#oreye
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Sébastien Layral Lost Fair et Oreyes Huile et intervention du public sur toile, 250x400 et lobule gauche d artiste dans flacon de verre et d or encadré, 25,5x25,5
Art | France | Layral | acceuil
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Peacefully
It is quiet the lull oreye or darkestbefore the dawn but for me it is peacethat never leaves that brings thisone long pause it’s just herelike air orlight or windhardly ever noticed until someone gets in its way then the thing that’s standing there gets its attention but back to peace I’ll go for that’s wherehome is now
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Contact Lens Clinic In Ghatkopar - Mumbai Eye Care
Contact Lens Clinic In Ghatkopar
Contact lenses are safe means of correcting vision for those who do not wish to wear glasses. Along with their cosmetic value, there are a few eye conditions where glasses are not enough to correct your vision, contact lenses are needed to provide good vision. These conditions include irregular corneal conditions such as corneal scars, keratoconus or corneal bulging and dry eye conditions such as Stevens Johnson Syndrome, Our center, Mumbai Eye Care, at Ghatkopar, has a wide range of contact lenses for both cosemtic and therapeutic purpose.
Our specialty contact lens clinic offers following contact lenses.
Soft lenses
Soft toric contact lenses
RGP oreye specialist in ghatkopar west rigid gas permeable lenses
Rose K contact lenses
Miniscleral and scleral contact lenses
Boston scleral contact lenses or PROSE Lenses
Hybrid contact lenses
To schedule an appointment with our experts for contact lens please call us at +91 8451045935, +91-8451045934 or visit our clinic at Address.
Mumbai Eye Care has a well-equipped state of the art Contact Lens Clinic offering an extensive range of Contact Lenses in Ghatkopar, Mumbai.
Click here to Know more :
https://www.mumbaieyecare.com/contact-lens-clinic-in-ghatkopar.html
TAG : eye specialist in ghatkopar west, contact lens clinic in ghatkopar, eye specialist in kurla west,
#Dr. Jatin Ashar#contact lens clinic in ghatkopar#Best eye specialist in Ghatkopar#eye clinic in ghatkopar east
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Cher journal,
Je t'écris d'Oreye (bon pied bon oeil) où nous avons pris nos douches dans l'obscurité totale, le courant ayant été coupé dans tous le village sans que nous puissions savoir quand il serait rétabli. Sans doute encore un coup d'éclat d'une de ces fameuses milices flamandes qui sabotent les transfo dans les village wallons en représailles pour des actions similaires adverses. Mais n'allons pas trop vite et reprenons depuis le début.
Reprenons depuis avant le début d.ailleurs puisque nous souhaitons évoquer quelques sujets qui ont été passés sous silence hier. Il faut dire, il se passe tellement de choses ici que remettre le tiercé dans l'ordre est toujours une gageure. Mais notre démarche de transparence nous impose une exigence de rigueur.
Déjà, le débat des "8 jours". C'est au restaurant qu'il a éclaté : Julien assure que "8 jours" en français signifie "une semaine", soit donc 7 jours, au même titre que "quinze jours" signifie "deux semaines" et donc en réalité 14 jours. Donc si on se donne rendez-vous dans 8 jours, c'est donc bien dans 7 jours qu'il convient de se présenter au rendez-vous. Thomas quant à lui est convaincu que si cette logique s'applique à l'expression "15 jours", il est incorrect de l'appliquer à l'expression "8 jours". Donc si on a rendez-vous dans 8 jours on se présente au rendez-vous dans 8 jours. Cher journal, le débat est ouvert.
Ensuite, un autre événement d'une importance capitale : la rencontre sur une station service près des chemins de contrebandiers, ces caractéristiques petites routes qui traversent la frontière hollando-belge, d'un jeune homme qui nous demande dans un anglais approximatif mais avec un accent français parfait où est "le festival". On lui répond en français qu'on a aucune idée de ce dont il parle, pour découvrir qu'il ne parle pas un mot de français. On le félicite pour son excellent accent français en anglais, en on poursuit notre route.
