#papillote à noël

[dixvinsblog]

Blagounettes et joyeux Noel à tous !

Voici quelques blagounettes (à la limite parfois de celles des papillotes) parfois ringardes mais cultes, pour un Noël joyeux et plein de rires… Un gars dit à un autre:– J’ai fait couper la queue de mon chien la semaine dernière.– Ah oui! Comment ça ?– Tu vois, c’est que je reçois ma belle-mère à Noël et puis je ne veux pas qu’elle s’aperçoive que certaines personnes sont contentes de la voir…

[christophe76460]

Faites-le de bon cœur !

“Sachant que vous recevrez du Seigneur l'héritage pour récompense. Servez Christ, le Seigneur” Col 3. 23

“Je fais le plus de choses que je peux par amour, pour me reposer d’en faire autant par nécessité“ écrit Marie Noël, poétesse du 20ème siècle. Cette citation a été trouvée dans une papillote de chocolat qu’une sœur en Christ a ouverte à Noël. Croulant sous les tâches ménagères, elle s’est soudainement sentie débarrassée d’un lourd poids ; en définitif, si elle avait des invités à accueillir, c’était par amour pour eux ! Soudainement son attitude a changé de même que l’ambiance dans sa maison. Quand la joie du service n’est plus là, après s’être posé la question : “est-ce-que je suis dans la volonté du Seigneur ?” , la prochaine question à se poser est : “pourquoi la joie est-elle manquante” ? L’apôtre Paul nous donne le conseil suivant, parlant de notre travail :“Tout ce que vous faites, faites-le de bon cœur, comme pour le Seigneur et non pour des hommes” (Col 3.23). Et puis aussi : “Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l'œuvre du Seigneur, sachant que votre travail ne sera pas vain dans le Seigneur” (1 Co 15. 58). Rappelons-nous que l’espérance de la résurrection donne son sens à tous nos efforts et à tous nos sacrifices accomplis pour l’œuvre du Seigneur. Aucune œuvre faite en Son nom n’est vaine à la lumière de la gloire et de la récompense éternelles. Alors comment ne pas les faire, remplis d’amour ? Que chacun de nos actes ait l’empreinte de l’amour du Christ, et en plus l’empreinte de notre amour pour le Christ. Paul nous rappelle que : “Dieu n'est pas injuste, pour oublier votre travail et l'amour que vous avez montré pour Son nom, ayant rendu et rendant encore des services aux saints. Nous désirons que chacun de vous montre le même zèle pour conserver jusqu'à la fin une pleine espérance, en sorte que vous ne vous relâchiez point, et que vous imitiez ceux qui, par la foi et la persévérance, héritent des promesses” (He 6. 10- 12), et il prie : “Que le Dieu de paix... vous rende capables de toute bonne œuvre pour l'accomplis- sement de Sa volonté, et fasse en vous ce qui Lui est agréable, par Jésus Christ” (He 13. 20-21).

[yes-bernie-stuff]

Faites-le de bon cœur ! Sachant que vous recevrez du Seigneur l’héritage pour récompense. Servez Christ, le Seigneur” Col 3. 23

