#palais royal de bruxelles
Explore tagged Tumblr posts
Text
Details of Brussels, captured through the lense of my friend R., a first-time visitor. 🏙️
#BXL#Bruxelles ma belle#posted w/ permission#musées royaux d'art et d'histoire#grand-place#église saint-catherine#palais royal de bruxelles#Cathédrale Saints-Michel-et-Gudule de Bruxelles#Basilique du Sacré-Cœur de Bruxelles#Brussels#Belgium
4 notes
·
View notes
Text
Ostende, série Mausolée.
Je ne sais pas vraiment ce que je pense d'Ostende. Est-il d'ailleurs obligatoire d'en penser quelque chose ? J'y suis revenu une première fois durant l'été 2018 pour vérifier quelques souvenirs. Une insupportable touffeur s'imposait en tout lieu ; le soleil était aussi brulant qu'à Marseille et le ciel était repeint de ce vilain bleu azur que les méridionaux considèrent comme une trésor national : j'étais déçu.
Car avant d'être une ville, Ostende est une chanson de Caussimon, mise en musique par Ferré, remise au goût du jour par Arno qui en a donné une version définitive. Il y pleut forcément, le ciel est lourd, le chagrin en embuscade et on se demande vraiment si c'est utile d'vivre sa viiiieu...
Ou alors on pense aux « Lèvres rouges » d'Harry Kümel, à la voix suave, incantatoire et spectrale de Delphine Seyrig - comtesse Bathory : «Je ne suis qu’un personnage (…). Vous savez, la belle étrangère un peu lasse, un peu mystérieuse, qui traîne son spleen d’une ville à une autre…». Ostende, Palais des thermes, morte saison... On songe aussi à « Je t'aime je t'aime », un des plus beaux films de Resnais...
Le 16 avril dernier, la ville tenait ses promesses ; un vent terrible balayait la côte, le sable s'en prenait aux yeux, la mer du nord – fidèle à sa mauvaise réputation – déchainait sa colère et mordait la digue. Les rafales avaient vidé la promenade, les colonnes des Galeries Royales semblaient sinistres sous le ciel gris – le bâtiment menace ruine depuis plusieurs années et les poutres métalliques de soutènement, graffitées et sales, paraissent vouées au même destin que les échafaudages du Palais de Justice de Bruxelles : du provisoire devenu définitif. D'une certaine façon, tout était donc parfait ; même les hideuses barres d'immeubles avec vue imprenable sur l'horizon – certaines encore en construction – qui tiennent lieu de remparts aux côtes flamandes, réponse bétonnée et arrogante à l'horizontalité souveraine du littoral.
3 notes
·
View notes
Text
René Magritte - Le stropiat - René Magritte
René Magritte
Magritte est né à Lessines, dans le Hainaut, en 1898, fils aîné de Léopold Magritte, tailleur et marchand de textile, et Régina (née Bertinchamps), modiste jusqu'à son mariage. La famille bougera beaucoup : Lessines, Gilly, Châtelet, Charleroi, Châtelet, Charleroi encore ou son éduction ainsi que celle de ses frères, sera confiée à sa grand-mère et des gouvernantes.
Le 12 Mars 1912, sa mère se suicide en se noyant dans la Sambre. Ce n'était pas sa première tentative de se donner la mort, et suite à plusieurs d'entre elles, son mari Léopold s'était résolu à l'enfermer dans sa chambre. Après s'être échappé et avait disparu plusieurs jours, elle est découverte plus bas dans la rivière voisine. Magritte, 13 ans, aurait été présent lorsque son corps a été retiré des eaux, sa robe recouvrant son visage. Cette image aura été suggéré comme la source de plusieurs oeuvres de Magritte en 1927-1928 représentant des personnes dont les visages sont masqués par un drap. Magritte se défendra cependant toute sa vie de toute lecture psychologique et analytique de son œuvre.
Sa carrière d'artiste démarre jeune : il commence ses premières leçons de dessin en 1910. Les premières peintures de Magritte, qui datent d'environ 1915, étaient de style impressionniste. De 1916 à 1918, il étudie à l'Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles, avec Montald Constant, mais y trouve l'instruction sans intérêt. Les tableaux qu'il a produits au cours des années 1918-1924 ont été influencés par le futurisme et le cubisme pratiqué par Metzinger. On trouve beaucoup de nus féminins
En 1922, Magritte épouse Georgette Berger, qu'il connaissait déjà depuis son enfance et une foire à Char en 1913. De Décembre 1920 à Septembre 1921, Magritte sert dans l'infanterie belge en Flandres, à Beverloo. En 1922-1923, il travaille comme dessinateur dans l'usine de papier peint Peters-Lacroix avec le peintre Victor Servranckx, il dessine également des affiches et des publicités jusqu'en 1926, quand un contrat avec la Galerie Le Centaure de Bruxelles lui offre alors la possibilité de peindre à plein temps.
