#navy cis la
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cruises should be less centred on the consumerist slash touristic experience and more focused on the alluring horrors that come with being on the high seas where no one can save you
#I am onto something. I know#i never liked the concept of cruises#but being on vacation on a ship and spending x days undisturbed? immaculate#in sostanza voglio la menzogna della carrozza silenzio applicata alle navi. chi l’ha detto che una nave deve essere un villaggio turistico#infernale dato che non puoi nemmeno fuggire veramente#adesso torno a lavorare e ci penso su e mi calmo anche
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Amici miei, non smarrite il cuore.
Noi siamo stati fatti per questi tempi. Ultimamente ho sentito che molti sono profondamente confusi, e con ragione.
Sono preoccupati per le vicende del nostro mondo di oggi. Sono tempi, i nostri, di stupori quotidiani e di rabbia spesso giustificata per il degrado ultimo di ciò che maggiormente sta a cuore alle persone civili e idealiste.
Avete ragione nelle vostre valutazioni. Il prestigio e la presunzione alle quali alcuni si sono ispirati nell’approvare atti efferati contro bambini, vecchi, la gente semplice, i poveri, gli indifesi, i bisognosi, toglie il fiato. Nonostante ciò, vi sollecito, vi chiedo, vi domando per favore di non inaridire lo spirito piangendo questi tempi difficili.
Non perdete la speranza, perché siamo stati fatti per questi tempi. Sì. Per anni abbiamo imparato, praticato, ci siamo allenati proprio in attesa d’incontrarci esattamente sul campo di questo impegno.
… Guardate oltre la prua, ci sono milioni di barche di anime virtuose con voi in acqua. Anche se la vostra superficie è sferzata da ogni onda in questa tempestosa agitazione, vi assicuro che le lunghe assi di legno che compongono il vostro scafo provengono da una foresta più grande. È risaputo che il legno ben venato tiene testa alle tempeste, resiste, regge e avanza nonostante tutto.
In ogni periodo buio c’è la tendenza a perdersi d’animo per quanto è sbagliato o non guarito nel mondo. Non focalizzatevi su questo.
C’è anche la tendenza a indebolirsi indugiando su ciò che è fuori dalla propria portata, su ciò che non può ancora esserci. Non focalizzatevi lì. Questo è mancare il vento e non alzare le vele.
Noi siamo necessari,
ecco tutto quello che possiamo sapere ora.
Il nostro compito è quello di prodigarci per migliorare la parte del mondo nel nostro raggio d’azione. Ogni piccola e pacifica cosa che un’anima può fare per aiutare un’altra anima, per assistere una parte di questo povero mondo sofferente, sarà d’immenso aiuto.
Ciò di cui c’è bisogno per un cambiamento sostanziale è una miriade di azioni, aggiungendo, aggiungendo ancora, aggiungendo di più, in continuazione. Sappiamo che non tocca a "tutti sulla Terra" portare giustizia e pace, ma solamente a un piccolo e determinato gruppo che non si arrenderà alla prima, alla seconda, o alla centesima raffica di vento.
E una delle azioni più rasserenanti e potenti che potete fare per intervenire in un mondo in tempesta è stare in piedi e mostrare la vostra anima. Un’anima sul ponte nei momenti bui risplende come l’oro. La luce dell’anima lancia scintille, emette bagliori, fa segnali di fuoco, attizza ciò che è appropriato.
Spero che scriverete questo sulla vostra parete:
"Una grande nave ormeggiata nel porto
è indubbiamente al sicuro.
Ma non è per questo che le grandi navi
sono state costruite"
- Clarissa Pinkola Estés
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saga: Soumission & Domination 381
Dernier trimestre à Berkeley - Marines/2
Je me réveille cette fois ci le premier et avec une belle gaule. Pendant la nuit, nos positions se sont inversées et c'est Chad qui est entre mes bras, les siens entourent Don. J'attrape vite une kpote et du gel sur la table de nuit, enfile le bout de plastique et l'enduit d'une bonne couche de lubrifiant. Je glisse mon gland entre les fesses musclées de Chad et dès que je le sens sur sa rondelle, je donne le coup de rein qui va bien. Contrairement à moi, ça le réveille de suite. J'entends un " bastard " mais il ne se dérobe pas et cambre même les reins pour me faciliter la pénétration.
Pour me faire pardonner, je lui passe une kpote. Il comprend où je veux en venir et s'équipe avant de faire son affaire au dernier occupant du lit. Là, c'est une autre chanson. Le dépucelage a été brutal même si la résistance n'est apparue qu'après la pénétration. Détendue pendant le sommeil, sa rondelle s'était laissée prendre par surprise. Chad bloqué dans Don, j'ai tout le loisir de lui défonce la rondelle.
Même si lui a l'habitude de se faire enculer, j'y suis bien serré. Quand enfin Don se décrispe et accepte la situation, je n'ai plus qu'à laisser faire le jambon (on est en sandwich pour ceux qui ne suivraient pas). Chad fait tout le travail pas toujours pour le plaisir de Don mais ça vient et quand on termine notre " réveil ", Don jute dans les draps sans avoir beaucoup à se branler.
Évidemment on se fait traiter d'obsédés sexuels, de violeur de pauvre petit garçon !! À d'autre ! Avec sa carrure il aurait pu nous éjecter s'il l'avait vraiment voulu. C'est d'ailleurs l'argument que je lui sors, approuvé par Chad qui en rajoute une couche en lui disant que s'il dormait entre ses bras à lui, c'est que lui, Don, espérait bien ce genre de mésaventure au matin.
Ça se règle par un petit combat ou Chad gagne par 3 mises à terre à 2. Don d'expliquer que c'est bien sûr la sodomie dont il avait été victime qui lui avait sap�� les forces. Je lui rappelle alors qu'il avait quand même juté sans quasiment se toucher par l'effet ravageur des 23cm de Chad qui pilonnaient sa prostate. Ça finit en franche rigolade.
Petit déjeuner et les 2 militaires m'entrainent dans un footing de 15Km. Je tiens le rythme mais en sort plus fatigué qu'eux, habitués à le faire avec une charge de 20 à 30Kg sur le dos !
Quand nous rentrons, nous trouvons Robert ravi de sa soirée et de sa nuit. Quand il nous dit avoir honoré la dame 3 fois, nous éclatons de rire et lui disons que c'est 1 fois de moins que nous. On se douche puis retour dans l'espace de sport pour un entrainement au combat. Robert nous rejoint en short, enfin jusqu'à ce que nous l'attrapions et le lui ôtions. Tous en Jock, on s'échauffe puis on passe au sérieux.
