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🙋🏻♂️ Saludos querido lector, el mensaje que les comparto el día de hoy es "clave" en todo cristiano porque es un pasaje de la Biblia que enseña acerca de la relación entre Jesús y aquellos que creen en Él. El pasaje dice lo siguiente: 📖 "Jesús les dijo: «𝒀𝒐 𝒔𝒐𝒚 𝒆𝒍 𝒑𝒂𝒏 𝒅𝒆 𝒗𝒊𝒅𝒂. 𝑬𝒍 𝒒𝒖𝒆 𝒂 𝒎𝒊́ 𝒗𝒊𝒆𝒏𝒆, 𝒏𝒖𝒏𝒄𝒂 𝒕𝒆𝒏𝒅𝒓𝒂́ 𝒉𝒂𝒎𝒃𝒓𝒆; 𝒚 𝒆𝒍 𝒒𝒖𝒆 𝒆𝒏 𝒎𝒊́ 𝒄𝒓𝒆𝒆, 𝒏𝒐 𝒕𝒆𝒏𝒅𝒓𝒂́ 𝒔𝒆𝒅 𝒋𝒂𝒎𝒂́𝒔. 𝑷𝒆𝒓𝒐 𝒚𝒐 𝒍𝒆𝒔 𝒉𝒆 𝒅𝒊𝒄𝒉𝒐 𝒒𝒖𝒆, 𝒂𝒖𝒏𝒒𝒖𝒆 𝒎𝒆 𝒉𝒂𝒏 𝒗𝒊𝒔𝒕𝒐, 𝒏𝒐 𝒄𝒓𝒆𝒆𝒏. 𝑻𝒐𝒅𝒐 𝒍𝒐 𝒒𝒖𝒆 𝒆𝒍 𝑷𝒂𝒅𝒓𝒆 𝒎𝒆 𝒅𝒂, 𝒗𝒆𝒏𝒅𝒓𝒂́ 𝒂 𝒎𝒊́; 𝒚 𝒂𝒍 𝒒𝒖𝒆 𝒂 𝒎𝒊́ 𝒗𝒊𝒆𝒏𝒆, 𝒏𝒐 𝒍𝒐 𝒆𝒄𝒉𝒐 𝒇𝒖𝒆𝒓𝒂." (𝐒𝐚𝐧 𝐉𝐮𝐚𝐧 6:35-37 𝐑𝐕𝐂) 🥖 En este pasaje, Jesús se presenta como el "pan de vida", es decir, como aquello que satisface el hambre espiritual del ser humano. Jesús está diciendo que aquellos que vienen a Él y creen en Él nunca tendrán hambre espiritual ni sed de justicia, porque Él es la fuente de vida eterna. 🥹 Además, Jesús explica que aquellos que vienen a Él y creen en Él son aquellos que el Padre le ha dado. Esto significa que la fe en Jesús es algo que viene de Dios, que es una obra del Espíritu Santo en el corazón de las personas. Y Jesús asegura que aquellos que vienen a Él, sin importar su pasado, su situación actual o su condición, no serán rechazados, sino que serán recibidos por Él. 💎 En resumen, S.Juan 6:35-37 nos enseña que Jesús es el pan de vida que satisface nuestra hambre espiritual, que la fe en Él es un regalo de Dios y que aquellos que vienen a Él no serán rechazados. ¡Dios te bendiga grandemente! 🙌🏻✨
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Les infestations de chenilles expliquées
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L'heure de pointe - Acadie | Ces temps-ci, les résidents du nord-ouest du Nouveau-Brunswick sont envahis par des chenilles. La chenille de la livrée des forêts est velue, noire, bleue et avec des trous de serrures blancs sur le dos. Mais pourquoi sont-elles si nombreuses?
Ohdio
Publié le 7 juin 2024
"Au microphone d’Amélie Gosselin, Gaétan Moreau, professeur d’écologie des insectes à l’Université de Moncton, explique les raisons de la prépondérance de ces chenilles et du fonctionnement des épidémies d’insectes."
[Image] Le nord-ouest du Nouveau-Brunswick est touché par une infestation de chenilles.PHOTO : Gracieuseté/Pénélope Cormier
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La traduction et l'intelligence artificielle
En traduction, l’enjeu le plus important aujourd’hui est sans aucun doute l’intelligence artificielle. En effet, depuis plusieurs années se développent des traducteurs opérés par l’IA qui viennent semer le doute quant à l’avenir du domaine de la traduction. C’est un enjeu considérable et il serait faux de croire que le futur du domaine ne sera pas transformé par cette nouvelle technologie. Et même si de nombreuses personnes croient que l’intelligence artificielle remplacera les traducteurs et les traductrices dans un avenir rapproché, il existe toutefois quelques nuances.
