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First Take at LYIFF: The Way to Happiness - a delicatessen themed around film, taking its owner on a very personal journey
SYNOPSIS: Saül Birnbaum is a “hidden child”, separated from his parents at the age of 6 to escape the upcoming Shoah, sent by a Kindertransport abroad, from Vienna to Brussels. In 1986, Saül is on the road to resilience, he tries to reinvent his life, to re-enchant it. On the stage of the Délicatessen he owns, the 7th Art triumphs every day. With his protégé Joakin, a young Chilean director who fled Pinochet, they decide to write the story of Saül’s childhood and make a film of it. But love comes knocking on his door and confronts him with his past.
It is a common understanding that cinema has the power to change lives. This film, screened as the second feature of this year's Lytham International Film Festival, came in from Luxembourg from director Nicolas Steil - and while it is a heartfelt piece of filmmaking that has good intentions, based on the general audience response, and reading some of the Letterboxd comments, it feels like some elements may have been lost in translation.
vimeo
English Language Subtitles available on this trailer - click the CC button to turn them on.
Steil uses a lot of the knowledge he gained making his first feature Réfractaire (The Undercover War as it is known in English territories, another World War 2 inspired piece) in 2009 and the many years of experience he's had in the film and TV production industry to turn in a relatively well paced 1 hour 52 minute feature, that gets a lot right, but in terms of the execution of a pretty heavy plot, does feel a bit of a mish-mash of ideas. Henri Rouanne-Rosenblatt adapts his own book very faithfully to the best of my knowledge, working with Michel Fessler, but the multiple stories ongoing at the same time probably didn't land as well with a British audience as well as it would've done elsewhere - there's the story of back in the war, then back to 1986, then back to the war, again, showing the TV influence of the director more than anything. It's shot well by Pierre Milon, and the original music from Kyan Bayani just about does the job for a film like this.
As for the cast, Simon Abkarian and Django Schrevens are two very likable leads, Pascale Arbillot plays the love interest (central to Abkarian's character Saul going on this journey to discover his past really well), Andre Jung provides comic relief following some of the heavier moments that the film deals with, and rounding out the cast is Eric Caravaca, Helena Noguerra, and Mathilda May. All things considered, the message of the film certainly landed even with it being a subtitled screening, but the general style of the film and how it does the story of 'finding the past while making a whole fictional movie about it' did take a bit of getting used to.
THE VERDICT
The Way to Happiness is a well made, poignant, and very raw tribute to not only what film can do for escapsim, but also what it can do to rediscover the past - I can see why the LYIFF panel selected it, especially as it followed a workshop (for which a lot of what was said in terms of personal films being the hardest to make), but crucially - it has some serious potential on the festival circuit.
RATING: 3.5/5
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Un appartement d’esthètes à São Paulo Dans le quartier d’Higienópolis, réputé pour ses immeubles modernistes, l’architecte et designer Luciano Dalla Marta a entièrement revu son appartement. Il y développe une attachante esthétique arty, mi-1960-70 mi-contemporaine magistrale. Par Nicolas Milon pour @ad_magazine In the living room, above a large caramel velvet sofa, a sculpture by the artist André Mendes (Galeria Zilda Fraletti) and a delicate work by Edgar Racy (Galeria Eduardo Fernandes). The Aresta tables and the Eileen Gray rug (Botteh) were designed by Luciano Dalla Marta. On the wall, two industrial ceiling lights from the 1970s have been transformed into vintage sconces. Filippo Bamberghi https://www.instagram.com/p/Cmbzm5AtAet/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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la peau de Dorothy Allison,
c’est au carrefour de recherches, celles de savoir comment dire plaisir et désir, à partir de, de toutes les interrogations que cela suppose, la question du genre, littéraire et sexuel, ce sont toutes les autres variations, tout ce qui fait écran à dire plaisir et désir à ôter, et à quel point dire ceci, dire plaisir et désir peut être politique, c’est à ce carrefour là que je lis Dorothy Allison, je la lis et Peau devance les réponses aux questions que je formule floues, c’est ECRIRE LE SEXE, L’IMPORTANCE ET LA DIFFICULTE, ce titre de chapitre parmi 25 autres, succession de brefs textes, de 25 textes brefs, parfois publiés ici et là, dans des magazines, ce sont
CONTEXTE / UNE QUESTION DE CLASSE JE N’AI JAMAIS IMAGINE VIVRE TOUJOURS LE DEMON DES ARMES / STRATEGIE DU FUSIL DE CHASSE QU’EST-CE QUE NOUS VOYONS ? QU’EST-CE QUE NOUS NE VOYONS PAS ? VOISIN · E ·S / NON PAS COMME UN ETRANGER ECRIRE LE SEXE, L’IMPORTANCE ET LA DIFFICULTE PURITAINES, PERVERSES ET FEMINISTES / SILENCE PUBLIC, TERREUR PRIVEE SON CORPS A ELLE, LE MIEN, ET LE SIEN A LUI THEORIE ET PRATIQUE DU GODE-CEINTURE LESBIANISME CONCEPTUEL / PARLER AUX HETEROS FEM CONVERSATION SUR LE SEXE / CROIRE EN LA LITTERATURE HISTOIRE PERSONNELLE DU PORNO LESBIEN / MYTHES ET IMAGES EN SOUVENIR DE BERTHA HARRIS LA SURVIE EST LE MOINDRE DE MES DESIRS LA PEAU, LA OU ELLE ME TOUCHE PROMESSES
ce sont autant de textes qui tracent, partent de l’expérience, placent l’expérience au centre, l’expérience ici permet de réfléchir aux conséquences de l’expérience, ces conséquences replacées dans un rapport social, littéraire, de lutte. C’est enfin incarné. Enfin comme de Starhawk, j’ai pu dire : enfin, c’est incarné. Les féministes américaines des années 70, j’ai l’impression que ça part de là, même si, par ex. Kleist, mais rien d’aussi affirmatif qu’ici, au U.S, ces femmes, dans les années 70, c’est piste à creuser, de cela, pour cela, pour le partage de leur expérience, je les remercie vivement ces féministes américaines qui traduisent à partir de ce qui se passent, pragmatiques, qu’apprend-on de l’expérience ?
l’expérience de cette lecture de la Peau de Dorothy Allison c’est, c’est d’abord de revenir à la mienne, la considérer à l’aune de la sienne, elles ne sont pas les mêmes, elles n’ont pas lieu dans les mêmes contextes, les mêmes années, ça permet deux points pour penser un troisième, ce qu’elle met en perspective de ce que je comprends de ce qu’elle met en perspective, ça permet de mon expérience me souvenir, me souvenir ce que j’ai oublié ou voulu oublié, c’est très troublant, ce que je viens d’écrire est flou, désincarné, je ne me confronte pas comme ne cesse de le souligner Dorothy Allison, à ce qui me fait le plus peur - ce qui me fait le plus peur, c’est sans doute nommer le plus intime, peut-être le figer, peut-être me classer, est ce qui me terrifie le plus me classer ? Dorothy Allison elle affirme, affirme ses doutes, ses questions, affirme super fort, affirme calme et nette, rieuse, ça rit beaucoup et ça aime beaucoup chez Dorothy Allison qui affirme sa classe sociale, pauvre, sa sexualité, lesbienne, elle affirme ses amantes, son enfant et les paysages, de son enfance les paysages, leur disparition, elle affirme son engagement et son écriture, raconte comment son écriture a du s’affirmer alors que toujours là, comment elle a crée des magazines pour publier qui écrivait avec la question homosexuelle, laissant la sienne propre en jachère, elle raconte sa rencontre avec Bertha Harris, elle raconte comment Bertha Harris la, les confronte elle et d’autres femmes, lors d’un atelier d’écriture, à écrire enfin avec ses peurs, avec ce que l’on a peur de dire,
Certain·e·s d’entre nous n’ont pas le choix, dis-je tout le temps à mes étudiant·e·s. Certain·e·s d’entre nous doivent afin de donner un sens au monde. Sortez sur le papier vos obsessions, vos peurs, vos bizarreries et vos pulsions. Vous pourrez décider plus tard d’être ou non publié·e·s, et pourquoi. Même lorsque je dis ça, je sais que je leur tends un piège - le même que celui dans lequel j’ai été prise. L’écriture est toujours révolutionnaire, l’écriture est toujours là pour changer le monde. Chacun·e·s de mes étudiant·e·s, lorsqu’il ou elle écrit la vérité sur sa propre vie, fait partie de ce processus et chaque bout de ce qu’il ou elle en partage avec moi, qui remets en question ma propre exploration de moi-même me pousse à travailler plus en profondeur. Le sexe et le mensonge sont le coeur de la question, je le pense. Vous ne serez peut-être pas des écrivain·es heureux·ses, leur dis-je en écho à Bertha Harris, mais vous saurez qui vous êtes et vous changerez le monde.
et quelques chapitres après, dans PURITAINES, PERVERSES ET FEMINISTES, Dorothy Allison raconte ce qu’elle nomme être l’histoire la plus gênante de sa vie sexuelle : son apprentissage de l’écriture, quasi, dans la lecture qu’elle fait de romans de science-fiction, entre autre, littérature de genre, lectures à partir desquelles, jeune fille, elle se masturbe, cette histoire change mon monde, donc le monde, chaîne de conséquences où quiconque a été changé fait que le monde tout entier change, change mon monde en ce sens où elle me permet de penser, repenser d’expérience, je sais que la masturbation sert à penser, je pense plus vite quand je me branle, le plaisir pour la pensée est un sacré moteur, mais ici encore je ne dis pas à quoi le plaisir est associé, c’est une autre des choses à laquelle s’attaque de front Dorothy Allison : savoir pouvoir dire raconter tout, ne pas s’arrêter au seuil mais raconter, dire les gestes, qui ne sont pas nécessairement érotiques, ceux-là aussi, dire aussi gode-ceinture et SM, ne pas le cacher, ne pas s’arrêter au seuil, ne pas repousser ce qui serait viriliste au nom d’un principe si l’expérience, si la sensation affirme le contraire, affirme c’est bon, affirme j’aime cette pratique là, affirme je suis ainsi, constitué de cette complexité là, jamais ne se laisser réduire à une catégorie tout en les affirmant chacune,
QW ☆ Conf: Trou tentacule, la tentation du double sexe au Japon --- Au Japon, le genre nommé shokushu ero (触手エロ) – « érotisme du tentacule » – nourrit une importante production d’œuvres et d’objets masturbatoires qui convient les figures radicales de l’altérité: celles des monstres octopodes venus de l’espace et des visiteurs à ventouses animés par le désir de contaminer l’humain. S’appuyant sur l’étude des jouets sexuels en forme de tentacules, Agnès Giard ouvre une piste de réflexion sur ce que les objets destinés au plaisir dit « solitaire » ont à nous dire sur le rapport à l’autre dans la culture japonaise. Ces jouets nommés « trous tentacules » (shokushu hôru, 触手ホール)) réactualisent un thème – celui des femmes violées par des pieuvres – très populaire à l’époque Edo (1600-1818), durant laquelle les frontières sont fermées aux étrangers. S’agit-il d’un hasard? A quelle géographie symbolique, délimitée par quelles frontières invisibles, les fantasmes d’agression sexuelle poulpoïde renvoient-ils? L’étude des usages et des représentations des « trous tentacules », cette étrange catégorie d’objets, sera le révélateur des lignes de tension qui parcourent la culture japonaise, aux frontières respectives du genre, de l’espèce et du vivant. ---- Avec Agnès Giard, docteure en anthropologie de l'Université Paris Ouest, chercheuse associée au laboratoire Sophiapol, journaliste à Libération (http://sexes.blogs.liberation.fr/)
dire les gestes qui intriguent tant les hétérosexuel·le·s, que ces gestes cessent d’être fantasmes, attrapés, figurés par qui les imaginent d’un point de vue dominant, c’est ma traduction de Dorothy Allison, c’est l’une des traductions que l’on peut avoir, je pense au travail de Elodie Petit, quelque chose qui poursuit, et je me rends compte à quel point, aussi, ma connaissance de cette littérature, la littérature qu’écrit et pour laquelle se bat Dorothy Allison m’est inconnue, presque inconnue, saluer King Kong Theorie de Despentes, je me demande si elle n’existe pas, si son pendant français n’existe pas ?, mais m’aperçois que, grâce aux notes des bas de pages je m’aperçois que la majorité des livres - de fiction, auxquels fait référence Dorothy Allison ne sont pas traduits en français, ma conclusion - hâtive, est : pas d’accès large de ce côté-ci de, alors, alors probable qu’ici, ce courant-ci se soit peu développé - mais : tout à l’heure pour aller chercher la ré-édition de Caliban et la sorcière de Silvia Federeci, ça sera aux Mots à la bouche, et sera errance dans les rayons : je m’aperçois ne l’avoir jamais encore, alors que, depuis quelque temps, je ne cesse d’aller y chercher les livres qui m’intéresse, le premier je crois que ça a été, Classer, Dominer, qui sont les autres ?, de Christine Delphy - qui, elle, fait lien, son engagement, non pas son, mais sa rencontre avec les féministes, le black-power américain, fait d’elle, de sa pensée ce qui aujourd’hui est, Classer, Dominer, qui sont les autres ? et revient cette peur : peut-être me classer est ce qui le plus me terrifie ? et de là, à, à nouveau Dorothy Allison, la façon dont elle mêle les différents lieu de lutte, d’affirmation :
L'horreur de la hiérarchisation en classes, du racisme et des préjugés, c'est que des personnes commencent à croire que la sécurité de leur famille et de leur communauté d��pend de l'oppression des autres, que, pour que quelques un•e•s puissent vivre bien, d'autres doivent voir leur vies mutilées et violentées. C'est une conviction qui prédomine dans notre culture. C'est ce qui rend les blanc•he•s du sud si racistes et les classes moyennes si méprisantes à l'égard des pauvres. C'est un mythe qui permet aux un•e•s de croire qu'ils et elles construisent leur vies sur les ruines de celles des autres : le noyau secret de la honte des classes moyennes, un aiguillon pour la classe ouvrière marginale, quelque chose qui parle suffisamment aux sans-abris et aux pauvres pour qu'ils et elles ne ressentent aucune gêne face à leur propre violence et leur propre haine. La puissance de ce mythe apparaît d'autant plus lorsqu'on examine, à l'intérieur des communautés lesbiennes et féministes où nous avons portés une attention particulière aux politique de marginalisation, combien il y a encore de peur, d'exclusion et de personnes qui ne se sentent pas en sécurité. J'ai grandi dans la pauvreté, la haine, victime de violences physiques, psychologiques et sexuelles, et je sais que souffrir ne rend pas noble. Cela détruit. Afin de résister à la destruction, la haine de soi ou le désespoir à vie, nous devons nous débarrasser de la condition de méprisé•e, de la peur de devenir le "ils"* dont ils parlent avec tant de dédain, refuser les mythes mensongers et les morales faciles, et nous voir nous-mêmes comme des êtres humains - avec nos défauts - et extraordinaires. Nous tou•te•s, extraordinaires.
