Tumgik
#n'ayons pas peur des mots
olympic-paris · 13 days
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saga: Soumission & Domination 269
Emma, juillet 2013
Comme Ernesto est arrivé en France, nous passons voir ma " mère ". Elle adore quand nous lui faisons l'amour tous les trois, ensembles.
Nous débarquons chez elle, moi en moto et PH avec Ernesto dans la SL. Elle nous dit avoir annulé tous ses rendez vous pour les jours à venir et nous invite à rester un peu de temps avec elle. Marc et Hervé sont à l'étranger, il n'y a donc pas d'impératifs pour nous faire rentrer à la maison.
Le premier jour, nous ne pouvons attendre le soir pour jouir de nos corps. A peine arrivés, elle nous entraine dans une nouvelle chambre. Un immense lit à baldaquin trône au milieu. Je lui demande les dimensions. Il fait 4m x 3 ! Un éclairage doux provient du ciel de lit avec un modulateur de puissance caché dans un des montants. Le fond de la pièce est consacré à la salle d'eau, derrière un grand panneau vitré transparent. Emma me dit que les installations du Blockhaus l'avaient inspirée.  On peut y voir un espace douche avec 4 diffuseurs Italiens et flexibles, séparé des lavabos, 4 aussi dans une seule vasque étirée sur le mur, par un autre panneau vitré.
Nous l'attrapons et la lançons direct sur le lit. Nous la rejoignons et l'épluchons de ses quelques vêtements. Autour d'elle, nous faisons un strip-tease en limite de déséquilibre, le matelas assez souple ne nous aidant pas. Quand nous sommes enfin à poil, elle peut admirer nos corps parfaits (n'ayons pas peur des mots, ha ha) et nos sexes raides d'excitation. Nous passons les deux heures qui suivent à nous faire du bien. Emma est l'axe sur lequel nous sommes arrimés tous les trois. Ça n'empêche pas de nous pénétrer aussi entre nous après ou même pendant que nous l'honorons. Bien sur, nous passons par l'inévitable " un dans chaque trou ", ce qui a toujours l'effet de la faire jouir un maximum surtout si c'est Ernesto qui lui rempli le vagin !  Ce qui est sympa du lit, c'est une grille, composée de gros barreaux métallique assez espacés, qui pet descendre à la hauteur désiré. Nous nous y accrochons tous à un moment ou un autre. Soit pour se retenir alors qu'on se fait labourer le cul, soit pour se tenir debout alors qu'un autre des participants vous suce la bite. Positionnée assez bas, elle me soutient le torse à l'horizontal, alors que je me fais enculer par Ernesto (miam que ses 24cm sont bon !) et que PH et Emma me pompe la bite et les boules en alternance. Y'aura encore à faire pour épuiser le potentiel de l'accessoire. Ernesto qui est aussi " clean " que nous (analyses et comportements), fait qu'on baise tous sans kpote et que nous profitons de son sperme comme du notre. C'est plus pratique lors des touzes comme celle-ci ! Et il n'y a plus de retenue lors de nos jouissances à tous. Après avoir mené Emma à la quasi-inconscience à la suite d'orgasmes multiples et rapprochés, nous explosons à notre tour, recouvrant de sperme blanc nos corps luisants de sueur. Exténués, nous restons 1/2 heure allongés, amorphes.
Alors que nous prenons nos douches ensembles, PH remarque que la pièce manque de miroir et suggère d'en faire recouvrir les murs et le plafond afin que l'on puisse s'admirer en train de faire l'amour. Emma trouve ça un peu " violent " mais Ernesto rebondi sur l'idée et affirme que ça pourrait être assez excitant. Je propose à Emma de m'en occuper ou de donner le taf à faire à Pablo. Après tout il est déjà plus qu'un simple cuisinier et soulagerait aussi le majordome de feu son mari qui commence, comme sa cuisinière, à prendre de l'âge.
Nous sortons de la chambre en maillots de bain pour quelques minutes de détente dans sa piscine. Nous y retrouvons Pablo qui nage à contre courant. Il ne nous aperçoit que quand l'eau explose autour de lui sous l'effet combiné de nos trois entrées façon " bombe ". S'ensuit une bagarre et comme nous sommes trois contre un, nous arrivons à le coincer contre le rebord. Après quelques bisous, il nous repousse sentant derrière nous Emma rentrer dans l'eau à son tour. Il s'apprête à sortir mais Emma lui demande de rester quelques instants. Il s'assoit sur la margelle de la piscine et je n'ai d'yeux que pour son paquet moulé par son slip de bains comme par une deuxième peau. Dans le lointain j'entends Emma discuter de lui donner plus de responsabilité dans la maison, avec notamment la gestion des travaux divers. Je n'entends pas la réponse mais j'annonce aux autres que je raccompagne Pablo à son appart pour le convaincre. Je sors de l'eau, l'aide à se relever et le pousse dehors. Derrière nous j'entends des " obsédé ", " faites vite, on a faim "...
C'est vrai que j'ai une envie folle de me faire baiser par lui. C'est limite si j'arrive à me contenir jusque chez lui. Et là, je le viole carrément. Bon il était d'accord puisqu'il bandait. Sa bite dure comme de l'acier m'a défoncé la rondelle sans ménagement. Premièrement, lui aussi était excité (mon cul l'a toujours satisfait) et deuxièmement, il était très énervé de se trouver si excité ! Heureusement que ma rondelle avait le souvenir de la queue de son frère (copie conforme) et que j'étais chaud comme la braise car il m'a arraché le maillot et enfilé direct (avec kpote quand même), moi plié en deux sur le dossier de son canapé. J'adore me faire dominer grave de temps en temps. Accroché, ses mains enserrant ma taille, il m'encule avec la sauvagerie qui va de paire avec son excitation. Ses coups de gland dans ma prostate me font bander à mort moi aussi. Mais seul le frottement du mien sur le cuir du canapé me soulage un peu.
Il accélère sans se soucier de mon confort, je lui suis juste un réceptacle aux pulsions que j'ai déclenchées. Je le sens monter en pression et accélère le phénomène en faisant pulser mon anneau sur sa grosse tige. Cela provoque des saccades dans ses va et vient qui l'achèvent rapidement. Son dernier coup de rein le fait me pénétrer jusqu'à l'os.  Le dernier passage de son gros gland me fait jouir et je laisse de grosses trainées de sperme sur le cuir noir alors que je sens en moi les secousses inhérentes aux éjaculations de Pablo.
Je reste quelques instants encore plié sur le canapé alors que Pablo se retire. J'ai une brève impression de vide et de " frais ", le temps que ma rondelle se referme. Je m'éclipse quand j'entends l'eau couler dans la douche. Je vais directement à la chambre pour me doucher et m'habiller avant de rejoindre les autres qui m'attendaient pour dîner.
Nous passons un bon moment. Emma nous fait parler de notre année, de nos examens et de ce que l'on va faire cet été. Elle-même a prévu de se rendre en Grèce au soleil et de profiter des " pâtres " locaux. Ernesto lui assure qu'elle n'aura que l'embarras du choix. Un de ses clients Espagnol y a passé une quinzaine et lui a dit que le plus difficile c'avait été de choisir. Avec plus de 50% des jeunes au chômage, il y avait un vivier de " putes " impressionnant.
Rôles inversés, c'est moi qui lui dis de bien faire attention. Il ne faut pas qu'elle prenne de risques. On a beau être pd, on l'aime bien mon Emma ! Elle se récrie que dans les hôtels où elle descend, les risques sont faibles. Ernesto est d'accord avec moi et il insiste lui aussi. C'est PH qui trouve la solution en disant que nous allions lui enseigner quelques parades et ripostes de Krav Maga. Après tout elle n'est pas si vieille et sa pratique journalière de sport fait une bonne base de départ.
Les deux jours qui suivent voient passer l'alternance de baises et de combats. Et plus de l'autre que de l'un. J'appelle même Jona à la rescousse pour vérifier que les bases que nous lui avons enseignées sont bonnes. Il arrive avec François, après un bon café, ils passent à l'évaluation. Quelques corrections et ils nous rassurent quant à ses capacité à repousser un à deux protagonistes qui auraient l'impudence d'insister alors qu'elle ne le désire pas ou plus ! Je commence à bien connaitre ma " mère ". Du coup je pousse mes deux mecs (PH et Ernesto) à partir. J'ai bien compris que mes deux Escorts, eux, vont rester sur place.
Alors que nous leur disons au revoir, François me parait un peu gêné. Je l'embrasse et lui glisse qu'il ne doit pas l'être, il n'y a pas de malaise. Qu'ils lui fassent plaisir et qu'ils en prennent aussi au passage, cela leur fera un bonus avant leur stage.
Ils sont trop honnêtes ! Quand ils appellent deux jours plus tard, ils me disent qu'elle leur a donné à chacun une prime en liquide. Je leur dis que les " pourboires " n'entrent pas dans la comptabilité de la boite. Faut que j'insiste pour qu'ils l'acceptent. J'aime bien mes p'tits mecs. Ils sont efficaces et honnêtes. Je leur laisse même une des RCZ pour leurs déplacements de l'été.
