#nostalgie eternelle

[musicwithoutborders]

Nostalgie Eternelle, A Victory Smile, 1989

[theretirementhome]

Nostalgie Eternelle - Too Late To Be Sad

Buy it here.

[dialoogid]

Nostalgie Eternelle / From Nursery to Misery - Art Is the Tool (1990)

[ghrecords]

Nostalgie Eternelle - Notre Debut

Label:FinalMuzik – FME2 Format:CD, Compilation, digipak Country:Italy Released:2011 Style:Synth-pop, Electro, Industrial, Experimental, Darkwave

Nostalgie Éternelle was a German duo active from 1986 to 1991. Stefan Heinze (well-known as Inox Kapell) and Dieter Mauson (later member of Delta-Sleep-Inducing Peptide, with Siegmar Fricke) recorded a large number of songs in just few years, distributing them mainly through self-released tapes and international cassette compilations. “Notre Début” is a collection of twenty (!) remastered tracks from Nostalgie Éternelle solo cassettes and compilation tapes, 1988 – 1991, now available on CD for the first time in a handnumbered digi-slim sleeve. Classic 80's dark minimal synth-wave, distant obscure vocals, thrilling synthscapes, including influences from icy electronic music and d.i.y. industrial. “Notre Début” is also an open window to know better 80's cassette-scene and culture; n example, four songs have been previously released on two tapes in 1988, on my old Discipline Produzioni cassette-label: releasing this CD has been a great chance to bring them back to life, together with songs published at that time by 80's cult labels such as Insane Music, Jar, EE Tapes, Headkleaner, Weed Music and more. A cold, dark “Goodbye!” to 80's decade and a claustrophobic “Hello!” to the upcoming 90's. Someone told us that 2011 will be the year of Nostagie Éternelle comeback: If so (fingers crossed), “Notre Début” will be the best introduction to this precious, interesting, original 80's electro-wave band

Buy: 12 € http://gh-records.com/121-nostalgie-eternelle-notre-debut.html

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[mellamame]

[if-you-fan-a-fire]

December 2, 2017: a new episode of The Anatomy Lesson at 11pm EST on CFRC 101.9 FM. Things left behind. Music by Saturn and the Sun, SADAF, Piper Curtis, Scattered Clouds, SUBMISSIONS, Viki Viktoria, Mortal Bodies, Zola Jesus + more. Check out the setlist below, tune in at 101.9 on your FM dial, stream at http://audio.cfrc.ca:8000/listen.pls or listen to the finished show after airing at cfrc.ca or on mixcloud: https://www.mixcloud.com/cameronwillis1232/the-anatomy-lesson-december-2-2017/

Piper Curtis - "Ending November Indoors" Sounds for Staying Indoors (2017) PGR / Thessalonians - "Labyrinth" The Black Field (1989) Nostalgie Eternelle - "Strategies Of Oppression" Experiments from the Laboratory (1989) Silent Partner - "Moma" Collection 1 (2017) Zola Jesus - "Wiseblood" Okovi (2017) Urbain Autopsy & K... - "Zoologie" Ashquelon (198?) Sadaf - "Let It Burn" Shell (2017) VIKI Viktoria - "What 2 Do" New Victorian (2016) Mortal Bodies - "Light Solution" Embodiment (2017) Submissions - "Get To Dying" Submissions (2016) Scattered Clouds - "Deepest Night" The First Empire (2015) Saturn and the Sun - "Investigation Of The Current State Of Your Mind" Focus On The Centre Of Your Skull (2016)

[certainwoman]

music recs for music fans

So...

https://doulikeworldmusic.bandcamp.com/album/angelica-pilled

https://doulikeworldmusic.bandcamp.com/album/quarrel

https://doulikeworldmusic.bandcamp.com/album/bedhead

bar italia, off of dean blunt's label world music, for fans of hypnagogic pop who have grown jaded by the genre due to a series of embarrassing incidents over the years

https://pan-daijing.bandcamp.com/album/jade

I might have mentioned pan daijing's new album jade already, if i havent, well it is one of my albums of the year certainly, filed under: experimental, noise, ambient

https://lailasakini.bandcamp.com/album/vivienne

Vivienne by Laila Sakini came out last year but I somehow missed it. I fell in love with her music over this year. Also recommended: Into the Traffic, Under the Moonlight, Strada and her collab with Lucy Van: Figures. So everything! Listen to her whole discography! Filed under: ambient, electronic

https://deathbombarc.bandcamp.com/album/mother-of-sighs

read the description in the link too, it's a fascinating beautiful eerie story of motherhood and guilt. filed under: i dont know, noise?, experimental?