* : La première fois que j'ai entendu "ils sont différents de nous, ils n'accordent pas la même valeur que nous à la vie humaine", j'étais en lycée en Floride. L'homme qui parlait était un recruteur de l'armée s'adressant à une bande de garçons, il leur expliquait ce qu'était vraiment l'armée et ce à quoi ils devaient s'attendre à l'autre bout du monde. Un sentiment de colère froide m'avait envahie. J'avais déjà entendu le mot "ils" prononcé sur ce même ton méprisant. "Ils", ces gens là-bas, ces gens ne sont pas nous, ils meurent si facilement, s'entre-tuent si aisément. Ils sont différents. "Nous", j'ai pensé. "Moi'.
Une question de classe (1993), in Peau (à propos de sexe, de classe et de littérature), Dorothy Allison, trad. Nicolas Milon et Camille Olivier, éd. Cambourakis, coll. sorcières, 2015
#dorothy allison#Kleist#bertha harris#elodie petit#nicolas milon#camille olivier#les mots à la bouche#christine delphy#silvia federeci#peau#à propos de sexe de classe et de littérature#Cambourakis#collection sorcières#sorcières
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"I want revenge." She whispers, and her fingers trail bloody streaks down Natalia's arms. "And then I want my crown." The background is a bit shitty. Bear with me. So I give you (left to right) Pietyr, Queen Katharine, and Nicolas. This has got to be my favorite love triangle in the series.
#one dark throne#queen katharine#queen arsinoe#three dark crowns#queen mirabella#fanart#art#jules milone#kendare blake#queens#book#YA#novel#pietyr#nicolas#arrons#poisoners#poison#hemlock#nightshade
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Appello per la liberazione immediata di Dana Lauriola firmato da oltre un centinaio di membri del corpo accademico, giuristi, intellettuali ed esponenti del mondo della cultura. Dana, attivista notav, è detenuta in carcere da ormai quasi sei mesi per aver parlato in un megafono durante una manifestazione contro il raddoppio della Torino-Lione
Alla Ministra della Giustizia
prof. Marta Cartabia
Al Garante nazionale delle persone sottoposte a misure restrittive della libertà personale
Mauro Palma
Al Garante delle persone sottoposte a misure restrittive della libertà personale per il Piemonte
Bruno Mellano
e, per conoscenza
Al Tribunale di sorveglianza di Torino
Dana Lauriola, militante No Tav, è in carcere dal 17 settembre 2020 ‒ e, dunque, da quasi sei mesi ‒ in esecuzione di una condanna a due anni di reclusione per il reato di violenza privata (per il quale, con il bilanciamento tra aggravanti e attenuanti, la pena prevista dalla legge parte da 15 giorni).
I fatti per cui è stata condannata risalgono a nove anni fa e sono stati commessi nel corso di una manifestazione di protesta e di solidarietà con Luca Abbà, agricoltore valsusino in quei giorni in bilico tra la vita e la morte dopo essere rimasto folgorato su un traliccio dell’alta tensione su cui si stava arrampicando, inseguito da un agente di polizia, in un’azione dimostrativa contro l’apertura del cantiere della Nuova linea ferroviaria Torino-Lione. La manifestazione si concluse con il blocco, per alcuni minuti, delle sbarre dei caselli di accesso all’autostrada Torino-Bardonecchia. Il danno subito dalla società concessionaria dell’autostrada per il mancato pagamento del pedaggio da parte degli automobilisti in transito è stato quantificato dal tribunale in 777 euro e a Dana Lauriola è stato contestato «di avere, usando un megafono, intimato agli automobilisti di transitare ai caselli senza pagare il pedaggio, indicando le ragioni della protesta». Diventata definitiva la sentenza, Dana Lauriola ha chiesto di scontare la pena in misura alternativa, ma il Tribunale di sorveglianza di Torino ha respinto l’istanza, pur in assenza di precedenti condanne definitive e nonostante l’esistenza di un lavoro stabile di notevole responsabilità e le valutazioni ampiamente favorevoli dei servizi sociali dell’amministrazione della giustizia. La motivazione del rigetto è che Dana Lauriola «non ha preso le distanze» dal movimento No Tav e che il suo domicilio «coincide con il territorio scelto come teatro di azione dal movimento No Tav, il quale ha individuato il cantiere di Chiomonte per la realizzazione della futura linea dell’Alta Velocità come scenario per frequenti manifestazioni e scontri con le Forze dell’ordine».
La vicenda ci lascia sbigottiti/e e preoccupati/e, come cittadini e cittadine impegnati/e nell’associazionismo, nella politica, nell’informazione, nel mondo dell’arte e della cultura. Per la sorte di Dana e per il trattamento del dissenso nel nostro Paese.
Non entriamo, qui, nel merito della qualificazione giuridica dei fatti e di altri aspetti (pur inquietanti) inerenti la ritenuta responsabilità di Dana e la concezione del concorso di persone nel reato sottesa alla condanna, ma denunciamo, da un lato, l’evidente sproporzione tra i fatti (commessi senza violenza alle persone e con un danno patrimoniale di assoluta modestia) e la pena e, dall’altro, la sorprendete anomalia della mancata concessione di una misura alternativa al carcere (pur consentita dalla legge e coerente con le condizioni soggettive di Dana). Il nostro stupore e la nostra preoccupazione, poi, aumentano guardando alle motivazioni con cui l’istanza di misura alternativa è stata respinta: Dana non può beneficiare della pena alternativa e, quindi, merita il carcere per aver tenuto fermi i propri «ideali politici» e la propria opposizione al Tav e perché abita nella valle in cui ci sono i suoi affetti, i suoi interessi, i suoi compagni di vita e di militanza!
Percepiamo la carcerazione di Dana come una grave ingiustizia sul piano personale e come un pesante attacco alla libertà di tutti di manifestare ed esprimere le proprie idee e di dissentire da scelte politiche ritenute sbagliate e dannose. La nostra denuncia e la nostra preoccupazione sono condivise dalla grande maggioranza di una valle che da trent’anni chiede inutilmente di essere ascoltata e da molti cittadini e cittadine che non sono contrari alla Nuova linea ferroviaria ma hanno a cuore le libertà e i diritti fondamentali.
Per questo vi chiediamo, ciascuno nell’ambito delle proprie competenze, di adottare ogni iniziativa utile a favorire l’immediata scarcerazione di Dana: per porre rimedio a un’ingiustizia in atto, per dare un segnale di attenzione ai temi implicati dalla vicenda, per ripristinare condizioni di agibilità politica anche (e soprattutto) per chi dissente.
4 marzo 2021
FIRMATARI
1) Maria Luisa Boccia (Centro per la Riforma dello Stato)
2) Daniela Dioguardi (Udipalermo)
3) Ketty Giannilivigni (Udipalermo)
4) Franco Ippolito (Fondazione Basso)
5) Livio Pepino (Volere la luna, Edizioni Gruppo Abele)
6) Tamar Pitch (Università di Perugia)
7) Grazia Zuffa (Società della ragione)
8) Alessandra Algostino (Università di Torino)
9) Stefano Anastasia (Università di Perugia)
10) Gaetano Azzariti (Università di Roma La Sapienza)
11) Letizia Battaglia (fotografa)
12) Mauro Biani (vignettista)
13) Alessandra Bocchetti (saggista)
14) Luciana Castellina (politica e scrittrice)
15) Franco Corleone (già sottosegretario alla Giustizia)
16) Maura Cossutta (Casa internazionale delle donne)
17) Maria Rosa Cutrufelli (scrittrice)
18) Teresa Degenhardt (Queen’s University, Belfast, Studi sulla Questione criminale)
19) Giuseppe De Marzo (Libera – Rete dei Numeri Pari)
20) Ida Dominijanni (filosofa e giornalista)
21) Claudio Fava (presidente Commissione antimafia Regione Sicilia)
22) Lorenzo Fazio (direttore editoriale casa editrice Chiarelettere)
23) Luigi Ferrajoli (Università di Roma3)
24) Angelo Ficarra (Anpi, Palermo)
25) Marcello Fois (scrittore)
26) Maria Grazia Giammarinaro (magistrata)
27) Elisabetta Grande (Università del Piemonte orientale)
28) Sabina Guzzanti (attrice e regista)
29) Loredana Lipperini (giornalista, scrittrice e conduttrice radiofonica)
30) Luigi Manconi (A Buon Diritto)
31) Lea Melandri (saggista)
32) Luca Mercalli (climatologo e giornalista scientifico)
33) Paolo Mondani (giornalista)
34) Tomaso Montanari (Università per stranieri di Siena)
35) Michela Murgia (scrittrice)
36) Francesco Pallante (Università di Torino)
37) Giovanni Palombarini (già magistrato)
38) Valeria Parrella (scrittrice)
39) Mariella Pasinati (Udipalermo )
40) Valentina Pazé (Università di Torino)
41) Marco Revelli (Università del Piemonte orientale)
42) Maria Concetta Sala (Udipalermo, Palermo)
43) Giorgia Serughetti (filosofa politica)
44) Evelina Santangelo (scrittrice)
45) Vincenzo Scalia (Università di Winchester, Studi sulla Questione criminale)
46) Anita Sonego (presidente Casa delle donne Milano)
47) Armando Sorrentino (avvocato)
48) Sergio Staino (vignettista)
49) Vittorio Teresi (già magistrato)
50) Chiara Valerio (scrittrice)
51) Simone Furzi, ricercatore
52) Laura Cima, ecofemminista
53) Alberto Castiglione, regista
54) Alessandra Sarchi, scrittrice
55) Helena Janeczeck, scrittrice
56) Teresa Ciabatti, scrittrice
57) Rossella Milone, scrittrice
58) Caterina Bonvicini, scrittrice
59) Hamid Ziarati, scrittore
60) Elvira Seminara, scrittrice
61) Marta Bellingreri, reporter l’Espresso, Al-Jazeera English
62) Alessio Mamo, fotoreporter l’Espresso, Guardian
63) Vittoria Tola, UDI
64) Giulia Potenza, avvocata, responsabile nazionale UDI
65) Adriana Laudani, avvocata
66) Emma Dante, regista
67) Valentina Chinnici, insegnante, consigliera comunale Palermo
68) Lorenzo Teodonio, fisico climatologo
69) Lorenzo Coccoli, storico
70) Rita Di Leo, docente di relazioni internazionali
71) Giulio De Petra, docente di tecnologie digitali
72) Carmelo Caravella, sindacalista Cgil
73) Luisa Simonutti, ricercatrice di filosofia politica, Cnr
74) Alessandro Montebugnoli, economista
75) Bianca Pomeranzi, esperta di cooperazione e politiche di genere
76) Fulvia Bandoli, politica ecologista
77) Mario Dogliani, costituzionalista
78) Alberto Olivetti, filosofo di estetica
79) Caterina Botti, filosofa morale
80) Laura Bazzicalupo, filosofa politica
81) Claudio De Fiores, costituzionalista
82) Chiara Giorgi, storica
83) Laura Ronchetti, costituzionalista
84) Nicola Genga, Ministero dei Beni culturali,
85) Rocco D’Ambrosio, sacerdote filosofo politico
86) Giuseppe Cotturri, docente di teoria del diritto e delle istituzioni
87) Stefania Vulterini, saggista
88) Emilio Giannelli avvocato
89) Gisella Modica Udipalermo
90) Giovanna Martelli, già parlamentare
91) Claudia Pedrotti, avvocata Udipalermo
92) Rita Barbera, già direttora istituti di pena
93) Elvira Rosa, coordinamento antiviolenza palermo
94) Gisella Costanzo, attrice
95) Sandra Rizza, giornalista
96) Laura Piretti, UDI
97) Alida Castelli, UDI
98) Liviana Zagagnoni, UDI
99) Pina Mandolfo, operatrice culturale
100) Francesca Traina, Udipalermo
101) Loredana Rosa, Il femminile è politico: potere alle donne
102) Rita Calabrese, Udipalermo
103) Marina Leopizzi, Udipalermo
104) Giovanna Minardi, docente Università Palermo
105) Mimma Grillo, Forum antirazzista Palermo
106) Ida La Porta, Udipalermo
107) Bice Grillo, Udipalermo
108) Toni Casano, redattore Pressenza
109) Alessandra Notarbartolo, coordinamento antiviolenza Palermo
110) Agata Schiera, Udipalermo
111) Beatrice Monroy, scrittrice
112) Emi Monteneri, Udipalermo
113) Angela Militello, Udipalermo
114) Etta Sgadari, Udipalermo
115) Elena Diliberto, Udipalermo
116) Mimma Argurio (segretaria generale Fisac Sicilia)