Les outils de traduction automatique existent depuis plusieurs années déjà, et sont grandement utilisés par les professionnels et professionnelles de la traduction. Bien entendu, ce ne sont pas des outils qui remplacent complètement ce personnel professionnel, mais ils sont plutôt utilisés pour faciliter la vie des traducteurs et traductrices et pour les faire gagner en rapidité. C’est d’ailleurs ce qu’explique le traducteur Joachim Lépine à l’émission de radio Moteur de recherche de Radio-Canada : les outils sont pratiques pour un premier jet ou pour répondent à des questions bien précises, mais ils ne sont pas là pour nous remplacer.
D’un autre côté, la qualité des textes ou des segments traduits n’est pas (encore, du moins) à la hauteur d’une traduction humaine. C’est ce qui nous prouve que le métier n’est donc pas prêt de disparaître, mais qu’il pourrait néanmoins être appelé à évoluer. Dans les prochaines années, par exemple, le domaine de la traduction pourrait accorder plus d’importance à la postédition pour répondre à la demande grandissante de l’IA. De plus, une sensibilisation faite par les traducteurs et traductrices sera nécessaire pour démontrer les points négatifs qu’entoure l’IA. Comme l’explique la présidente de l’OTTIAQ, Mme Betty Cohen, ce n’est pas seulement la qualité des textes qui doit être vérifiée avec une traduction automatique, mais également la sécurité des données. En faisant affaire avec du personnel professionnel, on évite toutes ces problématiques.
Bibliographie
COHEN, Betty. « IA : la traduction automatique comporte parfois des risques insoupçonnés », Les Affaires, [En ligne], 5 mars 2024. https://www.lesaffaires.com/dossier/intelligence-d-affaires-au-service-de-vos-valeurs/ia-la-traduction-automatique-comporte-des-risques-parfois-insoupconnes/647853 (Consulté le 14 avril 2024).
RADIO-CANADA. « L’intelligence artificielle va-t-elle révolutionner ou ruiner la traduction », Moteur de recherche, [En ligne], 11 avril 2024. https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/moteur-de-recherche/segments/entrevue/491634/traduction-intelligence-artificiel-chat-gpt-deepl-avenir (14 avril 2024).
Image dictionnaire : https://unsplash.com/fr/photos/page-dindex-du-dictionnaire-focus-ywqa9IZB-dU
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Désactivez le stress : maîtrisez les notifications
Les notifications, ces petites alertes incessantes sur nos téléphones intelligents, tablettes et ordinateurs, peuvent rapidement devenir une source de stress et de distraction. En prenant le contrôle, vous pouvez réduire le stress et améliorer votre bien-être. Comment ? Désactivez les notifications non essentielles et planifiez des moments de vérification pour reprendre le contrôle de votre temps et de votre attention.
Le règne des notifications
« Aux États-Unis, un téléphone portable recevait en moyenne 46 notifications par jour en 2019, selon le site d’information spécialisé Business of Apps » (1). Étant donné que chaque sonnerie nous détourne de notre concentration et nous incite à interrompre nos activités pour vérifier ce qui se passe, il est facile d’imaginer que cette profusion de notifications puisse avoir un impact négatif sur notre bien-être et nos interactions sociales.
Le petit ding addictif
« Les notifications font appel au système de gratification, de récompense dans le cerveau, donc à tous les circuits de la dopamine, qui sont reliés aux comportements addictifs » (2). Les machines à sous suscitent des comportements addictifs comparables, ce qui est très révélateur.
Le stress et la distraction
« Dans une étude publiée en 2015 dans le Journal of Computer-Mediated Communication, 40 personnes ont été observées pendant qu’elles faisaient des mots cachés sans avoir le droit d’interagir avec leur téléphone. Dès que l’appareil sonnait, leur pression sanguine et leur rythme cardiaque augmentaient, tandis que leur capacité de résoudre des problèmes diminuait » (3). Pour une qualité de vie améliorée, repensons notre rapport à ces distractions.
