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#panneau publicitaire
toutplacid · 9 days
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Pont sncf de l’âge du fer, avenue du Général-Leclerc, Pantin — fusain, carnet nº 142, 6 juin 2024.
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2t2r · 12 years
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Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/poster-time/
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tracing-rivers · 1 month
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J'entends souvent la phrase "cette ville est trop bien, dommage qu'il y ait ses habitants ptdr", alors
Attention ! Si vous votez Paris parce que vous pouvez pas saquer les Parisiens, ça ne suffit pas ! Il faut aussi aimer la ville en elle-même !
J'ai mis ces villes-là parce que j'ai personnellement lu ou entendu cette phrase les concernant ; il y en a sûrement d'autres
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rocksandmirrors · 6 months
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holly and fuchsia
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ayumysingerblog · 9 months
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valavelo · 11 months
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J28 ~ De l'autre côté du Tejo
Lisboa~Setúbal (79km)
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Je quitte Lisboa aujourd'hui. Comme j'ai prévu une étape plutôt courte, je profite encore un peu de la capitale le matin. Sur la Praça do Comércio, il y pas mal d'installation mises en place pour le festival du week-end. Je joue avec les réflexions.
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Je vais aussi refaire un tour vers Belém. Surtout pour voir le Musée d'Art, d'Architecture et de Technologie (MAAT) dont le bâtiment m'avait fait forte impression en arrivant.
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Direction le terminal de ferry pour traverser le fleuve Tejo. Pas beaucoup de distributeurs de billets (2) alors je fais patiemment la queue derrière des touristes anglais qui mettent un temps fou à comprendre comment ça marche. Je récupère finalement mon ticket à 12h06 pour le ferry de 12h07. Mais pas de panique, ici on prends le ferry comme on prendrait le métro.
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Déjeuner dans un snack sur l'autre rive et départ pour Setúbal. Une fois loin de la ville, je passe à travers le parc naturel d'Arrábida, un massif très sauvage. De bonnes côtes à grimper mais la vue en vaut vraiment la peine.
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En redescendant vers la plage, je trouve ma route bloquée. Un panneau indique des éboulements... Petit moment de découragement en m'imaginant remonter plusieurs centaines de mètres pour contourner l'obstacle... Un jeune portugais arrive à pied et m'explique que tout le monde passe les barrières (c'est un raccourci pour la plage) et qu'il n'y a pas vraiment de danger. Il m'aide à faire passer le vélo pour que je puisse continuer.
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Je finis ma route dans un camping juste avant Setúbal. Là, je rencontre un campeur assez original. Il est Irlandais mais vis en Australie. Il voyage en bus ou en train. Comme il en a eu assez de l'hôtel il s'est acheté une tente et découvre un nouveau monde: le camping. On discute beaucoup, à vrai dire il est difficile de l'arrêter. Il s'appelle Noël. Je n'ose pas lui faire remarquer mais avec son air de vieux sage et sa barbe blanche c'est le portrait craché du Père Noël !
🎶 Ne me jugez pas. Il y avait des affiches publicitaires à tous les arrêts de bus pour la sortie d'une nouvelle saison de la série...
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SAMEDI 19 AOÛT 2023 (Billet 2 / 4)
Et puis, pour poursuivre dans l’idée du premier Billet, avant-hier après-midi, en allant faire les dernières courses pour un dîner chez nous avec des amis prévu quelques heures plus tard, cette affiche sur un panneau publicitaire dans la rue (voir ci-dessus).
Et oui, « PRENDRE SON PIED » signifie prendre beaucoup de plaisir, mais cette expression ne s'inscrit pas forcément dans un registre sexuel, même si c'est souvent dans ce contexte qu'elle est utilisée.
« À l’époque de la piraterie, une fois les richesses dévalisées, venait le temps du partage. Chacun voulait sa part du butin. Et pour le répartir, on commençait par distribuer à chacun un petit tas d'or de la taille d'un pied. Ainsi, les plus chanceux avaient pris leur part, ils avaient pris leur pied.
