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Dispositif de signalisation, Prévisions de la Taille du Marché Mondial, Classement et Part de Marché des 22 Premières Entreprises
Selon le nouveau rapport d'étude de marché “Rapport sur le marché mondial de Dispositif de signalisation 2024-2030”, publié par QYResearch, la taille du marché mondial de Dispositif de signalisation devrait atteindre 1262 millions de dollars d'ici 2030, à un TCAC de 4.6% au cours de la période de prévision.
Figure 1. Taille du marché mondial de Dispositif de signalisation (en millions de dollars américains), 2019-2030
Selon QYResearch, les principaux fabricants mondiaux de Dispositif de signalisation comprennent Patlite, Federal Signal, Eaton, Werma Signaltechnik, Rockwell Automation, Honeywell, Potter Electric Signal, Schneider Electric, Auer Signal, R. Stahl, etc. En 2023, les dix premiers acteurs mondiaux détenaient une part d'environ 56.0% en termes de chiffre d'affaires.
Figure 2. Classement et part de marché des 22 premiers acteurs mondiaux de Dispositif de signalisation (Le classement est basé sur le chiffre d'affaires de 2023, continuellement mis à jour)
À propos de QYResearch
QYResearch a été fondée en 2007 en Californie aux États-Unis. C'est une société de conseil et d'étude de marché de premier plan à l'échelle mondiale. Avec plus de 17 ans d'expérience et une équipe de recherche professionnelle dans différentes villes du monde, QYResearch se concentre sur le conseil en gestion, les services de base de données et de séminaires, le conseil en IPO, la recherche de la chaîne industrielle et la recherche personnalisée. Nous société a pour objectif d’aider nos clients à réussir en leur fournissant un modèle de revenus non linéaire. Nous sommes mondialement reconnus pour notre vaste portefeuille de services, notre bonne citoyenneté d'entreprise et notre fort engagement envers la durabilité. Jusqu'à présent, nous avons coopéré avec plus de 60 000 clients sur les cinq continents. Coopérons et bâtissons ensemble un avenir prometteur et meilleur.
QYResearch est une société de conseil de grande envergure de renommée mondiale. Elle couvre divers segments de marché de la chaîne industrielle de haute technologie, notamment la chaîne industrielle des semi-conducteurs (équipements et pièces de semi-conducteurs, matériaux semi-conducteurs, circuits intégrés, fonderie, emballage et test, dispositifs discrets, capteurs, dispositifs optoélectroniques), la chaîne industrielle photovoltaïque (équipements, cellules, modules, supports de matériaux auxiliaires, onduleurs, terminaux de centrales électriques), la chaîne industrielle des véhicules électriques à énergie nouvelle (batteries et matériaux, pièces automobiles, batteries, moteurs, commande électronique, semi-conducteurs automobiles, etc.), la chaîne industrielle des communications (équipements de système de communication, équipements terminaux, composants électroniques, frontaux RF, modules optiques, 4G/5G/6G, large bande, IoT, économie numérique, IA), la chaîne industrielle des matériaux avancés (matériaux métalliques, polymères, céramiques, nano matériaux, etc.), la chaîne industrielle de fabrication de machines (machines-outils CNC, machines de construction, machines électriques, automatisation 3C, robots industriels, lasers, contrôle industriel, drones), l'alimentation, les boissons et les produits pharmaceutiques, l'équipement médical, l'agriculture, etc.
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Combattre la désinformation sur Twitter : contre-productif ?
Depuis qu'il a acheté Twitter, Elon Musk en a fait son joujou, favorisant la haine en ligne et la désinformation.
Beaucoup de monde condamnent ça. Mais beaucoup de monde continuent d'utiliser massivement Twitter. Parfois dans le but de combattre justement la désinformation.
Mais est-ce que ça a un sens ? Est-ce que la bilan peut être bénéfique au final ?
Je vous propose une comparaison.
Imaginez que pour combattre l'antisémitisme, on se mette à publier des annonces payantes chez Rivarol.
(Pour ceux qui connaissent pas, regardez ci-dessous.)
Imaginez.
Des petits messages de prévention contre l'antisémitisme, publiés, contre paiement, dans un journal qui incarne l'antisémitisme.
Ça vous paraît contradictoire, voire carrément débile ?
Mais n'est-ce pas ce que nous faisons lorsque nous publions sur Twitter, voire lorsque nous consultons simplement le site ?
Twitter se nourrit de l'activité qui s'y déroule.
Chaque fois que j'y publie un message, et même chaque fois que je consulte le site, j'y génère du trafic.
Alors on va penser à la pub. Plus il y a de trafic, plus ça peut attirer les annonceurs. Mais ça va au delà de ça.
Pour les médias, les personnalités publiques, les organismes officiels, Twitter est quasiment un passage obligé. Si on veut débattre d'un sujet, c'est là que ça se passe. Parce que c'est là qu'il y a du monde.
On peu se demander si Elon Musk a vraiment racheté Twitter en espérant en faire un outil rentable, ou s'il s'en fout de perdre de l'argent, l'important étant de diffuser ses idées puantes et de semer confusion, haine et désinformation. Je ne sais pas trop.
Le fait est que le résultat est là.
Twitter est une machine à semer la confusion, la haine et la désinformation. Et son maître y veille.
Racisme, charlatanisme, misogynie et complotisme fleurissent sans quasiment aucune réelle modération. Elon Musk lui-même semble prendre un malin plaisir à partager personnellement des hoax et des messages haineux sur son compte.
Je ne sais pas si quelqu'un a recensé la longue liste de toutes ces anecdotes, qui vont toutes plus ou moins dans le même sens.
Un jour on apprend la suspension du compte de ce groupe qui collectait des fonds pour la campagne de Kamal Harris.
Un autre jour une toubib antivax canadienne apprend que Twitter va lui payer ses frais de justice.
Ou alors c'est Elon Musk lui même qui diffuse une fausse vidéo de Kamala Harris, générée par IA, en se gardant bien de préciser que c'est un fake.
Et puis il appuie ouvertement les émeutes racistes en Angleterre, comparant les émeutiers arrêtés aux victimes du nazisme.
Etc.
Et par dessus le marché, Twitter et son maître attaquent celles et ceux qui essaient de lutter contre la haine en ligne. Il y a quelques mois, une ONG était ainsi visée par une plainte.
Et là, ce sont les annonceurs qui ont renoncé aux pubs sur Twitter qui sont attaqués. Elon Musk leur fait un procès (alors qu'il y a quelques mois, il disait à ces mêmes annonceurs qu'ils n'avaient qu'à aller se faire enculer...)
Et en utilisant Twitter, nous contribuons à ce pouvoir de nuisance.
Je ne vais pas faire la morale aux twittos : je n'ai moi-même pas (encore) renoncé à l'ex-Oiseau Bleu. Pire, je vais partager ce petit billet sur Twitter. Alors, oui, j'ai beaucoup diminué mon activité sur Twitter. Mais mon compte reste actif.
Quel équilibre trouver ?
Je comprends les gens qui, malgré leurs critiques envers Elon Musk, continuent d'être très actifs sur Twitter.
Combattre la désinformation. Rester sur Twitter pour combattre la désinformation...
Je vais encore vous proposer une comparaison.
Est-ce que ça ne revient pas à monter sur le ring pour affronter un boxeur qui serait aussi l'organisateur de la rencontre et son arbitre ?
Un tricheur qui chercherait juste à vous faire rester sur le ring, en truquant le match, en changeant les règles, mais pas trop, en cherchant toujours les limites, en revenant un peu en arrière quand il voit que vous êtes sur le poing de laisser tomber.
Faire en sorte que vous n'ayez aucune chance de remporter le match, tout en vous laissant l'illusion que c'est un match.
Parce que tout est dans cette illusion.
Parce qu'il a besoin de vous, il a besoin de vous sur le ring, pour que le show continue.
Des comptes sont supprimés arbitrairement. Les tweets d'Elon Musk sont poussés en avant. Certains utilisateurs ne comprennent pas pourquoi ils ont perdu en visibilité. La modération laisse faire les utilisateurs les plus haineux, les plus menteurs. Le boss lui-même diffuse ouvertement des hoax et des messages incitant à la haine.
Mais le système continue de fonctionner parce que des gens y restent.
Si seuls les racistes, les complotistes et les charlatans continuaient sur Twitter, Musk perdrait son outil. Ce serait une sorte de Truth Social ou de Gab en plus gros, pour un public de convertis.
Mais, pour l'instant, il y a du trafic, beaucoup de trafic.
Et donc de la pub (même si ça diminue).
Et surtout il y a une sorte de légitimité. Elon Musk peut continuer à présenter Twitter comme une sorte de grand forum mondial, d'espace de débat, d'échanges et de discussion ouvert à toutes et tous.
Alors que c'est juste une arme destinée à empoisonner le débat, les échanges et la discussion.
Et pour ceux qui se demandent que faire, j'ai trouvé ce texte assez intéressant.
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Je radote un peu. Ce sont des sujets que j'ai déjà abordés ici.
Je comprends celles et ceux qui y restent.
Et je me suis parfois posé la question d'y être plus actif.
Pour combattre la désinformation, le complotisme, le fanatisme, le charlatanisme, etc.
Mais non.
Je vais faire le contraire.
