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7 octobre 1690 : mort de l'économiste Jacques Savary ➽ https://bit.ly/Jacques-Savary La plupart des articles de l’ordonnance de 1673 (Code Savary), ancêtre du Code de commerce, furent dressés suivant les avis qu’avait donnés ce négociant devenu économiste
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Bon, n'étant pas très mobile, difficile de créer des posts avec de nouvelles photos. Je reviens donc à mon projet de présenter l'intégralité de mes photos, projet interrompu à l'année 2017. Je vais donc essayer de clore cette année 2017. Et elle sera close par Marseille aux vacances de Noël.
Ici le désormais disparu Musée de la Marine, qui se trouvait au Palais de la Bourse.
François-André Vincent : "Négociants sur les Quais du Port", 1795
dessicateurs pour soie
figure de poupe de l' "Espérance" - XVIIIe s.
passeport vers Alger pour Moula Aly, juge, signé par Louis XIII et Richelieu - Paris, 1617
chapiteau - Marseille, XVIe s.
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Oblitérations service philatélique Athènes
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Virtue Farm Releases First Estate Cider
If you had to make an analogy to the wine world, Virtue Cider’s business model is that of a négociant. We purchase the best apples from our neighbors here in Southwest Michigan and with our expertise and experience, we make the calls that a Burgundian négoce makes - what to release & how do we make it from press to elevage to bottling. Specifically, when to release a single varietal or blend or single orchard designation. What type of barrels should be used—ex-Bourbon, various ex-French, the occasional use of our foeder—and how much influence should the presence oak impact what’s in the final product. Other négociant-type decisions for fruited styles would be which farms should we work with to make the various cherry, raspberry, blueberry and strawberry variants.
I like this model. We get to work with the best growers in the state to produce the finest Michigan ciders, and we have access to some of the best heirloom fruit. The definition of synergistic. As a sommelier though, I longed for the day we could release an “Estate” cider from our trees at the farm. The day has come, and this cider slays - bottle conditioned [secondary fermentation in bottle], using mainly our Nova Spy and Macoun apples with a smattering fruit from some of the 50+ year old trees found on our property of unknown origin. Love that. Our Estate Cider speaks of place, heritage, patience, practice and passion. Totally compelling in every way.
We’ll still steadfastly purchase from and showcase the multigenerational farms and orchards to make our ciders. It is also very important to have our own estate program. Who wouldn’t want to drink Romanée-Conti over Jadot? But seriously, maybe as time progresses, we might find ourselves comparable to Dujac or de Montille - seamlessly moving between négociant and domaine bottlings.
As is the case with domaine bottled Burgundy, we don’t have much of it. Order here or visit us at the farm. We even cask conditioned some for draft. Yummy.
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L'armée d'occupation a volé 7,5Kg d'or équivalant à 400.000 euros dans la maison palestinienne d'un négociant en or, dans le nord de Gaza.
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Intérieur de Monsieur T., négociant, rue Montaigne
Eugène Atget 1910
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« Le chant des canuts » est une sculpture de Georges Salendre (1890-1985), un artiste originaire de l’Ain. Elle représente des amoureux qui chantent une chanson lyonnaise célèbre, écrite par Aristide Bruant en 1894. Cette année-là, à Lyon, se tenait une exposition internationale où le président Sadi Carnot devait être tué. Mais il fut finalement assassiné dans la rue de la République par l'anarchiste italien Sante Geronimo Caserio, qui voulait venger ses camarades condamnés à mort : Ravachol (juillet 1892), Auguste Vaillant (février 1894) et Émile Henry (mai 1894). La chanson des canuts de Bruant fait référence à la révolte des canuts de 1831. La révolte des canuts est le nom donné à plusieurs soulèvements ouvriers qui ont eu lieu à Lyon au XIXe siècle. La première révolte a éclaté le 22 novembre 1831 sur la colline de la Croix-Rousse, où travaillaient les canuts. Les canuts, dont le nom vient du mot canette, ou bobine, étaient des artisans qui tissaient la soie à domicile sur leur propre métier à bras. Ils travaillaient pour le compte des soyeux (les patrons négociants) qui leur fournissaient la matière première et récupéraient le produit fini. Les canuts se sont révoltés contre leurs conditions de travail très dures et la baisse de leurs salaires imposée par les fabricants. Les insurgés ont pris pour emblème le drapeau noir et la devise : « Vivre en travaillant ou mourir en combattant ». Ils ont pris le contrôle de la ville pendant plusieurs jours, avant d’être réprimés par l’armée. La révolte des canuts est considérée comme l’une des premières luttes du mouvement ouvrier en France. La statue a été installée en 1984 dans le square Déjean, près de la mairie du 4e arrondissement de Lyon. Mais elle a été déplacée en 2014 place des Tapis, au début du boulevard des Canuts. C’est un hommage à la culture et à l’histoire des canuts, qui ont façonné l’identité de la Croix-Rousse, le quartier des soyeux.