“Je fais le plus de choses que je peux par amour, pour me reposer d’en faire autant par nécessité“ écrit Marie Noël, poétesse du 20ème siècle. Cette citation a été trouvée dans une papillote de chocolat qu’une sœur en Christ a ouverte à Noël. Croulant sous les tâches ménagères, elle s’est soudainement sentie débarrassée d’un lourd poids ; en définitif, si elle avait des invités à accueillir, c’était par amour pour eux ! Soudainement son attitude a changé de même que l’ambiance dans sa maison. Quand la joie du service n’est plus là, après s’être posé la question : “est-ce-que je suis dans la volonté du Seigneur ?” , la prochaine question à se poser est : “pourquoi la joie est-elle manquante” ? L’apôtre Paul nous donne le conseil suivant, parlant de notre travail :“Tout ce que vous faites, faites-le de bon cœur, comme pour le Seigneur et non pour des hommes” (Col 3.23). Et puis aussi : “Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l’œuvre du Seigneur, sachant que votre travail ne sera pas vain dans le Seigneur” (1 Co 15. 58). Rappelons-nous que l’espérance de la résurrection donne son sens à tous nos efforts et à tous nos sacrifices accomplis pour l’œuvre du Seigneur. Aucune œuvre faite en Son nom n’est vaine à la lumière de la gloire et de la récompense éternelles. Alors comment ne pas les faire, remplis d’amour ? Que chacun de nos actes ait l’empreinte de l’amour du Christ, et en plus l’empreinte de notre amour pour le Christ. Paul nous rappelle que : “Dieu n’est pas injuste, pour oublier votre travail et l’amour que vous avez montré pour Son nom, ayant rendu et rendant encore des services aux saints. Nous désirons que chacun de vous montre le même zèle pour conserver jusqu’à la fin une pleine espérance, en sorte que vous ne vous relâchiez point, et que vous imitiez ceux qui, par la foi et la persévérance, héritent des promesses” (He 6. 10- 12), et il prie : “Que le Dieu de paix… vous rende capables de toute bonne œuvre pour l’accomplissement de Sa volonté, et fasse en vous ce qui Lui est agréable, par Jésus Christ” (He 13. 20-21).

Favorite Publié le septembre 15, 2023 Catégorisé comme SPPA

[dom2witte]

Nous avons de la chance d'avoir de si belles activitées de Noël organisées à Gradignan ! Marché des artisans, distribution de chocolats / cafés chauds, papillotes, viennoiseries. Il y a un manège pour les enfants, du maquillage / ballons & le tour de calèche avec le Père Noël ! https://www.instagram.com/p/CmTuEdMoIak/?igshid=NGJjMDIxMWI=

[douce-petite-ame]

Hello winter 🎄🌨️❄️

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Qu'on accueille avec tout plein de sucreries parce que la période des fêtes se prête plutôt bien à ce genre d'excès 🤭

Bienvenue donc aux chocolats chauds, mandarines, papillotes, truffes au chocolat, bûches de Noël, cookies et sablés, sucres d'orge et toutes sortes d'autres douceurs 🤤🍭

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📷 21/12/20

[art-et-vie-les-papillons]

Ce soir chez Art & Vie plus de 100 enfants sont venus rencontrer le Père Noël et sont repartis avec des papillotes et des cadeaux, mais surtout des étoiles plein les yeux.

Merci à nos bienfaiteurs, Association Kareen Mane, Cultura le pontet et Notre ami François Cortegianni.

Infos/ yadelart.org

[dixvinsblog]

LA DAME DE LA CANTINE N°7 — Alcool - Françoise Salat Dufal

LA DAME DE LA CANTINE N°7 — Alcool – Françoise Salat Dufal

Désormais je faisais achats et menus, en respectant, chaque midi : crudité, féculent, légume vert, produit laitier et protéine ; une année, je demandai aux enfants, leurs souhaits, par écrit, pour l’avant-dernier repas de l’année, où l’on fêtait Noël. Bien entendu, je savais que le menu serait identique à celui de l’année précédente. Beaucoup réclamèrent frites, glace, bûche, dinde et papillotes.…

[christophe76460]

Sa Parole Pour Aujourd'hui du Vendredi 15 Septembre 2023

Faites-le de bon cœur !

“Sachant que vous recevrez du Seigneur l'héritage pour récompense. Servez Christ, le Seigneur” Col 3. 23

“Je fais le plus de choses que je peux par amour, pour me reposer d’en faire autant par nécessité“ écrit Marie Noël, poétesse du 20ème siècle. Cette citation a été trouvée dans une papillote de chocolat qu’une sœur en Christ a ouverte à Noël. Croulant sous les tâches ménagères, elle s’est soudainement sentie débarrassée d’un lourd poids ; en définitive, si elle avait des invités à accueillir, c’était par amour pour eux ! Soudainement son attitude a changé de même que l’ambiance dans sa maison.