https://fromnurserytomisery.bandcamp.com/

compilation of remastered from nursery to misery songs, going to just copy paste this from bandcamp "From Nursery to Misery crawl back to Dark Entries with Tree Spirits, the follow up to 2017’s Pixies In The Woods. The project was founded in 1987, when producer and keyboardist Lee Stevens invited identical twins Gina and Tina Fear over to record in his home studio in Basildon, Essex. Four years of prodigious studio experimentation followed, resulting in two full length cassettes (1989’s The Oak Tree and 1990’s Equilibrium), and a split EP with Nostalgie Eternelle in 1990. Stalwarts of the Mail Art scene, they also appeared on over 22 cassette compilations, home-dubbed in true DIY fashion, before splitting in 1991."

filed under: experimental, minimal synth?

[radiophd]

nostalgie eternelle -- something on your mind

[cordycepsspore]

Nostalgie Eternelle - B6/ Amnesia

[desjourneesentieredanslesarbres]

Elle parle des obsessions, elles sont de ce qui m'anime. Parfois traduites par le lien magique, l'evidence, je ne suis pas seule,  dans la demeusure. Plus tard je relis et je ris, je ressens aussi la nostalgie du sentiment disparu: cette personne n'opère plus aucune magie sur moi. On est sur que c'est pour toujours parce que l'intemporalité du sentiment et son caractère eternel, dévorant. On se fait mal on se fait du bien.

[dialoogid]

Nostalgie Eternelle - The Evil Sickness (1990)

“...and in a few seconds.. i will feel the tears in my eyes...”

“...i will be proud of my mistakes...” 

[musicmakesyousmart]

Nostalgie Eternelle - Self-released

Home Recording

1990

[recordsarebetterthanpeople]

PEOPLE ARE BETTER THAN RECORDS : this is the end (pt 24)

Hervé Jacquemin, 54 ans, Hayes.

Eternel amoureux et supporter de la musique.

A choisi de ne pas choisir.

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Evidemment, moi non plus je n'ai pas pu rester insensible à la photo de Flo, coupée au montage de Raging Bull et sonnant comme un appel à tous les français du 18 juin. J'avais pourtant dit non, pas cette année. Ras-le-bol des cahiers de vacances à rendre à une date butoire. J'ai jamais aimé les dates butoires, c'est même certainement un des trucs que je déteste le plus (avec le quinoa et les chaussettes qui grattent). Et finalement, de voir que c'est la dernière mission avant l'autodestrcution du blog, ça motive. Mais ça fait pleurer aussi. Et puis j'ai un autre dilemme : je ne sais plus quel disque choisir.

Tous les précédents se sont imposés d'eux-mêmes, sans que j'aie à réfléchir (ça aussi c'est un truc que j'aime pas), parce qu'ils me replongeaient dans mon adolescence, voire ma pré. Bien sûr, je pourrais parler de l'oeuvre magistrale des BEATLES par qui je suis entré à douze ans dans le labyrinthe de la musique anglo-américano-saxonne et pour laquelle j'ai lâchement abandonné Dave et Joe Dassin, mais ça tombe tellement sous le sens. Au fil des précédentes contributions, d'autres disques avaient tenté une percée ces dernières années et poussaient des petits cris plaintifs pour se faire remarquer, ouvrant des grands yeux tels des aliens en pyjama bleu devant le grappin. From The Inside d'Alice Cooper repoussé pour cause de présence du sus-dit au JDM la même année : ça faisait trop opportuniste ou en manque d'inspiration. Pourtant, j'en avais des choses à dire sur cet album à la pochette pleine d'ouvertures à faire pâlir un Jean Claude Dusse. La magie de ces petites portes qui t'obligeaint à ranger la pochette intérieure dans le bon sens sinon ça le perdait (son sens). Une sorte de concept-album sur une énième crise de désintox’ dont certains titres te tiraient des larmes, même à quinze ans (“Are you gonna love the man when the man gets home”, sérieux quoi !), encore une fois découvert grâce à un clip sur RTLTV. 

Même chose avec Lodger de David Bowie que tu repousses l'année dernière pour cause de disparition du sus-dit, ça faisait trop opportuniste ou en manque d'inspiration. Et pourtant, encore une sacrée baffe en 79 après avoir vu le clip de Boys Keep Swinging par lequel tu découvres que les garçons, des fois, se maquillent et s'habillent en filles. Tant de choses à dire aussi sur cet album ignoré, ou au mieux décrié, dans la discographie du Duke. Mais pas là non.