En 1878, une expression similaire était quotidiennement utilisée : on disait « j'en ai mon pied » pour dire « j'ai eu ma part ». On y retrouve là aussi l'idée d'en avoir eu suffisamment, d'avoir eu son compte. Le pied est par ailleurs souvent utilisé dans le vocabulaire amoureux. On notera ainsi qu'il faut « trouver chaussure à son pied »… avant de pouvoir le prendre à deux ! 🤪🤣. »
(Source : « europe1.fr/culture »)
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pauline-lewis · 1 year
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It should happen to you
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Bon, ça n’a pas été un mois très facile (but Captain it’s le 18 avril). J’ai essayé de ne pas trop écrire parce que j’avais l’impression que mon état mental me poussait au mensonge et j’essaie de ne pas mentir, pas trop consciemment du moins. Les épisodes anxieux ne sont pas propices à l’écriture parce qu’ils s’accompagnent d’un état brumeux qui mélange tous les mots. Mais comme on voit tout le monde continuer pendant qu’on est à l’arrêt sur la bande d’arrêt d’urgence, on s’inquiète.
Enough about that. Samedi j’ai vu un film qui m’a donné envie d’écrire, comme le font souvent les films de George Cukor qui, à la longue, devient je crois bien l’un de mes cinéastes préférés. (J’ai acheté quand j’étais partie enregistrer un podcast à Tours un vieux numéro des Cahiers du Cinéma qui datait du moment de sa mort. Dans l’hommage, le critique écrivait que les femmes n’étaient pas si importantes dans ses films, du moins qu’on avait tort de dire que son cinéma tournait autour d’elles ou qu’elles avaient toujours le beau rôle. En somme : arrêtons de le “limiter” à ses portraits de femmes. Ça me met occasionnellement en colère, quand j’y pense.) Bref, j’ai donc vu It should happen to you qui met en scène deux de mes acteurices préféré·es : Jack Lemmon, que j’aime à la vie à la mort depuis que j’ai vu Certains l’aiment chaud au lycée, et Judy Holliday dont j’ai vu et adoré deux films l’année dernière Born Yesterday de Cukor et The Bells are Ringing de Minnelli. [et je vous recommande le super épisode de podcast de You Must Remember This à son sujet]
Donc. It should happen to you raconte ce genre d’histoires qui, comme Born Yesterday, donne lieu à toutes sortes de leçons de morale pensées par le scénariste Garson Kanin. On y suit Gladys Glover (Judy Holliday), une femme qui a soif de gloire et qui décide de louer pendant trois mois un énorme panneau publicitaire pour y inscrire son nom en lettres géantes. Le film m’a d’ailleurs fait penser à la BD Le grand vide de Léa Murawiec dont l’un des enjeux était, pour chacun·e, de ne pas se faire oublier. Dans cet univers dystopique, faire connaître son nom devenait une problématique très importante. Revenons à nos panneaux publicitaires. Le contre-point de Gladys Glover est incarné par Pete, un homme très droit moralement, joué par Jack Lemmon (dans son premier rôle à l’écran). Il campe un réalisateur de documentaires complètement fauché qui a l’élégance de ne pas apparaître dans ses films et se laisse donc disparaître derrière ce qu’il raconte. (On a envie d’être agacé par lui, mais c’est Jack Lemmon donc that’s that) Il tombe amoureux de Gladys Glover/Holliday tout en étant, évidemment, très critique de sa démarche. Il lui explique qu’elle ferait mieux d’apprendre à faire partie de la foule plutôt que d’essayer de tirer son épingle du jeu. Qu’il n’y a rien de mal à être simplement une personne “normale”.
Évidemment, avec un sujet pareil, c’est la fête aux leçons de morale sur la célébrité, sur ses dangers et ses mensonges — et parfois c’est bien vu, voire même pertinent aujourd’hui. Pourtant, j’ai eu le sentiment que quelque chose de plus radical s’y jouait et que, exactement comme dans Born Yesterday, nous étions plutôt invité·es à nous mettre du côté d’Holliday. De mon côté j’ai mis ça sur l’incroyable jeu de cette actrice que je trouve toujours d’une justesse folle. J’ai l’impression que dans chacun de ses films elle opère quelque chose de parallèle. Qu’elle fait mentir le scénario, qu’elle donne à son personnage plus de corps que ce qui était prévu pour elle. Et puis j’ai lu cet article de Brad Stevens que j’ai trouvé très intéressant sur le fait que George Cukor développe en réalité un message parallèle, qui ne correspond pas à la vision du scénariste. Parce que Cukor décide de dire quelque chose du désir féminin sans cesse empêché (et il est vrai que les sous-entendus sexuels sont légion dans ce film, notamment quand Gladys regarde le panneau en train d’être peint en s’exclamant « Faster ! Please ! Faster ! ») et parce que, n’en déplaise aux Cahiers du Cinéma, il me semble qu’il est toujours du côté de ses héroïnes. Et c’est même pour cette raison que je l’aime tant.