Pendant 2h1/2 je me prends branlées sur branlées. J'arrive quand même à prendre le dessus sur Robert et arrive exceptionnellement à mettre un des " Navy " au sol. Mais c'est jamais bien longtemps ! Il n'empêche que je progresse quand même.
Déjeuner tardif mais bourré de protéines. L'après-midi est plus calme. On sort boire un coup en ville. Le bar est loin d'être gayfriendly ! On se prend deux bières chacun puis on rentre. Robert reste avec nous. La soirée commence par un BBQ où Don fait griller autant de côte de boeuf que nous sommes. Quelques patates dans les braise et on se gave chacun d'un morceau de viande d'environ 300g.
Sans faire attention, je passe la soirée, où nous discutons, au creux des bras de Chad. Faut dire que c'est pas souvent que je trouve un mec capable de me tenir comme ça. Je me sens bien, en sécurité. D'habitude c'est plutôt moi qui m'occupe des autres.
La nuit qui suit ressemble à celle de la veille. Sauf que Don échappe à la sodo. Il nous remercie de lui avoir fait connaitre ça mais nous dit préférer la position active de ce type de relation. Du coup Chad et moi nous nous dévouons pour le plaisir de notre hôte. Pas de double pour moi, non plus. Mais les deux " Navy " me font quand même mon affaire successivement et aussi en alternance j'aime assez la différence de style qu'ils ont à limer un cul. Entre la saillie un peu désordonnée de Don et celle plus méthodique et aussi plus efficace de Chad, je prends encore une fois un pied monstre sous leur domination. J'arrive quand même à sauter Chad qui est franchement recto/verso.
Alors que nous récupérons, couchés sur le dos à regarder le plafond, je demande à Chad comment il vit sa sexualité dans l'armée. Il nous dit ne pas avoir été un des premiers en couple dans leur unité même s'il savait que certains de ses collègues l'était (en couple). Lui, jusqu'au passage de mes deux escorts, faisait plutôt ses " petites affaires " quand il était en permission ce qui parfois entrainait de longues périodes de branlette. Mais il s'était laisser prendre par mes deux experts ce qui l'avait un peu désinhibé et surtout lui avait fait prendre conscience qu'un mec de son unité avait tout : canon, BM, a/p et qu'en plus il en pinçait pour lui. Les touzes déclenchées par Jona et François les avaient rapprochés et surtout lui avait ouvert les yeux sur ce collègue amoureux.
Il est évident que même si le " don't ask, don't tell " est aboli, un minimum de discrétion reste d'actualité et il ne s'en était pas rendu compte !
Comme ils sont permissionnaires pour une semaine, je reste alors que Robert retourne à Berkeley. Je fais bien car Chad appelle son mec et un autre couple gay de son unité, eux aussi en perm.
Ils arrivent directement de LAX et apprécient le climat comme la piscine que nous n'avions pas encore utilisé nous non plus. Ils s'y détendent de leur vol en classe économique et du trajet en voiture. Je fais donc la connaissance du mec de Chad. Quasiment un clone, tout comme le couple de collègues. Taille identique, musculature idem, je ne parle pas de la coupe de cheveux réglementaire qui gomme tout risque de différenciation par le système pileux, d'autant que pour le reste c'est aussi rasage ou épilation. En attendant son mec est cool et quand Chad lui dit qu'il ne va pas s'ennuyer avec moi, il m'avoue directement être jaloux, mais seulement de son mec qui a pu baiser avec moi.
Ok je ne rougis pas facilement mais là, il me gêne un peu. Il ajoute que Chad lui avait donné un aperçu de mes talents et qu'il était impatient de se faire sa propre opinion.
Les deux autres, en couple depuis plus longtemps lèvent les yeux au ciel en nous disant qu'eux avaient dépassé ce stade de baiser de tous les côtés ! J'espère bien les faire changer d'avais avant leur départ de Californie.
En attendant nous sommes encore en maillot de bain. Ça dure jusqu'au déjeuner BBQ pour changer. Moi, ça me va ! Les 3 nouveaux arrivés me demandent eux aussi de nouvelles de Jona et François. Ils sont surpris mais pas étonnés de leur dernière " aventure ". C'est Chad qui leur explique que je viens de lui apprendre quelques truc du " camp d'en face ". Là ils veullent connaitre tout de suite les clés. On attend un peu que la digestion soit plus avancée et on envahit le garage transformé. Les uns après les autres je les étale grâce à mes dernières connaissances. Comme Chad et Don, ils décortiquent les mouvements qui les ont mis par terre. Ils ne me laissent tranquille que quand ils ont totalement intégré la cinématique des mouvements qui les ont mis au sol. Et là malgré les parades enseignées par Jona, c'est moi qui qui finit le dos. Avant que je me sois relevé, le copain de Chad me couvre de son corps. Il déborde un peu !! Mais sa bouche est au bon niveau et on se roule une méga pelle. Il se décolle de moi pour, la tête tourné vers Chad, lui dire que j'ai déjà un frenchkiss qui déménage.
Je m'aperçois que je lui fais un peu d'effet par sa grosse bite qui déforme son jock. Mon bassin bouge et je me fais traiter de salope !! J'entends Chad au-dessus de nous dire à son mec " vas-y essaye le, il est encore meilleur que Jona et François ".
Moi, je suis partant c'est évident !! Depuis mon dépucelage par une amie de ma mère (cf. les premiers épisodes en 2007), je n'ai jamais refusé une partie de baise. C'est bien à cause ou plutôt grâce à ça que Marc a pu m'initier au plaisir entre mecs et il l'a fait suffisamment bien pour que j'en fasse mon tous les jours.
Bon, en attendant j'ai sur moi un Navy seal tout excité et prêt à faire ma fête. Il est hyper bandant (enfin pour moi). Musclé, et même beaucoup, imberbe, ça j'adore, et très très chaud, ça me fait fondre !!
Comme il m'écrase, je ne peux pas bouger. Il me roule un patin de fou. Rien qu'avec sa langue, je m'excite à mort et bande ferme. Mon partenaire aussi. Le couple nous a laissé et est sorti avec Don. Les jocks débordent et mon gland entre en contact avec sa bite. Limite ça me fait une décharge électrique. Quand il se relève, Brad me tire vers lui et je me retrouve coincé entre mes deux Navy.sa queue entre mes cuisses est rejointe par celle de Chad. C'est sans peine qu'ils me tiennent les pieds au-dessus du sol !
Ma tête ballotte d'avant en arrière accompagnée à chaque changement d'une pelle bien profonde.
Chad décide de mener le jeu pour que son mec saisisse plus vite de quoi je suis capable. C'est lui qui m'attrape par les hanches pour me décoller de Brad et me pousser à genoux devant lui.