Magritte rencontre E. L. T. Mesens en 1920 et Camille Goemans et Marcel Lecomte en 1924, qui l’introduisent dans le milieu dada. Le groupe Surréaliste de Bruxelles s'ébauche dès 1924 avec le rapprochement de Nougé, Goemans et Lecomte, avec Mesens et Magritte, puis de Louis Scutenaire et Irène Hamoir en 1926. Il doit alors à Lecomte, ou selon Scutenaire à Mesens, sa plus grande émotion artistique : la découverte d’une reproduction du Chant d’amour de Giorgio De Chirico (1914). « Mes yeux ont vu la pensée pour la première fois », écrira-t-il en se souvenant de cette révélation.
En 1926, Magritte réalise sa première peinture surréaliste, Le Jockey perdu, et tient sa première exposition à Bruxelles en 1927. Les critiques sont unanimement mauvaises... Déprimé, il s'installe à Paris où il se lie d'amitié avec André Breton, et rencontre les surréalistes (Paul Éluard, Max Ernst, Salvador Dalí), participe à leurs activités et expose à la galerie Goemans .
La Galerie la Centaure ferme fin de 1929, mettant fin aux revenus de Magritte. N'ayant pas eu plus de succès à Paris et suite à sa brouille avec Breton, Magritte est retourné à Bruxelles en 1930 et reprend le travail dans la publicité (qu'il appelait ses travaux imbéciles). Son frère, Paul, et lui créent une agence qui lui assure un revenu décent. Il présente en 1931 une exposition organisée par Mesens, avec une préface de Nougé. Il adhère l'année suivante au Parti communiste belge et rencontre Paul Colinet. Magritte expose en 1933 au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles et dessine en 1934 Le Viol pour la couverture de Qu'est-ce que le surréalisme ? d'André Breton. Il réalise en 1936 sa première exposition à New York, à la galerie Julien Levy, fait la connaissance l'année suivante de Marcel Mariën et séjourne à Londres où il expose en 1938 à la London gallery de Mesens.
Qu'est ce que le Surréalisme (André Breton), dessin Le Viol (René Magritte) Je ne vois pas la [femme] cachée dans la forêt
Pendant l'occupation de la Belgique lors la Seconde Guerre mondiale, il reste à Bruxelles. Il a adopte brièvement un style coloré en 1943-44, intermède connu comme sa «période Renoir », en réaction à son sentiment d'aliénation lors de ce temps d'occupation de la Belgique. En 1946, renonçant à la violence et au pessimisme de ses travaux antérieurs, il signe le manifeste du « Surréalisme en plein soleil ».
En 1948, pour sa première exposition personnelle à la Galerie du Faubourg à Paris, Magritte peint en six semaines une quarantaine de tableaux et de gouaches dans un style Fauve provocateur et grossier, ce sera sa « Période Vache », dont aucune œuvre ne sera vendue à Paris. Irène Hamoir léguera ces œuvres au Musée de Bruxelles. Pendant ce temps, Magritte subvient à ses besoins en produisant de faux Picasso, Braque et Chirico à l'initiative de son frère Paul Magritte et de son compatriote surréaliste Marcel Mariën, à qui était dévolue la tâche de vendre ces contrefaçons. À la fin de 1948, il revient au style et aux thèmes de son art surréaliste d'avant-guerre.
Magritte rencontre Alexander Iolas en 1946. Celui-ci, conscient de la demande pour l'art Surréaliste aux USA, rentre en contact avec Magritte. Très vite, Magritte expose à la Hugo Gallery de New York en 1947 et Iolas deviendra son agent jusqu'au décés de l'artiste, lui achetant la totalité de sa production (ou de ce que Magritte n'anti-date pas pour se passer de ses services!). Les expositions se succèdent, consacrant l'artiste au cours des années 50 et 60.
De 1952 à 1953, Magritte réalise Le Domaine enchanté, huit panneaux pour la décoration murale du casino de Knokke.
Magritte meurt d'un cancer du pancréas le 15 Août 1967 dans son propre lit, âgé de 68 ans, et est enterré dans le cimetière de Schaerbeek à Bruxelles.
L'intérêt populaire pour l'œuvre de Magritte a considérablement augmenté dans les années 1960, et son imagerie a influencé l'art pop, minimaliste et conceptuel.
3 notes
·
View notes
Text
PERSONNE AU BOUT DU FIL
Le couple Royal Belge
Vient de Bruxelles-Midi
A Lille en TGV
Bon dit Carl en Liégeois
Agent contre-empire
Ca débloque le Palais de Justice
Avenue du Peuple Belge à Lille
Notre Justice se rapprochant ainsi
De la Cour Européenne des Droits de l'Homme
On met ainsi fin au lobbyisme
Et à de vieux codes informatiques nazis
Europe une révolution par ses élites
Dimanche 27 octobre 2024
0 notes
Text
CHANTAL AKERMAN. TRAVELLING
Jusqu'au 19 janvier 2025
Jeu de Paume
Le Jeu de Paume rend hommage à la cinéaste, artiste et écrivaine belge Chantal Akerman (Bruxelles 1950 – Paris 2015) à travers une exposition exceptionnelle, réalisée avec le Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, la Fondation Chantal Akerman et la cinémathèque royale de Belgique.