La stratégie antistress
Pour baisser le niveau d’anxiété généré par le chaos des notifications, reprenons le contrôle de nos appareils. Voici comment :
Identifiez les applications essentielles
Choisissez celles que vous utilisez régulièrement pour des tâches cruciales ou pour rester en contact avec des personnes importantes.
Désactivez les notifications non essentielles
Désactivez les notifications pour toutes les autres applications. Cela vous permettra de réduire le bruit et de vous concentrer sur vos priorités.
Planifiez des moments de vérification
Consultez vos notifications à des moments précis pour rester concentré ou profiter de moments de qualité avec vos proches.
Alors, prêt(e) à désactiver votre stress ?
Lemarchand, J. et Vilrobe, J. (2020, 17 avril). Pourquoi il faut résister à l’avalanche de notifications. Les Échos Start. https://start.lesechos.fr/innovations-startups/tech-futur/comment-les-notifications-nous-retournent-le-cerveau-1195857
Quelles conséquences les sonneries et les notifications ont-elles pour la santé ? (2019, 13 avril). Radio-Canada — Ohdio. https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/moteur-de-recherche/segments/entrevue/113960/notifications-sonneries-alertes-telephones-intelligents-reseaux-sociaux-sante-cerveau-dopamine
De Rosa, N. Notifications, prière de me déranger. Radio-Canada — Récits numériques. https://ici.radio-canada.ca/recit-numerique/519/mobile-telephone-notifications-effets-cerveau-alerte-psychologie
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SÉANCE #10 | Connectivité & Conversations
L’interaction avec des agents artificiels, tels que les agents conversationnels et les robots sociaux, amène à se poser des questions sur l’autonomie individuelle et la nature des relations sociales. Dans ce billet, je vais explorer les implications de cette interaction sur la société, en mettant particulièrement l’accent sur les notions d’autonomie et de déshumanisation.
Tout d’abord, la popularité des agents artificiels dans notre vie de tous les jours, qu’il s'agit de chatbots sur des plateformes en ligne, d’assistants virtuels sur nos téléphones portables ou de robots sociaux dans les lieux publics, représente des inventions révolutionnaires. En effet, les agents conversationnels « sont une branche de l’IA, ce qui est important, puisqu’il ne faut pas considérer l’IA comme un tout homogène. On peut facilement parler d'une trentaine de branches différentes dont certaines se subdivisent en sous-branches » (Chronique IA : Qu’est-ce Qu’un Agent Conversationnel, 2024 ). Je pense que ces agents sont d’une utilité précieuse d’aide et d’interaction, parfois très pratiques. D’un autre côté, leur présence suscite des inquiétudes quant à leur impact sur nos interactions sociales et notre bien-être psychologique.
Dans une société de plus en plus technologiquement connectée, l’interaction avec des agents artificiels peut avoir des répercussions sur notre autonomie. Selon Velkovska et Relieu les chabots peuvent accuser la réception d’une requête d’un client, repérer le problème posé et rechercher la solution dans des bases de données. Personnellement, cela pousse les humains à perdre en capacité d’initiative et de décision autonome. Cette délégation de responsabilités peut conduire à une forme de dépendance et à une diminution de notre capacité à faire des choix de manière indépendante.
De plus, l’interaction avec des agents artificiels soulève des questions sur la déshumanisation des relations sociales. En substituant des interactions humaines par des interactions avec des machines, cela augmente le risque de perdre la dimension humaine et émotionnelle de nos relations. Les agents artificiels peuvent être efficaces dans l’exécution de tâches spécifiques comme les « pointeurs ou les possibilités de mouvement permettant de désigner un objet dans l’environnement ou encore la capacité à détecter la présence de personnes, à reconnaître des émotions et à exprimer des simulacres émotionnels » ( Velkovska & Relieu, s. d.). Par contre, ils ne peuvent pas reproduire la richesse et la complexité des interactions humaines.
En conclusion, il est impératif d’adopter une approche innovante pour assimiler harmonieusement les agents artificiels au sein de notre société en constante évolution.
