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florencepare · 10 months
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Séance #13 – Quelques inquiétudes par rapport à l’ère numérique
Bonjour chers lecteurs, 
Comme vous le savez probablement, l’ère du numérique a énormément changé. Il y a eu des changements par rapport aux échanges en ligne, la désinformation, et autres. Ces derniers sont tous, en quelque sorte, des nouvelles perspectives occasionnant des défis.
En effet, l’un des défis majeurs est la polarisation croissante et la « brutalisation » des échanges en ligne. Bien que ces plateformes de réseaux sociaux soient censées inciter le dialogue entre tous, elles permettent aussi la publication de commentaires haineux qui s’introduisent dans les conversations ou sous une publication quelconque. Ceci est devenu un problème assez majeur. Il en est même rendu que certains utilisateurs doivent filtrer les commentaires de leurs publications. De plus, les plateformes peuvent faire de même, puisque les plateformes peuvent « supprimer un contenu haineux qui leur serait signalé en moins de 24h » (Badouard, 2023, paragr. 1).
Dans cette même lancée, l’utilisation facile des plateformes occasionne un mouvement de désinformation et un phénomène de « post-vérité ». Ce qui est inquiétant dans tout cela, selon moi, est le fait que la diffusion rapide de fausses informations peut manipuler l’opinion publique. Le phénomène de désinformation est en fait « une fausse information qui vise délibérément à induire en erreur » (Gouvernement du Canada, 2023, paragr. 1). Ainsi, dans un contexte d’élection, l’intégrité de tous ne serait pas de mise, car tous peuvent avoir été influencés par de la désinformation. Une prise de décision éclairée pour la plupart d’une population, par rapport à n’importe quel sujet public, ne serait donc plus réaliste à cause de ces phénomènes inquiétants.
En conclusion, l’ère numérique peut être innovatrice sur plusieurs aspects. Cependant, il existe des risques dans certains cas. Ainsi, nous devrions rester prudents. Ne vous laissez pas affecter par des commentaires haineux ou une conversation brutale sur les réseaux sociaux. De plus, méfiez-vous de vos sources et assurez-vous de ne pas croire tout ce qui est écrit en ligne. Soyez critique !
Bibliographie :
Badouard, R. (2020). Les discours de haine en ligne. Esprit, Mai(5), 27. https://doi.org/10.3917/espri.2005.0027
Gouvernement du Canada. (2023, February 7). Desinformation enligne. Www.canada.ca. https://www.canada.ca/fr/campagne/desinformation-enligne.html
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florencepare · 10 months
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Séance #12 – Les frontières floues entre l’humain et le surhumain…
Le documentaire « Un monde sans humain » de Philippe Borel soulève d’importantes questions par rapport à l’impact des avancées technologiques sur notre société. En effet, Borel expose les implications inquiétantes qu’occasionne notre dépendance à l’égard de la technologie. Une d’elles est l’avènement du transhumanisme. 
Le transhumanisme est défini par « un ensemble de techniques et de réflexions visant à améliorer les capacités humaines, qu’elles soient physiques ou mentales, via un usage avancé de nanotechnologies et de biotechnologies » (Futura, 2023, paragr. 1). L’intelligence artificielle, les robots et les prothèses bioniques servent au transhumanisme. 
À mon avis, les frontières entre l’humain et le surhumain deviennent très vagues. Bien que le tout a pour objectif d’améliorer les conditions de l’homme en permettant de « rendre la vue à une personne non voyante, de faire marcher un homme paralysé avec des prothèses animées via un professeur ou encore de stimuler le cerveau pour lutter contre la maladie de Parkinson », il est probable que cette technologie soit mal utilisée par certains (Futura, 2023, paragr. 2). En effet, je suis d’avis que cette technologie peut être très bénéfique pour les personnes handicapées ou simplement les personnes ayant une partie du corps qui fonctionne moins bien que la norme. Cependant, je crois que cette technologie peut devenir très dangereuse. Dans ce documentaire, il est mentionné que cette technologie pourrait améliorer les capacités du cerveau, et ainsi permettre de savoir ce qu’une personne d’un autre pays pense au moment présent. Cette technologie, selon moi, rendrait certains surhumains comparés au reste de la population. D’ailleurs, nous le savons tous, certains possédants plus de pouvoir l’utilisent excessivement à leur avantage et peuvent même en abuser. Le tout pourrait donc devenir très dangereux, selon moi. De ce fait, plus cette technologie évolue, plus je crains pour notre société.