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Ce que raconte It Should Happen To You ce n’est pas tant le désir de gloire que l’impossibilité pour une femme d’exister dans le monde que le film décrit. Tout son entourage essaie de profiter de Gladys : le patron d’une marque qui essaie de récupérer le panneau d’affichage qu’elle utilise, le personnage de Lemmon qui veut qu’elle rentre dans le rang, son impresario improvisé qui veut qu’elle lui rapporte toujours plus d’argent… Partout elle est victime du regard des hommes voire de leurs mains lorsqu’elle doit inaugurer un avion qui porte son nom. Il est facile pour Pete/Lemmon de lui dire comment être plus vertueuse, de lui expliquer encore et encore ce qu’elle devrait faire (et Cukor aime les filmer quand elle le surplombe). Il est un homme, dans un monde d’hommes. La gloire était son désir à elle, mais elle ne récolte aucun de ses bénéfices.
Tout au long du film, Gladys tente simplement de reprendre la main sur sa vie en utilisant les outils du patriarcat. L’entreprise ne fonctionne pas pour autant. Elle veut se faire un nom mais ne devient qu’un corps réduit à un symbole, celui de l’américaine lambda, dans une campagne d’affichage. On l’instrumentalise pour vendre des produits de régime qui feront souffrir ses congénères. Et la voilà sortie de l’anonymat tout cela pour être privée, encore une fois, de sa singularité. Les hommes autour d’elle ont réussi leur coup. Mais Cukor (comme l’explique l’article que je citais plus haut) a tenu à ajouter un petit segment, une fin en forme de clin d’œil qui lui rend un peu de son agentivité. Qui nous montre que, peut-être, elle n’a pas dit son dernier mot. Dans l’espace confiné de la voiture, alors qu’elle chantonne, elle a des désirs de liberté.
Toute l’entreprise du personnage d’Holliday me semble être une forme de performance, la démonstration par A+B de ce qu’elle a le droit ou non d’incarner. Mais elle n’est jamais dupe. Elle veut juste l’exposer au grand jour. À chaque fois que je la vois, je me dis qu’il y a dans le jeu de cette actrice quelque chose de radical qui me fascine (et vraiment, Born Yesterday est aussi une merveille sur ce niveau) – j’allais dire qui me séduit mais la vérité est ailleurs. Elle hante ces films d’une façon singulière, qui me donne envie de me mettre à jamais du côté des personnages qu’elle incarne. Elle a ce sourire qui veut tout dire. Le sourire d’une joie, de la joie radicale de celle qui sait parfaitement ce qu’elle fait.
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n-a-colia · 2 years
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Étoiles
         J’étais sorti dans un but précis. Dehors, il ne faisait pas plus froid que d’habitude, mais je sentais tout de même que les parties métalliques de mon corps gelaient. Mon bras me faisait souffrir à cause d’un dysfonctionnement de la puce qui survint lors d’un rechargement de batterie. J’avais la sensation que ma chair brûlait et que mon cœur pouvait s’éteindre de douleur si je n’agissais pas immédiatement. Mes veines étaient emplies de lave bouillonnante et, bien que j’eusse toujours la vue, j’avais l’impression que mes yeux crevaient toutes les secondes… C’était comme s’ils allaient exploser sous un afflux de sang. Je traversais donc les rues de Locard en titubant, à la recherche de menthe.
         Je réalisai, un peu tard, que les rues étaient bondées de monde. À mon passage sur les trottoirs de bitume gris et sales, les autres passants me regardaient comme si j’étais un monstre. Pourtant, je n’étais pas le seul ! N’avaient-ils jamais vu un autre Mentharin ? Ne passaient-ils que par les belles avenues de métal ?! Impossible ! Je tentai de cacher mon visage sous ma capuche noire mais ma posture courbée me trahissait. J’étais nu, face aux jugements de ces dieux qui n’eurent jamais le malheur de toucher à la menthe.
         Les sons environnants me percutaient le crâne. Des grésillements ; des alarmes lointaines ; des cris : tout était fait pour me persécuter. L’on entendait un vacarme incessant malgré notre silence. La ville nous hurlait son agonie.