117) Elvira Morana (CGIL Sicilia)
118) Anna Maria Tirreno (segretaria Camera del lavoro CGIL Palermo)
119) Rita D’Ippolito (insegnante in pensione)
120) Rosario Nicchitta (architetto)
121) Novella Nicchitta (formatrice)
122) Ornella Russo (insegnante)
123) Anna Di Salvo (Città Felice, Rete la Ragna-Tela)
124) Enza Longo (Coordinamento antiviolenza 21luglio Palermo)
125) Maria Rosa Turrisi (preside in pensione)
126) Angela Galici (Coordinamento antiviolenza 21 luglio Palermo)
127) Simona Sorrentino (medica)
128) Elvira Rosa (Il femminile è politico: potere alle donne)
129) Gemma Infurnari (UDIPalermo)
130) Elisa Romano (Università di Pavia)
131) Maddalena Giardina (avvocata, UDIPalermo)
132) Anna Marrone (docente, UDIPalermo)
133) Emilia Martorana (Coordinamento antiviolenza 21luglio Palermo)
134) Katia Orlando (insegnante, consigliera comunale Palermo)
135) Maria Concetta Pizzurro (UDIPalermo)
136) Silvia Miceli, docente (UDIPalermo)
137) Maria Grazia Patronaggio (Le Onde onlus)
138) Valeria Andò (docente Università di Palermo)
139) Benita Licata (dirigente Scolastica)
140) A. Maria Catalano (dirigente Scolastica)
141) Gaia Nicita (docente)
142) Valeria Ferrauto (docente)
143) Margherita La Porta (funzionaria MEF)
144) Giusi Vacca (agente pubblicitaria)
145) Flora Arcuri (docente)
146) Cetti Iovino (imprenditrice agricola)
147) Alessandra Jaforte (docente)
148) Claudia La Franca (architetta)
149) Virna Chessari (docente)
150) Gilda Messina (docente)
151) Valeria Adamo (docente)
152) Giorgia Calì (docente)
153) Nadia Saputo (docente)
154) Claudia Calzolari (docente)
155) Gabriella Pucci (imprenditrice agricola)
156) Daniela Gennaro (dirigente scolastica)
157) Cristina Fatta del Bosco (imprenditrice agricola)
158) Amelia Crisantino (docente/scrittrice)
159) Anna Maria Ruta (dirigente scolastica)
160) M. Antonietta Spadaro (storica dell’arte)
161) Anna Cottone (docente Università Palermo)
162) Tommaso Di Caccamo (redattore tecnico)
163) Agostina Passantino (bibliotecaria)
164) Licia Masi (pensionata, operatrice sociale volontaria)
165) Rossella Reyes (dipendente regionale)
166) Sabina Cannizzaro (pensionata regionale)
167) Cristina Pecoraro (pensionata regionale)
168) Rosalba Rinaudo (insegnante in pensione)
169) Carmelo Lucchesi (insegnante in pensione)
170) Francesca Citarrella (operatrice sociale)
171) Laura Zizzo (guida turistica)
172) Michela Fiore (casalinga)
173) Antonia Cascio (pensionata)
174) Adriano Di Cara (ingegnere)
175) Antonino Di Cara (operatore sociale)
177) Sandra Giovanna Cascio (casalinga)
178) Alessandra Bruno (avvocata)
179) Emilia Esini (Maghweb)
180) Gabriele Tramontana (Maghweb)
189) Fabrizio Cacciatore (Maghweb)
190) Vincenzo Allotta (Maghweb)
191) Sofia Calderone (Maghweb)
192) Epifania Lo Presti (Maghweb)
193) Elisa Chillura (Maghweb)
194) Chiara Ercolani (Maghweb)
195) Marianna Castronovo (Maghweb)
196) Giuseppe Grado (Maghweb)
197) Marta Cutrò (docente)
198) Sebastiana Zangla (docente)
199) Maria Clara Provenzano (docente)
200) Maria Oliva Caldarella (docente)
201) Emanuela Bajardi (docente)
202) Candida Di Franco (docente)
203) Alessandra Martorana (docente)
204) Gabriella Costanzo (docente)
205) Teresa Burderi (docente)
206) Elvira Leone (pediatra)
207) Gisella Duci (docente)
208) Maria Di Chiara (docente)
209) Donatella Lombardo (docente)
210) Francesca Koch (storica)
211) Francesca Martino (musicista)
212) Ugo Mattei (Università di Torino, Generazioni Future)
Per adesioni:
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Così, tanto per fare il punto ed evitare qualsiasi fraintendimento
Disegni di legge
Atto Senato n. 3240 XVI Legislatura
Ratifica ed esecuzione del Trattato che istituisce il Meccanismo europeo di stabilità (MES), con Allegati, fatto a Bruxelles il 2 febbraio 2012
Titolo breve: Ratifica Trattato Meccanismo europeo di stabilità
Seduta n. 764 del 12 luglio 2012 - Votazione elettronica
Oggetto: Votazione finale
L'Assemblea del Senato «vota normalmente per alzata di mano». È quanto detta l'articolo 113 (secondo comma) del Regolamento del Senato. Come specificato nel titolo, le votazioni elencate in questa pagina sono quelle avvenute mediante il dispositivo elettronico. Per tutte le informazioni sui sistemi di voto in vigore in Senato, vedi gli articoli del Regolamento dal 107 al 120 (Capo XIII)
<< Torna all'elenco delle votazioni
Presidente: Emma BONINO
Presenti: 229
In congedo o in missione: 13
Numero legale: 154
Maggioranza: 114
Votanti: 227
Favorevoli: 191
Contrari: 21
Astenuti: 15
Esito: Approvato
Hanno votato a favore:
(elenco)
ADAMO Marilena, PD
AGOSTINI Mauro, PD
ALBERTI CASELLATI Maria Elisabetta, PdL
ALICATA Bruno, PdL
AMATI Silvana, PD
AMORUSO Francesco Maria, PdL
ANDRIA Alfonso, PD
ANTEZZA Maria, PD
ARMATO Teresa, PD
ASTORE Giuseppe, Misto
AUGELLO Andrea, PdL
AZZOLLINI Antonio, PdL
BAIO Emanuela, Per il Terzo Polo:ApI-FLI
BALBONI Alberto, PdL
BALDINI Massimo, PdL
BARBOLINI Giuliano, PD
BARELLI Paolo, PdL
BASSOLI Fiorenza, PD
BASTICO Mariangela, PD
BENEDETTI VALENTINI Domenico, PdL
BERTUZZI Maria Teresa, PD
BETTAMIO Giampaolo, PdL
BIANCO Enzo, PD
BIANCONI Laura, PdL
BIONDELLI Franca, PD
BLAZINA Tamara, PD
BODEGA Lorenzo, Misto
BONFRISCO Anna Cinzia, PdL
BOSCETTO Gabriele, PdL
BOSONE Daniele, PD
BRUNO Franco, Per il Terzo Polo:ApI-FLI
BUBBICO Filippo, PD
BURGARETTA APARO Sebastiano, PdL
BUTTI Alessio, PdL
CABRAS Antonello, PD
CALIENDO Giacomo, PdL
CALIGIURI Battista, PdL
CARDIELLO Franco, PdL
CARLONI Anna Maria, PD
CARRARA Valerio, CN:GS-SI-PID-IB-FI
CASOLI Francesco, PdL
CASSON Felice, PD
CASTRO Maurizio, PdL
CECCANTI Stefano, PD
CERUTI Mauro, PD
CHIURAZZI Carlo, PD
COLOMBO Emilio, UDC-SVP-AUT:UV-MAIE-VN-MRE-PLI-PSI
COMPAGNA Luigi, PdL
CONTI Riccardo, PdL
CONTINI Barbara, Per il Terzo Polo:ApI-FLI
COSENTINO Lionello, PD
D'ALI' Antonio, PdL
D'ALIA Gianpiero, UDC-SVP-AUT:UV-MAIE-VN-MRE-PLI-PSI
D'AMBROSIO LETTIERI Luigi, PdL
DE ANGELIS Candido, Per il Terzo Polo:ApI-FLI
DE ECCHER Cristano, PdL
DE FEO Diana, PdL
DE LILLO Stefano, PdL
DE LUCA Cristina, Per il Terzo Polo:ApI-FLI
DE LUCA Vincenzo, PD
DE SENA Luigi, PD
DEL VECCHIO Mauro, PD
DELLA SETA Roberto, PD
DI GIACOMO Ulisse, PdL
DI GIOVAN PAOLO Roberto, PD
DI STEFANO Fabrizio, PdL
DIGILIO Egidio, Per il Terzo Polo:ApI-FLI
DINI Lamberto, PdL
DONAGGIO Cecilia, PD
D'UBALDO Lucio Alessio, PD
ESPOSITO Giuseppe, PdL
FASANO Enzo, PdL
FAZZONE Claudio, PdL
FERRANTE Francesco, PD
FERRARA Mario, CN:GS-SI-PID-IB-FI
FINOCCHIARO Anna, PD
FLERES Salvo, CN:GS-SI-PID-IB-FI
FOLLINI Marco, PD
FONTANA Cinzia Maria, PD
FOSSON Antonio, UDC-SVP-AUT:UV-MAIE-VN-MRE-PLI-PSI
FRANCO Vittoria, PD
GALIOTO Vincenzo, UDC-SVP-AUT:UV-MAIE-VN-MRE-PLI-PSI
GALPERTI Guido, PD
GARAVAGLIA Mariapia, PD
GARRAFFA Costantino, PD
GASPARRI Maurizio, PdL
GENTILE Antonio, PdL
GERMONTANI Maria Ida, Per il Terzo Polo:ApI-FLI
GHEDINI Rita, PD
GIAI Mirella, UDC-SVP-AUT:UV-MAIE-VN-MRE-PLI-PSI
GIARETTA Paolo, PD
GIORDANO Basilio, PdL
GRAMAZIO Domenico, PdL
GUSTAVINO Claudio, UDC-SVP-AUT:UV-MAIE-VN-MRE-PLI-PSI
ICHINO Pietro, PD
INCOSTANTE Maria Fortuna, PD
IZZO Cosimo, PdL
LADU Silvestro, PdL
LATORRE Nicola, PD
LATRONICO Cosimo, PdL
LAURO Raffaele, PdL
LEDDI Maria, PD
LEGNINI Giovanni, PD
LENNA Vanni, PdL
LICASTRO SCARDINO Simonetta, PdL
LIVI BACCI Massimo, PD
LUMIA Giuseppe, PD
MAGISTRELLI Marina, PD
MARCENARO Pietro, PD
MARCUCCI Andrea, PD
MARINARO Francesca Maria, PD
MARINO Mauro Maria, PD
MAZZARACCHIO Salvatore, PdL
MAZZUCONI Daniela, PD
MENARDI Giuseppe, CN:GS-SI-PID-IB-FI
MERCATALI Vidmer, PD
MICHELONI Claudio, PD
MILANA Riccardo, Per il Terzo Polo:ApI-FLI
MILONE Giuseppe, PdL
MOLINARI Claudio, Per il Terzo Polo:ApI-FLI
MONACO Francesco, PD
MONGIELLO Colomba, PD
MORANDO Enrico, PD
MORRI Fabrizio, PD
MUSI Adriano, PD
MUSSO Enrico, UDC-SVP-AUT:UV-MAIE-VN-MRE-PLI-PSI
NEGRI Magda, PD
NEROZZI Paolo, PD
NESPOLI Vincenzo, PdL
NESSA Pasquale, PdL
ORSI Franco, PdL
PALMA Nitto Francesco, PdL
PALMIZIO Elio Massimo, CN:GS-SI-PID-IB-FI
PARAVIA Antonio, PdL
PASSONI Achille, PD
PASTORE Andrea, PdL
PEGORER Carlo, PD
PERDUCA Marco, PD
PERTOLDI Flavio, PD
PETERLINI Oskar, UDC-SVP-AUT:UV-MAIE-VN-MRE-PLI-PSI
PICCIONI Lorenzo, PdL
PICHETTO FRATIN Gilberto, PdL
PIGNEDOLI Leana, PD
PISCITELLI Salvatore, CN:GS-SI-PID-IB-FI
PONTONE Francesco, PdL
PORETTI Donatella, PD
POSSA Guido, PdL
PROCACCI Giovanni, PD
RANDAZZO Nino, PD
RIZZOTTI Maria, PdL
ROILO Giorgio, PD
ROSSI Paolo, PD
RUSCONI Antonio, PD
RUSSO Giacinto, Per il Terzo Polo:ApI-FLI
RUTELLI Francesco, Per il Terzo Polo:ApI-FLI
SACCOMANNO Michele, PdL
SACCONI Maurizio, PdL
SAIA Maurizio, CN:GS-SI-PID-IB-FI
SALTAMARTINI Filippo, PdL
SANCIU Fedele, PdL
SANNA Francesco, PD
SANTINI Giacomo, PdL
SARO Giuseppe, PdL
SARRO Carlo, PdL
SCANU Gian Piero, PD
SCARPA BONAZZA BUORA Paolo, PdL
SERAFINI Anna Maria, PD
SERAFINI Giancarlo, PdL
SERRA Achille, UDC-SVP-AUT:UV-MAIE-VN-MRE-PLI-PSI
SIBILIA Cosimo, PdL
SIRCANA Silvio Emilio, PD
SOLIANI Albertina, PD
SPADONI URBANI Ada, PdL
SPEZIALI Vincenzo, PdL
STRADIOTTO Marco, PD
TANCREDI Paolo, PdL
TEDESCO Alberto, Misto
TOFANI Oreste, PdL
TOMASELLI Salvatore, PD
TONINI Giorgio, PD
TOTARO Achille, PdL
VALDITARA Giuseppe, Per il Terzo Polo:ApI-FLI
VALENTINO Giuseppe, PdL
VICECONTE Guido, PdL
VIESPOLI Pasquale, CN:GS-SI-PID-IB-FI
VILLARI Riccardo, CN:GS-SI-PID-IB-FI
VIMERCATI Luigi, PD
VITALI Walter, PD
VIZZINI Carlo, UDC-SVP-AUT:UV-MAIE-VN-MRE-PLI-PSI
ZANDA Luigi, PD
ZANOLETTI Tomaso, PdL
Hanno votato contro:
(elenco)
ADERENTI Irene, LNP
BRICOLO Federico, LNP
CALDEROLI Roberto, LNP
CARUSO Antonino, PdL
CASTELLI Roberto, LNP
DAVICO Michelino, LNP
DIVINA Sergio, LNP
FRANCO Paolo, LNP
GARAVAGLIA Massimo, LNP
LANNUTTI Elio, IdV
LEONI Giuseppe, LNP
MARAVENTANO Angela, LNP
MAZZATORTA Sandro, LNP
MONTANI Enrico, LNP
MURA Roberto, LNP
PITTONI Mario, LNP
RIZZI Fabio, LNP
TORRI Giovanni, LNP
VACCARI Gianvittore, LNP
VALLARDI Gianpaolo, LNP
VALLI Armando, LNP
Si sono astenuti:
(elenco)
ALLEGRINI Laura, PdL
ASCIUTTI Franco, PdL
BORNACIN Giorgio, PdL
CAFORIO Giuseppe, IdV
CAMBER Giulio, PdL
CARLINO Giuliana, IdV
DE TONI Gianpiero, IdV
LI GOTTI Luigi, IdV
MALAN Lucio, PdL
MASCITELLI Alfonso, IdV
MESSINA Alfredo, PdL
PEDICA Stefano, IdV
PINZGER Manfred, UDC-SVP-AUT:UV-MAIE-VN-MRE-PLI-PSI
PISTORIO Giovanni, Misto
THALER AUSSERHOFER Helga, UDC-SVP-AUT:UV-MAIE-VN-MRE-PLI-PSI
In congedo o in missione:
(elenco)
BERSELLI Filippo, PdL
CHITI Vannino, PD
CIAMPI Carlo Azeglio, Misto
CIARRAPICO Giuseppe, PdL
DELL'UTRI Marcello, PdL
GAMBA Pierfrancesco Emilio Romano, PdL
MONTI Mario, Misto
MORRA Carmelo, PdL
MUGNAI Franco, PdL
OLIVA Vincenzo, Misto
PERA Marcello, PdL
SANGALLI Gian Carlo, PD
SCIASCIA Salvatore, PdL
#italia#mes#mes meccanismo europeo di stabilità#meccanismo europeo di stabilità#unione europea#parlamento italiano
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I love the Queens of Fennbirn (Contains spoilers about the Three Dark Crowns Series)
If you haven’t read until Five Dark Fates, don’t read this. Be advised that the following list of Queens Of Fennbirn Island is still incomplete. I’ve added the names of each queen’s foster families and home cities to their own (if I could find or guess them), because I like how it sounds. These are mostly, but not all, Queens 👸🏽 born of the Goddess. These Queens may not even be in the right chronological order. But is in the order of oldest to youngest triplet (if I can the queen’s sisters). The oldest I could find was 1000 years old.