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Ce 11 novembre avait un singulier goût de pisse.
Et autres considérations sur la nécessité de se débarrasser des lubies incapacitantes.
Hier, Barnier a posé un acte fort en souvenir des poilus.
Il y a des enthousiasmes qui laissent perplexe.
S’il ne devait rester qu’un boomer, ce serait celui-là
Ce n’est pas le drapeau européen sur lequel j’ai bloqué instinctivement.
Les souverainistes qui préfèrent les hommes, si.
Philippot était déchaîné.
Et pas que.
Pas un, ne remarque l’océan de boue.
C’est le petit flonflon qui suscite les colères jalouses.
Les boomers à emojis du Frexit, c’est un calvaire dans le calvaire. Aucun de ces vioques n’a jamais envisagé ce qui se passerait concrètement si demain matin l’UE cessait d’exister.
Rien, c’est-à-dire.
Les Nègres et les Arabes seraient toujours là, tout comme leurs mosquées.
Si un drapeau a été sévèrement bousculé par la charcuterie de masse de 14-18, c’est bien le drapeau tricolore. C’est avec ça qu’on a justifié l’entreprise criminelle des démocraties – déjà – contre les états autoritaires, exception faite de la Russie que les juifs dévorèrent en temps et en heure, mais seulement une fois la viande dûment prélevée.
D’ailleurs, c’est bien à l’ombre du tricolore que les premiers Nègres et Arabes ont afflué en France. Il faudrait voir à ne pas l’oublier trop opportunément.
« Le drapeau des troupes noires qui décimeront les troupes prussiennes ». Ils ne sont jamais repartis et à présent ce ne sont pas des Allemands qu’ils déciment, mais les chattes des Françaises. Ils se paient sur la bête sous le sourire ébahi de ces cons de boomers.
L’autisme des uns répond à celui des autres et nous, pendant ce temps, voyons la marée de boue monter imperturbablement.
Le petit peuple a docilement suivi, avec la foi patriotique du charbonnier, pour finir la gueule écrasée. Pour les 20-27 ans, 30% de tués, autant de blessés, le tout rendu fou et alcoolique (2 litres de vin par jour, souvent le double). Un charnier de près d’un million et demi de morts, 700,000 orphelins privés de père, terreau de tous les désastres traumatiques, du féminisme et du marxisme.
Aussi victorieuse que fut la France sur le papier, le pays fut fatalement frappé par la perte d’un sang déjà en voie raréfaction. Un simple coup d’oeil sur les troupes françaises permet de constater l’extraordinaire qualité raciale de la paysannerie gauloise de 1914 et, par contrecoup, la phénoménale dégénérescence biologique qui a suivi depuis cent ans sous l’effet d’une ignoble contamination immigrée.
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Cruelle comparaison avec les créatures molles et difformes dont les faciès débiles et la peau à la couleur d’eau vaseuse donnent le haut-le-coeur.
Le salaire du crime fut la prolifération intense des métèques de Méditerranée, en légions. Il fallait remplacer dans le lit des Françaises les Émile, Jean ou Charles morts quelque part dans une plaine de l’Est, la moitié du visage enlevée par un obus ou une grenade. Le juif, dans cette entreprise, fit montre de ses talents de négociant, non seulement en déversant un ghetto de Pologne ou de Roumanie après l’autre dans les villes de la France dépeuplée, mais encore en important des renforts d’Arméniens, de bicoïdes ou de ritals rouges évincés par Mussolini dès 1922.
Depuis, la mécanique, froide et régulière, n’a fait qu’aller au Sud, toujours plus au Sud, pour sortir de l’histoire les descendants des types dont les noms figurent sinistrement sur les monuments des places, en acte d’accusation rétrospectif. Ils feraient tous une bien drôle de gueule s’ils sortaient de leurs tombes pour flâner dans les rues.