         En piétinant une flaque d’eau noire glacée, je m’aperçus qu’il faisait nuit. Aucune étoile n’avait été vue depuis bien longtemps. D’ailleurs, moi, comme tous ceux de Locard, n’en avions jamais vu… De nuit, le centre du ciel était dans une obscurité crasse et ses contours étaient d’un blanc terne, effacé par les mille divines lumières de la ville éclair.
         Je marchai dans les rues, parfois en perdant mon chemin au milieu des dédales d’acier. Quand je relevai la tête, je compris enfin que la ville était faite sur mesure pour que l’on y reste. Je m’arrêtai au centre d’une ruelle exigüe et presque vide, plongée dans un silence de mort. Sur ma gauche, un mur orné de dix écrans publicitaires, derrière un grillage électrisé. Combien de fois avais-je vu cette publicité depuis que j’étais sorti ? Dix ? Vingt ? Cinquante ? Était-elle à chaque tournant de cette ville puant la pisse ? Non… Elle n’en était qu’une de plus, parmi les centaines d’autres qui se répétaient, encore et encore, jusqu’à ce que notre esprit ne pense plus qu’à ça… C’était la course à celle qui pénètrerait le mieux le cerveau des habitants.
         Celle qui m’avait gagné représentait un rapport sexuel entre un homme et une femme à moitié mécaniques et complètement nus. En levrette, l’homme lui arrachait ses cheveux blonds d’une main robotisée, tandis que sur le visage de la femme, un sourire démoniaque était dirigé vers le futur client. Son œil droit robotique émettait une lumière rouge. Elle levait sa main mécha gauche sur laquelle elle avait une longue lame… Au bas de l’affiche publicitaire sur fond rose bonbon, on pouvait lire : « Contre le viol, tentez Mécha-nous ! ».
         D’un accès de rage, je m’emparai d’une canette de soda écrasée sur le sol et je la lançai sur la grille dans l’espoir de toucher la publicité. Cependant, au contact de la grille, la canette ne fit que se désintégrer et une douce voix de femme retentit du panneau publicitaire :
« Iel. Corlian. Numéro : 1 439 132 345. Vous avez été remarqué en train de commettre la contravention suivante : dégradation mineure sur la voie publique. Vous perdez : 1 point de crédits sociaux. Votre solde est de : 13 points de crédits sociaux. Bonne journée à vous ! »
         C’était un message automatique, mais cette voix fut une délivrance pour moi. J’avais enfin un contact avec une femme ! Enfin ! Il n’y en avait plus dans les rues. Mon cœur s’embrasa du manque de menthe mais également d’un sentiment nouveau… J’attrapai un autre débris au sol et je le jetai contre la grille. La voix de la femme retentit encore pour me dire exactement la même chose… Mais le mot douze sonnait mieux que le treize. Je m’en délectai !
         Dans mes plus sombres pensées, j’imaginai la seule chose que je pouvais imaginer : Que cette femme qui s’intéressait à moi était la même que celle sur l’affiche publicitaire. Je continuai ma route, alors que sa voix résonnait encore dans mon esprit.
         Je pris à droite à l’un des croisements, tandis que j’étais complètement perdu. Les panneaux publicitaires étaient le seul repère dans cette ville et ils changeaient toutes les semaines. C’était comme si les murs de Locard bougeaient…
J’arrivai dans une ruelle plus sombre, totalement déserte. Des lignes de supertram se chevauchaient au-dessus de moi. Elles étaient de longues rampes d’acier sensés transporter sur de longues distances, un maximum de voyageurs en un minimum de temps. Sur ma droite, comme sur ma gauche, des publicités jonchaient les murs des immenses gratte-ciel délabrés mais elles n’étaient pas électroniques. C’était étrange… Agréable… Pour une fois, l’on tentait de me vendre un produit sans me brûler les yeux. Mais j’oubliai rapidement le produit en question lorsque je continuai ma route.
Au fond de la ruelle, un coup de feu éclata, puis, je vis un homme partir en courant avec un sac à dos. Il avait un pistolet qu’il jeta au sol, une expression de terreur au visage. Je compris que j’avais là, la plus grande chance du monde. Il était la solution pour entendre ma douce femme me dire d’autres mots…
Alors qu’il passait à côté de moi, je tendis mon bras métallique pour lui cogner le visage et l’homme tomba au sol. Ses habits étaient déchiquetés, comme les miens. Il était peut-être lui aussi accro à la menthe. Je profitai de cette penser pour gagner en force et j’utilisai l’option marteau de mon Mécha-nous. Je me plaçai au-dessus de lui, les genoux sur son torse.