I love all the Queens of Fennbirn Island, starting with the first queen, the Legion Queen with all five gifts, the first bearer of the triplets.
Queen Bethel the Pious.
Queen Caedan, the first Blue Queen.
Mad Queen Elsabet Lermont Of Sunpool, the Oracle.
the Vatros War Queens from Bastian, preceding Philomene.
Philomene Vatros Of Bastian, the War Queen.
Queen Theodora of Wolf Spring, the Naturalist, bonded to a Horse.
Queen Veronica
Queen Leonine Traverse Of Sealhead (what she would’ve been), the Naturalist.
Queen Isadora Lermont Of Sunpool (what she would’ve been), the Oracle.
Blue Queen Roxane Westwood Of Rolanth (what she would’ve been)/Illiann Of Indrid Down/Daphne of Centra, the Elemental.
Blue Queen Illiann Of Indrid Down, the Elemental.
Queen Andira of Wolf Spring, the White Handed Naturalist.
Queen Bernadine Of Bernadine’s Landing, the Naturalist, bound to a bear.
Queen Shannon the Elemental.
Queen Elo Westwood Of Rolanth, the Elemental, the Fire-Breather.
Queen Sylvia Arron Of Indrid Down, the Poisoner.
Queen Nicola Arron Of Indrid Down, the Poisoner.
Queen Camille Arron Of Indrid Down, the Poisoner.
And I especially love...
Queen Mirabella Mistbane Westwood Of Rolanth, the Elemental...
...Queen Arsinoe Milone Of Wolf Spring, the Poisoner, the Bear Queen, the last true Queen born of the Goddess...
...Queen Katharine Arron Of Indrid Down, the Naturalist, the Undead, the last Queen Crowned of Fennbirn, she who draws power from forgotten dead queens...
...and finally Legion Queen Juillenne “Jules” Milone, the War-gifted Naturalist Of Wolf Spring, bound to Camden the mountain lion, not of the Goddess’s blood though she ended the era of queens killing queens.
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UN CONVEGNO NAZIONALE SU SCOUTISMO E ANTIFASCISMO
Roma
9 marzo 2019, centro Boncompagni 22, via Boncompagni 22, ore 20.30
10 marzo 2019, cinema Caravaggio, via Paisiello 24, ore 10
Dopo le settimane di preparazione e i due giorni passati insieme a Roma siamo tornati alle nostre vite quotidiane, agli studi e al lavoro con una nuova esperienza nello zaino. È stato un weekend intenso e bello.
Ecco i portali dove nei prossimi giorni pubblicheremo progressivamente i materiali del convegno: foto, atti, registrazioni.
Le registrazioni su Soundcloud
Documenti e slide in una cartella condivisa
Le foto su Flickr
I partecipanti al convegno hanno scelto di lasciarsi con una serie di impegni condivisi per continuare insieme, li trovi a questo link.
L’appello che ha lanciato un convegno nazionale su scoutismo e antifascismo rimane aperto alle firme di capi in servizio e di ex capi scout delle associazioni italiane. L’indirizzo è sempre quello: [email protected]
L’appello
Siamo educatori scout, Capi e soci adulti delle associazioni italiane, antifascisti per storia e visione del mondo. Vogliamo piantare la nostra tenda anche in questa fase storica così delicata, in questo mondo che muta così velocemente in una direzione che ci pare spesso sbagliata, preoccupante e contraria ai nostri valori.
Troppo spesso dai quattro angoli del paese e del continente ci arrivano storie strazianti. Personaggi violenti picchiano donne e uomini colpevoli solo di essere diversi per idee, per colore della pelle, per opinioni sulla vita e sul mondo. Intolleranza e sopraffazione si diffondono mentre esseri umani muoiono in mare. Nella politica e nella società, il livello di discussione si limita spesso a slogan che nascondono lacune culturali e una evidente mancanza di consapevolezza rispetto alla realtà. Nonostante i dati parlino di un numero di reati in costante diminuzione, gli imprenditori della paura speculano sul senso di insicurezza e precarietà della gente, per alimentare sui territori insensate guerre tra poveri.
Ogni settimana, ogni giorno, in giro per gli stessi territori bambine, bambini, ragazze e ragazzi, giovani e Capi continuano allo stesso tempo a giocare un gioco che ha ormai più di cent'anni e che si basa su principi completamente opposti: fratellanza, vita all'aria aperta, educazione fra pari sono il cardine di ciò che noi chiamiamo educazione alla libertà. Per questo sappiamo che l’antifascismo per un Capo scout è una scelta di metodo, oltre che un valore: è un modo di fare, uno stile dell’educare, un’attenzione da tenere costantemente presente quando si organizzano giochi, attività, proposte.
Le associazioni scout italiane da sempre hanno tenuto fermo questo patrimonio di idee e di valori. Il CNGEI nella propria carta di identità associativa pone la democrazia, all’interno dei propri processi decisionali e come fulcro della propria azione educativa, tra le proprie scelte fondanti e caratterizzanti e, quanto all'educazione dei giovani, evidenzia il concetto di coeducazione, ovvero di educazione per tutti e con tutti, accettando e rispettando ogni diversità. L’AGESCI pone l’antifascismo tra i riferimenti fondamentali della Scelta Politica contenuta nel Patto Associativo, il documento fondativo dell’unificazione di ASCI e AGI avvenuta nell’aprile 1974: da allora lo ha sempre mantenuto come irrinunciabile, rilanciandolo e facendolo vivere negli eventi per capi e ragazzi, oltre che nella propria quotidiana democrazia associativa.
Questo è un coraggio che viene da lontano. Le Aquile Randagie in Lombardia, gli scout clandestini dello Stretto e della Calabria, le guide e gli scout antifascisti a Roma: durante gli anni della Giungla Silente, quando la dittatura nazifascista soppresse tutte le associazioni educative diverse dall’Opera Nazionale Balilla e dall’Azione Cattolica, gruppi di Capi e ragazzi scelsero la clandestinità perché alla base del loro agire avevano una scelta di mondo, un'idea di ciò che l'uomo e la donna possono diventare, quella che oggi alcune associazioni scout chiamano Partenza.
Da tempo noi ci troviamo invece ad assistere, oltre a momenti positivi e a prese di posizioni auspicabili, anche a contraddizioni e compromessi all'interno delle nostre associazioni. A timidezze e a volte a errori: ad attività da migliorare, a episodi non affrontati, a Capi non abbastanza preparati e non abbastanza consapevoli e attivi sui temi dell'antifascismo; allo stesso tempo conosciamo quanto i Capi giovani - e non solo - oggi chiedano formazione di qualità e posizioni rigorose su antifascismo, antirazzismo, nonviolenza e critica radicale al potere come dominio. Vediamo anche che i nostri ragazzi, molto più adulti oggi delle generazioni che li hanno preceduti, sono fortunatamente meno disposti ad accettare risposte preconfezionate e ordini che vengono da adulti, a volte Capi, spesso pronti ad ostentare un’autorità che non hanno, anziché esprimere una più auspicabile autorevolezza: sono così proprio le future donne e i futuri uomini che ci sono affidati a chiedere sui grandi temi dei nostri tempi proposte chiare, contenuti forti, qualità educativa elevata.
Sappiamo bene quanto sia difficile essere associazione al giorno d’oggi. È per questo allora che vogliamo essere fedeli alla nostra Promessa e renderci utili anche in tempi che troviamo cupi, trasformandoli in giorni promettenti. Vogliamo ritrovarci per discutere e pensare, per condividere ciò che ci sta a cuore, migliorare la nostra azione educativa e confermarla ancorata a quei riferimenti che per noi sono irrinunciabili. Vogliamo costruire un pensiero che sia di servizio alle associazioni che operano sul territorio e ai singoli Capi che si impegnano ai quattro angoli del paese.
Ci convochiamo allora, come Capi scout, educatori liberi, in un Convegno nazionale su scoutismo e antifascismo, che vivremo il 9 e il 10 marzo 2019 a Roma, presso il cinema Caravaggio. Un incontro di studio, di riflessione, di dibattito, di approfondimento e meditazione. Un incontro di formazione. Un altro passo nella giusta direzione.
Siamo Capi scout,
Siamo antifascisti.
Coordinamento Capi Scout Antifascisti
Per aderire scrivi a [email protected]
I capi firmatari dell’appello
Tommaso Caldarelli, Lazio, Agesci
Maria Chiara Porretta, Lazio, Agesci
Margherita Posta, Lazio, Agesci
Paolo Nunziante, Liguria, Agesci
Valentino Scordino, Calabria, Agesci
Giovanni Gaiera, Lombardia, Agesci
Emanuele Luigi Colazzo, Lazio, Agesci
Daniela Ferrara, Sicilia, Agesci
Nicola Selim Babaoglu, Bologna, Cngei
Luca Montanari, Bologna, Cngei
Laura Pattuzzi, Emilia-Romagna, Agesci
Mattia Pesci, Emilia-Romagna, Agesci
Silvia Sturani, Veneto, Agesci
Padre Giuseppe Trotta Sj, Campania, Agesci
Mariarosaria Zamboi, Lazio, Agesci
Giorgio Manca, Lazio, Agesci
Saverio Sciao Pazzano, Calabria, Agesci
Ciro Facciolla, Portici, Cngei
Antonello Praticó, Calabria, Agesci
Luca Scarpiello, Bari, Cngei
Riccardo Camedda, Roma, Cngei
Gregorio Lombardi, Fermignano, Cngei
Giada Jacqueline Todisco Grande, Fermignano, Cngei
Mirta Cimmino, Napoli, Cngei
Matteo Morara, Emilia Romagna, Agesci
Margherita Milone, Liguria, Agesci
Chiara Zotti, Piemonte, Agesci
Gianluca Scacco, Emilia Romagna, Agesci
Lia Zornetta, Emilia Romagna, Agesci
Federico Scarpelli, Toscana, Agesci
Attilio Valentini, Ariccia, Cngei
Paolo Biella, Lombardia, Agesci
Francesca Galletti, Ariccia, Cngei
Azzurra Chiaramonti, Lazio, Agesci
Silvia d’Auria, Lazio, Agesci
Simone Barbieri, Liguria, Agesci
Giovanni Raffa, Calabria, Agesci
Antongiulio Cavaliere Converti, Calabria, Agesci
Giulia Addazi, Lazio, Agesci
Dina Tufano, Lombardia, Agesci
Lorenzo Morandi, Lombardia, Agesci
Alessandro Cogorno, Liguria, Agesci
Caterina Bondi, Emilia Romagna, Agesci
Andrea Biglietti, Bologna, Agesci
Francesco Mancioppi, Liguria, Agesci
Marco Fumagalli, Lombardia, Agesci
Pietro Acrami, Lombardia, Agesci
Pierpaolo Rapicano, Campania, Agesci
Francesca Saccomandi, Emilia Romagna, Agesci
Lorenzo Gilli, Lazio, Agesci
Benedetta Rubino, Lombardia, Agesci
Luca Pirolo, Lombardia, Agesci
Teresa Ballerini, Pesaro, Cngei
Matteo Zornetta, Emilia Romagna, Agesci
Matilde Marzorati, Lombardia, Agesci
Giulia Ventimiglia, Lombardia, Agesci
Anna Cerati, Lombardia, Agesci
Jacopo Mascheroni, Lombardia, Agesci
Carolina Vitale, Lombardia, Agesci
Jacopo Cerati, Lombardia, Agesci
Laura Maialetti, Lombardia, Agesci
Giovanni Romano, Lecce, Cngei
Pietro Feltri, Lombardia, Agesci
Bianca Ferrari, Milano, Cngei
Daniele Caldarelli, Ariccia, Cngei
Francesca Fumagalli, Lombardia, Agesci
Jacopo Pesiri, Padova, Gruppo Scout Pablo Neruda
Claudio Ielmini, Piemonte, Agesci
Marta Abbate, Lombardia, Agesci
Chiara Abbate, Lombardia, Agesci
Sarah Longo, Lombardia, Agesci
Francesca Gorla, Lombardia, Agesci
Giovanni Terribile, Lombardia, Agesci
Alessandro Colombo, Lombardia, Agesci
Camilla Tambani, Lombardia, Agesci
Gabriele Riva, Lombardia, Agesci
Davide Scopece, Lombardia, Agesci
Cristina Pilichi, Lombardia, Agesci
Giulia Galliani, Lombardia, Agesci
Flavio Zecchinello, Lombardia, Agesci
Marco Piazzoni, Lombardia, Agesci
Carlo Bidoia, Lombardia, Agesci
Luciano Squillaci, Calabria, Agesci
Antonino Nunnari, Calabria, Agesci
Anna Colombo, Lombardia, Agesci
Samuele Pirronello, Lombardia, Agesci
Maddalena Cavadini, Lombardia, Agesci
Maria Fera, Liguria, Agesci
Anna Colombo, Lombardia, Agesci
Cecilia Barberis, Lombardia, Agesci
Sofia Ronchetti, Lombardia, Agesci
Giuggi Palmenta, Calabria, Agesci
Andrea Bosio, Liguria, Agesci
Elisa Galli, Lazio, Agesci
Andrea Bogino, Sardegna, Agesci
Jessica Marino, Calabria, Agesci
Fabio Tassone, Lazio, Agesci
Davide Palluzzi, Lazio, Agesci
Matteo Spallacci, Marche, Agesci
Sara Lonato, Lombardia, Agesci
Marino Marinelli, Toscana, Agesci
Medea Zanon, Bologna, Cngei
Valentina d'Alessio, Abruzzo, Agesci
Lucia Romeo, Calabria, Agesci
Angela Pesce, Umbria, Agesci
Manlio Majorani, Umbria, Agesci
Giulia Ghini, Emilia Romagna, Agesci
Cristian Calzolari, Bologna, Agesci
Pierpaolo Giordano, Ariccia, Cngei
Salvo Ranno, Messina, Cngei
Tiziano Carbone, Velletri, Cngei
Sara Moon Villa, Milano, Cngei
Susanna Chiulli, Lazio, Agesci
Emanuele Falcolini, Lazio, Agesci
Marialuisa Mortara, Lazio, Agesci
Domenico Alghiri, Lazio, Agesci
Antonio Coccia, Lazio, Agesci
adesioni in continuo aggiornamento...