Alors que nous préparons notre voyage pour l'Espagne comme depuis deux ans, le client qui m'avait pris Jona et François me fait défaut. Alors que je leur dis que c'est sans conséquence pour eux, le paiement étant fait à la réservation, Jona me propose d'accompagner ma mère si cela nous arrange. Moi, cela va me rassurer c'est certain !
J'appelle aussitôt Emma qui est ravie de ce désistement. Elle s'occupe de réserver deux places de plus dans l'avion et rappelle l'hôtel pour prendre une suite à deux chambres afin de ne pas se gêner. Elle m'avoue que ça la rassure elle aussi. Je lui dis de s'appuyer sur eux deux et même de les charger des contacts avec les mecs qu'elle aura repérés. Elle me dit qu'elle se débrouillera. Je rappelle mes deux Escort et leur confirme leur engagement pour les 15 jours à venir et les conditions (protection rapprochée de ma mère). Ils m'assurent que ce n'était même pas la peine de le préciser. Ils allaient faire comme si c'était la leur sauf pour le sexe bien entendu !
Nous partons pour l'Espagne avec un arrêt d'une petite semaine à Bordeaux pour revoir les 4 " médecins " que nous avions connu au Grand Prix de France au Mans.
PH et moi sommes en moto. Ernesto prends la SL et nos quelques bagages. Marc nous rejoindra directement en Espagne avec Hervé.
PH s'est occupé de réserver une villa pour une semaine, sur le bassin d'Arcachon. Nous y recevrons nos amis et la leur laisserons le dernier WE.
Nous roulons ensembles. Ernesto accompagne nos pauses détente et seulement détente ! Enfin essence et déjeuner aussi. La circulation est fluide puisque nous avons décalé notre départ au dimanche matin. Nous nous faisons quand même poursuivre et arrêter avant l'arrivée. Deux motards sans bagages et pas de la région, cela intrigue la maréchaussée. Du coup, les motards de la gendarmerie ne comprennent pas quand La SL s'arrête au près de nous. Explications, les deux motards sont aussi des passionnés de moto et nous nous les mettons dans la poche, surtout quand on leur explique que nous allons retrouver des potes rencontrés au GP de France. Eux même y étaient, coté forces de l'ordre bien sur ! Ils se font une pause sur notre dos. Les mecs sont jeunes encore (dans les 30-35 ans) bien foutus, leurs jodhpurs moulent des cuisses plutôt musclées et des paquets proéminents. Un des deux me grille alors que je mate le paquet plutôt bien enveloppé de son pote. Alors que je m'attendais à une réflexion désagréable, il me fait un clin d'oeil complice ! Du coup je lui renvoi mon sourire qui tue. Quand il passe à mes cotés, je sens une de ses mains se poser un bref instant sur mon cul.
On comprend mieux la longueur du contrôle quand l'un regarde sa montre et nous dit qu'ils ont fini leur service. Je n'hésite pas et sans même regarder PH ou Ernesto je les invite à passer nous voir. Je leur donne l'adresse de notre location et mon n° de portable. Ils nous promettent de venir prendre l'apéritif, le temps de rendre les motos officielles et de se changer. En attendant nous faisons la fin de l'autoroute, précédés par nos deux nouveaux amis. Ils s'amusent même à nous ouvrir la route à fond la caisse gyrophares et sirènes hurlantes. Bon moment d'ivresse à rouler sans risque aux limites de nos engins ! Ils nous font même passer le péage gratuitement !
Nous filons sur Arcachon alors qu'ils rejoignent leur base.
Jardinier
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perduedansmatete · 2 years
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dix ans d'athlétisme pour finir essoufflée au bout de 30 secondes de course pour avoir son bus c'est quand même humiliant n'ayons pas peur des mots
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christophe76460 · 2 months
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Jean 8:32 " vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres" ❤️
La censure est le reflet de la peur, de l'angoisse de la vérité et du pouvoir des mots. Nous ne devons pas nous laisser intimider par ceux qui cherchent à nous faire taire, mais au contraire, nous devons continuer à parler, écrire, crier LA vérité. N'ayons pas peur de la censure, mais utilisons-la encore plus comme une motivation pour la proclamer cette vérité! Qu'elle nous rappelle qu'elle est puissante et que nous avons le pouvoir de la faire rayonner dans le monde 🤗
Matthieu 5:14 Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée; 15 et on n'allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais on la met sur le chandelier, et elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison.
16 Que votre lumière luise ainsi devant les hommes, afin qu'ils voient vos bonnes oeuvres, et qu'ils glorifient votre Père qui est dans les cieux. 🙏❤️
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claudehenrion · 5 months
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Pourquoi avons-nous perdu les pédales ? ( III ) : L'Europe dévoyée.
Pour entrer dans le vif de ce sujet épineux, il faut et il suffit de partir du récent discours à la Sorbonne –le deuxième du genre-- de notre Président : tout, ou presque, y est dit... ou volontairement tu, car le seul sujet où il n'ait ni changé ni dit le contraire de ses déclarations précédentes est... sa vision, qui est terrifiante, d'une Europe devenue aussi assassine qu'anthropophage. Et si un doute subsistait, il l'a balayé depuis dans ''The Economist''... N'ayons donc pas peur de le dire (puisque les faits parlent d'eux-mêmes) : l'Europe progressiste est un synonyme de ''enfer, damnation et fin de l'Homme''..
Le choix qui a été fait d'une Europe axée sur son seul nombril (dans la mesure où elle en a un, étant ''fille de personne'' !), dévore hommes, sociétés, civilisations, histoire, mœurs... au profit (?) d'un hypothétique ''homme nouveau'' –dont ''ils'' nous parlent mais que personne n'a jamais vu, et pour cause : il est impossible ! Cette Europe n'offre qu'une seule et unique issue : la mort de tout ce qui existe, dans la poursuite sans espoir d'un délire qui est le rêve-cauchemar de la petite phalange d'idéocrates (que Macron suit, évidemment) qui rend nos jours invivables et qui ne peut nous conduire, de catastrophe en catastrophe, que vers le malheur absolu... qui serait leur triomphe : un ''système'' qui contrôlerait tout, plus de vrais ''hommes'' pour résister à leur main-mise, et plus rien qui puisse s'opposer à leur pouvoir malfaisant... mais des ''suiveurs'' dociles qui avaleraient tous les mensonges assénés au nom d'une fausse démocratie, redéfinie a contrario, comme tout le reste.
La seule explication (pas idéale) que j'ai réussi à dénicher pour expliquer ces erreurs grossières (mais répétées ad nauseam) se trouve dans la prégnance des concepts et d'un vocabulaire iso-chrétien chez ces faux ''affranchis'' qui croient en savoir assez pour rejeter ce dont ils savent si peu, mais sans pour autant avoir de quoi juger sainement ''le reste''. Ces ''idiots inutiles'' contemporains veulent ne voir dans l'islam qu'un ''remake'' ou un ''mix'' du catholicisme et du judaïsme, oubliant simplement, dans leur verbiage, que là où ils se gargarisent avec leur double concept absurde de ''l'islam'' et ''l'islamisme'', arabes et musulmans, eux, n'ont qu'un seul mot pour désigner une seule et même chose que nous nous imaginons pouvoir diviser... dans notre déni du réel. Et, soit dit en passant, le seul type de société que puisse concevoir et accepter un musulman, est le ''Khalifat'', dont le modèle ressemble aux régimes actuellement en place à Kaboul et à Riyad, à l'opposé total de notre ''république''.
Plus concrètement, on constate, hélas, ce que donne une confrontation entre deux mondes dont l'un a à son actif 2000 ans de ''Aimez-vous les uns les autres'', et dont l'autre considère que seul le couteau est un argument convaincant (ils disent : ''Bes-sif'', avec le sabre)... Ne nous cachons pas derrière notre petit doigt : nous sommes déjà tombés à ce niveau, et la folie de nos dirigeants indignes nous entraîne vers ses conséquences ultimes... que la plupart d'entre nous, ne pouvant concevoir, refuse donc d'imaginer, tout y étant à l'opposé de tous nos référentiels possibles... Mais nous considérons la chose comme impossible... alors qu'elle fait déjà partie de notre quotidien...
Regardons la vérité, pour une fois : ''l'Europe'' devait amener aux hommes la paix, la suite de leur histoire, la sécurité, la richesse économique, une influence durable, et plein d'autres promesses. Au lieu de cela, nous avons une immigration de submersion, la guerre à nos portes, des dirigeants qui, pour nous faire peur, nous font croire qu'une ''vraie'' guerre va arriver (et qui se donnent un mal fou pour rendre ce film possible !), la fin de nos rêves et de nos ambitions, une place de plus en plus réduite dans l'économie du monde, un rôle de plus en plus faible collectivement et une entente vacillante, individuellement. Nous avons perdu notre joie de vivre, égaré nos rêves et nos illusions, nous nous disputons les uns avec les autres, et nous ne croyons plus en rien –et surtout plus ''en nous''... Pire, encore : nous sommes haïs, détestés, rejetés par la Terre entière : ''être européen'' est devenu une tare qui doit être punie –par la mort, de préférence. Pour un succès, leur Europe progressiste est un succès... pour les masochistes.
