#oblitération
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Philatélie 402
#Nevers Centre cachet du bureau postal philatélique#lours file à télie#carte postale#cachet postal manuel#philatélie#affranchissement philatélique#couleur#mailart#art collaboratif#art postal#double oblitération
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Au fond... pourquoi plus rien ne marche ?
En parcourant la Presse –c'est-à-dire avec des pincettes, pour tenter d'approcher une vérité que ''le système'' (quoi que l'on mette derrière ce mot) se donne un mal de chien pour triturer et rhabiller ''comme le veut la doxa''--, on est frappé par une chose : par un effet ''boule-de-neige'', les choses qui fonctionnent vraiment mal entraînent dans le sillage de leur échec des pans entiers qui pourraient aller bien... sans les efforts que font nos ''meneurs'' pour tout déglinguer... (le cas-type, ce sont c'est les efforts absurdes dépensés pour mettre la France en iso-état de guerre de facto avec la Russie.).
La désaffection générale, qui touche toutes les classes sociales, tous les secteurs de l'activité, tous les âges, n'est une bonne nouvelle pour personne. L'impuissance profonde de l'Etat régalien, la désintégration des corps intermédiaires, l'épuisement des institutions, la décrédibilisation des élus, l'épuisement des institutions et l'aberration qui confond ''transparence à tout prix'' et ''démocratie au rabais'', dégoûte tous les citoyens de s'intéresser à la ''Res Publica'', ce qui explique sans doute pourquoi, au moment où se préparent des ''élections européennes'', on voit les partis hostiles à ce qu'est devenue l'Europe caracoler loin devant les tenants de la ''doxa'' –dont personne ne semble vouloir. Et au lieu de chercher à oblitérer les angoisses de nos concitoyens, les partis au pouvoir ne savent qu'insulter tous ceux qui ne partagent pas leur fantasme-repoussoir : sentant se lever (enfin) le vent libérateur de sa défaite, attendue par tant de braves citoyens, le ''système'' ne sait que se répandre en haine primaire contre tout ce qui n'est pas lui.
En fait –et à ce jour-- une campagne européenne digne de ce nom, devrait séparer la politique politicienne, ''macrono-court-termiste'' et ''européo-von der machinée'', des vrais problèmes, qu'ils soient immédiats ou à plus long terme. Conseils aux candidats : interdisez-vous de ne parler que de faux problèmes... et évitez la dialectique puérile qui semble être devenu le seul ''savoir faire'' de la majorité actuelle. (NB : je propose le néologisme ''savoir-ne-pas-faire'', pour désigner... la seule chose que savent faire les nuls en place : rien !).
A ce jour, les deux seuls sujets autorisés sont le droit des femmes et l'Ukraine, mais qui ont perdu en chemin le vrai sens de chacun des mots employés, pour ne plus signifier, contre toute raison : ''des divagations tous azimuts autour d'un sancti-sacralisé ''Droit des Femmes'' privé de tout sens raisonnable et rationnel''... pour l'un, et, pour l'autre : ''des considérations de comptoir autour du désir –jamais démontré et pour cause, mais rabâché ''H24'', pour faire peur aux foules-- de Poutine d'envahir le monde entier... alors qu'il n'arrive déjà pas à arraisonner l'Ukraine''
(NDLR : On en profite pour rappeler que cette ''crise'', bien au delà des chiffres officiels de l'aide française, grossièrement sous-estimée à 7 ou 8 milliards d'Euros, vole à nos contribuables pressurés, à nos paysans contraints au suicide, à nos industries, à nos ménages, à nos finances, à notre inflation, à nos fins de mois et à notre dette --''excusez du peu'' !-- un fardeau qui dépasse déjà les 20 milliards, soit 1 point de PIB. C'est gigantesque ! On n'aura pas besoin que Macron arrive à nous foutre réellement en guerre contre son fantasme puéril –ce qu'il appelle ''Poutine''-- pour que notre pays ent��rine son état d'exsanguination. On aura l'air encore plus malin que maintenant, et ce n'est pas peu dire !).