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------
Sostenitori - Ex capi scout
Gian Domenico Ricaldone, Liguria; Annarita Leobruni, Lazio; Elisabetta Fonti, Lazio; Matteo Fontana, Lazio; Giulia d’Auria, Lazio; Romolo Corradi, Marche; Amaniele Teke, Lazio; Valentina Marra, Lazio; Vittorio Agnoletto, Lombardia; Fabio Siclari, Calabria; Alessandro Cartisano, Calabria; Cosimo Magnelli, Toscana; Alice Vergani, Lombardia; Fulvia Fadda, Toscana; Michela Brambilla, Lombardia; Alessandro Colleoni, Lombardia; Adriano Palagi, Toscana; Giovanni Cresci, Toscana; Marta Cristianini, Lazio; Giulio Lattanzi, Toscana; Christina Tanca, Marche; Michela Laurenzo, Sardegna
Raccogliamo adesioni di capi ed educatori scout, di assistenti ecclesiastici, di ex capi scout.
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Okay I know this is a lot but reading this guy’s thoughts gives you all the feels of reading the book all over again and it is amazing (x)
1. Okay first of all I am SO excited it’s starting back at Greavesdrake 2. Love this little poison bitch 3. “These are only a bit of fun.” I am living 4. I cannot wait for this reunion omg I can’t wait for ANYTHING
5. Book one Katharine vs. book two Katharine:
6. Fifty bucks says Thomas and Michael don’t make it to book three 7. Maybe it would be easier if Joseph didn’t make it to book three 8. Omg that’s right if Arsinoe wins as a poisoner then the poisoners will want to claim her as their own dang there is so much going on 9. I LOVE THIS BOOK 10. Wait did they never kiss in the first book 11. Are you kidding me Joseph and Mirabella shacked up in a seaside cavern and the real royal couple is out here willing to die for each other without ever having locked lips?? 12. Ew imagine someone spit on you I would scream 13. “Next time it won’t be spit. Next time it’ll be a knife!” LMAO WHAT 14. Can you IMAGINE 15. They’re already going to fight I can’t believe this 16. I love Bree 17. I’m screaming Kat just enjoys RUNNING PEOPLE DOWN in her free time 18. WHO IS THIS GIRL 19. Black marble and spitting gargoyles is such an aesthetic 20. I lied the GODDESS STONE is an aesthetic 21. Omg she’s referring to herself as “us” this is amazing 22. Luke/Hank 2020
23. THERE IS GOING TO BE A FIGHT 24. MERRY CHRISTMAS TO ME
25. I love that every single character is like “Well I don’t WANT to kill them, but also I myself do not want to die, so,”
26. Except for Jules she would absolutely kill a man
27. Do I love or hate Madrigal? I just don’t know 28. WHAT 29. Omggg I love this I love Jules 30. Wait DROWN HER these people are so DRAMATIC 31. I want to know more about every single gift 32. They’re gonna fight!! 33. They’re gonna fight!!!!!!! 34. Mirabella the bear isn’t there just KILL HER
35. Ok if these girls didn’t have such a flair for drama I guarantee this war would already be over
36. “Mirabella has found her nerve.” Yes she has 37. Lmao jokes she still won’t kill her 38. Like… just do it!!! Just kill her!!!!!!!!!! 39. WELP now you CAN’T because there’s a BEAR 40. Katharine is insane THAT’S FUN 41. You know I’ve always wanted to learn how to throw knives 42. Omg Pietyr?! 43. Jk 44. I don’t know Nicolas but I love him 45. Don’t you DARE throw my queen off a cliff 46. “He doesn’t smell like the last one.” Billy the last one was dead 47. BILLY’S GOING TO THE WESTWOODS 48. Honesty, the DRAMA 49. “Because I saw you first,” ugh I love them
50. I can’t believe I’m only a quarter of the way through this book I need a nap
51. Ugh why doesn’t anyone love Mirabella 52. Don’t worry I love you Mirabella
53. PREGNANT 54. SHE’S PREGNANT 55. Oh my god 56. Thomas and Michael are here someone get the death cannon ready 57. AHHH 58. What did I say 59. “At least they were cousins,” Katharine PLEASE 60. I want a buddy-cop spinoff where Natalia and Luca fight crime 61. Aw okay at least Mira has a friend Billy is nice
62. “Where is your bear?” “WELL HE’S NOT IN MY POCKET.”
63. I love Billy Chatworth, Worst Cook on Fennbirn Island ™
64. Nicolas lmao wtf 65. WHO IS THIS GUY 66. PIIIIIEEEETTTYYYYYRRRRR 67. “But you will never have me again.” Bye I just screamed 68. You know I think I’d want the war gift it’s so vague and powerful
69. “It only gives you powers over weapons,” you say 70. “ANYTHING CAN BE A WEAPON,” I scream in response
71. I love Katharineeeeeeee 72. Omg wait and Rho can’t publicly help Mirabella 73. So much is happening 74. Oh my god 75. Yeah curse the queens THIS SEEMS LIKE A GOOD IDEA 76. Can’t wait for this one to go wrong 77. “What’s this gonna do btw?” “Oh lmao idk” Super 78. Oh my god 79. Ohhhhh my god 80. Here we GO 81. Can I just say again that I love Nicolas the psychopath 82. Pietyr is going to slap him 83. “This is your life. Don’t tell me to stay out of it.” 84. Imagine this book from Braddock’s POV 85. Omg just KISS ALREADY
86. This is all VERY High School Musical 2
87. Imagine a plot twist that reveals Billy as the true naturalist queen 88. “I’ll love you for as long as I live.” Oh no 89. Everyone is ready for surprise murder but I’m watching Hairspray as I read this and it’s creating quite the interesting mood 90. Lmao I love Katharine and Nicolas!!! What little psychopaths!!!!!! 91. I love Katharine!!!!!!!!!!!! 92. This is amazing 93. I LOVE DRAMA 94. “But that is not fair!” Mira, buddy, pal, 95. SHE SLEPT THROUGH THE ENTIRE FESTIVAL LMAO NO!!! 96. JULLIENNE MILONE!!!!! 97. HOW IS THERE STILL MORE THAN HALF THE BOOK LEFT 98. This girl is literally being HUNTED 99. Omg please Braddock go go go follow her 100. Mirabella NO!!!! 101. Omg omg omg omgggggg 102. I’M SO STRESSED 103. Sidenote I love Mirabella and Arsinoe together 104. WHAT 105. WHAT!!!!!!! 106. JULES 107. JULES IS HERE 108. JULES!!!!! 109. LMAO THEY STOLE HER HORSE I’M SCREAMING 110. Oh my god Katharine no don’t SAY THAT
111. Honestly I don’t super remember Bree from the first book but would I die for her now? Absolutely
112. I’m so stressed 113. THEY WENT TO CARAGH 114. Lol TBH makes it sound like a jewelry commercial 115. “They went to Caragh!” Madrigal will cry, clutching her diamonds 116. “Until they were six, they were mine.” 117. Um @ the Young Queens WHERE ARE YOU 118. Mirabella/Billy 2020 119. Lmao yo I am so freaking excited for Arsinoe to make her dramatic return 120. I’m just thinking about it!! Ah!!!! 121. A DUEL 122. This is madness I need a break and a nap and a snack immediately 123. Katharine!!!!! You can’t just THROW BACK a cup of poison!! Honestly!!!
124. “You cannot kill,” she says, causing me to GASP, “what is already dead.”
125. SHE ALREADY KNEW
126. I can’t decide if I want Katharine, Pietyr, and Nicolas to all destroy each other or if they are the toxic, murderous OT3 of my dreams 127. The venn diagram of those two things may just be a circle
128. KAT JUST FOUND OUT ABOUT THE CHALLENGE 129. Omg she’s throwing a TANTRUM I’m living 130. “I will hold a ball the night before,” This is my ideal dark gothic aesthetic
131. “What if the Goddess is on her side?” “It does not matter. They are on mine.”
132. Why do I picture Madrigal exactly as Alice Cooper from Riverdale 133. She’s going to help Mirabella!!! She’s going to help Mirabella!!!!!!! 134. I’m serious can I vote for Mirabella and Billy on the ticket in 2020 135. Oh my god no 136. No no no I refuse to believe they have their hooks in him 137. THEY CANNOT HAVE THEIR HOOKS IN BILLY 138. He’s a horrible cook he would never fit in with the feast-loving Arrons 139. I love Mirabella
140. Oh my god Katharine 141. Oh my goddddd 142. LMAO WHAT THE F#&K 143. “We have not been your Katharine since you threw me down the Breccia Domain.” WHAT THE F#&KKK!!!!!!!! LMAO!!!?! 144. HE’S GOING BACK TO THE BRECCIA DOMAIN!!
145. Meanwhile, Arsinoe, on a mule, 146. Just looking at the names of the chapters left is stressing me out 147. NAT IS SLEEPING WITH BILLY’S DAD I just CHOKED
148. THERE’S SO MUCH DRAMA AROUND EVERY TURN
149. Oh thank god their hooks are not in Billy yet 150. Omg omg Jules is at the ball here we go here we GO it’s happening
151. “Before Katharine and her suitor take their place amid the Arrons, dazzling in their snakes and scorpions, Katharine cocks her head at Mirabella and winks. Nicolas smiles at Billy and discreetly spits onto the floor.” I’m just obsessed with this entire snippet
152. Oh Joseph honey no go home 153. ARSINOE!! 154. “Dancing with my sister,” Oh my god 155. This is what I LIVE FOR 156. “I am not afraid. I am angry.” 157. “I may be the weakest, but I am a queen, through and through.” 158. Oh my god
159. I NEED TO SEE THIS SCENE ON A BIG SCREEN
160. “They are tired of it.” I SCREAMED
161. Oh my godddd he’s going in 162. HE’S GOING IN THE BRECCIA DOMAIN 163. Oh my god 164. Oh my g o d d d 165. AHHHHHHHHHHHHH 166. !!!!!!!!!!!!!!! 167. Oh my GOD WHAT A SCENE I SHOULD NOT HAVE READ THIS AT NIGHT!!!
168. Pepper………… 169. Of all the characters I love… I would be ok with Rho dying at any time 170. @ Kendare just fyi 171. Oh my god they pulled it off HOW 172. Of course Arsinoe is thinking of food though 173. F#&k f#&k f#&k here we go 174. I am horrified for what Katharine’s reign of terror would mean 175. Tag yourself I’m the priestess weeping as she fastens Mirabella’s dress 176. Ugh Kat 177. Ok she’s horrifying but she’s also amazing this arena entrance is everything 178. THERE THEY ARE!!!!! 179. “Yes, me again.” JULES FOR QUEEN 180. SHE KNOWS THAT ARSINOE REMEMBERS HER 181. Omg I’m so emotional 182. JULES!!! “She punches the first in the eye and knocks back another three.”
183. “I’m sorry you thought I was dead.” “I’m sorry I agreed to marry your sister.”
184. Oh no Luca no don’t 185. A concept: Madrigal slapping Natalia Arron 186. “Or perhaps there were more sides to a woman than he had ever understood.” Lol oh Billy you simple boy 187. Ugh it was WILLIAM 188. Omg the throwbacks to the very first chapter of the first book I’m dying 189. A tattooed crown they are NOT f#&king around 190. NICOLAS MARTEL 191. “Arsinoe has been banging her head against the stone wall for what seems like hours. But there is no way to tell for sure.” Me in class
192. LMAO IS SHE GOING TO POISON ARSINOE 193. STOP I’M GOING TO SCREAM 194. This is EVERYTHING
195. AND THERE’S A WEDDING 196. Ew Nicolas I changed my mind I don’t love him not one bit 197. “Though perhaps this is what he truly is underneath. Angry, and ugly, and small.” Aren’t all men 198. Oh my god 199. THIS WAS NOT A FIGHT I WAS EXPECTING 200. Ohhhhhh my god 201. YES RHO 202. I lied Kendare thank you for this fierce and wonderful gift of a character 203. “Roll him up in a rug,” LMAO 204. “After all, Mirabella’s first tears were real, before she looked down and realized that Arsinoe was grinning.” I can’t I love them so much 205. Omg wait if Natalia… what does that mean for her deal with Luca?! 206. “Oh!” I LIED I WANT A MIRABELLA/ARSINOE BUDDY-COP SPINOFF 207. God bless Joseph taking responsibility for his actions 208. “How I love you, Jules.” I’m so emo 209. ARSINOE!!!!! 210. Ew someone please kill Nicolas already 211. “… So hard that she hears a crack. That must be good,” I’m dying 212. I LOVE MIRABELLA 213. I WANT HER TO BURN THE ENTIRE CITY DOWN 214. Oh god Joseph 215. THE WARRIORS 216. Oh my god 217. Oh my god oh my goddddd what 218. That is BRUTAL 219. What a way to go, my man
220. “I failed you once. I betrayed you once. But I will not again.”
221. “I’m fine,” Joseph says, CLEARLY LYING 222. Oh my god Genevieve 223. THIS IS SUCH A DYSFUNCTIONAL TRIO 224. AND NOW THEY KNOW EVERYONE HAS ESCAPED 225. Oh my god so much is happening 226. Pietyr is the one true king someone bring him the Iron Throne or whatever the f#&k they have on this cursed and twisted island 227. “It is just that she will be the last.” 228. Omg they’re gonna GOOOO 229. Third time’s the charm, maybe??