Bibliographie
Chronique IA : qu’est-ce qu’un agent conversationnel ? (s. d.). https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/panorama/segments/entrevue/474175/intelligence-artificielle-yvan-foster
Velkovska, J & Relieu, M. (s. d.). Pourquoi ethnographier les interactions avec les agents conversationnels ? Cairn.info. https://www.cairn.info/revue-reseaux-2020-2-page-9.htm
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L’actualité de l’IA avec Chloé Sondervorst
Mon Carnet, le podcast · {BONUS} – L’actualité de l’IA avec Chloé Sondervorst Échange avec Chloé Sondervorst pour revenir sur l’actualité récente de l’intelligence artificielle sur l’audio et sa participation à des discussions sur l’IA et l’audio lors des rendez-vous OHdio de Radio-Canada, abordant les avantages de l’IA en matière d’accessibilité, mais aussi les risques liés aux deepfakes et aux…
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Séance #14 - Disparités d'accès, d'utilisation et de compétences numériques
Chers lecteurs, dans notre ère numérique en constante évolution, il est impératif de reconnaître les inégalités criantes qui persistent dans l'accès aux médias numériques. Ces disparités, souvent enracinées dans des facteurs sociodémographiques, culturels et géographiques, façonnent de manière significative la façon dont les individus interagissent avec la technologie.
D’un côté, nous observons une fracture numérique persistante, où certains bénéficient d'une connectivité rapide, d'un équipement de pointe et de compétences numériques avancées, tandis que d'autres peinent à accéder ne serait-ce qu'aux outils les plus basiques. Cette asymétrie crée un fossé dans la maîtrise des médias numériques et perpétue une exclusion systémique, où certains sont laissés en marge de la société numérique émergente. De plus, les inégalités se manifestent également dans la participation en ligne, alimentant une dynamique où certaines voix sont amplifiées, tandis que d'autres sont étouffées. Les implications de cette disparité vont au-delà de la simple utilisation des médias numériques. Elles touchent la sphère mentale, avec des impacts notables sur la santé mentale des individus. La pression sociale, les comparaisons constantes et la surcharge d'informations contribuent à un environnement numérique souvent néfaste (Radio-Canada, D. Cliche, 2020).
Face à ces défis, il est crucial de reconnaître l'importance de la littératie numérique comme un levier essentiel pour combler ces écarts. Investir dans l'éducation numérique, en mettant l'accent sur l'acquisition de compétences numériques et la compréhension critique des médias, peut être une première étape cruciale vers une société plus équitable sur le plan numérique. Il est nécessaire de prendre en compte les pratiques de déconnexion volontaire comme des moyens légitimes de préserver la santé mentale dans un monde numérique en constante stimulation. Encourager des habitudes d'utilisation conscientes et responsables des médias numériques peut contribuer à atténuer les effets néfastes et à favoriser une cohabitation plus équilibrée avec la technologie (Commission d’accès à l’information du Québec)
En conclusion, la question des inégalités dans l'accès aux médias numériques va au-delà de la simple distribution des ressources technologiques. Elle concerne également la création d'un environnement numérique inclusif, respectueux des diversités sociodémographiques, culturelles et géographiques, tout en reconnaissant l'impact profond de cette dynamique sur la santé mentale individuelle et collective.
Radio-Canada. (2020, 26 mai). Les inégalités qui se cachent derrière la fracture numérique. https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/le-15-18/segments/entrevue/175386/acces-internet-haute-vitesse-education-numerique
Commission d’accès à l’information du Québec. Littératie numérique et éducation à l’information. https://www.cai.gouv.qc.ca/jeunes/materiel-scolaire-personnel-enseignant/litteratie-numerique-education-information/
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Séance #13 – Pour le meilleur et pour le pire...
Les médias sociaux permettent à des individus du monde entier de se rassembler, donnant ainsi naissance à des mouvements sociaux importants. Bien que la désinformation puisse parfois rendre ces mouvements néfastes pour la société, certains d’entre eux peuvent également être extrêmement bénéfiques.
Un exemple marquant de l’impact dévastateur des médias sociaux s’est manifesté le 6 janvier 2021, lorsque des milliers de partisans de Donald Trump ont pris d’assaut le Capitole de Washington (Lumni, 2022, paragr. 1). L’origine de cet événement remonte au 3 novembre 2020, lors de l’élection présidentielle américaine remportée par Joe Biden. À la suite de cette élection, de fausses informations et des théories du complot ont fait surface (Le Soleil, 2022, paragr. 7). Les réseaux sociaux ont créé un mouvement pro-Trump qui visait à lutter pour la présidence de Trump. Selon Trump et ses partisans, l’élection avait été truquée et volée : Joe Biden n’aurait jamais dû avoir la victoire (idem). C’est ainsi que des milliers de républicains contrôlés par les mensonges de Trump ont décidés d’attaquer le Capitole américain afin d’interrompre le vote de certification (Lumni, 2022, paragr. 1). Un événement qui n’aurait jamais eu lieu sans la présence des médias sociaux.