Quand la joie du service n’est plus là, après s’être posé la question : “est-ce-que je suis dans la volonté du Seigneur ?” , la prochaine question à se poser est : “pourquoi la joie est-elle manquante” ? L’apôtre Paul nous donne le conseil suivant, parlant de notre travail :“Tout ce que vous faites, faites-le de bon cœur, comme pour le Seigneur et non pour des hommes” (Col 3.23). Et puis aussi : “Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l'œuvre du Seigneur, sachant que votre travail ne sera pas vain dans le Seigneur” (1 Co 15. 58).

Rappelons-nous que l’espérance de la résurrection donne son sens à tous nos efforts et à tous nos sacrifices accomplis pour l’œuvre du Seigneur. Aucune œuvre faite en Son nom n’est vaine à la lumière de la gloire et de la récompense éternelles. Alors comment ne pas les faire, remplis d’amour ? Que chacun de nos actes ait l’empreinte de l’amour du Christ, et en plus l’empreinte de notre amour pour le Christ. Paul nous rappelle que : “Dieu n'est pas injuste, pour oublier votre travail et l'amour que vous avez montré pour Son nom, ayant rendu et rendant encore des services aux saints. Nous désirons que chacun de vous montre le même zèle pour conserver jusqu'à la fin une pleine espérance, en sorte que vous ne vous relâchiez point, et que vous imitiez ceux qui, par la foi et la persévérance, héritent des promesses” (He 6. 10-12), et il prie : “Que le Dieu de paix... vous rende capables de toute bonne œuvre pour l'accomplissement de Sa volonté, et fasse en vous ce qui Lui est agréable, par Jésus Christ” (He 13. 20-21).

[fleshandbone1122]

Je me nourris de papillotes et d’oréos depuis des semaines, mon dernier vrai repas remonte au diner de Noël du weekend dernier, il m’a fallu une bonne heure pour me décider à ouvrir le frigo (je ne me souvenais plus de ce que j’y avais laissé, j’avais un peu peur de l’état du truc), j’ai passé un bon moment de ma crise d’angoisse à essayer de lire un article sur cairn pour essayer de comprendre ce qu’est l’angoisse, je ne me souviens de rien en dehors de l’impression de lire un bouquin écrit par Merlin l’enchanteur, donc j’ai abandonné l’idée de comprendre, et je me suis concentrée pour ne pas céder, à la honte, à l’effondrement et blablabla, et observer le délire, mais c’est pas vraiment ce qui m’inquiètes, le déclencheur c’est toujours, l’impossibilité de communiquer avec l’autres, trop d’intimité, j’aimerais pouvoir être toute nue et forte, il faut tendre à ça, tant pis si je suis complètement à la masse et folle ou bête, bon j’ai juste peur. 

NICE. 

[iamjustsonow]

Elle est grande et pâle. Quand elle se penche pour l'embrasser, sa peau est douce. Elle sent la poudre de riz, l'eau de Cologne et la naphtaline. Elle a ce regard bleu triste et délavé qui fait penser à la petite fille que cette grande personne a, depuis longtemps, lâché ses rêves dans ses larmes. Elle a la voix douce et chantante de la Franche Comté. “ bonjour, ma mie.”

Elle est une coquille vide sur un océan qu'elle ne reconnait plus. Sophie sait qu'il lui faut la faire rire, la surprendre pour qu'il y ait un sursaut de vie dans ces yeux de poisson mort.

Alors, elle danse, babille, raconte ses lectures, la cour d'école, les indiscrétions glanées ici et là, elle occupe l'espace entre leurs coeurs respectifs. Elle évite le regard noir de sa mère qui aimerait tant la faire taire, fait une pirouette et part d'un grand éclat de rire. Elle tire sa grand mère par la manche l'invitant à sortir de la salle à manger aux esprits étriqués.