Croyez-vous que les responsables de cet incommensurable gâchis en aient appris quelque chose, ou aient exprimé des regrets pour s'être ''fourré le doigt dans l’œil'' à un tel degré ? Pas du tout ! Leur bêtise, leur entêtement, leur manque absolu de ''vista'' et leur acharnement dans leurs erreurs les conduisent au contraire à s'inventer des explications (qui n'expliquent rien), des excuses (inventées), des justifications (injustifiables) et des diversions (fabriquées). L'exemple le plus fréquemment cité est ce mensonge caractérisé qui consiste à vouloir nous faire croire, sans mourir de honte, que l'Europe (je cite, car c'est trop beau !) ''a permis à la France de traverser la crise du covid avec le minimum de casse''. ''Qu'est-ce qu'i faut pas entendre !'' aurait dit Ma'ame Michu !
Car on a beau s'attendre à tout, certains bobards dépassent l'entendement : d'un gigantesque enchaînement de mauvaises décisions, de mensonges éhontés, d'affirmations aussitôt contredites par les faits, des pires solutions, de milliards de doses (bonnes à jeter) d'un non-vaccin qui ne servait à rien mais coûtait (pardon !) ''la peau des fesses'', et qui s'est avéré mortifère à terme, on n'a vu qu'une seule chose : une union au sommet des pires contre performances et des pires absurdités, entraînant des catastrophes (et encore : nous n'avons commencé à découvrir que le huitième visible de cet iceberg de conneries mortelles)... qui est la seule chose qu'ait produite l'Europe, ces dernières années (mises à part quelques broutilles accessoires ou inutiles quand elles ne sont pas perverses et létales, destinées à détourner l'attention des gogos –c.à.d. vous et moi).
Et nos malfaisants déchaînés n'ont à nous proposer que des non-solutions dont chacune est pire que toutes les autres réunies, et vice-versa : à les écouter, il faudrait plus d'Europe, et il faudrait que chaque pays (et la France, au tout premier chef) abandonne son histoire, son ''être'', son ''avoir été'' et son ''vouloir être'' (plus, dans notre cas, notre force nucléaire, notre droit de Veto et notre siège permanent aux soi-disant Nations Unies –qui refusent désormais d'être des nations, et qui sont désunies comme jamais !). Pour atteindre ces objectifs infâmes, nos dirigeants font feu de tout bois, allant jusqu'à des provocations verbales qui risquent de provoquer notre néantisation par vitrification nucléaire.... le tout au cri insane de ''Nous sommes menacés !'' (par un ennemi qui ne peut même pas venir à bout de la petite Ukraine : c'est du foutage de gueules organisé !).
En théorie, la relecture sous un autre éclairage des quatre immenses désastres où nous nous sommes laissés enfermer, devrait nous aider à poser d'autres yeux sur ces drames sciemment fabriqués, qui ne peuvent que continuer à assombrir nos jours et à rendre notre insupportable actualité, jusque là plutôt amicale et assez facile à vivre, incompréhensible –à défaut d'être explicable, ce qu'il n'est plus depuis longtemps. Les semaines et les mois qui viennent vont être décisifs : si beaucoup de choses ne changent pas, dont les hommes et les idées à la mode... je nous vois très mal partis... Et encore... j'ai ''oublié'' l'écologie et les folies commises en son nom !
H-Cl.
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superadouline · 2 years
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Reprendre possession de ce qui m'appartient.
Je n'osais plus écrire le négatif. Parce que je me sentais lue et que je ne voulais blesser personne. Peut être qu'en révélant l'existence de ce Tumblr, j'avais gâché ma seule chance de pouvoir me confier sans jugement.
Peut être que si je m'étais contentée de déverser ma colère en quelques lignes dont personne ne connaissait l'existence, j'aurai eu l'esprit plus léger.
Je reprends possession de mon Tumblr des aujourd'hui. Celui qui me suit et m'a sauvé depuis 2012. Tout ne sera pas joli ni même acceptable à lire alors n'hésitez pas à rebrousser chemin.
Aujourd'hui je me sens triste. Comme depuis des jours et des jours. Comme depuis que ma vie n'est pas celle que j'avais imaginé. L'arrivée de Leïla a bouleversé bien des choses dans ma vie, mais c'est tellement un bouleversement positif. En rencontrant ma fille je me suis trouvée moi même. Je me cherchais depuis tant d'années... J'ai découvert le vrai amour mais aussi toutes ses difficultés, je suis tellement reconnaissante que cette grossesse se soit soldée par son arrivée. Tant j'ai eu peur et tant j'ai souffert. La souffrance c'est personnel, c'est pourquoi je ne me tue plus à vouloir faire comprendre aux autres la douleur qui cogne dans ma poitrine depuis le 16novembre. Je crois que les gens pensent parfois que je me suffis à moi même. Ils n'ont pas tort. À chaque épreuve difficile, je me renferme comme une huître. Dans mes heures les plus sombres, je ne compte que sur moi même. Bien sûr j'ai deux piliers, mais il serait préférable de les préserver.
Depuis le 03 janvier, date de retour de Leïla dans notre doux foyer, la vie est plutôt douce. Elle pourrait l'être totalement mais je ne me sens plus à ma place. Je veux dire dans mon couple. Je suis devenue la maman de Leïla. Je ne suis plus la copine d'Antho. Alors je lutte, tant bien que mal à rester la fille qui peut s'amuser au bar où en boite. Qui peut aller faire un tour de moto. Qui prend le temps d'aller chez le coiffeur, chez l'esthéticienne, qui fait du bois et j'en passe. Je travaille dur pour ne pas accepter l'étiquette qu'Anthony m'a, sans doute malgré lui, collée. Par contre il y a une chose que je n'encaisse pas et qui hante mes pensées jours et nuit, probablement la cause de mes insomnies.
Je ne suis pas un chien. Je ne suis pas son chien. Je ne suis pas non plus une grosse sale assise sur son cul toute la journée. Non je ne devrai pas avoir de compte à lui rendre sur l'état de la maison. Je ne devrai subir aucune je ne dis bien aucune pression quant à la propreté du sol, celle des biberons, au rythme des machines à laver, à ce que je mets dans le sèche linge... Je ne devrai pas devoir me justifier du fait que je n'ai pas eu le temps de faire du feu ou que je sois montée en chaussons en haut. En fait, n'ayons pas peur des mots, je me suis de nouveau perdue. Encore une fois, pour faire plaisir et ne pas le perdre, je me suis laissée faire. Ça s'est installé progressivement, doucement. Puis c'est revenu totalement. Ça me rend dingue et j'en suis malheureuse. Je l'ai sans doute trop flatté. Il pense sans doute qu'il en a fait beaucoup et que je ne le reconnais pas. Mais si je sais à quel point j'ai pu compter sur lui durant mon hospitalisation et celle de Leïla. Je sais qu'il a vaincu ses peurs pour Freedom, vaincu sa fatigue pour faire la route, vaincu son stress quant à nos probables décès. Je sais qu'il était mort de trouille le soir seul dans son lit à ne pas savoir de quoi était fait demain seulement nous étions deux (trois) dans le même bateau. Y'a pas un qui a plus souffert que l'autre, y'a pas de comparaison possible nous avons vécu deux expériences totalement différentes et bien sûr que chacun pense avoir vécu pire. Mais je n'ai pas de dette. Je veux qu'il comprenne que tout ce qu'il a donné, je ne dois pas lui rendre maintenant que c'est fini. Quand je l'entends dire qu'il a tout fait tout donné pendant deux mois et qu'il sous entend que maintenant je pourrai bien un peu être gentille et faire tout pour le soulager parce qu'il a repris le travail... Non... Stop...
Aujourd'hui ma vie c'est m'occuper de Leïla avec tout ce que ça implique, les biberons, les couches, les pleurs, les jeux... M'occuper des animaux, les nourrir, ramasser les crottes, jouer avec eux, les brosser, les éduquer. M'occuperbdu terrain pour qu'il ressemble à quelque chose, de la maison pour la même raisoni. Mettre l'aspirateur en route, préparer les repas, équilibrés pour que nous perdions du poids. Gérer les courses, chercher des solutions pour améliorer notre quotidien, faire de chaque jour une fête et essayer de ne pas me perdre en chemin pour ne pas nous perdre tout court. Devoir me justifier de ce que je n'ai pas pu faire dans la journée. A ça, s'ajoutera ma reprise de travail.
Son quotidien à lui c'est sortir les chiens le matin, aller travailler, prendre Leïla le soir, avachi dans le canapé avec son téléphone, le temps que je prenne ma douche. À ça ne s'ajoutera jamais rien.
C'était pas comme ça que je voyais ma vie. Et si j'avais su qu'en me remettant sur pieds rapidement, ce serait devenu comme ça, et ben j'aurai sans doute joué la comédie pour faire durer le soin qu'il m'apportait.