Automatisme, ma bouche s'ouvre et se fait envahir par le sexe de Brad. Bon format lui aussi. Dans les dimensions de son pote peut être légèrement plus fine, enfin, un bon 23x6 quand même !! Il kiffe lui aussi ma capacité à l'avaler entièrement (je crois savoir que ce n'est pas le cas entre eux deux). Du coup il en profite bien et je suis deux trois fois à la limite de l'étouffement. Bon ça me fait bander encore plus dur mais quand même !
Chad est obligé de l'écarter sinon il m'aurait défoncé la gorge jusqu'à juter. Ma position change !! Je me retrouve soulevé, la tête en bas, mes jambes écartées afin qu'il puisse me bouffer la rondelle. J'ai juste à me stabiliser en m'appuyant sur son bassin. Chad m'aide en tirant ma tête en arrière pour profiter de ma bouche à son tour. Pour pouvoir l'avaler profond j'écarte mon torse de Brad en tendant les bras.
La position ne tient que par la nature musculaire exceptionnelle de mes deux partenaires. C'est très bon. Ma rondelle se détend sous les coups de langues de Brad et ma position facilite la pénétration en profondeur de sa salive. Quand il m'estime prêt, il me redescend et sans que la queue de Chad quitte ma bouche, il m'enfile ses 23cm dans mon trou. Un " great " ponctue son mouvement qui écrase mes fesses contre lui. Un peu direct mais très bon quand même. Sa bite me remplit bien l'intestin et le passage de son gland au-delà de ma prostate et frappant cette dernière à chacun de ses passages m'envoi très loin dans l'atmosphère !
Chad continu de me prendre la bouche et surtout la gorge. Je me sens un peu comme l'agneau d'un méchoui. Mais c'est très bon quand ce sont deux beaux mecs qui t'embrochent ! Ils sont suffisamment forts pour me retourner sur le dos en me maintenant à 1 m du sol. Brad me soutient à la taille et Chad par les épaules.
Mais la position est quand même hard et ils me posent assez rapidement au sol pour continuer à " abuser " de mon corps. Je les entends au-dessus de moi commenter la baise et le confort que je leur apporte, quand ils ne sont pas à se rouler des patins. La pression monte et, si Brad est couvert, ce n'est pas le cas de Chad. Il se retient un maximum mais mes effets de gorge ont raison de lui et il sort juste au bon moment pour me couvrir le corps de son sperme, jutant même jusque sur Brad. De voir son pote à du provoquer l'étincelle et il me bourrine rapidement avant de se bloquer tout au fond de mon cul me secouant à chacune de ses éjaculations. Ce n'est que quand il sort et que son gland frotte une dernière fois ma prostate que j'éjacule à mon tour, ajoutant mon sperme à celui de Chad. Très bon ce plan pur Navy-Seal. J'en ai les jambes coupées. Ils sont obligés de me tirer par les bras pour me relever et me soutenir jusqu'aux douches.
J'ai encore les jambes en coton quand nous rejoignons les autres qui nous attendaient avec une bonne bière. Brad est plus brut de décoffrage que Chad et c'est sans gants qu'il donne son avis sur moi alors que je suis présent. Il dit au couple de collègues qu'ils ont eu tort de partir qu'à 4 il était sûr que je me serais éclaté encore plus !
Je le remercie et le prévient qu'au prochain round c'est lui qui y aurait droit. Eclats de rires des 4 copains, si Chad est recto/verso, Brad, lui, n'est qu'actif. Et bien il le sera moins en repartant de son séjour chez Don.
En attendant, on passe quelques heures à discuter une bière à la main.
Pour la nuit je choisi de rester avec Chad et Brad. Don nous laisse. Je me réveille en pleine nuit entre mes deux " armoires ". Brad est nu, sur le ventre contrairement à Chad. Un très léger ronflement m'indique qu'il est en sommeil profond. Je bande et me dis que c'est peut-être le moment de le baiser. Je trouve une kpote sur la table de nuit, l'enfile et la graisse copieusement. Doucement je pose une couche épaisse de gel au-dessus de sa rondelle. Je me place au-dessus de lui en position de " pompes ". Doucement je pose mon gland contre sa rosette. Ça ne le réveille pas, bon signe pour la suite. Par des mouvements de bassin, je teste son sphincter. Il me parait souple pour un puceau du cul. J'hésite entre lui mettre tout en 1 coup rapide ou me faufiler comme un voleur sur la pointe des pieds. Dans le premier cas, je suis sûr de le réveiller mais je serai déjà au fond de la place, dans le second, je peux peut être faire partie d'un rêve et réussir mon coup sans rejet.
Je tente ma deuxième idée, au pire je me retrouve plaqué au matelas avec un bras en travers de ma gorge.
J'y vais donc tout doucement. Mes bras écartés, mes mains de chaque côté de ses épaules, mon bassin descend. Je lui donne une rotation alternative. Je sens son anneau me laisser passer. Quand mon gland y est entier et que son sphincter se resserre derrière ma couronne, je ne bouge plus. Brad laisse échapper un gros soupir et remue un peu du bassin, comme s'il voulait se faire à ma présence. Mes bras tétanisent un peu à rester tendus sans bouger mais ce n'est pas le moment de m'écraser sur son dos.
Je continue ma plongée dans son corps. Quand il ne me reste plus qu'un cm à lui mettre, je m'écrase sur lui mes cuisses enserrant les siennes et mes bras ses épaules.
J'ai bien fait de m'accrocher. Car là il se réveille et je me retrouve écrasé contre le matelas ! Puis il réalise que c'est moi et qu'il m'a bien profond dans le cul. J'échappe donc à, au minimum, une épaule déboitée. Comme il gueule contre moi, Chad se réveille et éclate de rire. Il calme son copain en lui demandant si c'était si désagréable que ça, ce n'était qu'un peu plus gros que les deux doigts qu'il acceptait d'avoir dans le cul.