Cependant, les plateformes numériques ne mènent pas seulement à des situations catastrophiques comme celle-ci. En 2020, un mouvement d’envergure a circulé sur les plateformes : le Black Lives Matter, « qui vise à mettre fin au racisme anti-noir » (Oyeniran, 2020, paragr. 1). Bien que le mouvement soit né en 2013, c’est en 2020 qu’il a pris une ampleur internationale, à la suite de la mort injuste de George Floyd, un homme afro descendant tué par un policier blanc (Radio-Canada, 2021, paragr. 2). De milliers d’internautes se sont virtuellement mobilisés afin d’exposer au grand jour le racisme systémique subi par les personnes noires (idem). Cet événement n’est qu’un exemple parmi tant d’autres : chaque année, de nouveaux enjeux font surface et captent l’attention de tous sur les médias sociaux.
En conclusion, bien que les réseaux sociaux puissent contribuer à la désinformation et aux théories du complot, il est essentiel de reconnaître qu’ils sont des outils exceptionnels capables de changer le monde. Toutefois, il revient aux utilisateurs de les utiliser avec de bonnes intentions pour favoriser un impact positif sur la société.
Bibliographie
Le Soleil. (2022). L’assaut du Capitole, le « plus grand mouvement de l’Histoire américaine » pour Trump. https://www.lesoleil.com/2022/06/09/lassaut-du-capitole-le-plus-grand-mouvement-de-lhistoire-americaine-pour-trump-0661133a7c6494184fb675f039a1bcbc/
Lumni enseignement. (2022). L’attaque du Capitole à Washington. https://enseignants.lumni.fr/fiche-media/00000005030/l-attaque-du-capitole-a-washington.html
Oyeniran, C. (2020). Black Lives Matter-Canada. L’encyclopédie canadienne. https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/black-lives-matter-canada
Radio-Canada. (2021). Table ronde : L’année 2020 ou l’éveil du mouvement Black Lives Matter. https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/michel-le-samedi/segments/entrevue/339707/eveil-black-lives-matter-2020-table-ronde-retour
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Séance #12 – Les frontières floues entre l’humain et le surhumain…
Le documentaire « Un monde sans humain » de Philippe Borel soulève d’importantes questions par rapport à l’impact des avancées technologiques sur notre société. En effet, Borel expose les implications inquiétantes qu’occasionne notre dépendance à l’égard de la technologie. Une d’elles est l’avènement du transhumanisme.
Le transhumanisme est défini par « un ensemble de techniques et de réflexions visant à améliorer les capacités humaines, qu’elles soient physiques ou mentales, via un usage avancé de nanotechnologies et de biotechnologies » (Futura, 2023, paragr. 1). L’intelligence artificielle, les robots et les prothèses bioniques servent au transhumanisme.
À mon avis, les frontières entre l’humain et le surhumain deviennent très vagues. Bien que le tout a pour objectif d’améliorer les conditions de l’homme en permettant de « rendre la vue à une personne non voyante, de faire marcher un homme paralysé avec des prothèses animées via un professeur ou encore de stimuler le cerveau pour lutter contre la maladie de Parkinson », il est probable que cette technologie soit mal utilisée par certains (Futura, 2023, paragr. 2). En effet, je suis d’avis que cette technologie peut être très bénéfique pour les personnes handicapées ou simplement les personnes ayant une partie du corps qui fonctionne moins bien que la norme. Cependant, je crois que cette technologie peut devenir très dangereuse. Dans ce documentaire, il est mentionné que cette technologie pourrait améliorer les capacités du cerveau, et ainsi permettre de savoir ce qu’une personne d’un autre pays pense au moment présent. Cette technologie, selon moi, rendrait certains surhumains comparés au reste de la population. D’ailleurs, nous le savons tous, certains possédants plus de pouvoir l’utilisent excessivement à leur avantage et peuvent même en abuser. Le tout pourrait donc devenir très dangereux, selon moi. De ce fait, plus cette technologie évolue, plus je crains pour notre société.