Pour conclure, je suis d’accord d’utiliser le transhumanisme, « un mouvement intellectuel qui prône l’amélioration radicale des capacités de l’humain », afin d’aider les personnes handicapées ou les personnes en ayant besoin afin d’augmenter leurs capacités (Radio-Canada, 2021, paragr. 1). Cependant, je ne suis pas d’accord que les individus non handicapés, comme vous et moi, puissent en avoir recours. Je crois que plusieurs conséquences négatives majeures peuvent en découler. Ainsi, plusieurs questions me viennent en tête… Qu’allons-nous devenir ? Allons-nous tous devenir robotisés ? Allons-nous tous avoir recours à cette technologie plus tard ? Qu’allons-nous faire dans un monde bondé de surhumain ? 
Bibliographie :
Futura, (2023). Transhumanisme : qu’est-ce que c’est ? https://www.futura-sciences.com/tech/definitions/technologie-transhumanisme-16985/
Radio-Canada, (2021). Transhumanisme : pousser les limites de l’être humain. https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/moteur-de-recherche/segments/chronique/376857/transhumanisme-science-technologie
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florencepare · 11 months
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Séance #09 – Les plateformes numériques qui permettent la diffusion de fausses nouvelles, de propagandes et de fausses informations…
Bonjour chers lecteurs, 
Les pratiques informationnelles en contexte numériques évoluent constamment. Cette ère numérique dont nous vivons actuellement provoque la convergence et l’hybridation des médias traditionnels et numériques. 
Effectivement, les médias changent constamment et s’adaptent à l’ère numérique. D’ailleurs, l’information est facilement diffusée grâce aux diverses plateformes numériques accessibles; que ce soit sur les réseaux sociaux, des podcasts, des vidéos diffusés sur internet ou autres. À mon avis, il arrive parfois d’avoir trop d’information sur les plateformes. Il arrive aussi que certaines se contredisent, certaines ont l’air de faire de la propagande et d’autres sont des fausses nouvelles. Cependant, la curation numérique est un processus crucial à avoir sur les plateformes. La curation numérique « consiste à faire le tri dans un volume important d’informations sur internet. Les informations sont ciblées, organisées et reparties selon un thème spécifique » (E-Marketing, 2023, paragr. 3). Il est primordial, à mon avis, d’avoir un curateur afin de trier l’information sur les multiples plateformes. Celui-ci peut aider à diminuer les chances d’avoir de la propagande, de fausses nouvelles, de la fausse information et des mouvements complotistes. Effectivement, il est difficile de contrôler le tout à la perfection. Cependant, afin de ne pas tomber dans ces pièges, il faut toujours diversifier ses sources lorsque nous consultons des sites internet. Assurément, nous pouvons valider ou invalider l’information publiée en allant consulter un autre site internet. De plus, il faut garder une pensée critique afin de ne pas être naïf et croire tout ce que nous lisons sur internet. Ainsi, en faisant cela, nous nous assurons d’utiliser de l’information vérifiée. 
En conclusion, les pratiques informationnelles en contexte numérique nous ouvrent les portes à une énorme quantité d’informations, mais elles ne sont pas toujours véridiques. Ainsi, il faut toujours être vigilant afin de cerner la fausse information de celle qui est véridique. Vous, mes chers lecteurs, vous est-il déjà arrivé de croire une fausse nouvelle ?
Bibliographie : 
E-Marketing, (2023). Curation de contenu : définition et objectifs. https://www.e-marketing.fr/Thematique/search-1294/contenu-2230/Breves/Qu-est-ce-que-la-curation-de-contenu--384009.htm .
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florencepare · 11 months
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Séance # 07 - La culture participative: Est-ce une ère de citoyens-experts ou de désinformation rampante ?
Bonjour chers lecteurs, 
Cette semaine, nous abordons le sujet de la culture participative. Celle-ci pose quelques défis à notre société en changeant l’équilibre entre la démocratisation de l’expertise et la professionnalisation des pratiques amateures. Certes, cela peut être remarqué dans les domaines de la science, de la santé, de l’éducation et de la culture. 