Chantal Akerman. Travelling retrace le parcours atypique de cette figure emblématique qui ne cesse d’inspirer et fasciner des générations d’artistes et cinéphiles et dont le film Jeanne Dielman, 23 quai du commerce, 1080 Bruxelles est auréolé du titre de « Meilleur film de tous les temps » décerné en 2022 par la revue britannique Sight&Sound.
L’exposition au Jeu de Paume propose un dialogue entre ses films, ses installations et une bio-filmographie contenant des archives inédites. Suivant les étapes de sa carrière, elle est une invitation à parcourir les années et les lieux qu’elle a traversés et filmés, de ses débuts à Bruxelles jusqu’au Mexique en passant par Paris et New York.
N’hésitez plus, vous pourrez vous aussi dire, J’ai un ticket :
0 notes
Text
Plaque en hommage à : Philippe de Champaigne
Type : Lieu de décès
Adresse : 20 rue des Ecouffes, 75004 Paris, France
Date de pose : Inconnue
Texte : Le peintre Philippe de Champaigne, né à Bruxelles le 26 mai 1602, est mort le 12 août 1674 dans une maison située sur cet emplacement
Quelques précisions : Philippe de Champaigne (1602-1674) est un peintre français d'origine brabançonne. Il gagne Paris en 1621 et, après quelques années, il entre au service de la famille royale par l'entremise de Marie de Médicis, devenant alors premier peintre de la reine. Il accomplit pour elle de prestigieux travaux, notamment au palais du Luxembourg, au couvent des Carmélites, au Val-de-Grâce et au palais des Tuileries. Il est également membre fondateur de l'Académie royale de peinture et de sculpture en 1648. Vers la fin de sa vie, il donne ainsi plusieurs conférences sur l'art. Une autre plaque commémorative en son honneur peut être trouvée non loin, sur le quai Bourbon, où il vécut.
#individuel#hommes#deces#artistes#peintres#france#ile de france#paris#philippe de champaigne#non datee
0 notes
Link
0 notes
Text
#Boterham in het #Park, au parc de #Bruxelles évidemment !
« Boterhammen in het Park » propose à nouveau des concerts gratuits d’artistes néerlandophones dans le Parc de Bruxelles. « Les Bokes » reviendront en 2024 dans le très beau parc Warande, dans la ville haute, au centre de Bruxelles, entre le Parlement et le Palais Royal, avec des tramways, métros, bus et trains disponibles à proximité. Du 26 au 30 août vous découvrirez les performances…
0 notes
Text
20-21 june
I awoke early again, rising as silently as I could while my roommates still slept on. The American staying here, Faith, is not so cautious—she tends to move about more recklessly, letting her locker door slam shut as she flings Midwest-blonde hair over her shoulder. My exit style is more of a creep; I slipped down the hall into a mild, overcast day and made my way back down the street to the same bakery I visited the day before. I bought my pain au chocolat and skirted the edge of the inner city, crossing the canal, until I had passed through an office district and arrived in the botanic gardens. There was a pair of grey geese paddling about in the leafy pond, and a few common turtles floating with their faces poking above the water.
Brussels has a thriving economy of pretentious coffee shops, and after purchasing my ice latte (presented creatively in a can rather than a cup), I walked on through Brussels Park, whose broad avenues were lined with all kinds of neoclassical statues. I saw two small brown rats scurrying about in the children’s playground and a few more waterbirds staking their claim to the parkland while most of the neighbourhood was still at rest. Over the line of the trees I saw the blue and gold-gilded dome of the Palais de Justice and the walls of the Royal Palace—I had come back around to the same old and grand part of Brussels had visited the day before. So it was a familiar journey as I made once more for the Grand Place marked on the horizon by the city hall spire.
I was there on time to enter the Musée de la Ville de Bruxelles as it opened at ten o’clock. The collection includes the building that houses it, opposite the Hotel de Ville in the Grand Place. This black gothic creature stands out from the white and gold things that line the rest of the square—the Maison du Roi in its current form is little more than a century old, but the house that stood there before belonged to Charles V of Spain, and so it has its French name. But the Dutch language knows it as Broodhuis, because there was once a bread market in the square.
The museum is one of the most interesting collections I have been to because it is as much about the city of Brussels in the late 19th century as it is about the Brussels of antiquity. The first floor contains statues and altarpieces and pieces of façade from across the city which were replaced with replicas as city administrators of the 19th century sought to restore and preserve the old Brussels that had long been crumbling. Even the weather vane from the top of the town hall’s spire that shows the patron Saint Michael was eventually taken down and replaced with a copy, while his original form rests in the city museum. Climbing past the stained glass windows that showed the crests of noble families, I went through rooms of paintings that showed the city landscape and its people over the centuries—the same statues I had seen in the park an hour ago peered back at me from canvas, and I saw the square outside as it had been before, when tourists taking photos were traders selling dogs and racing pigeons.