Et là, plus question de fuite, la petite grimpe sur les genoux de l'élégante dame qui est sa grand-mère, forçant et ses envies d'être seule et cette pudeur qui consiste à ne pas être touchée…d'une façon comme d'une autre.

Assise droite comme un i sur les genoux de sa grand-mère, concentrée sur les images et les lettres, les mots, les phrases des histoires, Sophie apprend à lire en cachette. Celle de ce petit africain peureux qui sauve un lion en lui ôtant une épine de la patte. Celle de Marianne qui part faire les courses en ne suivant que ses envies et pas du tout la liste de course oubliée mais qui revient avec un cadeau pour chacun des membres de la famille. Celle des 3 petits cochons désobéissants qui échappent au loup et finissent par le dévorer une fois tombé de la cheminée dans la marmite.

Sophie aime aussi les comptines chantantes, “ chat vit rôt, chat mit patte à rôt, rôt brûla patte à chat, chat secoua patte et quitta rôt.” Ou “celui-ci partit à la chasse, le second leva le lièvre, le troisième le cuisina, le suivant le mangea, pauvre petit rikiki qui n'eut rien et lécha le plat…”

Et l'armoire secrète regorgeant de sucreries, papillotes et chocolats en tous genres, haute, si haute qu'elle ne pouvait seule en atteindre la clef. Grand-mère, un doigt sur la bouche, en souriant, lui en remplissait les poches, comme des trésors à ne partager qu'entre elles.

Il était à cet instant, souvent l'heure de boire le thé ou le café et de manger la tarte aux pommes dont elle ne retrouvera jamais le goût dans aucune autre. Le seul moment où grand-père lâchait le mégot de sa gitane maïs et son jeu de cartes de solitaire du bout de la table. Plus tard, quand elle fut plus grande, C'est sur ses genoux à lui, qu'elle s'initia au jeu et aux chiffres.

L'appartement sombre sentait souvent le chou, la saucisse de Montbéliard ou le jambon cuit. Il y régnait même quand les oncles et tantes, cousin et cousine étaient là, un silence triste de gens qui n'ont rien à se dire…Nous n'étions, même à Noël jamais conviés pour le repas. Juste pour le café et le cérémonial ennuyeux de la distribution des cadeaux. Les vieux étaient plus gâtés que les enfants, ceux-ci n'ayant fait aucun effort pour connaître mieux leurs belles-filles et gendres, les paquets se ressemblaient d'une année sur l'autre. Les visages des adultes passaient de la surprise jouée au sourire amusé et presque dédaigneux, les mercis toujours exagérés et moqueurs. Des non-dits qui ont longtemps pourris ces semblants de réunion familiale.

La spontanéïté de Sophie, sa naïveté ou son refus de voir le mal, ou peut être un brin de malice, bousculait souvent ce moment de comédie familiale . Sa langue n'était jamais dans sa poche et rien n'y faisait, ni le regard transperçant de sa mère, ni la tête penchée et les sourcils froncés de son père. Quelques raclements de gorge, les paquets ramassés à la hâte et le départ immédiat clôturaient les faux semblants. Il n'y avait pas de sermons dans la voiture sur le trajet du retour, juste des soupirs et des murmures entre ses parents.

Son père finit par y aller seul avec elle un dimanche de temps à autre. Ils éviteront soigneusement d'être disponibles ce 25 décembre les années qui suivirent. Sophie grandissait, sa curiosité et son franc-parler aussi.

Les grands-parents finissent toujours par vieillir, tomber malade puis mourir. Dans un silence empli de reproches jamais évoqués. Les cousins, cousines s'éparpillèrent et n'ayant que peu d'occasion de créer souvenirs et liens, ils ne relèveront pas le défi de poursuivre les traditions des noëls ensembles ni de la chandeleur, encore moins des vacances d'été dans la maison familiale de Franche-Comté dont Sophie était amoureuse et qui fut vidée et vendue sans qu'on lui dise.