Je vais laisser mon compte en place (pour éviter que mon pseudo ne soit réutilisé par des troll ou des complotistes).
Et mon activité publique va strictement se limiter à y partager des liens vers mes billets de blog. Rien d'autre.
Provisoirement, je vais même faire un gros break de 4 semaines.
Je rappelle que je suis présent sur d'autres plateformes.
Pour ma part, dès ce soir (12 août), ce sera donc une coupure totale de Twitter pendant 4 semaines (même pas consulter les messages directs). Et après, ce sera une présence minimale.
Je n'encourage pas les gens à chercher UNE alternative à Twitter. Il ne faut pas que le propriétaire d'UNE plateforme se sente à ce point en position de force qu'il puisse se permette de faire ouvertement n'importe quoi.
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Parcours de santé numériques : 100 000 patients inclus sur la plateforme eTICSS
La Bourgogne-Franche-Comté, pionnière dans le déploiement des parcours de santé numériques, affirme sa place parmi les leaders. En seulement 18 mois, le nombre de patients inclus sur la plateforme e-parcours régionale a doublé, grâce à l’engagement des partenaires sanitaires, sociaux et médico-sociaux. Outil de coordination numérique et de structuration des parcours, eTICSS vient en appui des acteurs de santé du territoire, pour les soutenir dans leurs pratiques innovantes. Les patients bénéficient d’un accompagnement coordonné entre les professionnels de santé concernés, évitant ainsi la rupture dans le suivi de leurs parcours. Lancé à l’origine grâce au financement du Programme Investissements d’Avenir, eTICSS a reçu sur la période 2020-2022 un financement du Fonds Européen de développement Régional (FEDER), et bénéficie à nouveau d’un financement du FEDER depuis 2023, jusqu’en 2026. La moitié des inclusions sont maintenant réalisées par des organisations sanitaires, médico-sociales ou sociales pour des parcours de santé spécifiques, et plus récemment par les communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS) de la région. Parcours sport et santé Le parcours Sport et Santé (dispositif PASS) qui accueille de plus en plus de libéraux et de structures d’exercice coordonné dans son projet d’accompagnement, avec plus de 3 600 patients inclus en moins de deux ans. C’est dans ce parcours que le 100 000ième patient a été inclus. Avec aujourd’hui plus de 4 000 utilisateurs, 100 000 patients bénéficiant de ses services, et 11 parcours spécifiques, eTICSS démontre son efficacité et son impact sur la qualité des réponses en région Bourgogne-Franche-Comté. L’adhésion aux nouveaux services de santé numériques se confirme et ouvre la voie à de nouvelles perspectives. Le programme prévoit aussi, à moyen terme, d’intégrer l’intelligence artificielle pour enrichir les services existants, tout en assurant un cadre sécurisé et respectueux des principes éthiques de la Garantie Humaine de l’IA. Marie-Lise Thiollet, Coordinatrice du Réseau Sport Santé de Bourgogne-Franche-Comté : "Grâce à notre propre espace de coordination, élaboré conjointement avec les équipes de l’ARS et du GRADeS, eTICSS est devenu un outil du quotidien. Tout a été pensé et élaboré pour répondre parfaitement à nos besoins. Actuellement, nous comptons 3 631 patients en structure, 1 468 prescripteurs, 19 maisons de santé pluridisciplinaires, 131 structures conventionnées et 182 praticiens du sport. L’outil permet de structurer le parcours, faciliter la coordination de tous ces acteurs et de sécuriser leurs échanges. Depuis mars 2023, nous proposons aussi une prise en charge à domicile pour les personnes en plus grande perte d’autonomie et risque de chute. Avec eTICSS qui recense notamment les personnes pouvant bénéficier d’une entrée en parcours complexe, les DAC (Dispositif d’Appui à la Coordination) sont en capacité de les prendre en charge et suivre leurs parcours. L’outil crée donc un lien entre les acteurs de santé de la région comme, par exemple, avec les CPTS (communautés professionnelles territoriales de santé). Quelle que soit la raison pour laquelle un patient bénéficie d’un dossier ETICSS, les différents acteurs de la prise en charge se coordonnent et échangent de façon structurée et sécurisée : l’utilisation est transversale. Enfin, l’outil ne cesse d’évoluer pour continuer à améliorer la prise en charge des patients. Nous étudions en ce moment avec les équipes d’eTICSS, la possibilité de créer un applicatif patient qui sera intégré à Mon Espace Santé. Le patient sera alors acteur de son parcours : il pourra créer son dossier, répondre à des auto-questionnaires mais surtout consulter ses évaluations et prendre ainsi la mesure de ses progrès. Non seulement cela motive les patients à poursuivre leurs efforts mais ils pourront aussi transmettre ces informations aux autres professionnels de santé qui les suivent. Cela leur donnera certainement envie de nous rejoindre en tant qu’utilisateur d’eTICSS !". Read the full article
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Le changement de paradigme induit par la fin des cookies tiers sur Google Chrome
Déjà acté sur Safari et Firefox, la fin du cookie tiers est annoncée par les équipes de Google Chrome pour le troisième trimestre 2024. Cette décision a de multiples conséquences sur le marketing digital et notamment deux de ses principaux bénéfices (par rapport à des campagnes off-line) : la mesure et le ciblage.
Faut-il encore rappeler que ce qui peut être mesuré peut être amélioré ? On peut se lamenter, se dire que c’est jeter le bébé avec l’eau du bain mais c’est ainsi et il faudra s’en accommoder. Idem pour le ciblage même si pour ces deux fonctionnalités des alternatives existent, mais ce n’est pas notre sujet ici.
Vous trouverez dans la presse spécialisée ou dans la documentation des principaux acteurs de l’Ad Tech plusieurs types de solutions alternatives à tester mais il faut se rendre à l’évidence, la parade ultime qui permettrait de revenir au bon vieux temps du cookie tiers n’existe pas et n’existera sans doute jamais, du moins pas tant que l’objet principal de ces restrictions est la protection des données personnelles.
En effet, à quoi bon supprimer les cookies s’il suffit de le remplacer par une autre technologie qui in fine procure les mêmes résultats ? Ce que veut le législateur, sous l’influence des associations de consommateurs mais surtout pour se donner les moyens d’infliger des amendes aux contrevenants, c’est qu’en tant qu’utilisateur, je ne me sente pas espionné, fiché, catalogué et traqué lorsque je suis sur Internet.
Les pouvoirs publics comprenant qu’il existe tout de même des cas où l’observation d’évènements liés à des internautes peut avoir du sens et tant que cela ne menace pas les libertés individuelles, cette observation est tolérée. C’est notamment le cas de l’intérêt légitime. Mais l’interet légitime, au grand dam de l’industrie publicitaire, ne permet pas de justifier les cookies tiers. Il en découle que toute solution alternative devra nécessairement comporter une composante de bruit, une forme d’obfuscation des données, qui interdira lors de son traitement de relier cette donnée à un utilisateur en particulier. On passe donc d’une logique déterministe à une logique probabiliste. C’est par exemple le système de cohortes exploré par Google pour le projet FLOC (Federated Learning of Cohorts) devenu depuis « Topics ».
Le géant de Mountain View navigue à vue, entre respect des directives appelant à respecter l’intimité des internautes et le besoin pour ses clients de s’adresser à des audiences le plus ciblées possibles. Autant dire que ce n’est pas gagné. Des milliers d’euros seront dépensés par les annonceurs avant de pouvoir optimiser leurs camapgnes sur des critères de performance pure, sans réellement pouvoir comprendre comment les décisions sont prises. Mais Google peut se permettre de dire à ses clients « donnez moi votre argent et j’en ferai bon usage ».
Une autre approche consiste à rechercher les facteurs clés de succès d’une camapgne réussie. Ils peuvent se résumer à l’équation media + data + crea.
Media : le cadre de diffusion
Data : les capacités de ciblage
Crea : l’attractivité du visuel ou de l’offre (de la « créa »)
Ces facteurs nécessitent une connaissance approfondie de l’eco-système digital. Par exemple pour le cadre de diffusion, connaitre non seulement les sites mais avoir de bonnes notions des audiences traditionnellement associées. Et se méfier des idées reçues (tous les lecteurs du Figaro ne sont pas des CSP+…). C’est pourquoi la data constitue encore une aide précieuse, lorsqu’elle provient de sources fiables et qu’elle a bénéficié d’un traitement éliminant les principaux biais dont elle peut faire l’objet. A ce sujet, on peut espérer que les progrès en matière d’IA permettront d’exploiter avec encore davantage de finesse le peu de data restant à disposition des brokers. Du moins en Europe.
A propos d’IA, on peut dire que les outils qui commencent à faire leurs preuves en matière de création vont avoir un impact considérable sur l’Ad Tech notamment du point de vue de la création (de visuels). Surtout concernant les formats video qui étaient jusque là réservés aux annonceurs les plus riches car lorsque vous avez 5K de budget et que la réalisation d’un film publicitaire en coûte déjà la moitié, vous restez sur la bannière ou l’annonce native et laissez la video à ceux qui font de la pub tv ou qui ont des ressources en interne pour fabriquer un petit spot de 30 secondes diffusable sur YouTube ou autre.