There was also a large collection of Belgian china and a dark room hung with tapestries not unlike the ones I had seen across the road—these are rotated regularly to keep them safe from the light. The only permanent fixture was the huge cartoon on the wall, which is one of the few surviving examples of those works used as guides for the production of the tapestries themselves. It showed the martyrdom of Saint Paul in the style of Ruebens, pale and stuck with the pinholes that showed it must have been copied in thread at least once.
I had a midday train ticket, so I hurried up the street to Bruxelles Centrale, stopping along the way to buy a small book on the history of ancient Rome in case I was bored and needed to preserve my phone battery. My train was to Bruges and took about an hour, so I ate my supermarket sandwich and snacks on the way, watching the endless fields of horses and cows blur into green as we journeyed west. Bruges is unassuming from the view offered of it from the station square, but the moment one crosses the highway and enters the winding alleys it is clear why it has captured so much attention. Unlike Brussels its streets have not been invaded by the horrors of cheap post-war architecture, though they are no less a victim to the souvenir shops and chains of Belgian chocolate stores, so numerous on the main shopping street they became indecipherable from one another.
On my way into the heart of town I passed over my first canals with the flower box bridges—overlooking the water I saw a mother and father swan watching over their fluffy grey cygnets curled up on the bank for a nap. This peaceful scene was quickly eclipsed by the tourist throng as I turned onto one of the main streets and passed the largest church, taking a peek inside but deciding it was still too early in the day to pay to see ten more paintings of the crucifixion (I was feeling stronger by mid-afternoon). Instead I weaved on through the crowd to the main square, which was absolutely heaving with all kinds of family groups taking their photos and eating their waffles.
The highlight of the square is, of course, the bell tower, rising above the entire town skyline. Every fifteen minutes it would ring some melodic tune, like a wind chime. But I was more intrigued by its alleged 362 steps, and was surprised again to find that almost nobody from the crowd of hundreds was curious about the inside of the building they stood milling around—I bought a Bruges museum pass for the day and began the climb. The first spiral of the belfry’s steps is deceiving, broad and flat and made from modern, level stone. Once I had passed the first chamber (the room where the city administration stored their precious documents in ancient times to protect them from fire), the stairs narrowed to that classic worn-down configuration and it became necessary to clutch at the thick winding rope around the centre for balance.
I sped up as fast as I could even though I was sweating quite a bit, only pausing when someone was coming the other way and the width of the passage became problematic. There was a certain satisfaction to leaving behind all those shallow travellers and their commercial interests down below; also, I was raised in such a way that there is no question of if when it comes to towers, belfries and domes. One must at least pay their respects to whatever poor person had the job of climbing every day to ring the giant bells manually in times past. I emerged victorious at the top of the final staircase, which was more of a ladder than anything else, and saw the beautiful panoramic view of Bruges, well worth the climb. The town from above was a uniform sprawl of two-storey houses broken up only by the occasional church spire and patches of green, larger from above than the quaint streets implied below. While I was up there the bells chimed and everybody got a fright. The stairs seemed impossibly steeper on the way down. I was somewhat more cautious on the descent.
Having proved myself, I decided it was time to join in with everyone else, so I went to a highly recommended waffle shop and bought the plain Liège waffle, since I still have my principles. Most are drawn in by the array of sweet sauce and candy toppings offered (though to be fair, this shop was a little more restrained than the tacky places populating Brussels), but I understand the only correct way to eat the Liège waffle (which is different to the Brussels waffle), is in its classic form. It came hot from the press, oval-shaped with the layer of caramelised sugar that makes the Liège waffle—proud of this too, I took it back to the main square to show off. It was genuinely very good, better than the stuff in Brussels would be, I think, and after speed-running that belfry climb it was a needed restorative. I had a museum pass that I had to use on at least one more attraction to get my money’s worth.
Bruges hosts the works of great Flemish masters in the Groeningemuseum, tucked away down a path that winds through a small garden off the main canal. I came in just in time to eavesdrop a little on one of the gallery tour guides and his collection of elderly listeners—I was just about the only person younger than sixty-five in the whole building. The most significant work in the museum’s care is Jheronimus Bosch’s Last Judgement, which is absolutely wonderful, and may even beat the Brueghel I saw the day before. The three-panel picture depicts a very strange reckoning for the human race, in which the land is covered with the strangest little creatures, not so much monstrous as they are disconcerting. A devil tortures a man over a giant butterknife, another sits on the back of a kind of rabbit thing carrying his cage of humans enslaved, another—a harpy—perches with a person half sticking of her obscenely large maw as she chews them up. But the picture is so unusual and charming that it fails to disgust the modern eye. You have more of a feeling like you’d want to put one of these little things in your pocket and carry it about like a pet than a desire to run and repent. The museum seems to understand this; they sell very nice metal charms and pins of the most memorable creatures.