Elle put récupérer le service à thé, deux danseuses indochinoises, un coffre fabriqué par son arrière grand-père ébéniste quand ils vidèrent l'appartement de Paris et un buffet dont personne ne voulait. Comment le reste fut réparti, elle ne le sut que beaucoup plus tard…dans la jalousie et la rancoeur mais elle s'en serait douté…

Elle ne garde de son enfance à Paris que l'odeur poudré de sa grand-mère, sa grande taille et les mêmes yeux bleus, celui du tabac froid de son grand-père, de sa tête d'oiseau, et de son costume 3 pièces dès 7 heures du matin. Ils étaient autres dans la maison du Doubs, ils avaient vécus 3 guerres: nés en 1901 et 1904, la première dans leur enfance, l'indochine jeunes mariés, la seconde parents, grand-mère seule à Paris avec les 3 enfants puisqu'il était dans l'armée de l'air et attaché militaire du préfet Jean Moulin…ils n'avaient été heureux qu'à Fesches-le-châtel…une vie de secrets et de peurs…

Je pourrai dessiner de mémoire la maison du Doubs et le 3 pièces à Paris, retranscrire les sentiments ressentis par chacun d'entre nous, il me suffit de fermer les yeux et j'y suis. Mais je n'étais qu'une enfant…je n'ai gardé que le beau. Et tout ne l'était pas…

[tasha-lemon]

Nan mais parce que tu vois Tonton, nous aussi on peut "oublier" la trêve de Noël, y'a pas de soucis, en plus les bonnets ça gratte...

Commande passée, j'ai prit la liberté de nous glisser des petites papillotes pour les pauses entre deux frappes offensives, le moral des troupes c'est important ! Et j'ai prit les deux cuvées, Annonce du Casting Féminin Pour Ghostbusters and Fury Road, je suis sûr que ça ira à merveille avec un lipstick "nOt aLL mEn". Reste plus que les boots de combat et quelques plans de bataille. Bon d'accord, pour cramer des agenda c'est peut-être un peu too much mais sa race, on a envie de les exterminer façon Oggy et les caffards, pas de pitié.

(Je suis reparti dans Civi 6 et j'suis tombé sur une ile au nord à moitié désertique et je m'en suis rendu compte trop tard pour recommencer la partie, j'étais déjà investie émotionnellement T-T. Oui parce que moi si ma carte me saoule je recommence, si c'est pour galérer de rah à z, non merci, j'suis censé jouer donc m'amuser XD. Du coup le jeu patriarcal de la société c'est comme Gandi dans civi. C'est de la merde.)

Quand j'échafaude un plan pour esquiver ma famille à Noël

[magic-office]

Comment empêcher la nourriture gratuite au bureau de vous tuer

Selon une étude, 30% des employés considèrent que l’accès à la nourriture contribuent activement à leur bien-être en entreprise… et à leur envie d’y travailler. Pour retenir ses employés, peu de choses marchent aussi bien que de proposer de la nourriture. Google, Facebook et Twitter en ont fait un de leurs principes. Mais à force de gaver ses équipes, ne risque-t-on pas de les perdre ?

Qui n’a pas entretenu une relation d’amour-haine avec les barres chocolatées du distributeur ou les chocolats de pot de départ de Catherine ? Pas de panique, il existe des solutions pour fournir des snacks de qualité à vos équipes. Voici 6 conseils de diététiciens pour garder la tête froide à votre prochaine commande Metro :

Gardez les aliments entiers

Pensez pommes entières et amandes en vrac plutôt que barres protéinées et paquets de chips.

Investissez dans un vrai réfrigérateur

C’est le seul moyen d’élargir le choix des aliments proposés. Le frigo vous ouvre de nouveaux horizons : fromages, yaourts, mais aussi légumes, houmous, etc. C’est les végétariens qui vont être contents.