En effet, la culture participative prend de plus en plus de place dans notre ère numérique. De nos jours, l’information est très accessible. Elle est d’ailleurs aussi très facile à publier et partager. Ceci est grâce au fait qu’ « avec les réseaux numériques, les jeunes deviennent acteurs des mondes connectés, multipliant les espaces de partage et les expériences culturelles participatives » (Les libraires, 2023). Les plateformes en lignes telles que les forums, les blogues, les réseaux sociaux et les commentaires de publications sont les responsables du tout. Les jeunes, en étant actifs sur ces plateformes, se permettent de publier de l’information, partager de l’information déjà publiée, et ce, sans même avoir validé la source. Ainsi, cela peut causer de la désinformation.
La désinformation est définie par de l’ « information erronée ou déformant la réalité, qui est transmise au moyen des médias de masse ou des médias sociaux, dans le but de manipuler l’opinion publique » (Office québécois de la langue française, 2019, paragr. 1). Ainsi, certains ne vérifient pas leurs sources en lisant une publication. L’auteur de cette dernière peut donc être confondu pour un expert, ou simplement un professionnel. À mon avis, cela cause une remise en question de l’autorité de l’expert, le véritable expert du sujet publié, puisque le lecteur n’aura pas cherché plus loin pour se renseigner auprès d’une publication d’un véritable expert. Vu que chacun peut exprimer son opinion, cela peut causer une perte de confiance envers les experts. Ainsi, les experts et professionnels dans leurs domaines pourraient donc se sentir opprimés par cette culture participative, et avec raison selon moi, car celle-ci occupe déjà une très grande place sur les réseaux numériques. 
En conclusion, la culture participative est omniprésente dans notre société et peut ainsi causer des défis liés à la désinformation et l’autorité des experts. En sachant cela, il ne reste qu’à trouver un équilibre entre les collaborateurs et les experts, sans que des informations non vérifiées soient transmises. Nous devons donc tous s’assurer de vérifier nos sources en tout temps.
Merci pour votre lecture et à la semaine prochaine !
Bibliographie :
Les libraires, (2023). Culture participative. https://www.leslibraires.ca/livres/culture-participative-mizuko-ito-9782915825732.html
Office québécois de la langue française, (2019). https://vitrinelinguistique.oqlf.gouv.qc.ca/fiche-gdt/fiche/17017257/desinformation
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florencepare · 1 year
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Séance #6 – Nos données personnelles sont-elles réellement privées ?
Bonjour chers lecteurs, 
Cette semaine, l’article portera sur les facettes et représentations actives sur les plateformes numériques. Effectivement, lorsque « nous réalisons une action sur Internet, nous laissons une « trace numérique » » (Adem k., 2023, paragr. 1). Que ce soient tes informations sur ton profil d’un média social, une publication, une recherche sur Internet, une publication d’un ami qui t’a identifié, une photo publiée, ce sont tous des exemples de traces laissées volontairement ou non en ligne. 
En fait, quand vient le sujet de traces laissées sur Internet, je pense tout de suite aux données personnelles qui peuvent être volées. Effectivement, nos données peuvent être volées sur Internet, sans que nous nous en rendions compte. D’ailleurs, même si nous essayons de protéger nos données personnelles en ligne du mieux que nous pouvons, il est très probable que celles-ci soient tout de même recueillies et vendues à des entreprises. C’est « pourquoi on s’en tient à exiger que les individus « consentent » à la collecte et à l’utilisation de leurs données personnelles » lorsqu’ils entrent sur un site Internet (Trudel, P., 2023, paragr. 7). Cependant, ce n’est pas toutes les entreprises qui respectent cela. Par exemple, « TikTok détient vos données même si vous n’avez jamais utilisé l’application » (TVA nouvelles, 2023, paragr. 2). Ainsi, nous avons beau vouloir nous protéger en ne publiant rien de personnel, nous allons tout de même donner de nos informations simplement en circulant sur Internet. Je crois sincèrement que le tout devient effrayant, car tout ce que nous faisons sur Internet peut être utilisé par une entreprise. Cependant, je crois qu’il faut toujours rester authentique à soi-même puisque, surtout de nos jours, il est facile de mettre des filtres sur nos photos et d’avoir l’air de quelqu’un que tu n’es pas réellement. Ainsi, tant qu’à publier des informations sur les réseaux sociaux ou sur Internet tout simplement, il vaut mieux d’être réellement soi-même, à mon avis.
