#panards
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Elliot Finn by Disruptive Films
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On veut des noms – Jean-Paul Clair ( de Panard à Pemberton )
PANARD Charles François (1674-1765) : Auteur, il prenait son pied à écrire des chansons, des vaudevilles, des opéras. PAPIN Denis (1647–1712) : Savait comment s’y prendre pour faire bouillir la marmite. PAPINSKY : Non, ce n’est pas notre J.P.P national qui s’est fait naturalisé Polonais, mais un instituteur radié à vie pour avoir rédigé un pamphlet contre l’inspection en 1976. PARE Ambroise…
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J'ai lu "Choucroutez vos pieds". Ce qui est pas si éloigné de ce qui est proposé j'ai l'impression...
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This evening I'm catching up with Les Mis Letters so here are some language notes from the last few chapters:
LM 5.5.6 - The Two Old Men Who Do Everything...
1. A fun pun! Marius says: “The men of the revolution are so great, ... and each one of them seems to me an antique memory.” In French the last part of this line is: “... et chacun d’eux semble une mémoire antique.” M. Gillenormand then responds with “Moire antique!” meaning antique moire - a rippled or wavy fabric - and the next day he buys a dress of this fabric for Cosette. If you haven't spotted the joke yet, "antique memory" in French is "mémoire antique" so M. Gillenormand either only heard or only chose to hear the very last part of what Marius was saying and interpreted it as Marius talking about the fabric.
2. In one of M. Gillenormand's long speeches he says “... I am always harping on your people, but do look favorably on my dealing a bit of a slap to the bourgeoisie. I belong to it.” The last sentence is exactly the same wording in French that Grantaire uses in his line "Vive la République! J'en suis." translated in Hapgood as "Long live the Republic! I'm one of them." It's such a common phrase that I don't expect much was meant by it but I found it to be an interesting parallel.
3. “[Aunt Gillenormand] went regularly to service, told her beads, read her euchology, mumbled Aves in one corner of the house, while I love you was being whispered in the other,” This is just kind of interesting- the "I love you" in this sentence is written in English in the original text. I'm not sure why.
LM 5.6.1 - The 16th of February 1833
1. There's a missing sentence in Hapgood's translation after: “Collé, Panard and Piron flow from it, enriched with slang.” The sentence after it is: “On crache de là-haut sur le peuple le catéchisme poissard.” which I would translate as "One spits vulgar catechismes (summary of a religious doctrine) on the people from up there."
2. Very shortly after the previous sentences, there's the line “Uproar reigns in front, tumult behind.” I feel like Hapgood didn't really capture the vibes of the language correctly here because the words used for "uproar" and "tumult" are "Brouhaha" and "Tohubohu" respectively. Brouhaha can be kept as-is in English, and apparently Tohubohu can be translated as hurly-burly although I've not really heard that expression before, but both give a more accurate sense of the onomatopoeic nature of the words being used.
3. I can't comment on all of it right now but there's SO much fun argot being used in the conversation between Thénardier and Azelma- my version of the French text has a ton of its rare footnotes to explain all the slang. One tiny thing that's bothering me about the Hapgood translation is Thénardier ends with “That don’t matter. You must try. You understand me, Azelma.” but the French ends with “Entends-tu, Azelma ?” so it really should be "Do you understand, Azelma? / Do you hear me, Azelma?"
These chapters are a bit longer as we approach the end here! I think I'll have to save the next one for tomorrow, but now I'm only one behind.
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Nirvana d'odeurs:
sox pourraves
adidas puantes
panards crads et ongles d'orteils pas coupés
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PANARDS 😜👣
#feet gay#gayfeet#brofeet#gay socks#dirty boys#smelly toes#sneakers#male socks#skets#smelly socks#sneakeraddict
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“Un pétard ou un Ricard
Si t’as vraiment le cafard
À choisir y’a pas photo
Moi je choisi le Marocco
Les alcools ont leurs saoulards
Le canna c’est le panard
Y’en a qui le mystifient
Moi je fais son apologie” - Matmatah, l’Apologie
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BLAMO!
Meet pancake gerards (panards)
#my chemical memes#my chemical gerard#my chem romance#mcr#mcr memes#my chemical gee#my chemical romance#mcr fandom#gerard way
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LE SPORT LE PLUS STYLE DE L`UNIVERS.
Luca Papi, l’homme qui courait en dormant, en pleine course de 270 bornes. Admirez le bazar du sac à dos, le ravito acheté dans une épicerie et surtout les trous dans les chaussures pour aérer les panards. Quel sport incroyable.
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Le Langage “Poilu”.