C'est l'occasion pour nous de s'émerveiller, alors que nous nous enfonçons en territoire belge, du nombre de gens qui parlent un français presque limpide dans un pays étranger. La francophonie a donc de beaux jours devant elle !
Un saut en avant dans le temps nous ramène là où nous t'avions laissé hier, a notre arrivée à l'hôtel à Visé.
La dame qui nous accueille commence par s'étonner que nous n'ayons réservé qu'une chambre, mais bon, c'est une chambre double, pas d'inquiétude. Ensuite, elle nous informe que notre colis de ravitaillement (2 t-shirts secs et des boissons de récup) n'est pas arrivé, et que la poste ne livrant pas le samedi, on peut s'assoir dessus. Zut !
Bon, peu importe, le plus urgent c'est la douche. On file prendre possession de la chambre et on passe chacun son tour à la douche. Julien en profite pour s'exercer a son excellente imitation du cor de chasse, et s'étonne de l'excellente acoustique de la salle de bains, bien meilleure que celle de la chambre !
Une fois tout ça réglé, on se trouve un resto pour le soir, qu'on réserve, et on se met en route pour une promenade. Marcher un peu nous fera le plus grand bien.
On traverse la Meuse (toujours aussi imposante et majestueuse), et on erre de rue en rue. C'est une bonne façon de découvrir une ville. Sauf si par hasard on tombe sur des quartiers moches. Mais là ça va. On s'amuse de retrouver sur de nombreuses maisons des représentations de gallinacés divers. On en trouvera pas mal le long de la Meuse aussi (les gallinacés eux-mêmes, pas leurs représentations). Des oies plus exactement. On passe devant une enseigne "Cercle Paroissial", flanqué de deux gros logos "Jupiler". Comme quoi, quoi qu'on en dise, la spiritualité n'est pas forcément exclusive du goût pour la gastronomie. Au bout d'un quai on atterrit à la Capitainerie, un petit bistro très sympa où paraît-il les cyclistes sont très mal reçus. On constate avec plaisir que si les règles en termes de monétique sont très strictes (pas de paiement par carte en dessous de 15€), elles ne résistent pas plus de quelques secondes au sens du compromis de la jeune serveuse.
Il commence à se faire tard dans l'après-midi, et nous nous dirigeons vers l'hôtel. Le restaurant du soir étant sur le chemin, nous essayons de le trouver. Ce n'est qu'après plusieurs passages devant un bar à l'adresse indiquée que nous comprenons que le restaurant est temporairement installé sous un barnum dans l'arrière-cour d'un bistro. Voilà qui pique notre curiosité, et notre appétit. Un saut à l'hôtel pour se poser quelques minutes, et nous voilà repartis pour le resto.
Un type très sympa nous fait rentrer, et une dame (qu'un commentaire dithyrambique qualifiait de "crémeuse", on ne sait pas si c'est considéré comme un compliment anodin ici) nous installe.
On prend notre commande de boissons. Évidemment on commande sans alcool. Julien commande une eau pétillante, et Thomas, après avoir fait répéter trois fois le serveur, incrédule mais curieux, commande un gin-tonic sans alcool (vous pouvez essayer mais ne vous étonnez pas de payer 10€ un verre de Schweppes).
On passe la commande et on se dit que c'est un bon endroit pour goûter la gastronomie locale. On commande des croquettes de fromage de Chimay en entrée, et un waterzooi en plat (Julien n'admettra qu'en sortant du restaurant que le waterzooi, ok, n'est pas vraiment une soupe à proprement parler). Ben c'��tait très bon. On ne prend pas de dessert parce qu'on a déjà bien mangé, et on sort. Le patron en sortant nous propose des digestifs offerts par la maison. La douleur d'avoir à refuser un cadeau de cette nature n'est atténuée que par le plaisir de raconter notre projet en long en large et en travers, et si possible en en rajoutant un peu ici ou là. Chic ! On se disait justement qu'on manquait d'occasions de parler de notre aventure avec nos hôtes !
On sort donc du resto frustrés mais heureux, et on va se mettre au lit pour une bonne nuit de sommeil réparateur.