Mon bassin, vicieux, entame un pilonnage en profondeur qui doit stimuler ce qu'il faut car il se met à bander. Chad l'embouche et le bascule sur le côté. Ouf, je peux respirer de nouveau ! J'ai accompagné le mouvement et peux donc maintenant limer cette rondelle à demi vierge puisque déjà défloré à la main. J'entame de long (enfin 20cm) va et vient. Ça lui fait plus d'effet que je ne pensais car il ne lui faut pas 5mn pour lâcher la purée dans la bouche de son pote. Il me demande de sortir, ce que je fais bien que pas encore vidé. Il me fait glisser jusqu'à pouvoir me faire une pipe. Une vraie pompe à vide !! J'ai l'impression que sous son aspiration mes couilles vont passer par ma bite pour qu'il les gobe. C'est aussi efficace sur moi que ma bite en a eu dans son cul. En 5mn chrono je sens mon jus sortir de mes boules et remonter mon urètre. Brad se rejette en arrière au moment même où mon sperme explose en l'ai tel un geyser pour retomber sur mes pecs. Il ne reste plus que Chad à purger. C'est chose faite en nous y mettant à 2. En fait Brad n'est pas juste un actif bourrin qui encule seulement les mecs mais un balaise qui prenait jusqu'à présent son pied avec toute la panoplie d'actes sexuels autres que sa sodo.
Avant de se rendormir, il nous explique que la seule fois précédente où il s'était fait sodomiser, il avait aussi éjaculé en quelques minutes. C'est ce qui l'avait porté à être seulement actif pour profiter plus longtemps des plans cul.
Si c'est seulement pour ça, ça peut s'arranger. Et puis, vu comme il bandait encore après avoir juté, ça devrait pas le gêner. Il serait juste plus long à venir la deuxième fois.
Chad est d'accord avec moi et lui dit qu'ils vont s'entrainer pour que Brad progresse en endurance. Venant pour un mec comme Brad le mot " endurance " me fait sourire, il doit physiquement pas en manquer !!
Jardinier
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recitare slogan è indice di basso QI
1) Tutta l'Africa nel 1600 o 1800 era popolata solo da 60 o 80 milioni di persone massimo, cioè era spopolata (oggi che ci sono 900 milioni è ancora in gran parte vuota perché è ENORME).
In Sudafrica sulla costa non ci viveva nessuno perché non pescavano e non avevano navi, per cui quando olandesi e poi inglesi sono arrivati hanno fondato Città del Capo ad esempio senza mandare via nessuno, perché gli Zulu e Xosa stavano tutti nell'interno a cacciare
2) Una volta però che gli europei hanno creato attività economiche di vario genere, da tutto il Sudafrica, che è grande come l'Europa occidentale, sono affluiti gli africani. Gli olandesi e gli inglesi non hanno trovato milioni di africani che hanno schiavizzato, era mezzo vuoto e gli Zulu tra parentesi massacravano le altre tribù tutto il tempo
3) Le miniere di oro, diamanti e altro gli europei le hanno trovare loro, a differenza degli aztechi, gli africani non scavavano e trovavano oro e non avevano oro, non sono arrivati gli olandesi e hanno trovato oro in giro. Se non fossero arrivati loro anche oggi gli africani non ne avrebbero tirato fuori. Idem per l'agricoltura perché Zulu e Xosa e altre tribù cacciavano e non coltivavano quasi niente Man mano però che la ricchezza del Sudafrica cresceva, milioni di africani ci sono migrati e oggi hanno preso possesso delle miniere, aziende e agricoltura nonchè ospedali, scuole, trasporti, università, aereoporti ecc.. creati dagli europei.
Che però ora vengono esclusi da tutto quello che non sia strettamente tecnico. Ad es i piloti delle South Africa Airlines sono sempre bianchi, perché sono 30 anni che provano ad addestrare piloti africani, ma i risultati sono pessimi per cui i piloti i bianchi li possono fare (ma managers sono tutti africani) E' anche offensivo dell'intelligenza continuare a sentire le cazzate politicamente corrette come le tue ☝
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sai come risponde il comunista?
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L’ho dovuta leggere tre volte, sembrava una presa per il cool 🤣🤣🤣
L'Australia sta costruendo un numero enorme di parchi eolici, ma l'unico produttore australiano di torri per turbine eoliche deve chiudere perché il costo dell'energia, grazie alle rinnovabili, è cresciuto al punto che anche essendo in situazione di totale monopolio e ricevendo enormi sussidi pubblici, non è più conveniente mantenere la produzione.
Salta fuori, per la sorpresa di tutti, che per costruire pannelli solari e turbine eoliche servano centrali a carbone, gas e nucleari, non quelle ad energie rinnovabili.
Quindi le prossime torri verranno costruite in cina usando il carbone australiano (sembra che bruciandolo là, non ci sia alcun aumento del livello dei mari) e trasportate qui usando navi a propulsione solare o a polvere di fatina. Logico e conveniente.
https://reneweconomy.com.au/australias-only-wind-turbine-tower-maker-to-close-shop-prompts-coalition-to-ignore-its-own-history/
#truffa energetica#truffa climatica#truffa rinnovabili#solare farlocco#eolico farlocco#crimini contro umanità#crimine ecologico
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Questa cartina posiziona tutte le navi Cargo e di grande stazza in effettivo servizio.
Il consumo di carburante per sole 15 navi cargo per la durata di un anno di servizio è pari al consumo di carburante di tutte le auto private circolanti in un anno su tutto il pianeta...
Se dovessimo aggiungere il traffico aereo ci renderemo conto che l'inquinamento prodotto delle auto è pari all'alito di una formica.
E questi vorrebbero farci comprare le auto elettriche per non inquinare.... 😂
Nicola Piasentin
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2024 reading review
I was tagged by the ever lovely @ninadove and finally this is one I can actually do (I haven't been ignoring your tags, it's just that 2024 was the year I started working full time and I just did not write)! Anyway!
In 2024 I met my modest goodreads goal of 30 (scaled down from my usual 50 bc of work) and here are the highlights:
Storia del Mare by Alessandro Vanoli
Una storia del mare. Che racconti la geologia, gli uomini delle coste, le scoperte, le navi, le guerre, i miti e i sogni. Ma anche e soprattutto i pesci e gli altri esseri marini. Una storia insomma che tenga assieme tutto, uomini e animali. E naturalmente un viaggio del genere non può e non vuole essere una cronaca minuziosa di fatti e cose. Piuttosto, intende essere un racconto, fatto di volti, immagini, suoni e colori, con la speranza di restituire un po' di quello stupore che gli abissi ci hanno sempre dato.
To my knowledge this book is not currently available in any other language so this is mainly for the benefit of my Italian-speaking mutuals. I loved this book so so so much. It keeps the perfect balance of informative and fun, and the subject matter is so varied that on a very deep level it feels like those encyclopedias for kids that we'd read so proudly and then recite random facts out of for months. Best book of the year, 10/10, no notes.
The Secret Garden by F. H. Burnett
Mary Lennox, a spoiled, ill-tempered, and unhealthy child, comes to live with her reclusive uncle in Misselthwaite Manor on England’s Yorkshire moors after the death of her parents. There she meets a hearty housekeeper and her spirited brother, a dour gardener, a cheerful robin, and her wilful, hysterical, and sickly cousin, Master Colin, whose wails she hears echoing through the house at night.