''On'' nous répète sans arrêt qu'une des définitions du ''Populisme'', c'est d'évacuer toute nuance, de surjouer l'affrontement ou la menace d'affrontement, de caricaturer l'adversaire qui doit être présenté comme un ''diable'', ou un fou, un gâteux, un grand malade ou un aliéné, et d'inventer des adversaires imaginaires...Eh ! Bien, il serait temps de se demander sérieusement qui ''rentre'' le mieux dans cette définition : est-ce vraiment Trump, Poutine, Orban, ou Javier Milei –après Bolsonaro, juste à côté), qui sont présentés, quoi qu'ils fassent, comme des réincarnations de Belzébuth ou de Méphisto... ou ne serait-ce pas plutôt les quelques grands malades qui mènent à sa ruine un Occident de plus en plus abandonné par tous les autres pays du monde, l'un après l'autre ? Ça fait un drôle d'effet de nous retrouver, nous, dans la posture ridicule de Khomeini qui accusait les USA d'être ''le grand satan'' dans les années '80 ! (Pour Macron et von der Truc, c'est Poutine qui est l'incarnation du Vilain).
(NDLR - 2 : Curieusement, on peut noter au passage que ''conservateur'', cette si enrichissante qualité, correspond au mal absolu, dans le jargon ésotérique de la ''Gôche''... cela seul justifiant qu'on la rejette ! Car le vieux ''catho'' qui sommeille en moi (et qui se réveille, parfois !) ne peut pas s'empêcher de citer Saint Jean : ''La lumière est venue dans le monde et les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises et que celui qui fait le mal refuse la lumière, de peur que ses œuvres ne soient vues pour ce qu'elles sont'' (Jn2, 13-25). Une bien belle idée, rendue éternelle en peu de mots ! ).
Pour être complets sur ce sujet, il faut dire que deux sujets connexes (con-nexes serait meilleur, puisque le suffixe ''nexe'' veut dire ''qui ressemble à''... ) vont sans doute être autorisés dans cette campagne de désinformation ''à propos de l'Europe (?)'' : (1)- La vision –totalement dépassée, mais prédominante chez… ceux qui la partagent-- d'une Europe-déïté, que l'on peut adorer, mais pas critiquer... et (2)- La marotte périmée (et sortie des préoccupations de la science) des menaces sur le climat qui auraient la préséance sur tout autre sujet (souvenez-vous de l'avalanche des ''La maison brûle'', il y a trois ans, à propos du CO² !).
Depuis... je n'ai pas remarqué que l'incendie en question ait changé quoi que ce soit, sur qui que ce soit, où que ce soit : on parle d'autre chose ! De toutes les idéologies destinées à ''foutre la panique'', il ne reste que leur néfaste, coûteuse et inutile ''transition climatique'' dont l'économiste David Thesmar, Professeur au prestigieux MIT, écrivait hier (le Figaro) : ''La Cour des Comptes estime que le coût supplémentaire de leur ''transition écologique'' représente un surcoût équivalent à 5 % du PIB, et est en croissance''. Que de problèmes sérieux, vrais et graves, ne seront jamais résolus, par la faute de cette ponction insane !
Je ne crois pas inutile de préciser que les faits et les chiffres rappelés dans les paragraphes qui précèdent ne sont pas sortis de mon cerveau indigent (que je verrais très bien affublé, par la ''nullo-cratie'' au pouvoir, des insultes habituelles de nos ministres, y/c le premier, pour camoufler leurs échecs dans à peu près tous les domaines : ''Ah ! Non, M'sieu l'Agent ! C'est lui qui me provoque : il fait rien que de dire ce que je veux pas qu'il dise !''. Je leur propose de m'accuser d'être, en vrac... de droite, extrémiste, conservateur, complotiste, ''tradi'', et islamophobe, raciste, ''me too'', xénophobe, voire féminicide... et que sais-je encore ! Que d'honneur ils me feraient : il n'est plus grande gourmandise que de se faire insulter ''à contre-rôle'' par quelqu'un que l'on méprise !
Mais revenons à notre sujet : franchement, vous avez envie, vous, de vivre, de voter, de ''vous crever la paillasse''... dans le pays qu'ils ont salopé en détruisant tout ce qui valait la peine d'être français, et en remplaçant tout ce qui faisait qu'il faisait bon y habiter par des dystopies dont aucun esprit sain ou simplement normal ne voudrait envisager jusqu'à l'existence ? Le titre de cet éditorial est : ''Au fond... pourquoi plus rien ne marche ?''. Et... la réponse est : ''C'est, en grande partie, parce que... EUX !''.
H-Cl.
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Hannah Arendt et la mystification du « Système totalitaire »
par Bruno Guigue. Faut-il le rappeler ? Même la date que nous commémorons en Occident est fausse : la Wehrmacht a capitulé devant l’Armée Rouge le 9 mai à l’heure de Moscou, et non le 8. Falsification qui en recoupe une autre : oblitérant l’effort colossal accompli par l’URSS pour abattre le IIIe Reich, la vulgate anticommuniste a repris la formule de Trotsky affirmant en 1939 que Staline et…
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Ho ho ho ! Et Bien le bonjour, c'est le retour du secret santa !