Réveil à 7h, pleins d'enthousiasme. Nous allons découvrir le petit déjeuner. Plus frugal que celui de la veille, mais tant mieux, on a de la route encore et courir le ventre plein c'est toujours un peu délicat.
Le temps de se préparer et de boucler nos sacs, et nous sommes prêts à partir. Un coup d'oeil à la météo par la fenêtre nous indique que la sortie sera moins confort que celle de la veille. On descend et effectivement, c'est pas un temps radieux. Il fait assez bon finalement, et la pluie n'est pas trop dense, mais c'est surtout le vent qui fouette le visage et le pique de gouttes de pluie donnant ainsi une petite impression de grêle. Bref, il fait un temps pourri. D'ailleurs ce vent battant est un vent de sud-ouest, aussi appelé "saloperie de vent de face". Et les 7 premiers kilomètres sont en côte. On se dit qu'une fois en haut on aura plus qu'à descendre, et on attaque.
Sportivement ça se passe bien, les sensations sont bonnes malgré le vent et la côte et la pluie. Bon, on est pas bavards mais on trouve quand même que c'est très drôle de traverser le village de Fexhe-Slins, que faute d'une bonne connaissance du patois local on prononce "fesses et seins" (qui a dit que le sport de fond avait un effet régressif ?) ; on se réjouit aussi de traverser le village nommé Odeur, et on ne manque pas de faire une photo hilarante.
On cherche a faire un petit poème reliant les noms de villages rigolos qu'on a traversés (Visé, comme visé juste ; Odeur, comme l'argent n'a pas d'odeur ; ...) et on a pas le temps d'aboutir que déjà nous arrivons à Oreye. Dans d'excellentes dispositions, vous l'aurez deviné.
On avait une réservation dans un restaurant appelé Plum, que Julien persiste à prononcer Ploum, parce que c'est sans doute une référence à la traduction anglaise du mot prune. Il se trouve qu'apparemment non, mais ça reste quand même a éclaircir. La qualité de l'accueil qu'on nous réserve dans cet excellent petit restaurant familial (on aura été servis par la grand-mère, la mère et la fille !) n'a d'égal que le plaisir qu'on a a déguster ces plats traditionnels belges (les boulets liégeois sont délicieux bien qu'etouffe chrétien, il faudra bien qu'on pense à ne pas en manger au petit déjeuner demain matin avant de partir pour la troisième étape).
En parlant de petit déjeuner d'ailleurs, on constate qu'il n'y a rien d'ouvert ni ce soir ni demain matin pour manger à Oreye. Enfin, pas tout à fait rien : un minuscule établissement qui bricole des pizzas (à emporter uniquement). Voilà qui fera parfaitement office de dîner et de petit déjeuner !
On sort du restaurant et on marche une grosse demi-heure (toujours sous la pluie), en découvrant la grosse raffinerie de betterave à sucre qui s'impose au milieu du village comme l'église au milieu de la figure. La raffinerie de sucre produit une odeur acre et capiteuse qu'on qualifierait mal de raffinée, mais c'est encore un sujet à creuser.
On arrive au gîte, très sympa. Apparemment il y a dans le corps de ferme ou a côté des studios d'enregistrement et toute la maison est décorée de petits accessoires de musique. Après tout, pourquoi pas. Y'en a bien qui exposent des têtes de cerfs et des fusils de chasse.
Thomas se jette dans la salle de bains pour prendre sa douche le premier et profiter d'un moment de détente au chaud et au propre dans des conditions idéales. La suite, vous la connaissez déjà : le sabotage du transfo du village par la résistance flamande.
On termine de prendre les douches et on avisera. Bref, encore une journée bien chargée.
On se retrouve demain, cher journal, pour de nouvelles aventures !