Aujourd’hui, ou dans peu de temps, des applications comme Sora (OpenAI) pourront générer des videos de trente secondes parfaites pour la masse des SMB (Small Medium Business) tentés par une campagne video. Reste à inventer les prompts qui vont permettre d’exploiter au mieux ces nouvelles technologies mais le potentiel est là et il y a fort à parier que d’ici quelques mois, nous verrons fleurir des spots dignes de Denis Villeneuve pour le marchand de CBD du coin ou le resto vegan du quartier. Tant pis pour nos amis créatifs , videastes ou graphistes professionnels, mais il est très probable que ce soit bien eux qui vont finir par payer l’addition, surtout s’ils restent sur de la production « IRL »…
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Des images de caméras corporelles ont enregistré le moment où un cambrioleur présumé a chuté à travers le toit et dans un bac de recyclage lors d'une tentative de vol à la VacationLand Federal Credit Union dans l'Ohio. La police locale a répondu à une alarme vers 2h12 et a découvert le suspect coincé dans le bac de recyclage sous une porte d'accès. La capture du suspect Les agents ont sorti leurs armes et ont attendu que le cambrioleur, identifié plus tard comme étant Tristan Heidl, apparaisse à la porte d'accès. Ils ont ensuite ordonné à Heidl de se mettre à terre et l'ont aidé à sortir de la poubelle. Malgré l'étrangeté de la situation, le suspect n'a pas été blessé. Tentative infructueuse de vol Heidl avait réussi à pénétrer à l'intérieur de la banque et avait utilisé des outils de construction pour accéder à des zones contenant de l'argent, mais il n'a pas pu ouvrir le coffre-fort de la banque. Il a été arrêté et inculpé d'introduction par effraction, de possession d'outils criminels et de safecracking. Coopération du suspect Heidl a été coopératif lors de son arrestation, répondant honnêtement aux questions des officiers et expliquant qu'il était dans le besoin financier. Il a été détenu en prison avec une caution de 50 000 $ US.
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Qu'est-ce que native advertising ? comment ça marche
La publicité native (native advertising ) est une forme de publicité payante dans laquelle les annonces correspondent à l'apparence, à la sensation et à la fonction du format média où elles apparaissent. Elles s'intègrent de manière "native" et transparente à la page Web.
Contrairement aux bannières ou aux affichages publicitaires, les publicités natives ne ressemblent pas vraiment à des publicités et ne perturbent donc pas l'interaction de l'utilisateur avec la page. C'est la clé de la définition de la publicité native : les publicités natives exposent le lecteur à un contenu promotionnel sans qu'il s'en aperçoive. 👉🏼 Lecture complémentaire : HostGator Vs Bluehost ? Lequel est le meilleur hébergeurs web et pourquoi ?
Qu'est-ce qu'une publicité native ?
Les publicités natives sont souvent présentées comme du contenu recommandé sur les sites Web, apparaissant sous ou à côté de l'article que vous venez de lire. Elles apparaissent également sous forme d'annonces "dans le flux", dans le cadre de votre flux d'actualités sur les réseaux sociaux, tels que Facebook ou Twitter. Les annonces natives prennent également la forme d'annonces de recherche et de promotion qui apparaissent en haut des résultats de recherche de Google ou dans la barre latérale.
1. "Annonces "In Feed Annonces qui apparaissent dans votre flux d'actualités sur les réseaux sociaux (par exemple, votre flux Facebook ou Twitter).
2. Recherche et annonces promues : Annonces qui apparaissent en haut des résultats de recherche Google ou dans la barre latérale.
Recommandations de contenu : Articles recommandés qui apparaissent sous l'article que vous venez de lire.
Comment repérer la publicité native ?
Les publicités natives ne ressemblent pas à des publicités, vous pourriez donc penser qu'elles sont difficiles à repérer. Les lecteurs ne se rendent peut-être même pas compte qu'ils consomment une publicité payante, ce qui pourrait compromettre la neutralité éditoriale de l'éditeur. N'ayez crainte, car les organismes de surveillance des consommateurs, tels que la FTC (Federal Trade Commission) et l'IAB (Interactive Advertising Bureau), s'efforcent de réglementer l'utilisation des publicités natives afin de s'assurer que les consommateurs ne sont pas trompés. 👉🏼 Lecture complémentaire : Le Top 22 Meilleurs Outils en Marketing Digital Indispensables en 2022
Qui bénéficie de la publicité native ?
Annonceurs : Les marques du classement Fortune 500 comme les jeunes entreprises utilisent les publicités natives pour toucher leur public à des moments très forts, lorsque les gens consomment déjà du contenu et sont prêts à découvrir quelque chose de nouveau. Ces campagnes permettent de maximiser les dépenses publicitaires et d'atteindre les objectifs de notoriété de la marque, ainsi que les ventes et les prospects. Éditeurs : Les éditeurs ont adopté les publicités natives comme un outil indispensable pour monétiser le contenu sur toutes les plateformes et tous les appareils. Les unités natives opt-in encouragent les actions de valeur des utilisateurs sans sacrifier l'UX globale, conduisant les utilisateurs vers des pages à forte valeur ajoutée telles que des vidéos, du contenu sponsorisé, des microsites, etc. Utilisateurs : Les publicités natives évitent les pièges perturbateurs des pop-up ou des publicités pre-roll en faveur d'une négociation plus respectueuse avec les utilisateurs, permettant à ces derniers de découvrir et de s'engager dans le contenu de marque qu'ils peuvent aimer selon leurs propres conditions.
Comment choisir la bonne plateforme de publicité native ?
Afin de maximiser le rendement de toute initiative de publicité native, de nombreux éditeurs et annonceurs s'associent à des partenaires technologiques qui peuvent les aider à gérer des aspects tels que la distribution du contenu, l'engagement du public, la monétisation multiplateforme, etc. En particulier, les plateformes de découverte de contenu comme Taboola sont devenues de plus en plus populaires. Elles touchent des milliards d'utilisateurs chaque mois et rivalisent avec les grands réseaux sociaux. Ces plates-formes de découverte sont alimentées par des algorithmes prédictifs de type Facebook qui mettent en relation chaque utilisateur en ligne avec les principaux contenus qu'il est le plus susceptible de vouloir consommer ensuite. Consultez la liste des conditions à remplir pour choisir la bonne plateforme de découverte de contenu : Qualité du réseau : Sur quels types de sites web et/ou de mises en page la plateforme est-elle actuellement déployée ? Suivi : La plateforme offre-t-elle un accès transparent aux principales mesures de performance ? (par exemple, coût par acquisition, pages par visite, impressions visibles, conversions). Échelle : Combien d'utilisateurs la plateforme atteint-elle dans vos régions cibles ? Compatibilité : Dans quelle mesure la plate-forme peut-elle s'intégrer à diverses solutions matérielles et logicielles ? (par exemple, appareils, systèmes d'exploitation, logiciels CRM) Ciblage : Quels types de capacités de ciblage et de reciblage la plateforme offre-t-elle ? (par exemple, comportemental, démographique, B2B, B2C) Service : Le partenaire offre-t-il une gamme flexible d'assistance en libre-service et de gestion des comptes ? Modèles d'enchères : L'enchère CPC est-elle fixée manuellement pour les enchères ou le CPC peut-il être ajusté pour optimiser les conversions ? D'autres modèles sont-ils proposés comme le CPA, le CPV ou le CPM ? Modèles d'enchères : Les enchères sont-elles transparentes ? Quels types d'enchères sont disponibles ? À Lire Aussi : Read the full article
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INTM recrute plusieurs ingénieurs
INTM recrute : Ingénieur études et développement - Ingénieur Sécurité - Team Leader et des ingénieurs d'exploitation
Je partage avec vous nos besoins urgents pour les profils suivants :
Ingénieur études et développement JAVA/JEE senior avec expérience en REST, SOAP web services et XML
Ingénieur Sécurité senior : connaissances des outils Federation (produit Sign&Go7.0 from ILEX). Protocole : SAML, OAUTH 2, Open ID connect, WS-FED et Processus de débogage sera un plus.
Un Team Leader et des ingénieurs…
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Bonjour à tous,
Ce blog a pour thème...
... le monde du travail (bouuuh !!!) mais aussi...celui du temps libre (ouaaaais !!!)
Plus particulièrement, j'y aborderai différents sujets comme par exemple, pêle-mêle :
celui des conditions de travail dans le secteur de l'économie sociale et solidaire, du sens au travail et plus globalement du rapport au travail. J'essayerai de répondre à différentes questions : est-ce que les jeunes se syndiquent encore ? faut-il faire le deuil de son job idéal ? l'auto-entreprenariat est-il réellement un outil de "libération du salariat" ou a contrario un outil de servitude volontaire ? le développement personnel a-t-il sa place au travail ? QUID des coachs ???
Par ailleurs, on y parlera aussi temps-libre, oisiveté, glandouille, repos, loisirs mais aussi économie de l'attention, chômage, refus de parvenir... ici aussi, j'essayerai de répondre à différentes interrogations pour lesquelles je n'ai pour le moment pas de réponse : qu'est-ce que les gens font quand ils ne travaillent pas ? est-il possible de ne pas travailler ? est-on encore capable de ne RIEN faire ? comment éviter que le productivisme ne s'immisce dans ces temps de pause ? J'y aborderai notamment mes propres loisirs, dans des articles parfois un peu plus personnels.