This was, I believe, my third re-read of this book in the original English (I cannot for the life of me count the times I read it in Italian as a child). It's a comfort read of mine, so full of hope, warmth, and whimsy! Also, I may or may not be working on a retelling... 👀
Much Ado About Nothing by William Shakespeare
In Much Ado About Nothing, Shakespeare includes two quite different stories of romantic love. Hero and Claudio fall in love almost at first sight, but an outsider, Don John, strikes out at their happiness. Beatrice and Benedick are kept apart by pride and mutual antagonism until others decide to play Cupid.
Idk why I waited so long to hop on the bandwagon, but this skyrocketed straight into my top 3 Shakespeare comedies DESPITE having the least funny comedic subplot ever (scholars don't @ me I hate the constables, it's 100% personal), so it must be good. I've read it twice, seen it 4 times.
The Ill-Made Knight by T. H. White
The goodreads summary sucks so here: it's book 3 of the once and future king and it's all about our boy Lancelot! Ugly French child is starry-eyed and has a puppy crush on the king, ends up his best friend (read entangled in a messy homoerotic relationship with him) while also madly in love with the queen. It all hurts exquisitely. Also, we all should say thank you to Mr White for giving us the delicious image of thee king Arthur, kneeling on the ground, strapping on Lancelot's greaves so he can go and rescue queen Guinevere. What's more polycule than that.
And that's all folks! Thanks Again Nina for the tag. I'm curious to know what @mlem-wooloowoo @automatisma and @flussoperpetuo have been reading (no pressure tho!)
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Sarebbe bello tornare ai tempi in cui ancora si aveva la pazienza ed il romanticismo necessari per corteggiare, quando ancora si sapeva il significato della parola ed il modo giusto per farlo senza diventare volgari oppure oggettificati.
Quando si intingeva la penna nel calamaio, si prendevano carta e penna, ci si sedeva allo scrittorio, al tavolino o si cercava una superficie piana, alla luce del sole, al lume di una candela o al bagliore fioco di una lampada.
Si scrivevano le proprie giornate, sensazioni e sentimenti, si affidavano alle pagine, al profumi con con si profumava la carta, al colore dell'inchiostro, alla ruvidezza della carta da lettere scelta, alla busta e poi ai postini il compito di recapitare quel piccolo scorcio di noi e si attendeva trepidanti la consegna della missiva e la risposta della persona cara.
Si aprivano le buste con emozione, con cura le si conservava e le si leggeva e rileggeva fino talvolta a sgualcirle.
Si raccoglievano sassolini di fiori dai campi e li si portava alla propria bella affinché ne apprezzasse il profumo ed i colori, vi si adornasse i capelli o li inserisse in un vaso.
Lavorando a maglia si creavano sciarpe, maglioni, calzini da regalare al proprio innamorato per tenerlo bene al caldo nei periodi invernali.
Conservare i soldi per comprare qualche dolce speciale, frutto, libro da portare come presente.
Si divideva la frutta colta da un giardino, la stessa coperta o lo stesso ombrello durante i tragitti delle passeggiate.
Si aspettavano treni, navi, aerei per rivedersi dopo periodi in cui si era stati lontani e ci si amava anche senza nulla, senza soldi, senza auto, senza telefono, senza un tetto; si lavorava insieme per ottenerli e non importava altro che ci fosse l'altra persona.
Sarebbe bello tornare a regalare amore invece che cellulari, coprirsi con lo stesso ombrello invece che con due differenti, tenersi per mano invece che averle occupate a messaggiare.
Tornarsi a vivere e scoprire, vedersi mutare con il tempo e le stagioni, sarebbe bello tornare ad essere umani.
-umi-no-onnanoko ( @umi-no-onnanoko )
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24 MAGGIO 1961 nasceva ILARIA ALPI
"Era una giovane donna, forte e determinata, battagliera e femminista convinta".
"Soffriva di vertigini e temeva il vuoto, ma si era scelta un lavoro in cui l'elicottero è uno dei cosiddetti ferri del mestiere, aveva una autentica fobia del vuoto, una vera e proprio chefobia ma volava con tranquillità almeno apparente".
"Era una giornalista coraggiosa con la mente in Europa ed il cuore in Africa"
P.s. Così l'ha descritta sua madre.
Si diplomò al Liceo Tito Lucrezio Caro di Roma.
Grazie anche all'ottima conoscenza delle lingue (arabo, francese e inglese) ottenne le prime collaborazioni giornalistiche dal Cairo per conto di Paese Sera e de l'Unità.
Successivamente vinse una borsa di studio per essere assunta alla Rai.
Ilaria Alpi giunse per la prima volta in Somalia nel dicembre 1992 per seguire, come inviata del TG3, la missione di pace Restore Hope, coordinata e promossa dalle Nazioni Unite per porre fine alla guerra civile scoppiata nel 1991, dopo la caduta di Siad Barre. Alla missione prese parte anche l'Italia, superando in tal modo le riserve dell'inviato speciale per la Somalia, Robert B. Oakley, legate agli ambigui rapporti che il governo italiano aveva intrattenuto con Barre nel corso degli anni ottanta.
Le inchieste della giornalista si sarebbero poi soffermate su un possibile traffico di armi e di rifiuti tossici che avrebbero visto, tra l'altro, la complicità dei servizi segreti italiani e di alte istituzioni italiane: Alpi avrebbe infatti scoperto un traffico internazionale di rifiuti tossici prodotti nei Paesi industrializzati e dislocati in alcuni paesi africani in cambio di tangenti e di armi scambiate coi gruppi politici locali. Nel novembre precedente l'assassinio della giornalista era stato ucciso, sempre in Somalia e in circostanze misteriose, il sottufficiale del SISMI Vincenzo Li Causi, informatore della stessa Alpi sul traffico illecito di scorie tossiche nel paese africano.
Alpi e Hrovatin furono uccisi in prossimità dell'ambasciata italiana a Mogadiscio, a pochi metri dall'hotel Hamana, nel quartiere Shibis; in particolare, in corrispondenza dell'incrocio tra via Alto Giuba e corso Somalia (nota anche come strada Jamhuriyada, corso Repubblica).