My phone was threatening to accept death by this point, so I put it away and went for a walk towards the Begijnhof, the old religious women’s refuge which still acts as a community today. Before its gated entrance was a canal bank with a whole colony of waterbirds – a great throng of swans and ducks, so numerous the ground was littered white with downy feathers. Most of them were sleeping with their necks all twisted up and their beaks tucked away, protected from human advances by a handy fence. I continued through these green spaces along the banks of the canals, skirting the outside of town until I dropped back onto the main street (the quiet, local end) and bought some frites from the very kind people behind the counter. This, obviously, was the other necessity staying in Belgium, now I had crossed waffles off the list. They were so good, though I do think the Belgians go a little overboard with their mayonnaise portions. I like mayonnaise but not that much.
I could have stayed even longer, but my phone was on its last legs, and I was beginning to feel the day’s toll. Luckily I’d picked up a map at the info centre earlier and had been using that for navigation for the past hour or two since the phone map became untenable, and Belgium is very good with its street signs. When I was walking back over that same small bridge I saw the swan family from earlier, taking to the waters now. I watched them go—two sleek and white, two downy and grey—until they disappeared under the bridge and were gone from view. Bone tired, I slumped on the soonest train back to Brussels in a corner by myself. My phone, at least, made it back alive, and I went to bed after some takeaway dinner with great anticipation.
I was up bright and early for yet another train, this time northbound from Bruxelles-Centrale for Antwerp, where I would be meeting two of my close friends Connie and Maddy for the day. They have been staying in Amsterdam and seem to hate it with a passion, so the day trip was in their interest even though they had a much longer train journey than me. As I came up the stairs of Antwerpen Centraal I saw them waiting for me at the top, framed by the station’s ornate walls and domes from the turn of the 19th century—the spiralling stone and brass and wrought iron over glass that barely survived the war. We hugged and headed outside to a city still waking; my friends, who aren’t so used to Europe’s quirks, said they thought all the locals looked shellshocked as though we were in Soviet Russia. Having only been to Paris and Amsterdam so far, they are yet to appreciate the no man’s land of industrial European city streets before ten o’clock in the morning.
Since nothing was open yet, we stopped for coffee outside Antwerp’s cathedral, sheltered from the dreary day. The inside of the cathedral housed a few grand paintings by Ruebens and some beautiful chapels—we wandered around inside for a while and I enjoyed the commentary of Connie, who as an art history student always has something to say. The cathedral had that overwhelming Catholic air with its countless variations of Mother and Child; the right chapel had frames depicting Jesus carrying the cross while the left chapel, dedicated to Mary, showed the stages of her life from the Annunciation to the Resurrection. Connie and I agreed it was interesting to see a depiction where Mary was shown to age with time and grief rather than remain eternally young and beautiful. The cathedral of Antwerp is an ancient one, built between the 14th and 16th centuries upon earlier foundations. Fire, Protestants and French revolutionaries all took their turn at trying to destroy its walls over the many years, but none succeeded.
My friend Connie has an intense love of couture fashion, and apparently the clothes of Belgian designer Ann Demeulemeester can only be seen in store in Antwerp. Connie was desperate to try on a dream pair of laced boots, so after a little more than an hour of deliberation between sizes, we left with the heels of her new shoes clicking on the rain-soaked pavement. Maddy and I were a bit beside ourselves with hunger at this point—we ate in a Vietnamese restaurant around the corner while it continued to pour outside. Fortunately the Royal Arts Museum of Antwerp was almost only just across the road, so I dashed to cover while Connie and Maddy performed more of a creep under the shelter of Connie’s umbrella. The water pooled in the recesses of the worn tiled pavement and for once my tired canvas sneakers were not the least suitable choice of footwear between us.
The building of the Royal Arts museum is an old one with a huge painted entrance hall, and it feels like entering another world when you ascend to the first floor and find the modern masters artfully curated in stark white rooms. Climbing the stairs between galleries we ascended into darkness, into deep navy rooms of statuettes and quiet shadowy paintings, only to be thrown back into to piercing brightness. The arrangement of the gallery felt only more poignant as we at last reached the level containing the old masters, encircling a hall where more Ruebens were on display. In one corner of the room one of these Ruebens was frameless, turned up on its side while the museum’s conservation workers toiled peaceably at restoring the work in front of the public, removing its centuries-old varnish. In the other rooms were many of the same sort of paintings I’d become familiar with—Biblical allegories, portraits of families in black with their frilled collars, landscapes with fine houses and grazing livestock. I was most fond of Misbehaving, a Henriette Ronner-Knip, and the famous Madonna by Jean Fouquet. After laying out on the plush benches of the gallery for a while, we stepped back into the streets of the city; it was no longer raining.