230. I’m telling you Jules and Pietyr are going to have to duel and that will decide who the true ruler of Fennbirn Island will be
231. Jules will obliterate him and I will be sad for approximately thirty seconds and then extremely happy for my new queen
232. Aw I loved Madrigal in this book 233. I LOVE THIS LIL’ MOTLEY CREW 234. Lmao I wonder how long Genevieve will last now. What will she do 235. “Then she looks back at the sea and the confrontation that is about to take place there.” I’m so scared for my lil’ motley crew!!! 236. FINALLY!!!! THE KISS!!! 237. Omg come on Mirabella come onnnnn
238. Oh no 239. Oh no Joseph 240. … Oh my god? 241. Oh my god did they do it??? 242. THEY DID IT 243. Oh n o
244. JULES NO!!!
245. WHAT THE F#&K, MAN 246. … I’m telling you she needs to be queen 247. Oh my god 248. I can’t believe they… made it 249. Oh my g o d
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«Non possiamo permettere che ritornino quelle parole (e quegli atti) della vergogna»: una lettera ai direttori
«Non possiamo permettere che ritornino quelle parole (e quegli atti) della vergogna»: una lettera ai direttori (la pubblica Nazione Indiana qui) Siamo studiosi e studiose, scrittori e scrittrici, preoccupati dal dilagare dell’odio nei media italiani. Odio verso le donne, i migranti, i figli di migranti, la comunità Lgbtq. Un odio che è ormai il piatto principale di moltissimi talk show televisivi nei quali vige da tempo la politica dei microfoni aperti, senza nessuna direzione o controllo. E spesso le parole che escono fuori da alcuni dibattimenti televisivi sono parole che mettono fortemente in crisi o addirittura contraddicono l’essenza stessa della nostra Costituzione, il richiamarsi a un patto antifascista e democratico. L’attentato di Macerata, dove un simpatizzante neonazista ha cercato la strage di uomini e donne africani, è qualcosa che ci interroga nel profondo. Le vittime sono diventate il bersaglio di un uomo la cui azione terroristica si è nutrita della narrazione tossica veicolata non solo da internet ma anche dal mainstream mediatico. Dopo quello che è successo non possiamo restare in silenzio. Serve una maggiore assunzione di responsabilità, serve un nuovo patto fra chi fa comunicazione e i cittadini. Le parole di odio, lo abbiamo visto chiaramente, possono tradursi in atti di violenza omicida. Azioni che, acclamate e imitate, rischiano seriamente di innescare una spirale di violenza. Per noi è evidente che il nodo mediatico ha contribuito a produrre e legittimare lo scatenarsi delle pulsioni peggiori. Per questo chiediamo ai media di non prestare più il fianco alla propaganda d’odio, ma di compiere anzi uno sforzo nel contrastarla. Intere fette di società (per esempio i migranti e i figli di migranti) nella rappresentazione mediatica esistono pressoché solo come stereotipo o nei peggiori dei casi come bersaglio dell’odio, contraltare utile a chi fa di una propaganda scellerata il suo lavoro principale. Sappiamo che nei media lavorano seri professionisti che come noi sono molto preoccupati per la piega degli eventi. Servono contenuti nuovi, modalità diverse, linguaggi aperti e trasparenti. Non possiamo permettere che nel 2018, ad 80 anni dalle leggi razziali, ritornino quelle parole (e quegli atti) della vergogna. Dobbiamo cambiare ora e dobbiamo farlo tutti insieme. Ne va della nostra convivenza e della nostra tenuta democratica. Quello che chiediamo non è un superficiale politically correct. Chiediamo invece una presa in carico di un mondo nuovo, il nostro, che ha bisogno di conoscersi e non odiarsi. Antonio Gramsci scriveva: Il vecchio mondo sta morendo. Quello nuovo tarda a comparire. E in questo chiaroscuro nascono i mostri. Dipende da noi non lasciar nascere questi mostri. Dipende da noi evitare che torni lo spettro del fascismo nelle nostre vite. Per farlo però dobbiamo lavorare in sinergia e cambiare i mezzi di comunicazione. E dobbiamo farlo ora, prima che sia troppo tardi. Giulio Cavalli Vanessa Roghi Helena Janeczek Igiaba Scego Sabrina Varani Christian Raimo Paolo di Paolo Michela Monferrini Frederika Randall Graziano Graziani Francesca Capelli Shaul Bassi Loredana Lipperini Shulim Vogelmann Amin Nour Reda Zine Sabrina Marchetti Amir Issa Alessandro Triulzi Francesco Forlani Fiorella Leone Francesca Melandri Ilda Curti Marco Balzano Alessandro Portelli Attilio Scarpellini Filippo Tuena Francesco M.Cataluccio Laura Bosio Gianfranco Pannone Antonio Damasco Franco Buffoni Evelina Santangelo Caterina Bonvicini Lisa Ginzburg Camilla Miglio Emanuele Zinato Andrea Inglese Andrea Raos Maria Grazia Meriggi Alessandra Di Maio Roberto Carvelli Francesco Fiorentino Grazia Verasani Caterina Venturini Alessandra Carnaroli Lorenzo Declich Gennaro Carotenuto Silvia Ballestra Chiara Valerio Marco Belpoliti Paola Caridi Marco Missiroli Alessandro Robecchi Valeria Parrella Nicola Lagioia Enrico Manera Jamila Mascat Maria Luisa Venuta Rossella Milone Giacomo Sartori Antonella Lattanzi Barbara del Mercato Amara Lakhous Rino Bianchi Carola Susani Roberto Carvelli Isabella Perretti Rosa Jijon Davide Orecchio Antonella Lattanzi Simone Giusti Simone Siliani Alberto Prunetti Chiara Mezzalama Elisabetta Mastrocola Teresa Ciabatti Andrea Tarabbia Antonella Anedda Elisabetta Bucciarelli Francesco Fiorentino Paola Capriolo Paolo Morelli Simona Vinci Giorgio Vasta Orsola Puecher Antonio Scurati Vins Gallico Daniele Petruccioli Enrico Macioci Maria Grazia Calandrone Eraldo Affinati Elena Pirazzoli Leonardo Palmisano Emiliano Sbaraglia Maura Gancitano Marco Mancassola Rosella Postorino Alessandra Sarchi Carlo Lucarelli Giorgio Pecorin Gianni Biondillo Ornella Tajani Mariasole Ariot Giorgio Fontana Girolamo Grammatico Francesca Ceci Brunella Toscani Tommaso Giartosio Attilio Scarpellini Simone Pieranni Elisabetta Liguori Giuliano Santoro Orofino di Giacomelli Maria Grazia Porcelli Giovanni Contini Federico Faloppa Federico Bertoni Flaminia Bartolini Dario Miccoli Emanuela Trevisan Semi Alessandro Mari Tommaso Pincio Laura Silvia Battaglia Anna Maria Crispino Andrea Bajani Renata Morresi Francesca Fiorletta Federica Manzon Angiola Codacci Pisanelli Alessandro Chiappanuvoli Società italiana delle Storiche Benedetta Tobagi Giuseppe Genna Fabio Geda Daniele Giglioli Angelo Ferracuti Alessandro Bertante Riccardo Chiaberge Giorgio Mascitelli Gherardo Bortolotti Annamaria Ferramosca Anita Benedetti Letizia Perri Luisella Aprà Masturah Atalas Rosalia Gambatesa Barbara Summa Lorenzo D’Agostino Anna Toscano Fabrizio Botti Chiara Veltri Sergio Bellino Barbara Benini Valentina Mangiaforte Maria Motta Emanuele Plasmati Giuseppe Maimone Paolo Soraci Pina Piccolo Graziella Priulla Leonardo Banchi Valentina Daniele Massimiliano Macculi Susanna Marchesi Corrado Aiello Giovanni Scotto Liliana Omegna Domenico Conoscenti Francesco Falciani Mario Di Vito Ileana Zagaglia Maria Elena Paniconi Antonio Corsi Stefano Luzi Nicola Marino Barbara Lazzarini Antonella Bottero Camilla Mauro Pietro Saitta Gianni Montieri Francesca Del Moro Adam Atik Maurella Carbone Sabrina Fusari Francesa Perlini Antonella Bastari Donatella Libani Alessandra Pillosu Lidia Massari Gianni Girola Andrea Fasulo Lidia Borghi Roberta Chimera Gaetano Vergara Camilla Seibezzi Lisa Dal Lago Nicoletta Mazzi Annamaria Laneri Sandra Paoli Cristina Nicoletta Leonardo De Franceschi Olga Consoli Chiara Barbieri Valentina De Cillis Letizia Perri Angelo Sopelsa Alessandra Greco Simone Buratti Giacomo Di Girolamo MariaGiovanna Luini Costanza Matafù Lorenza Caravelli Elena Maitrel Cavasin Leopoldina Bernardi Donatella Favaretto Simona Brighetti Margherita D’Onofrio Ivana Buono Manuela Olivieri Maria Cristina Mannozzi Helleana Grussi Elisabetta Galeotti Antonio Sparzani (si può firmare qui)
(la pubblica Nazione Indiana qui) Siamo studiosi e studiose, scrittori e scrittrici, preoccupati dal dilagare dell’odio nei media italiani. Odio verso le donne, i migranti, i figli di migranti, la comunità Lgbtq. Un odio che è ormai il piatto principale di moltissimi talk show televisivi nei quali vige da tempo la politica dei microfoni aperti, senza nessuna direzione o controllo. E spesso le…
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Siamo studiosi e studiose, scrittori e scrittrici, preoccupati dal dilagare dell’odio nei media italiani. Odio verso le donne, i migranti, i figli di migranti, la comunità Lgbtq. Un odio che è ormai il piatto principale di moltissimi talk show televisivi nei quali vige da tempo la politica dei microfoni aperti, senza nessuna direzione o controllo. E spesso le parole che escono fuori da alcuni dibattimenti televisivi sono parole che mettono fortemente in crisi o addirittura contraddicono l’essenza stessa della nostra Costituzione, il richiamarsi a un patto antifascista e democratico. L’attentato di Macerata, dove un simpatizzante neonazista ha cercato la strage di uomini e donne africani, è qualcosa che ci interroga nel profondo. Le vittime sono diventate il bersaglio di un uomo la cui azione terroristica si è nutrita della narrazione tossica veicolata non solo da internet ma anche dal mainstream mediatico. Dopo quello che è successo non possiamo restare in silenzio. Serve una maggiore assunzione di responsabilità, serve un nuovo patto fra chi fa comunicazione e i cittadini.
Le parole di odio, lo abbiamo visto chiaramente, possono tradursi in atti di violenza omicida. Azioni che, acclamate e imitate, rischiano seriamente di innescare una spirale di violenza. Per noi è evidente che il nodo mediatico ha contribuito a produrre e legittimare lo scatenarsi delle pulsioni peggiori. Per questo chiediamo ai media di non prestare più il fianco alla propaganda d’odio, ma di compiere anzi uno sforzo nel contrastarla. Intere fette di società (per esempio i migranti e i figli di migranti) nella rappresentazione mediatica esistono pressoché solo come stereotipo o nei peggiori dei casi come bersaglio dell’odio, contraltare utile a chi fa di una propaganda scellerata il suo lavoro principale.
Sappiamo che nei media lavorano seri professionisti che come noi sono molto preoccupati per la piega degli eventi. Servono contenuti nuovi, modalità diverse, linguaggi aperti e trasparenti. Non possiamo permettere che nel 2018, ad 80 anni dalle leggi razziali, ritornino quelle parole (e quegli atti) della vergogna. Dobbiamo cambiare ora e dobbiamo farlo tutti insieme. Ne va della nostra convivenza e della nostra tenuta democratica.
Quello che chiediamo non è un superficiale politically correct. Chiediamo invece una presa in carico di un mondo nuovo, il nostro, che ha bisogno di conoscersi e non odiarsi. Antonio Gramsci scriveva: Il vecchio mondo sta morendo. Quello nuovo tarda a comparire. E in questo chiaroscuro nascono i mostri. Dipende da noi non lasciar nascere questi mostri. Dipende da noi evitare che torni lo spettro del fascismo nelle nostre vite. Per farlo però dobbiamo lavorare in sinergia e cambiare i mezzi di comunicazione. E dobbiamo farlo ora, prima che sia troppo tardi.