C’est bien à l’ombre du tricolore de Valmy que les Français se sont faits mortellement enculer. Les préventions consécutives quant au bastringue cocardier sont aussi légitimes que de bon conseil. Privilège de notre époque, ce que jamais un petit Français de 1916 n’aurait pu imaginer, nous pouvons le voir avec nos yeux : les développements postérieurs complets de la guerre hyper patriotique, préparée pendant 40 ans avec l’entêtement, la hargne et ce qu’il faut de connerie par toute une nation pour foncer vers le suicide géant.
Qui peut imaginer aujourd’hui, accoutumé qu’il est à la lie raciale ambiante, que Paris fut une ville non seulement blanche, mais française, aussi française qu’un village de la Meuse ?
On en faisait des tableaux.
Sitôt la guerre gagnée sur le papier, la France de Dreyfus retourna à sa république et à sa démocratie pourrissante. L’immense meurtre avait accouché d’un pet, à peine couvert par une tonitruante Marseillaise. La marée multicolore commença alors pour de bon. Dans les années 1920, les bicots semaient déjà la terreur dans les villes.
À Marseille, on pouvait sentir le début du cataclysme. Putes blanches et maquereaux nègres se rencontrèrent pour une farandole qui ne devait plus cesser.
Cairn :
Dans l’immédiat après-guerre, une dizaine de souteneurs noirs, vivant des activités de prostituées blanches, apparaissent clairement dans les sources comme ayant bénéficié de ce climat propice aux entreprises illicites. Ils sont désignés comme « nègres », certains semblant avoir constitué de véritables bandes ou avoir à tout le moins entretenu des liens de solidarité dans les activités illégales. Les archives de presse, très allusives, laissent souvent planer le doute. Le « nègre Laroussi Amar », blessé rue Mazagran par sa logeuse et compagne Lucie Puech, après avoir tenté de l’étrangler, est peut-être son souteneur mais rien ne le prouve . De même, « le Sénégalais Gana Guye [sic], navigateur », blessé par balles par un inconnu en fuite dans un bar de la rue Bouterie, après une discussion « avec une femme de mœurs légères », peut avoir été un simple client. L’incertitude est identique concernant le « pauvre nègre » retrouvé tué à coups de revolver rue Saint-Laurent, lui aussi après « une discussion avec une femme de mœurs légères, […] tragiquement solutionnée par un individu qui est activement recherché ». Le recoupement avec les archives judiciaires ne laisse en revanche aucun doute sur les activités d’autres individus impliqués dans des assassinats.
Le 30 octobre 1918, la fille soumise Antoinette Sereni, née à Sartène en Corse, âgée de vingt ans, est l’enjeu d’une querelle entre proxénètes noirs. Son amant Cyprien Sodonou, embarqué comme navigateur, a confié la surveillance de sa maîtresse à son ami Bernard Niamby . Elle s’est pourtant placée successivement sous la protection de deux Martiniquais, Henri Aline puis Gilles Saint-Paul. Au retour du navigateur, une vive discussion a eu lieu, chez Sereni et en sa présence, entre l’ancien et le nouveau protecteur et leurs amis respectifs : Niamby et François Lazare du côté de Sodonou, Gilbert Urbano pour Saint-Paul. Saint-Paul a utilisé la menace pour contester le choix de son rival par la jeune femme : accompagné d’Aline, il a suivi les deux amants dans la rue. Sodonou, prêt à céder, a proposé « d’abandonner le lendemain même la femme Sereni à son rival s’il la désirait ». Mais les deux Martiniquais les ont attaqués derrière la Bourse, blessant mortellement la jeune fille et grièvement Pascal Straboni, un jeune Corse qui cheminait avec eux. Sodonou passe lui aussi en jugement parce qu’il a réussi à s’enfuir et a tenté d’abattre Aline à coups de revolver. Dans cette affaire, Sodonou est peut-être l’amant de la jeune femme et pas son souteneur. La police a sur lui de « mauvais renseignements », elle le décrit comme un individu « violent, querelleur et de moralité douteuse », mais ne porte pas d’accusation de proxénétisme. Le fait qu’il ait chargé son ami Niamby de surveiller son amante rend pourtant crédible ce soupçon. Celle-ci affirme d’ailleurs qu’elle aurait « préféré rester avec Saint-Paul » mais qu’elle a « eu peur » de Sodonou. Niamby, qui n’a pas hésité à la frapper, est blessé deux ans plus tard d’un coup de revolver par un navigateur de 25 ans : sa participation à des activités illicites semble évidente. En 1938, Sodonou, vivant avec Lucie Tedesqui, reste mal noté par la police lors de sa demande de naturalisation. S’il « a toujours navigué régulièrement en qualité de garçon et maître d’hôtel » et « tire ses ressources du produit de son travail », « sa femme exploite le bar sis 8, rue Coin de Reboul, établissement mal famé, dont la clientèle habituelle se compose de filles soumises et de souteneurs ». « Bon travailleur », Sodonou se trouve néanmoins « en relation avec de nombreux repris de justice et autres individus sans aveux ». Saint-Paul, quant à lui, est un « souteneur redouté ». Aline, qui a tué la jeune femme, a « subit [sic] plusieurs condamnations, pour souteneur, fausse monnaie et port illégal d’uniforme dans son pays natal ». Urbano, dit « Jules », est « détenu à la prison Chave pour une autre tentative de meurtre ». Quand Sereni sort un couteau et tente de se suicider, « se sentant menacée par tous ces noirs », il la désarme et il est blessé à la main. Il attend alors la jeune femme à la sortie de son immeuble et brandit un revolver en menaçant de se venger .