La giornalista e il suo operatore erano di ritorno da Bosaso, città del nord della Somalia: qui Ilaria Alpi aveva avuto modo di intervistare il cosiddetto sultano di Bosaso, Abdullahi Moussa Bogor, che riferì di stretti rapporti intrattenuti da alcuni funzionari italiani con il governo di Siad Barre, verso la fine degli anni ottanta. La giornalista salì poi a bordo di alcuni pescherecci, ormeggiati presso la banchina del porto di Bosaso, sospettati di essere al centro di traffici illeciti di rifiuti e di armi: si trattava di navi che inizialmente facevano capo ad una società di diritto pubblico somalo e che, dopo la caduta di Barre, erano illegittimamente divenute di proprietà personale di un imprenditore italo-somalo. Tornati a Mogadiscio, Alpi e Hrovatin non trovarono il loro autista personale, mentre si presentò Ali Abdi, che li accompagnò all'hotel Sahafi, vicino all'aeroporto, e poi all'hotel Hamana, nelle vicinanze del quale avvenne il duplice delitto. A bordo del mezzo si trovava altresì Nur Aden, con funzioni di scorta armata.
Sulla scena del crimine arrivarono subito dopo gli unici altri due giornalisti italiani presenti a Mogadiscio, Giovanni Porzio e Gabriella Simoni. Una troupe americana (un freelance che lavorava per un network americano) arrivò mentre i colleghi italiani spostavano i corpi dall'auto in cui erano stati uccisi a quella di un imprenditore italiano con cui successivamente vennero portati al Porto vecchio. Una troupe della Svizzera italiana si trovava invece all'Hotel Sahafi (dall'altra parte della linea verde) e filmò su richiesta di Gabriella Simoni - perché ci fosse un documento video - le stanze di Miran e Ilaria e gli oggetti che vennero raccolti.[6]
Ilaria Alpi venne sepolta nel Cimitero Flaminio di Roma.
La madre, Luciana Riccardi Alpi, (1933 - 12 giugno 2018) ha intrapreso, fin dal primo processo, una battaglia per cercare la verità e far cadere ogni sorta di depistaggio sull’omicidio della figlia.
Noi siamo quelli che credono ancora a queste emozioni
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AMALIA
Nel centro della Città Vecchia, a Riga - meno sette gradi sotto lo zero - troviamo un bar per riposarci dal freddo e riprendere fiato. Il bar si chiama Libertà. Esiste. Potete cercarlo sulle mappe, se volete: Kungu iela (il nome della via) o giù di lì.
Per pagare le poltrone e il tepore, ordiniamo due bicchierini del loro balsamo liquoroso, prodotto tipico della città, che odorano di manicomio ed hanno il sapore del metano. Beviamo, e alla radio passano - esperanto della Terra - un pezzo classico del rock anni ’80 e che ai tempi in cui il pezzo è stato scritto, qui lo si poteva ascoltare solo se qualche eroe, in odore di martirio, riusciva a passarti sottobanco la sua cassetta registrata intercettando una radio della Germania Ovest, oppure se eri uno psicopatico al soldo di altri psicopatici che ti avevano assunto nel KGB per mantenere un ordine, che nelle regole dell’universo e nelle fantasie del dio che avevano ammazzato non sarebbe mai potuto esistere. Se avevi questa attitudine per la macelleria industriale, oltre al disco di Under Pressure, ti era concesso anche un hamburger e un pacchetto di Lucky Strike per digerirlo meglio.
Le nostre mani, comunque, al bar Libertà, possono permettersi il lusso di muoversi a inseguire il mistero delle note intrecciate che colano dalla bocca di Bowie e di Mercury quando raggiungono il picco del sublime.
Poi, senza accorgercene, le mani continuano a muoversi e tutti lì dentro capiscono: siamo italiani. I gesti, però, non sono sguaiati. In tono calmo, rilassato, riflessivo, mettono delle linee e pongono degli accenti melodici sotto le nostre parole. Parole sottili, che si raccontano le brutture, le banalità e le meraviglie di un’amicizia pluridecennale.
Le nostre voci, in qualche strano modo, diventano come un caminetto acceso nel pallido pomeriggio di Riga.
E qualcuno sente freddo.
La ragazza che ci ha servito pochi minuti prima i bicchieri di Riga Balzam - un donna che in Italia avrebbe tappeti rossi stesi davanti ad ogni bettola, o casa, o raccapricciante postribolo dove il potere si mesce in carte intestate con lo stemma della Repubblica, e che qui, dove la bellezza sui visi delle donne abbonda, come se a dio fosse scappata la mano, è solo una tra le tante - questa donna di vent’anni, che De Gregori avrebbe descritto come una ragazza la cui espressione del viso somiglia alla frana di una diga, si avvicina.
Inizia con il parlare del liquore che ci ha servito. Dice che ne esiste una versione migliore, benché la ricetta non sia quella della tradizione, che ha un sapore fruttato, più aromatico, più bevibile e che ti trita il cervello allo stesso modo dell’originale. Dice anche che è quello che beve quando stacca dal lavoro.
Lei è rilassata e accogliente, e noi le chiediamo della Lettonia. Le chiediamo come mai alle undici della sera le strade diventano un deserto. E lei risponde che il motivo risiede nel fatto che qui si inizia a uscire e a far baldoria alle due di notte. Poi è lei a chiederci dell’Italia. E noi rispondiamo alla sua domanda. Finisce che passiamo due ore - mentre lei ogni tanto si allontana per lavorare - a conversare, in inglese - esperanto del potere - su Dante, la perestrojka, i russi, di come io sia diventato maggiorenne e del perché lei voglia diventare un medico e come mai, invece, io non ho voluto.
D’un tratto le sorge un dubbio. Ci fa - lei, la donna per cui gli Achei avrebbero spostato le loro navi fino alla cima del monte Olimpo per muovere guerra a Zeus in persona se solo avesse osato violarla, come aveva già fatto con Europa e Aracne - ci fa: non è che forse sono di troppo? Che magari sto violando i vostri spazi e il vostro tempo?
E mentre lo dice, arrossisce; le sue mani bianche e grandi davanti al petto come a volere farsi già lontana. E a noi pare ancora più bella, ed estranea, forestiera, straniera, in una maniera ormai irreparabile, in un mondo di ombre e panini al salmone del baltico e kvas, venduti solo per fottere i turisti. Straniera in Italia, e in Lettonia e sulla Terra e, forse, anche in cielo.
Ma il balsamo finisce.
E’ ora di pagare, ché Riga domani tramonta, e anche Amālija - questo il suo nome - dietro agli uffici, alle maschere e ai sogni americani.
Non ero mai andato all’estero, prima d’adesso. Mi faceva paura volare, mi faceva paura il mondo. Ma, aprendo finalmente la scatola cranica del pianeta, come prima figura, ci ho trovato dentro questa Elena di Troia che invece di spargere guerre, semina i campi di domande e di risposte feconde.