Aujourd'hui mes échappatoires sont les soirées alcoolisées pour le lâcher prise ou la moto pour calmer les nerfs. Lorsque j'émets le souhait de faire l'un ou l'autre, j'ai le droit à : "ah ouais tu nous abandonnes" et même si c'est pour rire et ben c'est pas drôle. C'est pas drôle de devoir trouver de l'air ailleurs qu'auprès de la famille qu'on vient de créer. C'est même culpabilisant. C'est pas drôle de vivre avec des étiquettes sur le dos. Pas normal de s'apprêter et d'entendre "tu vas voir un autre". Lorsque Leïla est sortie de l'hôpital et que nous avons eu la pression des visites, que j'ai refusé en bloc et dit que c'était un motif de séparation s'il n'allait pas mon sens pour sa santé, ce n'est pas normal qu'il m'ait répondu "je me battrai pour l'avoir une semaine sur deux". Ce qui aurait été normal, c'était de faire front avec moi pour sa santé, contre les copains et le famille, le temps qu'il fallait. Pas nous imaginer déjà séparés et me parler de sa garde alternée. Je suis tellement fâchée de ce que j'ai subis en plus de ce qui nous est arrivé.
Mon post partum est totalement bafoué. Ah oui, après le rendez vous et les mots syndrome post traumatique, dépression PP, c'était grave il fallait prendre soin de moi car si je flanchais il n'arriverait pas seul avec Leïla et toute la smala. Deux sourires et 4 rires plus tard, le diagnostic était oublié. Elle va bien Adeline. Elle gère. Elle est épanouie. Elle va avoir du mal à reprendre le travail tant elle est heureuse à la maison.
La complexité de la santé mentale, de la compréhension humaine et des apparences.
J'ai besoin de souffler. D'aller à Guidel en pleine nuit la musique à fond crier à la mer. De rouler à 300 en moto. De ne parler à personne d'autres que ma soeur et Antho. Ma soeur pour le soutien, Antho pour le nécessaire. J'ai besoin d'isolement et ce n'est pas normal.
J'essaye constamment de faire des efforts pour m'améliorer et rendre les gens autour de moi heureux. J'ai autorisé les parents d'Antho à venir des le vendredi soir. Je leur ai confié Leïla 2x deux heures pour nous apprendre le détachement et leur prouver ma confiance. J'ai laissé Virginie nourrir Leïla et lui prendre le bain. Ils ont vécu beaucoup de moments heureux grâce à mes permissions. Et moi? J'ai eu le droit d'entendre "ta mère te fait des misères" "tu vas venir habiter chez mamie" "on revient quand ?"
Je donne la main on me bouffe le bras. J'ai souffert de chacune de ces remarques. "C'était pour rire" ça ne fait rire que vous. Leïla ne dort plus depuis ce weekend. Moi non plus. Antho et ses parents ont bien dormi tout le weekend, vont bien dormir toute cette semaine et celles d'après. Tu comprends comme c'est pas juste? Parce que moi je vais devoir donner 2x plus de ma personne pour retrouver un quotidien normal. Malgré la fatigue et tout ce que j'ai à faire.
Je suis à bout de force. Sincèrement. J'ai plus envie de donner. Plus rien à personne. J'ai plus envie de recevoir non plus. Je veux juste être seule avec Leïla et mes animaux. On va me dire que je ne suis pas gentille et compliquée alors que je suis juste entrain d'encaisser et de m'abandonner.
Je refuse. Je ne veux plus souffrir. Plus jamais. Encore moins par la faute de quelqu'un.
Je pense que c'est pas mal pour aujourd'hui. Merci Tumblr. Et ça fait pas 50€ la séance. Ça coûte juste des larmes.
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niiicedave · 2 years
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Fouta - "La Menace" - L'eau et le feu (2000)
Un vent glacial mais froid Plus froid que le mistral, s'est abattu sur le sud Dans le nouveau triangle des Bermudes Des phénomènes étranges ont été observés La haine augmente vitesse grand V au bord de la Méditerranée Activités paranormales, X-files envoie le FBI Normal, ils sont les mieux placés pour ce travail L'agent Mulder enquête, cherche et trouve une faille S'introduit au sein de la secte appelée front national Leur étendard abord la flamme de l'enfer La bannière tricolore pèse sur l'atmosphère Mulder envoie son rapport : la situation est critique Trois villes déjà collaborent avec les forces maléfiques La menace avance ! Ne vois-tu pas que la menace avance Ne sens-tu pas que la menace avance Ne vois-tu pas que la menace avance, avance, avance, avance !
Un vent glacial s'est abattu sur le sud de la France La balance électorale a désignée l'intolérance Je pense, que les droits de l'homme se retournent dans leurs tombes À l'idée que la fraternité n'est pas la même pour tout le monde Il est temps maintenant de prendre conscience Que tous les jours, petit à petit, la menace avance Profitant d'un terrain propice à son établissement La menace avance au coeur du gouvernement Et tous ces gens ignorants qui se sentent intelligents Et qui ramènent leur grande gueule en disant médisant : "Écoutez, moi je ne suis pas raciste, mais..." Mais quoi ? Ce mais en dit trop long sur ta pensée Man tu es raciste en vérité, mais tu n'oses pas te l'avouer ! N'ayons pas peur des mots man, tu es facho Le bruit et l'odeur de l'étranger te font froid au dos
La menace avance ! Ne vois-tu pas que la menace avance Ne sens-tu pas que la menace avance Ne vois-tu pas que la menace avance, avance, avance, avance ! You might also like Flowers Miley Cyrus Kill Bill SZA Bizarrap & Shakira - Shakira: Bzrp Music Sessions, Vol. 53 (English Translation) Genius English Translations Petit à petit, l'oiseau fait son nid Petit à petit, il nous envahit Petit à petit, le vautour fait son nid Petit à petit, il s'installe dans nos mairies Profitant d'un terrain propice à son établissement La menace avance lentement mais sûrement Il est temps maintenant de crier : URGENCE ! Avant que le phénomène ne prenne trop d'importance Car leur putain de parti se répand comme une maladie contagieuse Et obtient plus des % dans des villes plus que douteuses C'est un fait : Ils sont là ! Mais si on reste les bras croisés, jamais ça ne vas changer C'est évident, l'Histoire nous l'a déjà montrée auparavant Du temps où Vichy rimait avec nazi Alors évitons le drame avant qu'il ne soit trop tard Éteignons la flamme avant que l'incendie ne se déclare La jeunesse emmerde le front national Il y aura toujours des pompiers tant qu'il y aura des pyromanes
La menace avance ! Ne vois-tu pas que la menace avance Ne sens-tu pas que la menace avance Ne vois-tu pas que la menace avance, avance, avance, avance ! ... La menace avance !
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desmachins · 7 years
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Bottines, robes, motifs, collants, jambes. Et bouche. Bagues, boucles, veste, œil. Mat, sensible, sincère. Joyeux. Presque tout le temps. Collants soyeux, doux, lisses, brillants et transparents. Jambes fines, jambes tendres, jambes sures. Et sourire. Entier. Trop grand. Sans limites. Offert. Pour accueillir et pour se sentir accueillie. Etre au monde par les pieds, debout, sur les deux jambes, jusque dans les mains, près de la fossette, à la pointe du cheveu le plus long.
Auto-portrait. Aquarelle et traits fins. Des détails et du flou. Jambes. Robe. Regard. Bouche. Boucles. Couleurs. Ca y est, elle existe.
Jambes. Regard. Boucles. Bouche. Redessiner les contours d’un auto-portrait aquarelle qui vient de bien en baver.
Elle existe. Et aujourd’hui, dans sa tête, dans ses tripes, ça tire, ça tend, ça déchire, ça implose. Alors ça explose au dehors. Déformation spectaculaire d’un avenir tendrement recherché. Présent qui échappe. Futur qui effraie. Le monde change et a changé. Et elle ? Elle constate. Coincée dans l’épicentre du séisme. Secouée, transformée, ensevelie. Perdus, tout ça. Jambes. Robe. Regard. Bouche. Boucles. Disparus sous les décombres. Jambes. Robe. Regard. Bouche. Boucles. Invisibles, absents. Cachés. Contours fragiles à redessiner. Alors, elle a une idée. Laisser aller. Laisser baver un peu, peut-être. Dégoulinées, les couleurs. Fondues, les lignes. L’image d’elle-même se meut. Elle laisse faire. Pour voir. Elle n’a encore jamais essayé. Renaitre autre? Un peu autre? Auto-portrait troublé. Qui est-elle ? Elle se recentre. Fixe les instants. Que veut-elle garder ?
Le sourire trop grand. Trop fort. Qui lui fait accepter ce qu’elle ne devrait pas mais qui lui donne aussi ce qu’elle ne demandait pas. Les blagues, drôles et moins drôles, ratées avec légèreté et enthousiasme, petit pas de coté sur le monde. Les autres. Son regard sur les autres. Son amour des autres, stupide et salutaire. Les mots, qui sont ses mots, employés au mauvais moment, sous la mauvaise forme, dans le mauvais contexte, mais avec une joyeuse lucidité. Son chapelet de vie, à elle. Elle scrute les détails d’elle-même à la recherche de ce qui ne se dissout pas. Qui mérite d’être gardé. Qui a besoin d’être gardé. En profite pour retirer certaines choses et faire de la place pour ce qui est à venir. Pour ce qui est déjà en train de venir.