Vanessa Roghi Helena Janeczek Igiaba Scego Sabrina Varani Christian Raimo Paolo di Paolo Michela Monferrini Frederika Randall Graziano Graziani Francesca Capelli Shaul Bassi Loredana Lipperini Shulim Vogelmann Amin Nour Reda Zine Sabrina Marchetti Amir Issa Alessandro Triulzi Francesco Forlani Fiorella Leone Francesca Melandri Ilda Curti Marco Balzano Alessandro Portelli Attilio Scarpellini Filippo Tuena Francesco M.Cataluccio Laura Bosio Gianfranco Pannone Antonio Damasco Franco Buffoni Evelina Santangelo Caterina Bonvicini Lisa Ginzburg Camilla Miglio Emanuele Zinato Andrea Inglese Andrea Raos Maria Grazia Meriggi Alessandra Di Maio Roberto Carvelli Francesco Fiorentino Grazia Verasani Caterina Venturini Alessandra Carnaroli Lorenzo Declich Gennaro Carotenuto Silvia Ballestra Chiara Valerio Marco Belpoliti Paola Caridi Marco Missiroli Alessandro Robecchi Valeria Parrella Nicola Lagioia Enrico Manera Jamila Mascat Maria Luisa Venuta Rossella Milone Giacomo Sartori Antonella Lattanzi Barbara del Mercato Amara Lakhous Rino Bianchi Carola Susani Roberto Carvelli Isabella Perretti Rosa Jijon Davide Orecchio Antonella Lattanzi Simone Giusti Simone Siliani Alberto Prunetti Chiara Mezzalama Elisabetta Mastrocola Teresa Ciabatti Andrea Tarabbia Antonella Anedda Elisabetta Bucciarelli Francesco Fiorentino Paola Capriolo Paolo Morelli Simona Vinci Giorgio Vasta Orsola Puecher Antonio Scurati Vins Gallico Daniele Petruccioli Enrico Macioci Maria Grazia Calandrone Eraldo Affinati Elena Pirazzoli Leonardo Palmisano Emiliano Sbaraglia Maura Gancitano Marco Mancassola Rosella Postorino Alessandra Sarchi Carlo Lucarelli Giorgio Pecorin Gianni Biondillo Ornella Tajani Mariasole Ariot Giorgio Fontana Girolamo Grammatico Francesca Ceci Brunella Toscani Tommaso Giartosio Attilio Scarpellini Simone Pieranni Elisabetta Liguori Giuliano Santoro Orofino di Giacomelli Maria Grazia Porcelli Giovanni Contini Federico Faloppa Federico Bertoni Flaminia Bartolini Dario Miccoli Emanuela Trevisan Semi Alessandro Mari Tommaso Pincio Laura Silvia Battaglia Anna Maria Crispino Andrea Bajani Renata Morresi Francesca Fiorletta Federica Manzon Angiola Codacci Pisanelli Alessandro Chiappanuvoli Società italiana delle Storiche Benedetta Tobagi Giuseppe Genna Fabio Geda Daniele Giglioli Angelo Ferracuti Alessandro Bertante Riccardo Chiaberge
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Directed by Colin Solal Cardo Story by Christine and the Queens & Colin Solal Cardo Screenplay by Colin Solal Cardo Produced by Rémy Solomon Executive producers: Julien Berlan, Elsa Rakotoson, Marie Fioriti DOP: Crille Forsberg Choreographer: Ryan Heffington Editor: Tianès Montasser Costume Designer: Jonathan Huguet Set Designer: Jeanne Ader Color grading: Fabien Pascal Guest starring: Caroline Polachek and Félix Maritaud as “The Fauna” Dancers: Brandon Masele, Emmanuelle Soum, Enzo Boffa, Josh Wild, Liza Lapert, Maji Claire, Patric Kuo, Silvia Contento Extras:Adam Dahibi, Adam Grandval, Alan Tardif, Alexia Pereira, Aminata Thiboult, Bonnie El Bokeili, Coli-Fary Diouf, Erwan Fale, Eva Studzinski, Fabian Lamy, Fatoumata Diawara, Fleur Dujat, Jordy Van Beghin, Laurent Benhenni, Mariana Benenge, Mélissa Bocoum, Melvin Malheurty, Nicolas Lecourt Mansion, Pricile Ugena, Reihane Grandguillaume, Roxanne Ky, Ryan Meng, Sahné Rasoanaivo, Serena Freira, Stencia Yambogaza, Thomas Lelong, Tidiane Diop, William Dybele Line Producer: Ophélie Stavropoulos Production Coordinator: Mélanie Gilbon First Assistant Director: Juliette Mabille Second Assistant Director: Elsa Michon Assistant Choreographer: Benjamin Milan Casting Extras: Dourane Fall, Conan Laurendot Leader Extra: Fiona Bègue Assistant: Hugo Dao First Assistant Camera: Loup Lebreton Second Assistant Camera: Dimitri Sorel Third Assistant Camera: Jimmy Nguyen Steadicam Operator: Rémi Quilichini B Camera Operator: Julien Pujol Art Department Coordinator: Marie-Aubrey Molès Second Assistant Art Director: Isabelle Lawson Prop Master: Victor Delbos Set Decorators: Lisa Boukobza, Gilles Garnier, Clothilde Cras De Belleval, Timon Milon, Laurent Saint-Gaudens, Océane Dufau Unit Manager: Kim Shewy Unit Assistants: Marion Prieux, Jean-Fred David, Djibyrile Sy, Romane Botquin, Penelope Ader, Charles Crapart, Alexandre Do, Emilia Massias, Jérôme Babinard, Sacha Hayon Gaffer: Basile Barniské Electricians: Adrien Lallau, François Auclair, Vincent Taberlet, Marchal Bedy, Frédéric Chevrier, Lucas Janiszewski, Matthieu Legoupil Key Grip: Tristan Morin Grips: Zaher Megdiche, Camille Conroy, Tanguy Bourgeois, Thomas Canivet, Ugo Villaume Make-Up Artist: Manu Kopp Hair Stylist: Pawel Solis First Assistant Costume Designer: Sarah Bernard Second Assistant Costume Designer: Lise Breton Adjuster: Brice Fernandes Stylist Extras: Pierre De Mones Stylist Extras Assistants: Jill Gattegno, Louise Pisselet Sfx Make-Up Designers: Raphaël Guionnet, Charlotte Arguillere, Antoine Wayne, Cindy Bohn, Joël Mogade, Alexis Kinebanyan, Christophe Mureau Sound Recordist: Charles Darnaud Sound Mix: Alban Lejeune, Eliott Sebbag Sound Mastering: Ash Workman Post Production: Everest Head Of Post Production: Sylvain Obriot Color Grading: Fabien Pascal Post Producer Fx: Chloé Juillard Editing Assistant: Ella Dixon Technical Post Producer: Jeremy Le Bris Graphists: Vincent Heine, Stephane Gassin, Francois Puget, Damien Thiebot Title Designer: Julien Seiller Typographer: Julien Priez Set Photographer: Jonathan ‘Ojoz’ Adelaide Special thanks to: Les équipes de l’Opéra national de Paris, Nicolas Lecourt Mansion, Julien Pujol, Silverway, Kodak, Everest, Rvz
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Directed by Colin Solal Cardo Story by Christine and the Queens & Colin Solal Cardo Screenplay by Colin Solal Cardo Produced by Rémy Solomon Executive producers: Julien Berlan, Elsa Rakotoson, Marie Fioriti DOP: Crille Forsberg Choreographer: Ryan Heffington Editor: Tianès Montasser Costume Designer: Jonathan Huguet Set Designer: Jeanne Ader Color grading: Fabien Pascal Guest starring: Caroline Polachek and Félix Maritaud as “The Fauna” Dancers: Brandon Masele, Emmanuelle Soum, Enzo Boffa, Josh Wild, Liza Lapert, Maji Claire, Patric Kuo, Silvia Contento Extras:Adam Dahibi, Adam Grandval, Alan Tardif, Alexia Pereira, Aminata Thiboult, Bonnie El Bokeili, Coli-Fary Diouf, Erwan Fale, Eva Studzinski, Fabian Lamy, Fatoumata Diawara, Fleur Dujat, Jordy Van Beghin, Laurent Benhenni, Mariana Benenge, Mélissa Bocoum, Melvin Malheurty, Nicolas Lecourt Mansion, Pricile Ugena, Reihane Grandguillaume, Roxanne Ky, Ryan Meng, Sahné Rasoanaivo, Serena Freira, Stencia Yambogaza, Thomas Lelong, Tidiane Diop, William Dybele Line Producer: Ophélie Stavropoulos Production Coordinator: Mélanie Gilbon First Assistant Director: Juliette Mabille Second Assistant Director: Elsa Michon Assistant Choreographer: Benjamin Milan Casting Extras: Dourane Fall, Conan Laurendot Leader Extra: Fiona Bègue Assistant: Hugo Dao First Assistant Camera: Loup Lebreton Second Assistant Camera: Dimitri Sorel Third Assistant Camera: Jimmy Nguyen Steadicam Operator: Rémi Quilichini B Camera Operator: Julien Pujol Art Department Coordinator: Marie-Aubrey Molès Second Assistant Art Director: Isabelle Lawson Prop Master: Victor Delbos Set Decorators: Lisa Boukobza, Gilles Garnier, Clothilde Cras De Belleval, Timon Milon, Laurent Saint-Gaudens, Océane Dufau Unit Manager: Kim Shewy Unit Assistants: Marion Prieux, Jean-Fred David, Djibyrile Sy, Romane Botquin, Penelope Ader, Charles Crapart, Alexandre Do, Emilia Massias, Jérôme Babinard, Sacha Hayon Gaffer: Basile Barniské Electricians: Adrien Lallau, François Auclair, Vincent Taberlet, Marchal Bedy, Frédéric Chevrier, Lucas Janiszewski, Matthieu Legoupil Key Grip: Tristan Morin Grips: Zaher Megdiche, Camille Conroy, Tanguy Bourgeois, Thomas Canivet, Ugo Villaume Make-Up Artist: Manu Kopp Hair Stylist: Pawel Solis First Assistant Costume Designer: Sarah Bernard Second Assistant Costume Designer: Lise Breton Adjuster: Brice Fernandes Stylist Extras: Pierre De Mones Stylist Extras Assistants: Jill Gattegno, Louise Pisselet Sfx Make-Up Designers: Raphaël Guionnet, Charlotte Arguillere, Antoine Wayne, Cindy Bohn, Joël Mogade, Alexis Kinebanyan, Christophe Mureau Sound Recordist: Charles Darnaud Sound Mix: Alban Lejeune, Eliott Sebbag Sound Mastering: Ash Workman Post Production: Everest Head Of Post Production: Sylvain Obriot Color Grading: Fabien Pascal Post Producer Fx: Chloé Juillard Editing Assistant: Ella Dixon Technical Post Producer: Jeremy Le Bris Graphists: Vincent Heine, Stephane Gassin, Francois Puget, Damien Thiebot Title Designer: Julien Seiller Typographer: Julien Priez Set Photographer: Jonathan ‘Ojoz’ Adelaide Special thanks to: Les équipes de l’Opéra national de Paris, Nicolas Lecourt Mansion, Julien Pujol, Silverway, Kodak, Everest, Rvz
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Directed by Colin Solal Cardo Story by Christine and the Queens & Colin Solal Cardo Screenplay by Colin Solal Cardo Produced by Rémy Solomon Executive producers: Julien Berlan, Elsa Rakotoson, Marie Fioriti DOP: Crille Forsberg Choreographer: Ryan Heffington Editor: Tianès Montasser Costume Designer: Jonathan Huguet Set Designer: Jeanne Ader Color grading: Fabien Pascal Guest starring: Caroline Polachek and Félix Maritaud as “The Fauna” Dancers: Brandon Masele, Emmanuelle Soum, Enzo Boffa, Josh Wild, Liza Lapert, Maji Claire, Patric Kuo, Silvia Contento Extras:Adam Dahibi, Adam Grandval, Alan Tardif, Alexia Pereira, Aminata Thiboult, Bonnie El Bokeili, Coli-Fary Diouf, Erwan Fale, Eva Studzinski, Fabian Lamy, Fatoumata Diawara, Fleur Dujat, Jordy Van Beghin, Laurent Benhenni, Mariana Benenge, Mélissa Bocoum, Melvin Malheurty, Nicolas Lecourt Mansion, Pricile Ugena, Reihane Grandguillaume, Roxanne Ky, Ryan Meng, Sahné Rasoanaivo, Serena Freira, Stencia Yambogaza, Thomas Lelong, Tidiane Diop, William Dybele Line Producer: Ophélie Stavropoulos Production Coordinator: Mélanie Gilbon First Assistant Director: Juliette Mabille Second Assistant Director: Elsa Michon Assistant Choreographer: Benjamin Milan Casting Extras: Dourane Fall, Conan Laurendot Leader Extra: Fiona Bègue Assistant: Hugo Dao First Assistant Camera: Loup Lebreton Second Assistant Camera: Dimitri Sorel Third Assistant Camera: Jimmy Nguyen Steadicam Operator: Rémi Quilichini B Camera Operator: Julien Pujol Art Department Coordinator: Marie-Aubrey Molès Second Assistant Art Director: Isabelle Lawson Prop Master: Victor Delbos Set Decorators: Lisa Boukobza, Gilles Garnier, Clothilde Cras De Belleval, Timon Milon, Laurent Saint-Gaudens, Océane Dufau Unit Manager: Kim Shewy Unit Assistants: Marion Prieux, Jean-Fred David, Djibyrile Sy, Romane Botquin, Penelope Ader, Charles Crapart, Alexandre Do, Emilia Massias, Jérôme Babinard, Sacha Hayon Gaffer: Basile Barniské Electricians: Adrien Lallau, François Auclair, Vincent Taberlet, Marchal Bedy, Frédéric Chevrier, Lucas Janiszewski, Matthieu Legoupil Key Grip: Tristan Morin Grips: Zaher Megdiche, Camille Conroy, Tanguy Bourgeois, Thomas Canivet, Ugo Villaume Make-Up Artist: Manu Kopp Hair Stylist: Pawel Solis First Assistant Costume Designer: Sarah Bernard Second Assistant Costume Designer: Lise Breton Adjuster: Brice Fernandes Stylist Extras: Pierre De Mones Stylist Extras Assistants: Jill Gattegno, Louise Pisselet Sfx Make-Up Designers: Raphaël Guionnet, Charlotte Arguillere, Antoine Wayne, Cindy Bohn, Joël Mogade, Alexis Kinebanyan, Christophe Mureau Sound Recordist: Charles Darnaud Sound Mix: Alban Lejeune, Eliott Sebbag Sound Mastering: Ash Workman Post Production: Everest Head Of Post Production: Sylvain Obriot Color Grading: Fabien Pascal Post Producer Fx: Chloé Juillard Editing Assistant: Ella Dixon Technical Post Producer: Jeremy Le Bris Graphists: Vincent Heine, Stephane Gassin, Francois Puget, Damien Thiebot Title Designer: Julien Seiller Typographer: Julien Priez Set Photographer: Jonathan ‘Ojoz’ Adelaide Special thanks to: Les équipes de l’Opéra national de Paris, Nicolas Lecourt Mansion, Julien Pujol, Silverway, Kodak, Everest, Rvz
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Anticipazioni per "Viaggio nella Chiesa di Francesco" del 26 agosto su RAI 1: il viaggio in Africa a settembre e il Sinodo di ottobre
Anticipazioni per “Viaggio nella Chiesa di Francesco” del 26 agosto su RAI 1: il viaggio in Africa a settembre e il Sinodo di ottobre
Anticipazioni per “Viaggio nella Chiesa di Francesco” del 26 agosto su RAI 1 (in replica il 1° settembre su RAI STORIA): il significato del Sinodo di ottobre
L’agenda di Papa Francesco, tra Africa e Amazzonia, ha sempre più respiro mondiale. Nel servizio di apertura di “Viaggio nella Chiesa di Francesco” di Massimo Milone e Nicola Vicenti, in onda su Rai1 lunedì 26 agosto alle 2.00 (in replica…
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Andrologo, chi è costui? La salute al maschile nell’era della “icsi”