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Self Pinterest moodboard
Cerca queste sei parole chiave:
lyrics, color, character, place, aestethic and outfit
E pubblica la prima foto che Pinterest ti propone! 🪄
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Grazie @lovelytoyou per avermi coinvolta in questo altro gioco a tema Pinterest, questa volta incentrato sullo stato d'animo! ✨
Dunque, i Coldplay non mi fanno impazzire e la canzone Yellow è associata ad una persona che mi ha ferito nel profondo e non è più presente nella mia vita, perciò le premesse non sono le migliori. Tuttavia, credo che la comparsa di questa immagine nella home sia un segno, perché non avevo mai badato al testo prima d'ora e questa frase in particolare parla alla mia situazione attuale, dove mi sembra che non ci sia alcuno spiraglio di lasciare il segno, di poter fare ciò che amo. "Guarda le stelle, osserva come brillano per te e per tutto ciò che fai", ovvero: "Ricordati di quanto tu sia preziosa agli occhi di Dio e di come nulla di ciò che fai sia inutile", mi sussurra.
Il blu navy, Jo March, il mare, nulla da dire, tutto in linea con i miei gusti, modi di essere, ambienti naturali. L'outfit vittoriano dark è bellissimo, sembra quello di un'ipotetica assistente di Van Helsing (o la versione evil di Jo March), però non nascondo che in certe occasioni mi vestirei così! Infine, l'abbinamento di rose e pagine cartacee rimanda proprio al mio animo romantico e alla mia indole di scrittrice.
Cari lettori, come sempre, se avete voglia di partecipare a questo divertissement siete tutti invitati! Nomino in particolare @hope-now-and-live, fedelissima a questo tipo di giochi.
Se vi incuriosisce vedere l'esito degli altri How does Pinterest see you a cui ho partecipato, cliccate qui, qui, qui, qui, qui e qui.
Se invece volete che ci seguiamo anche su Pinterest, mi farebbe molto piacere, ecco il mio profilo! ✨
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“Ciao Yasmine, cara bambina magica portata prima a Lampedusa, avamposto di tante anime stanche e perdute, e ora in un luogo protetto vicino a Trapani.
So che hai undici anni e vieni dalla Sierra Leone. Sei arrivata sulle nostre coste galleggiando, aggrappata a due camere d'aria. Partita dalla spiaggia di Sfax in Tunisia, un paese che qualcuno di recente ha definito sicuro.
Tu, insieme a tuo fratello maggiore e tuo cugino. Su un catorcio di ferro con altri 44 disperati. Il Mediterraneo in inverno è gonfio, agitato, rabbioso. Perché il mare è così, silenzioso solo se lo vedi in foto. Dal vivo è pieno di rumori, il vento, i colpi, le onde di 3, 4, 5 metri. La tua barca sgangherata non regge gli urti della tempesta, si riempie d'acqua e va a fondo.
Tutti inghiottiti dal mare buio per sempre. Tu, aggrappata al copertone con tuo fratello, a pregare. Poi anche lui sparisce.
E tu gridi, gridi. Con quale speranza solo tu lo sai. C'è un veliero che naviga da quelle parti. Trotamar si chiama. Una piccola barcavela di 13 metri. Sopra sei tedeschi e tedesche e un austriaco. Tutti volontari della stessa ONG. Per puro caso abbassano i giri del motore. E sentono. Hanno orecchie sensibili i naviganti. Si accorgono. Hanno mille antenne quelli che lavorano nelle ONG.
Ma non capiscono subito da dove arrivi quel grido. Urlano anche loro per farsi sentire. Si dannano l'anima per vedere qualcosa dentro tutto quel buio.
Poi le loro torce ti illuminano, Jasmine. E ti vedono lì, in mare, in maglietta e giubbotto di salvataggio. Sono le 3.20 del mattino quando ti ripescano. Stanca, ma viva. Il mondo va così, sai, Jasmine. Le colpe sembrano sempre essere di chi il male lo subisce. Non di chi lo crea. E la politica si dà un gran da fare a fomentare l'odio. E a scarrozzare persone da una nazione all'altra. Chi governa dovrebbe ringraziare le persone che ti hanno salvato. Invece fa il contrario. Minimizza il tempo in cui le navi possono stare in mare e alza i costi di ogni salvataggio.
Sarebbe come se obbligassero i pompieri ad usare l'acqua delle borracce al posto delle pompe. O imponessero alla stradale di girare in monopattino.
Quest'anno sono sbarcate sulle nostre coste 64.234 persone. E dico persone apposta. Perché migrare è una cosa che fai. Persona è una cosa che sei. Persone come noi, con speranze, paure, uguali alle nostre. Ma con una disperazione che noi, per fortuna, non conosciamo. Che non possiamo neanche immaginare.
64.234 persone. 7.879 minori. Come te.
498 morti e 711 dispersi. Un'emergenza complessa, per carità.
Ma 498 morti è un numero semplice da capire.
Perché 498 volte di più di quanto dovrebbe essere. Tu sei l'unica viva. Ed è un miracolo.
Può darsi che crescendo ti chiederai, perché proprio io? Non so darti una risposta. Ma mi piace pensare che ci sia un senso nelle cose che ci capitano. E adesso riposati, Yasmine.
Dormi. Sei al sicuro. E sappi che di qua dall'acqua non sei più sola.”
Luciana Littizzetto
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La strada "pedonale" più lunga del mondo va da Città del Capo (Sud Africa) a Magadan (Russia).
Non c'è bisogno di aerei o navi, ci sono ponti.
Sono 22.387 km e servono 4.492 ore per percorrerlo.
Sarebbero 187 giorni a piedi senza sosta, o 561 giorni a piedi 8 ore al giorno.
Lungo il percorso si passa per 17 paesi e sei fusi orari.
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Sai cos’è bello qui? Guarda: noi camminiamo, lasciamo tutte quelle orme sulla sabbia, e loro restano lì, precise, ordinate. Ma domani, ti alzerai, guarderai questa grande spiaggia e non ci sarà più nulla, un’orma, un segno qualsiasi, niente. Il mare cancella, di notte. La marea nasconde. È come se non fosse mai passato nessuno. È come se noi non fossimo mai esistiti. Se c’è un luogo, al mondo, in cui puoi pensare di essere nulla, quel luogo è qui. Non è più terra, non è ancora mare. Non è vita falsa, non è vita vera. È tempo. Tempo che passa. E basta.