We went for Belgian waffles, I had mine with chocolate and strawberries (which is allowed in this case, because it was the Brussels waffle rather than the Liège one) and went to see the main square, enclosed as usual with the familiar old municipal buildings. At the end of the street down by the water we sat for a while in the information centre, housed in what remains of a medieval castle. Their Eurostar back to Amsterdam was in the evening, so we had just enough time to eat some pasta at a nice Italian restaurant just off the main square before beginning the walk back to the station. The first train to Brussels was on the platform opposite theirs, so we parted ways but kept in sight until my train arrived to block them from view. I will see them again in Florence, but for now our destinations are very different. In Brussels I packed my bag ahead of my departure and curled up in bed with some dessert—ahead of me was my two-day journey to Prague across the German countryside.
0 notes
Text
Stockholm
Stockholm, la capitale de la Suède, est située sur un vaste archipel de la mer Baltique, comprenant 14 îles et plus de 50 ponts. Les rues pavées et les bâtiments de couleur ocre de Gamla stan (la vieille ville) abritent la cathédrale de Storkyrkan du XIIIe siècle, le palais royal de Stockholm et le musée Nobel, consacré au prix Nobel. Des ferries et des bateaux de tourisme transportent les passagers entre les îles.
Comment venir ?
Stockholm se situe
en avion : 2h15 de Bruxelles, 2h35 de Paris
en train : 1h d'Uppsala, 1h de Vasteras, 1h40 de Norrkoping, 1h40 de Linkoping, 1h50 d'Orebro, 3h de Goteborg
en voiture : 1h d'Uppsala, 1h20 de Vasteras, 2h de Norrkoping, 2h15 d'Orebro, 2h20 de Linkoping
Quand et combien de temps ?
Stockholm étant la plus grande ville du pays mieux vaut compter au moins quatre jours pour profiter pleinement de ce que la cité colorée a à offrir. Vous pouvez même pousser jusqu'à une semaine complète afin de prévoir des excursions sur les îles des alentours.
Vous pouvez vous y rendre en été comme en hiver, au printemps comme en automne, les couleurs et les ambiances ne seront jamais les mêmes. Les activités et visites seront également à adapter mais vous trouverez toujours de quoi vous occuper. Gardez en tête que pendant les saisons froides le temps d'ensoleillement est moins important.
Que voir à Stockholm ?
Des endroits historiques : Gamla stan ( la vieille ville), Palais Royal, Tour de la Stadshuset, Östermalm, Vasastan, Kungsholmen, SoFo, Djurgården, Södermalm, Marché vintage de Hornstull, , parlement, Kaknästornet, Riddarholmen, Strandvägen, Gröna Lund,
Du patrimoine religieux : Chapelle royale, Storkyrkan (cathédrale), Église de Riddarholmen
Des musées : musée des arts d'extrême-orient, musée Vasa, Musée Nobel, Skansen (musée en pleine air), ABBA Museum, métro, musée national, musée nordique, musée viking, moderna museet, musée fotografiska, musée paradox
Des parcs et jardins : île Skeppsholmen, zoo, Kungstradgarden
Que voir dans les environs ?
Des îles : Grinda, Fjäderholmarna, Sandön, Vaxholm, Landsort
Des villes et villages : Upplands Vasby, Uppsala, Norrkoping, Linkoping, Vasteras, Kapellskar, Orebro, Göteborg
Des lieux uniques : Château de Drottingholm
crédits photos @lilstjarna
1 note
·
View note
Text
References évènements
2 ans à me produire tous les soirs comme meneuse de revue pour le diner spectacle du (cabaret PAU CARAIBES et PAU BRASIL sur les Champs-Elysées )
Elysée Montmartre, New Morning, Zenith de Paris.
Mariage de Andrea Casiraghi, fils aîné de la princesse Caroline de Monaco, avec Tatiana Santo Domingo en suisse, 2014. Concert pour la cérémonie avec le pianiste cubain Roberto Fonseca, plusieurs fois nominé au Grammy Awards.
Forum économique mondial de Davos 2015 , Animation des événements de la FFF pour la coupe du monde de football en 2002 et 2014, Woman’s international forum de Deauville 2014 ,Finale de la Coupe du monde de football 2002, Coupe du monde de Rugby 2007,Stade de France, Parc des princes, Rolland Garros ,hippodrome de Vincennes...