Marseille, fièrement française
L’Allemagne, encore jeune démographiquement et le dos au mur, put défier les démocraties et la barbarie communiste une dernière fois, mais la France, saignée et suffocante, ne put que bouillir à petit feu dans son apéritif, ses élections, triturée par les juifs et leur marxisme.
Mais ça n’était pas assez. Avec la renaissance inattendue de l’Allemagne débarrassée des juifs, la France fût convoquée pour un dernier carnage, que dans les synagogues on aurait espéré aussi long que le premier, pour rétablir à Berlin la juiverie dans sa position dictatoriale. Déception et choc des Bernard-Henri Lévy de l’époque quand le soldat français ne fut pas aussi glorieusement voué à la mort qu’en 1914.
« La petite saloperie met crosse en l’air ! »
Les victoires théoriques avaient eu comme un effet curatif.
Pétain, effrayé par l’abîme béant, se précipita pour sauver la race française de l’anéantissement imminent. Trouver une entente avec l’Allemagne, aussi dure à avaler fut-elle pour l’homme de Verdun, et clore par tous les moyens le cycle génocidaire en train d’engloutir la France.
Qu’un tel homme s’avança à ce moment-là pour tendre la main à l’Allemagne suffit à dire la gravité de la situation de la France, mais aussi de l’abnégation et du courage individuel de Pétain que les juifs insultent depuis 80 ans sans discontinuer.
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Les Français l’écoutèrent avec foi et lucidité, et d’abord les survivants du charnier de 1914.
Et pour cause, ils étaient les premiers rencardés.
Mais les juifs ne s’avouèrent pas vaincus. Pas une nation, et surtout pas la nation française, ne pouvait se défiler aussi facilement aux heures critiques.
De Gaulle, Bayard des juifs, poussa la carcasse gémissante dans un ultime effort vers le vétérinaire de Judée qui l’attendait avec sa dose létale. C’est ça, le héros des souverainistes, le Don Quichotte de Colombey assoiffé de sang français, ticket d’entrée infaillible à tous les spectacles judéo-démocratiques.
Les juifs ont une solide mémoire. La tentative d’esquive de 1940 leur laissa une vilaine impression, d’autant plus amère que les Français exprimèrent une très réelle envie de leur rentrer dans la gueule pour prix de toutes leurs souillures, une envie qui couvait depuis longtemps, mais que justement la victoire de 1918 avait contenu par l’euphorie illusoire du triomphe.
Le juif s’est vengé.
Le juif continue de se venger, à coups de millions de métèques armés de couteaux, dûment mandatés pour terroriser ce qu’il reste de la France française, la bolcheviser politiquement et racialement par ses supplétifs. Ce n’est plus les Français que le juif achemine au front par wagons entiers, mais des Nègres et des violeurs d’Orient, par air et par mer.
C’est ça, la mobilisation générale de notre temps.
Un Sedan en août 1914 nous aurait épargné un lent siècle de déploiement de ces atrocités. Les Allemands à Paris en septembre, la paix signé en octobre, et la race était sauve du carnage pour une affaire dont personne n’aurait plus compris quoi que ce soit 20 ans après.
Mille morts par jour pendant quatre ans. Si on étalait tous les cadavres français de 14-18 en une longue ligne, on pourrait faire Paris-Moscou, soit 4 mois de marche.