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I,MS OREYE IMMSORRRYIMSORRURUY I'M SORRYY ITS TOO LOUD TOO LOUUDD TOO LOUUDDDD
ICNAT GETT ITTOUT I CANT LET IT OUT I NEED TO MAKE IT STOPPLEASE MAKE TI STTOP LOUD LOUD OT HURTST ITHURTTSS IT'S INEVITABLE NO NO. OMNIO NOO
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There’s this episode of house where a girl (among other symptoms) is acting really irrationally and impulsively and it’s because she has a huge parasitic worm absorbing all her vitamins and screwing up her brain function. I have a major fear of having parasites but I think it’d be so funny to find out that my irrational behavior was caused by a worm
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CEnSURE Quand l’espoir s’écroule sans hâte. Il roule, noir, lourd, course délicate. Semant les palabres des marchands assassins. Il nous caresse le corps, corrompu, asservi, abusé. Carcasse crasse accrochée aux parvis armés. Nous apprendrons à perdre et au matin. Sans espoir, sans peur et libre. De nous fendre en deux, plus en vain : en équilibre. #oreyes #essai #ecriture #video #action #film #art #artist #layral #fendre #libre #ensemble (à Châtelguyon, Auvergne, France) https://www.instagram.com/p/BnlAVfdBOI1/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1wmuz7a0l05af
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hi i don’t rly want to talk abt this in detail or publicly, but i just wanna warn everyone that you may receive anon hate for reblogging the posts regarding tuser li/zzo, and i’m not sure if they are from her herself, or from tuser ad/oreyou (also zacef/rons and ale/kssander - i believe these all are 2-3 separate main accounts), or other people entirely, but i would recommend turning off anon/asks or blocking them to prevent this. please be safe and take care everyone.
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Monday 14 May 1838
6 50
12 55
fine but dull morning F52° at 8 am all ready and our leisurely comfortable breakfast (café au lait) over before 9 – off from the hotel de l’Europe St. Troud [Sint-Truiden] (very comfortable) at 9 27 the grande place into which our rooms had looked, large and good – and 2 large churches and a good town, but the worst built of all the bourgs we have yet passed thro’ – all along from Antwerp open unclosed well cultivated country –young stripling poplars border the road today – à la poste at Orey [Oreye] a mere village at 10 40 – the axle strap of the off-fore wheel loose – both nuts lost – sent for the blacksmith and detained ¾ hour for a botched job – I went to the shop and stood over him myself – did not ask him what he charged but gave 1/50 saying one fr. for his master ./50 for himself – he seemed mal content but what I had given was too nearly right to be found fault with – very dusty today – even worse than yesterday – at 1 5 in ¼ hour with sabot beautiful descent upon the faubourg de Liège – thro’ gardens and orchards – alight at 1 40 at the Pavillon Anglais a very good hotel in the Place d’armes before the revolution [pl.] St. Lambert, having passed thro’ the Palace court (old palace – now courts of Justice etc. – the arcades or cloisters lined with little shops) – Had the master of the hotel, M. Charles Mathioli, terms agreed – prix fixe – 3 beds at 2/. = 6/, + salon 3/. + Georges’ bed 1/. = apartment 10/. per day servants breakfast and dinner and supper + 1 bottle wine for the 2 = 8/. including one bottle of wine at 2/. a day – our own breakfast 1/50 each and dinner en particulier 4/. each + wine –
the whole = 10 + 8 + 11 =29fr. a day exclusive of our own wine and wax lights – then mentioned my wish to go down into the mines – Mr. M. would get me a permission – the being allowed to enter Maastricht he seemed to think hopeless – the permission almost always refused – all this settled, and our things arranged A- and I went out at 2 ¾ - sauntered about in the Palace court and marché and then down the rue Chervoye (par hazard) to the river (Meuse) charmed with the view – strolled along to the université – asked for the botanic garden – admitted by the woman concierge, and there (in the garden and serres and conservatory) from 3 35 to 6 10 – very nice garden not large (perhaps about as large as that at Louvain) but very nicely laid out and kept – the garden borders the road or sort of quai along the river; and along this side of the garden a fine line of Italian (pyramidal) poplars about 3 ½ yards apart with 2 Chinese arbour vitae about 5 yards high, between each 2 poplars – of which the effect very good –
Sorbus aria, aria Theophrastus
‘S. Spirae, Pers.’ out in the garden against under the poplar arbour vitae hedge above named – rather mountain ash like leaf, and flower rather like that of Hawthorn – low – pretty –
S. Americana, like a larger leaved mountain ash, and kerria japonica (common corchorus) all under the poplar and arbour vitae hedge
Symphoria racemosa, snowberry bush.