4 Tournées Norvège, 4 Tournées Arabie Saoudite (Pour Ambassade et consulat Français), 5 Tournées Emirats arabes unis, Tournée Europe, Danemark, Suède, Tournées Maroc
Inauguration de l’hôtel Hilton de Doha (Qatar) , Emirates Palace (Dubai), Restaurant Maxim's, Pavillon le Doyen, Pavillon Dauphine, Pavillon d'Armenonville, Palais des congrès de Paris,le Georges V, Pré Catelan, Hôtel de Paris (Monaco), Palace hôtel (Gstaad Suisse),Pavillon Gabriel, Palais Brongniart, Pavillon Baltard , Villa Carmen, Carrousel du Louvre, Pavillon lenôtre, Pavillon Royal, Cap Gemini, Neuflize vie ,Le Trianon, L'étoile, la Rhumerie, Relais du bois de Boulogne, La closerie des Lilas, Mairie de Paris, Zenith D'Orleans, le Cabaret Sauvage,
Casinos (Deauville, Enghien les Bains, Yport, Luc sur Mer, Pougues les Eaux, Montrond les Bains, Villers sur Mer, Roscoff, Dunkerque, Chatelayon, Ste Maxime, Allevard, Spa, Mondorf les Bains, Chambery, Aix les bains, Challes les eaux…)
Cartier, Guerlain, Rolex, PSA, Louis Vuitton, Patek Philippe, General Electric, Porsche, Mercedes, Opel, Toyota, Lexus, Volvo,Toyota ,Peugeot, Altran, AGF, Maaf, KPMG, Ariane Espace, Beneteau, Ingenico, Arcelor, Moët & Chandon, Pernot Ricard, Dalloyau, Microsoft, Club Méditerranée, le MEDEF, CGT, IPSEN, Clearstream,Bally, Vinci, Bally, Area, The Phone House, Sanofi ,Toal, Valeo ,Hachette Filipacchi , Lagardère active, Gaselys , CAPSTAN,Synthelabo, Morpho-Saphran, Sanofi- Aventis ,France Telecom, Bouygues Telecom, Groupe Accor, LG, Reynolds, Gallaher, Benson & Edge, Euro RSCG, CCB Belgique, Geodis, Imerys, Sodexho, Pioneer, Generali, AREVA, Arcelor, Carmeuse, Gemey La route du rhum, Soirées des responsables des bourses internationales (Wall street, Tokyo...), CNP, Bricodepo, JP Morgan, Water house coopers service,Marsans, Banque populaire Occitane, Caisse des dépôts et consignation, Total, BASF ,Glavelberg, Crédit Agricole, Banque Rhône Alpes,HSBC, Banque populaire du Nord, Société générale, Pictet & Cie,CNRS, Unesco,Lenovo, RATP, Air France, Stars airline, Aéroport de Liège, Aéroport de Bruxelles, Les fêtes de Genève, ADP, Yachts de Paris , Foire de Paris, conseil régional de la Somme, Salon de l'agriculture, musée des arts forains, Marathon de Paris,La croix rouge, Mairies, Soirées privées, etc...
0 notes
Text
Découvrir et voyager en Belgique
Les ruelles historiques pavées des vieilles villes et des villages pittoresques, les châteaux et les églises fortifiées ou le mode de vie dans les champs de Flandre avec leurs marchés et leurs spécialités authentiques : La Belgique abrite une variété de curiosités qui vous laisseront sans voix. Jetez-y un coup d'œil ! Belgique : Où aller et que voir Les curiosités les plus connues de la Belgique sont certainement les impressionnantes villes et châteaux médiévaux, ou les villages flamands typiques, qui sont tous situés dans la campagne verdoyante. Vous pouvez également découvrir le patrimoine culturel du pays dans les musées et les châteaux, ou dans les sculptures en plein air. Les villes de Bruxelles et d'Anvers offrent toutes deux beaucoup de choses à voir et à faire, tandis que la côte belge est célèbre pour ses nombreuses plages. Si vous vous intéressez à la nature et à ses nombreuses splendeurs, les hautes terres flamandes et les forêts wallonnes sont des endroits à ne pas manquer. La capitale Bruxelles, où vous pourrez visiter le palais royal ou les célèbres quartiers de la ville avec ses nombreuses galeries d'art, et la ville wallonne de Liège, avec ses nombreux bâtiments historiques, méritent toutes deux une visite. En fait, la plupart de la population du pays vit dans les régions néerlandophones, où de nombreuses villes valent également le détour. Bruxelles La ville de Bruxelles, qui est également la capitale du pays, abrite de nombreuses activités culturelles, dont plusieurs musées et galeries d'art, ainsi qu'un ou deux théâtres. Bruxelles est également célèbre pour ses nombreux restaurants et bars, et a été nommée meilleure ville du monde pour la nourriture par le prestigieux magazine The New York Times. En outre, la ville est également l'une des plus internationales au monde, puisqu'elle abrite de nombreuses organisations internationales et ambassades. La notoriété de Bruxelles est toutefois souvent éclipsée par les autres villes du pays. Gand La prochaine grande ville à figurer sur votre liste de lieux à visiter en Belgique est Gand, qui est souvent négligée par les habitants du pays. Cette grande ville est célèbre pour ses nombreux bâtiments médiévaux à pignons qui sont typiques de l'architecture de la ville. En outre, Gand est une grande ville d'art, car la ville abrite plusieurs galeries d'art et musées. Si vous êtes intéressé par l'architecture, vous trouverez également l'architecture de la ville extrêmement intéressante, car Gand abrite de nombreux bâtiments intéressants des 18e et 19e siècles. Bruges Bruges est l'un des sites touristiques les plus célèbres de Belgique, réputé pour son architecture médiévale pittoresque et son