[Cette affiche créée par la Federation of Organized Trades and Labor Unions aux Etats-Unis à la fin des années 80 dans le cadre de leur campagne visant à passer à la journée de travail de huit heures représente leur slogan : eight hours for work, eight hours for rest , eight hours for what we will. L'artiste et autrice Jenny Odell y fait référence dans son super livre "How to do nothing" publié en 2019 puis traduit en français sous le titre de "Pour une résistance oisive : ne rien faire au 21ème siècle" auquel le titre de ce blog rend hommage.]
Ce blog n'aura pas de direction claire et mes réflexions ne seront certainement pas toujours approfondies ou entrelacées de façon très logique. En d'autres termes, plus qu'un ensemble d'articles pointus, j'aimerais que cette page soit plutôt abordée comme une invitation à vous promener avec moi, dans mes réflexions, mes doutes, mes questionnements, mes indignations parfois ou encore mes moments d'espoir et de joie.
Bienvenue et bonne lecture !
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Traduction automatique : "America's Frontline Doctors (AFLDS) a déposé une requête le 19 juillet, demandant une injonction immédiate devant le tribunal fédéral de district de l'Alabama pour arrêter l'utilisation des vaccins COVID à autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) – Pfizer/BioNTech , Moderna et Johnson & Johnson (J&J) – pour trois groupes d'Américains... Les plaignants allèguent que la déclaration d'urgence et ses multiples renouvellements sont illégaux car il n'y a pas d'urgence sous-jacente. En utilisant les données de décès COVID du HHS, le SRAS CoV-2 a un taux de survie global de 99,8 % dans le monde, qui passe à 99,97 % pour les personnes de moins de 70 ans. Cela correspond à la grippe saisonnière, indique la plainte... Les plaignants ont déclaré que le nombre réel de cas de COVID est également bien inférieur au nombre signalé en raison de l'utilisation d'urgence de tests de réaction en chaîne par polymérase (PCR) , qui sont utilisés comme outil de diagnostic pour COVID. Les tests PCR sont eux-mêmes des produits expérimentaux, autorisés par la FDA dans le cadre d'EUA distincts. Les notices d'emballage indiquent que les tests PCR ne doivent pas être utilisés pour diagnostiquer le COVID. La plainte allègue que la manière dont les tests PCR sont administrés en toute connaissance de cause garantit un nombre inacceptablement élevé de résultats faussement positifs."
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Communities in Alberta Receive Support for Stronger Asset Management Practices.
Ottawa, July 13, 2020—Providing communities with tools and support for evidence-based decision-making helps them plan a healthier, safer and more prosperous future for everyone. That’s why the Government of Canada is investing $131,600 today in three new projects in Alberta communities through the Municipal Asset Management Program (MAMP), which the Federation delivers of Canadian Municipalities on behalf of the federal government. As economies re-open, these projects will help communities make data-driven decisions about roads, water systems, buildings and other key infrastructure. These new projects will support progress in municipalities of all sizes: The City of Calgary will collaborate with Ryerson Institute for Infrastructure Innovation (RIII) to develop a risk-informed asset management planning process for the City's pedestrian network, which includes sidewalks and pathways. The Lac La Biche County will develop an asset management program that will include training, development of an asset management needs assessment, an implementation plan and asset management policy. The Municipal District of Taber will improve its asset management capacity and understanding of the services its assets provide by evaluating the condition and performance of all asset classes such as roads, bridges, water and drainage infrastructure. Quotes “Investments like these will provide municipalities in Alberta with the tools and training they need to plan, build and maintain their infrastructure now and for years to come. The COVID-19 health crisis has reinforced the importance of effective and modern infrastructure that supports safe, sustainable and healthy communities where all residents can thrive. With a clear vision of their long-term needs, Taber, Lac La Biche, and Calgary will be able to make sound investment decisions on projects that contribute to a cleaner, more livable communities for their children and grandchildren.”The Honourable Jim Carr, Member of Parliament for Winnipeg South Centre on behalf of the Honourable Catherine McKenna, Minister of Infrastructure and Communities “Rural communities are the backbone of the Canadian economy and among the best places in Canada to call home. Smart investments in infrastructure help smaller communities grow, strengthen their economies and improve the quality of life for their residents. Through projects like those announced today, our government is helping to ensure that local leaders, especially those in rural areas, have the tools they need to plan for the long-term and creating stronger rural communities now and for generations to come.”The Honourable Maryam Monsef, Minister for Women and Gender Equality and Rural Economic Development “Local governments own and operate nearly two-thirds of Canada’s core infrastructure, alongside vital services, and they’re working flat-out to support Canadians through the COVID-19 pandemic. Strong asset management practices will help them make even better infrastructure investment decisions as Canada looks toward recovery. Thanks to a strong federal-municipal partnership, FCM is delivering programs from coast to coast to coast that help municipalities do what they do best: build better lives for Canadians.”Bill Karsten, President, Federation of Canadian Municipalities Quick facts - The Government of Canada and the Federation of Canadian Municipalities announce support for 3 new asset management initiatives in communities in Alberta:- City of Calgary– Risk-informed asset management of pedestrian network (phase II: pathway systems and implementation): $50,000 - Lac La Biche County– Assessment management program development: $31,600 - Municipal District of Taber – Asset management: $50,000 - The Municipal Asset Management Program is designed to help Canadian municipalities strengthen infrastructure investment decisions based on reliable data and sound asset management practices. - It provides asset management training, funding and information sharing to enable municipalities to access the data needed to plan effectively. - The $110-million program, delivered by the Federation of Canadian Municipalities and funded by the Government of Canada, has invested in more than 663 municipal asset management projects. - Funding is available through a renewed federal investment in the program, first announced in the 2019 federal budget. Associated links Municipal Asset Management ProgramFCM funding opportunitiesInvesting in Canada: Canada's Long-Term Infrastructure PlanInvesting in Canada plan project map Des collectivités de l’Alberta obtiennent du soutien pour renforcer leurs pratiques de gestion des actifs Ottawa, le 13 juillet 2020 – Les collectivités ont besoin d’outils et de soutien pour favoriser une prise de décisions éclairées qui peut les aider à planifier un avenir plus sain, plus sûr et plus prospère pour tous. Voilà pourquoi le gouvernement du Canada investit aujourd’hui 131 600 $ afin d’appuyer trois nouveaux projets dans des collectivités de l’Alberta par l’entremise du Programme de gestion des actifs municipaux (PGAM), offert par la Fédération canadienne des municipalités (FCM) au nom du gouvernement fédéral. Alors que l’économie redémarre, ces projets aideront les collectivités à prendre des décisions fondées sur des données concernant les routes, les systèmes de distribution d’eau, les bâtiments et d’autres importantes infrastructures. Ces nouveaux projets favoriseront le progrès dans des municipalités de toutes tailles : La Ville de Calgary collaborera avec le Ryerson Institute for Infrastructure Innovation pour développer un processus de planification de la gestion des actifs en fonction du risque pour le réseau piétonnier de la ville, qui comprend les trottoirs et les sentiers. Le Comté de Lac La Biche élaborera un programme de gestion des actifs qui comprendra une formation, l'élaboration d'une évaluation des besoins en matière de gestion des actifs, un plan de mise en œuvre et une politique de gestion des actifs. Le District municipal de Taber améliorera sa capacité de gestion des actifs et la compréhension des services que ses actifs fournissent. La municipalité continuera d’évaluer l'état et la performance de toutes les catégories d'actifs comme les routes, les ponts, les infrastructures d'eau et de drainage. Citations « Les investissements comme ceux-ci fourniront aux municipalités de l’Alberta les outils et la formation dont elles ont besoin pour planifier, bâtir et entretenir leurs infrastructures maintenant et pendant de nombreuses années. La crise sanitaire de la COVID-19 a renforcé l’importance de bâtir des infrastructures efficaces et modernes, qui favorisent l’établissement de collectivités sûres, saines et durables, où tous les résidents peuvent s’épanouir. Grâce à une vision claire de leurs besoins à long terme, Taber, Lac La Biche et Calgary seront en mesure de prendre des décisions éclairées pour investir dans des projets qui contribuent à rendre les collectivités plus propres et plus agréables, pour leurs enfants et leurs petits-enfants. »L’honorable Jim Carr, député de Winnipeg–Centre-Sud, au nom de l’honorable Catherine Mckenna, ministre de l’Infrastructure et des Collectivités « Les collectivités rurales sont au cœur de l’économie canadienne et comptent parmi les meilleurs endroits où vivre au Canada. Les investissements intelligents dans les infrastructures aident les petites collectivités à croître, à renforcer leur économie et à améliorer la qualité de vie de leurs résidents. Grâce à des projets comme ceux qui sont annoncés aujourd’hui, notre gouvernement contribue à faire en sorte que les dirigeants locaux, en particulier ceux des régions rurales, disposent des