Saxifraga crassifolia the great pink flowering round thick large leaved plant growing near the 2 nameless Throps’ American bushes in the bottom near the rustic chair in the meer walk –
Vanilla planifolia or aromatic has fruited twice, during the last 2 years producing vanilla as good as that of common-cycas revolute – Cyperus alternifolius, and Cyprus papyrus the papyrus reed –
is the [?] powdered that makes the Succotrine aloes of the shops – then walked sometime among the flower beds, then into the serre of the orchids, fern, and other small plant tribes – here we had the other gardener – only 2 gardeners paid by government – the rest (except the head gardener who is logé) labourers paid by the administrateurs 25 sols a day – the 2 gardeners paid by government have only 28 sols a day – a labourers’ wage here 25 sols a day if hired by the year – if only employed during the summer should have 30 or 32 sols a day – we sat down for 20 minutes against the conservatory – then walked thro’ it – then stood in the entrance passage reading over the notice respecting the lectures by what professors etc. etc.
Morren professor botany
Dumont A.H. professor extraordinaire géologie
J.A.S. Devans ingénieur en chef des mines.
P.J. Collardin imprimeur de l’université.
De Theux ministre de l’Intérieur et des affaires étrangères.
It was 6 ¼ before we got right off from the university – determined to go again to see the cabinet of natural history –returned as we had come – inquired and went direct chez Colalrdin – bought 2 little plans of Liège – looked at 2 works on the history of the province of Liège – came in at 6 ¾ - changed my dress – so did A- dinner at 7 ¼ - got the permission to go down into the coal pit Sainte Marguerite – had M. Mathioli up – a company of German players here – performed last night and once before and will perform on Wednesday – an exposition of pictures at the musée at 4pm tomorrow to go with Madame M- M. M-‘s wife, because he a proprietor and tomorrow is a private day – will take ½ hour to drive to the pit – must be off at 7 ½ am – to go down (my own idea) each of us in a blue blouse and casquette – I shall wear my own travelling cap I had in Spain that Lady S. de R- gave me – wrote all the above of today till 10 55 pm fine day but little or no sun – F59° now at 11 25 pm
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Lost Fair et Oreyes Huile et intervention du public sur toile, 250x400 et lobule gauche d artiste dans flacon de verre et d or encadré, 25,5x25,5
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I haven't looked that much into recruitment and draft dodging since Handsome Hussars is set after everyone has already been in the army for a bit because I am opposed to the fresh newbie trope for infodumping for the audience, but Fighting for Napoleon - French Soldiers' Letters 1799-1815 covers it a bit.
"Please don't send me to fight, I am an amazing snitch!"
Jean Pirard [he used the third-person], conscript of year 1811, of Hodeige, reminds you that he drew the number 54 at his canton's lottery. Noticing different attempts to escape conscription, he has already denounced: 1) a conscript from the borough of Oreye, who claimed to be insane. I proved that he was sane. 2) a conscript from the borough of Hollogne sur Geer, who claimed to have eye problem. I managed to demonstrate that the problem was faked. 3) Someone named Ory, from Grenville, who tried to avoid his duty under false pretences. He was discovered by the recruitment committee, thanks to the tip I gave.
I'm curious how he proved someone sane.
"Fuck Simon Collée in particular"
The men who left for the army sometimes held a grudge against those who had managed to escape military service. It was not uncommon for them to express their anger or even take more radical measures. For example, a group of soldiers on way their to the 3rd Cuirassiers wrote this anonymous letter to the prefect of the Ourthe department soon after having left their hometown:
Daix [Aachen, Germany] 21 February 1813
To the prefect. We want to let you know that Simon Collée, a year 1811 conscript from the borough of Vivegnis [Belgium], canton of Glons, Ourthe department, is faking a head disability. It is not fair and we could have pretended to have the same thing. Three weeks after being discharged, he will be healed. He is a refractory conscript who wants to cheat the Emperor and his friends. We took the initiative, sir, to write on our way [to the army] to tell you that we are not happy to see him being discharged. You are pleasing one man but you are upsetting all the conscripts from Glons. We should all serve.