Proposez un vrai repas

Allez plus loin en proposant des yaourts, du fromage ou des crackers. Option fun : le popcorn, avec beurre, sucre et sel en option.

Attention à l’hygiène

On ne transforme pas un coin du bureau en cafétéria sans quelques précautions sanitaires : la nourriture doit être servie dans un espace comportant un évier, et du désinfectant pour les mains. N’oubliez pas de laver les fruits et les légumes avant de les servir.

N’oubliez pas les boissons

Pensez à proposer une alternative sexy à l’eau plate, qui évite de consommer trop de sodas : préparez des grandes carafes avec de la menthe, du citron ou du concombre. Vous pouvez également investir dans un purificateur d’eau, ou même une machine à faire de l’eau gazeuse !

Évitez le grignotage obsessionnel

Vous les voyez, les papillotes de Noël qui traînent au milieu de l’open space depuis 2 mois ? Personne n’a envie de les manger, et pourtant, un coup de stress, une nocturne, et paf : on finit le paquet. Nous avons tous tendance à grignoter plus en situation de tension. L’idée, c’est de laisser la nourriture dans une zone spécifique, et de garder les grands saladiers de bonbons ou de gâteaux pour les occasions spéciales.

[douce-petite-ame]

Zoom sur mes (nombreux 😅) cadeaux de Noël 🎁🎄

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Entre des cotons démaquillants lavables, un lot de @fempo_co que je voulais depuis un p'tit moment et le collier panda @lamenagerieco que m'a offert mon copain 😍, un p'tit bol chat, des chocolats @lindtfrance et la carte en point de croix fait main par sa maman 😄, le carnet en papier naturel et le panda fait à la main ramené tout droit du Népal par la sœur de mon copain ❤️, le petit savon de Noël au lait de brebis et une pochette avec des papillotes de la tante et cousine de mon copain 😁, les @jeffdebruges_officiel de sa mamie 🤤 et les jolies bougies photophores de Françoise 🤶, on peut dire que j'ai été vraiment bien gâtée 🙄😇

En plus des vêtements et enveloppes de ma famille 😮 (et puis évidemment le retour du camion de mon enfance 😂😎)

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Cette année, nous avons privilégié des cadeaux zéro déchets, locaux et aussi faits mains ♻️ Autant ceux que j'ai fabriqué avec mon copain et acheté avec ma sœur pour la famille et belle-famille, que ceux que j'ai reçu 😎

Et l'année prochaine on essayera de faire encore mieux avec le moins d'impact écologique possible pour la planète 🌿

[art-et-vie-les-papillons]

Spectacle de Noël à Art et Vie ça va commencer #noel #artetvie #pere #papillotes #popcorn #mandarines #fetesdefindannee https://www.instagram.com/p/B6OFZayCOWh/?igshid=d5m1t33g2kcw

[darkpalmor]

9 JANVIER 2019

Programme royal

Les amorces d’Amélie (10-15 minutes) : Affaire à suivre ! www.ameliecharcosset.com  « Je n’en étais pas à mon coup d’essai. »

Je n’en étais pas à mon coup d’essai dans les beaux quartiers. J’y allais donc en toute tranquillité, certain de réussir. Des voitures étaient garée assez loin des lampadaires, les trottoirs larges bordés de grilles étaient déserts. Pas un chat, pas un képi à l’horizon. Il faisait trop froid. J’avais le tour de main nécessaire pour ma cueillette du soir. Je visais cinq étoiles, pas une de moins. Une légère torsion de côté, un arrachage comme pour un bouchon de bourgogne rétif, et le bruit du ressort qui casse, c’était ainsi, la chasse. Mes clients, et mes clientes, pourraient se fabriquer des porte-clefs originaux, lourds, solides, chromés. Je ne me chargeais pas du service après-vente : c’est à chacun ses goûts. La première fut facile. Elle céda sans résistance. Cinquante mètres plus loin, je voyais l’arrière de la suivante. Ce serait un jeu d’enfant. Je ferais la série, et il ne me resterait qu’à marcher vite, de l’air du gars qui rentre se réchauffer chez lui, et frotte ses gants l’un contre l’autre. Et la plaque de verglas n’était pas signalée. Je suis resté deux heures au sol, jambe cassée, juste à côté de la Mercedes qui me narguait, étoile inviolée.