Jamais peuple ne sacrifia tant pour si peu.
Quelle farce de cauchemar.
L’élite raciale française engloutie, qui peut s’étonner de voir la France contemporaine peuplée pour l’essentiel de lâches, de dégénérés et de traîtres ?
À présent que nous avons le cul dans la merde et que nous mijotons dans la pisse juive jusqu’à la jugulaire, le premier devoir est de ne pas rester totalement cons de la formidable enculerie dont nous sommes les victimes.
Cela suppose de ne plus se faire chier dans le crâne à flux tendus et de ne pas répéter les insanités mortelles qui nous ont conduit dans la fosse à purin.
Non, les Français ne sont pas morts pour échapper à l’allemand LV1, ni pour la France. Ils sont morts dans le grand jeu géopolitique bancaire des démocraties juives pour laquelle la douce France de Dreyfus devait consentir à l’impôt sanglant.
Que les droitardés adeptes des charniers juifs gardent leur Nègre totémique.
Démocratie Participative
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Maisons Art Nouveau de l'agglomération lilloise dont la "Maison Coilliot" d'Hector Guimard pour le céramiste Louis Coilliot à Lille (1898-1900), la "Villa Dervaux" de l’architecte Elie Dervaux pour le négociant textile Henri Masselis à Roubaix (1904) et la devanture "À La Cloche d’Or" de l'ancienne bijouterie Bossut à proximité de la Grand'Place de Lille (1900), octobre 2024.
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7 octobre 1690 : mort de l'économiste Jacques Savary ➽ https://bit.ly/Jacques-Savary La plupart des articles de l’ordonnance de 1673 (Code Savary), ancêtre du Code de commerce, furent dressés suivant les avis qu’avait donnés ce négociant devenu économiste
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Voilà une semaine que le monde agricole exprime sa colère au grand jour et en acte : celui d'un métier devenu quasiment impraticable, croulant sous la brutalité des dérèglements écologiques qui s'annoncent et sous des contraintes économiques, normatives, administratives et technologiques asphyxiantes.
Alors que les blocages se poursuivent un peu partout, nous soumettons quelques mises au point sur la situation depuis le mouvement des Soulèvements de la terre.
Nous sommes un mouvement, d'habitant·es des villes et des campagnes, d'écologistes et de paysan·nes, installé·es ou en installation. Nous refusons la polarisation que certains essaient de susciter entre ces mondes. Nous avons fait de la défense de la terre et de l'eau notre point d'entrée et d'ancrage. Ce sont les outils de travail des paysans et des milieux nourriciers. Nous nous mobilisons depuis des années contre les grands projets d'artificialisation qui les ravagent, les complexes industriels qui les empoisonnent et les accaparent. Soyons clair·es, le mouvement actuel dans son hétérogénéité même, a été cette fois initié et largement porté par d'autres forces que les notres. Avec des objectifs affichés parfois différents, et d'autres dans lesquels nous nous retrouvons absolument. Quoi qu'il en soit, lorsque que les premiers blocages ont commencé, nous avons, depuis différents comités locaux, rejoint certains barrages et certaines actions. Nous sommes allé·es à la rencontre de paysan.nes et d'agriculteurs.rices mobilisé·es. Nous avons échangé avec nos camarades de différentes organisations paysannes pour comprendre leurs analyses de la situation. Nous nous sommes retrouvé·es nous-mêmes dans la digne colère de celles et ceux qui refusent de se résigner à leur extinction.
Nous ne pouvons que nous réjouir que la majorité des agriculteurs.rices bloquent le pays aujourd'hui. Qu'ils et elles soient représenté·es par la FNSEA et des patrons de l'agrobusiness dans les instances de négociation avec le gouvernement est consternant, à l'heure où les cadres du syndicat majoritaire sont copieusement sifflé·es sur certains blocages et où ce dernier ne peut plus retenir ses bases. De nombreuses personnes sur les barrages ne sont pas syndiquées et ne se sentent pas représentées par la FNSEA.
"Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs" - Michel Debatisse, secrétaire général de la FNSEA, 1968
Fondé après guerre, ce syndicat hégémonique a accompagné le développement du système agro-industriel depuis des décennies, en co-gestion avec l'État. C'est ce système qui met la corde au cou des paysan·nes, qui les exploitent pour nourrir ses profits et qui finalement les poussent à s'endetter pour s'agrandir afin de rester compétitif·ves ou disparaître. En 1968, Michel Debatisse, alors secrétaire général de la FNSEA avant d'en devenir le président, déclarait [1] : "Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs". Mission plus que réussie : le nombre de paysan.nes et de salarié.es agricoles est passé de 6,3 millions en 1946, à 750 000 au dernier recensement de 2020. Tandis que le nombre de tracteurs dans nos campagnes augmentait d'environ 1000%, le nombre de fermes chutait lui de 70% et celui des actifs agricoles de 82% : autrement dit, ce sont plus de 4 actifs sur 5 qui ont quitté le travail agricole en seulement quatre décennies, entre 1954 et 1997. Et la lente hémorragie se poursuit aujourd'hui...
Alors que la taille moyenne d'une exploitation en France en 2020 est de 69 hectares, celle d'Arnaud Rousseau, actuel dirigeant de la FNSEA, ancien courtier et négociant tout droit sorti d'une business school, s'élève à 700 hectares et il est à la tête d'une quinzaine d’entreprises, de holdings et de fermes, président du conseil d'administration du groupe industriel et financier Avril (Isio4, Lesieur, Matines, Puget, etc.), directeur général de Biogaz du Multien, une entreprise de méthanisation, administrateur de Saipol, leader français de la transformation de graines en huile, président du conseil d'administration de Sofiprotéol...
Les cadres de la FNSEA tout comme les dirigeants des plus grosses coopératives agricoles - abondamment représentés par la "Fédé" et ses satellites - se gavent [1] : le revenu moyen mensuel des dix personnes les mieux payées en 2020 au sein de la coopérative Eureden est de 11 500 €.
Les revenus moyens des agriculteurs brandis sur les plateaux et le mythe de l'unité organique du monde agricole masquent une disparité de revenus effarante et de violentes inégalités socio-économiques qui ne passent plus : les marges des petits producteurs ne cessent de s'éroder tandis que les bénéfices du complexe agro-industriel explosent.
Dans le monde, le pourcentage du prix de vente qui revient aux agriculteurs est passé de 40 % en 1910 à 7 % en 1997, selon l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO). De 2001 à 2022, les distributeurs et les entreprises agroalimentaires de la filière lait ont vu leur marge brute s'envoler de respectivement 188% et 64%, alors même que celle des producteurs stagne quand elle n'est pas simplement négative.
Une des raisons qui poussent le monde agricole à bloquer les autoroutes, à ouvrir des bouteilles de lait à Carrefour (Epinal-Jeuxey) ou à bloquer les usines Lactalis (Domfront, Saint-Florent-le-Vieil, etc.), à labourer un parking (Clermont-l'Hérault), à bloquer le port de la Rochelle, à vider des camions venus de l'étranger, à asperger de lisier une préfecture (Agen), à retourner un Macdo (Agens), à osrtir c'est que les industriels intermédiaires de l'amont (fournisseurs, vendeurs d'agroéquipements, semenciers industriels, vendeurs d'intrants et d'aliments) et de l'aval des filières (les coopératives de collecte-distribution comme Lactalis, les industriels de la grande distribution et de l'agroalimentaire comme Leclerc) qui structurent le complexe agroindustriel les dépossèdent des produits de leur travail.
C'est ce pillage de la valeur ajoutée organisé par les filières qui explique, aujourd'hui, que sans les subventions qui jouent un rôle pervers de béquilles du système (en plus de profiter essentiellement aux plus gros) 50% des exploitant·es auraient un résultat courant avant impôts négatif : en bovins lait, la marge hors subvention qui était de 396€/ha en moyenne entre 1993 et 1997 est devenue négative à la fin des années 2010 (-16€/ha en moyenne), tandis que le nombre de paysans pris en compte par le Réseau d'information comptable agricole dans cette filière passe sur cette période de 134 000 à 74 000 [2]...
Les accords de libre échange internationaux (que dénoncent et la Confédération paysanne, et la Coordination rurale) mettent en concurrence les paysanneries du monde entier et ont accéléré ces déprédations économiques. Nous savons bien que, aujourd'hui, lorsque l'on parle de "libéralisation", de "gains de compétivité", de "modernisation" des structures, c'est que des fermes vont disparaître, que la polyculture élevage va régresser (elle ne représente plus que 11% des exploitations actuellement), ne laissant plus qu'un désert vert de monocultures industrielles menées par des exploitant-es à la tête de structures toujours plus endettées de moins en moins maîtres d'un outil de travail et d'un compte en banque qui finit par n'appartenir plus qu'à ses créanciers.