outils nécessaires pour planifier à long terme et bâtir des collectivités rurales plus fortes dès maintenant et pour les générations futures. »L’honorable Maryam Monsef, ministre des Femmes et de l’Égalité des genres et du Développement économique rural « Les gouvernements de proximité détiennent et gèrent près des deux tiers des infrastructures de base et des services essentiels au Canada, et elles travaillent d’arrache-pied pour soutenir la population canadienne pendant la pandémie de COVID-19. De solides pratiques de gestion des actifs les aideront à prendre de meilleures décisions en matière d’investissement dans les infrastructures pendant que le Canada se tourne vers la relance économique. Grâce à un partenariat fédéral-municipal solide, la FCM offre des programmes qui aident les municipalités d’un océan à l’autre à faire ce qu’elles font le mieux : améliorer la qualité de vie des Canadiens. »Bill Karsten, président, Fédération canadienne des municipalités En bref - Le gouvernement du Canada et la FCM annoncent le versement de 131 600 $ en appui à trois nouveaux projets de gestion des actifs dans des collectivités de l’Alberta :- Ville de Calgary - Gestion éclairée du risque lié aux actifs du réseau piétonnier (phase II : systèmes de voies et mise en œuvre) : 50 000 $ - Canton de Lac La Biche - Élaboration d’un programme de gestion des évaluations : 31 600 $ - District municipal de Taber - Gestion des actifs : 50 000 $ - Le Programme de gestion des actifs municipaux vise à aider les municipalités canadiennes à prendre de meilleures décisions d’investissement dans les infrastructures en se fondant sur des données fiables et de bonnes pratiques de gestion des actifs. - Ce programme offre du financement, de la formation et un partage d’informations pour permettre aux municipalités d’accéder aux données nécessaires à une planification efficace. - Ce programme de 110 millions de dollars, administré par la FCM et financé par le gouvernement du Canada, a investi dans plus de 663 projets de gestion des actifs municipaux. - Le financement est offert dans le cadre d’un investissement fédéral renouvelé qui avait initialement été annoncé dans le budget fédéral de 2019. Liens connexesProgramme de gestion des actifs municipauxFinancement de la FCMInvestir dans le Canada : Le plan d’infrastructure à long terme du CanadaInvestir dans le Canada : Carte des projets Read the full article
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Numérique en santé : l’Europe consolide son soutien à la plateforme eTICSS
Au cœur de la stratégie e-santé en Bourgogne Franche-Comté, eTICSS est l’outil clé de la transformation numérique des parcours de santé dans la région. Grâce à eTICSS, les professionnels des secteurs sanitaire, médico-social et social disposent d’un bouquet de services de coordination territoriale tous conçus dans un même objectif : décloisonner les prises en charge pour mieux soigner. eTICSS, est la plateforme de coordination régionale de Bourgogne Franche-Comté mettant à disposition des professionnels du territoire un outil numérique de suivi des parcours spécialisés gratuit et sécurisé pour soutenir les prises en charge des patients. La Région Bourgogne Franche-Comté, autorité de gestion des fonds européens, soutient la stratégie de l’Agence Régionale de Santé (ARS) visant à déployer une plateforme publique dédiée aux services numériques de santé en Bourgogne -Franche-Comté. Dans ce cadre, ce sont 10,5 millions d'euros de financements FEDER qui ont été mobilisés pour la seconde phase du projet eTICSS (2023-2026). Ils permettront de développer de nouveaux parcours et nouvelles fonctionnalités du programme, dont notamment : la mise en œuvre d’un socle d’outils génériques pour la coordination complexe afin d’harmoniser les pratiques au bénéfice de tous les patients ; la création de parcours intégrant la prévention, le repérage en amont et en aval de la prise en charge, pour réduire les risques de rechutes ou de récidives, en mettant l’accent sur le rôle central du patient ; le développement des démarches de responsabilité populationnelle regroupant et engageant tous les acteurs du territoire dans une organisation commune. Fruit d’une étroite collaboration entre les professionnels et les organisations de santé du territoire, eTICSS facilite la prise en charge coordonnée des patients de tous les âges, permettant ainsi d’éviter la rupture dans le suivi de leurs parcours de santé. Mis en œuvre par le GRADeS BFC (Groupement Régional d’Appui au Développement de la e-Santé) avec la participation de tous les partenaires du système régional de santé, le projet eTICSS s’inscrit dans les objectifs du numérique en santé et les ambitions régionales. Ces derniers visent à étendre et développer l’usage du numérique pour améliorer la santé des citoyens, conformément aux objectifs de Stratégie de cohérence pour l’aménagement numérique (SCORAN) et de la feuille de route régionale Santé. Avec près de 1 400 utilisateurs actifs, 90 000 patients bénéficiant de ses services, et 11 parcours de prise en charge, eTICSS démontre son efficacité et son impact sur l’amélioration de l’accès aux soins pour tous en région. Le projet prévoit également, à moyen terme, d’intégrer l’intelligence artificielle pour enrichir les services numériques existants, tout en assurant un cadre sécurisé et respectueux des principes éthiques de la Garantie Humaine de l’IA. Read the full article
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une raquette de tennis
S'appuyant sur les valeurs fondamentales inculquées par leur père, qui a pris sa retraite en 2005, la deuxième génération de propriétaires créé un modèle d'entreprise qui mettent la réussite dans les mains des salariés. Shohfi Pop-Market CEO Joe a affirmé que le but était de créer une expérience conviviale qui profite à la fois les petites entreprises et les grosses sociétés. Voici deux nouvelles couleurs de 577 prévu pour cet automne. Marathonien Squash Vente En Ligne Bam Keflezighi présenté Président Michael Greenberg avec son prix, tandis que John de ‘Requin Daymond Cuve’ honoré Birkenstock. Tamara MellonFounder, Directeur créatif; Tamara MellonShe contribué à transformer en un projet mondial luxe Powerhouse.James, Geoff McFetridge et Gary Panter dans la suite. ’ montera sur la vente au détail en janvier, chaque série de trois est au prix de 38 $. Il est donc un peu plus d'un mètre de hauteur 4 pieds et son prix est comparable à la démesure de l'objet; 2500USD. Plus de photos dans la suite. Toujours orienté pop culture, c'est gratuit imaginé par une équipe 100 % française et disponible depuis cette semaine dans environ 150 boutiques français. Pas le français ne sont pas en reste de rendre les sons friendly qui parlent de notre penchant à coups de pieds. Trois grands champions Tennis De Table Moins Cher vont donc être immortalisé; Roger Federer, Ronaldinho et Kobe Bryant. Il debuted au Chaussures De Padel En Remise début de ce mois, après une promotion croisée sur talk-show diurne Ellen. via hypebeast un énième documentaire surôle asics running femme pas cher fera son apparition qui voici quelques extraits. Une fois de plus l'équipe Solebox succède à son modèle. L'objectif: Exécution de Boston ou Londres, ‘mais j'espère que Boston. Bernson a noté que le résultat final est un regard qui allie plaisir avec simplicité et sophistication. Nous voulions que ce soit un outil pour organiser et aider tout le monde, du grand au petit magasin,’ dit-il. www.sportsoldes.com/badminton
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NOUVEAU : Suivez l'actu du blog sur Telegram ! Des documents judiciaires montrent que le FBI peut intercepter des messages cryptés depuis l’application “Signal” Des documents judiciaires récents ont indiqué que le Federal Bureau of Investigation (FBI) possède un outil lui permettant d’accéder à des messages cryptés sur l’application Signal. Signal a rapidement gagné en…
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Le vêtement et les apparences
“Le vêtement et les apparences”, my latest article for Parisian Gentleman.
Il parait que nous vivons dans une « culture de l’image ».
Outre la pompeuse présomption qu’il y a à parler de « culture » pour décrire les agressions visuelles de la publicité et la consultation maniaque d’écrans, il n’est pas certain que les images aient jamais eu moins de présence. Peut-être possédaient-elles jadis une vivacité symbolique qui nous échappe aujourd’hui, et ne se réduisaient-elles pas à cette prolifération quantitative à laquelle on peine à échapper. On peut en tout cas se demander si la quête d’images parfaites, arrangées, idéales que nous proposent les réseaux sociaux ne correspond pas à une évasion illusoire et creuse. Combien d’assiettes de pâtes, de couchers de soleils et de mannequins à l’impeccable plastique pouvons-nous vraiment supporter ?
Mais le vêtement, lui, est paradoxal.
On pourra en parler tant et plus, disserter sur ses subtilités et ses usages, il n’en reste pas moins que, pour s’extasier sur une boutonnière milanaise, un montage Goodyear ou une épaule pagode, il est nécessaire de les voir. En effet, dans le domaine du vêtement, il est difficile d’éviter la fascination spéculaire qui définit l’intérêt même que nous lui portons. Car la traditionnelle défiance envers les apparences n’a en effet pas de raison d’être dans le domaine… de l’apparence.
Le mensonge insidieux qui rôde dans les sollicitations des publicitaires et des idéologues — aux méthodes étrangement similaires — nous agresse sans cesse de sophismes aux apparences de vertu. Nous savons bien pourtant que derrière les façades factices de la séduction se cachent les sordides calculs de l’intérêt. Mais nous sommes assaillis de toutes parts par les harangues des orateurs en quête de votes, des marchands d’art et d’idées, de gadgets et de bien-être en solde. Nous avons beau ne plus croire au vernis craquelé de délices illusoires toujours déçus par la réalité, nous subissons quand même le poids de ces pénibles intrusions dont l’aspect extérieur est toujours irréprochablement parfait, tel le glaçage virginal d’une pâtisserie virtuelle…
Face aux escroqueries de l’apparence et à l’évanescence d’une profondeur qui se dérobe, le monde sartorial est d’une franchise salutaire.
