais expliquer mes émotions à quelqu'un qui n'y connait rien, je lui dirais que la plupart du temps, mes émotions ne sont pas intenses, pas pleines, pas saturées. Plutôt pastels. Pas rouge vibrant mais un genre de truc délavé.
Quelqu'un meurt? "Oh c'est triste". Je ne ressens pas grand chose à part savoir que c'est triste. Pour que mes émotions soient vibrantes et fortes, il faut que d'autres éléments s'additionnent.
Par exemple si cela correspond à de l'excitation, de l'intérêt, quelque chose de nouveau. La je vis vraiment les choses, et relativement intensément comparé à ma base-line. Être intéressé / accroché par quelque chose ça fait toute la différence, mais évidemment l'anxiété / la panique peuvent également décupler le ressenti, mais pas toujours. Et bien sûr je peux être pris de tristesse et en pleurer, mais il faut que cela me touche plus profondément.
Mes enfants aussi m'ont offert un déclic émotionnel particulier. Je ressens plus de choses. Je leur fait volontiers des calins alors que je ne suis pas du tout tactile en dehors de personnes que j'autorise dans le cercle plus intime, et même là, je ne suis pas la créature la plus en recherche de contact physique.
Quelque chose que je n'apprécie pas est de sentir que les gens qui m'entourent sont en attente d'une réaction émotionnelle particulière. On attend de moi une certaine intensité aussi. Bien souvent je me sens vide et pas trop concerné par ce truc que les autres humains semblent traverser, ça a plutôt tendance à m'importuner en fait et je réalise que je règle mes émotions intenses en solo parce que je trouve que "ça se fait aps" de tirer les gens la dedans.
Eh, tout ça, ça match avec l'autisme en fait, mais mon tda a des particularités qui contre-balancent certains aspects du côté aspie. J'ai vu un meme passer à ce sujet et ça résume bien les choses, j'ai tellement de trucs qui se chevauchent que ça me rend très mask-on, sauf si tu traines assez avec moi (et que je suis forcé d'interagir spontanément, parce que si je peux jouer un de mes rôles, je fais assez bien illusion).
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Enfin, tout ça pour dire que je me suis encore rendu dans ce petit cimetière dans lequel les tombes de certains enfants me font à chaque fois chialer, et c'est pas anodin. Je ne sais pas ce que cet endroit agite si fort en moi. Je crois que ce sont ces tombes très décorées à côté de ces tombes très abandonnées.
C'est dur la vie putain.
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