« Non ! Pitié ! » implora-t-il.
         Puis, malgré mon corps frêle et déchiré par la menthe, je lui assénai un premier coup puissant et sauvage sur le front. Il agonisa d’un souffle court et n’avait plus la force de parler, mais il était toujours vivant. Les os de son crâne s’étaient simplement affaissés vers l’intérieur. Je montai alors la puissance de mon bras à 5 joules. Puis, je balançai un autre coup de marteau qui me fit rouler vers l’avant. La tête du tireur éclata sur le coup.
         Allongé sur le dos, j’attendais, impatient. J’avais le sang bouillant mais je sentis ma chair geler. Je respirais bruyamment malgré le fait qu’il ne fut pas ma première victime. C’est alors que, les yeux rivés vers le ciel, je vis enfin quelque chose qui soulagea mes yeux pour de bon… Au centre des abysses éclairés de l’espace, il y avait un point blanc…
« Une… Étoile ? »
Je n’en revenais pas. Ce point lumineux était la plus belle chose que je n’eus jamais vu… Enfin, la voix d’ange fit son apparition pour me soulager davantage :
« Iel. Corlian. Numéro : 1 439 132 345. Vous avez été remarqué en train de commettre le crime suivant : Meurtre sur la voie publique. Vous perdez : 10 points de crédits sociaux. Votre solde est de : 2 points de crédits sociaux. Bonne journée à vous ! »
         J’étais au paradis. J’avais le sentiment d’avoir réussi ma vie malgré tous mes déboires. Je fermai les yeux et imaginai ma femme à mes côtés… Cette petite blonde aux cheveux arrachés et au sourire dérangeant… Son œil rouge, dirigé vers moi et sa douce voix qui me répète sans cesse que je perds des crédits sociaux… Quel soulagement de la sentir, si proche…
         Si, après cela, j’eus utilisé la lame de mon Mécha-nous pour me trancher la gorge, ce fut car, quand je rouvris les yeux, le point blanc dans le ciel se déplaça en clignotant.
Nouvelle du : 14/10/22
Défi : Ecrire une nouvelle à partir d'une image aléatoire.
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abcprintshop · 20 days
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Comment Concevoir un Panneau Publicitaire Percutant qui Attire lAttention des Passants ?
La conception d’un panneau publicitaire efficace est essentielle pour capter l’attention dans un environnement urbain saturé d’informations visuelles. Dans cet article, nous explorerons les meilleures pratiques et stratégies pour concevoir un panneau percutant qui maximise l’impact de votre message tout en mettant en lumière les services d’Abc Print pour répondre à vos besoins spécifiques. Demande de devis Avantages Principaux pour une Entreprise Avantages Principaux pour une Entreprise 1. Visibilité Accrue : Capture l’attention des passants dans des zones à fort trafic. 2. Large Portée : Communique efficacement avec un large public cible. 3. Impact Visuel : Utilisation de graphismes et de couleurs vibrantes pour un impact immédiat. 4. Flexibilité : Adaptation facile du message en fonction des promotions et des événements. 5. Durabilité : Résistance aux conditions climatiques extérieures pour une longévité accrue. Stratégies de Conception pour Maximiser l’Impact Pour concevoir un panneau publicitaire qui se démarque et attire l’attention, voici quelques stratégies efficaces à considérer : Clarté du Message : Assurez-vous que le message est clair, concis et facilement compréhensible en quelques secondes. Utilisation de l’Espace : Maximisez l’espace disponible en utilisant des éléments visuels percutants sans surcharger le design. Choix des Couleurs : Optez pour des couleurs contrastées et attrayantes qui captivent l’œil sans compromettre la lisibilité. Images de Qualité : Intégrez des images de haute qualité qui renforcent le message et l’identité de votre marque. Appel à l’Action Clair : Incluez un appel à l’action distinctif pour inciter les passants à agir immédiatement. Caractéristiques Techniques des Produits Les panneaux publicitaires d’Abc Print sont imprimés avec des technologies avancées garantissant une résolution élevée et des couleurs vibrantes qui résistent aux intempéries. Nos matériaux sont sélectionnés pour leur durabilité et leur capacité à maintenir l’intégrité visuelle du message promotionnel sur le long terme, même dans des conditions météorologiques difficiles. Demande de devis Conclusion En conclusion, concevoir un panneau publicitaire percutant nécessite une combinaison stratégique de créativité visuelle et de précision technique. Chez Abc Print, nous nous engageons à fournir des solutions sur mesure qui répondent aux exigences spécifiques de votre campagne publicitaire. Contactez-nous dès aujourd’hui pour discuter de vos besoins en matière de conception de panneaux publicitaires et découvrez comment nous pouvons maximiser l’impact de votre message. The post Comment Concevoir un Panneau Publicitaire Percutant qui Attire l’Attention des Passants ? appeared first on abcprint.shop | Printing and advertising items. Originally published here: https://abcprint.shop/comment-concevoir-un-panneau-publicitaire-percutant-qui-attire-lattention-des-passants/