La texture d’un tissu se donne entièrement. La courbe d’un revers n’est pas un trompe-l’œil. Les perforations d’un richelieu brogue ne cachent rien. Le vêtement ne donne que ce qu’il a. Il tient ses promesses.
Le vêtement de mauvaise qualité le proclame aussi et il n’y a qu’à scruter un peu pour distinguer le mauvais cuir du bon, le tissu de luxe de la laine de base. Quant au style, il est ce qu’il est : c’est l’œil qui distinguera les épaules carrées ou naturelles, le cintrage ou le drapé, l’harmonie ou la banalité. Et chacun se fera son idée de ce qu’il trouve plaisant à l’œil. Dans l’œil, et uniquement dans l’œil, réside le pur plaisir de l’esthétique du quotidien qu’incarne le beau vêtement.
C’est peut-être cette innocence strictement dégagée des enjeux retors de la dissimulation qui fait une part de son attrait. On pourrait parler d’une sophistication de la superficie : l’apparence et rien que l’apparence — mais dans ses moindres détails.
Cela n’est pas sans rappeler le sport (lui-même la plupart du temps engoncé dans la vulgarité hystérique des placards publicitaires et d’une mise en spectacle superflue) quand il se résume au beau geste : la parfaite précision d’un ippon seoi nage fulgurant de Toshihiko Koga, le jaillissement discret d’une amortie croisée de Roger Federer, l’urgence gracieuse d’un envol de Clyde Drexler déposant l’orbe dans le panier ne sont pas étrangères aux lignes évidentes d’un richelieu de Yohei Fukuda ou de Stephane Jimenez, à la fluidité d’un veston de Camps de Luca ou de Cifonelli, ou à la resplendissante simplicité d’une cravate de Drake’s ou d’Howard’s.
L’enchantement visuel est alors immédiat, et sa séduction sans discours. On peut bien sûr poursuivre par l’analyse technique, afin de prolonger le plaisir de la sidération initiale, mais la simple impression visuelle possède sa propre nécessité. Et elle s’arrête à ce plaisir.
Tout est dit dans l’apparence : elle n’est pas un masque mais une révélation. Comme le souligne Hegel dans son Introduction à l’Esthétique à propos de la vérité de l’art : « L’apparence même est essentielle à l’essence ; la vérité ne serait pas si elle ne paraissait pas ». Certes, en matière de vêtement, il n’est pas toujours question d’exprimer une profondeur, mais tout simplement de se vêtir parce que c’est une nécessité sociale — le nudisme n’étant pas encore devenu une revendication politique convaincante.
Le vêtement est-il alors une illusion ?
L’apparence choisie révèle l’image que l’on veut donner de soi. A cet égard, elle ne ment pas. Que cette image ne soit qu’une surface, nul ne le nie. Mais elle est vraie en tant que surface. Evidemment, on peut se méprendre sur une intention, se tromper sur l’effet de sa propre tenue. A l’heure où chacun voit midi à sa porte et où il n’y plus forcément d’unité de sens des signes vestimentaires, tous les malentendus sont possibles : on peut s’habiller avec recherche et être considéré comme terne ; se vêtir avec sobriété et être vu comme un dandy… Tout est dans le regard et le contexte.
Cela ne signifie donc pas que le beau en matière sartoriale ne soit pas le fruit de conventions et d’interprétations. Ni d’ailleurs que le vêtement échappe aux vantardises du commerce. Ni, enfin, qu’existe un snobisme du paraître.
Car soigner sa tenue ne proclame rien d’autre que ce soin, qui n’est ni profondeur ni superficialité : le souci esthétique peut être le reflet d’un légitime souci d’élégance ou bien verser dans l’esthétisme, creux ou hautain. Beauté de l’apparence, limites de l’apparence…
Apparat statutaire de l’empereur ou retrait minimaliste du moine : impossible d’échapper au paraître. Le vêtement embellit, signale ou anonymise. C’est un outil ou un plaisir, un encombrement ou une protection, mais il est radicalement inévitable.
Alors disons, qu’à tout prendre, et puisque nous sommes forcés de nous vêtir, autant être bien habillé…
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Un DRH balance : "Licencier sans motif, ça s'apprend très vite"
Longtemps, Didier Bille a été un "serial licencieur". En 23 ans de carrière, ce directeur des ressources humaines a mis à la porte de grands groupes plus de 1000 salariés. Jusqu’à raccrocher pour de bon. Dans "DRH la machine à broyer", Didier Bille raconte comment les ressources "humaines" sont en fait devenues le bras armé de directions aux méthodes effroyables.
"Talent acquisition", "consulting", "compliance" : pince-sans-rire, Didier Bille éreinte tout le "bullshit" derrière lequel se retranchent les entreprises pour accomplir leurs basses œuvres. On croirait un sketch, sauf que des milliers de salariés en sont les victimes.
Pourquoi avoir écrit ce livre ?
- Didier Bille : L’entreprise de composants électroniques dans laquelle j’étais en poste venait de virer des salariés, un plan social déguisé en fait. Après cette expérience, j’ai renoncé à travailler dans les ressources humaines. Un syndicaliste a donné mon nom à un journaliste de l’hebdomadaire "Politis" en lui disant "si vous voulez quelqu’un qui ne pense pas la même chose que les autres directeurs des ressources humaines, vous pouvez le contacter." Un article est paru sur la sous-notation forcée, une technique utilisée pour licencier [voir plus bas, NDLR], puis un portrait. Un éditeur m’a ensuite appelé pour me proposer d’écrire un livre. Au départ, je n’avais pas spécialement envie de communiquer, je voulais passer à autre chose, mais très vite, je me suis aperçu que j’avais des choses à raconter.
A vous lire, le licenciement est érigé au rang de véritable système. Dans certaines entreprises, il serait même perpétuel.
Licencier est tellement simple, peu risqué et de moins en moins coûteux que c’est devenu "LA" solution à tout problème. Quelqu’un a un souci dans son équipe ? On licencie ! Quelqu’un se plaint de ne pas avoir eu de promotion ? On licencie ! Il y a plusieurs décennies, c’était pourtant l’arme de dernier recours.
Tout a basculé dans les années 1980. Jack Welch, le président du groupe américain General Electric réputé pour avoir licencié plus de 100.000 personnes, a mis au point la "vitality curve", la courbe de vitalité. Le principe ? Améliorer la "race" des salariés en éliminant ceux que l’on considère comme les plus faibles, les plus mauvais, toujours selon des critères subjectifs bien sûr. Ainsi, on donne plus d’opportunités à ceux qui restent. Et on peut engager des personnes de l’extérieur qui correspondent davantage aux critères décrétés par l’entreprise.
De cette théorie découle la sous-notation forcée : on considère qu’il y a toujours un pourcentage de mauvais salariés, mal notés, à virer. Et on fait la liste. Rien d’autre que de l’eugénisme en fait. L’idée s’est aussi répandue qu’en mettant les gens sous pression, en les faisant vivre dans la peur, l’entreprise devenait plus productive.
La sous-notation forcée est pourtant une pratique illégale en France. Comment les entreprises arrivent-elle à déjouer la loi ?
En droit social, même si vous êtes pris la main dans le pot de confiture, les sanctions sont minimes, la perspective de se faire piéger ne les effraie donc pas. IBM a bien été inquiété au début des années 2000, mais jusqu’ici, les salariés n’ont jamais réussi à prouver devant un tribunal qu’une entreprise appliquait cette méthode.
Une entreprise est-elle vraiment plus productive lorsque les salariés sont sous pression ?
Oui. En faisant travailler les salariés dans la peur, on les presse comme des citrons et une fois qu’ils ont donné tout ce qu’on voulait d’eux, on les jette. Ce n’est pas l’entreprise qui paye les conséquences d’un tel management, mais Pôle Emploi, en versant des allocations chômage. Et quand c’est allé vraiment loin question brutalité, la Sécurité sociale est mise à contribution. On appelle ça une externalité négative: faire payer à autrui les problèmes que l’on a créés. Si les entreprises devaient endosser le coût de leurs actions, se débarrasser des gens deviendrait nettement moins rentable.
L’argent versé par Pôle emploi et la Sécu est donc "intégré" au budget de l’entreprise…
Les entreprises se reposent tellement sur Pôle emploi que lorsqu’elles négocient le départ de quelqu’un, elles incluent les allocations chômage au "package" promis au salarié. Pour qu’il accepte de partir sans faire trop de bruit, on additionne les indemnités de licenciement, ce qu’il va toucher de Pôle Emploi, plus ce qu’on va lui donner en échange de sa confidentialité. Par cette transaction, il renonce à poursuivre l’entreprise. S’il parle, il devra rendre l’argent.
C’est une règle empirique : quand une personne voit qu’elle a deux ans devant elle sans diminution substantielle de ses revenus, cela suffit en général à la calmer, à lui faire accepter l’inacceptable. Mais par la suite, j’ai recroisé beaucoup de salariés qui m’ont dit que deux ans, ça passait très, très vite.
Didier Bille (DR)
Pourquoi avoir choisi de travailler dans les ressources humaines ?