Tout AMERICA aussi aurait pu faire l'objet d'une chronique. J'assume comme d'autres assument leur amour pour Phil Collins, mais je les ai découvert trop tard pour que mon histoire revête le parfum de sensualité torride et de toute première fois des mes précédentes contributions.

L'année dernière, j'étais sûr de parler de Leny Escudero en 2017. Sans rire. Quand à dix ans tu connais par coeur les paroles de ses deux derniers disques (de l'époque), ça laisse forcément des traces. Je les ai écoutés avec mon père, puis très souvent tout seul. Je ne comprenais pas le sens de la moitié des textes, mais ils m'ont imprégné et ont certainement participé à ce que je suis aujourd'hui. Au final, c'est trop intime pour que j'en parle devant tout le monde, même en plaisantant. Autre découverte grâce à mon père, le Live In Dublin d'Alan Stivell en 75 où tu te rends compte qu'il n'y a pas que les guitares et les batteries pour te faire voyager et bouger les pieds (dans la tête pour moi). Je ne voudrais pas voir de vidéos de ma tronche chantant en yaourt breton devant le pick-up Dual. Et encore moins 20 ans plus tard quand je me suis lancé dans une cure décennale de musique celtique et world.

Bref.

La conclusion est toujours la même au fil de mes participations : les disques et les artistes viennent à toi au bon moment, pas par hasard comme tu le peux le croire. Beaucoup ne font que passer, te touchent sur le moment jusqu'à ce que tu y reviennes parfois avec nostalgie ou erreur, d'autres vont te marquer à vie et dès la première écoute. Les uns comme les autres vont tisser ce maillage qui te donnera l'envie de toujours découvrir autre chose, ailleurs, plus loin, différent… Ca ne se limitera pas qu'à la musique et à l'écoute en solo-geek, ça te poussera à rencontrer d'autres personnes et partager d'autres activités et surtout à t'enrichir de belle manière, tout en t'appauvrissant. Alors éteins ta radio et ta télé et va chez ton disquaire. Et n'oublie pas la musique live. Et essaie de convaincre le Schall de ne pas fermer son blog.

PS : bien sûr les disques d'aujourd'hui peuvent m'émouvoir aussi mais plus de la même façon qu'il y a 40… non 30… bon 35 ans.
 Le disque dur dans ma caboche est bien rempli et a parfois besoin d'une petite galette bleue bien dosée pour érectionner.
 Je n'en citerai qu'une, sinon j'en citerais cent. Merci aux STRANGE LADIES pour la poussée d'adrénaline procurée par leur Bitter Sweet Songs.

[mellamame]

[if-you-fan-a-fire]

July 29, 2017: a new episode of The Anatomy Lesson at 11pm EST on CFRC 101.9 FM. We start with a FUTURE BLONDES remix of Oppenheimer Analysis, end with Heinrich Dressel, and in between play music by Rashad Becker, Sister Skull, Nostalgie Eternelle, TRAITRS, NOT WAVING, Anne Gillis, Media:Premonition (put out by the great Sheffield Tape Archive) and Glorious Din (with a very nice re-issue of a brilliant record). Check out the setlist below, tune in at 101.9 on your FM dial, stream at http://audio.cfrc.ca:8000/listen.plsor download the finished show at cfrc.ca or on mixcloud here: http://www.mixcloud.com/cameronwillis1232/the-anatomy-lesson-july-29-2017/ Future Blondes - "Chemical Chant - Behind The Shades" Analysis (2008) Rashad Becker - "Dances VIII" Traditional Music of Notional Species Vol. 2 (2016) Nostalgie Eternelle - "Go And Boil Your Head!" Experiments from the Laboratory (1989) Sister Skull - "Terrorangriff" SSEP (2017) Anne Gillis - "Untitled #6" Aha (1984) Not Waving - "Control Myself" Populist (2017) TRAITRS - "Hand of Holy Fingers" Speak in Tongues (2017) Media:Premonition - "New Rules" Cassette Releases 1991 (1991-2017) Housefire - "Moodswing" burnthemasters (2015) White Blackmail - "Magic" Revival (2016) Glorious Din - "Arrival" Leading Stolen Horses (1985) Heinrich Dressel - "The Black Radiant Sky" Sighing Melodies Thru The Graves (2012)