“(…) Vous savez que la tête ou trognon se coiffe d'un képi, dit kébrock, pot de fleurs. Le buste du poilu, la partie de son corps qui contient l'estomac et les entrailles, qui est par conséquent le réceptacle de la nourriture, se nomme pour ce motif: coffre, bide, buffet, lampe. Rien ne fait plaisir comme de s'en flanquer plein la lampe. Le poilu met ses jambes, ses quilles, ses pattes, ses harpions, son compas, dans un objet appelé par certains pantalon, mais par lui: falzar, frandar, froc, fourreau, grimpant. On voit le geste de l'homme qui s'habille…
A ses pieds, panards, ripalons, il enfile des godillots ou, si vous préférez, des godasses, des grôles, des croquenots, des ribouis, des péniches, des chaussettes à clous, des pompes (à l'usage de l'eau des tranchées, probablement). Tout le monde connaît Azor, le sac; Mlle Lebel, le fusil, et Rosalie, la baïonnette, trois fidèles amis du trouflon.
Le temps où le poilu se couchait dans un lit, appelé pajot ou plumard, en raison sans doute de l'absence de plumes dans la literie, est maintenant passé. Il dort (quand il dort, et alors il pionce, il roupille, il en écrase) sur la terre, heureux d'avoir de temps en temps un peu de paille en guise de drap ou de sac à viande. Au repos, en arrière, il trouve quelquefois un lit: quelle joie, quelle nouba. Quelle foire! Mais la chose est rare depuis que le poilu habite la tranchée et ses gourbis, ses cagnas, ses calebasses. Sa grande préoccupation est alors de défendre sa peau. Car il reçoit des visites peu agréables: les gros noire, les marmites, les wagons-lits, les trains de wagons-lits, s'il y en a plusieurs, le métro.. Que sais-je encore? C'est alors que retentissent les:
�� Planquez-vous! » Les poilus s'aplatissent sur le sol sans s'émouvoir: faut pas s'en faire! A quoi bon avoir les foies blancs, verts ou tricolores, en d'autres termes, avoir peur? On n'est pas une bleusaille! Et quand résonne l'éclatement formidable du 105 ou du 120, le poilu apprécie d'un air amusé: C'est un pepère… un maous… un pépère-maous. De petits bourdonnements se font entendre: ce sont les éclats nommés mouches à miel, abeilles (ces qualilicatifs étant d'ailleurs communs aux balles) qui, heurtant un obstacle, cessent brusquement leur ronronnement.
Aussi, on est brave; on en a dans le ventre; on est blessé, attigé, amoché; on meurt, cela s'appelle être occis, clamecé, claboté,bousillé, zigouillé. II en tombe beaucoup, surtout à la charge à la a baïonnette, quand on va à la fourchette. Notez enfin un autre petit inconvénient de la vie des tranchées. Ces cochons de Boches ont amené avec eux, laissés en liberté, une multitude d'insectes parasites, parmi lesquels on doit signaler, en raison de leur nombre et de leur universelle renommée, les poux, totos ou gos, petites bêtes blanches aux pattes agiles, appelées aussi pour ce motif mies de pain mécaniques… Et je vous assure que pour s'en débarrasser on a bien de da peine: quel boulot !
Ce sont là les ennuis d'un métier qui réserve, par contre, d'agréables moments. La soupe, par exemple… Il faut avoir vécu au front pour être capable de comprendre l'enthousiasme de l'accueil fait à l'homme sale que la guerre a révélé cuisinier, "Ah! te v'ià, l'cuistot! Eh bien! ça va, à la cuistance? Dis donc… vieux, qu'est-ce que tu nous apportes à becqueter?” Le cuisinier, louche en main, procède alors à la distribution. Chacun tend sa galetouse, lisez gamelle, et reçoit sa portion de rata: bidoche ou barbaque cuite avec patates, faillots ou riz. Avec cela, un quart de boule (pain ou bricheton) et de temps en temps, un morceau de frometon ou fromgi (fromage).