À juste titre (10-15 minutes maximum) : Première page attirante. On écrit un court texte à partir d’un titre imposé par l’animateur. Ce texte sera ici la première page du roman dont le titre est «La loi du Fouettard», par Noël Le Gal, Série Noire, Gallimard, 2017. On s’efforcera de rendre cette première page attractive, de manière à ce que le lecteur se sente contraint de lire la suite. On pourra s’interrompre au milieu d’une phrase…

La part de réel dans les explications de l’unique témoin, c’était le plus difficile à discerner. Parce que le témoin, c’était un bavard. Un bavard bègue, à moitié dessaoulé, et qui ne craignait pas les redites. Alors l’inspecteur patientait, faisait reprendre un détail, mais le détail changeait souvent. Les nuances de forme et de couleur, c’était son fort, au témoin. Le seul point sur lequel il ne déviait pas, entre deux hoquets, c’était le fouet. Mais c’était cela, le plus bizarre. Que venait faire un fouet dans un égorgement ? La victime continuait de se vider, calmement, ça ne datait pas de plus de dix minutes. « Il avait un fouet, je vous dit, m’sieur l’agent ; un  drôle de fouet. Et je me suis baissé derrière les poubelles quand j’ai vu comment il menaçait la pauvre dame. Après, quand elle a eu fini de crier, je me suis relevé et j’ai gueulé. Et puis vous êtes arrivés, tous, vous autres. Mais ce gars-là, je l’ai pas vu arriver. Il venait d’en haut, comme du mur, ou de la fenêtre, ou bien des arbres. Peut-être. Et puis il avait un grand sac. Ou bien un manteau gonflé. Et puis une espèce de bonnet. Vous me croyez pas, m’sieur ? Y avait d’abord la bonne femme toute seule, loin devant moi, et puis il est arrivé avec son fouet. Il sortait de nulle part, je vous…

Expérimental (5 minutes) : LSD, Littérature sémio-définitionnelle à visée poétique. On part d’une phrase (littéraire ou non) assez banale et plate et on en développe le plus grand nombre possible de substantifs, de verbes, par des périphrases censées représenter leur sens. Il s’agit d’allonger et de rendre très imagée la phrase de départ. Phrase imposée : René Bazin, Ma tante Giron (1885). « La grande propriété y domine. Les fermes, généralement étendues, sont louées, depuis des générations, par les mêmes familles de fermiers aux mêmes familles de propriétaires. »

La grande caractéristique qui fonde la plupart des sociétés capitalistes et que Proudhon assimilait au vol, y étend son influence sans craindre d’écraser tous ceux auxquels elle s’impose, par la violence ou par ses qualités morales. Les bâtiments où s’échinent à faire entrer le maximum de blé et de foin des laboureurs qui y sont nés et qui y périront, tôt ou tard, parfois pendus à une poutre du grenier, généralement étendus, sont prêtés contre des sommes d’argent impossibles à réunir, depuis des séries d’humains se succédant sans avoir demandé à prendre la suite de ceux qui les ont mis dans ce pétrin qu’est la vie, par les mêmes groupes indistincts de frères, de cousins, d’oncles, aux prénoms qui se ressemblent ou se répètent, groupes de travailleurs qui doivent fermer leur gueule et payer le fermage en novembre, courir après les vaches et entretenir des bâtiments qui ne leur appartiennent pas, prêtés, donc, aux mêmes groupes distincts de fils uniques, élevés dans le sentiment de la continuité et de la légitimité, et dans l’amour de la richesse terrienne, qui se transmettent ce patrimoine sans faiblir depuis des siècles, groupes d’individus nés nantis et ne voient pas pourquoi cela ne durerait pas indéfiniment.