One cannot be favoured more than another. Once we are in Mâance [Mainz], I will write to my father to know if he [Simon Collée] has left for the army. Since you do more for him than for the others, we are determined to get the hell out [foutre le camp, an expletive] and join the Russians once we are in Russia.
Beware, sir. All of us salute you, prefect baron etc... etc. . . etc ... [here, the conscripts are making fun of his titles]. We have not signed this letter as we have too much to do.
Arsene probably considered avoiding serving in the army as he feels ambivalent about the Emperor, but he could not stand the thought of being called a coward and losing the war would be bad for the country.
"Look, I am a great snitch!" is probably what Louis the Asskisser tried.
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Court dismisses AMCON's ex-parte order on Peace Global Communications. as security men refuse to vacate premises
Court dismisses AMCON’s ex-parte order on Peace Global Communications. as security men refuse to vacate premises
An Abuja Federal High Court has vacated an ex-parte order against Peace Global Satellite Communication network and it’s Managing Director, Oreye Udo Livingstone in its entirety which was earlier obtained in March this year. The earlier interim ex-parte order which granted Benson Ibezim, the 3rd Claimant/ Respondent the receiver Manager appointed by AMCON which is the 1st Respondent to take…
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Re-liée, le scoutisme est une force; une fierté, oubliez tous vos préjuger. Nous sommes fort, libre, heureux, généreux, ... et encore bien plus, une famille. #Scoutisme #Partage #Reliee #HB008 #LO3 #Fierte #Remicourt #Oreye #Solidarite #Passion
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Panser - Dire - Fair Lost Fair et Oreyes Huile et intervention du public sur toile, 250x400 et mobile gauche d artiste dans flacon de verre et d or encadré, 25,5x25,5 #society #layral #artcontemporain #artwork #oreille #bale #basel #artfair #frame peinture #painting #oilpainting #artist #suisse https://www.instagram.com/p/BydE7CFoTRV/?igshid=1pl692jn52s3c
#society#layral#artcontemporain#artwork#oreille#bale#basel#artfair#frame#painting#oilpainting#artist#suisse
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Monday 14 May 1838: SH:7/ML/E/21/0098
6 50/..
12 55/..
fine but dull morning F52° at 8 am all ready and our leisurely comfortable breakfast (café au lait) over before 9 – off from the hotel de l’Europe St. Troud [Sint-Truiden] (very comfortable) at 9 27 the grande place into which our rooms had looked, large and good – and 2 large churches and a good town, but the worst built of all the bourgs we have yet passed thro’ – all along from Antwerp open unclosed well cultivated country –young stripling poplars border the road today – à la poste at Orey [Oreye] a mere village at 10 40 – the axle strap of the off-fore wheel loose – both nuts lost – sent for the blacksmith and detained ¾ hour for a botched job – I went to the shop and stood over him myself – did not ask him what he charged but gave 1/50 saying one fr. for his master ./50 for himself – he seemed mal content but what I had given was too nearly right to be found fault with – very dusty today – even worse than yesterday – at 1 5 in ¼ hour with sabot beautiful descent upon the faubourg de Liège – thro’ gardens and orchards – alight at 1 40 at the Pavillon Anglais a very good hotel in the Place d’armes before the revolution [pl.] St. Lambert, having passed thro’ the Palace court (old palace – now courts of Justice etc. – the arcades or cloisters lined with little shops) – Had the master of the hotel, M. Charles Mathioli, terms agreed – prix fixe – 3 beds at 2/. = 6/, + salon 3/. + Georges’ bed 1/. = apartment 10/. per day servants breakfast and dinner and supper + 1 bottle wine for the 2 = 8/. including one bottle of wine at 2/. a day – our own breakfast 1/50 each and dinner en particulier 4/. each + wine –