J'espère que ton mois de décembre se passe bien, j'ai une petite question pour toi au niveau de ton cadeau,
Un peu de sang (pas gore mais un peu, une goutte, une lichette ) te dérange til ? Que ce soit en description écrite ou dessin ?
Passe une bonne journée :)!
Le secret santa (encore)
Bonjour Santa, je t’ai préparé un chocolat chaud et des cookies dans un coin, regarde!!
J’ai aucun souci avec le sang, au contraire, tu peux te lâcher (bon, ne va pas littéralement oblitérer quelqu’un pour moi s’il te plaît mais voilà).
Bon courage pour ce jeudi, c’est toujours dur les jeudi…
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An-tsoratra faha roa
Trouver le temps d'écrire, ou me laisser le temps de penser assez pour que mes doigts parviennent à tisser le fil de ma pensée. 10 jours de retard sur la livraison de la lettre. Comment parvenir à poser les mots qu'il faut quand ils s'emmêlent tous sans me laisser le temps de les attraper ?
Beaucoup de réalisations ce mois-ci, beaucoup de déréalisations aussi. J'imagine que c'est ce qui arrive quand on retourne dans un environnement dans lequel on a grandi, autour de personnes qui nous ont vu grandir, ou qui ont grandi avec nous.
Le retour ici est comme un retour à la case départ. Quand je l'ai réalisé, je l'ai ressenti comme une oblitération totale et absolue de tout ce que j'étais devenue, tout ce que j'avais appris, tout ce que j'avais accompli depuis mon arrivée en Europe. Avec du recul c'est effectivement un retour à la case départ mais après avoir fait le tour du plateau. Je me prépare pour un second tour, en récupérant mes deux billets de 100 et en croisant les doigts pour ne pas me faire dépouiller sur le chemin ou tomber sur une carte prison. J'ai pris le temps -et ce n'est pas fini- de passer en revue tout ce que j'avais appris de moi, des autres, du monde et de l'univers depuis mon départ. Ça ira.
Au cours du mois j'ai petit à petit réalisé que j'avais cherché partout des morceaux de Tana. Sa lumière dans les lumières de l'automne, ses collines dans les montagnes des Pyrénées, ses couleurs dans des images de villes à l'autre bout du continent, ses bruits dans les chants... J'ai passé beaucoup de temps dans une sorte de nostalgie en sourdine, sans m'en rendre compte, en trouvant inconsciemment la trace de ma ville dans tous ce que mes yeux voyaient. Je fais la paix avec ce manque sourd qui bourdonnait, jusqu'à maintenant et à mon insu, dans mes oreilles.
Je ne savais pas comment commencer la précédente lettre, je ne sais pas comment finir celle-ci. Il n'y a pas vraiment de fin finalement... C'est le début de la suite.
À très vite.
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Oblitérations service philatélique Athènes
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Réorganiser
le geste d’oblitérer
le comportement des internautes oblitèrent partie intime mais sans retenue publient histoire liée viol, revendique, s’exclament contre espèce humaine, l’origine trouvée, en quelques ligne, étales bons sentiment que rien ne retient, et fixe par image, non seulement discours rapport histoire dans la rue, mais par image, et reprend légendes quelques lignes, commentent fait divers, spectacle, extraordinaire
analyser spectacle permis par les réseaux
les carrés internates s’emparent transforment, ce geste, d’oblitérer yeux et parties intimes et parfois ventre
comme si intégrité résident là et non ventre et nudité affiche sans problème ?
oblitération suffisante essence identité, intégrité, et permet ensuite afficher et transmettre histoire qui n’est après que celle doublement monstrueuse accoucher si tôt et conséquence sur fécondité induit
elle Lina est restée à cet état là
repris et repris
histoire sordide, ne sait pas se taire, reprend photo documente état clinique, limite
Faire portrait
Internet est un mystère change de mot barre recherche trouvé autre chose
Fascine même loges reviennent autre langue et same
Autres mots même récit même histoire vient encore et encore sans clé donne
Fascination récurrence milliers photos racontent même chose
Existe versions toutes langues
Je raconte histoire entre les lignes
Message décoder
Humain derrière ça
Sent geste à fait histoire entrée histoire par reprise images sempiternellement même
Et silence gigantesque derrière
Certaines variantes découvertes
Mais une dizaine photographie reviennent
Lien pour faire une vie en creux
provoquer une rencontre entre cette histoire et un arbre, le plus vieux du monde, le grand père
au chili
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Nocturne 1
On m'a dit d'écrire.