Concept pour une réminiscence de sensations (15 minutes) : Les souhaits de nouvel an rituels. On exposera les impressions que ce mot éveille dans les souvenirs, ou dans l’imagination.

Les souhaits du nouvel an, c’est la ritournelle sonore des bêtises de gamins sur le thème de la bonne année, « Bonne santé, la goutte au nez jusqu’à la fin de l’année », et les rires niais, d’année en année, à la reprise de ces couplets. J’entends encore ces parodies de vœux adultes, anticipation de la lassitude à venir. Les souhaits de nouvel an, c’est le double contact de la barbe qui pique chez les grand-père, et de la pièce de un franc dans la main, pièce appuyée avec force jusqu’à ce qu’on dise « merci, pépé », et c’est le goût de la papillote un peu rance, celle de l’an dernier, qu’on croque ou qu’on suce en même temps qu’on se chatouille avec le papier roulé en petit pinceau brillant. Ce bruit de la papillote, c’est celui de la bonne année. Les souhaits de nouvel an, à l’école, c’est l’essoufflement à courir après les filles, à la récréation, pour leur souhaiter la bonne année, les filles qui s’esquivent, se réfugient en petits groupes piaillants qui tournent le dos, c’est parfois le bruit des gros bisous et les rires étouffés quand on arrive à en attraper une qui a bien voulu se laisser capturer. Les souhaits de nouvel an, c’est l’ouverture de la boîte aux lettres, le tri rapide pour vérifier si Untel ou Unetelle a répondu, c’est le crissement des cartes colorées où sont collés,éphémères et brillants, de minuscules grains de sable, côté face, c’est la lecture survolée et toujours déçue des trois lignes rituelles. Les souhaits de nouvel an, avec le temps, c’est le sentiment que l’histoire bégaie, que la banalité est inévitable, avec « la santé surtout ». Les souhaits de nouvel an, finalement, c’est pesant.

[lesorres]

LES 5 BONNES RAISONS DE FÊTER NOËL AUX ORRES

Du 23 au 30 décembre, la station des Orres vous offre une semaine féérique et enchantée !

Raison n°1 : L’esprit de Noël se partage en famille…

... et aux Orres. C’est le cadre idéal et rêvé pour célébrer Noël en famille. Montagne, neige et bons plans en raviront plus d’un : un séjour enfant offert pour l’achat d’un séjour adulte !

Raison n° 2 : Le Père Noël, invité VIP des Orres

Le Père Noël a élu domicile aux Orres cette année pour fêter Noël. C’est entouré de ses lutins qu’il vous accueillera dans sa maison, répondra aux questions des enfants et se déplacera en traîneau à travers la station ! Et vu qu’il est super sympa, il a prévu le plein d’animations et de spectacles pour vous épater !

Raison n°3 : Un Noël tout feu tout flamme pour se réchauffer

En plus de se retrouver autour du feu pour ouvrir les cadeaux, vous pourrez admirer la descente aux flambeaux,le grand feu d’artifice et le spectacle flammes et musique, dans un joyeux vent de braises et d'étincelles.

Raison n° 4 : Les Orres, station scintillante

Pour l’occasion, la station des Orres va se parer de ses plus belles décorations lumineuses pour créer une atmosphère féérique étincelante. Les lumières brilleront de tout leur éclat, accompagnées de déambulations lumineuses d’artistes de cirque.

Raison n°5 : Un  Noël gourmand, ça ne se refuse pas !

Et en plus de pouvoir boire du chocolat chaud à gogo et du vin chaud (mais pas trop), le père Noël distribuera des papillotes et vous pourrez vous laissez tenter par des stands à barbe à papa, gaufres et tartes du pays. Vos papilles apprécieront également la dégustation de produits locaux. Tout ce qu’on aime !

 Plus d’infos sur www.lesorres.com