Auto-portrait, donc. Accepter les bavures et dessiner avec ? 
Changer le trait. Chercher le trait. Ne pas refaire le dessin, y a des choses à garder. Ecrire. S’écrire. Raturer et gommer. Gratter, les mots, la page, au crayon, à l’encre, pour voir mieux, pour débrouiller le brouillon. Ecrire, encore.
Dessiner-redessiner les contours. Toujours. Tous les jours. A coups d’essais-erreurs, par accident-acharnement, elle finira peut-être par tomber sur elle-même. Jambes. Regard. Boucles. Bouche. C’était elle. Ca l’est encore. C’est déjà autre chose. C’est plus. 
Ça rend curieux. Grattons, voir.
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aurevoirmonty · 2 years
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Jean Cau se rappelant de Jean Gabin :
«Puisqu'il était destiné à incarner, à sa manière, le Français râleur, buté et pousseur de coups de gueule […] Que fit-il, durant toute sa vie, d'homme et de comédien ? N'ayons pas peur des mots : il incarna la France.»
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sabinerondissime · 3 years
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Et après une journée de merde, n'ayons pas peur des mots, avec pluie pluie et repluie, voici que le soleil se montre juste avant d'aller se coucher! Feignasse !!!!! #vire #calvados #normandie #ciel #cielo #sky #sera #soiree #evening #sun #sole #soleil https://www.instagram.com/p/COitUXwFjzk/?igshid=rm8jb8lmj94h
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taisniere · 5 years
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Besoin d’exister...
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C'est con ça.
J'ai envie d'exister, d'exister pleinement. Tout le monde désire exister. Les thérianthropes aussi. Etre qui l'on est, vivre, se comporter ainsi, s'exprimer comme ça, être nous même...n'importe où, quant on le désire, quand on en a besoin, quand c'est juste notre nature d'être qui s'exprime. Cela en nous respectant et respectant les autres.
Nous sommes cet animal.
Comme disent les autres "Nous nous prenons pour des animaux". C'est stupide, n'est-ce pas ? Je suis même persuadée que 2-3 ont souri en lisant ça. Un sourire narquois, désolé ou dubitatif. Exister en tant que bestiole, aussi stupide que cela le parait, devrait être notre quotidien. Pas juste "agir comme un animal" mais "l'Etre". Pas "imiter une bestiole" juste se permettre d'être tel que l'on est. Oui. Pour vous expliquer en quelques mots, les thérianthropes s'identifient réellement et durablement en tant qu'animaux. Ils sont leur animal. Ce n'est pas une entité extérieur, c'est juste eux-même. C'est un fait, aussi débile que tu peux l'imaginer. Et non, nous ne cherchons pas à renifler le derrière des passants ou uriner à même le sol... Car être thérianthrope, c'est aussi être humain avant tout. Aujourd'hui, nous n'avons pas encore réellement d'études à ce sujet mais ce ressentis est là, présent, tout le temps. Que cela soit de nature psychologique, neurologique, du à de l’ésotérisme ou de la réincarnation, notre façon de vivre est là, réelle. On s'en fout du pourquoi et du comment. C'est là. Il n'est pas palpable ni "prouvable" mais il est en nous. Tout doux, tout chaud. Nous sommes honnêtes avec nous même. Se mentir et dire que l'on est un loup-tigre-dragon blanc aux yeux bleus qui tire des lasers n'est pas considéré comme thérian. Ce n'est pas du rôle play, un point c'est tout. L'animal qui nous définie représente notre comportement, nos attitudes mais surtout notre façon de nous percevoir, souvent depuis la petite enfance. Il y a autant de façon de vivre son animalité que d'être thérian. Ce n'est pas un choix, c'est là depuis toujours. On ne devient pas thérianthrope du jour au lendemain. Ce n'est pas une mode également. C'est ce que l'on est. 
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Est-ce bizarre ?
Très possiblement.
Est-ce Illégitime ?
Tant que cela reste réel pour nous même, cela nous suffit. Etre nous même nous procure du bien être, on est heureux et la vie est belle. Certains mentent peut-être, d'autres absolument pas. Vous n'êtes pas dans notre peau. Personne n'est dans la peau que quelqu'un d'autre. Personne ne peut affirmer "tu mens" ou "tu dis la vérité", c'est dans la tête, dans le cœur. Nous n'avons rien à justifier. Nous n'avons pas de moyens pour le prouver et nous n'avons aucune raison d'exagérer nos ressentis. Il faut juste nous croire et l'accepter. Rien de plus. Parfois, certains peuvent vouloir couiner, grogner, fêler pour exprimer un mal-être, ronronner de plaisir, glousser joyeusement, faire le dos rond lorsqu'ils ont peur, hérisser leurs poils, éviter le regard direct droit dans les yeux. D'autres non. Mais dans tout les cas, nous ne le faisons pas. Pourtant, il nous serait naturel de planter nos griffes et nos dents là où nous le pouvons, goûter à tout ou encore même taper du pied pour imiter le battement d'une queue invisible. Juste parce que cela est agréable et nous fait exister. Notre corps physique est bien là, notre identité nous donne la sensation d'être également cet animal non-humain. Rien de réellement biologique. Tout est en nous. Shift, dysphorie et membres fantômes -ou non-, c'est comme ça que certains fonctionnent, c'est tout cela qui peut nous procurer du bien. Etre nous même. 
Etre l'animal.
Il est logique que nous n'ayons pas cette liberté d'exister pleinement. Par exemple, il y a la norme, la honte, la gène, le jugement de l'autre. Nous sommes pas encore prêt. Sur le web, nous passons déjà pour des dégénérés -triste monde-... Nous faire connaître au grand jour nous rendra juste encore plus ridicules aux yeux de l'humanité. Je ne peux que l'admettre. Ce n'est pas le bon moment. Encore aujourd'hui, j'ai pu lire des article -sur des blogs- moqueurs de personnes n'appréciant pas les individus alter-humains. "Cringe Otherkin" ou même "Anti-Kin". Surtout dû aux très nombreux fluffy-kikoo-dark qui restent parmi nous. Et aussi fou que cela puisse paraître, je suis -parfois- d'accord avec eux. Il n'est pas toujours évident de prendre un peu de recul et de voir autrement une situation. Je les comprend, malheureusement. Il ne suffit que de prendre des pincettes et de décortiquer tout ça. Car, après tout, nous n'existons même pas. Je n'existe pas. En réalité, l'identité thérian passe pour un simple jeu. Une identité que l'on présente comme un trophée. Cette sensation d'être unique ou intéressant. Donner une image fabuleuse de sois-même. Etre un lion végétal à pois verts. Etre un Tortank qui crache du feu. Vouloir que tout les projecteurs soient braqués sur soi. Etre un individu fantastique qui mérite tout l'attention ? Non. Tu ne l'es pas, tu n'es pas spécial. Tu n'as pas 976534567890 kintypes ultra stylés de ouf. Tu n'es pas tout les personnages de Harry Potter et toutes les déesses de la Grèce Antique à la fois. Ce sont ces jeunes (souvent nouveaux dans la communauté) qui parlent le plus fort et qui détériorent la vision que les gens ont de nous même. Suite à cela, nos ressentis étranges sont perçus comme illégitimes. Encore plus qu'avant...
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Entre temps, ne pouvons pas nous permettre cette identification en tant un animal ou de faire tout ce que l'on ressens car nous ne sommes pas réels aux yeux de la société. Nous ne pouvons même pas partager notre quotidien et échanger sur la toile.
ATTENTION !
je ne dis pas que nous méritons une Pride, un drapeau qui nous soit propre ou même reconnaissance de l'état avec des remboursements pour "réassignation d'espèce". Absolument pas !
C'est juste que c'est si frustrant de ne jamais être pris au sérieux... Nous voulons exister sans être noyés par la haine et les incompréhensions. Nous voulons être animal, réellement, ne plus faire semblant. Nous devons faire semblant, sans cesse. Ceux qui brandissent leur animalité comme un don du ciel détruisent notre identité.  Nous voulons juste être acceptés ainsi, peu importe l'avis de l'autre, car c'est ce que l'on est. Pas être connus du monde entier, surtout ne PAS passer à la télévision (encore moins sur "Tellement Vrai"), juste ne plus être -en permanence- stigmatisés et pointés du doigts. Les thérianthropes sont parfois comparés au "groupe social le plus moqué du web" (voir le journal en ligne "Le Monde"). Mais dans mon cœur, j'ai envie d'hurler du plus profond de mes entrailles "Je suis un animal, tolérez moi ainsi, je fonctionne comme ça", pas pour le prouver mais pour affirmer ce que je suis, que je suis bien là, vivante. Faire savoir que les personnes-animales existent réellement.
Tu existes réellement.