Je me suis dit que c'était une bonne idée.
Et là j'ai plein de choses en tête.
Je crois que si je veux sauver tout le monde, c'est parce que je me suis toujours sauvé seul depuis toutes ces années.
Des autres, de moi-même, de la solitude que j'ai appris à apprivoiser comme une connasse dont on ne peut pas se défaire, de ce monde que je veux créer.
Un monde où je ne me serais jamais senti seul, perdu, sans repères, un monde sur lequel j'aurais pu m'appuyer pour avaner plutôt qu'un monde contre lequel se battre.
Parce que la vie c'est ça, une bataille constante jusqu'au trou, au repos, au dodo pour toujours.
Qu'il y ai quelque chose d'autre après où non, j'ose espérer que l'on oublie tout.
Comme quand on fume un joint pour ne plus voir ce monde affreux au moins l'espace d'un instant.
Pourquoi j'ai commencé à fumer? Parce que ce monde disparaissait un peu pour un temps, court mais si apaisant.
J'ai décidé d'être sobre parce que sinon je me laisse quitter ce monde trop longtemps pour me maintenir en vie seul.
Ca m'a tellement aidé pourtant, de le quitter ce monde.
Beaucoup de gens ont peur de la mort, pas moi. La seule peur relative à la mort que je ressens, c'est celle de ne pas avoir réussi à rendre tout ce bordel un peu moins moche avant.
Partir ne me fais pas peur, j'envie les inconscients heureux.
Eux iels arrivent à quitter ce monde sans les paradis articifiels, les substances que l'on peut absorder pour oblitérer la laideur ambiante.
Mon cerveau ne sait pas le faire seul et je suis obligé d'apprendre à le faire consciemment ce qui est, excusez-moi du peu, grave naze.
J'ai eu faim, j'ai eu froid, j'ai eu peur, j'ai manqué de l'amour sans faille qu'on était censé me donner. Mais j'suis toujours là. janvier 2023
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This week in Nantes: n°352 | Oblitération , by Ninnog Gesland Bouilly ↦ FRA More → oripeau.art Submit → oripeau.art/submit Playlist → open.spotify.com/playlist/4R7PXexzD8ifWlzb7YiH76 This project is supported by trempo.com
#Oblitération#Ninnog Gesland Bouilly#Oripeau#Nantes#France#Art#Graphic#Graphic art#Graphic design#Design#Street art#Public exhibition#Poster#Black and white#Experimental#Muralart#Streetmural#Graphique#Graphisme#Art graphique#Art visuel#Design graphique#Art urbain#Collage#Affiche#Experimentation#Noir et blanc#Illustration#Photographie#Trempo
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#lours postal#carte postale#couleur#végétal#dessication#cachet postal manuel#oblitération#Audincourt
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Philatélie 400
#Nevers Centre cachet du bureau postal philatélique#carte postale#lours file à télie#cachet postal manuel#philatélie#affranchissement philatélique#art collaboratif#couleur#art postal#mailart#double oblitération
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Où est le cadavre?
Par là. Deux de vos hommes s'en occupent. Le lieutenant Tragg se retourna vers la route, aboya quelques ordres et fut rejoint par un photographe, ainsi que par un technicien portant, dans une sacoche, le matériel nécessaire pour relever des empreintes digitales. -Laissez vos phares allumés, dit alors Tragg à Mason, ça contribuera à l'éclairage. Si votre batterie tombe à plat, vous pourrez vous en procurer une autre à la station-service…Maintenant, montrez-nous le chemin, mais faites attention de ne pas oblitérer des empreintes de pas…
Quand je suis venu là, je ne m'attendais pas à découvrir un cadavre et j'ai donc marché sur cette espèce de sentier. Mais en m'en retournant, je me suis tenu sur le bord….
Oui, voici vos traces…Tâchez seulement de ne pas en laisser d'autres. Les deux policiers qui étaient déjà près du cadavre rectifièrent la position à l'arrivée de Tragg et l'un d'eux expliqua:
Il s'agit indubitablement d'un meurtre, mon Lieutenant. Le cadavre, ainsi que des registres qui se trouvent auprès de lui, ont été arrosés d'essence. Nous avons également découvert un ouvre-lettres, genre stylet, qui doit être l'arme du crime. Craignant que l'assassin ne revienne mettre le feu à l'essence, nous sommes demeurés sur les lieux. Un des compagnons de Tragg, qui s'était penché sur le cadavre, se redressa en disant :
Il n'y a pas longtemps qu'il est mort.