Sarebbe un rifugio perfetto. Invisibili a qualsiasi nemico. Sospesi. Bianchi come i quadri di Plasson. Impercettibili anche a se stessi. Ma c’è qualcosa che incrina questo purgatorio. Ed è qualcosa da cui non puoi scappare. Il mare. Il mare incanta, il mare uccide, commuove, spaventa, fa anche ridere, alle volte, sparisce, ogni tanto, si traveste da lago, oppure costruisce tempeste, divora navi, regala ricchezze, non dà risposte, è saggio, è dolce, è potente, è imprevedibile. Ma soprattutto: il mare chiama. Lo scoprirai, Elisewin. Non fa altro, in fondo, che questo: chiamare. Non smette mai, ti entra dentro, ce l’hai addosso, è te che vuole. Puoi anche far finta di niente, ma non serve. Continuerà a chiamarti. Questo mare che vedi e tutti gli altri che non vedrai, ma che ci saranno, sempre, in agguato, pazienti, un passo oltre la tua vita. Instancabilmente, li sentirai chiamare. Succede in questo purgatorio di sabbia. Succederebbe in qualsiasi paradiso, e in qualsiasi inferno. Senza spiegare nulla, senza dirti dove, ci sarà sempre un mare, che ti chiamerà.
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Alessandro Baricco
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“ Il mio mondo, la mia Terra, è una rovina. Un pianeta rovinato dalla specie umana. Ci siamo moltiplicati e ci siamo ingozzati e abbiamo combattuto finché non è rimasto più nulla, e poi siamo morti. Non abbiamo controllato né gli appetiti né la violenza; non ci siamo adattati. Abbiamo distrutto noi stessi. Ma prima abbiamo distrutto il nostro mondo. Non rimangono più foreste sulla mia Terra. L’aria è grigia, il cielo è grigio, fa sempre caldo. È abitabile, è ancora abitabile, ma non come questo mondo. Questo è un mondo vivo, un’armonia. Il mio è una dissonanza. Voi Odoniani avete scelto un deserto; noi Terrestri abbiamo fatto un deserto…
Laggiù noi sopravviviamo, come voi. La gente è resistente! C’è quasi mezzo miliardo di noi. Una volta ce n’erano nove miliardi. Puoi vedere ancora dappertutto le vecchie città. Le ossa e i mattoni vanno in polvere, ma i piccoli pezzi di plastica no… anch’essi non s’adattano. Noi abbiamo fallito come specie, come specie sociale. Noi siamo qui, ora, a trattare da pari a pari con le altre società umane sugli altri mondi, soltanto grazie alla carità degli Hainiti. Essi vennero da noi; essi ci portarono aiuto. Costruirono navi e ce le donarono, in modo che potessimo lasciare il nostro mondo rovinato. Ci trattano gentilmente, caritatevolmente, come un uomo forte può trattare uno malato. Sono un popolo molto strano, gli Hainiti; più antichi di qualsiasi altro; infinitamente generosi. Sono degli altruisti. Sono spinti da un sentimento di colpa che noi non riusciamo neppure a capire, nonostante tutti i nostri crimini. Essi sono spinti, in tutto ciò che fanno, io credo, dal passato, dal loro interminabile passato. Ebbene, abbiamo salvato il salvabile, e organizzato una sorta di vita nelle rovine, su Terra, nell’unico modo in cui la si poteva organizzare: centralizzazione totale. Totale controllo sull’uso di ogni acro di terreno, ogni pezzo di metallo, ogni grammo di carburante. Totale razionamento, controllo delle nascite, eutanasia, coscrizione universale nella forza lavoro. L’assoluta irreggimentazione di ciascuna vita per raggiungere la meta della sopravvivenza razziale. Eravamo arrivati a questo, quando giunsero gli Hainiti. Essi ci portarono… un po’ più di speranza. Non molta. Noi l’abbiamo oltrepassata… Noi possiamo soltanto guardare a questo splendido mondo, a questa vitale società, a questo Urras, questo paradiso, dall’esterno. Siamo capaci solo di ammirarlo, e forse di invidiarlo un poco. Non molto. “
Ursula K. Le Guin, I reietti dell'altro pianeta, traduzione di Riccardo Valla, Collana Narrativa di anticipazione n.6, Editrice Nord, 1976¹, pp. 299-300.
[1ª Edizione originale: The Dispossessed: An Ambiguous Utopia, Harper & Row, New York City, 1974]
#letture#leggere#citazioni letterarie#fantascienza#distopie#Ursula K. Le Guin#ambiente#ambientalismo#specie umana#fantascienza utopica#romanzi#libri#pianeta Terra#ecologia#questioni ambientali#ecologismo#inquinamento#resilienza#letteratura americana del '900#armonia#adattamento#natura#letteratura fantascientifica#passato#futuro#speranza#vita#sistema capitalistico#sopravvivenza#capitalismo
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"Come surfista, sono costantemente sull'oceano e ho sentito gli oceani riscaldarsi", dice Catarina Lorenzo, 17 anni, surfista professionista di Salvador, nello stato di Bahia in Brasile."
https://www.theguardian.com/environment/live/2024/nov/19/cop29-climate-summit-live-updates-world-leaders-in-baku-azerbaijan?CMP=share_btn_url&page=with%3Ablock-673c55e78f0866cddf1b7a15#block-673c55e78f0866cddf1b7a15
Gli Oceani sono vasti, si estendono per oltre il 70% della superficie del pianeta, con profondità che variano da 2 mila a 10 mila metri e più (fossa delle Marianne). Misurarne la temperatura con precisione è una sfida erculea che fa sembrare la costruzione di un orologio svizzero un gioco da ragazzi. Gli scienziati ci provano con le boe termiche di recente realizzazione (ARGO), con i satelliti, con i termometri inseriti nelle prese di raffreddamento delle grandi navi militari e oceanografiche, provano da decenni a ricostruire le temperature attraverso il prelievo di campioni di vita vegetale e sedimenti, eppure i valori sono spesso in contrasto tra di loro, e non perché si usano metriche diverse, ma per la vastità della distesa marina e le infinite influenze naturali sulla sua temperatura.
Poi ecco arrivare lei, una ragazzina di 17 anni, Catarina Lorenzo, surfista professionista di Salvador, nello stato di Bahia in Brasile ed ha risolto tutti i problemi della scienza. Si, dovete sapere che lei e la sua muta hanno particolari proprietà sensitive, quindi ha avvertito l'urgenza di avvisare la scienza che la sua pelle sente che gli Oceani si stanno scaldando! E non è uno scherzo, perché è stata invitata alla COP29 di Baku! Ovviamente il The Guardian non si è fatto scappare la ghiotta occasione per farne motivo di propaganda, ma né la testata britannica, né la delegazione brasiliana, ne stanno facendo una bella figura!
Fernando Arnò.
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