Seulement, il arrive parfois que, pour divers motifs, la soupe ne vient pas: attaques, changements imprévus de secteur, culbute du cuisinier et de sa becquetance sous la rafale des obus. Philosophiquement, en s'accompagnant d'un geste des mains qui esquissent un nœud imaginaire sur le ventre, le poilu se met la tringle ou la corde, serre un cran à la ceinture, ou, par antithèse, il se bombe. Et il le fait sans trop se plaindre - rouspéter ou rouscailler, - se réservant d'ailleurs de se tasser une boîte de singe. Mais quelle n'est pas sa joie lorsqu'il peut se rassasier à son aise, se taper la tête ou la cloche, s'en mettre plein le col, plein le cornet! Le comble du bien-être est atteint quand paraît le vin, le pinard tant désiré. On ne l'a plus, comme autrefois, en litre, en kil; on en touche - et encore!… - un quart. Sinon, au cas où le pinard a fait le mur, on se contente d'eau dite flotte ou lance. Puis vient le traditionnel jus, dont on ne se passerait pas pour un empire. De temps en temps, enfin, on distribue de l'eau-de-vie: la goutte, la gniole, le criq, le j'te connais bien. Mais généralement le poilu voit là un signe avant-coureur d'une attaque. Alors, malgré le plaisir de l'absorption, il trouve que ça la f…iche mal! Il eût préféré déguster en paix, que diable!
Ce plaisir de la soupe s'adresse à ce qu'Aristole appellerait l'âme inférieure. Il en est un autre d'une essence supérieure: celui de recevoir des lettres. Les babillardes sont toujours bienvenues: celles des parents, des vieux; des frères et sœurs, frangins et frangines; des amis, des copains, des connaissances restées au pays; des parrains et marraines de guerre. Souvent aussi on y trouve de quoi garnir son porte-monnaie Les yeux du poilu, ses mirettes, s'illuminent lorsqu'il voit son morling se remplir de ronds, de balles, de tunes. Bienheureux ceux qui ont du pognon, du pèse !“
Maurice Barrès
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Du placard au panard, Rayan Cherki c’est reparti ! So Foot
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Nous sommes fin Août et déjà la rentrée se profile. Voici les idées Lecture dans Votre Actualité Littéraire : 📙 “Le Chevalier de Panard ” de Jakou Le Dily 📗 “La Princesse des Âmes” de Alexandra Christo 📘 “Demain et demain et demain” de Gabrielle Zevin 📕 “Le Pays blanc” de Marjorie Tixier 📕📙📒📗📘📔📓 Vₒₜᵣₑ Acₜᵤaₗᵢₜₑ́ Lᵢₜₜₑ́ᵣaᵢᵣₑ une création Book’In Family (tous droits réservés) Emission diffusée le mercredi à 18h25 sur @TeleKreolOfficiel 🎵 : Dominique Beauté 🎥 : Vidéo non modifiée – Capcut – Visuels des ouvrages non contractuels 👗 & 💍 : Vide-dressing 💄 : Boho Green Make-Up Partenariat commercial non-rémunéré (livre offert)
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Attention, je te préviens, À PRENDRE OU À LÉCHER, c'est ma chanson d'amour la plus chaude, entre rock, rap, et trip-hop, à ne pas mettre entre toutes les oreilles !Par contre, les amateurs et amatrices de jeux de mots vont se régaler, les paroles en sont truffées.- Spotify : https://open.spotify.com/intl-fr/track/2o5AxEQQ29JInapuAhCdcd?si=250da176ff334e7c- Deezer : https://deezer.page.link/Qp8BsGJFoCTwcbh18- Youtube : https://youtu.be/aldONI7QRwU?si=vJxtr2TSbGTlz1qn- Apple : https://music.apple.com/fr/album/a-prendre-ou-%C3%A0-l%C3%A9cher/1615658477?i=1615658481- Amazon : https://music.amazon.fr/albums/B09WD895LK?trackAsin=B09WD9FPRC&ref=dm_sh_7135-b33d-afc4-d242-7209e- Tidal : https://tidal.com/browse/track/222092169?u- Qobuz : https://open.qobuz.com/track/150959447- Boomplay : https://www.boomplay.com/songs/86632779?srModel=COPYLINK&srList=WEBTous mes réseaux sociaux : https://linktr.ee/francoisville#musique #chanson #amour #humour #spotifyÀ PRENDRE OU À LÉCHERGénie ingénu, à genoux devant ton corpsJ'attends en joie la magie de tes jeux hardcoresUn désir affleure encore ému et tout ténuBaisser ta robe à fleurs, que tu sois toute nueMouvant en m'émouvant tes formes hallucinantesTu t'étends et m'attends, docile et lancinanteUne oeillade m'indique "A prendre ou à lécher"J'avoue ignorer où mon penchant va nicherAvant que de baser pour de bon ma tactiqueSur ta bouche entre-ouverte un baiser je pratiqueJe coulisse alors tout au long de ton cou liceAffairer