Mais il est mort?
Oh! pour ça, oui. Tandis que le photographe commençait à opérer, Mason demanda l'autorisation de s'en aller jusqu'à la station-service où Della Street était demeurée en attente, et Tragg y consentit sans trop de mauvaise grâce.
SOMBRE SAMEDI par Erle Stanley Gardner (The Case of the Spurious Spinster, traduit par MB Endrėbe_Un Mystère n.585, Presses de la Cité, 1961)
The Case of the Spurious Spinster in The Saturday Evening Post (Feb/March, 1961)
#Perry Mason #Erle Stanley Gardner #crime fiction #The Saturday Evening Post #1960's
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Sacha SOSNO (1937-2013) - Oblitération
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Chose(s) à faire aujourd’hui :
Littéralement oblitérer cet article de doctrine qui me prend la tête tant il y a d’approximations (pour ne pas dire d’erreurs, je suis gentille) écrites dedans.
C’est tout.
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— 6 P E R S O S . C H A L L E N G E
@mysterious-corvidae
Et me voilà pour le challenge qu’a proposé CORVIDAE, alliant notre patte graphique à nos personnages (leurs noms sont pour ma part et dans l’ordre : Lio, Albane, Declan, Erhart, Semyon et Andreas, puis de nouveau Erhart, Lio, Andy et Declan). Les six premiers avatars ont été réalisés avec la même trame, pour le challenge, en prenant des extraits de leurs RPs ou présentations. (Oui y’a des fautes de frappe dans les citations, j’en ai compté trois, sinon ça serait pas drôle). Et puis je suis allée reprendre les 4 derniers d’anciennes fournées, qui ont été créés et portés spécifiquement pour les personnages en question.
Je mets en spoiler quelques petits mots sur chacun·e d’entre elleux, puisque c’est un peu long et que je veux pas envahir votre feed Tumblr ♥
J’vous fais des bisous, et merci Corvidae pour l’excellente idée ♥ (j’espère que j’ai bien interprété le challenge comme il fallait…)
LIO — celui que j’emporte partout avec moi ft. finn wolfhard [ un et huit ]
Celui que j’emporte partout avec moi, littéralement. J’ai dû l’inscrire sur plus de six forums différents. D’abord simple personnage propulsé un peu à l’aveugle, fait pour ne pas durer, éphémère sans avenir, et puis de plus en plus compagnon d’aventures, héros sans cape et sans panache. Parodie d’un Peter Pan à la rue et aux abois, pété dans ses illusions de réalité improbable. Plus proche de ses addictions que de n’importe quel·le être humain·e, sauf peut-être d’une crisse de folle avec qui il conte ses délires depuis qu’iels sont gosses. Je n’arrive pas, plus, à lui imaginer un avenir, ne parviens pas à faire grandir mon éternel gamin. Alors pour l’instant il reste là, dans un coin de la tête, jusqu’à ce que je sache sur quel chemin il avancera.
ALBANE — celle qui a pris le plus de moi ft. damaris goddrie (autrefois chloé moretz) [ deux ]
Celle qui a pris le plus de moi à l’époque, de mon caractère et mon histoire. Assurément plus élégante, plus douée et plus charmante, avec la cécité comme fardeau en plus, mais le fond y est. Je n’aurais plus les mots adéquats aujourd’hui pour raconter sa douceur et sa compréhension lucide du monde, comme s’il lui suffisait d’être témoin d’un détail pour comprendre l’ensemble du tableau - femme artiste qui s’exprimait au violon comme elle se perdait dans l’infinité des nuits. Elle ne parlait que rarement de sa famille, son adoption, ce malaise qui s’était installé à travers les années et avec la communication rompue. Albane a bien souvent fui ses responsabilités et les possibilités qu’on lui offrait, quand bien même c’était la promesse d’un avenir brillant. Elle était ce genre de personnes qui ne savaient pas se tenir en place face à l’ennui et le manque de passion.