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Souvent pour les neuroatypiques, parfois les autistes, la norme semble illogique. Combiné à l'alter-humanité, certains veulent donner des petits coups de nez, léchouilles et mordillements d'affection au même rang que les couples qui s'embrassent en publique devant tout le monde. Parfois, il est agréable de porter une fausse queue et de sentir son balancement contre ses jambes. Ces pulsions étranges de vouloir régurgiter sa nourriture ou allaiter ses petits (nous ne le faisons pas !) qui viennent nous chatouiller l'esprit. C'est beaucoup moins glorieux que de vouloir hurler à la lune ou de chasser en meute. Alors oui, quoi que l'on puisse dire, la dysphorie existe. Je suis dysphorique en permanence. Non, nos pouvoirs magiques ne nous manquent pas. Non, nos capacités incroyables et talents astraux ne nous manquent pas. Non, notre dysphorie n'est pas celle des individus transgenres et non-binaires. Il peut même être naturel de lécher ou de mordre ses vêtements pour atténuer le stress et de sentir cette odeurs humides qui nous rassure. Dégouttant, n'est-ce pas ? Mais c'est la réalité. Marre des tabous. Un chat est un chat. Shifter ne signifie pas toujours grogner ou montrer les crocs. Shifter peut être aussi dû à la peur, la queue entre les jambes, couinant stupidement. Une situation de joie où l'on bat des bras de manière absurde pour montrer son contentement et imiter l'envole d'un oiseau. C'est ainsi, la thérianthropie n'est pas un monde puissant et incroyable.
Nous sommes des animaux.  Tout les humains sont des animaux.
Nous sommes des animaux non-humains en PLUS de notre humanité. Nous vivons une animalité similaire à celle de l'animal qui nous caractérise (bien entendu, nous sommes pas dans la tête de ces dits animaux). Nous sommes l'animal littéral mais avec une once de métaphore. Nous pouvons être l'animal tactile, vivant, minutieux, doux... Rêver de liberté et de sauvagerie romancée. Mais nous sommes aussi l'animal qui peut uriner, marquer les siens, renifler bruyamment. Tout n'est pas toujours super cool ou valorisant. Nous ne sommes pas ces êtres stéréotypés tel des loups protecteurs ou des hiboux qui sont sages. L'animalité est à prendre également au premier degré, pas juste les fantasmes.
Petite parenthèse : je ne dis pas par là que l'animal s'oppose à l'humanité : les animaux ont également une culture et sont bien plus "''humains"'' que ce que l'on ne l'imagine. 
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Bref, il est logique pour nous de ne pas se comporter de manière trop étrange dans la rue ou en publique. Nous savons nous maîtriser, comme tout le monde. Nous avons un cerveau humain et la capacité à raisonner aussi bien que n'importe qui. Foutre le bordel est aussi mal vu dans la communauté thérian que dans n'importe qu'elle autre communauté. La violence n'a aucun lien avec la thérianthropie et en aura jamais. Une personne violente est très mal perçue sur les groupes et forums de personnes-animaux !
Cela est inconcevable !
Etre animal, c'est aussi, parfois, ce sentiments d'être aliéné, dans une cages. Certains camarades, parfois Aspies ou épileptiques, ne supportent pas les sons et lumières trop puissantes, ni la foule. Parfois, notre sensibilité animale peut s'associer avec nos difficultés, nos neuroatypies ou maladies. C'est comme ça. Car il n'est pas normal de toujours devoir faire semblant de ne pas exister à cause d'une poignée de crétins. Et on s'en branle si c'est une maladie de merde, un truc qui cloche dans notre cerveau ou je ne sais encore quelle pathologie. Je veux exister, nous voulons exister. Exister car ce que nous vivons est réel. Ni un jeu, ni une phase. C'est notre identité. Je ne me compare pas DU TOUT à la communauté LGBT, je n'affirme pas que nos souffrances sont similaires ou valables. De même pour les individus qui vivent des neuroatypies, maladies ou encore du racisme au quotidien. Je ne nous met pas à la même échelle. Je ne veux VRAIMENT PAS une marche de fierté otherkin (et je ne suis pas désolée). Je veux tout simplement expliquer que notre étrange façon de nous considérer n'est ni une mauvaise blague, ni une moqueries vis-à-vis des oppressions systémiques. Je veux que notre animalité soit réellement comprise et étudiée, pas pour en faire un phénomène de mode -bien au contraire- mais montrer que nous ne vivons pas un délire d'adolescent. Nous voulons juste exister doucement, loin des railleries et des regards jugeurs des personnes qui ne comprennent pas notre identité... Et loin des posers qui détruisent et ternissent le regarde extérieur que l'on porte sur notre communauté... 
Merci de m'avoir comprise.
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isauriedejuin · 3 years
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N'ayons pas peur des mots
Je ne sais plus quel génie
A bien pu écrire cette analogie
Mais je veux bien la lui emprunter
Le temps d'un poème comme baisé volé
N'ayons pas peur des mots
Pourquoi donc avoir peur
De l'imprévisible écho
Que provoque ces quantificateurs
Ce sont tout d'abord des définitions
Qui donne des limites à toutes les dimensions
Nous pouvons être vague ou précis
Et les intentions défini
Mais quand on veut pas s'en servir
Quand on ne veut pas définir
Lorsque l'on veut être libre
De détacher toutes choses qui vibre
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lebasempire · 3 years
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De la beauté des mots
Idée saugrenue que de faire des mots les grands maux de la société, et pourtant ! Originellement sacrés, sanctifiés par les grandes religions qui font des mots à travers le Verbe, le vecteur de la création de l'Univers, les mots sont les joyaux de l'âme. Ils créent, ils sauvent, ils consolent, ils soignent, ils apaisent, ils guérissent, ils caressent, ils illuminent, ils aiment, ou au contraire, ils détruisent, ils anéantissent, ils salissent, ils obscurcissent ils dégradent, ils font le jour ou la nuit, mais jamais ils ne sont neutres... 
Enfin nous le pensions, jusqu'au jour où les mots ont perdu leur saveur. Car en ce siècle trouble et marécageux, si le pléonasme le permet, se ternie l'émotion qui leur était attachée, qu'elle soit douce, amère ou acide. Voilà les mots dénudés ou pire, désincarnés. Quand ce n'est pas les anglicismes empruntés et déshabillés à l'occasion, pour alléger et aseptiser un dialogue, c'est le langage SMS qui prétend s'affranchir des codes pour ne plus se prendre la tête (mais d'où viennent les mots si ce n'est du siège de l'esprit relié au cœur ?), oubliant que le rituel dû aux mots est le temple sacré de leur vertu et de leur magnificence ! Certes des poètes comme Rimbaud ont joué avec ces règles, les ont tordues en leur faisant subir la transmutation des alchimistes, mais ce n'était que pour mieux reconstruire, plus haut, plus original, plus puissant, pour élever la pyramide vers la transcendance, non pour la démanteler !
Pire encore que ce délitement par la base sociale, est l'ombre diaphane du répertoire - le terme n'est guère neutre - managérial et pragmatique. Fou est celui qui fait de l'idéologie, étymologiquement le discours des idées, le ténébreux ennemi, pour lui substituer l'"inoffensif" gage d'efficacité. Car l’âme n’a d’autre finalité qu’elle même, or l’efficacité la mène vers des buts concrets qui ne seront jamais dans l'Univers qu'un aveu d'inconsistance et de dérision ! Calquer les mots sur le pragmatisme c'est achever la désacralisation du monde et en elle sa part consubstantielle d'humanité. Là où les mots reflètent l'intelligence par leur faculté à relier les âmes, s'érige en lieu et place le spectre de la mise en réseau en vue de servir des objectifs ! 
Alors n'ayons point peur de la cuistrerie, poussons la beauté des mots à leur acmé, faisons fi des anathèmes d'une société se vautrant, exsangue, dans l'ineffable abysse de sa vacuité ! Il n'est guère néophobe, celui qui des vestiges du passé, lustre les beautés pour inonder l'avenir de lucidité !
Romain Ferrara
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christophe76460 · 2 years
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Jesus-Christ est Dieu;
Il est venu mourir pour l'humanité;
Jesus-Chist est l'agneau de Dieu
Jesus-Christ est le sauveur de l'humanité.
Jesus-Christ a pleuré d'amour.
Il n'a jamais tué quelqu'un.
Il n'a jamais eu d'armée.
Il n'a jamais abusé, agressé ni volé.
Il n'a jamais violé une femme, au contraire.
Il a releve la femme, l'honore.
Il n'a jamais jugé personne.
Les gens l'aimaient non parce qu'ils avaient peur mais à cause de la beauté de son caractère.
Jésus est unique.il n'a commis aucune faute. La terre n'a jamais été semblable à lui.
Son histoire est reconnue hors de la Bible.
La Bible a prophétisé sa naissance, le Messie.
La Bible parle de sa mort et sa de résurrection.
Jésus parle de sa mort et de sa résurrection.
La Bible parle de son retour.
La Bible, elle est soit à prendre, soit à laisser.
La Bible est souvent rejetée, non parce qu'il y a contradiction, mais parce qu'elle est contredite, dans ce que certains veulent affirmer.
La Bible, la Parole de Dieu, révélée,
Jésus-Christ le fils de Dieu,
Non pas d'une manière sexuelle,
Mais dans son caractère,
Il est le seul qui est venu nous montrer comment Dieu est.