the whole = 10 + 8 + 11 =29fr. a day exclusive of our own wine and wax lights – then mentioned my wish to go down into the mines – Mr. M. would get me a permission – the being allowed to enter Maastricht he seemed to think hopeless – the permission almost always refused – all this settled, and our things arranged A- and I went out at 2 ¾ - sauntered about in the Palace court and marché and then down the rue Chervoye (par hazard) to the river (Meuse) charmed with the view – strolled along to the université – asked for the botanic garden – admitted by the woman concierge, and there (in the garden and serres and conservatory) from 3 35 to 6 10 – very nice garden not large (perhaps about as large as that at Louvain) but very nicely laid out and kept – the garden borders the road or sort of quai along the river; and along this side of the garden a fine line of Italian (pyramidal) poplars about 3 ½ yards apart with 2 Chinese arbour vitae about 5 yards high, between each 2 poplars – of which the effect very good –
Sorbus aria, aria Theophrastus
‘S. Spirae, Pers.’ out in the garden against under the poplar arbour vitae hedge above named – rather mountain ash like leaf, and flower rather like that of Hawthorn – low – pretty –
S. Americana, like a larger leaved mountain ash, and kerria japonica (common corchorus) all under the poplar and arbour vitae hedge
Symphoria racemosa, snowberry bush.
Saxifraga crassifolia the great pink flowering round thick large leaved plant growing near the 2 nameless Throps’ American bushes in the bottom near the rustic chair in the meer walk –
Vanilla planifolia or aromatic has fruited twice, during the last 2 years producing vanilla as good as that of common-cycas revolute – Cyperus alternifolius, and Cyprus papyrus the papyrus reed –
is the [?] powdered that makes the Succotrine aloes of the shops – then walked sometime among the flower beds, then into the serre of the orchids, fern, and other small plant tribes – here we had the other gardener – only 2 gardeners paid by government – the rest (except the head gardener who is logé) labourers paid by the administrateurs 25 sols a day – the 2 gardeners paid by government have only 28 sols a day – a labourers’ wage here 25 sols a day if hired by the year – if only employed during the summer should have 30 or 32 sols a day – we sat down for 20 minutes against the conservatory – then walked thro’ it – then stood in the entrance passage reading over the notice respecting the lectures by what professors etc. etc.
Morren professor botany
Dumont A.H. professor extraordinaire géologie
J.A.S. Devans ingénieur en chef des mines.
P.J. Collardin imprimeur de l’université.
De Theux ministre de l’Intérieur et des affaires étrangères.
It was 6 ¼ before we got right off from the university – determined to go again to see the cabinet of natural history –returned as we had come – inquired and went direct chez Colalrdin – bought 2 little plans of Liège – looked at 2 works on the history of the province of Liège – came in at 6 ¾ - changed my dress – so did A- dinner at 7 ¼ - got the permission to go down into the coal pit Sainte Marguerite – had M. Mathioli up – a company of German players here – performed last night and once before and will perform on Wednesday – an exposition of pictures at the musée at 4pm tomorrow to go with Madame M- M. M-‘s wife, because he a proprietor and tomorrow is a private day – will take ½ hour to drive to the pit – must be off at 7 ½ am – to go down (my own idea) each of us in a blue blouse and casquette – I shall wear my own travelling cap I had in Spain that Lady S. de R- gave me – wrote all the above of today till 10 55 pm fine day but little or no sun – F59° now at 11 25 pm
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Belgique : d’importantes sommes d’argent issues du trafic de drogue envoyées au Maroc
Belgique : d’importantes sommes d’argent issues du trafic de drogue envoyées au Maroc
En tout, 160 policiers ont mené 17 perquisitions concomitantes à Liège, Seraing, Oreye et à Ans dans le cadre d’une organisation criminelle suspectée active dans la culture de cannabis et dans le trafic de produits stupéfiants. La moisson a été bonne, et les enquêteurs soupçonnent que d’importantes sommes d’argent ont été envoyées au Maroc.
“Le dossier avait été initié, en mai 2018, par les…
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