DECLAN — celui que j’aimerais jouer ft. émile woon [ trois et dix ]
Celui que j’aimerais jouer actuellement, quoique mon IRL et mon manque d’inspiration pour l’écriture m’en empêchent. Pourtant il y a quelques semaines, créer l’histoire de Declan et penser à ses thématiques m’ont fait du bien - encaisser certaines révélations dans ma vie. C’est un gars un peu paumé dans sa vie, qui avance sans plan et qui se définit davantage par ses bizarreries que par des rêves et des ambitions. Pas assez stable pour garder un job à long terme, sans diplôme de surcroît, weirdo du coin, qui fait dévier le regard, changer de trottoir, qui bloque sur ce qu’il n’arrive pas à faire et qui se terre dans l’anonymat, inconscient de ses propres forces.
ERHART — cellui que j’aimerais avoir comme ami·e ft. troye sivan [ quatre et sept ]
Cellui que j’aimerais avoir comme ami·e. Erhart existe depuis février 2020 et j’ai rarement pris autant plaisir à jouer un personnage comme ellui, et chez qui j’admire beaucoup de choses. Iel oscille entre plusieurs genres sans être capable de se définir exactement, dans un entre deux flou et les interrogations plein la tête, même s’iel laisse peu de gens s’en apercevoir. Erhart a une douceur naturelle et une fragilité sensible sans cesse tues derrière son sourire poli, qu’iel se sent obligé·e d’afficher sous peine d’imploser. Et puis, le soir, la nuit, iel se laisse aller aux plaisirs excessifs d’une jeunesse increvable, oblitération de soi-même à coups de bédos et vodka à dix livres la bouteille. Fasciné·e passionné·e par un homme aux antipodes d’ellui, mini géant soleil dans la nuit, depuis des mois déjà, sans qu’aucun·e d’elleux ne sache que faire de l(eur) avenir.
SEMYON — celui qui ???????? ft. stephen james [ cinq ]
J’ai honnêtement passé dix minutes à me demander quel “celui” que Semyon pourrait être sans arriver à mettre le doigt dessus mdrrrrr. Semyon, j’suis pas tout-à-fait fière de son caractère et son histoire, à des kilomètres du moindre réalisme et du respect des thèmes que j’abordais avec lui à l’époque, et je m’en excuse très honnêtement. Sale rapport avec la violence, la douleur, la sienne et celle des autres, chien enragé qui sait plus frapper et grogner que penser par lui-même. Méfiant de tout et interné à cause du “trop plein” constant à un certain point de sa vie, engagé dans une (semi??) relation avec un homme dans l’institution où il était placé. Après j’voulais l’inclure dans le challenge parce qu’hormis le côté “jeu”, il m’a permis de rencontrer une merveilleuse personne (coucou @les-maux-de-mer ♥) sans qui je suis plutôt sûre que ma vie ne serait pas tout-à-fait la même aujourd’hui. Donc au final, je dirais que Semyon est celui qui, entre autres, me rappelle que le RPG est plus qu’une question d’écriture et de graphisme ♥
ANDREAS — celui qui a le plus évolué en jeu ft. bogdan romanovic [ six et neuf ]
Un de ceux qui ont le plus évolué en jeu, mais davantage dans une trame commune que d’un côté tout-à-fait personnel. J’ai commencé à jouer Andy en mars 2019 au sein d’une bande de personnages, en rejoignant une poignée de RPGistes (coucou vous tou·te·s si vous passez par ici hihi ♥). On a raconté leurs drames respectifs, celle de deux bandes montées les unes contre les autres et ce depuis que leurs membres sont tout·e·s gamin·e·s. Aucun·e d’elleux ne semblait plus se souvenir du pourquoi du comment, la haine était juste là dorénavant, à alimenter à souhait. Y’a eu des coups bas, des coups de couteau aussi, des blessures et puis des morts, ça a pué les emmerdes et les erreurs. Andy a eu sa part de responsabilité (culpabilité) dans tout ça bien qu’il était infiniment trop loyal (aveugle ?) pour arrêter, il aurait tout sacrifié pour celleux qu’il considérait comme sa famille.
Et voilàààà ! Le post est bien long ahahah, mais ça fait plaisir de repasser sur toutes ces histoires, d’autant que certaines commencent à dater. J’ai hâte de lire les vôtres dans vos posts du challenge ♥
#6persoschallenge#challenge#rpg#challenge rpg#challenge graphique#finn wolfhard#damaris goddrie#émile woon#troye sivan#stephen james#bogdan romanovic
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Sacha Sosno (Alexandre Joseph Sosnowsky), 1937-2013
Vénus oblitération, 1990, bronze à patine brune et marbre serpentine, 17 cm. Exemplaire numéroté 582/1000, édition Artcurial
Official Website
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