Le constat est sans appel : moins il y a de paysan·nes, moins ils et elles peuvent gagner leur vie, sauf à agrandir toujours et encore leur surface d'exploitation, en dévorant au passage les voisin·es. Dans ces conditions, 'devenir chef d'entreprise' comme le promet la FNSEA, c'est en réalité se trouver dans la même situation qu'un chauffeur Uber qui s'est endetté jusqu'au cou pour acheter son véhicule alors qu'il dépend d'un donneur d'ordres unique pour réaliser son activité... Ajoutons à cela la brutalité du changement climatique (évènements climatiques extrêmes, sécheresses, incendies, inondations...) et les dérèglements écologiques entraînant dans leur sillage la multiplication de maladies émergentes et autres épizooties, et le métier devient presque impossible, invivable, tant l'instabilité est grande.
Si nous nous soulevons, c'est en grande partie contre les ravages de ce complexe agro-industriel, avec le vif souvenir des fermes de nos familles que nous avons vu disparaître et la conscience aiguë des abîmes de difficultés que nous rencontrons dans nos propres parcours d'installation. Ce sont ces industries et les méga-sociétés cumulardes qui les accompagnent, avalant les terres et les fermes autour d'elles, accélérant le devenir firme de la production agricole, et qui ainsi tuent à bas bruit le monde paysan. Ce sont ces industries que nous ciblons dans nos actions depuis le début de notre mouvement - et non la classe paysanne.
Si nous clamons que la liquidation sociale et économique de la paysannerie et la destruction des milieux de vie sont étroitement corrélées - les fermes disparaissant au même rythme que les oiseaux des champs et le complexe agro-industriel resserrant son emprise tandis que le réchauffement climatique s'accélère - nous ne sommes pas dupes des effet délétères d'une certaine écologie industrielle, gestionnaire et technocratique. La gestion par les normes environnementales-sanitaires de l'agriculture est à ce titre absolument ambigüe. À défaut de réellement protéger la santé des populations et des milieux de vie, elle a, derrière de belles intentions, surtout constitué un nouveau vecteur d'industrialisation des exploitations. Les investissements colossaux exigés par les mises aux normes depuis des années ont accéléré, partout, la concentration des structures, leur bureaucratisation sous contrôles permanents et la perte du sens du métier.
Nous refusons de séparer la question écologique de la question sociale, ou d'en faire une affaire de consom'acteurs citoyens responsables, de changement de pratiques individuelles ou de "transitions personnelles" : il est impossible de réclamer d'un éleveur piégé dans une filière hyperintégré qu'il bifurque et sorte d'un mode de production industriel, comme il est honteux d'exiger que des millions de personnes qui dépendent structurellement de l'aide alimentaire se mettent à "consommer bio et local". Pas plus que nous ne voulons réduire la nécessaire écologisation du travail de la terre à une question de "réglementations" ou de "jeu de normes" : le salut ne viendra pas en renforçant l'emprise des bureaucraties sur les pratiques paysannes. Aucun changement structurel n'adviendra tant que nous ne déserrerons pas l'étau des contraintes économiques et technocratiques qui pèsent sur nos vies : et nous ne pourrons nous en libérer que par la lutte.
Si nous n'avons pas de leçons à donner aux agriculteur·rices ni de fausses promesses à leur adresser, l'expérience de nos combats aux côtés des paysan·nes - que ce soit contre des grands projets inutiles et imposés, contre les méga-bassines, ou pour se réapproprier les fruits de l'accaparement des terres - nous a offert quelques certitudes, qui guident nos paris stratégiques.
L'écologie sera paysanne et populaire ou ne sera pas. La paysannerie disparaîtra en même temps que la sécurité alimentaire des populations et nos dernières marges d'autonomie face aux complexes industriels si ne se lève pas un vaste mouvement social de reprise des terres face à leur accaparement et leur destruction. Si nous ne faisons pas sauter les verrous (traités de libre-échange, dérégulation des prix, emprise monopolistique de l'agro-alimentaire et des hypermarchés sur la consommation des ménages) qui scellent l'emprise du marché sur nos vies et l'agriculture. Si n'est pas bloquée la fuite en avant techno-solutionniste (le tryptique biotechnologies génétiques - robotisation - numérisation). Si ne sont pas neutralisés les méga-projets clés de la restructuration du modèle agro-industriel. Si nous ne trouvons pas les leviers adéquats de socialisation de l'alimentation qui permettent de sécuriser les revenus des producteurs et de garantir le droit universel à l'alimentation.