Pour conclure, je crois qu’il est important de toujours montrer sa vraie personne sur Internet, c’est-à-dire d’être authentique à soi-même. De plus, il faut toujours rester prudent sur ce qu’on publie puisque nos données sont recueillies de tout et partout. En d’autres mots, il ne faut pas trop se dévoiler, car plus on dévoile d’informations, plus ont créé des données que les compagnies utilisent par la suite, sans avoir nécessairement notre consentement.
Bibliographie :
Adem, k., (2023). Trace numérique : comment maîtriser sa présence en ligne ?  CyberUniversity.            https://www.cyberuniversity.com/post/trace-numerique-comment-maitriser-sa-presence- en-ligne
Trudel, P., (2023). TikTok et nos ressources. Le Devoir. https://www.ledevoir.com/opinion/chroniques/784306/chronique-tiktok-et-nos-ressources?
TVA Nouvelles. (2023). TikTok détient vos données sans que n’ayez utilisé l’application. https://www.journaldemontreal.com/2023/03/17/tiktok-detient-vos-donnees-sans-que-nayez-utilise-lapplication-1#:~:text=Selon%20un%20rapport%20émis%20par,application%20soit%20supprimée%20ou%20non.
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florencepare · 1 year
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Séance #5 – Renforcir des liens « faibles » en ligne
Les réseaux sociaux, de nos jours, sont utilisés quotidiennement par une bonne partie de la population.  En effet, les formes de sociabilités ont évolué et changé pendant que les réseaux sociaux se sont développés. Plus ces derniers se sont développés, plus ils ont pris une place importante dans la vie de tous.
Les réseaux sociaux peuvent être utilisés entre autres pour des relations amicales, des relations amoureuses, lire les nouvelles et se divertir. En ce sens, les réseaux sociaux sont présents dans plusieurs aspects de nos vies afin de garder contact avec son entourage. À mon avis, la sociabilité des gens a énormément changé avec l’arrivée des réseaux sociaux, car ceux-ci peuvent profiter du fait qu’ils peuvent texter leurs amis pour prendre de leurs nouvelles au lieu de les voir et passer du temps de qualité avec eux. Ainsi, selon moi, la sociabilité dans un contexte en ligne a augmenté tandis que la sociabilité dans un contexte hors-ligne a diminué. Effectivement, nous pouvons rejoindre plus d’individus en étant en ligne puisqu’il est possible de texter plusieurs contacts en même temps. En ce sens, je pense que les médias sociaux ont augmenté la sociabilité des gens en ligne puisque le contact avec son entourage est plus facile et rapide qu’avant. D’ailleurs, le chercheur Mercklé mentionne qu’il y a « un remplacement de la sociabilité « directe », en face à face, par une sociabilité « médiatisée » par des dispositifs techniques, le téléphone hier, Internet et en particulier les réseaux sociaux aujourd’hui » (Dang Nguyen et Lethiais, 2016, p. 171).  Cependant, Cardon élabore, de son côté, que « c’est une forme particulière de liens (« faibles ») qui serait en cause, mais globalement la sociabilité des individus s’enrichirait avec l’usage de Facebook » ou tout autre réseau social (Dang Nguyen et Lethiais, 2016, p. 172). Ces deux propos appuient ma réflexion. 
En conclusion, je suis d’avis que les réseaux sociaux ont permis d’augmenter la sociabilité des individus en ligne en ayant l’avantage de pouvoir contacter son entourage facilement et rapidement. Cependant, cela fait en sorte qu’il y a moins d’occasions de se voir en personne, de sociabiliser sur des sujets plus profonds et de tisser des liens avec son entourage. De ce fait, bien que la sociabilité des individus ait augmenté en ligne, ce ne sont pas nécessairement des liens forts qui en résultent. 
Référence :
Dang Nguyen, G. & Lethiais, V. (2016). Impact des réseaux sociaux sur la sociabilité : Le cas de Facebook. Réseaux, 195, 165-195. https://doi.org/10.3917/res.195.0165 .
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