Il y a 25 ans, j’étais officier dans l’Armée belge, en Allemagne et en Yougoslavie. J’ai démissionné, pour reprendre des études d’ingénieur. J’ai lu un livre, "le Prix de l’excellence" de Thomas Peters et Robert Waterman, devenu un best-seller du management. Les auteurs y analysent une soixantaine d’entreprises qui réussissent. Parmi les éléments de succès cités, il y avait les ressources humaines.
J’ai donc cherché un emploi dans ce domaine. Pour être franc, les responsables des ressources humaines que j’ai rencontrés à l’époque lors de mes entretiens m’ont convaincu que je n’aurais pas beaucoup de concurrence au niveau intellectuel. Je me suis dit : mes collègues ingénieurs ne veulent pas y aller, c’est une voie d’avenir avec peu de concurrence, il faut tenter. Six mois avant la fin de mes études, j’ai trouvé un emploi dans les ressources humaines d’une banque.
C’est paradoxal de vouloir s’engager dans un secteur où l’on juge les gens bêtes…
Il y avait quand même un défi, je sentais qu’on pouvait faire beaucoup de choses mais que les gens en face de moi n’en étaient pas capables. Les personnes qui travaillaient dans les ressources humaines étaient essentiellement des psychologues, qui n’avaient pas beaucoup de capacité d’analyse ou de synthèse. Il faut dire qu’à l’époque, il s’agissait d’une fonction essentiellement administrative : gestion des contrats, de la paye. La formation et le recrutement ne constituaient qu’une toute petite partie des tâches. Tout ce qui concernait le lien social, le développement personnel, n’existait quasiment pas.
Comment cette profession a-t-elle évolué ?
Les directeurs des ressources humaines devraient à la fois être l’avocat des salariés et de l’entreprise.
La réalité est qu’ils ne sont que du côté de la direction. General Electric les a même en premier qualifiés de "Business partners". Les ressources humaines ne sont en fait là que pour faire accepter les contraintes de l’entreprise alors qu’elles devraient être un contrepouvoir. Le manque de formation des DRH est criant, ils n’ont pas les outils intellectuels adéquats, ils s’appuient sur une fausse science manageriale.
Ceux qui sont dans les RH depuis longtemps n’ont d’ailleurs même pas eu de formation spécifique. On trouve encore beaucoup de juristes, par exemple. Les derniers arrivés sont eux préformatés. Leur grand théoricien est l’Américain Dave Ulrich, qui a inspiré toute une génération de DRH. Selon lui, les ressources humaines ne sont pas censées se soucier des gens. Aujourd’hui encore, il est considéré comme un penseur culte dans ce milieu. Les DRH sont avant tout formés au business, ils baignent dans un lexique guerrier : les concurrents sont des adversaires, les salariés licenciés des victimes collatérales. Beaucoup "coupent" leur cerveau, il ne faut surtout pas poser de question sur le fonctionnement de l’entreprise. Les plus dangereux étant ceux qui croient vraiment au management brutal voulu par leur direction.
Comment avez-vous réagi lorsqu’on vous a demandé de licencier pour la première fois ?
C’était au début des années 2000 chez Nortel Networks, un groupe de télécommunications qui a depuis déposé le bilan. Je l’ai fait et ça ne m’a pas posé de problème car j’étais dans le flux, tout allait très vite, même si ce n’est pas une excuse. Je ne me suis pas posé la question de la cruauté de ce qu’on faisait. Nortel s’est très vite trouvé dans une mauvaise situation avec l’explosion de la bulle internet. On m’a demandé de réduire les effectifs à un moment où ça pouvait aider l’entreprise et où les volontaires étaient nombreux. Les circonstances étaient "favorables". Sur un site qui comptait 750 personnes, on en a donc fait partir 250.
Pendant trois semaines, de 7h à 21h, il y avait la file devant mon bureau. Beaucoup de salariés assez âgés allaient être portés jusqu’à la retraite avec des indemnités généreuses. Trois entretiens d’un quart d’heure et c’était plié. J’allais tellement vite que les trois-quarts des gens ne comprenaient pas ce que je leur disais. Ils signaient. Mais je n’ai truandé personne et l’entreprise ne me l’a pas demandé.
Tous les licenciements que vous avez menés par la suite ne se sont pas aussi "bien" passés…
J’ai ensuite travaillé chez Federal- Mogul, un équipementier automobile. Là, j’ai commencé à m’opposer, à prendre conscience que certaines choses ne se faisaient pas. La division dans laquelle j’étais se portait bien. Mais un DRH Monde avait décrété qu’il fallait supprimer cinq postes chaque mois : c’est le licenciement dit "au fil de l’eau", qui évite de mettre en œuvre un coûteux plan social. N’importe quelle raison était bonne. On montait les dossiers s’il le fallait. J’ai fini par partir mais pendant trois mois, j’ai licencié cinq personnes chaque mois.
Attention, quand je dis "je" , c’est l’entreprise. Je ne peux rien faire si mon supérieur hiérarchique n’est pas d’accord. Je le fais parce qu’on me demande de le faire. Je peux aussi le faire parce qu’il n’y a aucune solidarité entre salariés. Les risques de me faire coincer sont minimes et quand bien même cela devait arriver, j’aurais tout juste une tape sur la main. Puis, j’ai été recruté par General Electric. J’étais alors à la source du management moderne, de la "vitality curve", de la sous-notation forcée, du licenciement perpétuel. Là, le coût des licenciements était directement pris en charge par le siège. Un budget restructuration était totalement dédié à cela. Globalement, chez General Electric, on considère qu’on est toujours de trop.
C’est un système totalement délirant !
Au-delà de 250 salariés, les entreprises font vraiment n’importe quoi. Les plus petites sociétés sont un peu plus vertueuses car elles n’ont pas les moyens d’assumer derrière. Une entreprise comme General Electric rachète ou revend en permanence des divisions et a un besoin constant d’évacuer des gens.
L’entreprise est un monstre froid, autonome, dont la vie est totalement déconnectée de toute réalité économique. Il ne faut rien en attendre. Le diktat vient d’en haut : "il faut supprimer tant de personnes, dans tel pays", sans que cela ne soit justifié.
Vous avez vous-même été licencié plusieurs fois et condamné par un ex-employeur…
Oui, j’étais en conflit avec plusieurs de mes hiérarchies, j’ai notamment été licencié deux fois pour faute grave [Didier Bille refusera d’en dire plus, NDLR].
En 2004, je me suis "auto-licencié" de Stryker Spine, une société de fabrication de matériel chirurgical et dentaire, en m’envoyant un mail depuis l’ordinateur de mon patron. J’étais mal, je voulais partir. J’ai été condamné pour cela, je n’ai pas fait appel.
Comment licence-t-on quelqu’un sans motif ?
Ca s’apprend très vite. On prend un fait récent qui a valu au salarié une petite remontrance et on le monte en épingle. Le coût n’est pas important, il faut juste que la personne quitte l’entreprise le plus vite possible. C’est une fin en soi.
N’y a-t-il personne en face ? Quel rôle joue les syndicats ?
Les vrais élus intelligents, ceux qui venaient me voir pour dénoncer des abus, étaient inattaquables. Ils avaient assis leur crédibilité et étaient reconnus comme des gens intègres. Mais même ceux-là allaient rarement au bout des procédures. Ils avaient intégré certaines règles et n’allaient jamais au point de rupture avec l’entreprise. De toute ma carrière, je n’ai toutefois jamais rencontré d’élu "vendu".
Comment avez-vous pu tenir si longtemps si ces méthodes vous choquaient ?
Ma prise de conscience a été tardive. Tout au long de ces années, j’ai pris de la distance, je me suis beaucoup moqué, c’était la seule manière de tenir. J’ai toujours eu une grande liberté de parole. Je me suis plusieurs fois opposé à ce que faisait ma direction, souvent avec le soutien des syndicats.
Dans un grand groupe pharmaceutique où l’on devait supprimer 200 postes, j’ai ainsi fait arrêter la pratique du "plan de soutien", qui signait en fait l’arrêt de mort du salarié. On lui disait : tu n’es pas bon, tu as trois mois pour t’améliorer et au final il était viré. Le déclic a été le licenciement d’une salariée d’un équipementier automobile dont l’histoire ouvre mon livre. Je l’ai expédié en un quart d’heure, alors que cette femme avait trente ans d’ancienneté. Ses collègues n’ont rien dit. Ca ne m’a fait ni chaud ni froid sur le coup. Peu après, j’ai eu envie d’arrêter.
Croyez-vous à une prise de conscience au niveau des entreprises ?
Les burn-out, les troubles musculo-squelettiques, les arrêts maladie explosent. On va droit dans le mur. Les RH doivent redonner du poids à l’humain, c’est urgent. Il faut qu’elles jouent enfin leur rôle, sinon elles sont vouées à disparaître. Certaines entreprises comment d’ailleurs déjà à dire : "on n’a plus besoin des RH".
Que faites-vous aujourd’hui ?
Je me reconvertis dans la restauration. Je n’exclus pas de retravailler dans les ressources humaines, mais pour construire cette fois.