Jean 1 verset 18 dit "Personne n'a jamais vu Dieu; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l'a fait connaître."
Le mot "Connaitre" veut dire "Révéler"
Il est venu révéler le caractère de Dieu.
Jésus-Christ fait des miracles pour les étrangers, ce que les juifs ne voulaient pas...
On voit un Jésus-Christ qui va vers les prostituées et les gens rejetés de la vie;
On voit un Jesus-Christ proche des personnes.
Lorsqu'Abraham, s'avança pour sacrifier son fils, Dieu a dit "n'avance pas ta main sur lui" et il fournit le bélier pour sacrifier à la place d'Isaac... qu'est-ce que symbolisait ce sang versé par le sacrifice du bélier?
Ce Jesus-Christ est ce bélier qui a été sacrifié et qui est mort pour nous afin que nous n'ayons pas à mourir. Lui, que la mort ne pouvait garder parce qu'il était pur et sans péché.
Il nous a rendu la vie. Si toutefois nous reconnaissons que nous avons besoin d'un sauveur, que nous le recevons comme sauveur.
Jésus-Crhrist est venu tel un agneau.
Jésus-Christ revient bientôt, tel le Roi des rois.
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claudehenrion · 4 years
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''Voi ch'entrate, lasciate ogni speranza''                                      ( I ) : la fin de la vie, pour éviter la mort !
  ''Vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance...''. C'est le cri de douleur que Dante avait ''vu'' aux portes de l'Enfer... et que d'innocentes victimes ont retrouvé, ''en vrai'', à celles des camps de la mort nazis... Aujourd'hui, devant l'ampleur d'une crise qui n'est finalement qu'une conséquence des impostures que nous avons dû avaler pendant tant d'années (notre ''passivité active'' a une part de responsabilité dans les malheurs qui nous frappent), il faut nous demander, individuellement et collectivement, ''où est le vrai mal, où est la source de nos dérives, et quand avons-nous laissé filer ce sur quoi nous n'aurions jamais dû reculer d'un seul pouce'' ?
  Cette question unique mais à multiples entrées, pas un seul des pontifiants en place n'est capable d'y répondre... puisqu'ils ne sont même pas capables de comprendre quoi que ce soit à un monde qu'ils ont, pourtant, tellement contribué à rendre antipathique, désagréable, et hostile à toute humanité. Leur nullité rend encore plus nécessaire que nous ayons la force et le courage de nous étonner de l'absence totale de futurs qui ne s'ouvrent plus du tout devant nous, autres que dramatiques, effroyables... et inacceptables pour tout être qui se revendique pleinement ''humain''. Il suffit, pour en être persuadé, de jeter un simple coup d’œil sur ce qui nous entoure : ‘’un état catastrophique’’ est une expression faible !
  Tout semble avoir été mis en place pour que nous nous dirigions, sans trop de bruit, vers la fin de la belle aventure de l'homme sur terre. L'humanité est devenue sans visage, sans ''instinct social'' et sans autre projet qu'une triste survie, dans des perspectives qui ne présentent plus grand  intérêt. L'ombre dont on nous entoure peu à peu recouvre ce qui fut une civilisation du visage, de la rencontre et du contact avec ''l'autre'', avec ''Toi'', cet ''autre moi-même qui est Lui''. L'influence indiscutable de la civilisation chrétienne sur le monde (niée par ceux qui la rejettent par système, sans la connaître, mais ce n'est qu'anecdotique puisque c'est faux) reposait sur le respect, la communication, le partage, la galanterie, le don de soi, le pardon, l'ouverture à l'autre et l'amour du ''prochain''... tout un ''art de vivre'' qui était palpable, concret, manifeste. Mais tout cela n'est plus que de l'histoire ancienne.
   Car, au même instant, se mêlent, se conjuguent ou se soulignent (j’ai du mal à trouver le mot exact), (a)- la menace d'une prise de pouvoir par une religion qui n'a rien à nous offrir que nous n'ayons déjà à portée de main, mais en cent fois mieux... (b)- la confusion de sciences devenues dépravées et tournées, de plus en plus, contre l'humanité... (c )- une crise qui est dite ''économique'' faute de mieux, et (d)- cette pandémie (?) si mal gérée, qui a fait disparaître nos visages et a fait de nous des sortes d'insectes sociaux par le comportement mais a-sociaux entre eux, obsédés par l'iconodoulie (= adoration des images) compulsive de nos écrans et par une obligation quasi-religieuse d'obéissance à des ordres contre-nature qui, s'ils avaient servi à quelque chose, nous auraient épargné le ''remettez-m'en donc une couche'' qui ruine aujourd'hui le peu qui reste de notre économie et qui détruit tout espoir vrai de retrouver un jour le chemin de l'harmonie et du bonheur que nous avions (sans toujours le reconnaître) : la vie en société... et de la joie de joie de vivre qui allait avec -malgré ce que racontaient de tristes gourous, assassins et fauteurs de théories masochistes, mortifères, et ''bonheur-icides''...
  La Terre entière est devenue inhospitalière et inamicale à l'homme, soumis jusqu'à l'obsession  à des litanies de chiffres sans signification réelle (ex. : ''le nombre de contaminés'', ce qui est une contre-information aussi insignifiante qu'anxiogène, ''le nombre de lits occupés'', (= il suffi d'en ouvrir davantage !), ou ''les projections linéaires de cas réputés graves''). Les églises ont déserté leurs rites pour inventer des hymnes aux précautions inutiles, les cultes sont parasités par des lavements de main qui prennent rang de rituels sacrés, et les murs de nos villes se couvrent d'affiches infantilisantes mais comminatoires (''Restez chez vous'', ''Ne touchez à rien'', ''Protégez les autres'', ''Allez vous coucher à 21 h'', 'Laissez vos vieux crever tous seuls'', ou encore : ''Lavez-vous les mains'' (Et tout le reste ? Ça va venir !)...
  Le monde actuel, revu et corrigé par des technocrates obsédés par une fausse protection contre une menace non-décrite et non-maîtrisée d'un mal dont ils ne savent rien... et qui ne pensent qu'à ouvrir de gigantesques parapluies (on appelle cette trouille diarrhéique ''le syndrome du sang contaminé''!), fait penser très fort, mutatis mutandis, à l'Enfer tel qu’il est décrit par Dante Alighieri. Et de fait, même si c'est difficile à admettre pour le moment encore, tout se passe comme si, en catimini, une porte de l'enfer était en train de s'ouvrir, puisqu'il n'y a pas d'espoir de retour en arrière, le monde commence à le réaliser. ''Plus d'espoir de retour en arrière'' ? C’est atroce !
  Voi ch'entrate… dans le monde des masques, des gestes-barrière, des confinements qui s'enchaînent l'un l'autre, des couvre-feu démontrés inutiles et de l'obligation de payer 135 €, quoi que vous fassiez ou ne fassiez pas, au nom de la protection de votre vie dans un monde qui, bientôt, ne vaudra plus la peine d'être fréquenté (les prémisses en sont déjà perceptibles) vous n'en sortirez peut-être pas vivants, mais  certainement pas indemnes. Le fait qu'on n'en soit pas encore tout-à-fait là bloque les capacités d'analyse de beaucoup de nos frères en esclavage covidien, mais on avance de plus en plus vite : souvenez-vous comme la vie était douce, il y a six mois encore, six mois à peine...
  ''VIVRE'', jusqu'ici, était le plus souvent une bonne nouvelle et la perspective de joies multiples. Il y a un danger mortel à accepter que ce ne soit plus qu'un ''être dans une terreur obligatoire et savamment entretenue'', avec un Léviathan ''covidement correct'' qui ne baisse jamais la garde. Il nous tient par la peur et il ne va pas lâcher sa proie si facilement ! Notre existence n'est plus qu'une gigantesque peur, esclavagisante, injustifiée, administrative, irraisonnée, entretenue, obligatoire, et permanente. Chaque fois que nous croisons un de nos ''prochains'' (parents, amis, relations, fournisseurs, voisins, ou simples passants... que nous trouvions sympathiques, autrefois), nous nous sentons agressés, menacés, effarouchés. 
  La dérive pathologique de l'intelligence qui cache sa déroute sous des mots pompeux mais flous (''immunitaire'', ''hygiéniste'', ''sanitaire'' ou ''principe de précaution'') ne doit pas, ne peut pas être le seul futur qui soit envisageable (envisageable sans visage, puisque masqué ? C’est un comble !) pour l'humanité en souffrance. La folie qu’ils prétendent ''de précaution'' qui nous assassine sous le faux prétexte de ne pas nous faire mourir, et qui est, si on croit leurs propres (sales) chiffres, totalement inutile. Elle ne peut pas être le facteur qui déclencherait la fin de notre monde. Ce serait trop affreux !