Pour conclure, je suis d’accord d’utiliser le transhumanisme, « un mouvement intellectuel qui prône l’amélioration radicale des capacités de l’humain », afin d’aider les personnes handicapées ou les personnes en ayant besoin afin d’augmenter leurs capacités (Radio-Canada, 2021, paragr. 1). Cependant, je ne suis pas d’accord que les individus non handicapés, comme vous et moi, puissent en avoir recours. Je crois que plusieurs conséquences négatives majeures peuvent en découler. Ainsi, plusieurs questions me viennent en tête… Qu’allons-nous devenir ? Allons-nous tous devenir robotisés ? Allons-nous tous avoir recours à cette technologie plus tard ? Qu’allons-nous faire dans un monde bondé de surhumain ?
Bibliographie :
Futura, (2023). Transhumanisme : qu’est-ce que c’est ? https://www.futura-sciences.com/tech/definitions/technologie-transhumanisme-16985/
Radio-Canada, (2021). Transhumanisme : pousser les limites de l’être humain. https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/moteur-de-recherche/segments/chronique/376857/transhumanisme-science-technologie
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Complotisme : un podcast sur les scientifiques qui dérapent
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Le pharmacien québécois Olivier Bernard, également vulgarisateur scientifique, livre un décryptage passionnant de certaines dérives complotistes.
Par Chloé Bourquin Publié le 26 janvier 2024
Les secrets de « la Mafia médicale », troisième saison du podcast « Dérives », par Olivier Bernard, sur Radio-Canada OHdio.
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«Comme disait Voltaire, “Parfois vaut mieux fermer sa grand yeule et avoir l’air cave plutôt que l’ouvrir pour confirmer qu’on l’est vraiment”.»
Jean-Sébastien Girard, La soirée est (encore) jeune, Radio-Canada, 10 avril 2022.
(Merci à Nicolas Doire.)
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Séance #14 - Rendez-vous en ligne
Le mois dernier, je devais prendre rendez-vous pour une consultation médicale. J’ai alors, par réflexe, ouvert mon ordinateur et effectué une recherche pour trouver la clinique la plus près de moi qui offrait le service dont j’avais besoin. Or, à mon grand désarroi, les plateformes de prise de rendez-vous en ligne ne fonctionnaient pas sur les sites des centres médicaux que j’avais sélectionnées. Horreur ! Je devais appeler. J’ai ouvert mon téléphone portable et me suis rendue sur l’application Google Map, et recherché les noms des cliniques pour que je puisse avoir les numéros de téléphone. J’ai téléphoné et été mise en attente à de multiples reprises. Alors que j’attendais pendait ce qui me semblait une éternité, je m’activais à planifier ma semaine sur mon agenda Google, je répondais à mes textos…et mon conjoint jouait aux jeux vidéo – en ligne. Puis, j’ai descendu tous les saints du ciel en pensant à tout le temps que je perdais pour un rendez-vous qui aurait pu se prendre en quelques clics. Imaginez donc à quoi aurait ressemblé mon après-midi si je n’avais pas eu accès à Internet.
À l’ère des technologies d’informations et de communication (TIC), où l’accès et la maitrise d’Internet sont presque des prérequis, certaines personnes sont pourtant encore limitées dans leur utilisation de la toile. On parle alors de fracture numérique, qui « constitue l’inégale capacité à accéder, au sens propre du terme, aux ressources d’Internet à cause d’un accès physique limité ou de difficultés à contrôler les mécanismes de communication ou l’incapacité à comprendre ce qui est rapporté » (Venezkky, dans Rizza, 2006). Il s’agit non seulement d’un réel handicap pour ces personnes, étant donné la transition de plusieurs services publics qui sont désormais offerts uniquement en ligne, mais également d’un facteur d’exclusion sociale (Cliche, 2020).
Je remets alors en perspective le temps que je croyais avoir « perdu » pendant que j’écoutais la douce musique d’attente, entourée de toute la technologie possible pour me distraire et faciliter mes tâches. À l’instant même, j’écris ce billet sur mon MacBook, iPhone à mes côtés, avec une amie qui réalise un examen en ligne et une autre qui regarde des capsules vidéos pour son cours et je me dis qu’au final, je ne suis pas si mal prise.
Références :
Cliche, D. (2020). Les inégalités qui se cachent derrière la fracture numérique. Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/le-15-18/segments/entrevue/175386/acces-internet-haute-vitesse-education-numerique
Rizza, C. (2006). La fracture numérique, paradoxe de la génération Internet. Hermès, 2 (45), 25-32). https://www.cairn.info/revue-hermes-la-revue-2006-2-page-25.htm
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