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brentdunavant · 4 months
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Comment Adapter Vos Panneaux Publicitaires aux Saisons et aux Événements
Comment Adapter Vos Panneaux Publicitaires aux Saisons et aux Événements https://rueduprint.fr/panneaux-publicitaires-/panneau-personnalise-evenement-creez-l-ambiance-parfaite/ Vous souhaitez que vos panneaux publicitaires se démarquent et captent l’attention de votre public cible toute l’année ? Chez Rue du Print, nous comprenons l’importance d’adapter vos stratégies de communication L’article Comment Adapter Vos Panneaux Publicitaires aux Saisons et aux Événements est apparu en premier sur Publicité, Impressions : Nappes, Textiles, PLV - Rue du Print. via Publicité, Impressions : Nappes, Textiles, PLV – Rue du Print https://rueduprint.fr/ May 24, 2024 at 12:18AM via https://www.tumblr.com/rueduprint/751629677406388224
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louisharis · 4 months
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Choisir le Bon Matériau pour Votre Panneau Publicitaire : Un Guide Détaillé
Lorsqu’il s’agit de créer un Panneau Lumineux Publicitaire percutant pour votre entreprise, le choix du bon matériau est essentiel. Avec une variété d’options disponibles, il peut être difficile de déterminer L’article Choisir le Bon Matériau pour Votre Panneau Publicitaire : Un Guide Détaillé est apparu en premier sur Publicité, Impressions : Nappes, Textiles, PLV – Rue du Print. Choisir le Bon Matériau pour Votre Panneau Publicitaire : Un Guide Détaillé published first on https://rueduprint.fr/ via https://rueduprintfr.wordpress.com/2024/05/27/choisir-le-bon-materiau-pour-votre-panneau-publicitaire-un-guide-detaille-2/
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bonieford · 4 months
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Choisir le Bon Matériau pour Votre Panneau Publicitaire : Un Guide Détaillé
Lorsqu’il s’agit de créer un Panneau Lumineux Publicitaire percutant pour votre entreprise, le choix du bon matériau est essentiel. Avec une variété d’options disponibles, il peut être difficile de déterminer L’article Choisir le Bon Matériau pour Votre Panneau Publicitaire : Un Guide Détaillé est apparu en premier sur Publicité, Impressions : Nappes, Textiles, PLV – Rue du Print. Choisir le Bon…
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lonesomemao · 4 months
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IL SE PEUT ...
Panneau publicitaire
Station Carliers Tourcoing
On peut rouler dans la MEL
Sans en faire une Montagne
( en encadré rouge )
Plate et droite
Une route de campagne
Une maman en vélo
Deux enfants un sur son devant
Qu'elle pousse com sur un pousse-pousse
L'autre pédalant devant
Elle symbolise donc Mère Nature
Le vélo ce n'est plus
Le Grand Prix de la Montagne
Richard Virenque Druze Israël
Mais la Chine de Mao avec tous ses vélos
La Femme étant la moitié du ciel
Li en grand-mère m'apparaissant re-belle
Depuis sa Commune Populaire
Et Aujourd'hui
Une Chine classe
C'est elle qui sait ses défauts
Le premier le parti 1984
Phallocrate bureaucrate
Pouvoir à la Verticale
Replaçons-nous sous Mao
Dimanche 12 mai 2024
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latribune · 10 months
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abcprintshop · 20 days
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Comment Concevoir un Panneau Publicitaire Percutant qui Attire l’Attention des Passants ?
La conception d’un panneau publicitaire efficace est essentielle pour capter l’attention dans un environnement urbain saturé d’informations visuelles. Dans cet article, nous explorerons les meilleures pratiques et stratégies pour concevoir un panneau percutant qui maximise l’impact de votre message tout en mettant en lumière les services d’Abc Print pour répondre à vos besoins…
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