Nous croyons aussi à la fécondité et à la puissance des alliances impromptues. A l'heure où la FNSEA cherche à reprendre la main sur le mouvement - notamment en chassant de certains des points de blocage qu'elle contrôle tout ce qui ne ressemble pas à un agriculteur "syndiqué fédé" - nous croyons que le basculement peut venir de la rencontre entre les agriculteur·ices mobilisé·es et les autres franges du mouvement social et écologique qui se sont élevées ces dernières années contre les politiques économiques prédatrices du gouvernement. Le "corporatisme" a toujours fait le lit de l'impuissance paysanne. Comme la séparation d'avec les moyens de subsistance agricoles a souvent scellé la défaite des travailleur-ses.
Peut-être est-il temps de faire céder quelques murs. En continuant à renforcer certains points de blocage. En allant à la rencontre du mouvement pour celles et ceux qui n'y ont pas encore mis les pieds. En poursuivant ces prochains mois les combats communs entre habitant·es des territoires et travailleur·euses de la terre.
Les Soulèvements de la Terre - le 30 janvier 2024 source
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Oil Painting, 1794, French.
Portraying Citizen Hesmart in a black coat, black breeches, and red waistcoat.
Musée Carnavalet.
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3rd Thursday
Squally with light Showers of rain. Went onshore to wash. Saw Some beautifull P in the bush. In looking round, fell in with the Grave of a Frenchman with a cross over it and the following inscription in french:
"Cigit" Armand Francois - Regnt. Mort le 14 Mai 1839 -
cut [in] the cross. The Doctor Shot a fine Wild Sow which appeared to have recently been giving Milk. Came on to blow very hard in the Evening with rain and Sleet: wind continued all night.
Campell's Notes:
P___, space left blank
Cigît = Here lies. Regnt (régiment) possibly meaning a serviceman, or it might be Negnt standing for Négociant = Merchant. Two French whaling expeditions from Le Havre were in this area in 1839, one commanded by Antoine Le Bailly in the Manche which visited the Auckland Islands working out of Port Ross (the modern name of the bay in which Erebus and Terror were anchored), and the other under James Walch and Alphonse Doucet in Adèle and Harmonie, which constructed a hut in Port Ross. Headland, Chronological List, p. 146. It would seem probable that Armand Francois was from one of these expeditions, since the only other possible expedition, that of Dumont D’Urville in Astrolabe and Zélée was not in this area in May 1839.Doctor, presumably John Robertson the ship’s surgeon, although it might have been the assistant surgeon David Lyall.
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.over-blog.com
Contrairement à une tendance prétendument naturelle, plus je vieillis et plus je crois à la nécessité impérieuse de la révolution. Chaque jour, la République représentative démontre qu’elle n’est qu’un système de copinage et de prévarication, d’endogamie para-maffieuse, non pas par dégénérescence, ou de façon circonstancielle, mais par nature, intrinsèquement, ontologiquement. Le mythe démocratique définitivement et officiellement enterré après le vote trahi contre le traité constitutionnel européen, il ne reste désormais plus qu’une vieille boutique crasseuse négociant ses prébendes et ses passe-droits. La multiplication des « fromages », des « placards dorés », des « pantouflages » et des « recyclages », grassement rémunérés, n’est pas une « dérive », elle est le but et la fonction du système, quelle que soit sa coloration politique passagère.
Ce n’est donc pas la VIe République qu’il faut penser, mais l’après-République. Même s’il est à craindre que celle-ci finisse comme elle a commencé : en pataugeant dans le sang du peuple
Xavier Eman
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Louis Latour Chablis 2020 (AOC). Mis En Bouteille A Beauns Par Louis Latour Négociant-Éleveur. A Beaune - Côte-D’Or. 12.5% France 🇫🇷 • Chardonnay • Amarillo pálido. Tonos verdosos. Notas cítricas, lima, mandarina, pomelo. Frutos secos, almendras. Fresco. Acidez equilibrada. • Mi Puntuación : 93/100 • #elcatador #brindoconelcatador #louislatour #france #bourgogne #vin #chablis #winetasting #winetime #wineup (en Dominican Republic) https://www.instagram.com/p/Cnu4eGDPkab/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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