célèbre marché, qui se tient tous les samedis. La ville est située dans la partie sud du pays et est un endroit populaire pour les personnes qui veulent visiter les parties néerlandophones pittoresques du pays. La ville est également célèbre pour ses nombreux canaux et ponts et est un endroit populaire pour les personnes qui aiment l'architecture et la nature. Ensuite, vous devriez essayer de visiter l'abbaye cistercienne d'Averbode, qui est l'une des plus importantes abbayes du pays. Il existe de nombreuses autres attractions dans la ville, comme le musée Groeninge, qui abrite de nombreuses œuvres d'art médiévales. Si vous vous intéressez aux œuvres d'art médiévales et à l'histoire, Averbode est un endroit à visiter. Anvers La troisième ville de votre liste d'endroits à visiter en Belgique est Anvers, qui est souvent négligée par les personnes visitant le pays. La ville est un port important et abrite plusieurs entreprises et organisations internationales, tout en étant un centre majeur de commerce et de finance dans la région. La ville est un centre important pour les arts et la culture dans la région depuis le 15e siècle, et possède de nombreuses galeries d'art et musées. Pendant votre séjour dans la ville, vous pourrez visiter le musée Plantin-Moretus, qui abrite de nombreuses œuvres d'art, ou le musée royal des beaux-arts, qui est l'un des plus grands musées du pays. Monde Walibi, Bihorel, Ardennes et autres (partie ouest) Lors d'une visite de la partie occidentale du pays, vous devez vous rendre au parc à thème Walibi World, qui est souvent cité comme le meilleur du monde. Situé près de la ville de La Roche-sur-Yon, ce parc abrite de nombreuses attractions, dont plusieurs parcs à thème, un parc aquatique et de nombreuses installations sportives. Les Ardennes, la célèbre région belge, sont situées dans le sud du pays. La région est célèbre pour ses nombreuses forêts, qui abritent de nombreuses espèces animales. Si vous êtes intéressé par la nature et ses nombreuses splendeurs, vous devriez visiter les Ardennes. Partie orientale du pays (néerlandophone) L'est du pays est souvent négligé par les personnes qui s'intéressent au pays, mais cette région abrite également certains des sites les plus célèbres du pays. La ville de Gand est souvent citée comme la plus belle ville du pays, pour ses nombreux bâtiments médiévaux. Vous devriez également visiter la ville de Malines, qui est souvent citée comme l'une des plus belles villes du pays. La ville est également connue pour ses nombreuses galeries d'art et ses musées, ainsi que pour son architecture, notamment ses nombreux bâtiments médiévaux. La ville d'Anvers, dans l'est du pays, mérite également d'être visitée. Voyagez en train ou en voiture à travers les champs de la Flandre et la campagne néerlandaise. Les chemins de fer belges sont réputés pour leur qualité et leur efficacité, et le pays est une importante plaque tournante du transport ferroviaire en Europe. Le réseau ferroviaire belge est étendu et se compose de lignes à grande vitesse et de lignes conventionnelles. Le pays est également relié à plusieurs lignes ferroviaires internationales, ce qui permet de se rendre facilement dans d'autres grands centres européens. Le réseau ferroviaire belge est également très sûr et les trains sont extrêmement ponctuels. Le réseau ferroviaire belge exploite un large éventail de services ferroviaires, notamment des trains intercités, des services locaux et régionaux et des trains à grande vitesse. Autres destinations recommandées en Belgique Si vous voulez profiter au maximum de vos courtes vacances en Belgique, vous devriez visiter la ville de Bruges et les villes voisines, ainsi que la ville de Gand. Si vous êtes intéressé par les œuvres d'art médiévales, vous devriez visiter la ville de Bruxelles et la ville voisine de Mons, qui est connue pour ses nombreuses œuvres d'art romaines. Vous pouvez également visiter la ville de Liège, qui abrite la célèbre foire de Matonge, et la ville d'Anvers, qui vaut également le détour. Read the full article
0 notes
Photo
Palacio Real de Bruselas 🇧🇪 (en Palais royal de Bruxelles) https://www.instagram.com/p/Ck_RNFENPB1/?igshid=NGJjMDIxMWI=
0 notes
Photo
THE PALACE
Winter Palace, Saint Petersburg, of The Emperors of All The Russias
#the palace#winter palace#saint petersburg#russia#romanov#russian empire#russian imperial family#russian royalty#house#palace#castle#palacio#castillo#palais royal de bruxelles#château#schloss#burg#royal#royals#royalty#3royaltyedit
73 notes
·
View notes
Text
Strolling around Brussels with a Belgian
#brussels#belgium#belgian#lady#girl#scooter#night#streets#travels#royal palace of Brussels#Palais Royal de Bruxelles
0 notes
Photo
© EDanhier
Pré-Bright Brussels, Festival des Lumières de Bruxelles. © EDanhier 2021
#bright brussels#bright#brussels#festival des lumières#bruxelles#bxl#bxhell#bruxhell#brussel#belgique#lumiere#eric danhier#edanhier#ville de bruxelles#Schuman#palais royale#visitbrussels#show light#light
8 notes
·
View notes