H-Cl
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umobiliteshdf · 4 years
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Sécurité et régularité (au moins) au programme (éléctoral n'ayons pas peur des mots * ) https://www.francebleu.fr/infos/transports/sncf-45-de-trafic-en-moins-sur-les-hauts-de-france-a-cause-de-la-crise-du-covid-19-1613387766
Sécurité et régularité (au moins) au programme (éléctoral n'ayons pas peur des mots * ) https://www.francebleu.fr/infos/transports/sncf-45-de-trafic-en-moins-sur-les-hauts-de-france-a-cause-de-la-crise-du-covid-19-1613387766
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eglise22 · 4 years
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Lettre information - Vendredi 20 novembre 2020 -
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Mot du CuréChers amis, chères amies,
Chacun vit cette nouvelle période en fonction de ses sentiments, de ses centres d'intérêt, de ses responsabilités, de ses préoccupations. Nous pouvons être traversés par la joie et la tristesse, la peur et l'espoir, le repli sur soi et l'ouverture aux autres. Aussi, avec vous, je suis heureux de partager et de soutenir cette Bonne Nouvelle. Les catéchistes des deux paroisses d'Étables-sur-mer et Notre Dame de la mer, ont souhaité mettre en place une correspondance entre les enfants catéchisés des 2 paroisses d'ici avec des enfants catéchisés sur une paroisse au Bénin (d'où est originaire P. Damien). Les enfants de Bretagne vont écrire leurs lettres durant ce mois de novembre et décembre et le P. Damien les donnera en janvier prochain à des enfants du Bénin. A son retour, il donnera aux petits bretons les lettres des enfants béninois. Et nous, jeunes et adultes, pourquoi ne pas nous ouvrir davantage à la vie et à la réalité d'une communauté chrétienne au Bénin ? En effet, l'évangile proposé à notre méditation et à nourrir notre vie intérieure, pour cette fête du Christ Roi de l'Univers est l'évangile que nous connaissons bien sur le souci de notre frère, de notre sœur, en humanité. Jésus nous dit : « chaque fois que vous l'avez fait à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait. » (Mt25,40)Dans cette période difficile, troublée, ouvrons et tendons nos mains à nos frères et sœurs d'ici et de là-bas. Nos rencontres seront source de richesses. Continuons à prendre soin de nous et des autres. Bon dimanche. Roland.
Le culte :Les églises et les chapelles peuvent être ouvertes pour permettre à chacun de s'y rendre pour prier personnellement et en ne dépassant pas la durée de 10 minutes. Pas de rassemblement, même de moins de 6 personnes, dans les églises (sauf obsèques) et chapelles !Les obsèques sont célébrées dans l'intimité familiale (maximum 30 participants). Les prêtres, les diacres et les membres des équipes funérailles se relayent pour accompagner les familles endeuillées. Le nom des personnes décédées sur nos deux paroisses est publié sur le site. Un prêtre ou un diacre et 1 ou 2 membres des équipes sont présents aux obsèques, ainsi qu'un organiste et le sacristain.
33e dimanche du temps ordinaire et Solennité du Christ-Roi - année AL'homélie de Roland pour le 33e dimanche est sur le site de la communauté pastorale. Voir l'article Homélie du 33è dimanche du temps ordinaire A Une homélie sera également publiée à partir de midi le dimanche 22 novembre pour la fête du Christ Roi de l'Univers.
Ce dimanche 22 novembre nous célébrerons la messe à 10h30 et vous pourrez nous suivre en direct : sur la page Facebook : https://www.facebook.com/Communaut%C3%A9-pastorale-du-Littoral-Ouest-181991318508655/
Sur You Tube : https://www.youtube.com/watch?v=zsMViCiHXrc
ou sur le site internet de la Communauté pastorale du littoral ouest (via la plateforme You Tube : https://cplittoralouest.catholique.fr/Nous-serons-en-direct-dimanche-matin-10h30-Fete-du-Christ.html
Pour ceux et celles qui ne disposent pas d'internet, il sera possible de suivre la célébration de ce dimanche sur France 2 : Le Jour du Seigneur (Messe à 11h00)
Le presbytère et les maisons paroissiales restent fermés au public :Le presbytère de Plérin, la Maison Paroissiale d'Etables-sur-mer et la Maison St Pierre à Pordic restent fermés à tout public au moins jusqu'au 1er décembre 2020.Mais, un accueil téléphonique est assuré dans chaque paroisse :
Paroisse Notre Dame de la Mer : Du mardi au samedi de 9h30 à 16h30.02 96 74 53 52.
Paroisse d'Étables sur Mer : Du lundi au vendredi de 10h00 à 12h00.02 96 70 61 51.
Rencontrer un prêtre : Les prêtres reçoivent sur rendez-vous, il suffit de téléphoner au presbytère de Plérin ou Etables-sur-Mer (voir ci-dessus). Ils peuvent aussi se rendre à domicile dans le strict respect des gestes barrières. Ils assurent des permanences chaque semaine :
Le mercredi à l'église St Pierre de Plérin et le samedi à l'église St Pierre de Pordic de 10h00 à 12h00.
Le jeudi à l'église de Binic et le vendredi à l'église de St Quay de 10h00 à 12h00.
Ressourcement spirituel proposé par le diocèse : Depuis le 18 novembre, chaque mercredi, à 11h00, une messe est présidée par MgrMoutel ou l'abbé Le Vézouët. Elle est retransmise en direct sur RCF Côtes d'Armor 100.6.Un livret « chemins de rencontres » : une lecture du livre des Actes des Apôtres en 7 étapes, est paru fin octobre. Vous pouvez vous le procurer au presbytère de Plérin ou à la maison paroissiale d'Etables sur mer. Merci de téléphoner auparavant pour que nous préparions le nombre d'exemplaires souhaité. Vous pouvez aussi vous procurez ce livret en le téléchargeant sur le site du diocèse : Église catholique en Côtes d'Armor
Soutenir votre paroisse pendant le confinement :Merci à ceux et celles qui ont donné leur offrande au denier de l'Eglise. Pour les autres, il est encore possible de le faire avant le 31 décembre pour bénéficier du reçu fiscal.Également, pendant le confinement, comme pour toute personne ou famille, les dépenses de la paroisse se poursuivent. Le fait que nous n'ayons plus de célébrations en public amoindrit nos finances. Aussi, si vous le pouvez et le souhaitez, nous vous invitons à continuer de soutenir votre paroisse par votre offrande hebdomadaire soit par l'application « la quête » soit en glissant une enveloppe dans la boîte du presbytère ou des maisons paroissiales de Pordic et d'Etables-sur-mer. Merci pour votre soutien et votre contribution.
Autres Informations pratiques
Communiquer et rompre l'isolement : prenons des nouvelles de nos voisins, des personnes isolées, des personnes malades, des personnes âgées. Pour toute aide, nous pouvons également joindre le presbytère de Plérin.
Se nourrir spirituellement : Les personnes qui ne disposent pas d'internet peuvent également téléphoner au presbytère de Plérin ou à la maison paroissiale d'Etables sur mer, si vous souhaitez bénéficier des textes liturgiques du jour ou du dimanche et le texte de l'homélie. J'invite aussi à se rapprocher de Malu Guillet pour la Parole Partagée malu.guillet chez orange.fr et/ou de l'abbé Éric eleforestier chez wanadoo.fr.
Enfants : contact : Anne Lemire 06 37 90 57 21 annelemire.cate22 chez gmail.com
Jeunes : contact : Michelle Jardin : 06 74 14 12 56 michelle.jardin471 chez orange.fr
Ecoutez RCF Côtes d'Armor 100.6 et pour ceux qui sont équipés, possible de regarder la chaîne KTO (par Box : Bouygues canal 218, Free canal 245, Orange canal 220, SFR canal 179 ; par Internet : ktotv.com).
Ste Cécile : Un motet d'Edward Elgar, que les Petits Chanteurs de Saint-Brieuc prévoyaient de donner en concert sera diffusé à l'issue de la messe. Tous les chanteurs, des plus jeunes aux plus anciens, se sont filmés de chez eux chantant l'œuvre. Résultat magique à ne pas louper ! (voir site Église catholique en Côtes d'Armor)
Pour être en adéquation avec les annonces qui seront faites par le gouvernement sur la suite du confinement ou sur la forme du déconfinement, le bulletin paroissial paraîtra début décembre (au plus tard le 8 décembre).
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Ouverture des églises et chapelles
Paroisse Notre Dame de la Mer
Plérin : Église Saint Pierre : tous les jours de 9h 30 à 18h00.Église Saint Laurent : le dimanche de 14h00 à 17h00.Église Notre Dame du Bon Secours le Légué : le dimanche de 14h30 à 16h30.Chapelle St Maudez à Couvran : du lundi au samedi de 14h00 à 17h00 et le dimanche de 10h00 à 17h00.
Pordic :Église Saint Pierre : tous les jours de 9h30 à 17h00.Chapelle Notre Dame de la Garde : tous les jours de 9h00 à 17h30.Église Saint Méloir à Tréméloir : tous les jours de 9h30 à 17h00.
Paroisse d'Étables sur Mer
Binic :Église Notre Dame de Bon Voyage tous les jours de 9h30 à 17h00.
Saint Quay :Église Saint Ké : tous les jours de 9h30 à 17h00.
via Communauté pastorale du Littoral Ouest https://ift.tt/3nGwXk9
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