(di Nicola Simonetti) “Nel 1951 – ha detto Filippo Boscia, già professore Medicina della riproduzione umana presso l’università di Bari e direttore U.O.C. di ostetricia e ginecologia - fu il ginecologo H. Siebke dell’Università di Bonn che propose, per la prima volta al mondo, il termine Andrologia. Personalmente ho vissuto agli albori quel periodo in cui l’andrologia, uscita dal campo delle improvvisazioni settoriali ed empiriche, andava qualificandosi come scienza moderna, basata su serie ricerche, valide esperienze cliniche per rifondarsi in una nuova entità globale che, pur riconoscendo come radici l’urologia, la endocrinologia e per certi versi la dermatologia, direi meglio la dermosifilolopatia (quella del professor Mian di Pisa), si apriva alla chirurgia, alla genetica, alla sessuologia, alla patologia clinica, agli studi citomorfologici ultrastrutturali, vere “new entries” scientifiche in campo andrologico. L’andrologia moderna sorgeva con l’intenso desiderio di armonizzarsi con le molte varie discipline per affrontare con visione unitaria un nuovo grande capitolo della medicina. L’Andrologia doveva essere scienza capace di accompagnare l’”essere uomo” dal nascere fino al suo essere maschio, al suo svilupparsi nella pubertà, al suo manifestarsi psicofisico nell’adolescenza, al suo pieno manifestarsi nell’età adulta, con interessi rivolti anche nelle fasi di successiva fragilità e di senescenza. L’Andrologia aveva un compito arduo: far uscire dall’oscurità ogni problematica che per secoli era stata condizionata da pregiudizi, tabù e altro, ma questo compito non era cosa facile. Non era per nulla agevole abbattere quel secolare tabù e la fondata credenza che la potenza sessuale coincidesse con la massima dimostrazione della fertilità! Non era facile abbattere l’infamante vergogna dell’impotenza sessuale, il cui fantasma aleggiava in questo contesto. Quel paziente, afflitto da problemi andrologici, vagava dal medico di base al dermatologo, all’urologo, all’endocrinologo, allo psicologo, vivendo la sua eventuale impotenza come una vergogna, un fantasma, come un imbarazzo, piuttosto che come una malattia da curare. Non sono poi tanto lontani quei tempi! Accadeva in realtà che, mentre il ginecologo era da sempre figura di riferimento scientifico, culturale e psicosociale per la donna, la figura al maschile non esisteva e l’andrologo che doveva esserlo per l’uomo, non era accreditato ancora come specialista, ma anche perché per millenni la sessualità e la fertilità dell’uomo era stata coperta dal tabù e da tanti molteplici pregiudizi socio-culturali. Certamente v’era un tardivo irrompere dell’andrologia nello scenario della medicina moderna. Ma il sogno che si perseguiva in questo percorso fondativo era quello di poter definire l’andrologia come disciplina unitaria, sorella della ginecologia, che già da tempo aveva saputo integrare in un tutt’uno le componenti ostetriche, ginecologiche, endocrinologiche, riproduttive, psicologiche ecc., e che di fatto aveva fondato sin da allora quella medicina di genere al femminile che unitariamente seguiva le funzioni degli organismi femminili, dalla pubertà all’età fertile e ora anche al climaterio, alla menopausa e alla senescenza. Ben presto però ci si rese conto che questi progetti forse avrebbero subito una consistente frenata. Si era riusciti ad ottenere un riordino delle scuole di specializzazione. V’era la promessa della scuola di specializzazione postlaurea di Pisa e di Torino; erano state confermate le prime cattedre di Andrologia di prima fascia assegnate ai corsi di laurea di Medicina e Chirurgia di Roma, Firenze e L’Aquila ecc. Ma, nell’ampio contesto delle discipline afferenti all’Andrologia, ognuno difendeva il suo hortus conclusus: endocrinologi, urologi, ginecologi, pediatri, biologi, psicologi, psichiatri, patologi clinici. Credo che molto abbiano giocato divisioni corporative che di fatto hanno impedito di creare gli andrologi e soprattutto di farli crescere e conoscere. Il CUN, consiglio universitario nazionale, classificò nell’ 89 l’andrologia come sub specialità della endocrinologia e la inserì come tale nell’ordinamento e negli obiettivi didattici delle facoltà di medicina a far data dal 2000. A partire da questa data non ci fu più specializzazione o disciplina autonoma ma insegnamento inserito nei percorsi di formazione di discipline “parenti” e/o “affini”. A seguito di ciò l’Italia, da essere leader in questo settore, vide soffocato il suo ruolo pionieristico e preminente. Ciò ha avuto ripercussioni anche sul piano assistenziale. Mai più unità operative complesse di andrologia o istituti unitari, ma strutture semplici o saltuari incarichi. L’andrologia diventava sub-specialità di endocrinologia, sub-specialità di urologia, sub-specialità di ginecologia e medicina della riproduzione, sub-specialità di chirurgia. L’irrompere della medicina della riproduzione umana e delle tecniche di riproduzione medicalmente assistita (dalla inseminazione alla Fivet, alla ICSI) ha consentito allora che queste problematiche fossero affrontate in prima istanza dai ginecologi, addirittura senza gli andrologi. Veniva facile questa esclusione perché si era tentato di costituire l’andrologia come scienza, ma si era impedito che si facessero gli andrologi e soprattutto si era impedito di farli conoscere, impedendo a molti allievi che speravano nello sviluppo di una disciplina unitaria, di formarsi in una visione unitaria orientata con esclusivo riferimento alla salute “al maschile”. Di fatto all’inizio degli anni 90, mancando un riconoscimento accademico autonomo e unificato della figura del andrologo, ci si è accorti che per gli studenti, per gli allievi, per gli specialisti, per gli assistiti, la disciplina era ormai dispersa. Dopo questa tranciante decisione del CUN, quell’intimo desiderio di costituire le scienze andrologiche in un’unica disciplina autonoma andò ad infrangersi. L’andrologia non si sviluppò così come l’avevamo pensata, ma prevalse la frammentazione e per conseguenza venne a mancare quell’unica peculiarità richiesta alla fondativa andrologia, cioè quella di riunire in un unico comparto qui mille rivoli super specialistici, ma molto spesso “anemici”. Fu perso così l’unitario rapporto con tutte le problematiche che avevano dato origine all’unitario complesso delle scienze andrologiche e venne altresì a perdersi anche quell’unitaria sincera passione per una disciplina che al pari della ginecologia avrebbe dovuto tener desto il senso della unitarietà, di una disciplina, finalizzata a creare centri unici specializzati nell’assistenza di base dei problemi maschili, nelle sedi universitarie ospedaliere e territoriali. Oggi certamente non possiamo ignorare che l’aspettativa di vita di un uomo che vive nel mondo Occidentale è inferiore di cinque anni a quello di una donna della stessa età. Credo sia obbligatorio sottolineare l’interrogativo sul perché esista questo divario e quali misure possano essere adottate per coprirlo. Coprire il divario fra i sessi deve costituire un obbligo morale, affinché il diritto alla salute fisica e riproduttiva e sessuale non sia un diritto diluito in una sanità che a volte viaggia a due velocità, nord contro sud. Occorre coprire questi divari che, tra l’altro, quando si parla di qualità di assistenziali maschili riguarda tanti parametri che vanno dalla disfunzione erettile alla mancata prevenzione e all’insorgenza dell’infertilità (sterilità, andropausa, malattie sessualmente trasmesse, osteoporosi, incidenze di tumori della pelle, del colon retto, della prostata, del testicolo eccetera). “Bisogna – dice il prof. Milone (università, Napoli) riequilibrare l’attenzione dei medici e della popolazione per bilanciare, gli sforzi della ricerca con una impostazione adeguata delle politiche sanitarie regionali, uguali per tutti (e non differenziate per regione). Occorre provvedere alla più giusta omogenea e diffusiva erogazione di prestazioni mediche, in modo da individuare, produrre o potenziare le giuste strategie per prevenire e ridurre le discrepanze tra i due sessi. È indubbio che il concetto di prevenzione riesca penetrare nella cultura del maschio italiano con difficoltà molto maggiore rispetto alla donna, ma quest’osservazione deve ancor più indurci alla creazione di centri specializzati per i problemi maschili che oggi mancano nel panorama assistenziale italiano ad esempio, non solo a livelli universitari e/o ospedalieri ma anche a livello consultoriale o nelle politiche territoriali o nelle case per la salute. Motivare maggior attenzione sulla salute al maschile è importante perché l’educazione alla salute della persona non deve essere qualcosa che si possa lesinare ad un sesso rispetto all’altro, né l’allocazione delle risorse può essere guidata da mode o da indici di maggior utilizzo di tecniche avanzate in medicina della riproduzione. Paradossalmente comunque in questa dispersione, che ad alcuni è sembrata forte segnale di agonia dell’Andrologia, l’Andrologia stessa ha avuto modo di recuperare il tempo perduto: in realtà l’ingresso dell’andrologia nell’ambito della medicina della riproduzione e delle tecniche di procreazione medicalmente assistita si è attuato e, all’interno di queste realtà, l’andrologia ha recuperato tutte le precedenti occasioni perse e rilanciato questa disciplina che si è posta come realtà di riferimento nelle tecniche di III livello (ICSI e nella micro iniezione). Nella PMA la funzione dell’andrologo si concentra sulle nuove conoscenze di fisiopatologia dell’infertilità e della riproduzione, indispensabili per valutare la reale qualità del seme e ricercare quei fenomeni di frammentazione del DNA negli spermatozoi umani. Avere oggi a disposizione esami capaci di testare l’integrità genomica dei gameti maschili appare ormai indispensabile. Occorre un lavoro pazientemente accurato per valutare non solo la reale qualità del seme, ma anche essere in grado di evidenziare nell’ambito della popolazione complessiva di spermatozoi presenti nel seme quelli caratterizzati dalla presenza di DNA frammentato. Quest’ultima annotazione mi consente di accennare all’aspetto più nuovo che inserisce l’andrologia nell’ambito della medicina della riproduzione, specialmente in riferimento alle tecniche di microiniezione, che per loro natura si basano, come si sa, sull’impiego di un singolo spermatozoo: è questo un aspetto di fondamentale importanza, da quando la medicina, da puramente “curativa” è diventata, pur impropriamente, “procreativa” Il futuro della genetica, e della farmacogenetica, ci riserverà forse possibilità ora non immaginabili. Anche le tecniche chirurgiche in campo andrologico - nelle forme suscettibili di miglioramento con tali interventi – si sono notevolmente affinate. Basti pensare alla standardizzazione ed alla ottimizzazione delle tecniche di aspirazione dei gameti direttamente dall’epididimo o dal testicolo o alla ottimizzazione di tecniche per la correzione del varicocele, oggi possibile anche con metodiche di scleroembolizzazione retrograda o percutanea, o di tecniche video laparoscopiche sino a giungere alle tecniche di microchirurgia per interventi di ricanalizzazione o di anastomosi vascolari. Ancora più stupefacente, la `violenza" di irruzione e la rapidità di evoluzione della andrologia nel campo della medicina clinica, recente, anzi recentissima, dell'Andrologia nei riguardi della disfunzione erettile (termine semantico che per convenzione ha sostituito quello di "impotenza" nella cui essenza era contenuto un implicito giudizio di disprezzo e di condanna nei confronti dei pazienti). Il "muro del silenzio" intorno a questo problema è infatti caduto addirittura alla fine degli anni '80. In questo scenario l’Andrologia recupera il senso perduto e da “disciplina dispersa” diventa scienza sia interdisciplinare che intradisciplinare, migliorando le conoscenze e le prognosi in ambito endocrinologico, metabolico, morfologico, ultra strutturale endoteliale e ultimamente genetico. Il ricorso alla procreazione medicalmente assistita, non deve diventare il fallimento dell’andrologia. La improvvida sottolineatura, sbandierata a destra e a manca, che basti un solo spermatozoo per risolvere un problema riproduttivo del maschio infertile, da taluni è stata giustamente vista come la banalizzazione dell’andrologia. Molti maschi infertili sono stati abbandonati ad un triste destino. Mancando la facilità di accessibilità ai servizi di andrologia e bollando come inutili o futili le consultazioni andrologiche, certamente non abbiamo fatto un buon servizio alla collettività. Qualcuno poi parlando di “filiera riproduttiva controllata” ha parlato delle tecniche di PMA come tecniche di prima scelta, che se controllate in ogni fase garantiscono percentuali più elevate di nascite di bimbi sani. Certamente a distanza dall’avvento dell’ICSI dobbiamo certamente riflettere sulle indicazioni ma anche sull’eccessivo, talora immotivato, ricorso a queste tecniche. L’ICSI è tecnica utilissima nei casi più gravi di infertilità maschile, ma ne va lamentato l’abuso, anche perché questa tecnica solleva importanti problemi etici riferiti alle indicazioni e ai limiti da porre a queste tecniche divenute di prima opzione. Sostanziali innovazioni hanno coinvolto i vari settori dell’andrologia: basti pensare al ruolo dell’andrologo nell’identità di genere, alla ricerca di fertilità della coppia in età sempre più avanzata, al problema della popolazione che invecchia e delle natalità in declino ed ancora alla questione morale sulle tecniche di riproduzione assistita, all’utilizzo dei gameti post mortem o alla moltitudine di embrioni congelati e in attesa di impianto o ancor più all’anticipazione sempre più acuta di una sessualità precoce multipartner nei giovanissimi che in questo periodo ci obbligano ancor più che nel passato alla prevenzione precoce delle virosi genitali anche in età scolare ecc. Le percentuali di sterilità maschile sono in aumento e gli sviluppi registrati nelle tecniche di biologia molecolare e cellulare hanno aperto nuovi capitoli in tanti campi, ma soprattutto nell’era dei test genetici si è aperto il grande capitolo della identificazione in malattie genetiche prima della nascita, permettendo lo studio dei caratteri ereditari patologici direttamente sull’embrione allo stadio di poche cellule. Proprio in questo momento in cui le tecnologie applicate alla riproduzione umana possono offrire interessanti possibilità per nuovi trattamenti terapeutici l’andrologia come branca a sé stante deve riprendere in ruolo determinante nella selezione dei gameti, nella diagnosi e nella terapia del maschio sterile o sub fertile e ancora potenziare le ricerche che se di qualità potranno indicare alternative capaci di ridurre il numero di insuccessi, di ridurre il numero dei mancati impianti e delle gravidanze biochimiche. Il trasferimento del genoma maschile, già organizzato in quanto tale, è praticamente possibile attraverso metodiche combinate di fertilizzazione in vitro e di micromanipolazione dei gameti, potendosi sanare così anche quei casi di incapacità degli spermatozoi a fertilizzare gli ovociti. Queste possibilità e tante altre tecnologie avanzate spettano – ha concluso Boscia - agli andrologi che devono pretendere quel ruolo di ineludibile guida nei moderni percorsi di medicina della riproduzione. Read the full article
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