(1) Editions du Cherche-Midi, mars
Article complet: L'Obs en temps réel : Accueil — http://www.nouvelobs.com/rue89/la-vie-materielle/20180316.OBS3734/un-drh-balance-licencier-sans-motif-ca-s-apprend-tres-vite.html?xtor=RSS-87
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Livres : Nomenclature sino-française des expressions et termes fondamentaux de la Médecine Chinoise
Une introduction à la moxibustion japonaise Springer Science & Business Media. 2012 L’ouvrage décrit de manière simple et pratique les techniques de moxibustion japonaise, avec un accent particulier sur celle de l’Okyu. Il aborde également la moxibustion du Fukaya Isaburo, encore assez méconnue. Étape par étape, le lecteur peut immédiatement … Lire plus…Livres : Nomenclature sino-française des expressions et termes fondamentaux de la Médecine Chinoise Une introduction à la moxibustion japonaise Springer Science & Business Media. 2012 L'ouvrage décrit de manière simple et pratique les techniques de moxibustion japonaise, avec un accent particulier sur celle de l’Okyu. Il aborde également la moxibustion du Fukaya Isaburo, encore assez méconnue. Étape par étape, le lecteur peut immédiatement mettre en pratique ces techniques pour traiter de nombreuses maladies et différents symptômes. Il constitue également un excellent outil pour les cliniciens qui exercent la médecine énergétique et est illustré d’une cinquantaine de croquis et photos. Il s’adresse aux médecins acupuncteurs, kinésithérapeutes, ostéopathes, massothérapeutes qu’il soient professionnels ou étudiants. Guide d'acupuncture et de moxibustion Ce Guide d'Acupuncture et de Moxibustion, réunit les données de base de l'apprentissage et de la pratique courante de cette science plusieurs fois millénaire. En outre, tenant compte des découvertes les plus récentes sur la question, il apporte à chaque praticien les moyens d'atteindre la meilleure efficacité, aussi bien dans la compréhension que dans la pratique de l'Acupuncture. Réalisé par des acupuncteurs, à partir de l'enseignement qu'ils ont dispensé durant leurs missions pour Acupuncture Sans Frontières-Suisse (ASF-Suisse), cet ouvrage, fruit de leur expérience, peut ainsi être mis à la disposition de ceux qui désirent accéder à cet art thérapeutique. Les bénéfices de la vente de ce livre sont intégralement versés à ASF-Suisse dont l'objectif est de contribuer, en matière de soins, à une meilleure autonomie des populations défavorisées, en leur apportant bénévolement un enseignement et une pratique thérapeutique en Acupuncture. Nomenclature sino-française des expressions et termes fondamentaux de la Médecine Chinoise Desclée De Brouwer. 2017 La Médecine Chinoise est utilisée de plus en plus, et partout dans le monde. Pourtant de nombreuses difficultés culturelles et linguistiques freinent les échanges internationaux à son sujet. Comme la Médecine Chinoise va du général au particulier, elle est difficilement expliquée avec un langage moderne analytique qui crée des séparations, et il existe un réel problème dans les traductions de sa terminologie. Depuis sa fondation en 2003, la WFCMS (World Federation of Chinese Medicine Societies) travaille à l'élaboration d'un standard international de la terminologie de la Médecine Chinoise en langue chinoise et en langues étrangères. Cette nomenclature sino-française se présente comme la synthèse des avis de plus de soixante spécialistes pour constituer un langage commun, en gardant le sens le plus conforme à la pensée chinoise de chacun de ses termes. Elle fait désormais office de norme académique pour faciliter la communication et proposer les traductions d'expressions, de citations des Classiques et de termes fondamentaux de la Médecine Chinoise qui puissent être acceptées et utilisées par tous. Le travail du comité de rédaction de cette nomenclature a été récompensé en 2010 par le prix de la "meilleure contribution internationale à la Médecine Chinoise" décerné par la WFCMS. Ma bible des médecines énergétiques Éditions Leduc.s. 2018 Harmoniser l'énergie vitale pour préserver bien-être physique et mental L'énergie vitale ne circule plus ? L'harmonie est rompue, les maladies apparaissent à court ou à long terme. Grâce à ce livre, décelez vos blocages énergétiques et stimulez vos capacités d'autoguérison. Dans cette bible : - Médecines chinoise, ayurvédique, tibétaine... les secrets des médecines traditionnelles. - Acupuncture, EFT, qi gong, massages, reiki, lithothérapie, do-in, réflexologie, Fleurs de Bach... toutes les pratiques qui visent à harmoniser l'énergie vitale pour préserver bien-être physique et moral. - Des exercices spécifiques pour combattre 85 troubles de la santé tels que l'anxiété, l'arthrose, l'asthme, les ballonnements, l'insomnie, la maladie de Parkinson... - Une semaine énergétique sur mesure : menus, exercices physiques, massages, tisanes... Traité d'acupuncture et de moxibustion Le Zhen Jiu Zi Sheng Jing est un traité d'acupuncture et de moxibustion du XIIème siècle, longtemps méconnu, dont les docteurs Gérard Guillaume et Mach-Chieu proposent ici la première traduction en Occident. Le choix des points d'acupuncture à partir du symptôme fait toute l'originalité de ce traité. Nombre de prescriptions rapportées dans cet ouvrage appartiennent à des livres aujourd'hui disparus : Qi Yu Fang, Lu Xi Qi Yu Fang, Zi Dao Dan Fang, etc., ou dont les rééditions ont été adaptées : Ming Tang Shang Xia Jing, Su Wen Zhu Jian Jing Fang, Wai Tai Mi Yao... Cette référence aux ouvrages antérieurs à l'époque Song nous offre une idée assez précise de la pratique de l'acupuncture et de la moxibustion avant cette dynastie. L'auteur, Wang Zhi Zhong, ne se contente pas de citer ces ouvrages, il les assortit de ses propres commentaires, récusant des données qu'il ne juge pas conformes à son expérience et qu'il explicite. En effet, l'auteur fait largement état de sa propre expérience clinique, il définit les limites de l'acupuncture et insiste sur la nécessité de prescriptions conjointes de remèdes. Constitué de sept rouleaux, dont cinq sont consacrés à la pathologie, ce traité nous fait parcourir toute la pathologie : générale, digestive, cardiovasculaire, neurologique, pulmonaire, ORL, rhumatismale, maladies de la femme... Du symptôme au point, telle est la démarche du médecin acupuncteur dans son cabinet, celle-ci sera facilitée par cet ouvrage classique qui se révélera rapidement un outil indispensable. 35 pages d'illustrations en bichromie. Guide d'acupuncture Elsevier Health Sciences. 2018 Pour trouver les points d’acupuncture en un clin d’œil et les traiter efficacement. Le Guide d’acupuncture est un manuel clair et structuré orienté sur la pratique. Il indique tous les points d’acupuncture grâce à une iconographie de grande qualité qui rassemble plus de 1000 dessins et photographies. Étudiants et praticiens sont guidés pas à pas de l’anatomie de surface à la localisation précise des points d’acupuncture. Très visuel, cet ouvrage propose : • une présentation didactique de chaque point sur une seule page ; • les 361 points méridiens et les 67 points hors méridiens ; • les schémas d’anatomie de tous les points importants ; • la mise en relation des points d’acupuncture et l’indication des aspects régionaux ; • les techniques de stimulation pour approfondir le traitement. Guide d'acupuncture et de moxibustion Ce Guide d'Acupuncture et de Moxibustion, réunit les données de base de l'apprentissage et de la pratique courante de cette science plusieurs fois millénaire. En outre, tenant compte des découvertes les plus récentes sur la question, il apporte à chaque praticien les moyens d'atteindre la meilleure efficacité, aussi bien dans la compréhension que dans la pratique de l'Acupuncture. Réalisé par des acupuncteurs, à partir de l'enseignement qu'ils ont dispensé durant leurs missions pour Acupuncture Sans Frontières-Suisse (ASF-Suisse), cet ouvrage, fruit de leur expérience, peut ainsi être mis à la disposition de ceux qui désirent accéder à cet art thérapeutique. Les bénéfices de la vente de ce livre sont intégralement versés à ASF-Suisse dont l'objectif est de contribuer, en matière de soins, à une meilleure autonomie des populations défavorisées, en leur apportant bénévolement un enseignement et une pratique thérapeutique en Acupuncture. Le Grand Livre des automassages chinois pour se soigner Éditions Leduc.s. 2016 Troubles digestifs, nervosité, insomnie... Le massage des points d'acupuncture pour soulager + de 70 pathologies Et si vous utilisiez vos mains pour vous soigner et apaiser les douleurs de votre corps et de votre esprit ? Laurent Turlin, praticien en médecine chinoise, vous dévoile les bases de la physiologie énergétique orientale. Dans ce livre, découvrez : - Comment et pourquoi utiliser les points énergétiques, ainsi que la méthode à appliquer. - Les points d'acupuncture, leurs propriétés ainsi que leur localisation anatomique, les éventuelles contre-indications et les principes de précaution à respecter. - Stress, fatigue, insomnie, inconforts digestifs, affections ORL, maux de tête, douleurs dorsales ou articulaires : plus de 70 pathologies et les auto-traitements spécifiques accessibles à tous. - Huiles essentielles, alimentation, plantes, moxibustion : les outils en plus. À chacun son automassage : femmes enceintes, seniors...
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