à flairer là où mon souffle glisseEn amont de nos actes souvent tu avalesEt la salive et ma douce langue en cavaleAujourd'hui tu saisis le mâle à la racineUn joli flot de fractales en moi se dessineCorsage ôté de ton corps sage et parfuméPrise d'outrage assez aisée à assumerNos doigts divergent ou convergent sans préavisTu me soumets aux hauts sommets de tes enviesBelle et chaude sangsue suant sang et eauEn amante aimante, tu t'aimantes à ma peauOngles acérés, dos lacéré, membres serrésUn orgasme infini s'est en toi inséréElle est loin la novice, et nocive pucelleTu n'es vraiment plus celle aux vertus jouvencellesMoi éphèbe, jeune et faible, longtemps je fusEt me voilà dans l'instant félin à l'affûtQu'en serait-il si nous n'étions pas si amantsExciper tous nos vices fut fait patiemmentDe caresses erratiques en érotiques messesUn chemin initiatique emplit de promessesDur de courir deux lèvres à la fois, et pourtantBrusque, je m'embusque en ces endroits excitantsDes cris libres s'échappent de ta bouche en coeurEquilibre instable, entre plaisir et douleurAmante religieuse au pervers appétitJe te suis offrande, et concupiscente hostieOnctueux moment à inscrire au carnet de rutTu supplies entre deux cris que je sois plus bruteComme si ma vie en débandait, j'obtempèreAiguillé en cela par ton fessier expertLové contre moi, tu ne l'auras pas voléEncore un coup adroit, et tu vas décollerEntêté à tâter tes entêtants tétonsMes yeux ne te voient pas relever le mentonUn râle s'échappe du tréfonds de ta gorgeJ'entends ton coeur frappe, comme un fer à la forgeAguichée au guichet des positions bâtardesFêtarde, tu jouis au lit de nos fêtes hardInventive, il est souvent dur de t'acculerAux banales postures, aux délires éculésFéminine et ce n'est pas un fait minimeUne photo de croupe en mon esprit s'animeEbahi, et bien oui, par cette fulguranceJe crois que tu m'amènes à un état de transeL'humidité en ta chair me va comme un gantL'humilité a quitté nos regards brigandsIl est temps de parvenir à un consensusDe mettre un terme à ce lubrifiant processusPoint d'exquise excuse, entre tes parois j'exploseEn sus, sur tes roses joues, quelques larmes éclosentComme un raz de marée, une attaque un assautUne vague d'extase inonde mes vaisseauxTu mets tes hauts, tes bas, météo de l'ébatJe sais que tu as bien apprécié le combatTu m'aimes assez pour me masser sans trop gémirJe prends mon panard, peinard, avant de dormir...François Ville
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Beaux panards👣😜
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Release: December 1, 1977
Lyrics:
Wam bam
Mon chat Splash gît sur mon lit
A bouffé sa langue en buvant dans mon whisky
Quant à moi, peu dormi, vidé, brimé
J'ai dû dormir dans la gouttière
Où j'ai eu un flash
Ouh-ouh-ouh-ouh
En quatre couleurs
Allez hop
Un matin
Une louloute est venue chez-moi
Poupée de cellophane, cheveux chinois
Un sparadrap, une gueule de bois
A bu ma bière dans un grand verre
En caoutchouc
Ouh-ouh-ouh-ouh
Comme un Indien dans son igloo
Ça plane pour moi
Ça plane pour moi
Ça plane pour moi, moi, moi, moi, moi
Ça plane pour moi
Ouh-ouh-ouh-ouh
Ça plane pour moi
Allez hop
La nana, quel panard
Quelle vibration de s'envoyer sur le paillasson
Limée, ruinée, vidée, comblée
"You are the King of the divan"
Qu'elle me dit en passant
Ouh-ouh-ouh-ouh
I am the King of the divan
Ça plane pour moi
Ça plane pour moi
Ça plane pour moi, moi, moi, moi, moi
Ça plane pour moi
Ouh-ouh-ouh-ouh
Ça plane pour moi
Allez hop
T'occupe, t'inquiète
Touche pas ma planète
It's not today
Que le ciel me tombera sur la tête
Et que l'alcool me manquera
Ouh-ouh-ouh-ouh
Ça plane pour moi
Allez hop
Ma nana s'est tirée, s'est barrée
Enfin c'est marre, a tout cassé
L'évier, le bar me laissant seul
Comme un grand connard
Ouh-ouh-ouh-ouh
Le pied dans le plat
Songwriter:
Ça plane pour moi
Ça plane pour moi
Ça plane pour moi, moi, moi, moi, moi
Ça plane pour moi
Ouh-ouh-ouh-ouh
Ça plane pour moi
Ça plane pour moi
Ça plane pour moi
Ça plane pour moi, moi, moi, moi
Yves Maurice A. Lacomblez / Francis Jean Deprijck
SongFacts:
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Plastic Bertrand
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